LA POLITIQUE DU TOURISME
|
|
- Claudine Bourgeois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 15 juin 2012 LA POLITIQUE DU TOURISME Le cap du milliard de touristes internationaux devrait être franchi en La France, première destination touristique dans le monde, dispose d atouts certains : une position géographique centrale en Europe, une diversité de paysages, un patrimoine culturel et historique très riche et un bon réseau de transports. Cependant, dans un contexte de concurrence mondiale accrue, notre pays ne doit pas se contenter de gérer ses acquis. Le tourisme, qui contribue fortement au produit intérieur brut et génère des centaines de milliers d emplois, mériterait une véritable politique de soutien national. La loi du 22 juillet 2009 de développement et de modernisation des services touristiques a créé l opérateur unique Atout France afin de mieux promouvoir le tourisme français. C est une étape mais qui ne suffira pas à pallier toutes les faiblesses du tourisme français qui pourraient coûter à notre pays un déclassement, une évolution qui serait d autant plus regrettable que la crise a relativement bien épargné le secteur du tourisme. Le principal objectif de la politique du tourisme doit être de transformer la France, actuellement destination de passage, en destination de séjour. I-LE TOURISME : UN SECTEUR CLÉ DE L ÉCONOMIE 1-Les touristes internationaux - 76,8 millions d entrées de touristes internationaux en France en 2010 (1 er rang mondial) - 8,4% d un total de 880,5 millions de touristes internationaux en Les recettes du tourisme international - 35,1 milliards de dollars de recettes tirées du tourisme international en 2010 (3 ème rang mondial derrière les Etats-Unis et l Espagne) dollars de recette moyenne par arrivée de touriste international - 6,1 milliards d euros de solde excédentaire pour le poste des services touristiques de la balance des paiements en 2010 Christine Martin Sénat 15, rue de Vaugirard Paris Cedex 06 Tél : Fax : C.Martin@rdse.senat.fr
2 2 3-Le poids économique du tourisme en France - 7,1% du PIB pour la part dans la richesse nationale en ,7 milliards d euros de production de l activité touristique en 2009 (2,7% de la production totale française) emplois salariés et emplois non salariés dans le secteur du tourisme au 1 er janvier Source : Chiffres de la Direction générale de la compétitivité de l industrie et des services (DGCIS) II - LE PILOTAGE PUBLIC DE LA POLITIQUE DU TOURISME 1-Le tourisme, sous-direction de la direction générale de la compétitivité de l industrie et des services (DGCIS) Dans le cadre de la révision générale des politiques publiques, trois directions ont été regroupées au sein d une direction générale unique. La direction générale de la compétitivité de l industrie et des services (DGCIS) concentre désormais la direction générale des entreprises (DGE), la direction du tourisme (DT) et la direction du commerce, de l artisanat, des services et des professions libérales (DCASPL). La DGCIS est sous la tutelle du ministère de l économie, des finances et de l industrie, le tourisme relevant du ministre délégué à l artisanat, au commerce et au tourisme, Sylvia PINEL (PRG) aujourd hui. 2-Un opérateur unique, Atout France Atout France est l opérateur unique de l Etat en matière de tourisme. Issue de la loi du 22 juillet 2009 de développement et de modernisation des services touristiques, cette agence poursuit le triple objectif de promotion du tourisme en France, de réalisation d opérations d ingénierie touristique, et de mise en œuvre d une politique de compétitivité et de qualité des entreprises du secteur. Atout France est constitué en groupement d intérêt économique (GIE) administré par un conseil d administration actuellement présidé par Renaud DONNEDIEU DE VABRES sur nomination du ministre chargé du tourisme, le ministre présidant l agence. 36 bureaux d Atout France sont répartis dans 32 pays, les plus importants en termes budgétaires se situant aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Allemagne. Le tourisme bénéficie d un financement mixte public-privé, à travers le budget d Atout France. Dans cette perspective, Atout France dispose de dotations publiques (34,7 millions en 2011) et des ressources partenariales public-privé (36,1 millions en 2011). L agence dispose également des cotisations des adhérents, soit 2,2 millions en A cette date, Atout France comptait 1100 adhérents, les plus gros partenaires privés étant Air France et la SNCF. Mais les comités régionaux figurent parmi les premiers plus gros
