Risques et protection du patient en R. A. Roche
|
|
- Martin Côté
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Risques et protection du patient en R A. Roche Janv 2010
2 RI thérapeutique : principalement RX (essentiellement scopie et partiellement scanographie). Interventionnel = 1% de l ensemblel des procédures radiologiques Augmentation des procédures interventionnelles de 10 à 20% par an, de leur complexité,, de leur durée Problèmes de radioprotection pour les patients et les opérateurs
3 Les doses délivrd livrées aux patients en radiologie interventionnelle dépassent d fréquemment la valeur de 200mGy ( limite conventionnelle des «faibles» doses) et atteignent souvent quelques grays. Effets possibles de nature stochastique mais également déterministes d (radiodermites( radiodermites). Directive Euratom 97/43 : la RI est une des «pratiques spéciales» énoncées à l article 9, pour lesquelles il est demandé que les équipements, les procédures, les programmes d assurance d de qualité et la formation des opérateurs soient particulièrement rement appropriés. Décret n n du 24 mars 2003 relatif à la protection des personnes exposées es à des rayonnements ionisants à des fins médicales m et médicom dico-légales
4
5
6
7
8
9
10
11 protection/ MARTIR Project Multimedia & Audio-visual Radiation Protection Training in Interventional Radiology. Radiation Protection 119
12 LES LESIONS CUTANEES
13
14
15
16 ESTIMATION DE LA DOSE AU PATIENT A.Kosunen,, T. Komppa,, and M. Toivonen.. Evaluation of methods to estimate the patient dose in interventional radiology. Radiat Prot Dosimetry, December 1, 2005; 117(1-3):
17
18
19 artographie
20 21 mois après s 1 CORO + 2 ATL, à 3j d intervalle
21 (CP.Short et al Cardiovasc Intervent NEURO-RADIOLOGIE RADIOLOGIE INTERV. & THYROÏDE Intervent Radiol,, 2007) Risque annuel de développer d un de cancer la thyroïde pour unu enfant subissant en un an 6 embolisations de MAV à forte dose (40 msv) ) = 1 / 1700 Cache-thyro thyroïde 0,5 mmpb vs/ pas de cache Embolization de MAV et Tt d and anévrysmes Dose moyenne (TLD) (msv( msv) Dose relative à la thyroïde = PDS (cgy( cgy.. Cm2) Réduction de 48% (3,77 vs/ 7,23) Cache-thyro thyroïde circonférentiel rentiel
22 NORMES DE SECURITE POUR LES APPAREILLAGES
23
24
25 LES GUIDES DE PRATIQUES
26 1- Guide du bon usage des examens d'imagerie médicalem Recommandations pour les professionnels de santé Transposition de la directive européenne enne 97/43 Euratom Société Française aise de Radiologie ociété Française aise de Biophysique et de Médecine M Nucléaire édigé en concertation avec l'agence Nationale d'accréditation ditation ete d'evaluation en Santé (ANAES), t le soutien de la Direction Générale G de la SûretS reté Nucléaire et de la Radioprotection (DGSNR). 1ère édition
27 Outil de mise en pratique du principe de justification. estiné à tous les professionnels de santé habilités à demander u à réaliser des examens d'imagerie médicale. m Pour aider les raticiens à effectuer cette analyse préalable alable,, l'article R révoit que le ministre chargé de la santé établit et diffuse un uide de prescription des actes et examens courants exposant à es rayonnements ionisants. Parmi les objectifs du Guide : - Réduire l'exposition des patients par la suppression des examens d'imagerie non justifiés - Réduire l'exposition des patients par l'utilisation préférentielle rentielle des techniques non irradiantes -
28 2- Guide des Procédures Radiologiques: Crit Critères res de Qualité et Optimisation des Doses = Procédures radiologiques standardisées Ecrites par des groupes de travail de la SFR Puis validées par des experts (Sociétés s d organes, d NMR) Contribution de l AFPPEl Evaluation dosimétrique (OPRI), et démarche d d'optimisation des doses. Soumis pour avis à des experts de la SFPM
29 CRITERES DE QUALITE ET OPTIMISATION DES DOSES EN RADIOLOGIE VASCULAIRE ET INTERVENTIONNELLE 4.1. Angiographie - Angiographies pulmonaire, membres supérieurs, membres inférieurs, rénalr bronchique, digestive, pelvienne, troncs supra-aortiques aortiques - Angioplastie des troncs supra-aortiques aortiques - Shunt porto-cave intra-hépatique par voie transjugulaire «TIPS» - Récupération d un d corps étranger endovasculaire 4.2. Cardiologie - Coronarographie, Ventriculographie gauche, ventriculographie droite - Angioplastie coronaire 4.3. Neuroradiologie interventionnelle - Traitement endovasculaire des MAV - Traitement endovasculaire des anévrysmes intra crâniens - Traitement endovasculaire des FAV durales crâniennes (4.4. Radiologie interventionnelle urinaire) (4.5. Radiologie ostéo-articulaire interventionnelle) - Myélographie, Saccoradiculographie, Epidurographie, Discographie
