Présentation du Programme PHARE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Présentation du Programme PHARE"

Transcription

1 Présentation du Programme PHARE

2 Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Objectifs Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des établissements de santé après la masse salariale Les bonnes pratiques et les succès sont nombreux mais ils sont encore isolés et doivent être partagés entre tous les établissements Le plan de performance des achats hospitaliers s inscrit dans la continuité des initiatives déjà lancées depuis 2006, en particulier la mise en place de marchés groupés nationaux et régionaux, et dans la dynamique de transformation des achats de l Etat (17 Md, hors armement) et des opérateurs (10 Mds ). Le plan de performance des achats hospitaliers a identifié un potentiel de gain au plan national de 910 M sur la période autour de trois axes : le développement d une fonction achat au sein des établissements avec un responsable achats unique l animation d une politique régionale des achats par les ARS un appui et un pilotage national animé par la DGOS Le lancement a été rendu officiel à Lyon en septembre 2011 par Annie Podeur Transformer la fonction achat dans les établissements de santé Mettre en place un responsable achat qui anime et coordonne la politique achat de l établissement Mettre en place un plan d actions achat annuel Améliorer le dialogue entre prescripteurs et acheteurs Pour réaliser des gains économiques et de qualité de service à travers : La mutualisation Le juste besoin et bon usage La négociation Le raisonnement en coût complet L activation du marché fournisseurs Le meilleur suivi fournisseurs La standardisation "Notre défi, ce n'est pas de faire des économies, c'est de dégager de la marge pour le fonctionnement des établissements et pour un meilleur service à nos concitoyens«annie Podeur, 3/10/2011 Direction générale de l offre de soins - DGOS 1

3 L enjeu est d utiliser tous les leviers de l achat, sur toutes les catégories de dépenses 3 grandes catégories de leviers de gains Idées clés Performance typique des hôpitaux 1. Massifier les contrats : - Regroupements - Renégociation des contrats - Changement de la composition du portefeuille de fournisseurs Combien? Qui? 30% des gains Valeur non capturée habituellement La massification, principalement utilisée jusqu ici (groupements), ne représente au mieux que 30% des gains potentiels Ce potentiel de 30% n est pas encore capturé partout 2. Optimiser les produits et services achetés : - Standardisation - Solutions de substitution - Elimination de la surqualité dans les spécifications - Coût objectif - Gestion de la demande 3. Optimiser les processus d achat : - Simplification de l administration - Utilisation optimale du code des marchés - Réduction des coûts d interface - Démarche de progrès continu/ recherches d économies avec les fournisseurs - Optimisation de la gestion des stocks.. Quoi? Comment? 40% 30% Les leviers qui jouent sur l optimisation des produits et services achetés et sur l optimisation des processus d achat représentent 70% des gains potentiels Ils sont encore peu exploités Ils reposent en grande partie sur l approfondissement du dialogue prescripteurs - acheteurs Impact total % des gains Direction générale de l offre de soins - DGOS 2

4 Le responsable achat unique et le groupement de commandes sont au cœur de cette recherche d une plus grande performance achat 1. Conduit la consultation (étude de marché, stratégie d achat, DCE, négociation ) à partir des besoins de ses adhérents afin d obtenir les meilleures conditions économiques 2. Encourage les établissements à l utilisation des marchés 3. Encourage à une implication renforcée des prescripteurs au sein des établissements adhérents 4. Fournit si besoin une expertise achat et un appui méthodologique aux acheteurs 5. Diffuse de l innovation 6. Quantifie les gains obtenus Responsable achat unique en établissement GROUPEMENT DE COMMANDES 1. Anime un dialogue avec les prescripteurs sur toutes les catégories de dépenses pour définir le juste besoin / raisonner en coût complet / standardiser 2. Utilise le groupement de commandes pour bénéficier des meilleurs conditions économiques sur les achats mutualisables 3. Encourage à une implication renforcée des prescripteurs de son établissement dans le groupement 4. Accompagne l acheteur leader et le prescripteur leader localisés dans son établissement (si établissement coordonnateur) 5. Challenge la performance du groupement 6. Suit la bonne exécution des marchés et la mise en place de plans de progrès avec les fournisseurs Direction générale de l offre de soins - DGOS 3