3 3 contributeurs de l agence, le comité martiniquais du tourisme et le CRT Midi-Pyrénées figurant en tête. Si la clientèle touristique en France est européenne pour 85%, la répartition des moyens des bureaux d Atout France mériterait d être cependant réajustée au regard des nouveaux viviers de clientèle. Les taux de départ sont saturés dans les pays anciennement développés. De nouvelles réserves de touristes sont à capter dans les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) par exemple. Or, le classement des bureaux d Atout France à l étranger par ordre d importance de leur budget ne prend pas en compte cette évolution. La Chine est au 12 ème rang budgétaire, la Russie au 13 ème rang, le Brésil au 16 ème rang, l Inde au 17 ème rang et l Afrique du Sud au 24 ème rang. Source : Atout France 3-L agence nationale du chèque-vacances, un second relai de l action de l Etat L'agence nationale du chèque-vacances (ANCV) est un établissement public à caractère industriel et commercial qui a été créé en Il est chargé de l'émission et du remboursement des chèques-vacances et de leur commercialisation. L'ANCV ne reçoit de subvention d'aucune sorte, mais se finance en prélevant une commission de 1 % sur le montant des chèques vacances distribués. Par ses excédents de gestion, l agence participe à la rénovation du patrimoine du tourisme social et accompagne les actions de solidarité organisées par les associations. En dix ans, le poids des chèques-vacances a doublé pour atteindre 1,2 milliard d'euros en On estime que ce montant génère environ 5 milliards de dépenses touristiques induites. En 2010, les chèques-vacances ont bénéficié à 3,6 millions de salariés, 60 % des comités d'entreprise ayant mis en place le dispositif. La loi de développement et de modernisation des services touristiques a étendu le dispositif des chèques-vacances aux entreprises de moins de 50 salariés, y compris aux chefs d'entreprise lorsqu'ils sont eux-mêmes salariés. Ce sont ainsi 5,8 millions de salariés, employés dans un million d'entreprises, qui entrent dans le champ potentiel du chèque-vacances. Au 31 décembre 2010, on comptait seulement salariés porteurs de chèquesvacances dans les entreprises de moins de 50 salariés. La promotion du nouveau dispositif doit donc être améliorée en direction des TPE. III - LES FAIBLESSES DU TOURISME FRANÇAIS 1-Une place de leader menacée Si la France est la première destination touristique, la part de notre pays dans le total mondial des arrivées de touristes internationaux se réduit. Celle-ci est tombée de 9,5% en 2005 à 8,4% en Dans le même temps, la part de l Italie est passée de 4,5% en
4 à 4,9% en 2009, une progression qui démontre que l on peut résister aux conséquences du développement de l offre touristique mondiale et de l émergence de nouvelles destinations concurrentes. Par ailleurs, la France n est qu en troisième position en termes de recettes tirées du tourisme international, derrière les Etats-Unis et l Espagne. Le classement en termes de recette moyenne par touriste qui place la France en 7 ème position révèle un handicap au développement plus poussé de notre tourisme : la France est un pays de transit dans lequel les touristes ne se fixent pas longtemps. Le plan stratégique «Destination France » défini par la DGCIS prévoit que la France devienne la première destination européenne en recettes par touriste. Dans cette perspective, les priorités sont l amélioration de l accueil, la modernisation de l offre, le déploiement de la marque France à l international, le renforcement des partenariats avec les collectivités locales, la conduite des projets d investissement et la valorisation du patrimoine historique et culturel. 2-Une offre touristique trop concentrée Deux villes dépassent le million de visiteurs en France : Paris avec 9,5 millions de touristes étrangers et Nice avec 1,2 million de personnes. En Espagne, ce sont trois villes qui se partagent de façon plus équilibrée un grand nombre de visiteurs, Barcelone étant la première destination avec 4,7 millions de visiteurs tandis que la capitale, Madrid, est en deuxième position avec 3,9 millions et enfin Séville avec 1,2 million de touristes. L Italie présente également plusieurs sites très attractifs, en dehors de Rome : Venise, Milan et Florence. Cette concentration de l offre en France est surmontable compte tenu du caractère extrêmement diversifié des sites français. A cet égard, certaines zones du territoire, au fort potentiel, pourraient attirer encore beaucoup plus de touristes qu elles ne le font actuellement. Par exemple, les collectivités antillaises de la Guadeloupe et de la Martinique pourraient être des pôles d excellence en matière de tourisme compte tenu de leurs atouts naturels mais aussi de leur position géographique qui les placent à portée des clientèles nord-américaine et sud-américaine. Or, il est regrettable de constater que le tourisme, pourtant essentiel dans l économie de la région, au lieu de se développer, s est au contraire dramatiquement effondré. Alors que chacun des départements accueillait, à la fin des années 90, environ un million de touristes, ils en reçoivent moins de aujourd hui. Le parc hôtelier a en conséquence fondu. En Guadeloupe, ce sont près de 5000 lits hôteliers qui ont disparu entre 2003 et Seul le tourisme de gîtes est en plein essor aux Antilles, qui peut ainsi constituer un secteur d avenir sans toutefois suffire à porter le tourisme antillais au niveau qu il mériterait d atteindre. Le rapport d information n 547 du sénateur Michel Magras, fait au nom de la commission de l économie et intitulé «Guadeloupe et Martinique : d un tourisme subi à un tourisme intégré» ( ), a identifié les causes de ce déclassement :
