APPORT DU SCANNER ET DE L IRM DANS LA DETECTION DES DIFFERENTES COMPLICAITONS DE L OTITE MOYENNE CHRONIQUE CHOLESTEATOMATEUSE
|
|
- Jean-Michel Lavallée
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 APPORT DU SCANNER ET DE L IRM DANS LA DETECTION DES DIFFERENTES COMPLICAITONS DE L OTITE MOYENNE CHRONIQUE CHOLESTEATOMATEUSE C. JEMLI-CHAMMAKHI (1), R. ATTAOUI (1), R.MESSAOUIDI (1), N.SADDOUD (1), O.BEN GAMRA (2), A.EL KHEDIM (2), MH.DAGHFOUS (1) (1) SERVICE DE RADIOLOGIE HOPITAL HABIB THAMEUR - TUNIS (2) SERVICE D ORL HOPITAL HABIB THAMEUR - TUNIS
2 INTRODUCTION L otite moyenne chronique cholestéatomateuse est souvent quantifiée comme dangereuse. Cette dangerosité est liée aux propriétés ostéolytiques et au caractère évolutif du choléstéatome qui est une source potentielle de complications graves. Elle est caractérisée par la présence d un épithélium malpigien kératinisé au sein de la cavité de l oreille moyenne
3 MATÉRIELS ET MÉTHODES Etude rétrospectives sur 242 oreilles opérés avec période d étude allant de 2000 à 2007 Ayant bénéficié d un examen otoscopique et audiométrique Exploré par TDM et/ou IRM soit en pré et/ou post opératoire Traités chirurgicalement
4 IMAGERIE PRÉ OPÉRATOIRE TDM des rochers : Épaisseur de coupes : 1 mm Intervalles de coupes : 0,5 à 1 mm Coupes axiales et coronales Filtre dur Fenêtre:
5 IRM : 1Tesla Des séquences axiales et coronales Une séquence en écho de spin pondéré en T1 sans Gadolinium Une séquence en écho de spin pondéré en T1 avec Gadolinium Une séquence pondéré en T2 en coupes fines : * spin écho ( FSE : Fast Spin Echo ) * écho de gradient ( CISS 3 D )
6 Une séquence en écho de spin pondéré en T1 avec Gadolinium tardive à 45 min Complété systématiquement par une étude de l encéphale en coupes T2 ou FLAIR
7 RÉSULTAT EPIDEMIOLOGIE : Parmi les 242 oreille opérés : 240 choléstéatome acquis 2 congénitaux Age moyen : 36,6 ans [ 4 83 ans ] Maximum de fréquence : Adulte jeune Sex Ratio : 1,26
8 Coté atteint : Gauche 90 cas ( 37,2 % ) Droite 125 cas ( 51,6 % ) Bilatéralité 27 cas ( 11,2% ) Taux de bilatéralité était 13,89 % dans la population pédiatrique Délai de consultation 36 mois (3mois- 10 ans)
9 MOTIFS DE CONSULTATION Signes fonctionnels Nombre de cas % Otorrhée Hypoacousie Otalgie Acouphène Otorragie ,5 86,7 6, Signes de complications 30 13,9 Vertige rotatoire Paralysie faciale périphérique Otomastoidite aigue(tuméfaction rétro auriculaire inflammatoire) Céphalée ,5 1,6 4,1 0,8
10 RESULTATS DE L IMGERIE : TDM réalisés pour 166 patients ( 77,2 %) IRM Demandé systématiquement dans 136 cas Motivé par les signes de complications dans 30 cas pratiquée devant la présence de signes de complications locales ou cérébro- méningées à type de céphalées et de paralysie faciale périphérique
11 COMPLICATIONS LOCORÉGIONALES Opacité de densité tissulaire de l oreille moyenne avec lyse ossiculaire et/ou du cadre tympanique : 166 cas Epitympanique pure : 15 (9%) Mesotympanique : 8(4,8%) Holotympanique :34 (20,5%) Epitympanique+ mastoïde :83 (50%)
12 Tomodensitométrie des rochers en coupe coronale :cholestéatome épitympanique pur Tomodensitométrie des rochers en coupe axiale : cholestéatome mésotympanique
13 Tomodensitométrie des rochers en coupe coronale : cholestéatome holotympanique avec lyse du mur de la logette et lyse ossiculaire du marteau, de l enclume et de l étrier
14 Atteintes ossiculaires : 150 cas (98,8 %) Enclume : 87,3% Etrier : 21% Comblement holotympanique avec lyse partielle de l enclume