5 L ARS joue le rôle d animateur et de facilitateur au niveau régional PARTENAIRE DES ETABLISSEMENTS 4 1 INTERFACE FONCTIONELLE Entre les entités compétentes et les établissements FACILITATRICE Dans la mise en œuvre de la stratégie 3 FORCE DE PROPOSITIONS Sur des outils adaptés 2 FEDERATRICE Entre les établissements et autour du projet Direction générale de l offre de soins - DGOS 4

6 Un objectif de gains de 910 millions sur 3 ans Bretagne 47 M Basse Normandie 25 M Haute Normandie Nord Pas De Calais 57 M Picardie 30 M 25M Ile de France 178 M Champagne Ardennes 21 M Lorraine 35 M Alsace 29 M millions millions millions Pays De La Loire 46 M Centre 36 M Bourgogne 27 M Franche Comté 18 M Une estimation des gains s appuyant sur : Poitou- Charentes 27 M Auvergne Limousin 20 M 15 M Aquitaine 42 M Midi-Pyrénées 38 M Languedoc- Roussillon 32 M Rhône-Alpes 86 M Provence-Alpes Cote d Azur 61 M Corse 4 M Les gains attendus par les groupements nationaux et régionaux L exemple de quelques établissements déjà engagés dans une «démarche achat»: HCL, HUS Direction générale de l offre de soins - DGOS 5

7 Les 5 axes opérationnels du programme PHARE Performance Achat Mobiliser l ensemble des leviers achat et susciter l adhésion Projet ARMEN Identification d actions de gains issues de bonnes pratiques Comité des marchés (stratégie couverture des marchés) Appui au développement des marchés groupés infra nationaux Appui aux établissements Convaincre de la mise en place d un RA unique et d un plan d actions achat annuel Programme PHARE Accompagnement des établissements pour l élaboration de leur premier PAA Développement et diffusion d outils dédiés (Kit ES) Appui aux ARS Développer la fonction d animation Achat en ARS et aider au déploiement des outils Développement d une offre de formation Comité des achats Développement et diffusion d outils dédiés (Kit ARS) Appui terrain Communication Diffuser les fondamentaux du programme et valoriser la fonction d acheteur Journée des acheteurs, journées de restitution ARMEN Site internet, plaquette, newsletter Pilotage Suivre l avancement du programme et décider d éventuelles actions correctrices Méthode de calcul des gains Dispositif de suivi (gains, déploiement) Direction générale de l offre de soins - DGOS

8 2013, année de déploiement et de progrès continu 1 er pilote en région et en établissement Fin 2011 Prouver le potentiel de gain en réussissant avec 1 région et 1 établissement Susciter d adhésion des acteurs Structuration du programme et 1 ère vague de déploiement Jan-Juin 2012 Structurer le programme et la trajectoire de déploiement Déployer la démarche dans au moins 10 régions et engager 20 à 30 établissements Maintenir l adhésion et démontrer des premières preuves d impact Structurer la fonction achat au niveau national afin de réussir l accompagnement dans le déploiement Accélérer les échanges de pratiques Accompagner les 150 premiers établissements dans la mise en œuvre de leur premier Plan d Action Achat Favoriser la création / consolidation de groupements de Industrialisation du programme Juin commande territoriaux Communiquer sur les résultats Il faut montrer que ça marche et créer l adhésion Il faut déployer et maintenir l adhésion Il faut industrialiser la démarche et concrétiser les gains SOURCE : Equipe projet Direction générale de l offre de soins - DGOS 7

9 Le succès de la vague 1 ARMEN (22 mars-25 juin) confirme le potentiel de gains sur tous les leviers et la forte adhésion des établissements aux enjeux ARMEN, c est l identification par des acheteurs et des prescripteurs de bonnes pratiques achat quantifiées à l issue de trois mois de travaux de groupe. Un appui méthodologique est apporté par l équipe PHARE tout au long du processus Planification Cartographie des dépenses, Recueil des bonnes pratiques Identification des opportunités Quantification Hiérarchisation Recommandations Objectif: 15% de gains par segment sur 3 ans Une forte adhésion des professionnels avec près de 100 participants aux travaux et plus de 250 personnes présentes à la restitution du 25 juin 2012 à l HEGP Résultat: Identification de 77 opportunités représentant un potentiel de gains de plus de 1,2 Mds répartis sur tous les leviers de l achat Poids des différents leviers en M Mutualisation 520M 294 M Analyse du juste besoin 329M 204M Optimisation techniques d'achat Professionalisatio n de l'achat Direction générale de l offre de soins - DGOS 8

