Diabète de type 2 et insulinothérapie : nouveaux schémas, nouvelles insulines
|
|
- Mireille St-Hilaire
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diabète de type 2 et insulinothérapie : nouveaux schémas, nouvelles insulines M. Virally, M. Coupaye, M. Laloi-Michelin, J.-P. Kevorkian, P.-J. Guillausseau*... Points forts... En situations aiguës, les schémas insuliniques doivent couvrir l ensemble des 24 heures afin de contrôler la totalité des glycémies durant le jour et la nuit. Le protocole insuline rapide ne doit plus être utilisé en réanimation et en situations aiguës. Le schéma insulinique le plus physiologique est appelé, par les diabétologues, schéma de type basal-bolus ; il associe une injection d insuline basale (ou lente) à 3 injections d insuline prandiale (ultrarapide) ou bolus d insuline. Le diabète de type 2 est une maladie évolutive avec un épuisement progressif de la sécrétion d insuline. La mise sous insuline d un diabétique de type 2 est donc souvent nécessaire avec le temps afin de contrôler les glycémies et éviter la survenue des complications vasculaires. Lorsque l insuline est débutée chez un diabétique de type 2, les antidiabétiques oraux peuvent être gardés simultanément. Un des principaux obstacles à l insulinothérapie définitive du diabète de type 2 est la réticence psychologique du patient, mais également celle du médecin. Les nouvelles insulines, analogues lent et rapide, ont permis d améliorer considérablement la maniabilité, la précision et la compréhension des schémas. * ervice de médecine B, hôpital Lariboisière et université Paris-VII, Paris. L es patients diabétiques de type 2 peuvent avoir recours à une insulinothérapie transitoire ou nécessiter une insulinothérapie définitive. L insulinothérapie transitoire est absolument nécessaire dans les situations de stress ou certaines situations aiguës chez des patients diabétiques de type 2. L insulinothérapie définitive du diabète de type 2 est une pratique thérapeutique assez récente mais nécessaire à moyen terme. Nous n aborderons pas le traitement du diabète de type 1, où l insuline est délivrée par multi-injections ou par pompe sous-cutanée. Chez le patient diabétique de type 2, il faut distinguer deux situations. Pour chacune d elle, le(s) traitement(s) et le(s) schéma(s) insulinique(s) diffèrent. INULINOTHÉRAPIE TRANITOIRE DU DIABÈTE DE TYPE 2 : ITUATION AIGUË Certaines circonstances aiguës contre-indiquent la poursuite des antidiabétiques oraux et rendent le traitement par insuline obligatoire. Tel est le cas d une infection grave, d un accident cardiovasculaire sévère, d un séjour en réanimation ou de la période péri-opératoire, en chirurgie viscérale par exemple. 105
2 2,00 g 1,40 g Protocole insuline rapide si 1,5 < G 2 g/l 6 U si 2 < G 2,5 g/l 8 U si G > 2,50 g/l 10 U Ce qu il ne faut pas faire L insuline est encore trop souvent mal utilisée dans ces situations. Elle doit couvrir l ensemble du nycthémère afin de contrôler la totalité du profil glycémique des 24 heures. Cependant, les schémas proposés utilisent des insulines d action courte et qui sont, de surcroît, prescrites de façon discontinue. Les prescriptions habituellement rencontrées sont de contrôler la glycémie capillaire toutes les 6 heures et de faire une injection sous-cutanée d insuline rapide si la glycémie est élevée. Exemple : 6 unités d insuline rapide si glycémie > 1,50 g/l, 8 unités si glycémie > 2,00 g/l, 10 unités si glycémie > 2,50 g/l, etc. Ce type de prescription consiste uniquement à abaisser l hyperglycémie, mais ne tient absolument pas compte des besoins insuliniques quotidiens du patient. Ainsi, chacun de nous peut observer dans ce cas des profils glycémiques de type yoyo où alternent hypoglycémies et hyperglycémies (figure 1). L injection d insuline rapide abaisse l hyperglycémie et provoque parfois une hypoglycémie. Après quelques heures (4 à 6 heures), la durée Profil glycémique d action de l insuline rapide est dépassée, et la glycémie remonte à des valeurs anormalement hautes. De nouveau, de l insuline rapide est prescrite et permet d abaisser l hyperglycémie, provoquant parfois une hypoglycémie... Ce type de prescription conduit inévitablement à une alternance hypo-hyperglycémie. Il ne faut plus utiliser ce schéma dit protocole insuline rapide, quel que soit le type de diabète et