COMPTE RENDU DE LA SEANCE PUBLIQUE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 JUILLET 2010

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1 COMPTE RENDU DE LA SEANCE PUBLIQUE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 JUILLET 2010 Mon cher Collègue, J'ai l'honneur de vous informer que le Conseil Municipal se réunira en séance publique au CHATEAU PEIXOTTO, salle des Délibérations, le jeudi 8 juillet 2010 à 18 heures 30. Je compte donc sur votre présence à cette occasion et vous en remercie par avance. Veuillez agréer, Mon cher Collègue, l'expression de mes meilleurs sentiments. Alain CAZABONNE ORDRE DU JOUR RAPPORTEUR : M. LE MAIRE 1 Approbation du procès-verbal de la séance publique du Conseil Municipal en date du 8 juin Décisions municipales Information du Conseil 3 Acceptation du legs de Madame DARC veuve TRIAIRE 4 Autorisation de signature d une convention d occupation entre la Ville de Talence et la Communauté Urbaine de Bordeaux 5 Déclassement du domaine public et cession d une partie de la parcelle AX 106 sise rue Georges Pompidou 6 Contrat Urbain de Cohésion Sociale Programmation 2010 Redistribution des crédits de l ACSE 7 Subventions aux Associations Talençaises Année 2010 Compléments 8 Subvention exceptionnelle à l association Foreign Guests Club of Bordeaux University 9 Assurances des biens et responsabilités Années 2009 à 2011 Reconduction expresse des marchés RAPPORTEUR : M. VILLEGA-ARINO, Adjoint délégué à la Culture 10 Conférences littéraires 1

2 RAPPORTEUR : M. GELLE, Adjoint délégué aux Aménagements Urbains et Patrimoine 11 SEMIB 2 ème phase de l opération Renaissance Construction de 17 logements Garantie totale d emprunt RAPPORTEUR : Mme SALLET, Adjointe déléguée à la Citoyenneté 12 Cimetière de Talence Suppression des concessions perpétuelles et création des concessions cinquantenaires RAPPORTEUR : M. JESTIN, Adjoint délégué à l Urbanisme 13 Adoption d un cahier des charges des préconisations de la Ville de Talence pour l aménagement de terrains à urbaniser à destination des opérateurs Action 6 de l Agenda 21 Promotion des quartiers durables RAPPORTEUR : Mme LUTREAU-CHAVERON, Adjointe déléguée aux Ressources Humaines 14 Création de poste au tableau des effectifs Tableau des effectifs des agents non-titulaires 16 Ateliers créatifs de Talence Reconduction des ateliers d arts plastiques 17 Espace Seniors Reconduction de l atelier en langue anglaise 18 Accueil périscolaire 19 Communication culturelle Convention de mise à disposition de personnel de droit privé 20 Mise à jour des logements de fonction 21 Reconduction des activités de la pratique sportive libre le dimanche RAPPORTEUR : M. CASTEX, Adjoint délégué au Contrôle Budgétaire 22 Tarif de l Espace Seniors RAPPORTEUR : Mme GEHIN, Conseillère Municipale déléguée à la Diversité, au Handicap et à la Santé 23 Bilan 2009 de la Commission communale d accessibilité aux personnes handicapées QUESTIONS ORALES ****************************** 2

3 Le Conseil Municipal, convoqué le 1 er juillet 2010, s est réuni au Château PEIXOTTO, salle des Délibérations, le 8 juillet 2010 à 18 heures 30, sous la présidence de Monsieur Alain CAZABONNE, Maire. Etaient présents pour tout ou partie de la séance : M. Alain CAZABONNE, Maire, M. VILLEGA-ARINO, M. GELLE (n 1 à 4), M. DUART, Mme SALLET, Mme IRIART (n 1 à 4), M. JESTIN, Mme CASTAGNERA, Mme LUTREAU-CHAVERON, M. CLOUP, Mme DENON-BIROT, M. CASTEX, Mme HIERET (n 1 à 12), Mme CHABBAT, M. GARNIER, Mme BONORON, Mme ROSSI, Mme CHADEBOST, M. GODEFROY, Mme GEHIN, Mme NEDELEC (n 1 à 4), M. LABOURDETTE (n 1 à 6), Mme FURNON, M. PRADES, M. GOYER, Melle DOUKANI, M. SEBTON, M. AMBRY, M. CONTE, M. DUPON-LAHITTE (n 5 à 23), Mme BLANCHARD (n 5 à 23), Mme GRESLARD, Mme DE MARCO, Mme VIAUD, M. GORSE, Mme ROSAY Absents excusés ayant donné délégation : M. GELLE à M. LE MAIRE (n 5 à 23), Mme IRIART à M. CLOUP (n 5 à 23), M. PARANTEAU à M. VILLEGA-ARINO, M. BONNIN à M. JESTIN, Mme NEDELEC à M. GODEFROY (n 5 à 23), M. LABOURDETTE à M. CASTEX (n 7 à 23), Mme BONNEFOY à Mme SALLET, M. DUPON-LAHITTE à M. AMBRY (n 1 à 4) Absentes excusées : Mme HIERET (n 13 à 23), Mme BLANCHARD (n 1 à 4) Mme CASTAGNERA a été désignée comme secrétaire de séance. M. LE MAIRE : Mes chers collègues, je déclare la séance ouverte. 1 Approbation du procès-verbal de la séance publique du Conseil Municipal en date du 8 juin 2010 M. LE MAIRE : Avez-vous des remarques? Approuvons-nous le procès-verbal en l état? Nous l approuvons en l état. Monsieur le Maire expose : DELIBERATION «Monsieur le Maire demande au Conseil Municipal de bien vouloir approuver le procès-verbal de la séance publique en date du 11 MAI 2010.» 3