30 1. Principe de base ustification de l interventionl = confirmation argumentée e de son indication (cf. Guide du bon usage) Mais le rapport Bénéfice/Risque B lié à l irradiation ne concerne pas les mêmes enjeux que pour le diagnostic La a notion de niveau de référence r rence est moins opérationnelle pour la radioprotection compte tenu de la nécessitn cessité première de réussir r l intervention, avec ce que cela comporte
31 2. Recommandations pour la réduction r des doses. Equipements Utiliser un matériel spécialement dédid dié, conforme aux normes, performant, faisant l objet l de maintenance préventive et de contrôles de qualité réguliers. Disposer de l affichage l au pupitre des paramètres de l examen et d un d système de mesure (ou de calcul) du Produit Dose-Surface (PDS) en sortie du tube. Récepteurs d image les plus sensibles, avec des amplificateurs performants, et dispositifs automatiques de contrôle de l exposition l et du débit de dose.
32 b. Procédures Limiter l él émission du faisceau de rayons X au temps minimum nécessaire à l intervention Choisir le mode pulsé de préférence rence au mode continu. Diminuer le volume irradié par une collimation optimale Augmenter l él énergie du rayonnement en utilisant des hautes tensions et des filtrations additionnelles. Maintenir l intensité du courant dans le tube (ma) aussi basse que possible.
33 Diminuer la cadence d acquisitiond des images. Augmenter la distance foyer-patient Diminuer la distance patient-récepteur Travailler le plus souvent possible avec le tube sous la ble et le détecteur d au-dessus ( ne modifie pas l irradiation l u patient mais diminue la part du rayonnement diffusé du côté de pérateur) Eviter si possible l usage l des grilles anti-diffusantes diffusantes. Modifier l incidence l du faisceau au cours intervention prolongée,, pour éviter le cumul des
34 . DéroulementD localisation du CE, choix du matériel, retrait du CE. Description de la procédure et paramètres techniques 2.1. Préparation et position du patient - Préparation du patient, Position du patient et surveillance per op 2.2. Matériel et procédure Ex Récupération de CE endovasc - Angiographie numéris risée - Ampli : 23 à 40 cm - Soustraction automatique - Système intégr gré de mesure de l irradiation l : PDS - Cathétérisme - Scopie numérique : autorégul gulée e +/- scopie pulsée, +/- scopie interventionnelle (traçage) age)
35 2.4. Paramètres de visualisation des images 2.3. Paramètres techniques d acquisitiond - distance foyer-ampli : diminution du rayonnement diffusé - collimation : diaphragmes mécaniquesm caniques, filtres d absorption «mous» (Alu) - diamètre des champs d exploration d : 23 à 40 cm - taille du foyer : 1,2 (gros foyer) - tension : 60 à 80 kv, charge # 200 mas - injection - séquences d acquisition d : cadence, durée, - nombre de séquences s et incidence une séquence s de repérage rage une séquence s de contrôle après s l ablation l procédure réalisr alisée e essentiellement sous scopie
36 3. Optimisation des doses délivrd livrées qs 4.. Conditions particulières res = Soins per et post-op opératoires : Compression manuelle Pansement compressif si abord artériel riel (point de ponction) ou pansement de la veine ponctionnée Mise en culture éventuelle du corps étranger Examen clinique Fiche de suivi Interprétation tation du dossier et courrier aux correspondants Déclaration de matério rio-vigilance si nécessaire. n
37 Evolution des systèmes et des pratiques
38 CT-Fluoroscopy & Dose au Patient JJ.Froelich et al. J Vasc Interv Radiol,, 1998 pas de différence SG.Silverman et al Radiology,, 1999 réduction de dose, mais niveau restant élevé SK.Carlson et al. Radiology,, 2001 réduction de dose très s significative
39 CT-Fluoroscopy & Dose au Patient Types de machine Différences d expertise d ( ( temps de scopie) Travail à des intensités s très s différentes ex. 250 ma (Silverman( Silverman) ) vs ma (Carlson) 300 mgy/acte 43 mgy/acte Effet attendu de toute façon : diminution du nombre de coupes réalisr alisées
40 CAPTEURS PLANS Comparison of a conventional and a flat-panel digital ystem in interventional cardiology procedures» Tsapaki,, et al. British Journal of Radiology (2004) 77, Coronarographie
41 Systèmes combinés (TDM / Angio)
42
43 HCC
44
45
46 TDM Angio Combiné Bilan dosimétrique? Effets négatifs n «potentiels» Addition Faire deux actes en un (ex. CHE foie + RF méta m pulm) Effets positifs «potentiels» Réduction des temps de scopie? Traitement plus complet sujets d éd études
MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailSAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION
SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION Y-S Cordoliani pour le Groupe de travail Radioprotection de la SFR Le savoir-faire en imagerie utilisant les rayons X impose la connaissance des risques que ceux-ci peuvent
