Intérêt de la biologie délocalisée dans un service d urgence : L exemple du CHU de Lariboisière

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Intérêt de la biologie délocalisée dans un service d urgence : L exemple du CHU de Lariboisière"

Transcription

1 Intérêt de la biologie délocalisée dans un service d urgence : L exemple du CHU de Lariboisière Pr Patrick PLAISANCE Service des Urgences, Hôpital Lariboisière, Paris. 1

2 Conflits d intérêt Radiometer 2

3 Mortalité / durée de passage Patients sévères Patients peu sévères 3

4 Les étapes du parcours 4

5 Possibilités d amélioration 30,00% participation de l'étape à la constitution du temps total 25,00% 20,00% 15,00% 10,00% 5,00% Examens complément. Mise en box Consultation médecin Attente d'un lit Interprétation médecin Avis spécialiste Traitement Enregistrement + Triage Formalités de sortie 0,00% Transport ambulance étapes de la prise en charge classée selon une faisabilité d'amélioration croissante 5

6 Le parcours biologique Prescription médicale Prélèvement Médecin-IDE Stockage avant transport Récupération du prélèvement Transport Arrivée au laboratoire Analyse Validation des résultats Récupération des résultats Transmission des résultats 6

7 Place du test dans le raisonnement médical Taboulet P. et al. JEUR 2006 thérapeutique (VPP élevée) diagnostique (VPN élevée) 7

8 Biotest-dépendance Taboulet P. et al. JEUR

9 9

10 Recommandations des temps Gaz du sang 30 min : de rendus de résultats CLSI (Clinical & Laboratory Standards Institute) Biomarqueurs cardiaques : Optimal 30 min (tolérance 60 min). Storrow AB. et al. National Academy of Clinical Biochemistry, 2006 (IIA) Guidelines ESC. Eur Heart J 2007 (si > 60 min à labo. délocalisé) (IC) 10

11 Définition biologie délocalisée «Ensemble des analyses réalisées par des médecins non biologistes ou du personnel non médical en dehors de locaux dédiés spécifiquement à la biologie médicale dans un établissement de soins» Société Française de Biologie Clinique 11

12 Preuves dans la littérature 12

13 Réduction des délais des résultats et d orientation 817 DT suspects de SCA Multimarqueurs Résultats : - Forte VPN (Myo- Tropo) - Exclusion du diag dès 90 min Délais médians entre prélèvements et résultats : 71 min labo. central vs 24 min POC (P,0.001). McCord J. et al. Circulation

14 Influence sur la durée de séjour 6 hôpitaux au Royaume Uni 2243 patients avec douleur thoracique suspects de SCA Comparaison CPK-tropo I-Myoglobine à T0 et T90 vs labo centralisé Objectif : Nombre de patients sortis à H4 Goodacre SW. et al. Heart

15 Influence sur la durée de séjour Goodacre SW. et al. Heart

16 Influence sur la durée de séjour DDS au SAU avant (n = 252) et après implantation (n = 211) : Moyenne : 8.46 à 7.14 heures (p = 0.016) Pas de différence significative de DMS pour la population totale pendant la période d étude. Lee-Lewandrowski E. et al. Am J Clin Pathol

17 BD et durée de séjour Triage par l ESI (tris 1 exclus) Jang et al. Ann. Emerg. Med

18 Influence sur l orientation Lee-Lewandrowski E. et al. Am J Clin Pathol

19 Influence sur l imagerie Lee-Lewandrowski E. et al. Am J Clin Pathol

20 Intérêt en préhospitalier La cardiologie représente 40% de l activité SAMU, SMUR. L étude USIK 2000: 9,4% de mortalité (SAU) vs 5,1% si transport direct en cardiologie interventionnelle. Puymirat E. et al. JAMA