4 Le Conseil Municipal, après délibéré, donne son accord par 38 VOIX POUR. (RECU PAR LES SERVICES PREFECTORAUX LE ) 2 Décisions municipales Information du Conseil M. LE MAIRE : Avez-vous des questions ou remarques sur ces décisions? Mme DE MARCO : Je me permets de poser une question concernant la décision municipale n 6, passation d une convention de mise à disposition par la Ville de Blaye de son champ de tir de la Citadelle pour l entraînement de la Police Municipale de la Ville de Talence au maniement de lanceur de balles de défense. Quels sont ces types de balles de défense? Pourquoi la Police Municipale fait-elle ce genre de stage? Je pense qu il aurait été préférable qu elle fasse plutôt un stage de méthodes de nonviolence et de gestion des conflits. M. LE MAIRE : C est le cas et c est obligatoire dans le cadre de leur formation. Mme ROSAY : Vous nous confirmez qu il s agit bien là des Flash-Ball. M. LE MAIRE : Oui, il ne s agit pas des Taser. M. CONTE : Concernant la décision n 7, passation d un marché à bons de commande pour l acquisition de logiciels pour environ hors taxes, quelle est la nature ou la destination de ces logiciels? Ce n est pas réellement indiqué. Pouvez-vous nous le préciser, s il vous plaît? M. LE MAIRE : Oui, il s agit de : - Un logiciel antivirus Trend. - Un logiciel de sauvegarde Acronis ou référence similaire. - Autocad pour les services techniques, version en cours ou référence équivalente. - Licence WMORESX* version en cours. Je n ai pas la version française. - Licence processeur pour serveur Oracle ou référence équivalente Serveur R2 ou référence équivalente. - Licence CAL ou référence équivalente. - Licence utilisateur Outlook ou référence équivalente. - Suite Adobe, Acrobat, Photoshop ou référence équivalente. 4

5 Tel est tout le détail de la commande qui doit vous éclairer, me semble-t-il. Personnellement, cela m a apporté un éclairage extrêmement important. Mme DE MARCO : Tout à fait, cela m a apporté l éclairage sur le fait que la Municipalité concernant certains logiciels n a pas du tout fait le choix des logiciels libres comme d autres municipalités, en voulant utiliser Adobe, Photoshop et Outlook. J en suis désolée. Pourtant, vous vous étiez engagé à mener une réflexion concernant l utilisation des logiciels libres. M. LE MAIRE : C est le cas progressivement. Nous avons voté cette semaine plusieurs milliers d euros à la Communauté Urbaine pour les logiciels. Une partie concerne des logiciels libres et une autre partie n en est pas, car nous ne trouvons pas tout en logiciel libre. Mme DE MARCO : Je suis désolée, car dans la suite que vous nous avez donnée, Adobe, Outlook et Photoshop, l équivalent plus performant en logiciel libre existe. M. LE MAIRE : Je vous ai parlé de la délibération de la Communauté Urbaine de ce matin. Vu que je ne connais pas ces logiciels, n étant pas un expert en informatique, on m a soufflé que nous avons eu des achats en logiciel libre chaque fois que c'est possible et que cela nous intéresse, suivant les spécificités techniques et autres. Nous sommes par exemple sur open office pour les traitements de texte. N essayez pas de me convaincre, je n y connais rien. Dans ce domaine, je suis la demande des utilisateurs avec cet objectif d essayer chaque fois que possible, surtout si la qualité et la performance sont équivalentes, de prendre des logiciels libres. M. VILLEGA-ARINO : Surtout que nous sommes convaincus. Mme DE MARCO : Je pense qu un Maire peut avoir un regard politique sur le choix des logiciels. Le regard politique est de faire le choix du logiciel libre. M. LE MAIRE : Nous avons également un regard technique ou de performance pour lesquels je ne suis pas capable de me faire un jugement. D ailleurs, je rappelle, beaucoup de personnes croient que les logiciels libres sont gratuits, alors que ce n est pas le cas. Mme GRESLARD : Je souhaite juste rajouter pour information que la Ville de Talence et la Ville de Pessac accueillent ce mois-ci le Congrès mondial du logiciel libre. Nous devrions nous intéresser à la question de très près. M. VILLEGA-ARINO : Nous nous y intéressons. Mme DE MARCO : Les logiciels que vous avez cités... 5

6 M. LE MAIRE : Nous n avons pas acheté que cela. Cette instruction est donnée et chaque fois que tout le monde est d accord, chaque fois que possible, à qualité ou performance égale, nous essayons de prendre des logiciels libres. Ceux-là ont été commandés ainsi, je ne vous dirai pas pourquoi, car je ne suis pas compétent pour faire le choix en termes de technicité par rapport à cela. J écoute ceux qui savent. C est la troisième fois que je vous le dis. Cependant, nous avons tout de même la volonté de passer aux logiciels libres chaque fois que possible. Avez-vous d autres interventions? M. CONTE : Simplement, je me demande si nous ne pourrions pas faire l inventaire de tous les logiciels qui sont utilisés dans les services municipaux. M. LE MAIRE : C est en cours. DELIBERATION Monsieur le Maire indique à ses collègues que par délibération du Conseil Municipal en date du 28 janvier 2010, enregistrée par les services préfectoraux le 3 février 2010, il lui a été confié la totalité des délégations prévues à l article L du Code Général des Collectivités Territoriales. En conséquence, il a été amené à prendre les décisions municipales pour les objets ci-après : N - DATE OBJET / NATURE DE LA DECISION N 1-21/05/10 Signature d un contrat de cession du droit d exploitation d un spectacle intitulé «Animation musicale du groupe Los chanquetes suivi d un bal sévillan» pour la date du 18 juin 2010, place Alcala de Henares, dans le cadre de la semaine ibérique. N 2-21/05/10 Signature d une convention avec l Office Culturel et Educatif de Talence autorisant l utilisation du parc et des salles du château de Thouars et matériels de la ville, nécessaires à l organisation de Talence en fête les 28, 29 et 30 mai 2010, ainsi que les 26, 27 et 31 mai 2010 pour les préparatifs et remises en ordre nécessaires. N 3-28/05/10 Passation d un marché pour l'acquisition d'un chargeur articulé d'occasion sur pneus. Montant de la dépense : HT N 4-28/05/10 Afin d'offrir la possibilité aux administrés Talençais de payer en ligne (télépaiement par CB via Internet) des BENEFICIAIRE Ou PRESTATAIRE Société Huertas production SARL Bassens (33) OFFICE CULTUREL et EDUCATIF de Talence SAS M3 Belleville sur Vie (85) Caisse Nationale des Caisses 6

