DOSSIER DE PRESSE. La filière laitière d Ile-de-France teste le concept de distributeur de lait.
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- Pauline Josiane Delorme
- il y a 8 ans
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1 DOSSIER DE PRESSE La filière laitière d Ile-de-France teste le concept de distributeur de lait.
2 La filière laitière francilienne au cœur de l innovation Né de la volonté de valoriser collectivement la production régionale, la filière laitière d Ile-de- France, au travers de la MAISON DE L ELEVAGE et avec l appui du CERVIA Paris Ile-de-France, teste et étudie depuis quelques mois le concept de distributeur de lait «du producteur au consommateur». 125 éleveurs laitiers franciliens, 20 millions de litres de lait et 12 millions de consommateurs, sont concernés par ce projet. Pour la première fois sur le SIA, un distributeur de lait sera présenté. Les consommateurs pourront acheter des bouteilles de lait en provenance d exploitations franciliennes ou déguster sur place au verre. Un test grandeur nature auprès de plus de franciliens! L Ile de France produit environ 46 millions de litres de lait. Sur ces 46 millions, 18 millions sont transformés dans la filière Brie de Seine et Marne (Meaux et Melun), 4,4 millions sont destinés à la vente directe, soit sous forme transformée, soit en lait cru. Le reste de la production, soit environ 24 millions de litres, est commercialisé hors région, dans les circuits industriels classiques. Dans un contexte de crise de la filière laitière ou l on constate un effondrement du prix payé à la production (cf. tableau ci-dessous), les producteurs franciliens ont la volonté de prendre en main leur filière. Accompagné par la Maison de l élevage, ils souhaitent se réapproprier le produit et valoriser sa qualité, ce qui permettra de mieux répartir la marge.
3 Avec 12 millions d habitants et une consommation moyenne de 371 l d équivalent lait par habitant (moyenne française), l Ile de France offre un potentiel considérable pour ses éleveurs laitiers.en effet, en dehors des produits industriels, ce sont 221l de lait qui sont consommés par chaque francilien. Il s agit tout d abord de rechercher une valorisation maximum de la production régionale, autour de 20 millions de litres de lait, production qui ne représente qu environ 2,5% de la consommation francilienne en lait*. *(base moyenne consommation française 67,1 kg par habitant) Depuis quelques mois sont apparus en France des distributeurs de lait cru. On compte environ 70 appareils en service et autant en cours de commande. En règle générale, ces distributeurs de lait sont installés et gérés par les éleveurs. Ceux-ci en assurent la maintenance (hygiène, entretien, approvisionnement...). Afin de réduire les aspects logistiques, les distributeurs sont installés dans un rayon assez proche des étables de production. Si ce système semble séduisant, sa mise en oeuvre actuelle pose néanmoins certaines questions - habitudes de consommation zone d implantation contraintes réglementaires. De plus, il est important de rappeler que les industriels, ces dernières années, se sont concentrés sur la conservation du lait et sur son emballage, plus que sur son goût. Les consommateurs sont habitués au goût du lait cuit et ne connaissent plus le goût au sortir du pis de la vache. Le café du matin ou le chocolat masquent les imperfections Dans une région comme l Ile-de-France, la faible densité de producteurs, les difficultés de circulation et les modes de consommation liées à la vie citadine, créent un obstacle supplémentaire pour bon nombre de producteurs, pour gérer ce type de concept. Pourtant, la diversité de la population (âge, revenu, diversités culturelles...), sa densité et le besoin nouveau de proximité exprimé par les consommateurs urbains offrent de fabuleuses opportunités en matière de marché des produits laitiers. Les distributeurs de lait pourraient être un des éléments importants de la nouvelle dynamique portée par les éleveurs franciliens. La Maison de l élevage, dans ce contexte, mène une étude en collaboration avec le CERVIA Paris Ile-de-France pour valider ce marché potentiel et sa faisabilité avec pour premier objectif de toucher les franciliens de Paris et de la petite couronne qui n ont plus l opportunité de bénéficier de produits fermiers. La filière laitière a oublié ses dernières années que les meilleurs arguments pour défendre le lait sont ses qualités biologiques, organoleptiques et que ses meilleurs défenseurs sont les producteurs eux mêmes. Les éleveurs d Ile-de-France choisissent, au travers de ce projet, d aider les consommateurs à redécouvrir la saveur du lait. Grâce aux efforts qu ils fournissent pour produire un lait de qualité dans de bonnes conditions environnementales, les éleveurs peuvent espérer obtenir une meilleure rémunération de leur travail. Par ailleurs, une réflexion plus générale est conduite avec le CERVIA pour la mise au point d une gamme complète de produits laitiers franciliens destinés aux circuits spécialisés.