15 Lyse du mur de la logette : Tomodensitométrie des rochers en coupe coronale montrant une érosion du mur de la logette avec lyse ossiculaire de la longue apophyse de l enclume Comblement de l attique externe avec lyse du mur de la logette
16 Lyse du tegmen tympani et/ou antri : Tomodensitométrie des rochers en coupe coronale : cholestéatome extensif avec lyse du tegmen Tomodensitométrie des rochers en coupe coronale : Aspect d un cholestéatome extensif avec lyse du tegmen antri
17 Fistule labyrinthique : Erosion du CSC externe : 21 cas Erosion du CSC postérieur : 2 cas Tomodensitométrie des rochers en coupe axiale et coronale: cholestéatome de l oreille moyenne compliqué de fistule du canal semi circulaire externe ( )
18 Lyse du canal de Fallope : 42 cas (19,4%) Portion tympanique : 13,4 % Coude :4,7 % Portion mastoïdienne : 1,3 % Comblement holotympanique avec érosion du CSC latéral et lyse de la portion tympanique ( 2 ème portion) du canal de Fallope ( )
19 Comblement holo tympanique avec lyse de la portion tympanique du canal de Fallope
20 Otomastoidite aigue extériorisée : 10 cas (4,1 %) Tomodensitométrie des rochers en coupe axiale avec injection de PDC: présence de collection en rapport avec une Otomastoidite droite aigue extériorisée.
21 Lyse de l os pétreux dans un cas Tomodensitométrie des rochers en coupe axiale : cholestéatome extensif avec lyse massive de l os pétreux
22 COMPLICATIONS INTRA CEREBRALES : Dénudation méningée : 3,3% IRM coupe coronale T1 GADO : comblement de l oreille moyenne avec lyse du tegmen tympani et prise de contraste méningée
23 Collection intra parenchymateuse : 1cas Scanner et IRM cérébrale en séquence T1 + Gado en coupe axiale : abcès cérébelleux avec prise de contraste périphérique ( )
24 Thrombose du sinus latéral : 2 cas (1,2 %) IRM coupe axiale T1 + Gado : thrombose du sinus latéral droit
25 SURVEILLANCE RADIOLOGIQUE Préconisé systématiquement dans la surveillance post opératoire Réalisé pour 64 cas (51,2 %) avec délai moyen de 20 mois [ extrême de 5 mois à 6 ans ] IRM faite pour 10 cas pratiqué devant la suspicion clinique et scanographique de récidive
26 Scanner du rocher en coupe axiale et coronale: comblement total de la cavité tympanique avec lyse du tegmen tympani à gauche sur oreilles opérées. Suspicion de récidive bilatérale
27 Axiale T1 Axial T1 Gado Coro T1 Gado Tardif Coro T2 Coro T1 Gado IRM du même patient avec des séquence T1, T2, T1 Gado, T1 Gado tardif : formation iso T1,discrète hyper signal T2 sans prise de contraste même sur les séquences tardives à droite, avec prise de contraste périphérique au temps tardifs avec une zone centrale non rehaussée sans extension endocranienne : Récidive bilatérale
28 DISCUSSION L otite cholestéatomateuse est une otite chronique ostéolytique grave se définit par la présence d une matrice épidermique au sein de l oreille moyenne, siège d une accumulation de squames par trouble de migration épidermique [8] C est une pathologie acquise, ce qui la différencie du cholestéatome primitif ou congénital
29 Anatomopathologie : Macroscopiquement : La forme la plus fréquente chez l adulte est le cholestéatome sac de siège attical ou antroattical Sac arrondi de consistance «marron cuit»rempli de débris épidermiques et ouvert sur le conduit auditif externe En microscopie : la matrice du cholestéatome a la même structure histologique et cellulaire que l épiderme qui tapisse le fond du CAE
30 Epidémiologie : o Représente à peu près un tiers des otites chroniques suppurées o Survient à tout âge o Peut être bilatérale dans 10% des cas ( 11,2% des cas dans notre série)