7 prestations municipales, décision de souscrire un contrat dont l objet est la fourniture d un service dénommé SPPLUS comprenant d une manière indissociable : -la concession de l usage d un logiciel spécifique dénommé SP+API permettant de diriger un citoyen du site web de la Mairie de Talence vers un serveur de la CNCE afin d assurer le paiement sécurisé des achats - l accès à un service d assistance technique - la maintenance du logiciel et le suivi de son évolution - la sécurisation des informations transmises lors du paiement d une vente électronique - la mise à disposition d un service de consultation et de gestion à distance des transactions réalisées dit «ADMINISTRATION SPPLUS» Le contrat est conclu pour une durée déterminée d un an à compter de la date de signature des Conditions particulières, durée renouvelable deux fois par tacite reconduction. Les conditions financières sont : - frais de mise en service = abonnement incluant 100 transactions = 25 /mois - coût par paiement au delà de la 100 ème transaction = 0.15 N 5-07/06/10 Dans le cadre du marché à tranches conditionnelles portant sur la rénovation du terrain d'honneur et compte tenu de l'avancée des travaux de la tranche ferme, décision d'affermir la tranche conditionnelle n 3 pour un montant de HT. N 6-09/06/10 Passation d'une convention de mise à disposition par la ville de Blaye de son champ de tir de la citadelle pour l entrainement de la Police municipale de la ville de Talence au maniement de lanceurs de balles de défense. N 7-09/06/10 Passation d un marché à bons de commande pour l acquisition de logiciels. Dépense estimée (prix unitaires HT contractuels du bordereau multiplié par les quantités indicatives): 48625,92 HT N 8-14/06/10 Décision de mettre en œuvre un référé préventif et de procéder à une expertise de l état des canalisations d'évacuation des eaux usées et pluviales propriété de la C.U.B, situées à proximité immédiate du chantier de réalisation du «Pôle de Vie Collective». N 9-21/06/10 Passation d un avenant n 1 au marché à tranches conditionnelles pour la rénovation du terrain d'honneur : d Epargne SARL LAFITTE PAYSAGE, SARL GUY LIMOGES Ville de Blaye Société PC WARE Courbevoie (92) S.C.P d Avocats Paule Le Bail- Jean Philippe Le Bail SARL LAFITTE PAYSAGE (mandataire), SARL 7

8 N 10-21/06/10 Plus value de HT Moins value de HT Soit une moins value de HT Décision de confier à la Société Civile Professionnelle d Avocats «Paule Le Bail - Jean-Philippe Le Bail» la charge de défendre les intérêts de la Ville dans le cadre de la requête en annulation introduite par Monsieur Hervé Perache auprès du Tribunal Administratif de Bordeaux à l encontre du permis de construire n Z1005 en date du 4 mars 2010 délivré par la Ville à Monsieur Jean Anguellu. GUY LIMOGES S.C.P d Avocats Paule Le Bail- Jean Philippe Le Bail 8

9 Le Conseil Municipal prend acte de ces décisions. (RECU PAR LES SERVICES PREFECTORAUX LE ) 3 Acceptation du legs de Madame DARC veuve TRIAIRE M. LE MAIRE : Je ne savais pas que cette brave dame était décédée récemment. J avais plaisanté la dernière fois en disant que j avais fait agir mon charme pour aller la voir et qu elle puisse céder ses biens à la Ville, car elle n avait pas de succession. Nous avons été surpris d apprendre qu elle cédait tous ses biens à la Ville, ses biens immobiliers et l argent qui était sur des comptes, ainsi que des assurances-vie. En revanche, nous aurons à payer les quelques factures qui étaient restées impayées pour un montant très faible de 3 933,86. L intérêt de ce legs est que sur le plan immobilier, il y a trois échoppes dont deux sont occupées et louées et celle qu elle occupait elle-même. Il y a un terrain au Porge où même si j ai essayé de l en dissuader elle veut absolument que nous fassions un équipement pour les enfants. Autrement, elle le donne au Secours Populaire. J ai essayé de lui expliquer que vu que le terrain se trouve à environ 20 kilomètres du Porge, par rapport à ce qu elle faisait lorsqu elle était jeune de prendre son vélo, les jeunes aujourd hui sont moins vaillants. Je lui avais proposé de faire un aménagement pour les jeunes ailleurs avec le produit de son terrain, mais elle a tenu à maintenir cette obligation dans la mesure où c est le terrain où elle allait lorsqu elle était jeune. Nous pouvons comprendre l attachement sentimental à ce terrain. Ainsi, soit nous l aménagerons, soit nous laisserons le terrain au Secours Populaire. Pour le reste, c est sans condition. L intérêt de cette succession est que nous avons prévu un emplacement réservé en face d Henri Brisson et ses terrains jouxtent ceux que nous avions déjà réservés. Cela nous permettra sûrement de faire dans ces quartiers qui en manquent un parc public et peut-être une réserve foncière pour le collège. Nous verrons cela dans le futur. J avais négocié cela avec elle de son vivant. Malheureusement, elle est décédée. Elle avait demandé une autre condition qui était de pouvoir entrer à la maison de retraite Gardères, à laquelle j avais répondu favorablement, mais je ne pensais pas que son état de santé s était brutalement aggravé, car elle était en très bonne santé lorsque je l avais vue. Il faut donc accepter ce legs. M. CONTE : Monsieur le Maire, vu l ampleur des biens cédés à la Ville, il serait peutêtre envisageable de mettre une plaque commémorative quelque part. 9

10 M. LE MAIRE : Bien sûr, si nous faisons un espace public, nous l appellerons du nom de la personne comme mes prédécesseurs l ont fait dans d autres cas. Mme DE MARCO : Cette dame a légué à la Ville de Talence plusieurs biens situés rue Armand Leroy. A-t-elle également souhaité que ces lieux soient affectés à un usage particulier? M. LE MAIRE : Non. Mme DE MARCO : Cela n a-t-il pas été sa volonté? M. LE MAIRE : Non, elle ne tenait vraiment qu à son terrain du Porge. Monsieur le Maire expose : DELIBERATION «Madame Huguette DARC veuve TRIAIRE, demeurant 20 rue Armand Leroi à Talence, a légué par voie testamentaire à la Ville l ensemble des biens mobiliers et immobiliers dont la liste est annexée à la présente délibération. Je vous précise que l un des biens situé sur la commune du Porge est grevé d une charge visant à l affecter à usage de lieu de vacances ou de loisirs pour jeunes. De plus, la succession présente un passif de 3.933,86 euros. La dépense sera imputée à l article 678 du budget. Je vous propose donc : - d accepter le legs de Madame DARC veuve TRIAIRE, - de m autoriser à signer tous les documents afférents à cette donation.» ADOPTE PAR 38 VOIX POUR (RECU PAR LES SERVICES PREFECTORAUX LE ) 10