4 Pour parler de ce projet, nous avons interrogé Jean-Baptiste Galloo, éleveur dans les Yvelines, Président du syndicat interdépartemental de l élevage et Vice-président de l Etablissement Régional de l Elevage: D où vient l idée de proposer des distributeurs de lait aux consommateurs? «Autrefois les fermes étaient plus proches des villes, et notamment de Paris. Les parisiens buvaient du lait des fermes alentour. Aujourd hui, ce n est plus le cas, il y a moins de fermes laitières en Ile-de-France et avec l explosion des transports, le lait provient d autres régions, il est thermisé, pasteurisé et pour la majorité stérilisé (UHT)... le goût d un lait d origine s est peu à peu perdu. Or, il y a une vraie demande des consommateurs d un retour à l authentique, et à la proximité. Pour répondre à cette demande, nous souhaitons mettre en place au cœur des villes, des distributeurs de lait frais, pour apporter la ferme à la ville, en quelque sorte». Comment ces distributeurs fonctionnent-ils? «Les distributeurs sont très aboutis d un point de vue technologique. Ils sont réfrigérés pour garantir la chaîne du froid et alimentés tous les jours par le lait produit le matin même sur les exploitations franciliennes. Le lait non utilisé de la veille est retiré et remplacé par du lait frais. Il est récupéré pour être thermisé et transformé en yaourts par exemple. C est à la fois technologique, écologique et économique. En effet, les consommateurs viendront avec leur contenant pour se servir directement au distributeur. Par ailleurs, les données du distributeur sont envoyées en direct au producteur qui sait si celui-ci connait un dysfonctionnement ou s il est vide par exemple. Ces distributeurs encouragent le consommateur à modifier son comportement pour une consommation de proximité et ainsi limiter son impact sur l environnement. Ce mode de distribution permet une réduction conséquente des coûts de transport et de packaging. Où pourrons- nous trouver ces distributeurs? «L idée est de positionner les distributeurs au cœur des agglomérations, sur des lieux de passage, une place de marché, une gare, une station de vélib la philosophie des distributeurs de lait est simple : faciliter l accès au lait frais pour des consommateurs habitant en centre ville qui ne peuvent pas se déplacer régulièrement directement dans des fermes laitières».
5 Les étapes du projet de la filière laitière francilienne Afin de répondre à la volonté des éleveurs franciliens d être en adéquation avec les attentes et les habitudes de consommation des 12 millions de franciliens, la Maison de l élevage accompagné par le CERVIA Paris Ile-de-France mène différentes études : - Une étude de marché afin de définir les attentes des consommateurs en termes de produits, de circuit de distribution et de lieu d implantation des futurs distributeurs... Cette étude a été confiée après appel d offres à la Junior ESSEC. Elle comprend des entretiens avec des experts du marché (fabricants de distributeurs Italiens, importateur français, éleveurs en possession de distributeurs ) ; une étude quantitative auprès de consommateurs franciliens, ainsi qu une étude auprès de 200 crémiers fromagers d Ile-de-France qui représentent un circuit de distribution pertinent pour ce projet. - Une étude technologique et organoleptique confiée à l ENITIAA Nantes pour valider le type de lait qui pourra être mis dans les distributeurs de Paris et la petite couronne. Son objectif est de proposer le type de lait en adéquation avec le goût, les attentes et les habitudes de consommation des franciliens : lait cru, thermisé micro-filtré? Les différentes pistes identifiées seront soumises aux consommateurs via des tests organoleptiques permettant de vérifier la préférence et la différence perçue de goût. - Un test grandeur nature au salon de l agriculture. La présence du premier distributeur de lait homologué en France sur le stand «des fermes laitières et fromagères d Ile-de- France» sur le pavillon de la Région Ile-de-France (hall 7.2) a pour objectif de tester auprès des franciliens le concept, et aussi de les interroger sur leur perception du lait cru. - j - Une étude visant à définir les besoins et les choix logistiques adaptés à ce concept de distributeur automatique de lait. Le projet des éleveurs franciliens se concrétisera sous quelques semaines par la création d une structure collective (Société Coopérative d Intérêt Collectif - SCIC). Ce type de structure a pour particularité de permettre d intégrer différents collèges (producteurs, consommateurs, collectivités territoriales ). Les résultats de ces différents niveaux d études et la création de cette structure collective permettront à la filière francilienne de mieux prendre en compte les attentes des consommateurs et une meilleure valorisation du lait pour les producteurs.