10 Plus de 80 bonnes pratiques achat ont été quantifiées et hiérarchisées au cours de cette première vague Analyse du juste besoin Au CH de Saint Denis, la limitation du nombre d éléments couverts sur un contrat tous risques a généré un gain de 26% Bonnes pratiques A Saint Denis, la couverture de la salle de radiologie sans capteur plan est 26 % moins cher que le contrat incluant le capteur. Mutualisation Dialogue prescripteurs-acheteurs Au CLCC LEON BERARD A LYON, la meilleure définition des besoins a généré un gain de 39% sur l achat de casaques chirurgicales stériles Marché réussi de casaques chirurgicales stériles par une définition conjointe des besoins, la conduite du changement par les pharmaciens et une stratégie d achat permettant l ouverture à de nouveaux produits. Changement des politiques de consommation : Conditions de mise en œuvre Résultats L hôpital doit prendre le faible risque de payer un capteur plan neuf de (vs. une économie de sur 10 ans). 10 ans = Durée de vie moyenne dans des conditions normales d utilisation Réduction du prix du contrat de l ordre de 26% SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 20 Optimisation des techniques d achat Bonne pratique massification/standardisation, Région Rhône Alpes Lors du renouvellement du marché régional, la massification des achats et la standardisation des produits du Groupement génèrent 141 k de gain sur 2012 Groupement d établissements Augmentation de la valeur du marché (+30%) Rationalisation de l allotissement (-52%) Standardisation des modèles de vêtements (-60%) Etablissements seuls Faible valeur de marché Multitude de lots et références -11.2% 3 ans Conditions de mises en œuvre: Durée de marché ferme: 2 à 3 ans Intégration de minima de marché par lot et par établissement 55 établissements Direction générale de l offre de soins - DGOS 6 Modification des produits utilisés : Utilisation de casaques à usage unique avec abandon du linge traditionnel, répondant aux spécificités techniques des chirurgiens pour un coût unitaire inférieur. Ajustement au besoin : Revue de la segmentation d utilisation pour éviter la surqualité lorsque le recours aux produits standards répond au besoin (différentiation établie de l utilisation de casaque de chirurgiens de celle des aide opérateurs) RESULTATS QUANTITATIFS : GAINS SUR ACHAT DE 39% Achat d un produit à un coût unitaire inférieur Priorisation de l utilisation des articles de qualité aux opérateurs Massification permise par la hausse du recours aux produits standards (réduction de nombre de fournisseurs pour les produits spécifiques) RESULTATS QUALITATIFS Introduction de matières innovantes et conformes à la norme Amélioration de la praticité d utilisation Direction générale de l offre de soins - DGOS Professionnalisation du rôle de l acheteur 16 PHARE ARMEN Equipe dépenses immobilières La pratique de la négociation a permis au CHU de Grenoble de réaliser un gain moyen de 6 % Contexte Lors de la restructuration d'une aile d'hospitalisation de 38 lits et 1500m² de l Hôpital Albert MICHALLON le CHU de Grenoble a opté pour une procédure de Marché négocié Méthode La négociation était prévue au Règlement de consultation. Analyse technique des offres initiales, préparation d un cadre de négociation et rencontre d 1H00 par entreprise. Point financier exposé après discussion technique. Nouvelles offres dans les 5 jours, et analyses complémentaires en 3 jours. gains achats Gains de 4,5 à 10 % en fonction des entreprises VC DATEPT DA - HCL Direction générale de l offre de soins - DGOS 10 Ingénierie Achats Organisation et implication MOA BONNE PRATIQUE n 2 Instaurer une démarche prévention sur les risques statutaires a permis au CH Le Vésinet de réaliser 30% de gains sur l assurance risques statutaires Prévention du risque = amélioration de la sinistralité à court, moyen et long terme Description de la bonne pratique Du côté du client: Document unique (indicateur de risque à priori) + Plan d action de réduction des risques au travail (indicateur qualité) + Analyse des causes AT (indicateur de risque à postériori) interface avec la sinistralité Du côté de l assureur: Sinistralité des 3 dernières années (résultat) + Certification HAS (évaluations externes) + Statistiques Institut National de Recherche en Sécurité ( INRS). Juste besoin Résultats en coûts complets Gains indirects : au niveau de la sinistralité: Journées d arrêt «TMS» en 3 ans: jours soit -82 % = 2 ETP d ASH ( ) AES à risques ( ) = de 90%, AES à risques ( ) = 0 Hôpital propre assureur sur indemnités journalières = à / an en option. Gains directs: au niveau des cotisations d assurance: : 0,15 % masse salariale / an : 0,11 % masse salariale / an Gains = 30% = 5128 Direction générale de l offre de soins - DGOS Direction générale de l offre de soins - DGOS 13