21 BNP en préhospitalier Teboul A. et al. Resuscitation

22 Les appareils En SMUR : Léger Fiable Pas de technicien 22

23 En pratique 23

24 Pertinence de biologie délocalisée / disponibilité (11 SAU de l AP-HP) 24

25 25

26 L expérience du SAU du CHU Lariboisière 26

27 CHU Lariboisière Pavillonaire passages/an (adultes) Policlinique à passages/an 27

28 SAU Lariboisière Constat Étape du processus Accueil / Tri / IAO Médecin coordonnateur Circuit de prise en charge Examens complémentaires Description des points critiques q Absence d accueil en amont de l IAO q Tri IAO non efficient q Résistance des interfaces de l aval IAO au tri q Étape critique de la consultation Accueil (circuit court) q Variabilité du périmètre de responsabilité (J/N/WE) q Intrication des filières courtes et normales q Insuffisance des ajustements entre secteurs q Absence de polyvalence q Bilans anticipés non prélevés q Retards liés au transport des prélèvements q Retards dans la réception des résultats q Difficultés d obtention de certains examens d imagerie Hospitalisation q Modalités d hospitalisation durant la garde (via l UHU) q Gestion anticipée des flux liés à l hospitalisation 28

29 SAU Lariboisière Temps de passage sur 4 mois 12: :00 10:00 9: Hospitalisation Consultation AVEC Acte Temps moyen (tous patients) Consultation SANS Acte Nb de Patients 8:00 7:00 6:00 5:00 4:00 3:00 2:00 1:00 0:

30 SAU Lariboisière Impact des examens complémentaires 12: :00 Consultation + BIO & RADIO Consultation + BIO Consultation + IMAGERIE (scan) Consultation + RADIO CONV. Consultation SANS acte 10:00 9:00 8:00 7:00 6:00 5: Nb de Patients 4: :00 2: :00 0:

31 SAU Lariboisière Plan d action Bénéfice Potentiel (en termes d amélioration (temps de passage et qualité de prise en charge aux urgences) Faible 4 Hospitalisation Fort 1 2 Circuit court Accueil / Tri 3 Biologie - Imagerie Forte Faible Accessibilité (inversement proportionnelle à la complexité de mise en oeuvre)

32 SAU Lariboisière Circuit des prélèvements Prescription médicale Prélèvement Médecin-IDE Stockage avant transport Récupération du prélèvement Transport Arrivée au laboratoire Analyse Validation des résultats Récupération des résultats Transmission des résultats 32

33 Les contraintes Pas de pneumatiques Passages irréguliers par les brancardiers Long délai d attente des résultats à Tubes coagulés 33

34 Le rationnel Doit faire gagner du temps pour : Diagnostic Thérapeutique appropriée Orientation (durée de séjour aux urgences) Pas d interférence avec : Le radiologue Le spécialiste 34

35 Information du personnel Réunions Lieu d implantation (SAUV) Indications restreintes En partenariat avec biochimie et hématologie 35

36 Procédure 36

37 Initiale (n= 70) : Formation du personnel Labo Radiometer (sur place jour et nuit) 1 mois 10 min devant la machine (formation de base pour l adhésion) Traçabilité IDEs référents (n= 4) : Formation de 4 heures (technique, maintenance) Code d accès après formation 37

38 Test Durée : 6 mois Analyseurs connectés aux labos par logiciel de connexion et de pilotage à distance (Radiance) PEC dysfonctionnement et réapprovisionnement par les cadres du SAU et référents (cartouches, changements de joints) avec SAV en back up. Gestion des stocks de consommables et contrôle qualité par les labos Envoi en double des prélèvements sauf GDS 38

39 Répartition des rôles IDEs: Contrôle le matin (tropo seulement; GDS automatique) = 5 min Prélèvements Cadres = maintenance de base : Changements de joints Changement de packs de réactifs (environ 1 fois par mois) ; interlocuteurs avec Radiometer Changement de cassettes (tous les 2 jours pour l AQT, tous les jours pour l ABL) Nettoyage de l AQT : toutes les 175 utilisations Contrôles qualité Labos : Gestion des stocks Référent interne (réapprovisionnement du frigo 2x/sem) 39

