L animation comportementale
|
|
- Violette Aline Beaudin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L animation comportementale Un survol et quelques exemples inspirés essentiellement des travaux de l équipe SIAMES IRISA, Rennes
2 De quoi parle t-on?
3 De quoi parle t-on? Demetri Terzopoulos %7Edt/alife.html Animation physiologique réaliste d êtres vivants 3
4 De quoi parle t-on? Modèles de comportements individuels 4
5 De quoi parle t-on? Stéphane Donikian Le musée virtuel Modèles de comportements sociétaux donikian/virtual_museum.html interaction de comportements individuels 5
6 De quoi parle t-on? Modèles de comportements sociétaux individus en interaction 6
7 De quoi parle t-on? Modèles de comportements sociétaux véhicules en interaction ou pas 7
8 Animation comportementale activité d'acteurs virtuels autonomes qui évoluent dans un environnement lui-même virtuel Les acteurs sont capables de percevoir, de décider et d'agir par eux-mêmes dans un certain cadre qui leur est imposé. Le système représenté par les acteurs et leur environnement évolue d'une manière qui n'est pas prédéterminée.. 8
9 L animation comportementale s attache à décrire la raison d un mouvement plutôt que le mouvement lui-même. L idée est de doter les entités de comportements et d une certaine autonomie. Deux familles d approches : Agents réactifs, cognitifs, hybrides Automates 9
10 Niveaux de comportements système perceptuel social rationnel cognitif réactif système locomoteur biomécanique et physique système organique 10
11 À modéliser Environnement le paysage dans lequel se déroule l action Acteurs Les acteurs de l action Scénarios La trame de l action 11
12 À modéliser Environnement Monde virtuel, objets manipulables ou non, entités, avatars 12
13 À modéliser Acteurs Automates (comportements stéréotypés souvent indépendants du contexte) Agents réactifs (jeu de règles de comportement pour des situations pré-définies). Exemple : évitement. Agents cognitifs (mécanismes de décision). Exemple : choix entre plusieurs priorités, Agents hybrides (réactifs et cognitifs) 13
14 À modéliser Scénarios Automate : description précise du comportement individuel de l agent : script Agent (réactif et cognitif) : Spécification des tâches à accomplir sans dire comment ; c est à l agent de se débrouiller Groupes d agents (foules) : spécification du comportement global de la foule, qui induit des comportements individuels pour les agents en fonction de leurs caractéristiques propres. 14
15 Animation comportementale Disciplines concernées animation classique par ordinateur réalité virtuelle intelligence artificielle (vie artificielle) mais aussi psychologie comportementale neurosciences biologie physique 15
16 Les automates Un automate réagit aux stimuli suivant un schéma pré-défini en fonction de son état interne. Peu d autonomie / aisément contrôlable Domaines d application comportements concurrents / parallèles comportements hiérarchiques / organisés 16
17 Les automates Spécification complète et précise du comportement eachtime(c1) {A} until(c2) loop c1.!c2/ start new(ai); timegate #/start loop c2/#!c1.!c2/# c2/# end(a1,a2, )/# 17
18 Les automates Langages de description de comportement (exemple : HPTS, équipe SIAMES) Systèmes d automates hiérarchiques et parallèles Possibilité de temporisation sur les états et les transitions, transitions aléatoires 18
19 Les agents Un agent est une entité active, autonome mais sociable, qui peut être (pseudo-)intelligente et qui interagit avec un environnement dynamique (son comportement dépend du contexte). Un agent minimal fonctionne selon un cycle de perception, de décision et d actions et dispose d une connaissance de son état interne. 19
20 Les agents Agent minimal État interne stimuli Récepteurs Décision Effecteurs actions Autonomie d un agent la réaction aux stimuli en provenance de son environnement et de son état interne provoque des actions sur son environnement et sur son état interne. 20
21 Les agents Agent communiquant il reçoit et émet des messages. Intelligence d un agent communiquant capacité à raisonner sur des données symboliques. Un agent peut être pseudo-intelligent : agent cognitif par opposition aux agents réactifs qui ont des comportements réflexes. 21
22 Les agents Agent communicant État interne stimuli Capteurs Décision Effecteurs actions messages Récepteurs Planification Émetteurs Connaissances messages 22
23 Description de scénarios Mots clés : virtual storytelling, virtual drama, interactive narrative But : maîtriser le déroulement d une séquence en tenant compte : de l autonomie des entités des diverses possibilités d interactions 23
24 Description de scénarios Quelques enjeux de la scénarisation : Fournir des outils adaptés pour la scénarisation de jeux vidéos dans le but de réduire le temps et les coûts de développements. Créer automatiquement des histoires (virtual storytelling) Concevoir et piloter des systèmes complexes. 24
25 Approche orientée script L histoire est entièrement décrite, les entités n ont aucune autonomie et les interactions de l utilisateur n ont pas de conséquence sur l histoire. 25