5 5 la concurrence de destinations plus compétitives dans les Caraïbes, la situation sociale jugée négative par les touristes et les investisseurs, un parc hôtelier obsolète et décalé par rapport aux nouvelles attentes des touristes. Cette tendance n est pas une fatalité mais la renverser suppose une forte volonté politique consistant à faire du tourisme un secteur d avenir. L auteur du rapport précité regrette qu il n y ait eu aucune stratégie touristique spécifique dans ces départements. Les diverses études sur le tourisme ultramarin n ont pas été suivies d effet. Le sénateur énumère de nombreuses recommandations parmi lesquelles la mise en œuvre d un grand plan de formation, une place accrue des langues étrangères dans le cadre scolaire, l amélioration du cadre de vie et la promotion des Antilles comme destination touristique verte La Corse est un autre exemple d une richesse touristique exceptionnelle qui pourrait être davantage exploitée. L île de beauté a un positionnement géographique favorable en Méditerranée, le premier bassin touristique mondial. Sa nature préservée et diversifiée en fait un site remarquable combinant mer et montagne, avec une abondance de l eau la distinguant des autres îles méditerranéennes. Enfin, le caractère typé de la Corse et la dimension humaine de son tourisme la singularise également par rapport aux autres sites de la région qui pratiquent un tourisme de masse. Comme le souligne le rapport n 15 du sénateur Alain Houpert, fait au nom de la commission de l économie sur le projet de loi relatif au plan d aménagement et de développement durable de la Corse ( ), le tourisme est bien l un des principaux secteurs économiques créateurs de richesse en Corse. La fréquentation touristique s y est accrue depuis 2008 avec notamment une progression de 7% des nuitées entre 2008 et Toutefois, des marges d amélioration existent si tout est mis en œuvre pour surmonter quelques faiblesses. L hébergement hôtelier demeure insuffisant tant sur le plan de la qualité que de la quantité. L accessibilité aérienne est coûteuse. Les acteurs du tourisme ne sont toujours pas suffisamment formés. Le manque d équipements de loisirs structurants (centres de congrès, centre de thalassothérapie, parcours de golf ) est un frein au dépassement du caractère estival de la fréquentation touristique. Enfin, malgré des améliorations intervenues dans le cadre du programme exceptionnel d investissement (PEI), le réseau routier demeure incomplet compte tenu du relief de l île. L offre touristique doit être déconcentrée et donc développée par la mise en valeur des sites à fort potentiel. Dans cet esprit de rééquilibrage, la DGCIS a défini sept axes stratégiques dans le cadre d un plan quinquennal , déclinaison du plan stratégique «Destination France » : -constituer des destinations internes «patrimoine et culture» comme le Val de Loire qui connaît actuellement une expérience pilote sous l appellation «Loire Valley» dans le but de lui obtenir une notoriété mondiale, -construire une politique de tourisme d itinéraire, -structurer une politique de tourisme urbain hors Paris, -formater une politique du tourisme de croisière, -développer une stratégie de communication et de promotion de la destination France, -développer le tourisme d affaires à Paris et en Ile-de-France.
6 6 3-Des moyens budgétaires insuffisants Selon le rapport d information n 684 des sénateurs André Ferrand et Michel Vécot, fait au nom de la commission des finances et intitulé «Le tourisme, un atout formidable pour la France» ( ), les soutiens publics au secteur du tourisme ont la particularité d être à la fois dispersés et insuffisants pour permettre à la France d optimiser son potentiel. Des concours publics répartis entre plusieurs ministères Au sein du budget de l Etat, un programme est spécialement consacré au tourisme. En 2012, il a été doté de 43 millions d euros, dont 34,1 millions consacrés à l opérateur Atout France chargé du développement et de la promotion de la destination France. Ce programme budgétaire représente cependant une faible part de l effort public consacré au tourisme. C est pourquoi, dans le cadre de l examen du projet de loi de finances, le Parlement dispose d un document de politique transversale qui recense les crédits consacrés par d'autres ministères à la politique de soutien de l'activité touristique. Selon l avis n 111 des sénateurs Gérard Cornu, Evelyne Didier, Pierre Hérisson et Michel Teston, fait au nom de la commission de l économie, annexé au projet de loi de finances pour 2012 ( ), le montant total des crédits est réparti entre 24 programmes relevant de 12 missions différentes et qui se sont élevés pour 2012 à 1,9 milliards d'euros en autorisations d'engagement et à 2 milliards d'euros en crédits de paiement. Les principaux postes de dépenses sont les suivants, en autorisations d'engagement : - patrimoine : 736,4 millions d'euros ; - diplomatie culturelle et d'influence : 376,1 millions d'euros ; - économie et développement durable de l'agriculture, de la pêche et des territoires : 293,5 millions d'euros ; - accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi : 88,9 millions d'euros ; - infrastructures et services de transport : 41,9 millions d'euros ; - forêt : 36 millions d'euros - sécurité et affaires maritimes : 26,6 millions d'euros ; - impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire : 25,9 millions d'euros. Dans le cadre contraint des finances publiques, les moyens d Atout France ont été relativement bien préservés.
