La Gestion Urbaine de Proximité en action

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1 La Gestion Urbaine de Proximité en action Note argumentaire de promotion de la démarche de Gestion Urbaine de Proximité Vers un référentiel-métier pour les coordonnateurs et référents GUP Juin

2 Depuis le lancement du réseau des coordonnateurs de Gestion Urbaine de Proximité en Poitou- Charentes en 2010, Villes au Carré a organisé trois rencontres d échanges de pratiques qui ont permis de co-construire : - un tableau d état des lieux des conventions - un argumentaire en faveur de la GUP, avec l appui de Laurence Dini (Gérau conseil) - les éléments d un référentiel métier de coordonnateur GUP, avec l appui de Damien Bertrand (Fors recherche sociale). Les échanges ont été enrichis par les travaux de Villes au Carré engagés en parallèle dans le cadre d un atelier permanent inter-acteurs sur la GUP, en région Centre. Gestion Urbaine de Proximité, de quoi parle-t-on? 1 Le SG-CIV a publié en mai 2012, avec l Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANRU), l Agence nationale pour la cohésion sociale et l égalité des chances (ACSE) et l Union Sociale pour l Habitat (USH), une note de cadrage relative à la Gestion Urbaine de Proximité «évolution des enjeux et des pratiques d acteurs». Cette publication définit la GUP comme : «La gestion urbaine de proximité, levier essentiel dans les quartiers de la politique de la ville, se définit comme une réponse qualitative que les pouvoirs publics et les bailleurs sociaux peuvent apporter aux attentes de la population, pour améliorer la qualité du cadre de vie et des conditions de vie.» «Les démarches d amélioration de la qualité de la gestion urbaine de proximité doivent être conduites dans les quartiers où la loi les rends obligatoires» (quartiers faisant l objet de PRU). Gestion urbaine de proximité, évolution des enjeux et des pratiques d'acteurs Auteurs : SG-CIV, ANRU, ACSE, mai 2012, 31 p. Les démarches de Gestion Urbaine de Proximité (GUP) prennent de plus en plus d ampleur dans la poursuite des projets de rénovation urbaine pour le maintien de la qualité des réalisations. Désormais elles sont considérées comme une partie du volet de l accompagnement social des PRU, et contribuent ainsi à l articulation et la conciliation de l humain et l urbain. Cette démarche devra également être intégrée dans les Plans Locaux Stratégiques qui seront réalisés par les collectivités en sortie de convention du PRU 1 (cf. note PSL en annexe). Guide pour l élaboration des plans stratégiques locaux - Version 1. Auteurs : SG-CIV, ACSE, ANRU, avril 2012, 74 p. 1 Pour en savoir plus : Gestion urbaine de proximité, évolution des enjeux et des pratiques d'acteurs : Auteurs : SG-CIV, ANRU, ACSE, Mai La gestion urbaine de proximité en chantier : La GUP dans les projets de rénovation urbaine en Nord Pas-de-Calais, Auteurs : IREV, USH, ARH, Frédéric Tréca, Juillet 2010 Note de cadrage «une démarche gestion urbaine de proximité», Auteurs : Direction Générale de l'urbanisme, de l'habitat et de la Construction, DIV, USH, Juin 1999 Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 1

3 Les thématiques d actions de la GUP Villes au Carré a repéré les thématiques d actions inscrites dans les conventions GUP en Poitou- Charentes et les a classées selon l importance qui leur a été donnée par les coordonnateurs. Quelques axes d interventions de la GUP sont communs à tous les territoires : La gestion des encombrants et le tri des déchets La gestion et la propreté des espaces, des équipements extérieurs, et des parties communes des immeubles La gestion des espaces publics pendant la phase chantier L intervention rapide sur les dégradations et les dysfonctionnements Les actions de communication, de médiation, et les activités pédagogiques Le développement de l emploi et de l insertion (ex. : chantiers/ateliers d insertion ) La hiérarchisation des thématiques en revanche est variable, mais elles sont le plus souvent classées en trois niveaux : En 1 re position : les actions en faveur de l amélioration du cadre de vie, et liées à la gestion des chantiers. En 2 e position : les actions relatives aux démarches participatives et au développement du lien social, puis celles en faveur de la sécurité et de la tranquillité publique. En 3 e position : les actions en faveur de l amélioration de la conception des opérations, des équipements et services, et les actions de clarification des domanialités. Les démarches de GUP sont polymorphes, car elles sont liées aux difficultés spécifiques du quartier. Il est donc conseillé d avoir un projet de territoire soutenu par la démarche de GUP. Lorsque le contexte évolue, il est nécessaire d adapter la convention de GUP aux nouvelles problématiques locales. Une convention GUP contient de nombreuses thématiques d intervention, qui doivent former une liste cohérente d actions à mener (éviter les «conventions fourre-tout»). Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 2