26 Approche orientée script Langage SLuHrG : fondé sur HPTS et possède les mêmes caractéristiques. Interface d acteur : Héritée de classes génériques C++. Composée d évènements et de méthodes. Système de communication par messages. Manipulation par ensemble. Scénario et Instructions : Instructions d insertion de code C++ Instructions de contrôle : if, else, repeat, waitfor, eachtime, aslongas, etc. Instruction d ordonnancement : schedule. 26
27 Approche orientée script Avantages : Tous les éléments sont décrits et apparaissent dans le code. Les situations incohérentes sont donc impossibles. Aptitude à décrire des scénarios très complexes. Inconvénients : Quantité conséquente de code ou de scripts à produire. Processus de réécriture complexe en cas de modification. 27
28 Approche orientée comportements Pas de scénario en tant que tel : Par leurs interactions mutuelles et avec l environnement, ce sont les acteurs, dotés de comportements, qui créent l histoire. La description des comportements doit donc être en rapport avec le type d histoires souhaitées Le choix du mécanisme de sélection de l action des acteurs est important. L utilisateur est complètement intégré à l histoire et peut avoir un rôle déterminant sur son déroulement. 28
29 Approche orientée comportements Les acteurs possèdent un rôle qui peut être décomposé en buts, sous buts, et actions terminales ; il est représenté par un réseau de tâches hiérarchiques (HTN). Le système de planification parcours l arbre en profondeur d abord et les actions terminales de gauche a droite. Des heuristiques sur les noeuds, des pré-conditions sur les actions terminales et l état interne de l acteur influent sur la planification. 29
30 Approche orientée comportements réseau de tâches hiérarchiques (HTN). 30
31 Approche orientée comportements Avantages : L histoire est générée par l interaction entre les acteurs et l utilisateur. La quantité de code à produire est réduite. Inconvénients : L histoire peut devenir incohérente. Des fins prématurées peuvent survenir. 31
32 Approche intermédiaire Combine les approches orientée acteurs et orientée script pour offrir aux acteurs une certaine autonomie tout en conservant un contrôle de l action relatif au type d histoire souhaitée. Principe : guider les actions des acteurs pour arriver à construire une histoire semi structurée et consistante. 32
33 Approche intermédiaire Virtual StoryTeller : Les acteurs disposent de rôles, sont autonomes mais n ont aucune connaissance de l histoire. Un directeur ne connaît pas le scénario mais dispose de connaissances sur la création d une bonne histoire. Les acteurs, avant de faire une action, demandent au directeur la permission qui juge de la pertinence de l action et l autorise ou non. 33
34 Approche intermédiaire Avantages : L histoire restera cohérente. Le déroulement n est pas pré-déterminé mais la ou les fins seront respectées. Expression plus au niveau des scénarios. Inconvénients : La description du directeur peut être assez difficile. 34
35 Description de scénarios Comparaison des approches Approche orientée script : ne permet pas de réelles innovations. code de grande taille en général. Approche orientée comportement : semble offrir beaucoup de possibilités, mais son indéterminisme n offre pas une solution fiable pour la création de jeux scénarisés. Approche intermédiaire semble être une solution plus propice pour créer des scénarios dynamiques intégrant l utilisateur, avec l assurance d une cohérence. 35
36 Simulation de foules humaines 36
37 Foules humaines Foules de passants, de badauds, d'individus ayant un but, de groupes d'individus pas nécessairement de cohésion Les individus sont ensemble parce que leurs objectifs propres leur font adopter des trajectoires proches, mais il n'y a pas nécessairement de facteur de cohésion. sauf dans certains cas cas d'une manif. politique (on retrouve la grégarité). cas de familles, groupes d'amis : cohésion de groupes au sein de la foule mais pas cohésion de la foule elle-même 37
38 Simulation de foules humaines Comportement de foules basé sur des comportements de groupes comportement de foule comportement de groupe comportement de groupe comportement de groupe comportement de groupe comportements individuels comportement émergent 38
39 Comportement de groupe Objectifs (buts) buts points d action points d intérêt points qui peuvent avoir une action associée points utilisés pour déterminer le chemin du groupe 39
40 Comportement de groupe Objectifs (buts) 40
41 Comportement de groupe Collectif Capacité à fonctionner ensemble (de concert) 41
42 Comportement de groupe Grégarité Capacité à suivre un leader 42
43 Comportement de groupe Dispertion / agrégation 43
44 Modélisation du comportement humain Besoin de modéliser les différentes facultés qui constituent ensemble l esprit humain, sans oublier leur relation avec le corps : le langage (production et perception), la mémoire, la perception, le contrôle musculaire, les émotions. 44
45 Modélisation du comportement humain Besoin de modéliser des facultés spécifiques à un métier, à une activité particulière : conduite automobile par exemple. 45
46 Modélisation du comportement humain Par le bas modélisation de l activité cérébrale elle-même en fonction des stimuli divers auxquels est soumis le cerveau. On utilise souvent les réseaux de neurones Par le haut modélisation de l émanation symbolique de l activité cérébrale (pensée, émotion, raisonnement, ) en fonction des interactions de même nature Définition de modules décrivant chacun un mécanisme et des relations de séquencialité ou de parallélisme existant entre eux 46
