Activité. et tendances. et tendances. 2012, partie difficile pour les TPE. Indice TPE : -2,2% Collection de la France des TPE Cahier n 17, avril 2013

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1 et tendances Collection de la France des TPE Cahier n 17, avril 2013 et tendances 2012, partie difficile pour les TPE Indice TPE : -2,2% 26 PROFESSIONS DU COMMERCE ET DE L ARTISANAT EN FRANCE

2 Édito Nous avons le plaisir de vous présenter pour la 17 ème année consécutive, l analyse de l activité des TPE 2012 basée sur les observatoires économiques des Centres de Gestion Agréés, membres du réseau FCGA et ANPRECEGA. Comme chaque année, le cahier " et Tendances" apporte une analyse chiffrée et commentée des tendances de l activité des 26 professions les plus représentées du commerce, des services et du bâtiment. Les fiches professionnelles reprennent l évolution du chiffre d affaires de l exercice écoulé avec une projection sur l année 2013, la répartition des entreprises étudiées par tranches de chiffres d affaires et les temps forts de l année. Pour chaque profession deux rubriques complètent l étude : - "Zoom", flash qui met en avant des particularités, des tendances, des atouts voire des faiblesses du métier. - "Ils ont dit ", témoignage qui laisse la parole aux adhérents de CGA de différentes régions sur l analyse qu ils font de l évolution de leur activité, leur ressenti sur leurs projets éventuels et les perspectives envisagées. Cette synthèse fait apparaître un net retrait de l'activité en 2012, avec un indice en baisse de 2,2% inversant nettement la hausse de 1,9% en Le bâtiment a tiré l indice vers le bas avec un recul La 17 ème édition du recueil " et Tendances" présente, à partir d'un échantillon de TPE, l'évolution du chiffre d'affaires en 2012 de 26 professions. Ces petites entreprises, en majorité Collection de la France des TPE Réalisation : La Fédération des Centres de Gestion Agréés, FCGA, 2 rue Meissonier, Paris L Association Nationale des Directeurs de Centres et Associations Agréés, ANPRECEGA, 52 rue d'illiers Orléans Directeur de la publication : Christiane Company, FCGA Directeurs délégués de la publication : Yves Marmont, FCGA Jean Florin, ANPRECEGA Directeur de la rédaction : Yves Granier, CGA des Hauts de France Comité de rédaction : Nathalie Azmi, CGA Vendée Thierry Guérin, CGA Val de France Xavier Hébrard, CGA Landes Gascogne Christine Lasne, CGA des Hauts de France Hélène Livet, CRGA Franche-Comté Vincent Mémin, CGA de la Charente-Maritime Christophe Richard, CGAi Bretagne de 4,8%. Tous les autres secteurs sont en diminution. Le commerce de détail alimentaire fait exception avec une légère hausse de 0,6%. Toutes les professions de ce secteur évoluent positivement entre +0,2% et +2,2%. Cette année encore, l équipement de la maison se retrouve en fin de peloton, avec l électroménager, -13,7% et les fleuristes, -1,7%. Au sein du secteur auto-moto, en recul de 0,3%, les garagistes s en sortent un peu mieux avec 0,7% de progression. La tendance pour 2013 ne s annonce pas favorable avec des prévisions peu optimistes en terme de croissance de chiffre d affaires. Dans un environnement économique de crise persistante, les TPE vont devoir poursuivre le développement de nouvelles stratégies pour conforter leur place sur l échiquier économique. Christiane Company Présidente FCGA individuelles, sont toutes membres d'un Centre de Gestion Agréé. C'est grâce à la participation active de 70 CGA de notre réseau que sont réalisées ces tendances d'activité. Témoignages : Christine Borthomieu, CGA de Libourne Valérie Chatenet, CGA86 Anne-Pascale Duclos, CGA de Caen Marie-Line Dufourg, CGA Libourne Thierry Garbaye, CECOGEB Xavier Hebrard, CGA des Landes de Gascogne Bruno Jouan, CGA d'indre et Loire Gisèle Leclerc, CGA Est Varois Philippe Legault, CGAIB Laurence Maillard, CGA Loir et Cher Marie-christine Quintin, CGA Côtes d'armor Jean-Baptiste Robineau, CGA Haute-Savoie Martine Samat, CGA Bouches-du-Rhône Catherine Sussan, CECOGIR Pascal Vergnol, CGA de Mayenne Coordinateurs de la collecte des données : Martine Samat, CGA Bouches-du-Rhône Conception-Maquette : Nathalie Azmi, CGA Vendée Traitement informatique : Martine Samat, CGA Bouches-du-Rhône David Foucaud, SAS Adeline Impression : Imprimerie Julien-Jopub (62 Divion) Edition : CGA Diffusion SAS, 2 rue Meissonier, Paris - Tél : Cahier annuel, prix : 40 TTC - Dépôt légal : Sommaire L INDICE DE LA TPE 2012, partie difficile pour les TPE COMMERCE DE DÉTAIL ALIMENTAIRE Boulangerie-Pâtisserie : Pause Pâtisserie : Moins gourmands Boucherie-Charcuterie : Bonne orientation Charcuterie : Moins gras Alimentation générale : Même régime Fruits et légumes : Marché sensible ÉQUIPEMENT DE LA MAISON Fleurs : Bouquet terni Electroménager, radio, TV, Hifi : Grosse panne ÉQUIPEMENT DE LA PERSONNE Prêt-à-porter : Pas de maintien Chaussures : Semelle plate Lingerie : Bien bas! Horlogerie-Bijouterie : Retardé CAFE-HÔTELLERIE-RESTAURATION Restaurant : Menu menu Hôtel-Restaurant : Petites nuits Café-Bar : Broie du noir SANTÉ Pharmacie : Coup de pompe Optique : Sous surveillance BEAUTÉ-ESTHÉTIQUE Coiffure : Dégarni Esthétique : Affaibli AUTO-MOTO Garage : Marche avant BÂTIMENT Maçonnerie : Au pied du mur Couverture : En fuite Plomberie-Chauffage-Sanitaire : La douche froide Électricité générale : Résistance Menuiserie : Profil bas Peinture : Une année grisée Les variations des prix retenues sont celles publiées par l'insee. Concernant le bâtiment, l'ipea est l'indice de prix des travaux d'entretien et amélioration de logements, référence 4T12, publié par le Ministère de l'ecologie, du Développement durable et de la Mer. Par convention, le résultat courant brut est considéré comme la rémunération brute avant impôt du chef d'entreprise, c'est-à-dire son revenu disponible plus ses cotisations sociales.

3 L indice de la TPE Commerce et Artisanat , partie difficile pour les TPE Fin 2012, l'économie française échappe de peu à la récession, tout en continuant de flirter avec la zone rouge. La croissance du PIB est nulle en 2012, après 1,7% en Le pouvoir d achat en berne, -0,4%, et une consommation des ménages atone contribuent à cette panne de croissance. Dans ce contexte, les petites entreprises du commerce, des services et du bâtiment n'ont pas résisté et l'indice TPE global affiche le plus fort recul de la décennie, -2,2%, après celui de 2009, -2,5% déc.-10 mars-11 Evolution du chiffre d'affaires Ensemble des TPE Base 100 au 31/12/10- cumul 12 mois juin-11 sept.-11 1,9% 101,92 déc.-11 mars-12 juin-12 sept.-12-2,2% 99,70 déc.-12 En 2011, le retour à la croissance de l'activité dans les entreprises du bâtiment avait tiré l'indice global vers le haut. En 2012 ce même indice "bâtiment", -4,8%, a tendance à plomber l'indice global, -2,2%. L'indice commerce et services n'a toutefois pas pu sauver la mise et se déprécie de 1,1%, dans un contexte d évolution des prix de 1,3%. Après un début d'année atone, l'année 2012 se caractérise par deux trimestres de fortes baisses au second et quatrième trimestres. Commerces et services : victimes de la baisse de consommation des ménages ,0% Evolution de l'indice global CA trimestriels 2012/2011-3,6% -0,4% ,9% 1 er trim. 2 ème trim. 3 ème trim. 4 ème trim. Laminé par la dégradation du marché du travail, le manque de dynamisme des salaires, la hausse des prélèvements obligatoires, le pouvoir d'achat recule de 0,8% et avec lui la consommation des ménages. L'activité des commerces et services, -1,1% sur l'année 2012, connaît deux forts temps de repli aux second et quatrième trimestres. Evolution de l'indice commerce et services CA trim. 2012/ ,0% -2,2% -0,7% ,1% 1 er trim. 2 ème trim. 3 ème trim. 4 ème trim. Seules les professions du secteur du commerce de détail alimentaire ont vu l'évolution de leurs ventes rester positive, +0,6%. Tous les autres secteurs d'activité connaissent une dégradation de leurs chiffres d'affaires. C'est le secteur auto-moto qui affiche la baisse la mieux contenue, -0,3%. Pour la première fois depuis cinq ans, le secteur de la santé connaît un recul de l'activité, -0,7%. Egalement touchés par ce contexte économique morose, le secteur Indices TPE Indice global 2012 : -2,2% 2011 : +1,9% Indice Commerce & Services 2012 : -1,1% 2011 : +1,1% Indice Bâtiment 2012 : -4,8% 2011 : +4,0% beauté-esthétique, -1,2%, l'équipement de la personne, -2%, les cafés-hôtels-restaurants, -1,7%. Le plus fort recul d'activité est celui de l'équipement de la maison, -4,4%. Bâtiment, rien ne va plus... Si en 2011, le dynamisme de la construction neuve avait permis de soutenir les professionnels du bâtiment, son effondrement en 2012, conjugué au recul de l'entretien-amélioration, sont à l'origine de la baisse marquée des chiffres d'affaires, -4,8%. Evolution de l'indice bâtiment CA trimestriels 2012/ ,1% -4,9% -0,2% ,5% 1 er trim. 2 ème trim. 3 ème trim. 4 ème trim. Comme pour les commerces et services, les décrochages les plus importants s'inscrivent aux second et quatrième trimestres. Tous les corps de métiers, à l'exception des électriciens, sont à la peine. L emploi dans le secteur est fortement affecté, avec plus de postes perdus au cours des neuf premiers mois de Les prévisions pour 2013 restent pessimistes avec, au vu des mises en chantiers et des permis de construire déposés, peu d'amélioration à espérer pour la construction neuve. 2013, "toujours pas d'élan" C'est en ces termes que les prévisionnistes de l'insee anticipent la tendance économique pour l année à venir. La tendance projetée de l indice TPE prévoit également une année 2013 avec une activité toujours en léger recul. - avril n 17 3

4 Le palmarès des régions Evolution du chiffre d'affaires par région - Tous secteurs confondus n 1 : Ile de France +1,4% -0,5% -0,1% n 2 : Rhône-Alpes n 2 >=1% 0% à -1% 0% à 1% < -1% n 3 : Lorraine NS-NC Tout en rouge... ou presque Contrairement à 2011, toutes les régions étudiées, à l'exception de l'ile de France, sont orientées à la baisse. Les TPE franciliennes, avec une hausse de 1,4%, ont mieux résisté à la crise. La région Rhône-Alpes arrive en seconde position avec un recul de l'activité de 0,10%. Elle est suivie de la Lorraine avec des chiffres d'affaires en baisse de 0,5%. Encore jamais classée en-tête du palmarès régional, l'ile de France est la seule région dont le chiffre d'affaires a évolué positivement en Légère progression de l'emploi, augmentation du nombre de créations d'entreprises, construction de logements neufs mieux orientée que dans le reste de l'hexagone, activité hôtelière soutenue... autant d'atouts qui ont impacté favorablement l'économie francilienne. La région Rhône-Alpes, bien qu'en recul de 0,10%, gagne 3 places au palmarès général. La Lorraine arrive en 3 ème troisième position au classement général des régions, avec des chiffres d'affaires en baisse de 0,5%. La région la plus en retrait en 2012 est l'auvergne avec -4,4% LES 10 PREMIÈRES RÉGIONS Évolution de l'activité +1,4% Ile de France -0.10% Rhône-Alpes Lorraine -0,70% Pays de la Loire Franche-Comté -0,80% Nord-Pas-de-Calais Midi-Pyrénées -0,90% Champagne-Ardenne Basse-Normandie -1,3% Bretagne -0,50% -0,70% -0,90% -1,3% DÉTAIL ALIMENTAIRE Boulangerie-Pâtisserie Pâtisserie Boucherie-Charcuterie Charcuterie Alimentation générale Fruits et légumes ,6% +1,6% +0,2% +1,2% +0,7% +2,9% +1,0% +1,7% +0,4% +2,8% +0,8% +1,3% +2,2% +0,2% EQUIPEMENT DE LA MAISON Fleurs -4,4% -1,7% -3,1% -1,2% Electroménager, TV, Hifi -13,7%-12,2% EQUIPEMENT DE LA PERSONNE Prêt-à-porter -2,0% -1,8% -0,4% -2,0% Chaussures Lingerie Horlogerie-bijouterie -0,2% +0,1% -2,6% +0,6% -3,5% +2,4% CAFÉ-HÔTELLERIE-RESTAURATION -1,7% +2,2% Restaurant -1,4% +2,2% Hôtel-Restaurant -2,2% +1,2% Café-Bar -1,4% +1,5% SANTE Pharmacie Optique -0,7% +0,3% -0,7% +0,3% -0,4% +0,4% BEAUTÉ-ESTHÉTIQUE Coiffure Esthétique AUTO-MOTO Garage BÂTIMENT Maçonnerie Couverture Plomberie-Chauffage-Sanitaire Electricité générale Menuiserie Peinture -1,2% +0,3% -0,9% +0,2% -2,2% +1,6% -0,3% +0,7% -1,7% -2,1% -4,8% +4,0% -4,6% +4,1% -5,1% +2,9% -6,8% +0,2% +0,9% +7,8% -7,9% +4,6% -7,1% +3,2% 4 - avril n 17

5 L indice TPE des secteurs d activité DÉTAIL ALIMENTAIRE Les professions du commerce de détail alimentaire maintiennent une légère augmentation de leurs ventes, +0,6%. Les meilleures progressions sont celles des commerces de fruits et légumes, +2,2% et des boucheries-charcuteries, +1%. Les autres professions évoluent dans une fourchette allant de 0,2% à 0,8%. +0,6% BEAUTÉ, ESTHÉTIQUE En 2012, le secteur beautéesthétique voit son chiffre d'affaires reculer de 1,2%. Sur un marché très concurrentiel, fragilisé par le contexte économique, les salons de coiffure ont vu leur activité diminuer de 0,9% en Les salons d'esthétique sont encore plus à la peine avec une activité en recul de 2,2%. -1,2% ÉQUIPEMENT DE LA MAISON Le secteur reste sur la même tendance baissière qu'en 2011 et affiche un recul de 4,4%. Les fleuristes, -1,7%, doivent s'adapter à l'évolution du comportement des consommateurs et subissent différentes concurrences. Les professionnels de l'électroménager voient leur chiffre d'affaires fortement reculer en s'installant dans l'ère de l'après passage au numérique. -4,4% SANTÉ Pour la première fois depuis 5 ans, le secteur santé évolue défavorablement, -0,7%. Dans un marché en mutation, également touché par la crise, les opticiens voient leurs ventes reculer de 0,4%. Même constat pour les pharmacies en recul de 0,7%. Les petites officines en milieu rural sont les plus touchées. -0,7% ÉQUIPEMENT DE LA PERSONNE Le secteur de l'équipement de la personne de plus en plus concurrencé par l'e-commerce a vu ses ventes reculer de 2% en La plus forte baisse est celle de l'horlogeriebijouterie, -3,5%, après une très bonne année Le prêt-àporter et la lingerie diminuent respectivement de 1,8% et 2,6%. -2,0% CAFÉ-HÔTELLERIE-RESTAURATION Les années se suivent mais ne se ressemblent pas et les cafés-hôtels-restaurants qui avaient augmenté de 2,2% en 2011 sont en recul de 1,7% en Ce sont les hôtelsrestaurant qui ont le plus pâti avec un chiffre d'affaires en baisse de 2,2%. Les cafés et les restaurants reculent tous deux, -1,4%. -1,7% AUTO-MOTO A vec un recul de 0,3%, le secteur de l'auto-moto, n'affiche pas de bons résultats, ceux-ci sont toutefois moins mauvais qu'en 2011, -1,7%. Les garagistes progressent même de 0,7%. Les perspectives n'en demeurent pas moins moroses sur le plan national. -0,3% BÂTIMENT En 2012, le bâtiment recule autant qu'il avait cru en 2011, -4,8% contre +4,0%. Surtout victime de l'effondrement des mises en chantiers dans le neuf, tous les corps de métiers sont touchés. Seule profession à ne pas être en recul, l électricité, progresse de +0,9%. L'année 2013 s'annonce encore difficile. -4,8% Chiffres d affaires annuels et évolutions 2012/ ,6% Com. détail alimentaire -2% -4,4% -1,7% Equipement de la personne Equipement de la maison Café-Hôtellerie Restauration -0,7% Santé -1,2% Beauté, Esthétique -0,3% Auto-Moto -4,8% Bâtiment - avril n 17 5

6 2012 : +0,2% 2011 : +1,2% Boulangerie-pâtisserie Indice des prix en Consommation : +1,3% - Profession : +1,2%% Chiffres moyens en 2011 Pause - Chiffre d affaires : 237 K - Résultat courant brut moyen : 49 K Évolution - Projection déc.-10 Évolution du chiffre d affaires annuel glissant 2010 à 2012 mars-11 juin-11 Base Déc. 10 sept ,2% 101,2 déc.-11 mars-12 juin-12 sept ,2% 101,4 déc déc.-12 Projection 2013 avr.-13 août-13-0,2% 101,2 déc.-13 Chiffres clés Marche arrière sur la croissance Les chiffres d'affaires de la boulangerie-pâtisserie évoluent faiblement de +0,2% en La croissance enregistrée dans la profession sur l'année 2011, +1,2%, ne s'est pas poursuivie au-delà du premier trimestre L'activité s'est ensuite maintenue jusqu'en fin d'année. La tendance projetée aboutit ainsi à un maintien relatif des chiffres d'affaires à -0,2% sur Les entreprises en hausse Répartition par tranches de chiffre d affaires Tranches de CA ()) C.A () Evolution (en %) Entreprises (en ) Ensemble 248 0,2% 46% 30à ,9% 29% 120 à ,0% 43% 190 à ,0% 42% 280 à ,0% 62% 440 à ,1% 61% Temps forts en 2012 Seul le premier trimestre en hausse L'activité des boulangers-pâtissiers demeure favorable sur le début d'année 2012, avec des chiffres d'affaires en progression de 1,1% sur le premier trimestre. La tendance haussière ne se confirme pas sur le reste de l'année. Les chiffres d'affaires des trois autres trimestres sont en stagnation avec des évolutions de +0,1% pour le 3 ème trimestre et de -0,3% pour les deuxième et quatrième trimestres Evolution des chiffres d affaires trimestriels 1,1% -0,3% 0,1% ,3% 1 er trim. 2 ème trim. 3 ème trim. 4 ème trim. Palmarès régional +3,3% +2,3% +1,6% Zoom Le 100% artisanal Les boulangeries industrielles, fortes de leur fonctionnement en réseaux de franchise ou en sociétés à succursales, réalisent aujourd'hui 10% du chiffre d'affaires de la boulangerie-pâtisserie artisanale. Elles empiètent ainsi sur le territoire des boulangers traditionnels en se positionnant sur une offre artisanale, généralement limitée au pain fabriqué sur le lieu de vente par des professionnels qualifiés. Face à cette concurrence, les artisans boulangers doivent défendre les qualités de leur métier et diversifier leur offre. Divers axes commerciaux peuvent être renforcés ou développés, le 100% maison, des ingrédients de haute qualité, une offre de restauration-déjeuner en zone urbaine, des services et produits annexes en zone rurale, des promotions et mises en avant, des horaires adaptés à l'implantation et à la clientèle... Sources : La Toque Magazine - Xerfi Ils ont dit... Mme Brillant boulangerie pâtisserie Caen (Calvados) "La qualité des produits ainsi que des prix stables expliquent en grande partie la progression de l activité sur Le succès de la baguette Festive contribue aussi à la hausse du chiffre d affaires avec une demande de plus en plus forte. Toutefois, le pain blanc attire encore de nombreux clients qui apprécient tout particulièrement d avoir du pain chaud notamment en milieu d après-midi. Soucieux de conserver une clientèle fidèle, nous n avons pas augmenté nos prix sur 2012 et nous souhaitons les maintenir sur Malgré un contexte économique difficile, notre activité devrait rester stable cette année." 6 avril n 17-

7 2012 : -7,1% 2011 : +3,2% Peinture Indice des prix en Coût constr. 4T12 : +1,5% - Indice IPEA 4 T profession.: +0,4% Chiffres moyens en 2011 Une année grisée - Chiffre d affaires : 123 K - Résultat courant brut moyen : 42K Évolution - Projection déc.-10 Évolution du chiffre d affaires annuel glissant 2010 à 2012 mars-11 juin-11 Base Déc. 10 sept ,2% 103,16 déc.-11 mars-12 juin-12 sept.-12-7,1% 95,82 déc déc.-12 Projection 2013 mars-13 juin-13 sept.-13-0,8% 95,03 déc.-13 C est MAT Chiffres clés La progression observée en 2011, +3,2%, semble être une époque révolue. Les artisans peintre n échappent pas en 2012 à la mauvaise conjoncture. La profession est la plus touchée avec celle des menuisiers. Le recul du chiffre d affaires atteint 7,1% contre 4,8% pour l ensemble du secteur du bâtiment. La projection sur 2013 ne promet pas une meilleure année mais confirme une tendance à la baisse de 0,8%. Temps forts en 2012 Fin d année difficile L optimisme du 4 ème trimestre 2011, +4,6%, s est vite effacé pour laisser place à une année 2012 sous le signe du fléchissement de l activité. Cette tendance est confortée par les deux premiers trimestres en baisse respectivement de 2,6 et de 3,6%. Le 3 ème trimestre suit cette orientation, -3%. La fin d année est encore moins réjouissante avec un recul de 11,2 % du chiffre d affaires Evolution des chiffres d affaires trimestriels -2,6% -3,6% -3,0% ,2% 1 er trim. 2 ème trim. 3 ème trim. 4 ème trim. Palmarès régional -2,3% -1,9% -10,2% Zoom Féminisation de la profession : une énergie nouvelle Les femmes choisissent de plus en plus les métiers du bâtiment. Elles constituent une énergie nouvelle, une complémentarité et un autre regard pour l entreprise comme pour les clients. Elles donnent une image moderne par la mixité des équipes. Elles sont particulièrement attentives aux conditions de vie et de sécurité ainsi qu à l organisation des chantiers, elles font progresser les entreprises. Les femmes sont persévérantes et affichent de meilleurs résultats aux examens professionnels. Elles représentent actuellement 11% des salariés du bâtiment. Certaines deviennent elles-mêmes entrepreneurs. La présence féminine dans l entreprise apporte une dose de sérieux, de raffinement et un grand sourire multicolore dans le monde de la peinture du bâtiment. Source : FFB Ils ont dit... Cyril Rocher, Peintre Montlouis-sur-Loire (Indre et Loire) "J ai démarré mon activité en 2010 après avoir travaillé plusieurs années dans l entreprise paternelle. J ai constaté un ralentissement de l activité au cours du 2 ème semestre 2012 même si, au final, mon chiffre d'affaires a été identique à J ai pu noter un resserrement du carnet de commandes : habituellement on tourne autour des 5/6 mois alors que maintenant on est à moins de 2 mois. Le début 2013 confirme cette tendance, je ne fais actuellement que des "dégâts des eaux". Je n ai pas de grand chantier en vue et je crois que 2013 sera atone, je n ai pas de vision à long terme. Par contre, j ai déjà des chantiers de prévu pour 2014 au niveau du logement social car dans ce domaine, il n y a pas de restriction budgétaire. Je crains aussi les effets de la TVA à 10%." - avril n 17 31

8 Réalisation : Fédération des Centres de Gestion Agréés, 2 rue Meissonier, Paris - Tél : Association Nationale des Directeurs de Centres et Associations de Gestion Agréés, 52 Rue d'illiers Orléans - Tél : Edition : CGA Diffusion SAS, 2 rue Meissonier, Paris - Tél :

9 Réf/gb/ stats juin 2013 COMMUNIQUÉ DE PRESSE et Tendances- Cahier n 17 L activité des TPE en secteurs d activité passés au crible de l analyse économique, 26 professions du commerce, de l artisanat et des services décortiquées, des témoignages d entrepreneurs La Fédération des centres de gestion agréés vient de publier la 17 ème édition de son étude annuelle «et Tendances». Une enquête inédite qui combine l approche sectorielle et l analyse géographique. Synthèse des principaux enseignements. Pour en savoir plus : L étude «et Tendances» porte sur 8 grands secteurs d activité regroupant 26 professions du commerce, de l artisanat et des services. Elle vient compléter la grande enquête annuelle de la FCGA sur les «Tops et les Flops» des TPE dont la dernière édition vient d être rendue publique. (Observatoire de la Petite Entreprise) Principal enseignement de cette nouvelle étude de la FCGA : l activité des petites entreprises, tous secteurs confondus, enregistre un recul spectaculaire en 2012 : -2,2% (contre +1,9% en 2011). C est la plus importante baisse de chiffre d affaires de la décennie, après le «dévissage» historique de 2009 (-2,5%). Deux tendances de fond à retenir en 2012 : l effondrement de l artisanat du bâtiment (-4,8%, contre +4% en 2011) et la bonne résistance du commerce de détail alimentaire : +0,6%, contre +1,6% l année précédente. Même si la performance relative de ce dernier secteur reste négative (- 1 point), c est le seul qui parvient à dégager une tendance positive en DETAIL DES PERFORMANCES, SECTEUR PAR SECTEUR LE COMMERCE DE DETAIL ALIMENTAIRE : +0,6% C est le seul secteur d activité qui affiche une évolution positive de chiffre d affaires en Si les professionnels de l alimentation perdent un point par rapport à l année précédente (+1,6% en 2011), ils confirment leur extraordinaire capacité de résistance à la crise. Contre toute attente, les commerces de fruits et légumes augmentent même leurs ventes de 2% (+2,2%, contre +0,2% en 2011). C est la plus forte hausse de chiffre d affaires en 2012, toutes professions confondues.

10 LA VENTE ET REPARATION AUTO-MOTO : -0,3% Les garagistes font mieux qu en 2011 (-1,7%), mais ne parviennent toujours pas à retrouver le chemin de la croissance. Si le marché de l entretien-réparation se porte mieux que celui de la vente de véhicules neufs (-14,5% en 2012 selon le Conseil national des professions de l automobile), l augmentation du coût des réparations, liée à la hausse du prix des pièces de rechange (+3,5%), fragilise néanmoins la profession. Confrontés à ce renchérissement des prestations, les automobilistes reportent les réparations et retardent même le contrôle technique de leurs véhicules. En 2012, la filière «commerce et réparation automobile» a perdu emplois. LES PROFESSIONS DE LA SANTE : -0,7% Le chiffre d affaires des pharmacies d officine et des magasins d optique s étiole en 2012 (-0,7%, contre +0,3% en 2011). Autrefois en tête de tous les palmarès économiques, les professions de la santé sont désormais confrontées à une diminution constante de leur activité. D un côté, la politique de maîtrise des dépenses de santé pèse structurellement sur le développement des pharmacies de proximité ; de l autre, le marketing agressif des enseignes discount et la vente de lunettes sur Internet réduisent les parts de marché des opticiens indépendants. LES METIERS DE LA BEAUTE ET DE L ESTHETIQUE : -1,2% De moins en moins de visites, une baisse du ticket moyen, une diminution sensible des ventes additionnelles : l activité des salons de coiffure et des instituts de beauté est directement impactée par la baisse du pouvoir d achat des ménages. Les deux professions sont aussi déstabilisées par le nombre impressionnant d auto-entrepreneurs qui s installent et proposent des prestations, souvent à domicile, à petits prix. CAFES-HOTELLERIE-RESTAURATION : -1,7% -1,4% pour les cafés-bars et les restaurants en 2012 (contre, respectivement : +1,5% et +2,2% en 2011). Les hôtels restaurants, eux, enregistrent une baisse d activité plus importante : -2,2% (contre +1,2% l année précédente). Pour des raisons à la fois économiques (arbitrages budgétaires) et psychologiques (morosité ambiante), ces établissements doivent composer avec une diminution sensible de la fréquentation. En 2012, le segment le plus dynamique est celui de la restauration rapide moyenne et haut de gamme (+3%) selon le cabinet spécialisé Gira Conseil. L EQUIPEMENT DE LA PERSONNE : -2% Toutes les professions du secteur sont dans le rouge! Les magasins de prêt-à-porter (-1,8%), de chaussures (-0,2%) et de lingerie (-2,6%) subissent directement les effets de la conjoncture. En période de crise, les Français renouvellent moins souvent leur garde-robe, réduisent la part du budget consacré à l habillement et regroupent leurs achats au moment des soldes. Une stratégie opportuniste qui profite davantage aux grandes enseignes spécialisées et aux sites de vente en ligne. Dans ce même contexte, l activité des horlogeries-bijouteries indépendantes enregistre un recul important : -3,5% (contre +2,4% en 2011). L EQUIPEMENT DE LA MAISON : -4,4% Triste record pour les magasins spécialisés dans la vente d appareils électroménagers, de téléviseurs et d équipements hifi! Ils affichent la plus forte baisse d activité, toutes professions confondues : -13,7%. Prises dans l étau de la grande distribution et des enseignes spécialisées, les boutiques indépendantes perdent du terrain. En 2012, selon le Groupement interprofessionnel des fabricants d appareils d équipement ménagers (GIFAM), les ventes du secteur dégagent un chiffre d affaires de plus de 7,6 milliards, en progression de 0,4%. LE BATIMENT : -4,8% De la première à la dernière place! Après avoir tiré la croissance des petites entreprises en 2011 (+4%), l artisanat du bâtiment, secteur clé pour la vitalité des TPE, s effondre en 2012 : -4,8%. Une dégringolade spectaculaire qui touche l ensemble des corps de métiers de la filière. Et tous les marchés : le neuf comme l entretien-réparation. Seuls les électriciens maintiennent un niveau d activité légèrement supérieur à zéro (+0,9%, contre +7,8% en 2011).

11 LE PODIUM DES REGIONS Evolution du chiffre d affaires des TPE par région, toutes activités confondues Ile-de-France... +1,4% Rhône-Alpes... 0,1% Lorraine...-0,5% METHODOLOGIE DE L ETUDE «ACTIVITE ET TENDANCES» Cette dernière édition du recueil «et Tendances» analyse l évolution du chiffre d affaires, en 2012, de 26 professions issues de 8 grands secteurs d activité. Pour chacun d entre eux, les trois meilleures régions sont référencées. Les chiffres clés d un échantillon représentatif de TPE ont été finement étudiés pour les besoins de cette étude. Ces petites entreprises, en majorité individuelles, sont toutes membres d un centre de gestion agréé. 70 CGA appartenant à notre réseau ont participé activement à la collecte des données. LA FEDERATION DES CENTRES DE GESTION AGREES EN BREF petites entreprises (TPE) et 114 Centres de Gestion Agréés (CGA) 92 % des entreprises nationales ont moins de 10 salariés 50 % des TPE imposées au BIC sont adhérentes à un CGA Grâce à l adhésion à un CGA, le revenu imposable de l entreprise n est pas majoré de 25 %! Le réseau FCGA créé en 1978, c est aussi d emplois salariés et non salariés, 70 milliards d euros de chiffre d affaires et experts-comptables correspondants. Les CGA, structures associatives de proximité, constituent un pôle remarquable de conseils collectifs : aide à la gestion, formation et prévention fiscale. Les TPE bénéficient d une offre pédagogique attractive (les CGA sont parmi les premiers centres formateurs de la petite entreprise avec heures annuelles de formation). La FCGA forme un réseau d information et d assistance aux TPE présent sur l ensemble du territoire national et capitalise une expertise économique et sociale reconnue de la petite entreprise. Elle dispose d outils d observation et d analyse particulièrement fiables qui alimentent régulièrement une base de données statistiques très performante. Contacts presse FCGA Guylaine Bourdouleix gbourdouleix@fcga.fr

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