7 7 La rationalisation des moyens dédiés au tourisme permettrait sans doute de dégager des marges financières. Notamment, la redéfinition des compétences des collectivités locales en matière de tourisme permettrait de mieux structurer l offre locale et de faire converger ainsi des ressources actuellement dispersées et donc peu optimisées. Les limites de la taxe de séjour Créée en 1920, la taxe de séjour est une taxe facultative dont l instauration et le recouvrement sont de la compétence du conseil municipal ou de l organe délibérant de l établissement public de coopération intercommunale. Depuis 1988, coexistent la taxe de séjour proprement dite et la «taxe de séjour forfaitaire» assise sur la capacité d accueil de l hébergement et non sur le nombre de nuitées réellement enregistrées. Le conseil général peut également instaurer une taxe additionnelle à la taxe de séjour, la surtaxe départementale. Malgré quelques aménagements, notamment issus des lois de finances pour 2002 et 2003, la taxe de séjour rencontre des difficultés d application tant au niveau de l assiette, du contrôle et du recouvrement ainsi que des sanctions. A peine la moitié des 5000 communes touristiques ont voté une taxe de séjour pour un produit de 150 millions d euros en Sources : DGCIS Afin d améliorer le rendement potentiel de la taxe, il serait nécessaire de simplifier le barème et de l adapter aux nouvelles normes de classement des hébergements issues de la loi de développement et de modernisation des services touristiques, d élargir l assiette en incitant les communes à adopter la taxe de séjour et enfin de sécuriser son recouvrement en le transférant à l administration fiscale. Le bilan mitigé de la baisse de la TVA dans la restauration La baisse de la TVA de 5,5% ramenée à 7% au 1 er janvier 2012, a concerné l hôtellerie pour son activité restauration. Le bilan de ce dispositif, qui a coûté 3,2 milliards d euros en 2012, est assez mitigé. Le rapport d information n 42 du sénateur Michel Houel, fait au nom de la commission de l économie et intitulé «La TVA à taux réduit dans la restauration : une mesure qui a fait ses preuves» ( ) la juge efficace. Selon le rapporteur, les prix ont baissé, l emploi de la restauration a augmenté de près de dès la première année d application et les salariés ont bénéficié de revalorisations salariales et d amélioration de leurs conditions de travail. Ce bilan est à nuancer au regard de l avis rendu en octobre 2010 par le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) qui considère au contraire la mesure coûteuse pour un impact très faible. Il est en effet difficile de déterminer la part des emplois créés en 2010 qui relève de la baisse de TVA de celle qui provient de la reprise de la croissance. Par ailleurs, l association de consommateurs CLCV n a constaté aucun effet significatif pour les clients.
8 8 Pendant la campagne des élections présidentielles, le candidat François Hollande avait déclaré vouloir revoir le dispositif de TVA réduite. La proposition du CPO de remonter le taux à 10 ou 12% pourrait être envisagée. Un budget globalement faible au regard des pratiques des pays concurrents Les comparaisons internationales sont délicates dans la mesure où les outils de promotion du tourisme diffèrent d un pays à l autre. Toutefois, la DGCIS a effectué un tableau comparatif duquel il ressort pour 2010 que l Espagne consacre, par le biais de son agence Turespaña au total pas moins de 201 millions d euros en faveur de son tourisme, les Etats-Unis 200 millions, la Grande-Bretagne 79 millions et la France 77 millions d euros. Il en résulte des écarts forts dans la gestion des outils promotionnels. Par exemple, Atout France a dépensé euros pour promouvoir la marque nationale «Rendezvous en France» tandis que l Espagne a consacré 40 millions à la promotion de son logo «I need Spain». L inde et la Tunisie ont respectivement dépensé 33 et 30 millions pour la promotion de leurs marques nationales. Il apparaît clairement que notre pays a besoin de ressources nouvelles pour promouvoir la destination France. Les partenariats doivent être mieux encouragés et les fonds européens et investissements d avenir mieux mobilisés en faveur du tourisme. 4-Des équipements vieillissants Le secteur touristique français souffre d un sous-investissement chronique dû à la faible rentabilité des capitaux investis, en raison notamment du caractère trop saisonnier de l activité. La formule hôtel-club très attrayante n est pas suffisamment développée alors qu elle est pourtant très attractive pour la clientèle nord européenne. Une bonne partie de l hébergement touristique est aujourd hui obsolète. La petite hôtellerie indépendante, notamment en zone rurale, est sous-équipée et parfois vétuste. Afin de moderniser l offre touristique française et répondre aux nouvelles attentes des touristes, un nouveau classement hôtelier a été défini par un arrêté du 22 décembre 2008 refondant l échelle de 1 à 5 étoiles. De plus, un label spécial «Palace» a été créé pour reconnaître le caractère exceptionnel de certains établissements. Le précédent qui datait de 1986 portait essentiellement sur des normes quantitatives ignorant les services proposés. Par le bais de la loi de développement et de modernisation des services touristiques, le nouveau classement hôtelier a introduit plus de souplesse dans l appréciation de ses exigences, en intégrant les évolutions technologiques, comme l accès à Internet. On est passé d un système où l on constatait la présence ou non d équipements jugés obligatoire selon le nombre d étoiles à un système basé sur des critères multiples et un calcul de points. Le classement d un établissement, qui était auparavant définitif, est désormais établi pour cinq ans. Depuis la loi du 22 juillet 2009, l instruction de classement n est plus conduite par les services déconcentrés de l État mais s opère par le bais d organismes évaluateurs