6 L Ile-de-France, un marché potentiel porteur pour répondre au projet de la filière laitière francilienne Chiffres clé des productions et consommations francilienne et française Production laitière : l Ile de France au dessus de la moyenne nationale L Ile-de-France est une terre laitière. Les principales exploitations se concentrent en effet en Brie laitière (Nord Seine et Marne), dans le Sud Seine et Marne (Montois et Brie Centrale), zones de production qui correspondent à la fabrication des traditionnels Brie de Meaux et Brie de Melun (2 AOP), emblèmes de la tradition fromagère francilienne. Le Parc Naturel du Vexin est également concerné par la production laitière mais avec un volume beaucoup moins important. En Ile-de-France, l effectif de vaches laitières est resté relativement stable entre 2004 et Evalué à 6800 têtes en 2004, il a augmenté pour atteindre 7500 têtes en 2005 et 2006 avant de retomber à environ 7100 têtes en 2007 et de se stabiliser Il se répartit aujourd hui comme suit : 555 têtes en Essonne, 4785 en Seine et Marne, 544 dans le Val-d Oise, 1147 dans les Yvelines. En France, producteurs laitiers élèvent 3,799 millions de vaches laitières (en 2007) et produisent 22,2 milliards de litres.
7 Des franciliens adeptes des produits laitiers L étude CREDOC réalisée en 2009 en vue du colloque du CERVIA «Nourrir la région-capitale», a démontré que les franciliens avaient une alimentation fortement conditionnée par les problématiques de santé. Les franciliens consacrent ainsi une part importante de leur alimentation aux produits laitiers. Le poste budgétaire pour cette catégorie d aliments arrive en effet en troisième position derrière la viande et les céréales (consommation représentant 13,4% des dépenses). Les produits ultra frais laitiers occupent notamment une place significative dans l alimentation des franciliens: 1 ère place pour les enfants (98g/J pour les enfants.) et 3 ème place pour les adulte (89g/ j pour l adulte), derrière les boissons rafraîchissantes sans alcool et les légumes. Les franciliens, malgré un poids total de l alimentation dans leur budget total inférieur à la moyenne française 15,8% au lieu de 17,6% - consomment de manière plus importante des ultra-frais laitiers. 15% des consommateurs franciliens se disent prêts à payer le lait plus cher pour la présence d un signe de qualité. En France, les dépenses des ménages en lait sont de 1,78 milliards d euros dont 97,6% pour le lait longue conservation (stérilisé UHT), soit une consommation de lait liquide annuel par habitant de 67,1 kg en français sur 10 déclarent consommer régulièrement du lait ; 68% des français en consomment au moins une fois par semaine ; 6 enfants sur 10 en consomment au moins une fois par jour ; 4 adultes sur 10 en consomment quotidiennement. Seulement 6% de la consommation globale de lait est effectuée hors domicile ; 78% de la consommation globale de lait est effectuée lors du petit déjeuner ; La consommation de lait est installée lors de l enfance puis connaît une baisse jusqu à 25 ans et particulièrement chez les consommateurs masculins et se stabilise ensuite à l âge adulte ; Entre 18 et 45 ans la consommation est beaucoup plus féminine; Le lait est consommé à 37,8% nature et 62,2% non nature (dont 16,7% avec des céréales). Contacts Presse François Hallépéé Maison de l élevage d Ile-de-France Francois.hallepee@elevageidf.fr Bénédicte Dupont CERVIA Paris Ile-de-France Benedicte.dupont@cervia.fr
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