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13 4 Autorisation de signature d une convention d occupation entre la Ville de Talence et la Communauté Urbaine de Bordeaux M. LE MAIRE : Vous savez que la construction du Pôle de Vie Collective va bientôt démarrer, nous l espérons. La PMI ne veut pas que nous puissions laisser des enfants à proximité d un chantier compte tenu des nuisances et du bruit. Nous allons donc être amenés à faire déménager la crèche «l Eléphant Bleu». Nous avons prévu d occuper une des salles de l école Pablo Picasso. Je m y suis rendu avec plusieurs élus pour voir quelle était la possibilité. Nous avions un projet qui au départ était plus important sur l école. Un des parents d élève nous a fait une contreproposition qui avait trois gros avantages : nous ne touchions pas à l espace important au centre de l école qui sert d espace de jeux, l entrée ne se faisait plus par le passage prévu et nous ne touchions pas au jardin potager. Vu que cette proposition correspondait tout de même aux exigences du déménagement de «l Eléphant Bleu», nous avons donné notre accord. Nous avons donc demandé à l Education Nationale un déclassement partiel de l affectation de l école et à la Communauté Urbaine de signer une convention afin de régulariser la situation car l école est encore la propriété de la Communauté Urbaine. Vous savez que la Communauté Urbaine s est engagée à transférer aux communes les écoles construites dans des ZUP, mais elle doit les transmettre dans un état complet de parfait aménagement. Vu qu il reste encore quelques travaux sur les écoles de la ZUP, la CUB ne nous les transmettra que dans quelques mois. Mme GRESLARD : Monsieur le Maire, dans la délibération, il est question d un déclassement. S agit-il d un déclassement provisoire? M. LE MAIRE : Je ne me souviens plus du nom administratif. Nous allons regarder dans la convention. Mme GRESLARD : C est pour un temps limité. La délibération peut-elle donc être réajustée? M. LE MAIRE : Oui, la durée est précisée dans la convention. Mme GRESLARD : S agit-il bien d un déclassement provisoire, temporaire? M. LE MAIRE : Oui. M. GORSE : J ai une remarque, dans la convention annexée, il est écrit dans la première phrase : «La Ville de Talence a sollicité la mise à disposition temporaire [ ] tel qu indiqué sur le plan joint», lequel plan n est pas annexé à la convention. M. LE MAIRE : Il arrive. 13

14 M. GORSE : En revanche, sur la délibération que les conseillers communautaires voteront à la CUB, elle est complète. Deuxième question, si je lis bien la délibération, c est le lieu d accueil des enfants actuellement au château de Thouars qui devrait partir à l école Picasso et «l Eléphant Bleu» qui irait à Thouars. Tel que je le comprends, c est ainsi. Mme HIERET : Actuellement, ils se trouvent à l Atrium. Ensuite, ils iraient à Picasso. «L Eléphant Bleu» déménagera aux «Premiers Pas». M. LE MAIRE : A l Atrium, c est dans le local des architectes. Mme HIERET : Ils n ont pas de jardin pour le moment. Ensuite, ils déménageront à Picasso. M. LE MAIRE : Les «Premiers Pas» vont aller à Picasso. Mme HIERET : «L Eléphant Bleu» déménagera aux «Premiers Pas» et ensuite, ils reviendront chez eux. M. LE MAIRE : Cela ne change pas par rapport au principe. En fonction des surfaces et des aménagements, nous cherchons à le faire à travaux minimum. Entre l accueil des «Parents-Enfants» et «l Eléphant Bleu», nous essayons de trouver la solution qui sera la plus intéressante financièrement et pour les enfants, ainsi qu en rapidité de travaux. M. GORSE : Autre question, vu que c est une délibération temporaire, une fois les travaux terminés, où iront les structures? Entre l école et l autre lieu, je n ai pas saisi qui va où. M. LE MAIRE : J ai été clair lorsque j ai vu les parents d élèves et les enseignants de l école Pablo Picasso. Notre premier projet était plus handicapant, car nous prenions une entrée, le jardin et une salle assez importante. Je leur ai dit que c est ce que nous allions faire pendant la durée des travaux. Lorsque nous nous sommes mis d accord sur la solution plus restreinte, je leur ai dit que c est normalement prévu pendant la durée des travaux, mais que nous verrons comment cela fonctionnera. J ai rappelé aux parents de l école Pablo Picasso que même si nous gardions le premier projet, ils avaient par enfant plus du double qu ont les autres enfants Talençais dans une école et que si au lieu d être excessivement bien, ils étaient très très bien, cela ne serait pas forcément une catastrophe. A la fin des travaux du pôle de vie collective, nous verrons deux ou trois choses. Quid des «Bons Petits Diables»? Quid de «Parents-Enfants»? Quid de «l Eléphant Bleu»? Quid de la minicrèche? Tout cela se fera avec l ancien centre social que je souhaite personnellement garder pour une large partie, le château de Thouars, là où étaient les «Premiers Pas» et le 14

15 logement de fonction, l école Pablo Picasso et les bâtiments qui sont la propriété de la Ville dans le secteur. Nous n avons pas de solution définitive. Nous avons choisi cette organisation qui paraît assez logique pour la durée des travaux. Ensuite, je ne suis pas capable de dire ce que nous ferons, car nous choisirons la solution qui sera la plus intéressante pour tout le monde, mais pas forcément la plus intéressante pour Pierre, si cela déshabille Paul! Nous allons essayer de voir cela ainsi. Pour l instant, nous en sommes aux travaux et nous verrons ensuite comment nous aménagerons l ancien centre social. La solution sera peut-être là, je n en sais rien aujourd hui. Quelle partie du bâtiment pourra-t-elle être conservée? L aménagement au château de Thouars pourra-t-il convenir pour les «Bons Petits Diables» ou pour autre chose? Il me semble que la PMI étudie la question. Nous verrons cela après. Nous en sommes là aujourd hui. M. GORSE : Ma dernière question concerne le futur pôle social. J ai eu l occasion de rencontrer quelques salariés du Centre Social «Mix-Cité», la structure actuelle, qui se posent beaucoup de questions et ont quelques inquiétudes sur leur avenir professionnel dans la perspective de la future structure. M. LE MAIRE : Nous avons rencontré avec Aurélien SEBTON et François JESTIN je crois les responsables de «Mix-Cité». La seule interrogation porte sur «La Souris». Nous pensions que la bibliothécaire partait à la retraite l an prochain. Nous avons confirmé notre accord de garder la personne à «Mix-Cité» jusqu à son départ, cela ne pose pas de problème. Pour ce qui est de la «La Souris», le problème est que nous avons différents financeurs : la Ville, peut-être la CAF et le Conseil Général. Quid des différents financeurs? Ce qui est sûr, c est que nous avons dit que nous ne supporterions pas seuls. En revanche, s il y a un cofinancement comme actuellement, nous sommes prêts à continuer, mais pas à hériter du financement de partenaires. Nous en sommes donc là. Nous souhaitons la poursuite de l activité car elle est importante, tous ceux qui ont fréquenté «La Souris» savent qu un travail intéressant est fait non seulement auprès des enfants, mais également auprès des adultes. Nous sommes donc pour la poursuite de l activité, mais en continuant à partager le financement. Nous en sommes là. Monsieur le Maire expose : DELIBERATION 15