9 9 accrédités par le Comité français d accréditation (COFRAC). A l issue de la procédure, si les commissions départementales d action touristique (CDAT) ont été supprimées, c est toujours le préfet qui prononce la décision de classement. A cet égard, on peut relever une des conclusions du rapport d information n 3531 du député Jean-Louis Léonard fait au nom de la commission des affaires économiques sur la mise en application de la loi n du 22 juillet 2009 de développement et de modernisation des services touristiques, déposé le 15 juin 2011, qui juge plus pertinent et plus efficace de confier la délivrance des décisions de classement, en lieu et place de l autorité préfectorale, à Atout France. L article 3 de la proposition de loi du député Jean-Louis Léonard relative aux habitats légers de loisirs, hébergement de plein air et diverses dispositions relatives au tourisme, adoptée par l Assemblée nationale le 16 novembre 2011, a confié à Atout France la mission de prononcer le classement. Le texte est actuellement en instance de discussion au Sénat. L effort d équipement est fondamental. La saison touristique estivale de 2011 a été marquée par une hausse de 3% de la fréquentation des hébergements. Les structures de qualité et les mieux équipées ont enregistré la plus forte croissance de leur fréquentation avec 20% pour les hôtels 4 et 5 étoiles et plus 5% pour les campings 4 et 5 étoiles. Le prêt participatif pour la rénovation de l hôtellerie (PPRH) proposé par Oséo devrait être davantage popularisé auprès de la petite hôtellerie qui ne dispose pas de fonds propres. L hôtellerie familiale indépendante, très présente en milieu rural, doit être particulièrement soutenue et aidée pour faire face aux investissements de mise aux normes en matière d accessibilité et de sécurité incendie. Le développement d un tourisme d itinéraire ne pourra pas se faire sur la seule base des gîtes même si ces derniers sont de plus en plus attractifs. Enfin, le parc associatif et de tourisme connaît également des difficultés qu il faudrait traiter rapidement pour favoriser l accès des plus modestes et notamment des enfants aux vacances. 5-Des agences de voyages de petite taille Le marché de la distribution des produits touristiques connaît une profonde mutation, en raison à la fois d une montée en puissance de la vente en ligne et du déploiement d un tourisme mobile. En 2009, 32% du marché touristique européen est passé par Internet. Le développement des sites appelés «infomédiaires» (comparateurs de prix, partage de l information ) fragilise encore un peu plus les voyagistes les moins compétitifs. Les voyagistes français sont d ailleurs souvent les moins bien lotis en termes de compétitivité en raison de leur petite taille et de leur manque de prise directe sur les produits. Leurs tarifs seraient supérieurs de 20 à 30% à ceux pratiqués par leurs principaux concurrents allemands et anglais. Les grosses agences britanniques et allemandes ont des stratégies d intégration verticale leur permettant de contrôler toute la chaîne du produit (transport, hébergement, distribution) et d intégration horizontale avec des prises de participation dans d autres voyagistes de différents pays. Les agences françaises ont dû également s adapter aux dispositifs les concernant issus de la loi de modernisation et de développement des services touristiques. La législation applicable aux agences de voyage a été simplifiée par la création d un régime unique de déclaration avec le maintien des obligations d inscription sur un registre public, de
10 10 garantie financière, d assurance et d aptitude professionnelle. Certains voyagistes ont d ailleurs considéré cette mesure comme la porte ouverte à de nouveaux concurrents. Dans ce contexte, les agences de voyage françaises n auront pas d autre choix à terme que celui de se regrouper pour atteindre une taille leur permettant d affronter leurs concurrents européens. Depuis la crise de 2008, le secteur du tourisme a relativement bien résisté. La multiplication des flux humains et technologiques ouvre chaque jour un peu plus un marché dans lequel la France doit se positionner fortement grâce à ses atouts. Notre pays doit aussi surmonter ses faiblesses afin de mieux fixer, dans la durée, les touristes sur le territoire et attirer de nouveaux visiteurs en provenance notamment des BRICS dont les attentes ne sont pas tout à fait identiques à celles des visiteurs traditionnels. Le développement de la destination France passe par une offre diversifiée, déconcentrée et de qualité. Cet objectif ne sera atteint que si l État joue davantage son rôle de levier comme le fait l État espagnol par le biais de sa puissante agence Turespaña. La nouvelle ministre déléguée chargée de l artisanat, du commerce et du tourisme a rappelé les priorités du gouvernement, le 29 mai dernier, lors de l assemblée générale des chambres françaises de commerce et d industrie. Sylvia PINEL souhaite «rendre effectif le droit aux vacances pour tous, renforcer l attractivité de la destination France et parvenir à un niveau d excellence de la filière touristique sur la qualité et la durabilité».