11 La fonction achats au sein des établissements Professionnaliser les acheteurs dans les établissements Elaborer une stratégie globale des achats Coordonner la définition des besoins avec les utilisateurs (prescripteurs) Négocier et assurer le suivi des contrats Mettre en place une politique de bon usage Utiliser les outils d amélioration de la performance achat (groupements, base de données, etc.) Evaluer les gains Direction générale de l offre de soins - DGOS 10

12 Comment construire un plan d actions achats? Où en sommes-nous aujourd hui? Quels sont les leviers d action à mettre en œuvre? Comment le fait-on en pratique? Réaliser l état des lieux de la fonction achats Cartograph ier les dépenses et les échéances clés Identifier les segments importants Organiser un «remue méninges» avec les prescripteurs sur les pistes d amélioration Chiffrer le potentiel des pistes d améliorati on Positionner les projets en termes d enjeux et d efforts Appui continu de la Direction à la démarche, aux porteurs du projet et aux prescripteurs impliqués Décider des projets à lancer et du calendrier Réaliser l autodiagnostic de l établissement en matière d achats afin d identifier les principales dimensions à renforcer en priorité Cartographier les dépenses achats, les acteurs et échéances clés pour préparer la mise en place du plan d actions achats Concentrer les efforts sur les dimensions identifiées comme étant les moins fortes dans la phase d état des lieux Rencontrer les prescripteurs (cliniciens, cadres de santé, autres) pour recueillir leur vision des achats et leurs suggestions de points d amélioration Identifier les actions à mettre en œuvre et évaluer leur potentiel de gains pour les intégrer au plan d actions achats Prioriser les pistes identifiées selon une matrice croisant le potentiel d impact et les efforts nécessaires Positionner les pistes d amélioration sur le calendrier de l année à venir et désigner les responsables 2 semaines 1/2 semaine 5 semaines 2 semaines 2 semaines 2 semaines SOURCE : Equipe projet Direction générale de l offre de soins - DGOS 11

13 Orientations nationales sur le niveau de mutualisation des achats hospitaliers Définition Segments prioritaires CAT 1 : Achats à regrouper nationalement Des «gains rapides» via l adhésion à des marchés d envergure nationale existants : Pas de réelle difficulté d harmonisation des besoins (besoin facilement «standardisable») Offre structurée par quelques grands fournisseurs Des marchés d envergure nationale a priori performants portés par trois grands opérateurs 1. Papier 2. Matériel informatique (PC, écrans, portables) 3. Contrôle technique bâtiments 4. Solutions d impression 5. Véhicules 6. Téléphonie mobile 6 segments d achats sur lesquels des gains peuvent être capturés dès 2012 par les établissements via l adhésion aux marchés nationaux performants existants (voir p. suivante, selon les cas, UGAP, UniHA, Résah, UniCancer) CAT 2 : achats à regrouper à un niveau infranational Des gains via le regroupement des besoins à un niveau intermédiaire (par type d acteurs ou proximité géographique, ) : Enjeu fort de conduite du changement pour parvenir à harmoniser les besoins Selon les segments, offre structurée par quelques grands fournisseurs ou plus éclatée 1. Médicaments, 2. Dispositifs médicaux, 3. Produits d'incontinence 4. Linge (habillement) 5. Alimentaire 6. Fournitures de bureau 7. Consommables informatiques 8. Produits d'entretien 9. Déchets Enjeu : augmenter l accès des établissements à des groupements régionaux ou infra-nationaux sur ces segments Des actions plutôt (moins rapides à mettre en œuvre) CAT 3 : achats locaux Segments très spécifiques qui doivent rester à la main des établissements 1. Travaux de construction, 2. Maintenance d'équipement 3. achats ponctuels 4. Direction générale de l offre de soins - DGOS

