Le diagnostic de ces grands constituants est marqué par la morphologie du territoire de la côte ouest organisé selon quatre séquences :
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- Jean-Claude Chabot
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1 29 2 LES MILIEUX NATURELS ET LES PAYSAGES Les milieux naturels et les paysages sont classiquement définis comme ces lieux (espaces) peu ou pas perturbés par l homme et ses activités. Il s agit soit d écosystèmes, soit d habitats, cadre écologique de vie d espèces faunistiques, soit de grands éléments paysagers producteurs d aménités pour l homme LA MORPHOLOGIE DU TERRITOIRE ET LES PAYSAGES 1 Traditionnellement, les espaces naturels étaient consommés par l urbanisation et les paysages s en trouvaient peu à peu dégradés. Aujourd hui, une attitude nouvelle préside aux démarches de planification. Les espaces naturels, agricoles et les paysages sont considérés comme des valeurs. Cette inversion du regard entre espaces naturels et paysages d une part et urbanisation d autre part est fondée sur deux raisons :. d abord l intérêt bien compris des habitants d aujourd hui et de demain : la qualité de l environnement est un atout essentiel de l attractivité résidentielle et économique du TCO. La pérennité de cette attractivité est liée à la préservation de l environnement et des paysages,. ensuite, l intérêt des générations futures : ce grand capital Nature est à préserver aujourd hui pour être transmis en héritage. Les grands constituants agricoles, naturels et paysagers du territoire communautaire doivent être préservés et valorisés pour eux-mêmes mais aussi pour contribuer à valoriser la qualité de vie de ses habitants. Le diagnostic de ces grands constituants est marqué par la morphologie du territoire de la côte ouest organisé selon quatre séquences : Les contreforts du système volcanique ancien du Piton des Neiges formant des remparts particulièrement escarpés ; sans aucune occupation humaine permanente. Le cirque d effondrement de Mafate, très enclavé mais abritant néanmoins une population permanente d environ 1000 personnes. La planèze ouest (de la Réunion) aux pentes fortes (entre 10% et 15%), entaillée par des ravines. Cette planèze se différencie selon l altimétrie entre les parties les plus hautes où l occupation humaine permanente est nulle et les hauts au sens à la fois identitaire et administratif 2 s étageant à peu près entre les cotes +300 mètres et +800 ou 900 mètres (cette dernière cote correspondant sauf dans la partie nord de Saint-Paul à la route Hubert Delisle et à ce qu on désigne sous le nom des mi-pentes). L espace littoral et rétrolittoral correspondant à toute la zone dont la cote altimétrique est inférieure à 300m et se prolongeant par l espace marin côtier. Cette organisation altitudinale prévaut pour la plus grande partie de l ouest de la Réunion, correspondant au territoire des communes de Saint-Leu, Saint-Paul et Trois-Bassins. Elle connaît une exception au niveau de la commune de La Possession où le relief est beaucoup plus accidenté, les pentes très fortes, les ravines beaucoup plus marquées et la bande littorale réduite à un ensemble de falaises. C est aussi à ce niveau que prend place le cône de déjection de la Rivière 1 Les lignes qui suivent doivent beaucoup à l analyse des paysages du T.C.O. telle qu elle a été menée dans le Projet d agglomération ; livre 1 pages Le territoire relevant du Commissariat à l Aménagement des Hauts (C.A.H.) commence sur le territoire du T.C.O à la cote +600m.
2 30 des Galets, le plus grand système hydrologique de l île ayant donné naissance à un vaste littoral plate de côte à galets où se sont implantées les villes de La Possession et du Port. La morphologie singulière du territoire du T.C.O. contribue à rendre difficile la question de l organisation du développement urbain, et ce à un triple titre : La relative uniformité de ces très longues pentes (la planèze) favorise la propension de l habitat à s y disperser, fragilisant ainsi l activité agricole se déployant sur des parcelles de plus en plus émiettées. Les nombreuses et très profondes ravines qui incisent la planèze obligent le réseau routier allant de bas en haut à avoir des profils en long et en travers très contraints, d où des temps de parcours importants et un confort de conduite faible ; ce qui accentue la pression de l urbanisation sur les parties basses.