I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY
I) Le contexte II) Le programme I) Le contexte II) Le contexte La destination France 1 ère destination mondiale en nombre de touristes avec 84,7 millions de visiteurs étrangers (en 2013). 1 touriste sur
Plus en détailL accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs
27 millions de visiteurs, dont 7 millions d étrangers et 0 millions de Français 44 millions de visiteurs au total pour Paris et sa région Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre Principales nationalités
Plus en détailCRT Picardie. Enquête auprès des acteurs du tourisme
CRT Picardie Enquête auprès des acteurs du tourisme 1 Votre entreprise ou structure / organisme institutionnel Votre nom : Votre titre : Votre e-mail : (pour pourvoir vous envoyer le résultat de l enquête)
Plus en détailPROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 MISSION «ECONOMIE» COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES
1 24 novembre 2011 PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 - MISSION «ECONOMIE» ET COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES Examen en séance publique : lundi
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailL emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort
Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.
Plus en détailTAXE DE SEJOUR GUIDE D'INFORMATION ET D APPLICATION
MAIRIE DE COURNON D'AUVERGNE SERVICE TOURISME TAXE DE SEJOUR GUIDE D'INFORMATION ET D APPLICATION Sommaire : Page 2 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : Page 7 : Présentation de la taxe de séjour -qui est habilité
Plus en détailASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT
ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 PLF POUR 2015 - (N 2234) Commission Gouvernement Adopté AMENDEMENT présenté par le Gouvernement ---------- ARTICLE ADDITIONNEL N o II-464 (2ème Rect) APRÈS L'ARTICLE
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailPARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles
PARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles I- LE PARC DES EXPOSITIONS AUJOURD HUI Bien positionné sur les classements internationaux, Paris est une destination phare du tourisme d affaires au niveau
Plus en détailDORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence
DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau
Plus en détailÀ destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires
ME MEN TO À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires ÉDITO Luc Doublet, Président Christine Batteux, Vice-Présidente du Conseil Régional, Chargée du Tourisme Avec 5,8 milliards
Plus en détailL immobilier d entreprise artisanale
e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détail7. La fiscalité locale indirecte
7. La fiscalité locale indirecte Généralités Les collectivités locales perçoivent des produits fiscaux de deux natures : directs et indirects. La fiscalité directe se compose, pour sa majeure partie, des
Plus en détailconseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.
conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page
Plus en détailModification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme
Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI
Plus en détail6. La fiscalité locale indirecte
6. La fiscalité locale indirecte Généralités Les collectivités locales perçoivent des produits fiscaux de deux natures : directs et indirects. La fiscalité directe se compose, pour sa majeure partie, des
Plus en détailComité syndical 29 avril 2015 à Janzé
Comité syndical 29 avril 2015 à Janzé Les missions du Pays touristique (inscrites dans les statuts du Syndicat Mixte). 1. Élaborer et participer à la mise en œuvre d un projet de développement touristique
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700
Plus en détailDeux outils élaborés en concertation avec les professionnels du tourisme régional
Avec, chaque année, 15 millions de touristes accueillis et près de 100 millions de nuitées enregistrées, le Languedoc-Roussillon est la 4 ème région touristique française en terme de fréquentation et d'emplois
Plus en détailLE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailLE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE
LE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE Samedi 30 mai 2015 Photo : Jaymantir UNE DESTINATION, C EST QUOI? Juin 2015 Brigitte Bloch Le touriste, un oiseau migrateur Le touriste n a pas de frontière. Sa vision
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailBilan Campagnes E-mailing 2013
Bilan Campagnes E-mailing 2013 Allemagne E-news dédiée Envoi d une e-news «Destination Languedoc» à 88 500 prospects allemands le 11 mars. 32 400 ouvertures, soit un taux de 36,6% 769 clics, soit un taux
Plus en détailCONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016
Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant
Plus en détailImpact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF. www.ccrvc.ca
Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF Le camping est une belle occasion de passer du temps en famille, de créer de beaux souvenirs qui dureront
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailBilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille. Bilan de saison 2014 Agence Ouest Cornouaille Développement
Bilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille L Agence Ouest Cornouaille Développement, en quelques mots L AOCD, en quelques mots www.pro-aocd.fr => Financée en majeure
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailDOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011
DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 Février 2011 1 LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 1. L EVOLUTION DU BUDGET DE FONCTIONNEMENT 2. L ENDETTEMENT 3. LES PERSPECTIVES POUR LES ANNEES A VENIR 4.