16 «En raison des travaux de construction du Pôle de Vie Collective, la Commune a besoin d un espace pour installer le lieu d accueil parents-enfants «Les Premiers Pas» actuellement situé au Château Thouars et dont les locaux seront occupés par la crèche l Eléphant Bleu. Une partie de l école maternelle Pablo Picasso, située rue Alfred de Musset, est disponible pour accueillir ce lieu. Le déclassement d une partie de l école a reçu un avis favorable de l Inspection Académique et le transfert, l accord des services de la Protection Maternelle et Infantile. La Communauté Urbaine de Bordeaux, propriétaire de l école propose de signer une convention afin de régulariser la modification de cette occupation. Je vous demande donc bien vouloir m autoriser à signer cette dernière.» ADOPTE PAR 38 VOIX POUR. (RECU PAR LES SERVICES PREFECTORAUX LE ) 16

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21 5 Déclassement du domaine public et cession d une partie de la parcelle AX 106 sise rue Georges Pompidou M. LE MAIRE : Je vais vous résumer tout cela. La Ville est propriétaire de différents terrains sur ce secteur. Il y a ce que l on appelle la prairie Bel Air. Nous avons eu la proposition de l installation d une maison de retraite médicalisée de la part de la société ORPEA (François JESTIN peut me corriger si je me trompe) qui serait, pour une part, le transfert des lits qui sont actuellement à Haut Brion. M. JESTIN : Je vais bien recadrer cette opération dans le contexte général et de ce qui a pu se passer depuis le départ. J ai réduit la présentation sur tout ce qui était la partie concernant les ateliers d urbanisme, car je vous rappelle que nous avions reçu au sein du Conseil Municipal en date du 4 novembre 2009 des représentants de l atelier d urbanisme qui avaient déjà fait cette présentation. Je n ai remis pour la clarté des débats que les trois schémas qui avaient été présentés par les habitants avec des constructions d habitations et de logements sur la résidence Bois d Arcy et pour le premier scénario, une construction d un équipement d intérêt collectif. Ils avaient cité une RPA médicalisée et une crèche. Je n ai bien évidemment strictement rien changé de la présentation qu ils nous avaient faite. Un deuxième scénario consistait au contraire à densifier complètement la résidence de logements sociaux en y intégrant tous les logements et en conservant les autres espaces verts du quartier. Un troisième scénario consistait à construire en partie sur la résidence Bois d Arcy et à intégrer sur ce que l on appelle communément la prairie Bel Air, un équipement d intérêt collectif, soit une RPA médicalisée, soit une crèche, avec des habitations individuelles ou semi-collectives y compris le stationnement pour la partie nord de ce terrain. Il serait d ailleurs intéressant, au vu de la proposition que la Ville a pu formuler, d entendre les explications de l opposition pour expliquer par exemple que ce schéma est totalement différent de ce que nous avons été amenés à présenter. Les engagements de la Municipalité dans cet atelier d urbanisme et lorsque nous avons reçu les travaux à l origine étaient de répondre aux besoins, attentes ou souhaits en matière d équipements publics, de logements et de préservation du cadre de vie exprimés lors de l atelier. C était de donner une place aux habitants dans le processus de projet à travers l installation de dispositifs de participation et d information. Je vous ai épargné l amoncellement de dates où les réunions se sont passées, mais je les ai évidemment à disposition pour pouvoir vous les redonner. 21

22 Il s agissait également de faire appliquer les préconisations de la Ville de Talence pour l aménagement des terrains constructibles. Nous en reparlerons dans une autre délibération un peu plus tard tout à l heure. Le parti d aménagement retenu par la Commune était : - D avoir des espaces verts publics requalifiés. - D avoir un urbanisme offrant des logements sociaux diversifiés, à la fois en location et en accession sociale, notamment dans le cadre du programme Bois d Arcy, avec une obligation d un nombre de logements familiaux comme nous le faisons désormais pour chaque opération publique ou privée. Nous le verrons également dans la prochaine délibération. - De réaliser un équipement public d intérêt général ou collectif répondant à des critères de très hautes performances énergétiques. - Du renforcement du caractère bucolique du quartier par une opération de plantation d arbres inscrite dans l opération des arbres. - Une concertation des habitants sur le schéma de circulation du quartier. J y reviendrai plus tard. Concernant la résidence Bois d Arcy, je vais passer assez vite, car ce n est peut-être pas le fond du dossier aujourd hui. Nous avons demandé un certain nombre de choses à l opérateur Domofrance : - Le respect des préconisations de l atelier d urbanisme. - Le dégagement d une place de stationnement par logement, je vous rappelle que la loi dit aujourd hui pour le logement social que le nombre de stationnements est compris entre 0 et 1. Cela veut dire que cela peut être 0. Nous lui demandons d avoir ce respect. - D être attentif à la question de l économie d énergie sur les bâtiments. - De réaliser des logements locatifs sociaux et d accession. - La question de la typologie du logement à travers un nombre de logements familiaux important. Lors de la restitution publique de ce document, qui a été faite le 15 avril de cette année, sauf erreur de ma part, l opérateur Domofrance était avec nous et a indiqué quelques-unes des difficultés qu il pouvait avoir et s est engagé lorsqu il aura fait ce travail à revenir devant les habitants pour présenter son projet en tenant compte de ce schéma remis directement par les membres de l atelier d urbanisme. Sur le site de Bel Air, le choix qui a été porté par la Ville était de s orienter vers une maison de retraite médicalisée avec une unité de soin Alzheimer, ainsi que cela se fait désormais dans tous les établissements ou en tout cas, dans tous les nouveaux établissements. Pourquoi ce choix a-t-il été fait? Nous avons appris dans les mêmes temps et dans les mêmes délais, l annonce de la fermeture du site Home la Tour pour des questions de vétusté des locaux. Pour votre information, si vous ne le savez pas, Home la Tour aujourd hui dispose de 57 lits ouverts et 75 agréments. Vous savez que les maisons de retraite fonctionnent avec un nombre de lits. Ils avaient donc au 22