4 Synthèse des avantages d une démarche GUP Comment la GUP contribue à l amélioration de la vie quotidienne des habitants? Par l amélioration durable de la qualité et du cadre de vie des habitants Par la valorisation du quartier et de ses habitants Comment la GUP contribue à l amélioration de l ambiance urbaine? Par une meilleure propreté et tranquillité du quartier Par une aide à l appropriation des réalisations par les habitants Comment la GUP contribue à la réalisation d économies sur les coûts des projets? Par la réduction des erreurs de conception, et la réduction des coûts de réalisation et d entretien du patrimoine Par l efficience et la rationalisation de l entretien Comment la GUP participe au renouvellement de l action publique? Par une démarche au plus près des habitants Par la valorisation de l action publique Par la nécessaire évolution de la gouvernance Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 3

5 Note argumentaire de promotion de la démarche de Gestion Urbaine de Proximité Cette note argumentaire réalisée par Villes au Carré est le fruit d échanges sur l utilité de la mise en œuvre de la GUP, entre 2010 et 2012 avec : le réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes et la participation de Laurence Dini (consultante Gérau Conseil)) les membres de l atelier GUP permanent en région Centre. Comment la GUP contribue à l amélioration de la vie quotidienne des habitants? Par l amélioration durable de la qualité et du cadre de vie des habitants La GUP contribue au progrès durable de la qualité de vie quotidienne des habitants grâce à l amélioration de leur cadre de vie. Il s agit donc d optimiser le service qui leur est rendu grâce aux actions rapides et concrètes des acteurs concernés. La démarche de GUP coordonne, organise et répartit les actions et les responsabilités de chaque partenaire. L amélioration du cadre de vie est reconnue comme une des premières demandes des habitants. La GUP aide collectivement les partenaires à mieux connaître leurs attentes et détermine les outils et les moyens d y répondre. La GUP permet d aider à la conception, à l entretien et la gestion des espaces (privés ou publics) mieux adaptés à leurs usages, ou d accompagner les transformations du quartier. Les espaces, les équipements, les bâtiments seront mieux appropriés et d autant plus respectés s ils répondent aux besoins des habitants. Ex. : «Les nouveaux interphones nominatifs dans les entrées d immeubles étaient régulièrement cassés. Ces actes de vandalisme signifiaient la difficulté des personnes en situation d illettrisme à rentrer dans les immeubles. Le système a été modifié pour tenir compte des usages.» (La Rochelle) Par la valorisation du quartier et de ses habitants La dynamique combinée d un PRU avancé et d une GUP efficace, contribue à une forte valorisation du quartier et de ses habitants grâce à une amélioration et à un véritable embellissement du cadre de vie. En principe, la GUP s assure, a minima, du même niveau de gestion des quartiers en rénovation urbaine que des autres de la ville/agglomération. Quand le quartier se «normalise», il «réintègre la ville». Cela améliore la perception que les habitants ont de leur lieu de vie et d eux-mêmes par le sentiment d une plus forte considération des pouvoirs publics et des bailleurs. L amélioration du cadre de vie change l image du quartier pour les habitants, mais également les personnes extérieures (espaces publics et bâtiments entretenus, propres, non dégradés ). Ce changement d image est nécessaire pour attirer de nouvelles populations et contribuer ainsi à la mixité sociale. Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 4