Plus en détailLes mesures en faveur de
Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises
Plus en détailDossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011
Dossier de presse Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales Du 18 au 25 novembre 2011 2 Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales - 18 au 25 novembre 2011
Plus en détailPrincipaux partenaires de la CCI Paris Ile-de-France dans la filière des rencontres et événements d affaires
Principaux partenaires de la CCI Paris Ile-de-France dans la filière des rencontres et événements d affaires ATOUT France ATOUT FRANCE, né du rapprochement en 2009 d ODIT FRANCE et de Maison de la France
Plus en détailTRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE
TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...
Plus en détailNouveaux enjeux du mandat. Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée
Nouveaux enjeux du mandat Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée - 121,8-117,1 Déficit budget Etat (en milliards d'euros) - 130,0-120,0-110,0-100,0-90,0-80,0-70,0-60,0-50,0-40,0-30,0-20,0-10,0
Plus en détailMadame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.
La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailContribution des industries créatives
RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailQuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009
ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur
Plus en détailLE PARTENARIAT PUBLIC-PRIVE
5 ème conférence européenne des entreprises publiques locales organisée par la Commission entreprises locales du CEEP Bruxelles - 29 octobre 2002 Comité économique et social européen ******** LE PARTENARIAT
Plus en détailConférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme
Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme Sommaire Edito Présentation du Welcome City Lab Le Welcome City Lab: les chiffres Paris&CO La nouvelle promotion de startups L état rentre
Plus en détail- Communiqué de presse-
- Communiqué de presse- Création de la Foncière Rénovation Montagne et des foncières locales en station en collaboration avec les collectivités locales 25 avril 2013 Afin de lutter contre la débanalisation
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailUNWTO Conférence sur le développement durable des îles
Marie-Laure Desmet Direction Ingénierie et Développement Ile de La Réunion - 11 au 13 septembre 2013 UNWTO Conférence sur le développement durable des îles Mettre votre île sur la carte - défis dans un
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détailCOMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES
COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DE DÉTAIL D ÉQUIPEMENTS AUTOMOBILES... 5 L'ACTIVITÉ DU
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailDEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015
DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité
Pacte de responsabilité et de solidarité Et mesures pour l accélération de l investissement Le premier ministre vient d annoncer des mesures pour soutenir l investissement public et privé qui complètent
Plus en détailLe budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES
Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec
Plus en détailCOURTIER ET AGENT D ASSURANCE
COURTIER ET AGENT D ASSURANCE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 4 L'ACTIVITÉ DU COURTIER ET AGENT D ASSURANCE... 7 LES POINTS
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailTAXE DE SEJOUR Guide d Application TOURISME. Communauté Communes Florac Sud Lozère. www.vacances-cevennes.com
TOURISME TAXE DE SEJOUR Guide d Application 2015 Communauté Communes Florac Sud Lozère www.vacances-cevennes.com Qu est-ce qu une taxe de séjour? La taxe de séjour a été instituée par la loi du 13 avril
Plus en détailDébat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013
Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailA. Secteur des services aux entreprises
A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271
Plus en détailRetour à la croissance
Après une forte amélioration de ses résultats au T4 2010 et la finalisation de ses programmes d investissement et de réorganisation, Eurofins réaffirme ses objectifs à moyen terme 28 janvier 2011 A l occasion
Plus en détailTER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE
TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS
Plus en détailLe budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES
Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2015 s inscrit dans un contexte économique et social contraint. Face à cette situation,
Plus en détailA 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.