Plus en détailJ ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailLes bases physiques de l'imagerie radiologique
Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits
Plus en détailLE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose
LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le
Plus en détail2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10
mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction...... 4 1. Procédures de déclaration et d autorisation de détention et d utilisation de générateurs électriques...... 5 1.1. Régime administratif des installations
Plus en détail«Actualités réglementaires en radioprotection»
Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détail',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ
',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailLa dosimétrie physique, mesurer pour optimiser
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE
PRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction... 4 1. Procédures de déclaration
Plus en détailRédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM)
G U I D E D E L ' A S N M E D I C A L en collaboration avec SOCIETE FRANÇAISE DE PHYSIQUE MEDICALE Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) GUIDE Nº 20 Version du 19/04/2013 Préambule
Plus en détailL INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)
CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailDr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailDOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public
R A P P O R T DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public Rapport DRPH/SER N - DIRECTION DE LA RADIOPROTECTION
Plus en détailDIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailGE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal
GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailTel : 03 22 09 93 34 www.fsconcept.com e-mail : contact@fsconcept.com
F.S. Concept Concepteur de vos formations Catalogue janv 2012 Tel : 03 22 09 93 34 www.fsconcept.com e-mail : contact@fsconcept.com Tel : 03 22 09 93 34 www.fsconcept.com e-mail : contact@fsconcept.com
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailORTHOPHOS XG 3 DS. Systèmes de radiographie. ORTHOPHOS XG 3 l accès facile à la panoramique numérique.
ORTHOPHOS XG 3 DS Systèmes de radiographie l accès facile à la panoramique numérique. Conception clichés panoramiques avec technologie XG. technique et design en harmonie. fiable économique 1 Profitez
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailRESTENOSES ENDOSTENTS: 51 PATIENTS
RESTENOSES ENDOSTENTS: 51 PATIENTS A.N. Diop, L. Cassagnes, V. Vo Hoang, A.T. Alfidja, E. Dumousset, A. Ravel, P. Chabrot, L. Boyer. Service de Radiologie B CHU de Clermont-Ferrand INTRODUCTION L angioplastie
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailAssurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques
Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détailOP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique
OP200 D OC200 D VT Imagerie panoramique numérique Imagerie céphalométrique dentaire numérique VT Tomographie Volumétrique ORTHOPANTOMOGRAPH OP200 D ORTHOCEPH OC200 D VT Tomographie Volumétrique 1 À la
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailComplément: Sources naturelles de rayonnement
Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à
Plus en détailLe Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide
Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide Le Black Piranha et ses accessoires permettent un contrôle qualité simple et rapide des
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailRéf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la
Plus en détailÉvaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie
Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailSurveillance dosimétrique Note législative
VL/NB Bruxelles, le 17 mars 2014 Surveillance dosimétrique Note législative 1 Un nouveau texte de loi vient de paraître. Il s agit de : Loi du 26 janvier modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailMonsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR
DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté
Plus en détailSPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES
92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice
Plus en détailORGANISATION D UN SECTEUR DE RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
ORGANISATION D UN SECTEUR DE RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE F. JOFFRE La radiologie interventionnelle est une activité spécifique qui implique des moyens humains et matériels ainsi que des structures spécifiques.