quelle que soit la situation clinique. Afin de contrôler la totalité des glycémies du jour et de la nuit, il faut que le schéma insulinique couvre l ensemble du nycthémère. Ce qu il faut faire en situation aiguë Le message le plus important à retenir est de contrôler l hyperglycémie. L hyperglycémie aiguë est délétère à de multiples égards. Elle peut provoquer des désordres hydroélectrolytiques, des anomalies endothéliales (stress oxydatif, hyperosmolarité et hyperviscosité), des troubles du rythme cardiaque, une augmentation du risque infectieux par diminution des défenses non spécifiques, et une diminution de l anabolisme. Ces impacts négatifs de l hyperglycémie aiguë expliquent la surmortalité hospitalière et à long terme (1-4). Aussi, en situation aiguë, le contrôle de l hyperglycémie nécessite une insulinothérapie intensive par voie intraveineuse à la seringue électrique. Les objectifs glycémiques sont stricts, et le maintien des glycémies entre 0,80 et 1,10 g/l permet de diminuer la morbimortalité (1-4). Aujourd hui, les protocoles intensifs, bien codifiés, permettent l obtention d un bon contrôle glycémique (1). Insuline rapide Insuline rapide Insuline rapide Figure 1. Profil glycémique (courbe bleue) de type yoyo d un patient diabétique de type 2 en situation aiguë et traité par protocole insuline rapide. L injection d insuline rapide (jaune) permet d abaisser l hyperglycémie, avec une remontée secondaire en fin de durée d action de l insuline rapide. Le profil glycémique témoigne d une instabilité glycémique avec une alternance d hypoglycémies et d hyperglycémies. Ce qu il faut faire en relais de la situation aiguë Passée la phase aiguë, l insuline intraveineuse doit être relayée par la voie sous-cutanée. Le schéma insulinique doit alors dans l idéal reproduire au mieux le profil physiologique de la sécrétion d insuline. Physiologiquement, il faut distinguer la période basale des périodes prandiales. L insuline basale est sécrétée de façon continue toute la journée afin de contrôler les glycémies basales. Au moment des repas, les glucides absorbés élèvent la glycémie. Le pancréas riposte et sécrète ponctuellement de l insuline, dont la quantité est adaptée à celle des glucides ingérés : c est le bolus d insuline ou l insuline prandiale (figure 2). 106
3 1,40 g 1,10 g Figure 2. Profil physiologique des glycémies et insulinémies basales et prandiales. L insulinémie basale (rose hachuré) permet de contrôler le profil des glycémies basales (rose). L insuline prandiale ou bolus d insuline (bleu hachuré) est adaptée à la quantité de glucides ingérés (blanc) et permet de contrôler les glycémies prandiales (bleu). 1,40 g 1,10 g Insuline prandiale Insuline prandiale Insuline prandiale Glycémies prandiales Glycémie basale Insuline basale Analogue lent : 0,5 U/kg à 22 heures Analogue rapide : 8 U au moment des repas Figure 3. chéma d insulinothérapie intensifié basal-bolus. La courbe du haut représente le profil glycémique des 24 heures (bleu). Les besoins en insuline basale sont couverts par une injection d un analogue lent (mauve). Le contrôle des glycémies postprandiales est couvert par une injection d un analogue rapide (rouge) avant chaque repas. Ainsi, le schéma le plus physiologique de la sécrétion nycthémérale d insuline est appelé par les diabétologues schéma de type basal-bolus ; il associe une injection d insuline basale et trois injections ou bolus d insuline préprandiale. Quelles insulines? L avènement des analogues de l insuline ultrarapide et de l insuline lente a permis d améliorer considérablement la maniabilité et la précision de ces schémas. Afin de reproduire la sécrétion d insuline basale (et donc de contrôler le profil glycémique basal), il faut privilégier les insulines lentes ou semi-lentes. Les propriétés de l insuline glargine et détémir permettent une bonne couverture des besoins en insuline basale. On peut également proposer deux injections d insuline semi-lente (type NPH) matin et soir. Afin de reproduire la sécrétion d insuline prandiale, il faut privilégier les analogues ultrarapides (insuline lispro ou Humalog, insuline asparte ou NovoRapid ). Leurs propriétés pharmacocinétiques, caractérisées par un délai d action quasi immédiat, un pic et une durée d action courte (2 à 3 heures), permettent un très bon contrôle des excursions