1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises
Plus en détailREPUBLIQUE FRANÇAISE 2015/... DCM N 15-04-30-27
REPUBLIQUE FRANÇAISE 2015/... MAIRIE DE METZ CONSEIL MUNICIPAL DE LA VILLE DE METZ REGISTRE DES DELIBERATIONS Séance du 30 avril 2015 DCM N 15-04-30-27 Objet : Actualisation des dispositions relatives
Plus en détail17DEPARTEMENT DES VOSGES
Pôle Développement du Territoire Service moyens techniques et gestion administrative du Territoire 17DEPARTEMENT DES VOSGES Extrait des délibérations du Conseil général Réunion du 19 janvier 2015 BUDGET
Plus en détailLES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE
310 N U M É R O Vendredi 4 juillet 2008 LES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE RAPPORTEUR : ANDRÉ MARCON AU NOM DE LA SECTION DES ÉCONOMIES RÉGIONALES ET DE
Plus en détailVille de VANNES. DSP du Casino. Rapport de présentation (article L.1411-4 du CGCT)
Ville de VANNES DSP du Casino Rapport de présentation (article L.1411-4 du CGCT) La Ville de Vannes a été classée «station de tourisme» par décret en date du 8 juin 2006. En application de l article 1
Plus en détailMinistère des affaires sociales et de la santé Ministère de l'économie et des finances
Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère de l'économie et des finances Direction de la sécurité sociale Sous-direction du financement de la sécurité sociale Bureau de la législation financière
Plus en détailAG ECONOMIE, EMPLOI, INDUSTRIE Section Paris 2 ème 28/02/2013
AG ECONOMIE, EMPLOI, INDUSTRIE Section Paris 2 ème 28/02/2013 Compte rendu Exposé sur les outils économiques de la région île de France Guillaume Balas (Président du groupe socialiste au Conseil régional
Plus en détailVERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional
VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une
Plus en détailMichel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER
Michel Magras Sénateur de Saint-Barthélemy Président de la Délégation sénatoriale à l outre-mer compte-rendu (suite) Séance du vendredi 26 juin 2015 PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE
Plus en détailCOUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ
COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ SOMMAIRE LE MARCHÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 2 LA RÉGLEMENTATION DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 5 L'ACTIVITÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 8 LES POINTS DE VIGILANCE
Plus en détailLe pacte de responsabilité et de solidarité
Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité
Plus en détailCahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud
Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud Septembre 2011 Domaine du Ciran - 45240 Ménestreau-en-Villette Tél: 02.38.49.19.49 - Fax : 02.38.49.19.59 - sologne.val.sud@wanadoo.fr
Plus en détailINVESTIR EN FRANCE : Réalisation
INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT En 2014, 1 014 décisions d investissement en France ont créé ou maintenu 26 535 emplois. 1 er pays en Europe
Plus en détailPAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailCommunauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION
Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION PRÉSENTATION Pourquoi la taxe de séjour sur tout le territoire du Val de l Ailette? La Communauté de Communes du Val de
Plus en détailCOMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL
COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailProspective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010
Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre
Plus en détailINSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION
INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Assises du Tourisme Vendredi 21 novembre 2014 Pied-de-Borne
DOSSIER DE PRESSE Assises du Tourisme Vendredi 21 novembre 2014 Pied-de-Borne Conseil général de la Lozère Elodie LEHNEBACH, Rue de la Rovère 48000 Mende 04 66 49 66 07 Comité dép.. du Tourisme Brigitte
Plus en détail«Mécanismes» et contraintes budgétaires
Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr
Plus en détailAvec près des deux tiers des
Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions
Plus en détailMESURES D ACCOMPAGNEMENT
LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS
Plus en détailQ&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif?
Q&A Novembre 2012 A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? D. La location meublée est elle légale? A. Le marché de la location
Plus en détailwww.gouvernement.fr Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l emploi
PREMIER MINISTRE Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l emploi 6 novembre 2012 Contact Service de presse de Matignon 57, rue de Varenne 75007 Paris Tél. : 01 42 75 50 78/79 www.gouvernement.fr
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailGuide du Partenaire OFFICE DE TOURISME de LANGEAIS & CASTELVALÉRIE
Nos valeurs Nos services Devenir partenaire Guide du Partenaire OFFICE DE TOURISME de LANGEAIS & CASTELVALÉRIE année 2015 2 SOMMAIRE Nos valeurs... Nos missions p. 3-4 L équipe associative L équipe salariée
Plus en détailINTERVENTO PRESIDENTE NARDO FILIPPETTI CONFERENZA ANNUALE DEL CETO PANORAMICA SUL MERCATO E PROBLEMI DEI TOUR OPERATOR
INTERVENTO PRESIDENTE NARDO FILIPPETTI CONFERENZA ANNUALE DEL CETO PANORAMICA SUL MERCATO E PROBLEMI DEI TOUR OPERATOR Bonjour à tous, Je remercie le CETO de m avoir invité: C est avec grand plaisir que
Plus en détailTypologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007
Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 1 Sommaire 1. Objectif et méthode p. 3 2. Données de cadrage : les séjours en Bourgogne en 2007, Suivi de la Demande Touristique
Plus en détailGuide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1. En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER +
Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1 En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER + Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 2 LEADER + Qu est-ce que c est? Liaison
Plus en détailA propos de l Audit des finances communales
A propos de l Audit des finances communales (évoqué lors du Conseil municipal de septembre 2014) A la demande de la majorité municipale, un audit a été commandité auprès du cabinet FCL. Les conclusions
Plus en détail