47 Modélisation du comportement humain Perspective Pas de modélisation de l intelligence humaine Modélisation crédible d acteurs virtuels anthropomorphes évoluant en temps réel dans des mondes virtuels. 47
48 Modélisation du comportement humain Plusieurs types de retour des effecteurs vers les capteurs : 1. l homéostasie : boucle de régulation interne de l organisme correspondant au maintien des paramètres biologiques face aux variations du milieu ambiant ; 2. le comportement d acquisition : partie du comportement utilisée pour améliorer la perception ; 3. les interactions avec l environnement : boucle de retour la plus importante. 48
49 Modélisation du comportement humain Unités de traitement homéostasie (régulation interne) Récepteurs Effecteurs comportement d acquisition Environnement 49
50 Modélisation du comportement humain Capacités de l être humain perception extéroceptive perception de l environnement par les cinq sens. proprioceptive perception de son propre état interne, en particulier la faim, la soif, la fatigue traitement raisonnements plus ou moins intuitifs basés sur les données perçues mais aussi sur ses propres connaissances décision : fondée sur le résultat du raisonnement actions mémorisation des expériences vécues 50
51 Cognition se réfère généralement à des processus mentaux variés tels que : l attention, la reconnaissance des lieux, la reconnaissance des objets, la planification le raisonnement. 51
52 Cognition Constat : pas de notion de comportement alors que la plupart des fonctions cérébrales servent à organiser le comportement d un organisme vis-à-vis de son environnement Conclusion : nécessité d une théorie de la cognition orientée comportement reconnaissance de l existence de représentations mentales 52
53 Modèle comportemental de la cognition Premier principe : Choisir le mécanisme et la représentation les plus simples requis pour expliquer un comportement observé Inutile de mettre en place une usine à gaz à base d intelligence artificielle avancée, alors que de simples mécanismes réflexes peuvent parfois suffire. Exemple : comportement réflexe qui paraît sophistiqué d une guêpe maçonnière 53
54 Modèle comportemental de la cognition Deuxième principe : Déterminer quel est le comportement le plus simple qui requiert un type donné de représentation mentale. Ce n est pas la peine de mettre en place un certain type de représentation mentale si le comportement le plus simple qui lui correspond n a pas à être modélisé. 54
55 Théorie du contrôle Concept de base : l asservissement lorsque les résultats du comportement d un système sont différents de celui désiré, le système modifie son comportement via une boucle de rétroaction de la sortie du système sur son entrée système : organisme résultat du comportement : résultat des actions effectuées par l organisme 55
56 Théorie du contrôle Boucle de rétroaction 1. comparaison entre un état perçu et un état attendu 2. maintien de l erreur dans des limites acceptables 56
57 Théorie du contrôle agent comparaison Unités de traitement représentation mentale objectif traitement de la perception décision Récepteurs boucle de rétroaction Effecteurs perception action réalité 57
58 Théorie du contrôle Boucle de rétroaction : notion générique fonde tous les processus d adaptations à tous niveaux asservissement musculaire planification d action prise en compte du contexte régulation des comportements sociaux 58
59 Concurrence Concurrence dans l'accès à des ressources internes (au sein d'un même acteur) externes (ressource commune à plusieurs acteurs) entre des buts (concurrences fonctionnelles (?)) certains buts sont contradictoires logique chercher de la nourriture vs fuir un prédateur deux actions sont techniquement combinables mais le faire serait absurde (elles concourent à des buts contradictoires) pression sur la pédale d'accélération versus utilisation du frein à main. 59
60 Sélection de comportements Problème essentiel : Choix entre les comportements concurrents possibles fuir ou attaquer, boire ou fumer, accélérer ou s arrêter à un feu, respecter la cohésion ou éviter les collisions, 60
61 Sélection de comportements Nécessité d une stratégie de sélection des comportements automate, règles de déclenchement, excitation ou inhibition, 61
62 Représentation par un automate Un comportement est un état de l automate
63 Système d excitation/inhibition Les comportements sont excités ou inhibés
64 Système d excitation/ inhibition Influence mutuelle système de vote, Influence externe, Contextes, Planificateur, Module de sélection, Sélection par la perception (comportements réactifs) réseaux de neurones 64
65 Système d excitation/inhibition Influence externe suivant des points de vue Sources de recommandations de comportements plusieurs points de vue (ici des niveaux d analyse) situation externe globale : conditions particulières de l environnement pouvant influer sur le comportement de l acteur Module de cognition : envisage les interactions de l'entité avec l'environnement externe et ses modules de recommandations Module de besoin : pour ajuster le comportement de l'entité en fonction de ses objectifs propres et du rôle qu elle a à jouer Module de sélection finale unifie les recommandations pour choisir les comportements à adopter. SIR-LABORIUS Université de Sherbrooke, CANADA 65
66 Environnement Système d excitation/inhibition Influence externe suivant des points de vue SIR-LABORIUS Université de Sherbrooke, CANADA Contexte Sélection du comportement Situation externe globale C 4 C 1 C 2 État de l acteur Module de cognition Module de besoins C 5 C 6 C 7 C 3 Sélection finale Effecteurs recommandent
67 Système d excitation/inhibition Alex Buendia Société SPIROPS Influence externe suivant des points de vue Centres d intérêt : expriment un point de vue expriment leur avis (intérêt) à propos d un comportement potentiel par : excitation énergétique : les excitations se cumulent, ce qui peut favoriser certains comportements éclairés par plusieurs centres d intérêt inhibition énergétique : réduit une excitation déjà présente Chaque centre d intérêt ne concourt qu à un seul objectif égoïsme Le calcul de l intérêt d un centre d intérêt provient de motivations : facteur interne, fonction de l état et des buts d opportunités : facteur externe, issu de l environnement 67
68 Environnement Système d excitation/inhibition Alex Buendia Société SPIROPS Influence externe suivant des points de vue Contexte Sélection du comportement Centre d intérêt 1 C 1 Centre d intérêt 2 C 4 État de l acteur Centre d intérêt 3 Centre d intérêt 4 Centre d intérêt 5 Centre d intérêt 6 Centre d intérêt 7 Centre d intérêt 8 C 5 C 6 C 7 C 3 C 2 Effecteurs Centre d intérêt 9 excitation/inhibition énergétique
69 Environnement Système d excitation/inhibition Alex Buendia Société SPIROPS Influence externe suivant des points de vue Contexte Sélection du comportement Centre d intérêt 1 C 1 État de l acteur Centre d intérêt 2 Centre d intérêt 3 Centre d intérêt 4 Centre d intérêt 5 Centre d intérêt 6 Centre d intérêt 7 C 5 C 4 C 6 C 3 C 2 Effecteurs Centre d intérêt 8 C 7 Centre d intérêt 9 excitation/inhibition énergétique
70 Système d excitation/ inhibition Xiaolin Hu Georgia State University Atlanta USA Sélection directe par le contexte Couche contexte Couche comportements Contexte 1 C 1 C 4 C 2 Contexte 2 Contexte 3 C 5 C 3 C 6 Effecteurs C 7 Contexte 4 inhibition mutuelle 70
71 Système d excitation/ inhibition Xiaolin Hu Georgia State University Atlanta USA Sélection directe par le contexte Couche contexte Couche comportements Contexte 1 C 1 C 4 C 2 Contexte 2 Contexte 3 C 5 C 3 C 6 Effecteurs C 7 Contexte 4 inhibition mutuelle déterminée par le contexte 71
72 Système d excitation/inhibition David PANZOLI panzoli@irit.fr Sélection par la perception Utilisation des réseaux de neurones suivant les couches : capacités réactives capacités d anticipation (couche associative) 72
73 Représentation par règles À chaque comportement possible, est associé une règle
74 Sélection de comportements Potentialité d action (comportement) décrite dans le système cognitif sous la forme si situation alors action mais l apparition de la situation n induit pas forcément l action ces règles servent juste à filtrer, dans l ensemble des actions imaginables, celles qui sont susceptible d être effectuée dans une situation donnée Le processus de décision proprement dit est en aval 74
75 Sélection de comportements coopération combinaison de plusieurs potentialités d actions compétition une seule potentialité d action conservée parmi les actions possibles dans une situation donnée 75
76 Sélection de comportements Propriétés des règles seuil d activation pondération priorité en cas de concurrence Ressources nécessitées par l action Préférence préférence consciente pour un comportement 76
77 Sélection de comportements Relations statiques entre les règles compatibilité ou incompatibilité inclusion partielle des effets Relations dynamiques entre règles inhibition (concurrence ou redondance des effets) renforcement (coopération) 77
78 Le langage HPTS (Hierarchical Parallel Transition Systems)
79 Langage de description des comportements Fonctionnalités requises Contrainte Objectif Modularité mise à jour Réactivité simulation temps réel Hiérarchie structure de contrôle Simultanéité, concurrence activités parallèles incompatibles Préemption résolution des conflits Exceptions gestion des situations d exception Gestion du temps activités de durées différentes Gestion des flux de données communication entre les unités 79
80 Représentation par des automates
81 Exemple d automate pour modéliser la conduite tourner à gauche suivre ralentir pour tourner distance frontale acceptable attendre le signal tourner à droite conduite libre stopper arrêt distance lattérale acceptable ne pas tourner 81
82 Représentation par automates Système de transitions événement e1 (c) A B transition condition états e2 C e2 82
83 Représentation par automates Système de transitions A e1 (c) B c, e1 e2 C e2 83
84 Représentation par automates Système de transitions A e1 (c) B c e2 C e2 84
85 Représentation par automates Système de transitions A e1 (c) B c, e1 e2 C e2 85
86 Représentation par automates Système de transitions A e1 (c) B e2 e2 C e2 86
87 Représentation par automates Mécanisme d abstraction avant A e1 (c) B e2 e2 C 87
88 Représentation par automates Mécanisme d abstraction après D A e1 (c) B e2 C 88
89 Représentation par automates Orthogonalité A2 et C2 sont simultanément actifs A1 A2 e1 B2 e1 B1 C2 e1 ou e3 D2 e2 F0 89
90 Représentation par automates Un exemple d utilisation sommaire rouler normalement événement : le feu passe au rouge freiner 90
91 Syntaxe de HPTS
92 Exemple 1 simple init ev1/ev3 run ev2 fin AUTOMATE simple; { //état initial INITIAL init; //état final FINAL fin; //liste des états ETATS { init; run; fin; } //liste des transitions TRANSITION t1; { ORIGINE init; EXTREMITE run; MSGEVT(ev1)/MSGEVT(ev3); } TRANSITION t2; { ORIGINE run; EXTREMITE fin; MSGEVT(ev2)/#; } } 92
93 Exemple 2 2 simple_flots init run fin a=0 b=0 ev1 a=a+1 b=a ev2 Variables locales a : entier Sorties b : entier ev2 run2 a=a+1 b=2*a ev3 AUTOMATE simple_flots; { VARIABLES { int a;int b; } //données de sortie OUT b; INITIAL init; FINAL fin; ETATS { init;{a=0;b=0;} run;{a=a+1;b=a;} run2;{a=a +1;b=2*a;} fin; } TRANSITION t1; { ORIGINE init; EXTREMITE run; MSGEVT(ev1)/#; } } TRANSITION t2; { ORIGINE init; EXTREMITE run2; MSGEVT(ev2)/#; } TRANSITION t3; { ORIGINE run; EXTREMITE fin; MSGEVT(ev2)/#; } ev3 93
94 Exemple 3 macro debut a simple init ev1 run ev2 fin final AUTOMATE macro; { INITIAL debut; FINAL final; ETATS { debut; simple; final; } TRANSITION t1; { ORIGINE debut; EXTREMITE simple; MSGEVT(a)/AUTO(start,simple); } TRANSITION t2; { ORIGINE simple; EXTREMITE final; AUTO(end,simple)/#; } } 94
95 Exemple 4 concurrent debut a simple simple1 simple2 final AUTOMATE concurrent; { INITIAL debut; FINAL final; ETATS { debut; simple; final; } TRANSITION t1; { ORIGINE debut; EXTREMITE simple; MSGEVT(a)/ AUTO(start,simple1), AUTO(start,simple2); } TRANSITION t2; { ORIGINE simple; EXTREMITE final; AUTO(end,simple1) AUTO(end,simple2)/#; } 95
96 Dépassement véhicule Libre Déboiter Suivi Rabattre 96
97 Automate feu_tram AUTO(end,VUT) / # AUTO(end,JVL) / # VUTa / AUTO(start,VUT[a]) VUTa JVLb f_1(b) AUTO(start,JVL[b]) VVL_mini 6s VUTb notf() / # VUTb / AUTO(start,VUT[b]) f_4(b) / AUTO(start,JVL[b]) VVL_rallonge f_1(a) / AUTO(start,JVL[a]) f_4(a) / AUTO(start,JVL[a]) JVLa 97
98 98
99 99
L apprentissage automatique
L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer
Plus en détailÉvaluation et implémentation des langages
Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation
Plus en détailLes apports de l informatique. Aux autres disciplines
Les apports de l informatique Aux autres disciplines Le statut de technologie ou de sous-discipline est celui de l importation l et de la vulgarisation Le statut de science à part entière est lorsqu il
Plus en détailPRÉPARATION TERMINALE AVANT UNE ÉCHÉANCE MAJEURE
PRÉPARATION TERMINALE AVANT UNE ÉCHÉANCE MAJEURE LA PRÉPARATION PHYSIQUE DES DERNIERS JOURS Les Jeux Olympiques de Londres 2012 Un essai de N. Krantz Mai & juin 2012 LES REPRÉSENTATIONS COMME PORTE D ENTRÉE
Plus en détailLean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable?
Lean Management : une stratégie de long terme Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Au cours de ces deux dernières années, les grandes entreprises du monde
Plus en détailProgrammation Web. Madalina Croitoru IUT Montpellier
Programmation Web Madalina Croitoru IUT Montpellier Organisation du cours 4 semaines 4 ½ h / semaine: 2heures cours 3 ½ heures TP Notation: continue interrogation cours + rendu à la fin de chaque séance
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailLe Profiling SwissNova
Le Profiling SwissNova pour un coaching plus efficace Mme Jalila Ben Soltane, Business Coach Mme Rim Kassous, Professionnel Certified Coach PCC HR Expo Tunis, Palais des congrès, 2013 LE CONCEPT NOVA La
Plus en détailIntelligence Artificielle et Robotique
Intelligence Artificielle et Robotique Introduction à l intelligence artificielle David Janiszek david.janiszek@parisdescartes.fr http://www.math-info.univ-paris5.fr/~janiszek/ PRES Sorbonne Paris Cité
Plus en détailProgramme scientifique Majeure INTELLIGENCE NUMERIQUE. Mentions Image et Réalité Virtuelle Intelligence Artificielle et Robotique
É C O L E D I N G É N I E U R D E S T E C H N O L O G I E S D E L I N F O R M A T I O N E T D E L A C O M M U N I C A T I O N Programme scientifique Majeure INTELLIGENCE NUMERIQUE Langage Java Mentions
Plus en détailStratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailIntroduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm)
Introduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm) Ecole d informatique temps réel - La Londes les Maures 7-11 Octobre 2002 -Définition et problématique - Illustration par des exemples -Automatisme:
Plus en détailLes bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire
Réunion d'experts sur Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire organisée par le Programme pour la construction et l'équipement de l'éducation et le Programme pour la
Plus en détailConception des systèmes répartis
Conception des systèmes répartis Principes et concepts Gérard Padiou Département Informatique et Mathématiques appliquées ENSEEIHT Octobre 2012 Gérard Padiou Conception des systèmes répartis 1 / 37 plan
Plus en détailDossier projet isn 2015 par Victor Gregoire
Dossier projet isn 2015 par Victor Gregoire Plan: I) But du projet: créer un jeu de blackjack fonctionnel et le poster sur une page web mise en ligne. Le jeu sera developpé en C++ a l'aide de code blocks.