23 départ 75 agréments. Les services sociaux ont été amenés à fermer les annexes pour des questions de vétusté. Ainsi, la capacité actuelle est de 57 lits. Les services du Conseil Général et de la DDASS ont même été plus loin, car ils ont demandé de trouver d autres solutions. C est ce qui a précipité une annonce de fermeture de cette maison de retraite. Tous ces calendriers se sont achoppés, il nous a semblé opportun d envisager une relocalisation sur le territoire de la Ville et bien évidemment, que n aurions-nous pas entendu si nous n avions pas eu cette préoccupation à ce moment-là? De plus, cela aura pour avantage de pouvoir rouvrir plus de lits, car nous passons de 57 effectifs aujourd hui à 89 lits dans le projet qui nous a été proposé. Je ne reviens pas sur la maladie d Alzheimer, c est évidemment une grande cause nationale qui amène à de véritables drames humains. Il existe également un avantage de proximité avec la RPA Bel Air, avec une synergie des pôles, une mutualisation des ressources et peut-être des espaces et des parkings. Tout cela fait partie des sujets que nous abordons. Pourquoi ce choix a-t-il été fait? C est d abord par rapport au voisinage, car je pense qu une maison de retraite est tout de même un équipement d intérêt collectif qui provoque assez peu de nuisances en termes de nuisances sonores, de déplacements et autres. Cela permet une intergénérationnalité des populations du quartier et d offrir aux Talençais âgés qui habitent dans ce quartier la possibilité de rester sur place et de se maintenir dans leur propre quartier. Cela permet également de maintenir une cinquantaine d emplois sur la Commune et de voir se construire un bâtiment avec un certain nombre de critères de développement durable. Nous avons donc eu une proposition de la société ORPEA. Je voudrais m arrêter un instant sur cette question de la maison de retraite. Je crois que nous vivons dans une société où des sujets sont importants. La question de nos seniors est très largement importante. Il se trouve qu à titre personnel, je suis assez bien sensibilisé à cette question des maisons de retraite et à la manière dont cela fonctionne. Quelle est la réalité aujourd hui? Plus aucun agrément public n est délivré dans les milieux urbains, ils sont directement délivrés dans les milieux ruraux, c est-à-dire que nous mettons nos maisons de retraite et nos seniors loin des agglomérations. Il se trouve que j ai un membre de ma famille qui dirige une maison de retraite, évidemment d aucune manière liée à ORPEA pour que le sujet soit clair, et qui se trouve au fin fond du Cher et de la Nièvre. Quel est le résultat? C est que nos seniors sont totalement isolés et éloignés des familles, ils se retrouvent complètement seuls à 200 kilomètres des grandes agglomérations et des grands milieux urbains. Nous les laissons dans des mouroirs. 23

24 Nous considérons que si nous avons la chance de pouvoir faire venir des maisons de retraite en milieu urbain, proches des familles, des habitations qui sont autour, c est un enjeu qui en vaut la peine. Je réponds par anticipation, concernant le fait que ce soit une société privée, je vous rappelle que le Code de l Urbanisme et le Code Social reconnaissent aux maisons de retraite médicalisées privées la connotation d opération d intérêt collectif. Que cela vous plaise ou non, c est la réalité des différents codes. Je tiens évidemment les articles à votre disposition. Enfin, nous pourrions peut-être nous retrouver autour d une des notions. Vous savez qu un certain nombre de Conseils Généraux accordent des agréments afin qu un certain nombre d établissements puissent toucher la prestation sociale. Je nous engage à avoir une action collective auprès du Conseil Général, afin que le Conseil Général de la Gironde qui n accorde pas cet agrément puisse le mettre en place et afin que nous puissions nous assurer d avoir un certain nombre de personnes accompagnées au titre des prestations sociales. Concernant le reste de l aménagement, mais j y reviendrai plus tard, donc je vais faire assez court, nous nous sommes évidemment engagés à conserver une partie sous forme de parc public et nous avions envisagé, mais je vais y revenir, le détachement de quatre lots maximum de maisons individuelles. J en expliquerai les raisons tout à l heure. Tel est le schéma d implantation tel qu il nous a été proposé par l opérateur. Je précise concernant les quatre maisons qu elles n ont absolument rien à voir avec l opérateur qui est ici. Il se trouve que j avais juste demandé à l architecte d intégrer quatre maisons afin que nous puissions avoir une vue de ce que cela pourrait être. Tout cela sera traité par ailleurs. Nous sommes donc sur une maison de retraite qui est en R+1. Nous avons limité la hauteur, car c est souvent un reproche que l on peut nous faire. Concernant le découpage du terrain qui a été fait, vu que c est l objet de la délibération, je vous rappelle que pour déclasser un terrain public, il faut d abord l identifier avant de pouvoir délibérer. C est pourquoi les clôtures ont été posées ainsi. Je précise également que l espace public que nous avions envisagé ici sera certainement plus grand, car l opérateur s est engagé à ne pas installer de clôtures sur son propre terrain et à se servir des murs de façade pour en faire la clôture réelle, ce qui agrandira au contraire l espace public que nous pourrons laisser, car ce sera un espace privé mais que nous pourrons partager communément. J en reviens aux quatre maisons. Lorsque nous avons fait ce découpage, l implantation nécessaire pour la réalisation respectant les distances et les prospects de la maison de retraite représentait globalement mètres carrés. Il restait mètres carrés sur le terrain découpé ainsi. 24

25 Lorsque nous avons regardé les plans et les photographies, nous avons estimé que beaucoup de maisons dans ce quartier avaient des jardins individuels. Pour autant, il y avait un certain nombre de résidences, notamment la résidence Saint-Hubert, j aurais dû prendre une photographie un peu plus large, ainsi que la résidence Bois d Arcy que nous pouvons situer à proximité. Il ne nous a pas semblé essentiel forcément de conserver à cet endroit mètres carrés, si nous pouvions au contraire essayer de conserver mètres carrés et d envisager de racheter une parcelle aujourd hui privée sur laquelle la Ville avait mis en place un emplacement réservé de manière à pouvoir un jour acquérir cet espace. Il valait peut-être mieux avoir mètres carrés ici et mètres carrés là, d autant que cette parcelle est beaucoup plus arborée et paysagère que ne peut l être le terrain actuel de Bel Air. C est la raison pour laquelle nous avons envisagé ces quatre maisons. C est un point sur lequel nous travaillons toujours et nous avancerons au fur et à mesure. Vous avez un plan en coupes pour bien montrer que la résidence médicalisée est prévue en R+1. Vous avez à côté la représentation de ce qui est actuellement la résidence Saint-Hubert qui est juste en face pour vous donner une idée des volumes. Nous passons à la question des espaces verts. D abord, nous avons la volonté de racheter la propriété NADAL. Nous avons commencé à mettre en place des discussions avec les propriétaires pour tenter de racheter ce bien. L engagement pris par la Ville sur ce parc qui est à l avant de la RPA Bel Air, à proximité du carrefour où vous avez l E.Leclerc de l autre côté, est de classer cet espace qui ne l est pas, de le protéger et de rajouter en plus un certain nombre d arbres. C est sur quoi les services des jardins travaillent notamment. Il est également question de conserver ce bosquet d arbres malgré les projets et la volonté de Domofrance de densifier cette résidence. Nous avons vu avec eux pour protéger cet espace et qu il ne soit pas compris, conformément aux préconisations faites par l atelier d urbanisme. Pour finir, nous vous avons mis une carte générale des différents espaces que cela représenterait lorsque le projet sera terminé, afin de vous montrer qu il reste tout de même un certain nombre d espaces accessibles qui seraient peut-être à retravailler et à aménager de manière différente. Cela fait également partie de nos intentions d aménager ces différents espaces. Concernant la question du schéma de circulation, c était l une des demandes de l atelier, Marie-Nelly DENON-BIROT, l adjointe de quartier et Thierry GELLE, l adjoint en charge, se sont engagés, je pense vers la rentrée, à revenir devant le Conseil communal pour aborder cette question. Mme ROSAY : Je vous remercie M. JESTIN de nous avoir rejoué le Conseil communal, ainsi que le dernier Conseil Municipal, je croyais que nous allions parler 25