6 Ex. : Mise en place d une démarche de concertation et de communication sur le PRU, pour que l habitant devienne «ambassadeur de son quartier». Cette démarche a bien fonctionné grâce à un fort partenariat développé entre la mairie de proximité, les bailleurs, les associations et l équipe GPV. Le quartier a regagné depuis une certaine attractivité, remobilisé ses habitants, mais aussi attiré de nouvelles populations. (Orléans) Comment la GUP contribue à amélioration de l ambiance urbaine? Par une meilleure propreté et tranquillité du quartier Les habitants sont très sensibles à la propreté de leur cadre de vie, qui contribue à améliorer l image du quartier, à l embellir, et à le valoriser. Cette image positive est ensuite véhiculée par les habitants et par les personnes qui viennent de l extérieur. La propreté est donc une thématique à privilégier dans une démarche de GUP. Elle permet d associer les différents partenaires - villes, bailleurs, et agglomérations - car elle croise les responsabilités, les réponses techniques et des initiatives d animation sociale. De nombreuses animations autour de la propreté sont organisées dans les quartiers. Elles offrent des occasions supplémentaires de créer ou renforcer des dynamiques entre les partenaires institutionnels et les habitants. Le partenariat autour de la GUP contribue également à l apaisement du quartier et à la tranquillité publique. Les occasions de rencontre entre acteurs de la GUP s adaptent au besoin local de coordonner les actions, de partager les informations, d échanger des expériences, et de créer des outils communs. La démarche de GUP s appuie les personnels de proximité tels que les gardiens, les adultes-relais, les médiateurs, les correspondants de nuit, et les agents de service public La GUP permet d accorder une attention particulière à leur présence sur le terrain, pour l adapter rapidement. Ex. : Mise en place d un Groupe de Suivi de Sécurité, Civilité, et Tranquillité (GSSCT) qui réunit toutes les 3 semaines l ensemble des partenaires : bailleurs, police nationale, principaux de collèges, l AOT, le service de sécurité de la SNCF, la préfecture, les services municipaux, les gardiens de gymnase, la police municipale et les agents médiation et tous représentants d organismes confrontés à des difficultés temporaires. Grâce à ces rencontres, les médiateurs sont en mesure de repérer facilement les lieux présentant des difficultés et peuvent rapidement adapter leur présence sur le terrain aux besoins. (Saint-Pierre-des-Corps) Par une aide à l appropriation des réalisations par les habitants La GUP offre des opportunités de débattre avec les habitants des usages, des règles sur certains espaces, et de tenir compte de leurs observations en amont et en aval des projets. Ces initiatives favorisent leur compréhension et leur appropriation par les bénéficiaires directs ou indirects. La durée et l importance des chantiers des PRU sont difficiles à vivre pour les habitants. La démarche de GUP donne l occasion aux différents acteurs des projets de se réunir et de se coordonner pour pallier les nuisances des chantiers. Elle contribue également à bien informer les habitants sur l avancement des travaux et du projet. Ex. : Un coordonnateur tient régulièrement un stand sur les marchés pour informer les habitants de l avancement des chantiers et du PRU. (Bourges Châtellerault) Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 5

7 Comment la GUP contribue à la réalisation d économies sur les coûts des projets? Par la réduction des erreurs de conception, et la réduction des coûts de réalisation et d entretien du patrimoine Tous les partenaires fortement impliqués financièrement dans les PRU tiennent à préserver les investissements réalisés. Les projets urbains ont un coût très important pour les finances publiques, il est donc essentiel qu ils soient réussis dès leur réalisation. Pourtant des erreurs de conception arrivent (localisation, matériaux, fonctionnement ). Elles peuvent engendrer un surcoût considérable qui n est pas prévu dans la maquette financière initiale (démontage-remontage, réadaptation de logements, réaménagement d espaces). Dans le cadre de la GUP, les occasions de concertation entre services, entre partenaires et avec les habitants sont plus régulières. Ces erreurs de conception peuvent y être repérées et évitées en faisant appel aux gestionnaires techniques et à l expertise d usage des habitants Une conception adaptée des réalisations permet de réduire le nombre de dégradations liées aux conflits d usages, ainsi que le coût de leur réparation. Ex. : Des clôtures édifiées dans le cadre d une résidentialisation ont été dégradées. La fermeture, pourtant souhaitée par les riverains, est entrée directement en conflit avec les habitudes de déplacement. Les codes bloquaient certains accès et créaient des difficultés pour circuler dans les résidences, obligeant les habitants à faire un grand détour pour se rendre derrière les bâtiments. Il a été décidé de laisser ouvert pendant la journée. (Dreux) Dans l objectif de préserver les aménagements réalisés, la démarche partenariale portée par la GUP permet d éviter la dégradation prématurée des réalisations, malgré un contexte social toujours fragile. La GUP participe alors à la pérennisation des investissements publics et privés. Cela nécessite une observation de terrain régulière, une réactivité importante pour réparer les dégradations, et une capacité d adaptation rapide par de petits aménagements. Ex. : Un bailleur a pris le parti de ne pas laisser son patrimoine bâti se dégrader. Lorsqu une dégradation est constatée, elle est réparée le plus rapidement possible (48h maximum) pour contrer la théorie de la «vitre brisée». Tour(S) Habitat Ex. : À Saint-Pierre-des-Corps, les Agents Locaux de Médiation Sociale effectuent immédiatement des réparations légères, des opérations de nettoyage lorsqu ils constatent des dégradations au cours de leurs tournées. Par l efficience et rationalisation de l entretien Une démarche de GUP est instaurée dans le but de rationaliser l entretien des espaces et immeubles entre les bailleurs et les villes. Cette rationalisation passe par une clarification des domanialités. Cela permet à chaque partenaire d assurer la gestion des espaces dont il est responsable et de ne pas avoir d espace délaissé et dégradé, faute d en connaître le gestionnaire. La GUP amène également les villes, les agglomérations et les bailleurs à réinterroger leurs organisations et compétences en matière de gestion des ordures ménagères et des encombrants. Cette remise en question se pose d autant plus dans le cas de résidentialisations qui modifient les domanialités. Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 6

