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1 DES INFORMATIONS ACCESSIBLES SUR LES AVANTAGES, LES RISQUES, LA QUALITE Urs P. Gasche Non au cancer de l intestin! Oui, mais comment? 13 septembre 2007 Informations accessibles de la Ligue contre le cancer sur La prévention authentique, Le diagnostic précoce des symptômes mes et les risques particuliers, Et ce qu on peut en faire.

2 Dépistage précoce Des coloscopies régulir gulières pour personnes en bonne santé,, de 55 à 74 ans? Des personnalités font campagne en faveur du dépistage précoce

3 En Allemagne Campagne d informations de la Fondation Felix Burda Image: Fondation Felix Burda Mon corps est mon capital Gros titres en Allemagne: «Chaque année, personnes développent un cancer du côlon.» «Chaque année, personnes décèdent d un cancer du côlon.»

4 Résultats en Allemagne: 40 % des adultes craignent de développer un jour un cancer du côlon. Enquête des caisses-maladies en Allemagne Les caisses-maladies prennent également en charge les coûts des tests de dépistage, sang occulte dans les selles ou coloscopie, chez les personnes en bonne santé (sans risque accru). Quelle solution pour la Suisse? Dépistage remboursé par les caissesmaladie pour les de personnes en bonne santé entre 55 et 74 ans?

5 Les personnes en bonne santé se demandent: 1. A quoi cela me sert-il? 2. Quels sont les bénéfices et les risques dans mon cas? 3. Quel médecin sait mieux dépister les polypes/tumeurs, et lequel provoque moins de complications? Réponses éthiquement correctes British General Medical Council 1. Rendre les intérêts financiers transparents. 2. Ne pas dissimuler des informations de peur que quelqu un ne fasse obstacle au dépistage. 3. Expliquer la fréquences des avantages et des inconvénients.

6 «La mortalité baisse d un tiers.»!? «La mortalité baisse d un tiers.» Taux de décès dans le groupe au traitement placebo Taux de décès dans le groupe au traitement efficace Différence = décès après 5 ans 200 décès après 5 ans

7 «La mortalité baisse d un tiers.» Taux de décès dans le groupe au traitement placebo Taux de décès dans le groupe au traitement efficace Différence = 1 3 décès après 5 ans 2 décès après 5 ans «La mortalité baisse d un tiers.»

8 «La mortalité baisse d un tiers.» «Après 5 ans, 1 personne en moins décède sur » Taux de décès dans le groupe au traitement placebo Taux de décès dans le groupe au traitement efficace Différence = 1 3 décès après 5 ans 2 décès après 5 ans Informations en Suisse «Le dépistage précoce par coloscopie réduit la mortalité par cancer du côlon de 70 %.» «Une coloscopie me permet de réduire mon risque de décéder d un cancer du côlon de 0,5%.»

9 «Chaque année, 4000 personnes développent un cancer du côlon et 1600 en décèdent.» «0,25 % de tous les Suisses décèdent d un cancer du côlon.» «1 Suisse sur 400 décède d un cancer du côlon.» Source: OFS «En Suisse, 30 % de personnes en moins qu en Allemagne développent et décèdent d un cancer du côlon.»

10 «Une coloscopie dépiste 90 % de tous les polypes. Ils peuvent être éliminés immédiatement.» «Le taux de dépistage varie cependant fortement d un médecin à l autre. Un bon médecin, en cas de coloscopie, trouve dix fois plus de polypes qu un mauvais médecin.» Source: Robert L. Barclay et al, «Colonoscopic Withdrawal Times and Adenoma Detection during Screening Colonoscopy», NEJM, 2006, Bd 355: «En fonction du groupe d âge, 60 à 120 coloscopies permettent d empêcher un décès Société suisse de gastro-entérologie SSG Si c était vrai: > 2500 décès par an Nombre réel de décès dus au cancer du côlon chaque année: entre 60 et 79 ans 750 par an Source: OFS

11 «Il est très rare d observer des complications lors de coloscopies. Le dépistage est désagréable mais inoffensif.» 1 coloscopie sur 500 : hémorragie grave; 1 coloscopie sur 3000 : lésion intestinale grave; 1 coloscopie sur : décès.» coloscopies par an «Le taux de complications est très variable. Les mauvais médecins en causent dix fois plus que les bons.» Source, entre autres: Pignone M et al. «Sceening for colorectal cancer in adults at average risk: a summary of the evidence for the U.S. Preventive Services Task Force. Ann Int Med, 2000, 137:132

12 Risque de traitement superflu: «Le diagnostic de cancer de l'intestin n'aurait jamais été posé sur le plan clinique du vivant des personnes concernées. C'est uniquement en raison du dépistage précoce que le cancer est traité de manière agressive, sans bénéfice pour elles» Campagne d informations de la Fondation Felix Burda Image: Fondation Felix Burda Mon corps est mon capital

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