40 Caractéristiques de l AQT90 FLEX SECURISATION DES DONNEES - Gestion de l ID Patient par code à barre - Protection d Accès par mot de passe - Saisie de champs ID obligatoire - Connexion possible au S.I.L. RAPIDITE DE MESURE ET SIMPLICITE D UTILISATION - Dosage sur Sang Total (sans centrifugation) - Homogénéisation automatique et simultanée de 2 tubes - 1er résultat : en 20 minutes - Cadence analytique : 30 échantillons/heure - Interface intuitive et personnalisable - Écran tactile couleur orientable QUALITE ANALYTIQUE RECONNUE - Technologie de détection sensible Méthode Delfia - Flurescence retardée, marqueur à l Europium CONTRÔLE DE QUALITE - Contrôles Qualités Liquides - Multi-paramètres prêts à l emploi Troponine Ic Troponine T CKMB Myoglobine Nt-proBNP D-Dimères CRP βhcg CALIBRATIONS CARTOUCHES TESTS - Cartouches de 16 tests - Stabilité de 30 jours après installation - Conservation 12 mois entre 2 et 8 C - Enregistrement automatique par code à barre - Initialisation en 30 secondes - Carrousel d une capacité de 240 tests - Libre choix des paramètres embarqués - Nécessaire pour chaque nouveau lot - Double calibration (usine + liquide) - Calibration en 8 points - Pilotage à distance via RADIANCE SECURITE UTILISATEUR - Pas de contact avec l échantillon - Mesure réalisée sur tube fermé - Compartiment déchet clos et à usage unique - Sécurité adéquation analyse / anticoagulant PACK REACTIFS - 25 jours de stabilité après installation - Conservation 12 mois à T ambiante - Enregistrement automatique par puce - Capacité de 200 tests - Initialisation en 4 min 40

41 ABL90 FLEX ph ph GDS pco 2, po 2 Electrolytes ck +, cna +, cca 2+, ccl - Metabolites CO-oximetry cglu, clac, ctbil so 2, cthb, FO 2 Hb, FCOHb, FMetHb, FHHb, FHbF 41

42 Paramètres, seuils, délais POCT Paramètres Gamme enregistrable Seuil décisionnel Limite de détection Temps de rendu des résultats TnIc 0, µg/l 0,039 µg/l (CV10%) 0,023 µg/l (99 e percentile) 0,0095 µg/l 18 min NT-proBNP ng/l Non Aigu < 125 ng/l Aigu < 300 ng/l puis fonction de l âge : 450 (<50 ans), 900 (50-75 ans), 1800 (>75 ans) 12 ng/l 10 min CRP mg/l 5 mg/l (99 ème percentile) 1,1 mg/l 13 min D-Dimères µg/l 500 µg/l 35 µg/l 20 min βhcg UI/L < 6 UI/L < 1 UI/L 18 min Bilan gazométrie complet ph, pco2, po2 Ca2+, K+, Cl-, Na+ Lactate Bilirubine et cooxymétrie Glucose Seuils internationaux 35 s 42

43 Bilan à 6 mois Du SAU : Formation difficile pour les nouveaux Problème quand machine gérée par 2 labos Problème du pré-analytique à caillots Poussière Des labos : D-dimères Biochimie 43

44 Résultats de l évaluation Troponine : (interprétés par la labo de biochimie) VPN = 100%, si l'on se réfère aux bornes pré-établies par le labo. Pas d'inflation du nombre d'analyses faites par rapport à l'habituel. D-dimères : 170 tests (interprétés par le labo d hématologie) Pas d excès par rapport à la même période à N-1 bonne corrélation entre les 2 types de valeur (AQT 150 et labo d'hématologie). Seules 3 valeurs sur 170 sont en décalage (autour du cut-off de 500) VPP et VPN 44

45 Du peronnel Satisfaction Meilleure organisation interne (circuit patient) Diminution des délais de récupération des résultats : min Diminution de durée de séjour aux Urgences : Tous : 6 heures à 4, 5 heures Tri 2 : 4heures à 2 heures 45

46 Fiabilité de l AQT90 Troponine Cuerq C. et al. J. Immbio

47 Fiabilité de l AQT90 D-Dimères Sidelmann JJ. et al. Thrombosis Research

48 Phase 1 : 274 échantillons Résultats D-Dimères AQT90 vs laboratoire central (prélèvement citraté, test VIDAS) Coefficient R à : 0,939 (sang total vs plasma) Corrélation pour valeurs > seuil d exclusion Phase 2 : AQT90 introduit au labo N = 26. Mesure sur sang total citraté après centrifugation (plasma) et reconstitution par réagitation à Corrélation avec mesure effectuée directement sur sang total citraté coefficient R à : 0,975. Mesure sur sang total prélevé sur EDTA à R à : 0,995 48