8 La démarche de rationalisation entre maîtres d ouvrage favorise l entrée dans une logique de complémentarité et de répartition des tâches, d optimisation, voire de mutualisation des coûts d entretien, de réparation La GUP peut être l occasion de mutualiser les coûts de gestion ou de conventionner l entretien des espaces résidentialisés. Le partenariat ainsi noué permet aux maitres d ouvrage de diminuer fortement les frais de gestion. Comment la GUP participe au renouvellement de l action publique? Par une démarche au plus près des habitants La GUP, loin d être une démarche technocratique, s ancre avant tout dans les observations du terrain et concerne les aspects très concrets du quotidien des habitants. La démarche de GUP fluidifie la remontée d informations aux partenaires sur les besoins des habitants en entretien, en services, et en équipements. Grâce à leur expertise d usage, les habitants permettent en amont des projets d éviter les erreurs de conception, et de réalisation, et en aval de les réparer. L ACSE finance des diagnostics en marchant dans le cadre de la GUP. Ils sont l occasion d interroger le projet, la gestion des chantiers sur les quartiers, mais aussi les usages des habitants... Les habitants deviennent acteurs du projet quand ils peuvent s impliquer et participer à la réflexion sur la stratégie urbaine et la conception des projets. La GUP devient ainsi un outil de démocratie participative. Ex. : Des Ateliers de Travail Urbain rassemblent des habitants, des techniciens et des élus autour des questions d aménagement. Ils permettent aux habitants de proposer des idées et de participer à l élaboration du projet. (Châteauroux) Par la valorisation de l action publique Les villes et les bailleurs ont un intérêt certain à promouvoir la GUP. Elle offre des occasions de valoriser leurs actions (aménagements, PRU ) auprès des habitants grâce aux moyens de communication et d informations autour des travaux réalisés, des chantiers, et du projet. La GUP est une démarche permettant à la ville, l agglomération et au bailleur d exposer aux habitants ce que chaque institution réalise pour améliorer leur qualité de vie. La GUP permet d améliorer la vie quotidienne et le cadre de vie des habitants grâce à des actions techniques ponctuelles. S y intéresser est une manière de gagner de la crédibilité auprès des habitants sur des petites actions. Cette crédibilité permet d obtenir la confiance des habitants pour la réalisation de plus grands projets à moyen et long terme. Elle renforce le sentiment de respect et d amélioration du cadre de vie que les habitants ressentent avec les importantes réalisations du PRU. Par la nécessaire évolution de la gouvernance La GUP est l occasion de faire évoluer l organisation des services et les pratiques professionnelles pour améliorer la réponse aux besoins de proximité des habitants/locataires. Ex. : Un bailleur s est saisi des questions de proximité et s est réorganisé en créant six agences décentralisées dans le département. Il a fait de la proximité un fort enjeu : une stratégie d entreprise et une stratégie patrimoniale. (LogemLoiret) Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 7

9 Ex. : Une nouvelle organisation des services de la ville en mode projet a permis d élaborer un organigramme qui a valorisé l esprit de transversalité de la GUP. Les services techniques disposent d une «direction GUP» dont les services sont organisés en équipe réunissant plusieurs métiers, ce qui permet d intervenir très vite en proximité (Saintes) La réussite de la démarche GUP dépend beaucoup de l organisation interne des partenaires. Une organisation des équipes en mode projet, en transversalité entre services, et en partenariat avec les maitres d ouvrages est incontournable. La présence d une personne dédiée à la coordination de la démarche est un atout majeur, si elle est positionnée à un niveau suffisamment stratégique. En complément, la présence d un interlocuteur unique aux services techniques facilite la réussite de la démarche de GUP, car cela permet de coordonner les demandes et ainsi de gagner du temps sur la gestion des interventions. Ex. : Une GUSP est intégrée à la direction de la citoyenneté et du développement social. Cela a créé une forte dynamique, et permet d assurer la transversalité entre les dispositifs politique de la ville qui y sont également rattachés (Angoulême) De même, la nomination d élu référent GUP à la ville ou à l agglomération donne une légitimité importante aux actions demandées par le coordonnateur. Ex. : Certaines villes se sont dotées d un élu référent sur la GUP (Angoulême) Une démarche de GUP offre de nombreuses occasions d échanges avec les partenaires. Elle renouvelle les partenariats classiques entre acteurs de l urbain : services urbanisme, services techniques, bailleurs Elle permet de nouer des relations de confiance pérenne qui peuvent ensuite aboutir à des partenariats élargis. Ex. : Un bailleur est signataire d'un protocole expérimental avec la Police et la Ville sur la ZUS. Il vise à développer des actions communes auprès des jeunes et de leurs familles notamment dans le cadre de regroupements dans les halls. Les actions menées dans le cadre de ce protocole relèvent du cadre préventif, dans le but de faire cesser les regroupements illicites avant les actions judiciaires (Les résidences de l Orléanais) Ex. : Un centre commercial devient partenaire de la collectivité pour résoudre le problème des caddies, ramassés par le bailleur lorsqu ils sont en pied d immeubles et par la ville lorsqu ils sont sur le domaine public (Niort) Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 8

