OBSERVATOIRE DE LA BIO EN RESTAURATION COLLECTIVE ---
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- Alphonse Marin
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1 Avec la participation de OBSERVATOIRE DE LA BIO EN RESTAURATION COLLECTIVE --- ANALYSE DES VOLUMES DEDIES A LA RESTAURATION COLLECTIVE VENDUS VIA LES ORGANISATIONS ECONOMIQUES DE PRODUCTEURS BIOLOGIQUES --- Données Juin 2014 Réalisé avec le soutien financier de
2 Etude réalisée par la FNAB, avec la participation de l association Manger Bio Ici et Maintenant (MBIM) Sommaire Sommaire... 2 Introduction : les Organisations Economiques de Producteurs Biologiques (OEPB) en restauration collective... 3 Champ de l étude et données recueillies : / Volumes globaux d activité :... 5 Chiffres d affaires moyen et médian :... 6 Chiffres d affaires le plus élevé et le plus faible :... 6 Nombre de clients : / Caractérisation des produits vendus... 8 Répartition entre familles de produits... 8 Une origine de plus en plus locale : / Analyse des résultats... 9 Lien entre typologie de plateformes et résultats :... 9 Conclusion : Annexes : Annexe 1 : Annuaire des OEPB RHD : Annexe 2 : Exemple de plateforme type :... 13
3 Introduction : les Organisations Economiques de Producteurs Biologiques (OEPB) en restauration collective Depuis le début des années 2000, des producteurs impliqués dans le réseau FNAB se sont regroupés pour répondre aux demandes de la restauration collective en impliquant d autres acteurs de leur territoire dans cette démarche. Cette structuration a abouti au développement d Organisations Economiques de Producteurs Bio, groupements de producteurs multi-produits et spécialisés sur le débouché de la restauration collective (OEPB RHD 1 ). S'organiser collectivement en proposant une offre commune permet de mutualiser les moyens et les tâches, de constituer une gamme plus attrayante et plus cohérente pour le client. Ce type de regroupement, qui s est parfois structuré à la demande de collectivités territoriales, permet également d intégrer la facturation, la livraison, la communication commerciale et la réponse aux marchés publics au sein d une seule entité, ce qui assure un gain de temps considérable aux acheteurs et aux producteurs. Ces organisations collectives permettent enfin de créer des partenariats (collectivités territoriales, distributeurs, transformateurs, consommateurs, ), dans l objectif de faire société autour de l alimentation et d initier un projet de territoire autour de la restauration collective bio locale. Ces outils économiques de distribution de produits bio locaux couvrent aujourd'hui une grande partie du territoire français métropolitain. En fonction des filières bio existantes, du nombre de producteurs impliqués, de la demande des restaurants collectifs et de la situation géographique de chacun, leur zone de chalandise varie de l échelon régional au très local (rayon de 50 km). Leur organisation logistique diffère également : mise en relation producteurs-sites, plateforme virtuelle, plateforme physique ou combinaison de ces systèmes logistiques. Enfin, plusieurs formes statutaires existent : Sociétés Coopératives d Intérêt Collectif (SCIC), Associations loi 1901, Groupements d Intérêts Economiques (GIE). Une étude portant sur la gouvernance des OEPB RHD et leur forme statutaire a été réalisée par la FNAB en L ensemble de ces structures est positionné dans le champ de l Economie Sociale et Solidaire avec une majorité de Sociétés Coopératives d Intérêt Collectif (ce qui fait des OEPB RHD un des représentants majeurs de cette nouvelle forme organisationnelle existant depuis 2002) et d associations loi 1901 fiscalisées. On recense aujourd hui 25 OEPB RHD actives, proches ou issues du réseau FNAB, travaillant pour toute ou partie de leur activité sur la restauration collective (liste en annexe1) et 15 d'entre-elles étant regroupées en 2012 dans un réseau interrégional, Manger Bio Ici et Maintenant, qui vise à mutualiser les compétences et les outils, à assurer la professionnalisation et à accompagner le développement de ces structures. Un film réalisé par l IFORE montre la dynamique mise en place par ce type d outils. Il est visible sur : 1 OEPB RHD : Organisation Economique de Producteurs Biologiques pour la Restauration Hors Domicile
4 Figure1 : cartographie des OEPB RHD (mars 2014)
5 Champ de l étude et données recueillies : Les données recensées par la FNAB et l association Manger Bio Ici et Maintenant (MBIM) portent sur 18 structures actives en 2013 ayant répondu au questionnaire (fiche type en annexe 2). Cependant, afin d apporter une vision dynamique et une comparaison annuelle pertinente, la plupart des informations concernent uniquement 13 structures étant suivies et ayant une activité depuis / Volumes globaux d activité : Le volume global de produits biologiques vendus en restauration collective via les OEPB RHD actives en 2013 s élève à plus de 11 millions d HT, pour une croissance de 33% entre 2012 et Si l on compare uniquement l évolution du chiffre d affaires cumulé des 13 structures interrogées en 2010, il est passé de 4 à 9 millions d entre 2010 et 2013, soit une croissance annuelle de plus de 30% Evolution du chiffre d'affaires global structures suivies depuis 2010 structures actives en
6 Chiffres d affaires moyen et médian : En 2013, le chiffre d affaires moyen des OEPB livrant la restauration collective est de , et le chiffre d affaires médian est de (la moitié des OEPB RHD a un chiffre d affaires supérieur à ). Evolution depuis 2010 : CA moyen CA médian Chiffres d affaires le plus élevé et le plus faible : En 2013, le chiffre d affaires le plus élevé atteint et le plus faible Evolution depuis 2010 : CA le plus faible CA le plus élevé
7 Cette évolution de l activité des structures dénote une vitalité du marché, qui peut s expliquer par plusieurs facteurs parmi lesquels l intérêt grandissant pour les produits bio locaux de la part des collectivités territoriales, ainsi que la professionnalisation et la meilleure visibilité de ces structures. De plus, le fort ancrage territorial et la pérennité de certaines structures a favorisé des liens de confiance durables avec les acheteurs, ce qui permet d engager avec eux une activité de long terme. Nombre de clients : Le nombre de clients moyen par structure est de :. 60 en 2010 ;. 70 en 2011, dont 56 dits «actifs» (plus de deux commandes par an),. 94 en 2012, dont 62 dits «actifs»,. 115 dont 80 dits «actifs» en Le nombre de clients par structure augmente donc progressivement chaque année, parallèlement au chiffre d affaire global.
8 2/ Caractérisation des produits vendus Répartition entre familles de produits La répartition par catégorie de produits en pourcentage est la suivante : Produits laitiers 25% Viande, volaille, charcuterie et oeufs 22% Fruits & légumes 31% Epicerie 12% Non alimentaire 0% Boissons 1% Pain patisserie 5% Surgelé 1% Poisson 1% Produits frais non Autre laitiers 1% 1% L essentiel des ventes concerne les Fruits & Légumes, les produits laitiers et la catégorie «viande, volaille, charcuterie et œufs». Cette répartition entre familles de produits est globalement stable par rapport aux années précédentes. Comparativement à 2012 en valeur relative, on constate une diminution de la part «viande, volaille, charcuterie et œufs», une légère diminution de la part «produits laitiers», au profit des «fruits et légumes».
9 Une origine locale : Les produits vendus sont en grande majorité issus des producteurs biologiques locaux. Parmi les différentes OEPB, la part d approvisionnement local, c'est-à-dire issu de la zone de chalandise, varie entre 22 et 98% et s élève en moyenne (pondérée) à 73% (69% en 2010, 70% en 2011, 75% en 2012). Les produits non locaux vendus correspondent dans la majorité des cas à des compléments de gamme (épicerie salée ou sucrée) qui sont fournis par des partenaires grossistes (Biocoop Restauration dans la majorité des cas). Ce complément permet de répondre à la demande des clients d avoir une gamme complète de produits en bio. 3/ Analyse des résultats Lien entre typologie de plateformes et résultats : En 2013, le volume d activité de la plateforme semble lié à l existence de gros bassins de consommation (métropole ou grande ville) à proximité, ce qui apparaissait moins nettement les années précédentes. L instauration de liens et de partenariats réguliers dans la durée avec des établissements de restauration collective reste essentielle pour développer des volumes intéressants et structurants. On constate encore cette année qu aucun lien mécanique entre volume d activité et forme statutaire des plateformes ne peut être établi. Des résultats à analyser au regard des vocations multiples des plateformes : Au-delà des résultats économiques des OEPB RHD, il est important de prendre également en compte les impacts non marchands de l activité de ces structures. En effet, il ne s'agit pas seulement de vendre des produits mais bien d associer les acteurs du territoire autour d'un projet de relocalisation de l agriculture et de l alimentation visant à protéger les ressources environnementales, la santé des concitoyens, à maintenir et revitaliser l'emploi. Le travail mené par ces acteurs relève donc du champ du commerce mais également du développement territorial et de la structuration des filières bio locales. Ces multiples vocations requièrent donc des moyens d animations importants pour les mettre en œuvre et également pour les valoriser. Ces impacts non marchands ne sont malheureusement pas encore assez connus et reconnus par les collectivités et pouvoirs publics. Cet enjeu est de taille, dans un secteur fortement concurrentiel (l augmentation des marges est généralement l objectif principal). Par ailleurs, il est important de noter que depuis quelques années, les notions de local et de circuits courts ont été fortement portées et relayées, souvent en délaissant les aspects qualitatifs et environnementaux. Ces messages ont pu impacter les choix des clients et consommateurs, au détriment des démarches d approvisionnement bio ET local. Les réseaux FNAB et MBIM portent pourtant cette double ambition, bien illustrée par la campagne «Bio et Local, c est l idéal!».