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailLes Essentiels COLLECTION. Les règles de sécurité. pour le dépannage. des véhicules électriques. & hybrides. Commission
COLLECTION Les Essentiels Commission Mai 2013 Président : Eric Faucheux Véhicules électriques & hybrides Les règles de sécurité pour le dépannage des véhicules électriques & hybrides 1 Sommaire I. Les
Plus en détailEnvironnement logiciel open source pour la création d œuvres artistiques interactives
Environnement logiciel open source pour la création d œuvres artistiques interactives Stéphane Donikian IRISA/CNRS Campus de Beaulieu 35042, Rennes Cedex, France donikian@irisa.fr La création artistique
Plus en détailIntérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.
Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu
Plus en détailExtrait des Exploitations Pédagogiques
Pédagogiques Module : Compétitivité et créativité CI Première : Compétitivité et créativité CI institutionnel : Développement durable et compétitivité des produits Support : Robot - O : Caractériser les
Plus en détailRégion Bretagne Auto-mobilité et intelligence territoriale L équation gagnante pour la Banque (exemple)
Région Bretagne Auto-mobilité et intelligence territoriale L équation gagnante pour la Banque (exemple) 1 Notre dessein Caractériser la liaison entre stratégie d activités et stratégie de mobilités grâce
Plus en détailLe graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle
Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailDOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives
DOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives Comment assurer une expérience utilisateur exceptionnelle pour les applications métier
Plus en détailQualité du logiciel: Méthodes de test
Qualité du logiciel: Méthodes de test Matthieu Amiguet 2004 2005 Analyse statique de code Analyse statique de code Étudier le programme source sans exécution Généralement réalisée avant les tests d exécution
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailReprésentation d un entier en base b
Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailE/ECE/324/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4 E/ECE/TRANS/505/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4
6 décembre 2012 Accord Concernant l adoption de prescriptions techniques uniformes applicables aux véhicules à roues, aux équipements et aux pièces susceptibles d être montés ou utilisés sur un véhicule
Plus en détailTable des matières. CHAPITRE 1 Le conseil en organisation : bilan et perspectives... 15
Table des matières Préface... 5 Avertissement... 9 Introduction... 11 CHAPITRE 1 Le conseil en organisation : bilan et perspectives... 15 1 L activité du consultant, un terrain peu exploré... 16 2 Deux
Plus en détailNormes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité
Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailSéance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03
Gestion des opérations et de la logistique Séance 4 4-530-03 Gestion de la capacité Points importants présentés au dernier cours Les principaux types d aménagement Étude du travail et l amélioration des
Plus en détailCRÉER UN COURS EN LIGNE
Anne DELABY CRÉER UN COURS EN LIGNE Deuxième édition, 2006, 2008 ISBN : 978-2-212-54153-3 2 Que recouvre le concept d interactivité? Dans une perspective de cours en ligne, une activité interactive est
Plus en détailIntroduction à la robotique Licence 1ère année - 2011/2012
Introduction à la robotique Licence 1ère année - 2011/2012 Laëtitia Matignon GREYC-CNRS Université de Caen, France Laetitia Matignon Université de Caen 1 / 61 Plan Définitions 1 Définitions 2 3 Robots
Plus en détailInformatique industrielle A7-19571 Systèmes temps-réel J.F.Peyre. Partie I : Introduction
Informatique industrielle A7-19571 Systèmes temps-réel J.F.Peyre Partie I : Introduction Plan de la première partie Quelques définitions Caractéristiques communes des applications temps-réel Exemples d
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailCours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application
Université de Provence Licence Math-Info Première Année V. Phan Luong Algorithmique et Programmation en Python Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application 1 Ordinateur Un
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailComment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain?
DOSSIER SOLUTION Solution CA Virtual Placement and Balancing Comment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain? agility made possible La solution automatisée
Plus en détail2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel
2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel Bernard ESPINASSE Professeur à l'université d'aix-marseille Plan Les Activités du GL Analyse des besoins Spécification globale Conceptions architecturale
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailRapport d activité. Mathieu Souchaud Juin 2007
Rapport d activité Mathieu Souchaud Juin 2007 Ce document fait la synthèse des réalisations accomplies durant les sept premiers mois de ma mission (de novembre 2006 à juin 2007) au sein de l équipe ScAlApplix
Plus en détailTechnologie de sécurité. La haute fiabilité des technologies SNCC de Yokogawa
Technologie de sécurité La haute fiabilité des technologies SNCC de Yokogawa Les systèmes CENTUM CS et CENTUM CS3000 sont sur le marché depuis plus de 10 ans et sont utilisés avec succès sur de nombreuses
Plus en détailUn ordonnanceur stupide
Un ordonnanceur simple Université Paris Sud L objet des exercices qui suivent est de créer un ordonanceur implantant l algorithme du tourniquet ( round-robin scheduler ). La technique utilisée pour élire
Plus en détail1/24. I passer d un problème exprimé en français à la réalisation d un. I expressions arithmétiques. I structures de contrôle (tests, boucles)
1/4 Objectif de ce cours /4 Objectifs de ce cours Introduction au langage C - Cours Girardot/Roelens Septembre 013 Du problème au programme I passer d un problème exprimé en français à la réalisation d
Plus en détailSHERLOCK 7. Version 1.2.0 du 01/09/09 JAVASCRIPT 1.5
SHERLOCK 7 Version 1.2.0 du 01/09/09 JAVASCRIPT 1.5 Cette note montre comment intégrer un script Java dans une investigation Sherlock et les différents aspects de Java script. S T E M M E R I M A G I N
Plus en détailLa bonne gouvernance et le leadership du conseil d administration Favoriser et maintenir la confiance. ACCAU 2015 Montréal Sheila A. Brown, Ph. D.