glycémiques prandiales (5-6). Ils seront de loin préférés à l insuline rapide, dont le délai d action de 30 à 45 minutes et la durée d action trop longue d environ 5-6 heures ne permettent de contrôler que moyennement les glycémies postprandiales, et exposent à un risque d hypoglycémies tardives (5-6). Et en pratique, comment prescrire? La prescription devient très simple, de une à quatre injections par jour selon que le patient mange ou non. Il s agit d une injection d insuline lente (Lantus ou Levemir ) par jour, à n importe quelle heure. La dose varie selon le poids du patient. Il n y a pas de dose maximale à utiliser. À titre d exemple, les besoins sont de 0,2, 0,3, 0,4 et 0,5 U/kg pour respectivement 70, 80, 90 et 100 kg (7). Avant chaque repas, faire une injection d un analogue rapide de l insuline (Humalog ou NovoRapid ). La dose initiale varie de 6 à 10 unités, et sera adaptée en fonction des objectifs prédéfinis pour la glycémie postprandiale (2 heures après le début du repas) (figure 3). 107
4 Fonctionnalité des cellules ß (%) Intolérance en glucose Glycémie à jeun élevée Quels objectifs glycémiques? Il faut donc se fixer des objectifs stricts pour les patients en situation aiguë. Les études montrent clairement un bénéfice en termes de morbimortalité (1-4). Les objectifs glycémiques seront d obtenir les glycémies les plus proches possible de la normale, soit des glycémies basales à jeun (avant les repas du matin, du midi et du soir) comprises entre 0,80 g/l et 1,10-1,20 g/l et des glycémies postprandiales inférieures à 1,80 g/l (1, 3). INULINOTHÉRAPIE DÉFINITIVE DU DIABÈTE DE TYPE 2 Pourquoi l insuline devient-elle obligatoire et définitive? Le diabète de type 2 est une maladie hétérogène qui associe une insulinorésistance et un déficit de l insulinosécrétion. L étude UKPD (UK Prospective Diabetes tudy) (8), publiée en 1998, nous a apporté deux enseignements majeurs. Premier enseignement : le diabète de type 2 est une maladie évolutive avec une diminution progressive et inéluctable de la sécrétion d insuline par les cellules ß-pancréatiques au fil du temps (figure 4). Cette diminution progressive Diagnostic du diabète Insulinothérapie indispensable Années Figure 4. Évolution de l insulinosécrétion au cours du diabète de type 2. Au moment du diagnostic du diabète, l on constate une perte de 50 % de l insulinosécrétion, qui ne fait que s aggraver au cours du temps. Adapté de l UKPD. de la capacité d insulinosécrétion explique l échec du régime seul, puis de la monothérapie, de la bithérapie, voire de la trithérapie orale. Cela veut dire que, si l on veut maintenir l équilibre glycémique au cours du temps, le recours à l insuline devient obligatoire lorsque le traitement oral seul ne permet plus l obtention du contrôle glycémique. Et finalement, après 10 à 15 ans d évolution, les patients diabétiques de type 2 doivent être traités par insuline. econd enseignement : l optimisation du contrôle glycémique permet de prévenir les complications microvasculaires et, dans une moindre mesure, le risque de macroangiopathie (8). En d autres termes, il faut normaliser les glycémies pour être à l abri des complications. Le traitement du diabète de type 2 s inscrit dans une stratégie de prévention des complications vasculaires. À partir de quels seuils d HbA 1c? L Anaes recommande la mise sous insuline en cas d échec du traitement oral maximal défini par des objectifs non atteints sous bithérapie orale associant sulfamides et metformine à la posologie maximale tolérée. La mise à disposition récente des glitazones (troisième classe thérapeutique d antidiabétiques oraux) offre la possibilité de la trithérapie avant l insulinothérapie. Deux seuils d intervention ont été fixés selon le taux d HbA 1c. i l HbA 1c est supérieure à 8 % à deux reprises, l insulinothérapie est recommandée. i l HbA 1c est comprise entre 6,5 et 8 %, l indication de l insulinothérapie est fonction des objectifs thérapeutiques, qui euxmêmes dépendent de l âge, de l espérance de vie, du contexte psychosocial, des comorbidités associées et des complications vasculaires du diabète (9). D un point de vue nosologique, le patient devient un diabétique de type 2 insulinotraité ou insulinorequérant ou insulinonécessitant, c est-à-dire que l insuline est nécessaire au contrôle glycémique. En France, environ 15 % des diabétiques de type 2 sont traités par insuline. Les données épidémiologiques montrent que, malgré une tendance à l amélioration, encore 30 % des patients n atteignent pas l objectif glycémique optimal et pourraient 108