26 de cette délibération qui concerne le déclassement du domaine public de la parcelle AX 106, vous l avez remise dans le contexte. Cependant, je m y perds un peu, personnellement, dans tout ce qui est équipement public, collectif, intérêt collectif ou intérêt général voire établissement public d intérêt général, ce n est pas très clair. Vous avez vu qu un certain nombre de citoyens s est ému de ces projets, malgré le fait que vous ayez repris des suggestions de l atelier d urbanisme qui n est pas mis en cause, mais plutôt l état d esprit dans lequel ils ont travaillé. Je vais vous expliquer pourquoi nous estimons que ce n est pas un bon projet. La Ville de Talence est depuis longtemps la championne de la densification de toute la Communauté Urbaine de Bordeaux. Pour mémoire, je vous rappelle qu à Talence, la densité de population est de habitants au kilomètre carré pour à Bordeaux, à Lormont, à Gradignan et à Mérignac. Cette densification voulue nous entraîne dans un cercle vicieux en augmentant inexorablement la pression foncière dans la Commune. C est dans ce contexte que vous vendez un bien communal. Lorsque vous aurez vendu le dernier terrain appartenant à la Commune, comment allez-vous trouver les réserves foncières pour les équipements publics indispensables dans le futur? Comment ce projet s inscrit-il dans votre politique foncière? Quelle est votre politique foncière? Votre projet global sur le secteur se targue de suivre les vertus du développement durable, mais celui-ci ne se limite pas à économiser l eau, à éteindre les lumières derrière soi, à morceler les terrains communaux pour créer des petites pelouses à droite et à gauche ou à planter arbres. Le développement durable exige de penser la Ville de demain et de la penser autrement. Cette Ville très dense doit faire une place à la préservation des espaces naturels lorsqu ils existent et de la biodiversité en milieu urbain. Elle doit offrir une proximité de lieux naturels, récréatifs et de découverte qui ne se limitent pas à la taille d un square avec un banc et un arbre planté à côté. Elle doit réfléchir à une valorisation différente et créer du lien social sur et autour de ces espaces. Monsieur le Maire, vous voulez vendre ce terrain public d un hectare, propriété de tous les Talençais, à une entreprise privée, cotée en Bourse, avec un rendement de 14 % par an et qui investit dans le marché très juteux de la dépendance de nos aînés. Vous le cédez à nouveau à un prix que nous trouvons ridiculement bas : 332 le mètre carré, ce qui ne correspond pas du tout aux prix sur la Commune. Il est vrai que la construction d une maison de retraite avec une unité Alzheimer paraît politiquement plus correcte que la construction de résidences hôtelières en défiscalisation, mais sous couvert d une réponse au problème de vieillissement de la population, vous dépouillez la Commune d un des derniers espaces naturels de taille conséquente et vous permettez ainsi à une entreprise privée de gagner de l argent avec la propriété publique. 26

27 M. LE MAIRE : Arrêtez cela! Mme ROSAY : Vous auriez pu réfléchir à autre chose, comme à un bail emphytéotique ou que sais-je? Nous aurions peut-être pu trouver d autres façons de faire. A présent, vous dites que les maisons de retraite privées ont une connotation d intérêt collectif, c est vrai. Il n empêche que par rapport aux prix pratiqués dans ces maisons de retraite, tout le monde ne pourra pas se les payer. Tel est le problème, car en principe le foncier est cher en milieu urbain. Nous le savons très bien. C est tout un tas de raisons pour lesquelles nous sommes contre. Nous croyons qu il faut penser la Ville vraiment autrement, on morcelle les terrains, on fait des parcs, mais on ne réfléchit pas globalement, ni à une utilisation plus globale de tous ces espaces que nous avons et que bientôt nous n allons plus avoir, car cela va être vendu et vous avez prévu pour cette année 1,3 M de rentrée d argent par la vente de terrains. Nous vendons nos bijoux de famille J ai une question simple de principe à laquelle vous allez répondre. Selon l article L du Code des collectivités territoriales : «Toute cession d immeubles ou de droits réels immobiliers par une commune de habitants et plus donne lieu à une délibération motivée du Conseil Municipal. Le Conseil Municipal délibère au vu de l avis de l autorité compétente de l Etat». Je souhaite juste savoir quelle est cette autorité compétente, quel est cet avis et où l avons-nous, à moins qu il ne s agisse tout simplement de l estimation des domaines. M. LE MAIRE : Nous allons vous répondre sur le plan réglementaire. Je m interroge, avez-vous un problème avec les personnes âgées? Lorsque nous avons eu le projet de la bibliothèque Gambetta que nous voulions mettre dans la résidence des personnes âgées, vous avez trouvé cela totalement anormal et inacceptable, alors que nous prônons tous l intergénérationnalité. Là, François JESTIN l a très bien expliqué, nous avons une nécessité absolue de créer des équipements et nous souhaitons que les personnes âgées restent à proximité de leur famille. Nous n avons pas d autre solution que celle-là. Si nous les envoyons à Grignols ou ailleurs, vous avez des listes d attente pour toutes les maisons de retraite publiques. Si elles avaient des agréments, elles auraient pu réaliser. Or, vous savez qu il n y a pas d agrément et qu il faut arriver avec des lits disponibles. Ce sont les sociétés privées qui en ont, de maisons qui ferment ou autres et qui viennent s installer ici. C est tant mieux pour nous à Talence, car ils vont rester à proximité. Quant à votre leitmotiv concernant la concentration de Talence, de quoi parlonsnous? Si vous prenez le quartier de Bordeaux de la Victoire, il est aussi voire plus dense que Talence. Evidemment, si vous intégrez le quartier du Lac, vous tombez à 27