3 31 TETRA/DUTEILH PERRAU S.C.O.T. DU TERRITOIRE DE LA CÔTE OUEST DIAGNOSTIC AVRIL 2005
4 32 L altitude, enfin, définit un gradient climatique très prononcé. Le plafond nuageux, à 900 mètres d altitude environ, diminue fortement l ensoleillement et les températures. Ceci est une autre raison de l attractivité pour les pentes les moins élevées et d une espèce de «neutralisation» urbaine des pentes à compter de cotes altitudinales aux environs de 700/800 mètres ; hors l élevage et la fonction loisirs-promenade. L enjeu résultant de ce diagnostic est d intégrer la dimension espaces naturels et paysages comme une entrée de première importance pour le schéma de cohérence territoriale du TCO. A cet égard, au delà de ce qui sera analysé infra, les grands constituants du paysage devront être considérés comme autant d éléments de valorisation non seulement de la nature mais aussi des espaces bâtis, donc des espaces urbains IDENTIFICATION DES MILIEUX NATURELS : UN ÉCART AVÉRÉ AVEC L ENSEMBLE DES MESURES DE PROTECTION Les milieux naturels sont d abord lieux de nature et sans nature il n existe pas de société humaine. Cela dit, il y a nature et nature. Une bonne manière de la «mesurer» est l importance de la biodiversité qu elle génère liée à sa richesse et à sa diversité : potentiel génétique, biochimique, aptitude à préserver les ressources d eau et de climat. La nature est source aussi d aménités, c'est-à-dire de paysage, de contemplation, d activités de connaissance et de découverte, toutes dimensions liées à la qualité de la vie et à l attractivité touristique. L identification des milieux naturels répond à trois critères d appréciation disjoints ou combinés : critère réglementaire ; par exemple, identification des espèces ou espaces protégés ; critère écologique ; diversité écologique, floristique, à partir d inventaires scientifiques comme les Z.N.I.E.F.F. ; critères sociétaux en tant que résultant d un système de valeurs relatif aux valeurs produites pour l homme : économique, symbolique, esthétique, culturelle, etc. À la Réunion en général et dans le T.C.O. en particulier, une proportion très importante de la faune et de la flore «indigènes» ou «primaires» a disparu depuis les débuts de l occupation humaine ; phénomène d ailleurs beaucoup plus marqué pour la faune que pour la flore. Nonobstant cette considération du passé, les inventaires scientifiques 1 ont permis d identifier, dans leur diversité, un ensemble important de milieux naturels maintenant bien connus et bien documentés que le S.C.O.T. du T.C.O. devra considérer comme autant d espaces où l impératif de préservation-valorisation l emportera sur les objectifs de développement résidentiel, économique ou d équipements. Les Z.N.I.E.F.F. de catégories 1 et 2 recensées sur le territoire du T.C.O. représentent au total près de hectares terrestres, soit 50% du territoire terrestre total et environ 4600 hectares de zones récifales et lagons 2. Catégorie 1 Catégorie 2 Superficie T.C.O. Z.N.I.E.F.F. terrestres ha ha ha Z.N.I.E.F.F. marines 151 ha ha - 1 Permettant d identifier les zones naturelles d intérêt faunistique et floristique Z.N.I.E.F.F. et, au-delà, de délimiter des espaces naturels à fort intérêt de préservation (réserves naturelles ou biologiques, arrêtés de protection de biotopes, sites inscrits). 2 Cf. Réf. [1].
5 33 L ensemble de la surface des Z.N.I.E.F.F. définit l enveloppe spatiale des milieux naturels au sein de laquelle des dispositifs spécifiques de protection des espèces et des écosystèmes ont été ou non mis en place :
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7 35 Sites inscrits et sites classés au titre de la loi de 1930 relative à la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque : respectivement la Ravine Saint-Gilles (287ha, Saint-Paul), puis la Grotte des Premiers Français (3ha, Saint-Paul), la Ravine du Bernica (134ha, Saint-Paul) et la Pointe au Sel (150ha, Saint-Leu). Les réserves [soit naturelle nationale (RNN), soit biologiques domaniales (RBD)] : La Roche Écrite 1 (RNN, 536ha pour la partie située à La Possession), les Hauts de Bois de Nèfles (RBD, 185ha, Saint-Paul) et celle du Bras Bémale tributaire de la rivière des Galets dans le cirque de Mafate (RBD, 868ha, La Possession et Saint-Paul 2 ). Un projet de création est en cours sur la zone centrale de l étang de Saint-Paul (RNN) et sur les récifs coralliens de la côte ouest (RNN). Par ailleurs, le Conseil Général de la Réunion a déjà identifié et acquis par l utilisation de la taxe départementale correspondante des espaces naturels sensibles : près de 500ha répartis en six sites. Est notamment concerné l étang de Saint-Paul et ses abords. Dans un registre équivalent acquisition publique et gestion conciliant protection et valorisation, le C.E.L.R.L. 3 a acquis près de 300ha à La Grande Chaloupe (La Possession, limitrophe de Saint-Denis) et va acquérir une part importante du Cap La Houssaye à Saint- Paul. L acquisition d autres périmètres est à l étude sur Trois Bassins et Saint Leu. Ainsi, dans l état actuel («initial») des choses au regard des quelque 27000ha terrestres et 4600ha marins de milieux naturels de grand intérêt, l ensemble des mesures de protection et de valorisation explicites 4 ne concernent dans leur diversité que moins de 2000ha, soit 7% du total terrestre et 0% de la composante marine. Cet écart peut paraître problématique. Il convient cependant de le nuancer à partir d une considération très importante : celle liée à la présence des forêts publiques des Hauts de la Réunion bénéficiant, pour des milliers d hectares, du régime forestier garantissant tant leur inaliénabilité que leur indéfrichabilité. À cet égard, on note, au contraire, la faiblesse des dispositifs actuels de protection des ravines, composante essentielle du paysage réunionnais et aussi lieux uniques de préservation des derniers vestiges de la forêt semi-sèche qui couvrait auparavant une bonne part des territoires des «Bas» de l ouest de l île. L enjeu «ravines» est sans doute un enjeu important pour le S.C.O.T. du T.C.O VERS UNE DYNAMIQUE PLUS AFFIRMÉE DE PROTECTION ET DE DÉVELOPPEMENT DURABLE Dans ce contexte, l état initial de l environnement se doit de faire référence à deux démarches importantes qui vont concerner, dans le territoire du T.C.O., l essentiel, s agissant des milieux, de la biodiversité et des aménités. 1 Habitat spécifique d une espèce endémique : le tuit-tuit. 2 Qui se partagent le cirque de Mafate. 3 Conservatoire des espaces littoraux et rivages lacustres. 4 Les espaces remarquables du littoral identifiés par le S.A.R. de la Réunion en 1995 au titre des modalités d application de la loi Littoral recouvrent presque systématiquement des espaces déjà mentionnés à d autres titres : la Grande Chaloupe (C.E.L.R.L.), l Étang de Saint-Paul (E.N.S.), le Cap la Houssaye (E.N.S. et C.E.L.R.L.), la Pointe au Sel (site classé et C.E.L.R.L.).
8 36 Le schéma des services collectifs des Espaces naturels et ruraux de la Réunion S.E.N.R. avait identifié, en effet, dans son chapitre final, des territoires stratégiques d intérêt majeur. S agissant de ceux qui concernent la partie ouest de l île étaient mis en avant :
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10 38 le cirque de Mafate, les points culminants de la chaîne volcanique avec le Grand Bénard, le Maïdo et la Roche Écrite, le littoral ouest de Saint-Paul - Cap La Houssaye à Saint-Leu avec notamment les quelque 20 kilomètres de côte récifale et de lagons, ainsi que l étang de Saint-Paul. La démarche 1 est celle du projet de création du parc national des Hauts de la Réunion ; la démarche 2 est celle du projet de création de la réserve naturelle marine du littoral ouest de la Réunion. A/ La démarche 1 Parc national des Hauts de la Réunion Le projet de parc 1 distingue actuellement, tant quant aux objectifs qu au regard des dispositifs administratifs, deux types de zones 2 : La zone centrale, territoire de protection et de découverte espace à conserver et à valoriser ; soit environ 15000ha pour le territoire du T.C.O., y compris le cirque de Mafate. La zone périphérique, maintenant dénommée «zone d adhésion» : territoire de soutien au développement durable au travers de la définition d une Charte à conclure entre les partenaires concernés et en particulier les collectivités territoriales. S agissant du T.C.O., la zone correspondante couvrirait à peu près l espace situé au-dessus de la route Hubert Delisle, puis, au nord, la cote +900m en incluant aussi les espaces de «première importance écologique» classés en «Z.N.I.E.F.F. 1» comme la Grande Ravine de Trois-Bassins. Le contenu proposé pour la zone périphérique cote +850/900m est en retrait sur le périmètre actuel du Plan d aménagement des Hauts (cote +600m). La surface concernée pour le T.C.O. est également d à peu près 15000ha. B/ La démarche 2 Réserve naturelle nationale marine du littoral ouest de la Réunion Le périmètre proposé concerne l ensemble du littoral à partir du Cap La Houssaye jusqu au delà de la limite communale sud de Saint-Leu ; soit, s agissant du territoire du T.C.O., 33km de littoral représentant près de 60% du total du littoral des cinq communes. Seraient englobés dans le périmètre les espaces marins allant de la limite des lais et relais de la mer jusqu au delà de la barrière récifale (environ 30 mètres de profondeur). Mais le plus important sans doute serait l ensemble des règles concourant à la préservation-valorisation des lagons. À cet égard, la problématique est bien celle correspondant au concept de gestion intégrée 3 du littoral : Organisation d ensemble des activités marines et côtières et en conséquence développement raisonné des activités touristiques littorales. Considération attentive des aménagements dans l espace marin : ports et jetées. Limitation/interdiction des constructions dans l espace des 50 pas géométriques en arrière des plages. Et aussi, et peut-être surtout, mise en place de mesures préventives quant aux pollutions dans l ensemble du bassin versant concerné, soit la planèze ouest des Hauts, d où d importantes 1 Dont un récent conseil des ministres (avril 2004) vient de décider la création. 2 En cours d évolution. 3 Cf. Réf [4].
11 39 conséquences sur l assainissement (eaux pluviales et eaux usées, élimination des déchets, protection contre l érosion, limitation des intrants «indésirables» pour les activités agricoles). Considérées ensemble, les démarches 1 et 2 visent à conférer un «label» de reconnaissance nationale donc à portée internationale aux territoires concernés. Cette reconnaissance est une «plus-value» forte pour la Réunion en général et pour le T.C.O. en particulier. Cette garantie de la préservation-valorisation tant de la pérennité écologique que des aménités socio-économiques et culturelles (donc touristiques) est exigeante on l a vu mais aussi pleine d implications sur les espaces situés entre les deux, i.e. entre les points sommitaux et le littoral : les mi-pentes CONSÉQUENCES POUR LES MI-PENTES : PLUS ET MIEUX DE DÉVELOPPEMENT La problématique des mi-pentes peut s analyser comme suit. Le territoire du T.C.O. accueillera entre et nouveaux habitants d ici Ce supplément de population ne pourra pas se localiser en totalité sur le littoral, au risque sinon de mettre en danger l espace côtier et marin correspondant et d aggraver les problèmes d encombrement et de sur-densification déjà existants. La zone centrale du Parc national des Hauts de la Réunion est déjà et restera un territoire de découverte, de protection et de valorisation de la biodiversité. Une proportion importante du surcroît de développement se localisera donc dans l «entre deux» situé entre les cotes altimétriques +250/300m et +600/850m. Actuellement, l urbanisation dans ce territoire de l «entre deux» est peu organisée du point de vue tant spatial que de la prévention des conséquences environnementales de l urbanisation (assainissement des eaux usées et pluviales, déchets). À se poursuivre selon ce modèle les paysages sont dégradés 1, la durabilité environnementale, culturelle et socio-économique des Hauts n est pas assurée et la préservation-valorisation du littoral terrestre (plages) et marin (récifs et lagons) est compromise, ce qui compromettrait tout autant le «moteur» économique que représente le tourisme. Ainsi, à partir d une analyse relative aux milieux naturels et aux paysages, est-on amené à mettre en avant l enjeu important que constitue l aménagement du territoire des mi-pentes ou des «hauts» du T.C.O. Enjeu pour les espaces correspondants, mais enjeu aussi pour le territoire du futur parc national des Hauts de la Réunion et de la future réserve naturelle du littoral ouest de la Réunion. 1 Cf. Réf. [5].
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