La bonne gouvernance et le leadership du conseil d administration Favoriser et maintenir la confiance ACCAU 2015 Montréal Sheila A. Brown, Ph. D. Plan de la présentation 1. La définition de la confiance
Plus en détailITIL V3. Exploitation des services : Les fonctions
ITIL V3 Exploitation des services : Les fonctions Création : juin 2013 Mise à jour : juin 2013 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé en se basant
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailTDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE
DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques
Plus en détailOpenText StreamServe Cours 4-3710 Customer Communication Management L essentiel
OpenText StreamServe Cours 4-3710 L essentiel Durée : 4 jours Apprendre à utiliser OpenText CCM () pour contrôler vos communications d entreprises. Par une combinaison de théorie et de pratique, le formateur
Plus en détailSolution A La Gestion Des Objets Java Pour Des Systèmes Embarqués
International Journal of Engineering Research and Development e-issn: 2278-067X, p-issn: 2278-800X, www.ijerd.com Volume 7, Issue 5 (June 2013), PP.99-103 Solution A La Gestion Des Objets Java Pour Des
Plus en détailEnvironnements de développement (intégrés)
Environnements de développement (intégrés) Tests unitaires, outils de couverture de code Patrick Labatut labatut@di.ens.fr http://www.di.ens.fr/~labatut/ Département d informatique École normale supérieure
Plus en détailComplexité et auto-organisation chez les insectes sociaux. Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux
Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux Guy Theraulaz Centre de Recherches sur la Cognition Animale CNRS, UMR 5169, Toulouse, France Marathon des Sciences XXIII ème Festival d Astronomie,
Plus en détailCHAPITRE 3 : INTERVENTIONS SUR INCIDENTS
CHAPITRE 3 : INTERVENTIONS SUR INCIDENTS CINQ RECOMMANDATIONS ESSENTIELLES 1 CINQ RECOMMANDATIONS ESSENTIELLES CINQ RECOMMANDATIONS ESSENTIELLES BASÉES SUR UNE ANALYSE DES INCIDENTS OBSERVÉS En 2014, le
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détailProgrammation de services en téléphonie sur IP
Programmation de services en téléphonie sur IP Présentation de projet mémoire Grégory Estienne Sous la supervision du Dr. Luigi Logrippo Introduction La téléphonie sur IP comme support à la programmation
Plus en détailBrochure cannabis 21/02/05 4:17 PM Page 1 cannabis au volant
cannabis au volant Réalisation Association des intervenants en toxicomanie du Québec inc. www.aitq.com Cannabis au volant cool ou risqué? Cette brochure a pour but de t informer de l impact du cannabis
Plus en détailLes plates-formes informatiques intégrées, des builds d infrastructure pour les datacenters de demain
Livre blanc Les plates-formes informatiques intégrées, des builds d infrastructure pour les datacenters de demain Par Mark Bowker, analyste senior, et Perry Laberis, associé de recherche senior Mars 2013
Plus en détailRésolution de conflits, coaching et formation
Résolution de conflits, coaching et formation Fabienne Alfandari 16 chemin des Clochettes 1206 Genève fabienne@image-imagination.com www. image-imagination.com tél. 079 540 65 44 Un besoin dans les entreprises
Plus en détailLa Solution de Sécurité Easy Series La sécurité simplifiée
«Test Système terminé» La Solution de Sécurité Easy Series La sécurité simplifiée Un système de sécurité à la fois simple et puissant Le système de sécurité Easy Series, issu des nouvelles technologies
Plus en détailSécurité sur le web : protégez vos données dans le cloud
Livre blanc Sécurité sur le web : protégez vos données dans le cloud Présentation Les équipes de sécurité ne peuvent pas être partout, et pourtant le contexte actuel exige des entreprises qu elles protègent
Plus en détailMachines virtuelles Cours 1 : Introduction
Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Pierre Letouzey 1 pierre.letouzey@inria.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 janvier 2012 1. Merci à Y. Régis-Gianas pour les transparents Qu est-ce qu une
Plus en détailEQUIPEMENTS ELECTRONIQUES : MAINTENANCE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION EQUIPEMENTS
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailDisponibilité et fiabilité des services et des systèmes
Disponibilité et fiabilité des services et des systèmes Anthony Busson Introduction Un site Web commercial perd de l argent lorsque leur site n est plus disponible L activité d une entreprise peut être
Plus en détailTAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test
TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci
Plus en détailA. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg
Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailSTAGE IREM 0- Premiers pas en Python
Université de Bordeaux 16-18 Février 2014/2015 STAGE IREM 0- Premiers pas en Python IREM de Bordeaux Affectation et expressions Le langage python permet tout d abord de faire des calculs. On peut évaluer
Plus en détailÉléments d informatique Cours 3 La programmation structurée en langage C L instruction de contrôle if
Éléments d informatique Cours 3 La programmation structurée en langage C L instruction de contrôle if Pierre Boudes 28 septembre 2011 This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike
Plus en détailSecurity Center Plate-forme de sécurité unifiée
Security Center Plate-forme de sécurité unifiée Reconnaissance automatique de plaques d immatriculation Vidéosurveillance Contrôle d accès Solutions innovatrices Tout simplement puissant. Le Security Center
Plus en détailVoie SIS (2A M1) Signal, Informatique 05/06/2014
Voie SIS (2A M1) Signal, Informatique et Systèmes 05/06/2014 1ère des 2 années du cycle «smart system» système capable de : recevoir des données, des requêtes percevoir son propre état et/ou son environnement
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détailUNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU
Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris
Plus en détailDe l automatisme à la domotique...