28 une part moins importante. Si vous parlez de l hypercentre de Pessac, vous trouvez la même densité qu à Talence. Si vous rajoutez Toctoucau, vous avez naturellement nettement moins d habitants au kilomètre carré. Or, quelle est la volonté unanime de la Communauté Urbaine? Je regrette beaucoup que vous ayez deux langages (je dis vous, c'est l'opposition). Vous en avez un à la Communauté Urbaine, vous le voyez dans toutes les déclarations du Président, dans l affirmation d une agglomération millionnaire du fait de l afflux du monde rural vers les agglomérations. Il faut loger ces habitants et chacun a sa quote-part. Si Talence est très demandée, c est peut-être du fait que ce n est pas la Ville catastrophe que vous décrivez et qu ils y trouvent beaucoup d atouts entre la présence universitaire, l animation et le centre-ville contre lequel vous étiez. Ils veulent venir pour cela, du fait que des équipements publics existent, ainsi que le tramway alors que vous ne vouliez pas qu il passe ici. Tout cela fait que la Ville est attractive. Nous n y pouvons rien, ils veulent venir ici. Naturellement, il ne s agit pas d accueillir les habitants ici. Il existe donc un partage à la Communauté Urbaine dans le cadre du PLH. Elle donne à chaque commune des quotas de réalisation. Il faut être attentif à une chose, nous sommes actuellement à 22 % des logements sociaux. M. JESTIN : C est 24,90 %. M. LE MAIRE : Nous avons fait des efforts, nous étions environ à 22 % et nous sommes à 24 %. Si nous n y prenons garde, des opérations privées se faisant avec plus de logements privés que publics, même si on leur impose 25 %, dans quelques années, cela peut conduire à un déséquilibre, cela peut arriver à quelques villes, aboutiront à passer en dessous de la barre des 20 %. La conséquence sera alors que nous serons taxés de payer une indemnité assez lourde à la Communauté Urbaine. La Ville est également là pour favoriser la création de logements sociaux sur Talence. Elle est très demandée en densité toutes tendances politiques confondues et en particulier par les amis de Monique DE MARCO, au travers de M. CHAUSSET qui n arrête pas d écrire et de répéter : «La Ville sera verticale et si on la fait horizontale, c est de la pollution». Lorsque vous construisez à 40 kilomètres de Talence, de Pessac ou d autres, vous faites 40 kilomètres tous les jours et vu que nous ne pouvons pas faire de transport en commun dans l habitat individuel, ce sont des déplacements en voiture, donc vous polluez, vous faites des réseaux. C est pourquoi il avait cette formule que je vous ai citée dix fois : «Je préfère le béton que le bitume», dixit M. CHAUSSET, responsable des Verts à Mérignac. Vous ne voulez pas l entendre, car vous avez deux langages, l un ici et l autre dans d autres collectivités par l intermédiaire de vos amis. Il faut donc accueillir les habitants, ce qu il faut, c est que nous le fassions de manière équilibrée. 28

29 La Ville de Talence a choisi dans son PLU de dire que hormis les grands axes de circulation, nous nous limitons à R+1. Quant aux espaces verts, votre leitmotiv, nous avons récupéré, mais cela passe inaperçu, une partie du bois de Thouars, le parc Pinault qui a été aménagé et Laffitte contre lequel vous avez poussé des hurlements. Que symbolisait-il? C était un ensemble de mètres carrés dont nous avons récupéré 60 % gratuitement. «Il n y a qu à acheter», lorsque ce n est pas votre argent, c est facile d acheter, nous pouvons tout acheter, mais ensuite, il faut le traduire en fiscalité. Nous avons récupéré deux tiers gratuitement, mais il a fallu que nous laissions se réaliser une résidence. C est la résidence qui a racheté le tout et qui nous a rétrocédé gratuitement cela. Nous avons hérité de Mme TRIAIRE et nous avons acheté (nous n'avons, peut être, pas tout payé encore) tout le terrain Condorcet dont nous allons faire un parc public. Je vous garantis que les mètres carrés publics entre les EBC et les EPP sont plus importants qu ils n étaient. Bien sûr, vous voyez parfois disparaître de grands espaces verts privés. Votre solution est simple : «La Ville n a qu à acheter». Nous ne pouvons pas tout acheter. L espace public vert a augmenté. En revanche, il existe peut-être aujourd hui moins d espaces verts privés. Encore une fois, nous ne pouvons pas tout acheter. Cela fait dix ans que vous répétez la même chose : «bétonnage, bétonnage, bétonnage»! Ce qui me surprend, c est que je passe souvent en prenant la rocade par Pessac, il y avait un parc arboré superbe de 3 ou 4 hectares (je ne sais pas comment s'appelle cette résidence). Aujourd hui, il n y a que des maisons. Je n ai pas entendu une seule critique dans la presse de vous-même. 4 hectares d arbres ont disparu, mais je n ai pas entendu une critique, il n y a que des maisons. Je ne fais pas de reproche au Maire de Pessac, il a la même nécessité de loger des habitants et il faut bien les mettre quelque part ou vous leur dites : «Allez voir ailleurs, à 40 kilomètres!» Il n y a pas que Pessac, nous pouvons multiplier les exemples. Vous nous avez reproché d avoir des opérateurs qui créent des résidences sur Bègles et Mérignac. Arrêtons à un moment donné la politique politicienne, il y a une volonté humaine sur ce point, il y a des habitants à acquérir, chacun doit en prendre sa part. Je vous ai cité une fois une parole, mais vous ne vous en souvenez peut-être pas, d une personne qui nous a quittés qui était une élue socialiste du Conseil Municipal. Un jour, cette brave dame, je crois que c était lors d un de ses derniers Conseil Municipal, face aux attaques de l opposition, s est levée et a dit : «Je voterai le projet et j ai rappelé à ceux qui le critiquaient que lorsqu ils sont arrivés, j étais là et que si j avais eu le même raisonnement que vous, vous ne vous seriez pas installés ici, car je n étais entourée que d arbres et vous êtes venus vous installer ici». C'était Mademoiselle TURLAN. 29

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