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1 IAA TÉMOINS : MOINS DE GASPILLAGE ALIMENTAIRE POUR PLUS DE P RFORMANCE Note méthodologique En partenariat avec : IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 1

2 CITATION DE CE RAPPORT ADEME, Pierrre Galio, ICARE & consult, Phénix, Artésial, 2019/02. IAA Témoins moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance - Note méthodologique -7 pages Cet ouvrage est disponible en ligne Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite selon le Code de la propriété intellectuelle (art. L 122-4) et constitue une contrefaçon réprimée par le Code pénal. Seules sont autorisées (art ) les copies ou reproductions strictement réservées à l usage privé de copiste et non destinées à une utilisation collective, ainsi que les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, pédagogique ou d information de l œuvre à laquelle elles sont incorporées, sous réserve, toutefois, du respect des dispositions des articles L à L du même Code, relatives à la reproduction par reprographie. Ce document est diffusé par l ADEME 20, avenue du Grésillé BP Angers Cedex 01 Numéro de contrat : 16MAR Étude réalisée pour le compte de l'ademe par : ICARE & Consult Coordination technique - ADEME : Pierre Galio Direction Economie Circulaire et Déchets/Service Consommation et Prévention IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 2

3 IAA TÉMOINS : MOINS DE GASPILLAGE ALIMENTAIRE POUR PLUS DE P RFORMANCE La réparation, en permettant de remettre en fonction un bien, contribue au prolongement de la durée de vie des produits et participe ainsi à la réduction des consommations de ressources et de la production des déchets, dans le cadre d une économie circulaire. Les activités de réparation interviennent au niveau de Introduction L objectif de l opération IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de p rformance est de démontrer que les industries agroalimentaires peuvent réduire leurs pertes alimentaires tout en faisant des économies financières. Pour cela l étude menée par ICARE & consult, Phénix et Artésial s est appuyée sur les résultats d expérimentations menées sur 19 sites témoins 1. L opération s est déroulée en quatre phases : le recrutement des sites témoins, le travail avec les sites sélectionnés, la capitalisation et la valorisation des résultats de l opération sur une durée de 9 mois en Un schéma résume les différents temps de l opération ci-dessous : La phase de recrutement Dans un premier temps, un appel à candidatures ainsi que des documents de communication ont été réalisés. Une plateforme internet a été mise en place ( afin de fournir différentes informations et recueillir les candidatures. Ce site comportait les éléments suivants : - Un formulaire de candidature et une lettre d engagement - Une présentation de l opération - Une présentation des intervenants - Une FAQ - Un formulaire de contact Une présentation synthétique de deux pages ainsi qu un support PPT de huit diapositives ont été réalisés afin d alimenter les communications de l ADEME. Une diffusion large pendant 1 mois via internet et les réseaux professionnels ont permis de recueillir les candidatures sites témoins ont été sélectionnés initialement, 19 ont fait l objet d un diagnostic et d un suivi de la mise en œuvre du plan d action. Le site de Jean Stalaven a fermé à la fin de l opération. IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 3

4 Un formulaire comportant les critères ci-dessous ainsi qu une lettre d engagement étaient requis afin de pouvoir candidater à l opération : Type de structure (coopérative / entreprise) Grandes régions Taille (effectif) Type de logistique (internalisée / externalisée) Type de transformation (1 ère / 2 nde ) Secteur (viande, produits laitiers, etc.) Type de production (frais, surgelé, conserve, etc.) Saisonnalité de la production (oui/non) Signes de qualité des productions (Bio, AOP, etc.) Réputation et caractère «parlant» pour le grand public (Taux de pertes) 19 sites ont été sélectionnés, représentatifs des différents critères de logistique, transformation, production, labels, saisonnalité, etc. A noter néanmoins l absence de certaines régions (Normandie, Ile-de-France) et une sousreprésentation des coopératives. Le diagnostic initial sur site Un diagnostic initial a été réalisé sur chacun des sites, dont les objectifs étaient les suivants : - Evaluer le poids des pertes et du gaspillage alimentaire (tonnes/an) - Calculer le coût complet de ces pertes et gaspillages, c est-à-dire la somme des coûts matières, énergétiques, humains et de gestion des déchets - Calculer les impacts environnementaux de ces pertes et gaspillages - Appréhender les causes de ces pertes et gaspillages et les initiatives existantes afin de proposer des actions pertinentes et efficaces Figure 1 : Déroulement du diagnostic avec les sites témoins IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 4