31 Signes fonctionnels : o Le principale motif de consultation est l otorrhée fétide, souvent minime,plus rarement abondante o Parfois une otorragie ou une hypoacousie o peut être révéler par des complications à type d otalgie, vertiges, paralysie faciale, méningite ou abcès cérébral, thrombophlébite, fistulisation cutanée o Plus rarement de découverte fortuite
32 Examen clinique : o l examen otoscopique sous microscope ou sous optique est l examen clé du diagnostic o Visualisation de masse blanchâtre ( squames épidermiques ) dans l oreille moyenne qui émerge par une perforation ou d une poche de rétraction située typiquement au niveau de la pars flaccida ou au niveau de la région postérosupérieure
33 o Doit rechercher les signes de complications o Ces complications étaient révélatrices dans 16 de nos patients à type de sensation vertigineuse, paralysie faciale périphérique, otomastoidite aigue, abcès endocrânien et thrombose veineuse cérébrale
34 Imagerie : TDM IRM Parfois le diagnostic est mois évident et le recours à l imagerie est nécessaire : Tympan normal :dans le cholestéatome mésotympanique Cholestéatome totalement masqué par un volumineux polype inflammatoire obstruant le CAE
35 ROLE DU SCANNER Son objectif principale : Préciser l extension du comblement ou plutôt de la lyse osseuse et/ou ossiculaire. Apporter des arguments supplémentaires au diagnostic Redresse le diagnostic en cas de faible probabilité clinique
36 Rechercher les complications cérébroméningées surveillance post opératoire : le scanner haute résolution est demandé 12 à 18 mois après la chirurgie
37 ROLE DE L IRM L IRM devient une alternative de choix à la chirurgie de «second-look» Toujours précédée par une TDM Permet d améliorer la spécificité diagnostic du cholestéatome la faisant passer de 85% au scanner à plus de 95 % notamment en post opératoire
38 Réalisé dans le cas de cholestéatome géant ou de fistule du canal semi circulaire latéral plus rarement postérieur Réalisé dans le cas de cholestéatome résiduel Différencier entre une fibrose post opératoire, une récidive locale, les hyperplasies et le liquide séreux
39 Protocole utilisé: la séquence de référence était les séquences T1 tardives 45 min après injection de gadolinium c est qui est le cas dans notre série puisqu on ne dispose pas de séquences de diffusion Plusieurs études ont montré la supériorité des séquences de diffusion non echo planar par rapport à la séquence de référence T1 Gado tardif dans la détection postopératoire des cholestéatomes résiduels ou récidivants [6].
40 Plus récemment, on a montré l intérêt majeur des séquences de diffusion TSE pour l imagerie du cholestéatome avec les séquences : Diffusion single-shot (Philips) et HASTE (Siemens). Coupes plus fines Matrice d acquisition plus élevée Moins d artefacts de susceptibilité magnétique Mais possibilité de faux positifs: Interface airtissu et lames de silastic
41 Le cholestéatome apparait en iso ou en hypo signal en séquence T1 en hyper signal T2 Pas de rehaussement après gadolinium Une fine prise de contraste périphérique peut être observé en rapport avec l inflammation péri lésionnelle Diffusion: hyper signal franc en TSE single shot et gradient de diffusion entre le b0 et le b800 en EPI
42 Cicatrice inflammatoire sans récidive: T1: signal faible rehaussé tardivement après injection Diffusion : signal faible en b800.
43 Traitement : o Il est chirurgical, il consiste à reséquer le cholestéatome soit par une technique ouverte ou fermée et à assurer le plus souvent une reconstruction de l oreille o Malgré la chirurgie, il ya une incidence élevée de récidive cholestéatomateuse, jusqu'à 71% dans certaines séries[1].
44 Les différentes complications: LES COMPLICATIONS LOCO RÉGIONALES : L ostéolyse de la chaîne ossiculaire : fréquente mais non spécifique prédilection de la longue apophyse de l enclume et la superstructure de l étrier qui est moins souvent observées, mais beaucoup plus suspectes, surtout si cette destruction s associe à d autres signes évocateurs L ostéolyse est parfois associée à un blocage ossiculaire Cette lyse est responsable d une surdité de transmission
45 Lyse du tegmen tympani : déhiscence osseuse du tegmen tympani avec le risque d extension intra crânienne Lyse du canal facial : touchant essentiellement la 2ème portion La fréquence de la paralysie faciale pré opératoire est très variable allant de 1 4% selon les données de la littérature, souvent associée à d autres complications. Elle semble plus fréquente en cas de mastoïdite aigue avec un taux variable de 1 à 6 % selon les séries Peut être d installation rapide ou progressive La survenue de PF impose le traitement chirurgical en urgence
46 Les fistules labyrinthiques : Complique environ 5 à10 %des otites moyennes chroniques cholestéatomateuses Clinique : vertiges dans la moitié des patients, grand vertige rotatoire déclenché par la pression sur le tragus(signe de la fistule) La présence d acouphènes associées, PFP, d un signe de la fistule, d un cholestéatome très invasif et destructeur à l otoscopie devrait la faire suspecter
47 Essentiellement atteinte du CSC latéral Atteinte du CSC postérieur et du vestibule dans à peu près 1 % des cas Le CSC supérieur et la cochlée( fistule du promontoire) sont rares L examen TDM est indispensable pour préciser les lésions. L IRM montre l éventuelle atteinte du labyrinthe membraneux,particulièrement sur les séquences T2 ( fast spin echo ) L IRM peut préciser le degré de pénétration du cholestéatome dans le labyrinthe et la présence de tissu fibreux
48 Labyrinthites aigues : C est l évolution ultime de la fistule labyrinthique Peut survenir de novo sans fistule préalable Clinique : surdité neurosensorielle, parfois cophose,vertiges spontanées,acouphènes On distingue : * La labyrinthite séreuse réversible *La labyrinthite purulente irréversible expose aux complications méningoencéphaliques.
49 La mastoïdite : est une atteinte infectieuse des cavités de l oreille moyenne associée à des lésions destructives de l os mastoïdien réalisant une ostéite. La mastoïdite est aiguë, subaiguë ou chronique selon sa durée d évolution
50 Abcès de Bezold : abcès Bezold est décrit dans la littérature japonaise [3] se produit quand une mastoïdite purulente érode l'os de la pointe de la mastoïde Lorsqu'elle n'est pas traitée, le pus peut fuser le long des plans aponévrotiques des muscles digastriques ou sternocléidomastoïdiens et se propager vers la gaine carotide
51 Les signes cliniques typiques de la mastoïdite peut être masquée. Dans cette forme insidieuse, les examens radiologiques (scanner, IRM) sont utiles dans le diagnostic et la planification thérapeutique Une intervention chirurgicale avec antibiothérapie à large spectre est nécessaire pour traiter les abcès Bezold de manière adéquate. Le drainage de l'abcès du cou doit être effectué avec enquête microbiologique (Anaérobies ++).
52 Les complications intra crâniennes : Dans notre série 5% avaient une complication intra crânienne A type de méningite, d abcès du cerveau A type de méningite, d abcès du cerveau ou du cervelet, empyème sous dural, thrombophlébite du sinus latéral [7]
53 Tout signe neurologique chez un porteur de choléstéatome doit faire suspecter une complication infectieuse intra crânienne Nécessite le recours à l imagerie : scanner Nécessite le recours à l imagerie : scanner avec injection de produit de contraste au mieux une IRM
54 Abcès sous duraux : Complications rares Symptôme révélateur : altération de l état de conscience Les signes infectieux ne sont pas toujours très marqués Mieux visualisés en IRM avec injection de gadolinium C est une urgence neuro-chirurgicale
55 Abcès cérébraux (cérébelleux et temporaux): Installation insidieuse Tableau classique :céphalée postérieure, vertige ou simple instabilité et des signes de suppuration profonde Localisation préférentielle: lobe temporal
56 Thrombophlébite cérébral : D origine septique Thrombophlébite du sinus latéral Souvent asymptomatique ou se manifeste avec des signes non spécifiques( céphalée, fébricule) TDM : * Image en Delta * Signes indirectes :augmentation de calibre des VX collatéraux et controlatéraux * Peut donner des faux positifs Angiographie en temps veineux et Angio-IRM sont beaucoup plus sensibles
57 Angiographie en temps veineux : * Image de soustraction endoluminale avec absence de flux * Permet de préciser l extension du thrombus * Surtout de vérifier l intégrité du sinus sigmoïde controlatéral Angio-IRM : * Hyper signal en T1 et T2 dans le sinus veineux latéral ainsi qu une diminution ou absence de flux * Avantage : pouvoir dater le thrombus
58 La surveillance : Le risque de cholestéatome résiduel ou de récidive impose un suivie prolongé Le cholestéatome résiduel impose un diagnostic précoce avant le stade clinique. Son diagnostic est fait par l imagerie et par l exploration chirurgicale Les récidives peuvent se révéler,parfois au-delà de 10 ans, une surveillance annuelle s impose,quelque soit la technique chirurgicale
59 Arbre desisionel : Stratégiethérapeutiquede l otite chronique cholestéatomateuse [8]
60 CONCLUSION Les complications de l otite moyenne chronique peuvent être grave et engager le pronostic vital ou laisser de lourdes séquelles. L imagerie, i en particulier, le scanner et l IRM sont d une grande aide au diagnostic d autant que les signes d appel sont peu spécifiques, voire absentes
61 1. Shohet JA, de Jong AL. The management of pediatric cholesteatoma.otolaryngogol Clin North Am 2002;35: Intracranial cholesteatoma: a case report and review; Terrance P. McHugh, MD;The Journal of Emergency Medicine, Vol. 32, No. 4, pp , Bezold s abscess arising with recurrent cholesteatoma 20 years after 4. the first surgery: with a review of the 18 cases published in Japan since 1960 ; Yasue Uchida a, Hiromi Ueda b, Tsutomu Nakashima ; Auris, Nasus, Larynx 29 (2002) 375/ Diffusion-weighted MR Imaging Sequence in the Detection of Postoperative recurrent Cholesteatoma :original i research head and neck imaging i ; Radiology: Volume 238: Number 2 February Middle Ear Cholesteatoma: Non Echo-planar Diffusion-weighted MR Imaging versus Delayed Gadolinium-enhanced T1-weighted MR Imaging Value in Detection ; Radiology; revision requested August Complications des otites moyennes aiguës et chroniques ;M. François;EMC-Otorhino-laryngologie 2 (2005) otites chronique cholestéatomateuse. Aspects cliniques et thérapeutiques ;EMC A-20
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailItem 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher.
Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher. I. INTRODUCTION II. MECANISME DES FRACTURES DU ROCHER III. TABLEAU CLINIQUE
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES
Page 1 de 5 LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES INTRODUCTION Il faut être conscient qu environ 90% des céphalées rencontrées en pratique sont «primaires»,
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailCURRICULUM VITAE DIPLOMA. Name: BENCHAOU. First name: Mimoun. Date of birth: 1st May 1966. Nationality: Moroccan, French and Swiss
CURRICULUM VITAE Name: BENCHAOU First name: Mimoun Date of birth: 1st May 1966 Nationality: Moroccan, French and Swiss Languages: spoken and written French, English, German and Arabic Marital status: single
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:
ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailwww.drfadisleilati.com
www.drfadisleilati.com Plan Les produits de comblements Les accidents Inflammatoires/Infectieux Granulomes/Suppurations Hypothèses pathogéniques Traitement Prévention Conclusions Les Produits de Comblement
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailPAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire
PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES Apport du cône beam en cabinet dentaire CAS CLINIQUES - IMAGERIE 3D Introduction Bonjour, Nous vous invitons à découvrir dans cette brochure quelques exemples concrets de l apport
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE
DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE PREFECTURE DE LA REGION D ILE-DE-FRANCE, PREFECTURE DE PARIS SECRETARIAT GENERAL POUR LES AFFAIRES
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détail