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailPrincipe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14
Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Table des matières Société IBA Vue d ensemble Procédure Product Life Management (PLM)
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailÉtude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT
Étude de la faisabilité de l auto-compression en mammographie A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT INTRODUCTION La compression mammographique est parfois mal vécue par certaines
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailOrthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D. Imagerie dentaire
Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D Imagerie dentaire Imagerie panoramique et céphalométrique en acquisition digitale directe Orthopantomograph OP100 D et Orthoceph OC100 D L Orthopantomograph
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailLa documentation Française : La Sécurité des personnels utilisant des appareils à rayonnements ionisants dans les établissements de santé
Pages SIGLES ET ABRÉVIATIONS 5 INTRODUCTION 7 HISTORIQUE 9 I. LA RÉGLEMENTATION EN VIGUEUR 12 A. LA SITUATION EN EUROPE ET DANS LE MONDE 12 1. Les recommandations de la Commission Internationale de Protection
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailFRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.
GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailScanner de film numérique
HD-CR 35 NDT Le nouveau standard de la radiographie numérique avec la technologie TroisFocales Scanner de film numérique Données techniques HD-CR 35 NDT Taille ajustable des spots laser : 12,5-25 - 50
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailMédecine nucléaire Diagnostic in vivo
RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor
Plus en détailDTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE
DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d intégration en 1 ère année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04 68 35 76
Plus en détailConséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection
Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte
Plus en détailSensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants
Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants version 2010 Formateur: Patrice Charbonneau Pourquoi une sensibilisation Code du travail 2008 (ex 2003-296) relatif à la protection des
Plus en détailNotice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)
IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPrix communication jeunes chercheurs JFR 2010
Prix communication jeunes chercheurs JFR 2010 Télé échographie abdominale et fœtale en temps différé * Toussaint Kokou ADAMBOUNOU Objectif : Mise au point d un système de télé échographie entre sites «non
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailfacilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort
Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile
Plus en détailCORRECTION URGENTE SUR LES DISPOSITIFS MÉDICAUX NOTIFICATION DE SÉCURITÉ AUX UTILISATEURS
Objet : Produit concerné : Référence / identifiant FSCA : Date de la notification : Type d'action : Erreur de calcul des champs IMRT comportant plusieurs groupes de chariots avec le AAA Algorithme analytique
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLeadership, innovation, réussite L A N O U V E L L E R É F É R E N C E E N M AT I È R E D E T E C H N O L O G I E D E L A S A N T É.
Leadership, innovation, réussite L A N O U V E L L E R É F É R E N C E E N M AT I È R E D E T E C H N O L O G I E D E L A S A N T É. Radiologie Cardiologie Worflow Archivage neutre Cloud computing Vue
Plus en détailRecommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques
RECOMMANDATIONS Recommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques Qu elles soient coro n a i res, hémodynamiques, rythmiques ou de toute a u t re
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailL IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES
Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailMaîtrise des Fournisseurs. La CAEAR. Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif
Maîtrise des Fournisseurs La CAEAR Commission d Acceptation des Entreprises en Assainissement Radioactif 1 La CAEAR : Définition Commission interne au CEA, Elle a pour mission la présélection des entreprises
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale
DOSSIER DE PRESSE Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale Service de presse et de communication : MHC Communication Marie-Hélène Coste / Véronique Simon 38 avenue Jean Jaurès - 94110 Arcueil Tél.
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailMETHODES ALTERNATIVES A LA GAMMAGRAPHIE A L IRIDIUM? Alternatives methods to Iridium gammagraphy?
METHODES ALTERNATIVES A LA GAMMAGRAPHIE A L IRIDIUM? Alternatives methods to Iridium gammagraphy? J.Hatsch D.Chauveau A.Blettner Institut de Soudure Industrie E-mail : j.hatsch@institutdesoudure.com d.chauveau@institutdesoudure.com
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailEst-il possible de détecter en capillaroscopie péri-unguéale l'impact microcirculatoire des rayonnements ionisants chez des médecins radio-exposés?
UNIVERSITE JOSEPH FOURIE R FACULTE DE MEDECINE DE GRENOBL E Année 2006 2007 Est-il possible de détecter en capillaroscopie péri-unguéale l'impact microcirculatoire des rayonnements ionisants chez des médecins
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détail