10 Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 9

11 Vers un "référentiel métier" pour les coordonnateurs et référents GUP Villes au Carré et Damien Bertrand (consultant FORS-Recherche sociale) ont travaillé avec le réseau des coordonnateurs GUP (Poitou-Charentes et Centre) à la caractérisation de leur référentiel métier en référence à l étude sur l ingénierie locale de la politique de la ville rédigée par FORS pour l ACSE en Les résultats se fondent sur les fiches de poste des coordonnateurs GUP des deux régions, sur les échanges de la rencontre du 23 février 2012 à Saintes et sur l expérience de Villes au Carré et de FORS. Quelle est l essence même du métier de «coordonnateur GUP»? Ce terme est pris dans une acception large de l ensemble des personnes qui, à temps plein ou à temps partiel, sont chargées de la mise en œuvre de la GUP. Quelles sont les fonctions exercées et les compétences nécessaires à l exercice de ce métier encore largement émergent? Peut-on seulement parler de «métier», alors qu il n existe aucune formation dédiée pour y parvenir, que les postes effectivement occupés induisent des niveaux de responsabilité très différents, et sont tantôt compris dans les métiers de la politique de la ville, tantôt dans les métiers de l ingénierie technique? Les fonctions de «coordonnateurs GUP» peuvent-elles être menacées au sein des organisations, alors que se termine le premier programme de rénovation urbaine, et que l enjeu de la pérennisation des investissements et du maintien du cadre de vie nouvellement créé se pose avec de plus en plus d acuité? Quelles typologies des moyens humains dédiés et leur positionnement dans les organisations? À la différence des conventions ANRU avec leurs moyens dédiés financiers et d ingénierie, la GUP est un dispositif beaucoup moins coercitif et impliquant. Certes, le fait de s engager dans un projet de rénovation urbaine contraint la collectivité à signer une convention de GUP, mais dans les faits, tous les quartiers prioritaires ne comportent pas de PRU, et beaucoup de conventions GUP ont été élaborées tardivement au vu de l avancement du projet. D autres conventions peinent à être effectives dans le suivi collectif des problématiques de gestion et la mise en œuvre des actions. De fait, on observe que, dans la majorité des cas, les expériences réussies de GUP reposent sur les bonnes volontés locales et la mise en place de «cadres impliquant». En cela, la GUP est autant une question de volonté et de méthode, que de thématiques, de programmes d actions et de moyens humains dédiés. 2 Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 10

12 1. «Incarner la GUP» ou l existence de moyens humains dédiés L une des spécificités de la région Poitou-Charentes en matière de GUP est de ne disposer que rarement d un poste dédié à temps plein en la matière. Bien souvent, le chargé de GUP a des prérogatives plus larges de suivi du volet social des PRU ou de politique de droit commun (services techniques). À Niort, la personne en charge du volet social du PRUS l est également de la GUP. À La Rochelle, la GUP est prise en charge par l adjointe chef de projet PRU. À Saintes, une personne vient d être recrutée pour un poste de chargée de mission accompagnement social PRU et assurera la coordination de la GUP dans les quartiers, en lien avec le Directeur GUP des services techniques. 2. L effectivité des outils de pilotage et de suivi dédiés à la GUP À Niort, il existe un comité de coordination GUP composé de Directions de la Ville, de celles de l agglomération, du bailleur, de la médiation sociale du CCAS, de l État. Les axes stratégiques de la GUP sont soumis à la validation du comité de coordination CUCS/PRUS (niveau technique, sans élus). Lors des comités de pilotage annuels du PRUS et du CUCS qui mobilisent le Préfet, le Maire, le Président de l agglomération la GUP fait souvent l objet d un point rapide, car elle n est peut-être pas encore considérée comme une politique publique à part entière. Afin de soutenir la démarche partenariale et de favoriser l implication des métiers de proximité sur la mise en œuvre de la GUP, la ville de Niort a répondu favorablement à la formation action-interacteurs de l ACSE et a été retenue parmi 20 sites expérimentaux en France. À La Rochelle, il n existe pas à proprement parler d organisation de la GUP au sein de la mairie. Il n y a pas d élu en charge de la GUP, mais trois d entre eux se partagent le suivi des quartiers en PRU. Il y a un comité de pilotage annuel dans le cadre de la convention GUP du PRU et un groupe technique, mais pas à proprement parler de relai «opérationnel». Cela devrait changer avec la réorganisation des services, qui prévoit de confier une mission de GUP aux mairies de quartier. C est plus globalement au pôle «aménagement et patrimoine» en cours de création que devrait se voir rattacher la GUP, le lien avec le PRU n ayant pas été envisagé. Aujourd hui, les services techniques perçoivent la GUP comme un simple service d intervention rapide, alors que son ambition est tout autre. La GUP reste donc encore à structurer aux deux extrémités de la démarche, au niveau du suivi de terrain et au niveau du portage politique. À Saintes, la désignation d un élu référent sur la GUP est récente, mais les comités de suivi du PRU font aujourd hui systématiquement remonter les problématiques de GUP sur la ville. L élu à la GUP n est cependant pas l élu référent du PRU, ce qui nécessite une bonne coordination. Avoir 2 personnes référentes sur la GUP (une GUP «ville» et une GUP «quartier PRU») nécessite également une forte complémentarité et coopération. Au niveau technique, une nouvelle organisation des services de la Ville a permis d élaborer un organigramme qui valorise la GUP comme une démarche essentielle au bon fonctionnement de la collectivité. Les services techniques disposent d ailleurs d une «direction GUP» dédiée à la proximité sur l ensemble de la ville, ce qui permet de légitimer les actions demandées dans le cadre de la GUP. En conclusion, FORS-Recherche sociale rappelle que la question de l articulation effective de la démarche GUP avec les autres dispositifs partenariaux (PRU, CUCS, CLSPD, Agenda 21 ) et les autres services et autres structures reste essentielle pour assurer l effectivité et la pérennité de la GUP dans les systèmes de gouvernance locaux. Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 11