14 Orientations nationales sur le niveau de mutualisation des achats hospitaliers Opérateur préconisé selon le type d établissement Type d achat Adhérents UniHA (54 CHU/CH) Etablissements IdF hors APHP Autres établissements CLCC CAT 1 : Achats à regrouper nationalement Papier Matériel informatique (PC, écrans, portables) Contrôle technique bâtiments Solutions d impression Véhicules Téléphonie mobile UNIHA UGAP Resah IdF UGAP UGAP Unicancer Achats CAT 2 : achats à regrouper à un niveau infra-national Médicaments Dispositifs médicaux, Produits d'incontinence Linge Habillement Alimentaire Fournitures de bureau Consommables informatiques Produits d'entretien Déchets UNIHA Resah IdF Groupement d établissements (inter-régional, régional, départemental ) à créer ou à étendre Unicancer Achats CAT 3 : achats locaux Travaux de construction, Maintenance d'équipement achats ponctuels Etablissement Etablissement Etablissement Unicancer Achats Rôle des ARS: Accompagner l adhésion de tous les établissements aux opérateurs indiqués et favoriser le développement et l émergence de groupements régionaux. Direction générale de l offre de soins - DGOS

15 Le programme PHARE : unis pour progresser ensemble Jamais la fonction achat n a bénéficié d un aussi haut niveau de visibilité et de reconnaissance mais aussi d attente. - Unissons nos forces pour progresser plus vite - Portons une ambition forte - Agissons comme des acteurs du changement Direction générale de l offre de soins - DGOS 14

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Objectifs Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses

Plus en détail

Le pilotage de la performance achat en établissement Intervention Région XXX

Le pilotage de la performance achat en établissement Intervention Région XXX Le pilotage de la performance achat en établissement Intervention Région XXX Janvier 2013 V 1.9 Direction Générale de l offre de soins - DGOS Objectifs de l intervention Partager les principaux concepts

Plus en détail

Renforcer la fonction achats en établissement de santé

Renforcer la fonction achats en établissement de santé Nouvelle version Renforcer la fonction achats en établissement de santé Kit de déploiement V2 Préambule au kit établissement V2 La présente version du kit de déploiement intègre les retours d expérience

Plus en détail

ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012

ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012 ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012 L assurance, une perte de repères pour l acheteur hospitalier? Des contrats en petits caractères. Le Code des Assurances prévaut sur le Code des Marchés publics.

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Formation à la méthodologie de calcul des gains

Formation à la méthodologie de calcul des gains Formation à la méthodologie de calcul des gains Novembre 2014 Déroulement de la présentation Eléments de contexte: Programme PHARE Les gains achat: de quoi parle-t-on? Pourquoi? Comment calculer un gain

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet 25 juin 2012

ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet 25 juin 2012 ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet 25 juin 2012 Pourquoi, s intéresser au sujet des véhicules? 1. Un poste de dépenses annuelles de 700 M 2. Des véhicules trop nombreux, mal entretenus, vieillissants,

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES

ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES L assurance, une perte de repères pour l acheteur hospitalier? Des contrats en petits caractères. Le Code des Assurances prévaut sur le Code des Marchés publics. L achat

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L

Plus en détail

Résultats de l'appel à projets CréaMOOCs

Résultats de l'appel à projets CréaMOOCs Résultats de l'appel à projets CréaMOOCs www.enseignementsup-recherche.gouv.fr @sup_recherche / #1anFUN APPEL A PROJETS CREAMOOCS : DES RESULTATS QUI TEMOIGNENT D UNE FORTE IMPLICATION DES REGROUPEMENTS

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,

Plus en détail

La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé

La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement

Plus en détail

Projet ARMEN vague 2 Segment Nettoyage 20 février 2013

Projet ARMEN vague 2 Segment Nettoyage 20 février 2013 Projet ARMEN vague 2 Segment Nettoyage 20 février 2013 Une équipe diversifiée Parrain Leader Membres Prénom Nom Etablissement Fonction Samia LEVY Fabienne LEMMENS Claudine ANDRIEUX- Centre Hospitalier

Plus en détail

TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE

TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires

Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII

Plus en détail

ARMEN vague 3 PC en coût complet Livrable court

ARMEN vague 3 PC en coût complet Livrable court ARMEN vague 3 PC en coût complet Livrable court Présentation de l équipe LEADER Julien COMBIER - Hospices Civils de LYON Acheteur informatique, Direction des Achats MARRAINE Martine AUTRAN CH Gonesse Directrice

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance

Plus en détail

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

Améliorer l efficacité de votre fonction RH

Améliorer l efficacité de votre fonction RH Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35

Plus en détail

Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long

Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long Introduction Sommaire 1) Introduction : périmètre de la réflexion et cartographie 2) Les bonnes pratiques d achat et opportunités du segment 3) Les gains

Plus en détail

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com

Plus en détail

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

Portail d informations et de données de marchés publics ou la commande publique augmentée

Portail d informations et de données de marchés publics ou la commande publique augmentée Portail d informations et de données de marchés publics ou la commande publique augmentée Association Loi 1901 créée à l initiative de Pascale Lang-Mouginot et Céline Faivre http://breizhsmallbusinessact.fr/-

Plus en détail

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)

Plus en détail

Présentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape )

Présentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape ) Altaïr Conseil QUALITE - ORGANISATION - CHANGEMENT Présentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape ) Altaïr Conseil - 2007-33, Rue Vivienne 75 002 Paris - 01 47 33 03 12 Présentation

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014 Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

FICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.

FICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document. FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

Les achats de l État et de ses établissements publics Objectifs et organisation

Les achats de l État et de ses établissements publics Objectifs et organisation septembre 2013 Les achats de l État et de ses établissements publics Objectifs et organisation Guide de la modernisation de l achat La circulaire du Premier ministre en date du 31 juillet 2013 attire l

Plus en détail

Plan marketing 2010-2014. Doubs tourisme (Cdt)

Plan marketing 2010-2014. Doubs tourisme (Cdt) Plan marketing 2010-2014 Doubs tourisme (Cdt) Pourquoi un plan marketing? Le schéma départemental de développement touristique Ce schéma (SDDT) définit cinq grands axes pour le développement touristique

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse

Plus en détail

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris

Plus en détail

Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies

Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Application Services France the way we do it Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Chaque direction informatique

Plus en détail

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998 Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,

Plus en détail

Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de

Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre

Plus en détail

Achats Industriels Efficacité et Sécurité

Achats Industriels Efficacité et Sécurité Achats Industriels Efficacité et Sécurité Mes domaines d intervention Achat de maintenance Achat investissement Achat de sous-traitance Mon expertise en achats industriels Elaboration de cahiers des charges

Plus en détail

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue

Plus en détail

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,

Plus en détail

L épargne de tous au service de l intérêt général

L épargne de tous au service de l intérêt général L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur

Plus en détail

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,

Plus en détail

Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé

Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,

Plus en détail

ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3

ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3 ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme

Plus en détail

Emplois. Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois!

Emplois. Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois! Gamme Insertion Emplois Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois! Gamme Insertion Emplois, Des actifs monétaires aux marchés actions, la gamme des FCP Insertion Emplois de Mirova* vise à concilier

Plus en détail

ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet Livrable long

ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet Livrable long ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet Livrable long Pourquoi, s intéresser au sujet des véhicules? 1. Un poste de dépenses annuelles de 104 M 2. Des véhicules nombreux, mal entretenus, vieillissants,

Plus en détail

Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions

Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions 18/08/2013 Rodolphe LEDIEU 0 Sommaire Introduction 1. Du DFSGM au DFASM : du Régime de Sécurité Sociale Etudiante au Régime Général

Plus en détail

L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME

L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME Conditions de l enquête Du fait des difficultés économiques actuelles, la restriction de l accès au crédit pour les PME devient une préoccupation majeure.

Plus en détail

AwoO en 2013. Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013

AwoO en 2013. Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013 AwoO en 2013 Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013 Un partenariat fort Entre les acteurs Par la Mutualisation Pour un but commun : développer l activité Un outil qui fonctionne Témoignages

Plus en détail

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales. Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i

Plus en détail

10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES. Customer Success Stories 2015

10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES. Customer Success Stories 2015 10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES Customer Success Stories 2015 10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES Ces exemples d applications et de développements sur mesure

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI

Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI Colloque gouvernance sécurité des systèmes d information Marseille

Plus en détail

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446

Plus en détail