10 Cependant, le chiffre d'affaire croissant d'année en année témoigne de l intérêt grandissant des restaurants collectifs pour les démarches portées par les OEPB-RHD. C està-dire : un approvisionnement en produits bio locaux, dans le cadre d un réel projet de territoire, positionné sur les 4 piliers du développement durable : - Social par l accès à toutes les couches de la population à des produits sains, - Economiques en favorisant l emploi local sur les fermes, au sein des OEPB et des ateliers de transformation créés pour ce débouché, - Environnemental, en soutenant l installation et la conversion à l agriculture biologique, - Démocratique en assurant par une gouvernance ancrée dans l ESS la participation de tous au projet porté par ces structures (associations, consommateurs, parents d élèves, collectivités territoriales, ). Enfin, il faut ici signaler que la restauration collective engage des volumes assez faibles. Ainsi, contrairement aux allégations souvent portées médiatiquement, ces structures souffrent d un déficit de commandes bien plus que de produits, le marché actuel ne suffisant pas à absorber la production qui pourrait être engagée. Poids des OEPB RHD dans le marché de la restauration collective bio Au regard des données de l Agence Bio, qui estimait en 2013 à 172 millions d euros le marché des produits biologiques en restauration collective, les OEPB demeurent un acteur mineur mais non négligeable, puisqu elles en représentent environ 6.5% (4.7% en 2012).
11 Conclusion : Au regard de ces données, le réseau des OEPB-RHD est aujourd hui le premier réseau spécialisé pour l approvisionnement de la restauration collective en produits biologiques locaux. Ces données montrent plusieurs faits qui vont à l encontre de nombreuses idées reçues : - Plus qu en déficit de produits, ces structures restent aujourd hui en recherche de débouchés, le marché actuel ne suffisant pas à absorber la production qui pourrait être engagée. Les producteurs sont au rendez-vous avec des structures professionnelles, opérationnelles et organisées pour répondre aux demandes spécifiques de la restauration collective. - Professionnelles, ces structures, qui comptent entre 2 et 5 salariés, sont en capacité d intégrer et de porter des taux de croissance extrêmement forts de leur activité (taux de croissance moyen de 30% entre 2012 et 2013). - Années après années, elles se consolident en augmentant leur activité et ainsi leur présence sur le marché fortement concurrentiel de la restauration collective bio, en travaillant sur leurs faiblesses et notamment en essayant de toucher de plus gros restaurants collectifs. - La pérennité de ces structures semble aujourd hui une réalité, de part leur ancrage local, qui se traduit par cette évolution de leur activité, et de part de leur situation financière qui apparait aujourd hui saine. Le présent observatoire rend compte de l activité des plateformes sur un plan quantitatif, afin de témoigner de la place des produits bio locaux dans le secteur de la restauration collective à l'échelon national. Ces données indicatives doivent être suivies de façon rigoureuse sur plusieurs années, et l évolution de leur activité doit être envisagée en tant qu indicateur révélateur de la situation de ce marché et de son impact sur les filières biologiques françaises. Un travail plus qualitatif est par ailleurs mené sur des expériences d'approvisionnement mises en œuvre par les restaurations collectives dont les plateformes sont les principaux partenaires commerciaux (
12 Annexes : Annexe 1 : Annuaire des OEPB RHD : Zone de chalandise : - Régionale : o Norabio en Nord-Pas-de-Calais, o Manger Bio d Ici d Abord en Picardie, o Manger Bio Champagne-Ardenne, o Paysan Bio Lorrain, o Fermes Bio d Ile de France o Solibio en Alsace, o Inter Bio Normandie Services en Basse Normandie, o Self Bio Centre, o Auvergne Bio Distribution, o Manger Bio Limousin, o Manger Bio Ensemble en Poitou Charentes, o Resto Bio Midi Pyrénées, o Agribio Provence SCIC en PACA. - Départementale : o Manger Bio 35 en Ille et Vilaine, o Manger Bio 44 en Loire-Atlantique, o Manger Bio 47 dans le Lot et Garonne, o Manger Bio 53 en Mayenne, o Manger Bio 56 dans le Morbihan, o Manger Bio 85 en Vendée, o SCIC le Bio d ici en Sarthe, o BioAPro dans le Rhône et la Loire, o Manger Bio d Ici Alpes Bugey en Isère, o Agribio06 dans les Alpes-Maritimes, o Isle Mange Bio en Dordogne, o La Bio d ici (2 Savoies). L annuaire détaillé est téléchargeable sur (LIEN).
13 Annexe 2 : Exemple de plateforme type : Nom : Manger bio XX Plateforme virtuelle Statut juridique: association Zone de chalandise : régionale Nombre de salariés : 1,75 ETP Activités portes par la structure : - Comptabilité - Gestion commerciale - Structuration de l'offre - Gestion des commandes - Facturation - Logistique - Transport Chiffre d affaire 2012 : Répartition par gamme de produit : Viandes, volaille, charcuterie, oeufs Poissons F+L Epicerie Boissons Produits laitiers Pain Autres Pourcentage de produits locaux 2011: 70% Pourcentage de produits locaux 2012: 72% Pourcentage de produits locaux 2013: 73% Nombre de clients 2013: 82 Nombre de clients actifs 2013: 60
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