13 3. Vers une typologie du positionnement des personnes en charge de la GUP dans les organisations Les positionnements dans les hiérarchies et les organisations peuvent varier d un site à l autre et le coordonnateur GUP peut se situer : au sein de l équipe PRU ; dans l équipe CUCS ou les services sociaux en charge du DSU ; dans les services techniques de la collectivité ; dans une structure extérieure (OPCU, GIP) ; dans le cabinet du Maire La place du coordonnateur GUP dans l organigramme de la collectivité et la valorisation de sa fonction (la GUP figure-t-elle dans l intitulé du poste?) sont également jugées importantes par les référents GUP du Poitou-Charentes. Être «coordonnateur» (Angoulême), «assistante au chef de projet» (La Rochelle), «chargé de mission» DSU (Niort), «responsable» d une équipe (Saintes) a des implications très concrètes. La question du positionnement hiérarchique du coordonnateur GUP (et sa capacité à être relayé/soutenu par son supérieur hiérarchique) est jugée déterminante, car la démarche peut apparaître très structurée, sans pour autant constituer une priorité pour les acteurs publics locaux. Sur certains sites, il a été décidé de choisir un élu référent sur la GUP (généralement l élu à la politique de la ville, voire au logement ou à l urbanisme dans certains cas), qui participe aux comités de pilotage et peut interpeller directement les autres élus. FORS-Recherche sociale souligne qu à force d être à l articulation de toutes les politiques/dispositifs et organisations concourant à la bonne gestion d un site, les chargés de GUP ont parfois le sentiment de ne plus être dans «rien», ni légitime sur aucun objet de politique publique. Villes au Carré a proposé un rapprochement entre la typologie réalisée par FORS-Recherche sociale dans son étude sur l ingénierie de la politique de la ville (cf. diagramme ci-après) et la GUP en Poitou-Charentes pour repérer des éléments structurants d un référentiel métier. On pourrait ainsi répartir les coordonnateurs GUP parmi les 4 grandes figures des professionnels de la politique de la ville : «Les animateurs de territoire» : plus proches du terrain que du maire, ils travaillent à l échelle de quartiers dans la politique de la ville Les «chefs de projet» PRU : sont des «chefs d orchestre», proches du terrain et des élus, dans une posture d encadrement et potentiellement porteurs d une stratégie de territoire; «Les superviseurs à distance» : proches du maire ou du président de l agglomération, mais pas du terrain, ils occupent souvent une place importante dans la hiérarchie (DGA). La GUP devient un outil parmi d autres mobilisé au service de certains territoires prioritaires; «Les ingénieurs» de la GUP, qui se concentrent sur le suivi administratif, technique et financier, sont généralement localisés dans les services techniques de la collectivité locale plutôt que dans les quartiers. Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 12

14 Pour mémoire : Les 4 grandes figures des professionnels de la politique de la ville (source : FORS-Recherche sociale, Acsè) Les fonctions exercées et les compétences requises : «cœur de métier» et compétences additionnelles 1. Les principales compétences identifiées L examen de la diversité des contextes locaux et des rôles assignés aux démarches de GUP amènent à constater que, bien souvent, les fonctions exercées par les chargés de GUP (et donc les besoins de compétences et de formation) en sont le produit. Il a été mis en évidence un certain nombre de compétences situées «au cœur» des métiers de la GUP : La diplomatie, la médiation et la négociation sont des compétences jugées essentielles La pédagogie et la capacité à vulgariser les aspects techniques de la GUP La capacité à s informer et à analyser les systèmes d acteurs, avec l appréhension du contexte local, la connaissance de mondes professionnels particuliers pour comprendre leurs contraintes spécifiques (logement social et collectivités, notamment) ; En découlent une nécessaire empathie et curiosité en ce qui concerne les autres métiers de la gestion ; La connaissance des techniques de concertation et de sensibilisation des habitants; La capacité à communiquer face à un public pas toujours averti des considérations techniques et des politiques publiques spécifiques aux quartiers ; Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 13