5 5807 Arg Glo Gly Cys Gly Phe Phe OOC Asn Tyr Thr Pro Lys Thr chaîne B Cys Tyr COO 1,40 g 1,10 g Val Leu Tyr H 3 N Asn Glu Glu Val Ala Leu Leu His Insuline H 3 N Phe er Gly Cys Gly Ile Val Glu Gln Cys Cys Ala chaîne A er Leu Gln Tyr Leu er Cys er Val Asn Gla His Leu justifier d une mise sous insuline plus précoce (10). La mise sous insuline d un patient diabétique de type 2 est souvent nécessaire afin d obtenir les objectifs glycémiques recommandés. Les modalités de l insulinothérapie du diabète de type 2 sont variables et tiennent compte du degré d insulinopénie. Analogue lent : 0,5 U/kg à 22 heures Poursuite du traitement oral Première étape Instauration de l insuline : une injection par jour La mise sous insuline doit être précédée par l apprentissage de l autocontrôle glycémique quand le patient est sous antidiabétiques oraux. L insulinothérapie en une seule injection le soir au coucher associée au traitement antidiabétique oral représente une première étape (figure 5) (11, 12). Ce schéma, appelé bedtime pour insuline à l heure du coucher, est une bonne transition et facilite l acceptation de l insuline. L insuline injectée le soir diminue la production hépatique de glucose nocturne et permet de contrôler la glycémie du réveil. Il est préférable de garder les antidiabétiques oraux associés à l injection d insuline, car ils permettent de réduire les besoins en insuline de 20 à 60 % (11). Il faudra privilégier l association insuline + metformine en cas d excès pondéral, car la prise de poids et la fréquence des hypoglycémies sont moindres et l équilibre glycémique est meilleur avec cette association, et l association insulinosécrétagogues-insuline en cas de poids normal (12, 13). En pratique, comment prescrire? Il faut choisir une insuline dont la durée d action est d au moins 12 heures (type NPH). L insuline glargine (Lantus ) peut également être envisagée dans la mise en route de l insulinothérapie. es propriétés pharmacocinétiques ont l avantage de limiter le nombre d hypoglycémies (14, 15). L utilisation de ces insulines est très simple : une injection par jour au coucher en maintenant le traitement antidiabétique oral (figure 5). Adaptation de la dose d insuline Le traitement par insuline doit permettre l obtention d un contrôle glycémique strict. Il est donc absolument nécessaire d apprendre aux patients à adapter la dose d insuline du coucher. Les objectifs glycémiques à jeun sont fixés par le médecin ; ils sont le plus souvent stricts, car il existe une corrélation très claire entre la glycémie du réveil et le taux d HbA 1c. Une valeur d HbA 1c inférieure à 7 % correspond à une glycémie à jeun avoisinant 1,00 g/l (5 mmol/l) (13). Tant que cet objectif n est pas atteint, il faut augmenter la dose d insuline du coucher ; l adaptation doit se faire par titration progressive. La prescription des doses est souvent insuffisante dans la crainte d une prise de poids, ou plutôt du retour au poids antérieur au déséquilibre glycémique, et d hypoglycémies nocturnes. Comme pour les situations aiguës, il n y a pas de limite supérieure à utiliser ; la dose moyenne d insuline varie selon le poids des patients (7). Figure 5. chéma d insulinothérapie bedtime. La courbe du haut représente le profil glycémique des 24 heures (bleu). L insuline bedtime consiste à faire une injection au coucher d une insuline semi-lente de type NPH ou d un analogue lent (en mauve). Les antidiabétiques oraux sont poursuivis. Deuxième étape Multi-injections Du fait de l aggravation progressive de l insulinosécrétion, le schéma bedtime va perdre son efficacité en quelques mois ou années. Il est alors nécessaire de proposer un schéma renforcé avec des injections multiples. Le passage à deux injections d insuline semi-lente ou biphasique ne semble pas apporter de bénéfice en termes de contrôle glycémique comparé à l insuline au cou- 109
6 cher (11). Dans ce contexte, le passage aux multiinjections est plus approprié. Les antidiabétiques oraux sont arrêtés et le schéma insulinique doit dans l idéal reproduire au mieux le profil physiologique de la sécrétion d insuline. Le schéma basal-bolus sera privilégié en utilisant les analogues de l insuline ultrarapide et lente (figure 3). Ce type de schéma intensifié multi-injections (au moins quatre injections par jour) permet également l élargissement et la libéralisation du régime alimentaire par la méthode de l insulinothérapie fonctionnelle. Le principe de cette méthode consiste à adapter la dose d insuline du repas (analogue rapide) à la quantité de glucides ingérés. Cette méthode offre l avantage considérable d une totale liberté alimentaire. Il faudra cependant rester prudent dans les indications, notamment chez les diabétiques de type 2 obèses (80 % des cas!) ou avec troubles du comportement alimentaire (16). Obstacles Un des principaux obstacles à l insulinothérapie définitive du diabète de type 2 est la réticence psychologique du patient, mais également celle du médecin. Il faut préparer, informer, rassurer et écouter nos patients. Aux représentations négatives du patient et du médecin (signe de gravité, d irréversibilité, crainte irrationnelle de la dépendance, contrainte de l autosurveillance, douleurs de l injection, prise de poids, etc.) doivent succéder des messages convaincants et rassurants, comme le meilleur contrôle de la maladie, l efficacité du traitement, l amélioration de la forme physique, un espoir de prévention des complications et de vie. Le risque d hypoglycémies Le risque d hypoglycémies chez les diabétiques de type 1 et de type 2 est inversement proportionnel au contrôle glycémique (7). Le risque est nettement plus faible chez les diabétiques de type 2 traités par insuline comparé à celui des diabétiques de type 1 traités par insuline, en raison de la persistance d une insulinosécrétion endogène résiduelle modulable et de l existence d une insulinorésistance périphérique (7). Mais le risque d hypoglycémies modérées et d hypoglycémies sévères est supérieur chez les patients traités par insuline (36 % et 2,3 % respectivement) comparé à celui des patients traités par sulfamides (11-17 % et 0,5 % respectivement) (UKPD 33) (8). L association à la metformine et l utilisation de l insuline glargine diminuent le risque d hypoglycémies (7, 13, 15). Les hypoglycémies sont le plus souvent modérées, bien ressenties et facilement resucrables. Prise de poids La prise de poids varie de 3 à 6 kilogrammes en moyenne. Elle est en fait le retour au poids antérieur au déséquilibre glycémique. Elle est corrélée à la dose d insuline, à l importance du déséquilibre glycémique ou plutôt à l importance de la correction glycémique. Chaque diminution de 1% d HbA 1c entraîne une prise de poids de 2 kg (7). Elle est plus marquée dans les schémas avec multi-injections (7, 13). L association à la metformine semble être le schéma où la prise de poids est la plus modérée (7, 13). Le principal mécanisme impliqué est l augmentation de l apport calorique liée à la disparition de la glycosurie et à l effet anabolisant de l insuline sur les métabolismes protidique et lipidique (7, 13). CONCLUION Le diabète de type 2 est une maladie chronique et évolutive. Certaines situations aiguës pourront rendre l insuline transitoirement nécessaire. Dans les situations très aiguës de réanimation ou chirurgicales, il est nécessaire de contrôler les glycémies pour diminuer la mortalité, et l insuline doit être administrée par voie intraveineuse à la seringue électrique. Ensuite, et dans des situations moins aiguës, l insuline sera administrée par voie sous-cutanée en respectant un schéma qui couvre la totalité du nycthémère. Par ailleurs, l évolution du diabète de type 2 est caractérisée par une perte progressive de la sécrétion d insuline, et rend ainsi l insuline définitivement nécessaire à moyen terme. La mise sous insuline d un patient diabétique de type 2 est inéluctable avec le temps afin de contrôler les glycémies et de prévenir la survenue des complications vasculaires du diabète. Les nouveaux schémas insuliniques sont 110
7 simples de maniement et de compréhension, et permettent d obtenir un bon contrôle glycémique. En France, le traitement par insuline est sous-utilisé chez les diabétiques de type 2 qui n atteignent pas les objectifs fixés par l Anaes. La poursuite des campagnes d information reste fondamentale afin de ne pas retarder l instauration d un traitement par insuline devenu nécessaire chez les patients diabétiques de type 2. R ÉFÉRENCE 1. Van Den Berghe G, Wouters P, Weekers F et al. Intensive insulin therapy in critically ill patients. N Engl J Med 2001; 345: Malmberg K for the DIGAMI tudy Group. Prospective randomized study of intensive insulin treatment on long term survival after acute myocardial infarction in patients with diabetes mellitus. Br Med J 1997;314: Malmberg K, Ryden L, Wedel H et al. Intense metabolic control by means of insulin in patients with diabetes mellitus and acute myocardial infarction: effects on mortality and morbidity. Eur Heart J 2005;26: Furnary AP, Gao G, Grunkemeier GL et al. Continuous insulin infusion reduces mortality in patients with diabetes undergoing coronary artery bypass grafting. J Thorac Cardiovasc urg 2003;123: Anderson JH, Brunelle RL, Keohane P et al. Mealtime treatment with insulin analog improves postprandial hyperglycemia and hypoglycemia in patients with non insulin dependent diabetes mellitus. Multicenter Lispro tudy Group. Arch Intern Med 1997;157: Rosenfalck AM, Thorsby P, Kjems L et al. Improved postprandial glycaemic control with insulin aspart in type 2 diabetic patients treated with insulin. Acta Diabetol 2000;37: Yki-Jarvinen H. Combination therapies with insulin in type 2 diabetes. Diabetes Care 2001;24: UKPD 33. Intensive blood glucose control with sulfonylureas or insulin compared with conventional treatment and risk of complications in patients with type 2 diabetes. Lancet 1998; 352: tratégie de prise en charge du patient diabétique de type 2 à l exclusion de la prise en charge des complications. Recommandations de l ANAE, mars Vexiau P, Eschwege E, Raccah D et al. Contrôle glycémique des diabétiques de type 2 traités en monothérapie orale. Diabetes Metab 2005;(uppl. 1): Yki-Jarvinen H, Kauuppila M, Kujansuu E et al. Comparison of insulin regimens in patients with non-insulindependent diabetes mellitus. N Engl J Med 1992;327: Janka HU, Plewe G, Riddle MC et al. Comparison of basal insulin added to oral agents versus twice-daily premixed insulin as initial insulin therapy for type 2 diabetes. Diabetes Care 2005;28: Yki-Jarvinen H, Ryysy L, Nikkilä K et al. Comparison of bedtime insulin regimens in patients with type 2 diabetes mellitus. Ann Intern Med 1999;130: Riddle MC, Rosenstock J, Gerich J et al. The treat-to-target trial. Diabetes Care 2003;26: Yki-Jarvinen H, Dressler A, Ziemen M and the Hoe 901/2002 tudy group. Less nocturnal hypoglycemia and better post dinner glucose control with bedtime insulin glargine compared with bedtime NPH insulin during combination therapy in type 2 diabetes. Diabetes Care 2000;23: Virally M, Varroud-Vial M, Riveline JP et al. L insulinothérapie fonctionnelle : de la théorie à la pratique. Médecine Clinique Endocrinologie & Diabète 2004; (uppl. 1):23-7. Bloc-notes ecrétariat des journées COLLOQUIUM-FNV , rue de la Croix-Faubin PARI Tél. : Fax : sfnv@colloquium.fr 10 es Journées de la ociété française neuro-vasculaire jeudi 24, vendredi 25 novembre 2005 PARI, à l UIC (Union internationale des chemins de fer) 16, rue Jean-Rey Paris Métro : Bir Hakeim (au pied de la Tour Eiffel) THÈME éances plénières : - HTA & cerveau - Coagulopathies Ateliers : - Imagerie - Thromboses veineuses cérébrales Pratiques professionnelles : les filières AVC Actualités neurovasculaires en 2005 Controverses Communications orales et affichées Essais institutionnels ymposiums ession paramédicale Réunion Grand Public
Insulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailTHÉRAPEUTIQUES. Détémir et glargine : analogues lents de l'insuline
Deux analogues lents de l'insuline ont été successivement mis sur le marché : la glargine (Lantus ) en 2003 et la détémir (Levemir ) en 2005. Qu'apportent ces nouvelles insulines pour la prise en charge
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailLa gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies
U S D Union Sports & Diabète La gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies Journées nationales des diabétiques qui bougent, Vichy 17-18-19 mai 2013 Docteur Muriel TSCHUDNOWSKY
Plus en détailL autogestion de l insulinothérapie basale plus 1
L autogestion de l insulinothérapie basale plus 1 Le traitement combiné insuline basale et hypoglycémiants oraux est un traitement éprouvé et efficace pour amorcer en douceur l insulinothérapie. Il est
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailJ aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?
Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,
Plus en détailDiabète Instable: Comment le comprendre et l Améliorer?
Qu est-ce qu un Diabète Instable? Absence de définition consensuelle établie. Diabète Instable: Comment le Comprendre et l Améliorer? Professeur Eric Renard Département d Endocrinologie, Diabète, Nutrition
Plus en détailRecommandations sur le traitement du diabète de type 2
RECOMMANDATIONS Forum Med Suisse 2009;9(3):50 55 50 Recommandations sur le traitement du diabète de type 2 Déclaration de consensus de la Société Suisse d Endocrinologie-Diabétologie Commentaire d experts
Plus en détailMa fille est diabétique de type 1
Ma fille est diabétique de type 1 Anneli, fille de Martina Equilibrée grâce à sa pompe depuis 2011 A l annonce du diagnostic de diabète de type 1 de leur enfant, de nombreux parents se demandent : «Pourquoi
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailAmélioration du traitement du diabète par les nouvelles générations d insuline.
Amélioration du traitement du diabète par les nouvelles générations d insuline. Pr David L. Russell-Jones, MBBS, BSc, MD, FRCP WebMD Global, LLC Ce document est uniquement informatif. La lecture de ce
Plus en détailDiabète:généralités DEFINITION DIABETE DE TYPE 1
DEFINITION Diabète:généralités Recommandations OMS: -glycémie à jeun normale:
Plus en détailGestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine
CENTRE HOSPALIER UNIVERSAIRE VAUDOIS - 1011 Lausanne Service de médecine Centre des Maladies Cardio-vasculaires et métaboliques Service d endocrinologie, diabétologie et métabolisme Gestion de l insuline
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailLe diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot
Le diabète de type 1 UNSPF Ségolène Gurnot Juin 2013 Légende Entrée du glossaire Abréviation Référence Bibliographique Référence générale Table des matières Introduction 5 I - Introduction 7 A. Quelle
Plus en détailBoughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF
Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l
Plus en détailDiabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature
Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète
Plus en détailL ajustement de l insuline au quotidien
LA MAJORITÉ DES COMPLICATIONS chroniques du diabète sont liées, de près ou de loin, à l hyperglycémie 1. L hyperglycémie chronique peut entraîner d importantes séquelles à long terme et causer des lésions,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailDiabète et hypoglycémies
Diabète et hypoglycémies Docteur Karim LACHGAR Chef de service de diabétologie endocrinologie Hôpital Simone Veil Eaubonne Montmorency Karim.lachgar@ch-simoneveil.fr 15 e journée des associations du Val
Plus en détailAvis 1 er octobre 2014
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 1 er octobre 2014 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 23 avril 2014 a fait l objet d une audition le 1 er octobre 2014. INSUMAN IMPLANTABLE
Plus en détailFiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine
Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique Dans toutes les situations Privilégiez la phase de découverte Savoir comment le patient et/ou l accompagnant perçoivent le diabète. Permettre
Plus en détailMieux vivre avec un diabète de type 2. Matériel d information pour patients atteints d un diabète de type 2
Mieux vivre avec un diabète de type 2 Matériel d information pour patients atteints d un diabète de type 2 Mieux vivre avec un diabète de type 2 Le chevalet à feuilles mobiles «Mieux vivre avec un diabète
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailIII- Traitement du diabète de type 1
III- Traitement du diabète de type 1 Les bases du traitement Le traitement du diabète de type 1 est actuellement assez bien codifié et des arguments physiopathologiques, scientifiques et pragmatiques ont
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailEvaluation des pratiques professionnelles. Diabète et travail
Evaluation des pratiques professionnelles Diabète et travail 1 Cas clinique Homme de 35 ans, diabète de type 1 diagnostiqué à l age de 18 ans. En 1990, il est cariste, pontier en cabine, travaille en 3X8.