5 Des choix méthodologiques notables pour le déroulement des diagnostics Le choix méthodologique a été fait de se focaliser uniquement sur une ou deux lignes de production afin d être plus précis dans l identification des sources de pertes et gaspillages, et pour faciliter ensuite l élaboration du plan d actions. Ce choix, qui permet un chiffrage exhaustif des sources de pertes et un calcul des coûts complet apporte ainsi une réelle valeur ajoutée aux sites témoins. Par ailleurs, la délimitation du périmètre à une ou deux lignes de production permet également de concentrer les efforts du site témoin lors du choix des actions, et de maximiser ainsi les chances de réussites de l opération. Le choix a également été fait de privilégier l exhaustivité à la précision lors du chiffrage des pertes et gaspillages alimentaires. Ce choix, motivé par l existence de nombreuses données, implique la mobilisation de données existantes et la réalisation d estimations pour les données manquantes éventuelles. La réalisation de mesures supplémentaires aurait été particulièrement chronophage pour l ensemble des sites, sans pour autant apporter une réelle valeur ajoutée aux analyses. L élaboration du plan d actions Sur chacun des sites témoins, des échanges avec les équipes ont permis d identifier des actions à mettre en œuvre pour agir sur les sources de pertes et de gaspillages alimentaires déterminées lors du diagnostic. Des actions spécifiques ont été proposées pour les sources de pertes principales uniquement, et non pour l ensemble des sources de pertes, car il est apparu plus pertinent d établir un plan d actions restreint (entre 3 et 10 actions) pour en faciliter la mise en œuvre par les sites témoins. Les actions ont été le plus souvent proposées par les sites eux-mêmes et non imposées en privilégiant les actions à faible coûts d investissement. Ce système permet une meilleure appropriation et un taux de succès plus important. En effet, les sites sont plus à même de mener à bien une action si cette dernière a été identifiée et dimensionnée en collaboration avec l ensemble des parties prenantes (faisabilité, timing, coûts ). Deux grands types d actions ont été identifiés au sein des plans d actions : - Les actions de réduction des pertes et gaspillages alimentaires, - Les actions d amélioration de la valorisation des pertes et gaspillages alimentaires. La démarche a été dans un premier temps de recenser et de caractériser les pistes d actions pré-identifiées lors des visites sur sites, et d approfondir ces pistes avec les sites témoins afin d identifier les plus pertinentes au regard des gains potentiels et de leurs faisabilités. Dans un second temps, la compilation et la mise en forme des propositions ont permis d élaborer une première version du plan d actions, qui a pu être présentée aux différents sites témoins. Le plan d actions a évolué au cours de l opération (9 mois) : certaines actions ont évolué après avoir été confrontées à la réalité du terrain, de nouvelles actions potentielles ont émergé et certaines ont été abandonnées car non réalisables dans les temps impartis de l étude ou rencontrant des difficultés techniques majeures (investissement trop important par exemple). Des plans d actions ont émergé 10 types d actions : - Optimisation des process de fabrication - Recherche de nouvelles voies de valorisation - Investissement matériel - Travaux de maintenance - Optimisation des prélèvements et exigences qualité - Remise en cause des exigences clients - Approfondissements du diagnostic (causes, quantification ) - Sensibilisation et formation du personnel - Suivi et pilotage des pertes alimentaires - Optimisation de l ordonnancement IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 5

6 Le suivi et le pilotage de la mise en œuvre du plan d action Le suivi et le pilotage de la mise en œuvre du plan d actions a permis de s assurer du bon déroulement de la mise en place des actions dans les sites témoins et si besoin de les réorienter. De plus, ce suivi a permis de collecter régulièrement les résultats. Un tableau de bord a été élaboré suite à la définition du plan d actions et des indicateurs de suivi avec chacun des sites témoins. Cet outil a permis à chaque site de rendre compte régulièrement de l avancement des actions composant son plan personnalisé. De même, il permettait à chaque pilote de saisir dans l outil les résultats obtenus et d effectuer un suivi régulier indépendamment des échanges téléphoniques avec le groupement. Les échanges téléphoniques réguliers (1 à 2 fois par mois) ont permis de maintenir le contact avec chacun des sites, de s assurer de l avancement de la mise en œuvre des actions, voire de réorienter les plans d action de certains sites. Un premier bilan a été dressé avec chacun des sites sur la réduction des pertes et gaspillages alimentaires au bout de 3 mois de mise en place du plan d actions : analyse des tonnages uniquement, non quantification des gains économiques à ce stade. Enfin un bilan final complet incluant les volumes, les coûts complets et les impacts GES au bout de 9 mois a été réalisé et restitué sur site avec l ensemble des parties prenantes internes mobilisées. Date de mise à jour Dernier auteur 08-oct-18 Hugo Détail des actions sélectionnées Actions Précisions Source(s) de pertes concernée(s) Masse totale concernée Réduction estimée Gain éco. estimé Avantages non chiffrés Coût des invest. à réaliser Inconvénients non chiffrés Temps de retour sur invest. Tonnes % Tonnes Euros Invest. à réaliser Euros Années 1 Installer un «vibreur» au niveau Acheter le vibreur du carrousel de l ensacheuse pour Le mettre en place faciliter la descente du produit 0% 0 0 -Réduction du risque de sous-dosage -Coût d'un vibreur Temps d installation du vibreur -Poussières de farines ensacheuse 6,5 1bis Téflonner les bouches de l'ensacheuse pour faciliter la descente du produit Tester Mettre en place 0% 0 0 -Réduction du risque de sous-dosage - Coût du téflonnage des bouches de l'ensacheuse Suivre les sacs perdus sous le carrousel de l ensacheuse Mettre en place le suivi des sacs Discuter de ces pertes lors de points (quantités, causes) et mener un journaliers groupe de travail de résolution de Changer le matériel pour éviter problème pour en réduire le l'encrassement des pompes à vide nombre - Problèmes ensacheuse (ex : sacs collés) 12,5 42% 5, Petits matériel Temps de formation pour le personnel -Temps pour suivre Figure 2 : Illustration d'un tableau de bord de suivi du plan d'actions d'un site témoins (1/2) IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 6