15 La capacité technique et organisationnelle à créer, pour soi-même et pour les partenaires de la GUP, des outils d observation et gestion de projet qui soient adaptés au contexte local (indicateurs d évaluation, tableaux de bord ) ; La capacité à s adapter à des contextes et situations très différents; La capacité à travailler en équipe et à être force de persuasion, pour faire travailler ensemble différentes organisations/services et les faire évoluer progressivement. 2. Vers une typologie des compétences nécessaires à l exercice des métiers de la GUP 1. Les compétences techniques nécessaires : Elles varient selon les postures de «chef d orchestre» (polyvalence) ou de «technicien» / «ingénieur» (spécialiste), mais on peut distinguer : l expertise technique d un champ : gestion locative, techniques de concertation avec les habitants, gestion des déchets, ingénierie de l environnement, médiation, etc. les compétences techniques du chargé de mission en bureautique, tâches administratives, statistique, tableau de bord, évaluation, montage de projet/ instruction de demande de subvention 2. Les compétences organisationnelles : Elles sont particulièrement importantes en matière de GUP, où les questions de méthode et d organisation sont premières : gestion de projet auto-organisation et organisation collective ; gestion et traitement des flux d information ; définition et mise en œuvre des conditions et des outils d une veille technique et sociale; Préparation et suivi de la prise de décision 3. Les compétences relationnelles et d adaptation : Elles sont là aussi particulièrement importantes, dans le sens où la GUP a pour ambition de faire mieux travailler ensemble, de transformer les organisations et de faire évoluer les cultures professionnelles : Mettre en place des instances et des méthodes de travail partenariales et pluridisciplinaires : pédagogie, diplomatie, médiation, négociation, empathie, curiosité, travail en équipe ; Capacité à animer un débat contradictoire et à obtenir un consensus pour prioriser et agir; rendre effectif un processus décisionnel qui fonctionne dans son mouvement ascendant (diagnostic) et descendant (réponse et reporting aux habitants et aux partenaires mobilisés) ; Savoir communiquer, convaincre et mobiliser sur l intérêt de la démarche, sur la nécessité de changer les pratiques, auprès des élus comme des techniciens : capacité à analyser des systèmes d acteurs et leurs logiques propres, capacité à «faire faire» plus que «faire soimême» ; Faire preuve de compétences managériales, pour ceux qui disposent d agents à encadrer. Villes au Carré est en en cours de réflexion avec RésO Villes pour mettre en place une offre de formation opérationnelle sur la GUP à destination des différents acteurs de la démarche. Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 14

16 Annexe 1 : Le Plan Stratégique Local Textes fondateurs CIV du 18 févr : annonce de dispositifs de sortie de convention Délibération du CA de l ANRU du 4 mai 2011 : approbation de l article 7.6 du titre IV du règlement général de l ANRU qui définit le contenu des Plans Stratégiques Locaux (PSL). Décision de l ACSE du 3 mai 2011 : compléments au programme d intervention en ce sens Circulaire du Ministère de la Ville et du Grand Paris du 21 juillet 2011 et son annexe technique 1 sur les PSL et les conventions Quartiers rénovés 3 Le PSL en quelques mots Contenu du PSL : Élaboré sous la responsabilité de l EPCI ou de la commune porteur de projets, le PSL identifie les enjeux auxquels se trouvent confrontés le ou les quartiers au sortir de la rénovation urbaine. Il formalise les orientations concertées, à l échelle de l agglomération ou du bassin de vie, en matière notamment de : - Diversification de l habitat et des fonctions accueillies dans le ou les quartiers, de transports, d urbanisme, d action foncière et de développement économique, - Engagements relatifs à la gestion du quartier, dont la poursuite des actions de gestion urbaine de proximité, à son peuplement (avec la recherche d une gestion concertée des différents contingents de réservation de logement social), à l accompagnement des ménages notamment à l issue des interventions des MOUS relogement, aux modalités de gestion des équipements publics et plus particulièrement des établissements scolaires, et au soutien à la tranquillité publique, sur les espaces restructurés, - Maintien des dynamiques liées à l insertion par l activité économique impulsée notamment par la mise en œuvre de plans locaux d application de la charte nationale d insertion.» - Une bonne cohérence des approches humaines et urbaines est visée, ainsi qu une vision territoriale pertinente en matière de politiques de transports, d habitat, d urbanisme ou de développement économique. Le PSL doit aussi refléter une vision partagée des acteurs de la rénovation urbaine, pour les 10 prochaines années Modalités Les dix sites test sont : Châteauroux, Val-de-Reuil, Mantes-la-Jolie et Mantes-la-Ville, Stains, Metz, Montauban, Boulogne-sur-Mer, Roubaix, Trélazé, Rochefort Un Guide méthodologique sur les PSL sera réalisé par l ANRU suite à une expérimentation en cours sur 10 sites tests. Les porteurs de projet pourront être ensuite accompagnés par l ANRU dans la réalisation des PSL au moyen d une aide financière à l ingénierie par redéploiement local de crédits et par les centres de ressources. Localement le Préfet représentant de l État, de l ANRU et de l ACSE, établira un porté-à-connaissance du point de vue de l État 3. Télécharger la circulaire sur I.Ville : Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 15