Domotique La Et si le futur était déja là D De l automatisme à la domotique... Simples ou complexes, les systèmes automatisés sont partout dans notre environnement quotidien. Les produits automatisés sont
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailConseiller implantation de logiciel Milieu de la santé Supérieur immédiat : Vice-président opérations
Poste En bref : En tant que Conseiller implantation de logiciel chez Gestion Portail Santé, vous pourrez contribuer à la croissance d une entreprise reconnue pour moderniser les résidences de personnes
Plus en détailComment assurer la gestion des identités et des accès sous forme d un service Cloud?
FICHE DE PRÉSENTATION DE SOLUTION CA CloudMinder Comment assurer la gestion des identités et des accès sous forme d un service Cloud? agility made possible Grâce à CA CloudMinder, vous bénéficiez de fonctionnalités
Plus en détailRappels Entrées -Sorties
Fonctions printf et scanf Syntaxe: écriture, organisation Comportement Données hétérogènes? Gestion des erreurs des utilisateurs 17/11/2013 Cours du Langage C ibr_guelzim@yahoo.fr ibrahimguelzim.atspace.co.uk
Plus en détailRéunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE
Réunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 P RÉSENTATION DU PROJET ADVICE ACCEPTA BILITÉ ET DROIT DE L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE Présentation du Projet ADvICE En quelques mots La
Plus en détailUne création Socrates www.socratesonline.com. Internet accessible pour tous
Une création Socrates www.socratesonline.com Internet accessible pour tous Qui sommes-nous et qu est-ce que SitEthique? Le cabinet Socrates accompagne depuis 10 ans les établissements et les services dans
Plus en détailUniversité du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations
Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION Licence Professionnelle Management des Organisations Spécialité Ressources Humaines et Conduite de Projets Formation initiale/ Contrat
Plus en détailLa chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.
1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net
Plus en détailPrévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP
Prévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP Les facteurs de pénibilité applicables au 1 er janvier 2015 T R A V A I L D E N U I T T R A V A I L E N É Q U I P E S S U C C E S S I V
Plus en détailRepères Gérer la capacité
Repères Gérer la http://www.agilecom.fr Les enjeux de la gestion de la Réaliser cet ajustement est un effort continuel : La stratégie de l entreprise évolue avec la conjoncture ; Les métiers développent
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailIntelligence Artificielle Planification
Intelligence Artificielle Planification Bruno Bouzy http://web.mi.parisdescartes.fr/~bouzy bruno.bouzy@parisdescartes.fr Licence 3 Informatique UFR Mathématiques et Informatique Université Paris Descartes
Plus en détailFormations 2015 JASPER, REDMINE, TABLEAU, TALEND, SPAGO BI SYNALTIC 24 RUE DE L EGLISE 94300 VINCENNES
Formations 2015 JASPER, REDMINE, TABLEAU, TALEND, SPAGO BI SYNALTIC 24 RUE DE L EGLISE 94300 VINCENNES Table des matières Edito... 3 Informations pratiques... 4 Accueil des stagiaires... 4 Horaires...
Plus en détailagility made possible
DOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives Comment assurer une expérience utilisateur exceptionnelle pour les applications métier
Plus en détailIntroduction aux systèmes temps réel. Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr
Introduction aux systèmes temps réel Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr Définition Systèmes dont la correction ne dépend pas seulement des valeurs des résultats produits mais également des délais dans
Plus en détailQuand le bâtiment va, tout va
Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons
Plus en détailNO-BREAK KS. Système UPS dynamique PRÉSENTATION
NO-BREAK KS Système UPS dynamique PRÉSENTATION Table des matières Chapitre 1 : Description du système No-Break KS...3 Chapitre 2 : Fonctionnement lorsque le réseau est présent...4 Chapitre 3 : Fonctionnement
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailRelais d'arrêt d'urgence, protecteurs mobiles
PNOZ Relais jusqu'en d'arrêt 11 catégorie d'urgence, 4, EN 954-1 protecteurs mobiles Bloc logique de sécurité pour la surveillance de poussoirs d'arrêt d'urgence et de protecteurs mobiles Homologations
Plus en détailAXES DE RECHERCHE - DOMAINE D'INTERET MAJEUR LOGICIELS ET SYSTEMES COMPLEXES
1 AXES DE RECHERCHE - DOMAINE D'INTERET MAJEUR LOGICIELS ET SYSTEMES COMPLEXES 2 Axes de recherche L activité du DIM LSC concerne la méthodologie de la conception et le développement de systèmes à forte
Plus en détail