7 Plan d'action Suivi Qui? Personne en charge Quand? Echéance Etat d'avancement Commentaires Précisions sur l'état d'avancement, difficultés rencontrées, ajustements, etc. Résultats obtenus Indicateurs de résultats associés Tanguy 27-févr % - Vibreur acheté - Vibreur installé sur une bouche le 26/10 - Malheureusement, les résultats ne sont pas au RDV - Test effectué avec augmentation de l'intensité de vibration..non concluant. Beaucoup de nuisances pour les opérateurs. - Possible impacts à long terme sur les machine > la vibration n'est donc pas la solution voir action 1bis Aucun, action binaire Tanguy 30-sept-18 75% - Solution téflon intéressante - Prestataire trouvé et transmission par I Care d'un contact Prise de contact : ok Devis : reçu et validé = le transport Potentiel de réduction de 100% des pertes Aucun, action binaire Tanguy 30-avr % - Suivi des sacs en place : à poursuivre et remplir le suivi des résultats (ajouter le nombre de sacs total produit pour % de sac perdus) - Nouveau matériel acheté et installé pour faciliter l'ouverture des sacs -Nouvel opérateur en intérim positionné sur le sujet depuis 2/3 semaines. Possibilité de création d'emploi. Pour le moment pas de consignes spécifiques sur l'opération gaspi. Maintenant que l'opérateur est familier avec les procèss début du passage des consignes anti-gaspi. - Nouvel opérateur en cours de formation : prometteur(arrivé début juin) A première vue, c'est mieux qu'avant pour l'opérateur formé, à chiffrer Quantités perdues sous le carrousel La consigne qui est très bien apliquée maintenant : tout ce qui peut-être mis en alimentation animale l'est! Et non au DIB! (depuis l'installation du transitube en mai) Figure 3 : Illustration d'un tableau de bord de suivi du plan d'actions d'un site témoins (2/2) Bilan sur la méthodologie mise en oeuvre Au final, les entreprises ont globalement trouvé dans cette opération un accompagnement en adéquation avec leurs attentes. Le diagnostic et le suivi sur 9 mois ont été très appréciés et ont permis de mettre un coup d accélérateur pour plusieurs sites ou d engager une véritable démarche et prise de conscience sur d autres. L opération a également permis de faire remonter l enjeu du gaspillage alimentaire comme un enjeu majeur pour les sites au niveau des directions opérationnelles ainsi qu à l échelle nationale. La démarche a été globalement bien appropriée par les sites malgré quelques sites (pourtant séduits par les objectifs de l opération) compliqués à mobiliser sur le long terme. Ceci pouvant s expliquer par des changements de pilotes ou des augmentations fortes de l activité dans le cadre de production saisonnière et donc un passage au second plan de l opération IAA témoins Dans l ensemble, les objectifs de chacun des sites témoins étaient trop ambitieux et n ont pas été atteint (sauf pour deux sites). Enfin, il est important de noter que la périodicité de l opération est certainement trop courte. Ceci est particulièrement le cas pour les sites utilisant des matières premières «saisonnières» (fruits, légumes, élevage) puisque selon les dates de débuts et de fin de suivi la mise en œuvre et surtout les résultats des actions déterminés par les sites témoins peuvent souffrir de blocage inhérent à l activité de l entreprise. IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 7

8 L ADEME EN BREF L Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie (ADEME) participe à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de l environnement, de l énergie et du développement durable. Elle met ses capacités d expertise et de conseil à disposition des entreprises, des collectivités locales, des pouvoirs publics et du grand public, afin de leur permettre de progresser dans leur démarche environnementale. L Agence aide en outre au financement de projets, de la recherche à la mise en œuvre et ce, dans les domaines suivants : la gestion des déchets, la préservation des sols, l efficacité énergétique et les énergies renouvelables, les économies de matières premières, la qualité de l air, la lutte contre le bruit, la transition vers l économie circulaire et la lutte contre le gaspillage alimentaire. L ADEME est un établissement public sous la tutelle conjointe du ministère de la Transition Ecologique et Solidaire et du ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l Innovation. IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 8

9 IAA TÉMOINS : MOINS DE GASPILLAGE ALIMENTAIRE POUR PLUS DE P RFORMANCE Cette note méthodologique précise les conditions de réalisation de l étude réalisée en 2018 visant à évaluer et réduire les pertes alimentaires dans les industries agro-alimentaires. IAA témoins : moins de gaspillage alimentaire pour plus de performance PAGE 9

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