49 Contractualisation Répartition des responsabilités biologiste- SAU Certification des compétences Répartition du financement des équipements Maintenance Evaluation périodique 49

50 Indications potentielles SAU sans laboratoire in situ Délais de résultats en central > 2 heures Biomarqueurs cardiaques : SCA non ST+ (orientation, traitement) GDS : Dyspnée (gravité) Suivi d une VNI Diabétique (acido-cétose; coma hyperosmolaire) Dyskaliémie 50

51 Conclusion Intérêt dépend de la structure Indications biotest-dépendantes Interactivité avec les biologistes Intérêt pour la SAUV, le circuit court ou le Chest Pain Centre Importance d élaboration d études d impact 51

Stat Profile Prime Analyseur pour soins intensifs

Stat Profile Prime Analyseur pour soins intensifs Stat Profile Prime Analyseur pour soins intensifs La nouvelle orientation axée sur les cartouches utilisant la microélectronique et une nouvelle technologie de microcapteurs a permis de réaliser un analyseur

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

LD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION

LD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

TECHNOLOGIE APPLIQUÉE. Expérience. KEYWORDS Lab automation, consolidation, integration, clinical chemistry, immunoassay

TECHNOLOGIE APPLIQUÉE. Expérience. KEYWORDS Lab automation, consolidation, integration, clinical chemistry, immunoassay Ronan TALEC*, Daniel BOUIGE** Expérience d automation et de consolidation en biochimie et immunoanalyse au Groupe Hospitalier du Havre Expérience RÉSUMÉ En 2003, le Groupe Hospitalier du Havre a lancé

Plus en détail

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

Cibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.

Cibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa. Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK

Plus en détail

Monitoring non invasif dans l état de choc

Monitoring non invasif dans l état de choc Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

Application cobas IT 1000 Gestion des données de Point-of-Care

Application cobas IT 1000 Gestion des données de Point-of-Care Application cobas IT 1000 Gestion des données de Point-of-Care Solutions informatiques pour diagnostic de Point-of-Care Aperçu de la gamme de Roche Logiciel cobas IT 1000 cobas IT 1000 est une solution

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille

Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre

Plus en détail

APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600

APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Microgenics Corporation Entreprise de Thermo Fisher Scientific APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Réf. 0373910 Destiné

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Les définitions des saignements ACS/PCI

Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

Chaîne de production des médicaments

Chaîne de production des médicaments Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Gestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence

Gestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence Gestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence Vendredi 23 mai 2014 Valérie Poirier Clément d Audigier Service d Hématologie biologique Hôpital Saint-Antoine Les anticoagulants oraux

Plus en détail

INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM

INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS Marc FOURNIER SAMU13- APHM LES MOYENS DE TRANSPORT INTER HOSPITALIER Ambulance simple : 2 ADE, véhicule catégorie C type A ambulance conçue

Plus en détail

Service de Biothérapies

Service de Biothérapies AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de

Plus en détail

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis 3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine

Plus en détail

PRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque

PRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC)

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement

Plus en détail

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier

Plus en détail

Samu-Urgences de France. Référentiel

Samu-Urgences de France. Référentiel Samu-Urgences de France Référentiel Les ressources médicales et non médicales nécessaires au bon fonctionnement des structures d'urgence (Samu, Smur, Service des Urgences, UHCD) Novembre 2011 http://www.samu-urgences-de-france.fr

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013 MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op

Plus en détail

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité

Plus en détail

Direction générale de l offre de soin

Direction générale de l offre de soin Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de

Plus en détail

Diabète. Evaluation de l analyseur G8 et du logiciel PIANO (Tosoh Bioscience) pour la détermination de l hémoglobine A1c RÉSUMÉ ÉVALUATION