17 Le réseau des coordonnateurs GUP Villes au Carré anime un réseau des coordonnateurs GUP des villes et agglomérations adhérentes en région Poitou-Charentes depuis 2011 ouvert en 2012 à la région Centre, à travers des rencontres et des sites web dédiés. Les rencontres Le 25 janvier 2011 La Rochelle : Lancement du réseau des coordonnateurs GUP Poitou- Charentes. À l occasion de cette rencontre, les coordonnateurs des villes et agglomérations de la région se sont rencontrés et ont pu échanger sur l état des lieux du fonctionnement de la GUP dressé par Ville au Carré (production d un tableau). Le 12 septembre 2011 Angoulême : Présentation de la démarche GUP d Angoulême et coconstruction d un argumentaire sur la GUP. La démarche d Angoulême a été présentée par l élu, la directrice du service et la coordinatrice GUP. Le groupe a ensuite travaillé à la construction collective d un argumentaire sur la définition et l intérêt de la GUP à partir d un questionnaire rempli préalablement par les coordonnateurs, et l appui de Laurence Dini (Gérau Conseil) Le 23 février 2012 Saintes: Vers un référentiel métier de coordonnateur et référent GUP : Avec l appui de Damien Bertrand (FORS-Recherche sociale) le réseau a travaillé à la caractérisation du métier de coordonnateur GUP : son positionnement, ses fonctions, ses missions, ses compétences Les espaces d informations en ligne Le dossier-ressource numérique GUP (site-web public Il contient toutes les actualités repérées par Villes au Carré, une présentation succincte de ce qu est la GUP, les ressources documentaires en ligne Le site web privé à accès réservé aux coordonnateurs GUP (des villes et agglomérations adhérentes) des régions Centre et Poitou- Charentes. II contient notamment un espace de partage de documents, un forum, un annuaire, les fiches d état des lieux sur les conventions GUP Les travaux engagés avec ce réseau de professionnels sont complémentaires à ceux menés en région Centre dans le cadre d un atelier permanent inter-acteurs sur la GUP. Contact : marie.bizeray@villesaucarre.org Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 16

18 DES RESSOURCES POUR AGIR Villes au Carré est un centre de ressources pour les acteurs de la politique de la ville et du développement territorial des régions Centre et Poitou-Charentes. Il fait partie du réseau national des vingt centres de ressources de la politique de la ville. Il a été créé en 2009 à Tours sous forme associative, après dix-huit mois de préfiguration, et est présidé par Jean- Patrick Gille, député d Indre-et-Loire. MISSIONS Former et mettre en réseaux les acteurs de la ville, par thématiques ou par fonctions. Produire de la connaissance territorialisée à partir des expériences de terrain, de l observation et de l évaluation. Assurer une veille mutualisée et diffuser des informations utiles. Faciliter le débat entre chercheurs et praticiens, avec l appui des universités de Tours, Orléans, Poitiers et La Rochelle. VILLES ET AGGLOMERATIONS ADHERENTES EN 2011 Amboise, Blois, Châteaudun, Chinon, Fleury-Les-Aubrais, Issoudun, Mainvilliers, Montlouis sur Loire, Romorantin, Saint Jean de Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Salbris, Vierzon, Châtellerault, Cognac, Saintes. Agglomération Castelroussine, Agglomération Montargoise, CdC. du Pays de Vendôme, Dreux Agglomération, SIVU de la cohésion sociale de Pithiviers, Tour(s)plus, Agglomération de La Rochelle, Agglomération de Niort, Agglomération du Pays Rochefortais, Grand Angoulême, Grand Poitiers. Pour aller plus loin : Villes au Carré 4, allée du Plessis Tours Tél. : Fax : Mail : villesaucarre@villesaucarre.org Site : Blog d actualités: breves-villesaucarre.blogspot.com Synthèse des échanges du réseau des coordonnateurs GUP du Poitou-Charentes 17

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