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailFREESTY interstitiel. Demandeur. Les modèles. 6 ans) dont. g pluriquotidienne. du glucose. Service Attendu (SA) : glycémique. glucose.
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 03 décembre 2013 CONCLUSIONS FREESTY YLE NAVIGATOR II, système de mesure enn continu interstitiel
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLe jeune diabétique à l école
Le jeune diabétique à l école Défis et Solutions Prof. Marc Maes Equipe de diabétologie pédiatrique Centre de convention Cliniques Universitaires St Luc 1200 Bruxelles Marc.Maes@uclouvain.be Le jeune diabétique
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailAvenue du Président François Mitterrand 76405 FECAMP Service pédiatrie Tel 02.35.10.92.01. Guide du patient, porteur d un diabète de type 1
Avenue du Président François Mitterrand 76405 FECAMP Service pédiatrie Tel 02.35.10.92.01 Guide du patient, porteur d un diabète de type 1 1 Madame, Monsieur, Votre enfant vient d être hospitalisé dans
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailéquilibre glycémique du diabétique insuliné
La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailCHAPITRE III /Glycémie-Diabète/ Le Diabète
CHAPITRE III /Glycémie-Diabète/ Le Diabète Problématiques : Comment diagnostique-t-on un diabète chez un patient? Quels sont les mécanismes à l'origine des deux principaux types de diabète? Quels sont
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailEnfants et adolescents diabétiques Problématiques courantes en médecine générale dominique.beckers@uclouvain.be
Enfants et adolescents diabétiques Problématiques courantes en médecine générale dominique.beckers@uclouvain.be Hyperglycémies Acido-cétose = Insulinopénie * Au moment du diagnostic (dépistage) * Lors
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailglycémique en réanimation
Les techniques de surveillance glycémique en réanimation M. Kopff-Uberall, M. Hasselmann Service de Réanimation Médicale, Hôpitaux Universitaires Université Louis Pasteur - Strasbourg Les Hôpitaux Universitaires
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailActivité physique Les bénéfices pour mon diabète
Activité physique Les bénéfices pour mon diabète www.afd.asso.fr Fédération Française EPMM Sports pour Tous Activité physique, pourquoi? Bien que l activité physique régulière fasse partie intégrante de
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailBIEN VIVRE AVEC MON DIABÈTE
BIEN VIVRE AVEC MON DIABÈTE 2 e édition révisée BIEN VIVRE AVEC MON DIABÈTE 2 e édition révisée Stéphane Tardif Infirmier clinicien spécialisé en enseignement diabétique Avec la collaboration de l équipe
Plus en détailDiabète et exercice physique
excer.phys_062004 13-07-2004 10:52 Pagina 1 Diabète et exercice physique un service de excer.phys_062004 13-07-2004 10:52 Pagina 2 2 Diabète et exercice physique La présente brochure a pu être réalisée
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailSport et diabète de type 1
mise au point Sport et diabète de type 1 Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1200-5 C. Büsser P. Meyer J. Philippe F. R. Jornayvaz Drs Claudio Büsser, François R. Jornayvaz et Patrick Meyer Pr Jacques Philippe Service
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détail