Diabète. Evaluation de l analyseur G8 et du logiciel PIANO (Tosoh Bioscience) pour la détermination de l hémoglobine A1c RÉSUMÉ ÉVALUATION ÉVALUATION Simon SAMAAN 1, Andrée LESELLIN 1, Stéphanie BARON 1, Michèle ONRÈDE 1 Evaluation de l analyseur G8 et du logiciel PIANO (Tosoh Bioscience) pour la détermination de l hémoglobine A1c RÉSUMÉ

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE

La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE David Pronier Country Manager Europe du Sud Motion Computing Pascal Detemmerman CEO SwissEnov Sommaire La Mobilité

Plus en détail

Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation

Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé

Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr

Plus en détail

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

Marquage CE et dispositifs médicaux

Marquage CE et dispositifs médicaux Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie

Plus en détail

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant

Plus en détail

MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits

MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits Préambule La performance flux, quel que soit le vocable sous lequel on la désigne ( Juste

Plus en détail

EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE

EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

Défibrillateur Cardiaque Automatisé

Défibrillateur Cardiaque Automatisé Défibrillateur Cardiaque Automatisé Décret n 2007-705 du 4 mai 2007 : autorise toute personne, même non médecin, à utiliser un défibrillateur pour sauver des vies. Def-i Accessible au grand public, ce

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Tests rapides de dépistage

Tests rapides de dépistage Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables

Plus en détail

Analyse & Medical. Electrovannes miniatures

Analyse & Medical. Electrovannes miniatures Analyse & Medical Electrovannes miniatures Introduction Technologies d analyse Les vannes et les procédés utilisés pour les analyses dans les laboratoires ou les industries ne sont pas en contact direct

Plus en détail

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée White paper Allen B, Hoffman G, Arkhipov V Des réponses pour la vie. 2 1 Résumé

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012

Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012 Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France Présentation du 15 décembre 2012 Dans un contexte d échanges électroniques multiples, impliquant

Plus en détail

Bio-Rad Laboratories CONTRÔLE DE QUALITÉ. Le logiciel de Bio-Rad pour une gestion experte du contrôle de qualité

Bio-Rad Laboratories CONTRÔLE DE QUALITÉ. Le logiciel de Bio-Rad pour une gestion experte du contrôle de qualité Bio-Rad Laboratories CONTRÔLE DE QUALITÉ Le logiciel de Bio-Rad pour une gestion experte du contrôle de qualité CONTRÔLE DE QUALITÉ 1 Unity Real Time 2.0 Unity Real Time 2.0 est un logiciel pour la gestion

Plus en détail

Certification des Etablissements de Santé en France

Certification des Etablissements de Santé en France Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action

Plus en détail

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION

Plus en détail

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012 R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les

Plus en détail

traçabilité en milieu médical

traçabilité en milieu médical traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur

Plus en détail

March 2006. Congrès A.B.H. \ Jean-Michel Lebrun. Process Management

March 2006. Congrès A.B.H. \ Jean-Michel Lebrun. Process Management March 2006 Congrès A.B.H. Process Management \ Jean-Michel Lebrun 1/1 Contexte Le concept de «process management» Le concept de «process» a été développé en 1993 par M. Hammer (Reengineering the Corporation)

Plus en détail

Qualité des données Harmonisation Inter ORU

Qualité des données Harmonisation Inter ORU Qualité des données Harmonisation Inter ORU Groupe de travail 1 FEDORU Bruno MAIRE Réunion plénière du 20 mai 2014 Composition du groupe de travail AZÉMA Olivier, ORU-MiP BANZET Leslie, CIRE-ORU Languedoc

Plus en détail

Cahier des charges des charges National pour l informatisation des services d urgences

Cahier des charges des charges National pour l informatisation des services d urgences Cahier des charges des charges National pour l informatisation des services d urgences Version 1.1 Diffusion Restreinte (document de travail) Pour validation Générale (validé) X Remerciements au Groupe

Plus en détail

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys

Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)

Plus en détail

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,

Plus en détail

La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité

La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction

Plus en détail

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

Métiers de la Production/ Logistique

Métiers de la Production/ Logistique Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail