Monographie 01 : BILAN DES COLLECTES SELECTIVES DES DECHETS MENAGERS EN SEINE ST DENIS Monographie 02 : LE POIDS DES DECHETS ISSUS DES ACTIVITES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Monographie 01 : BILAN DES COLLECTES SELECTIVES DES DECHETS MENAGERS EN SEINE ST DENIS Monographie 02 : LE POIDS DES DECHETS ISSUS DES ACTIVITES"

Transcription

1 Monographie 01 : BILAN DES COLLECTES SELECTIVES DES DECHETS MENAGERS EN SEINE ST DENIS Monographie 02 : LE POIDS DES DECHETS ISSUS DES ACTIVITES ARTISANALES ET COMMERCIALES A PARIS Monographie 03 : Les Déchets Industriels Banals des départements du Val d Oise et des Yvelines Monographie 04 : MEMOIRE DE STAGE SUR LES DIB EN SEINE ST DENIS Monographie 05 : Pour une gestion dynamique des DIB dans l agglomération parisienne Monographie 06 : INVENTAIRE DES DECHETS INDUSTRIELS BANALS EN AGGLOMERATION PARISIENNE Monographie 07 : LE POIDS DES DECHETS ISSUS DES ACTIVITES ARTISANALES ET COMMERCIALES EN IDF Monographie 8 : Commission d élaboration du PDEDMA de Paris : projet de synthèse sur travaux DIB Monographie 9 : LA GESTION DES DIB EN ILE-DE-France Monographie 10 : La prise en compte des DNM par les communes du Val-de-Marne Monographie 11 : LES CAPACITES EN INCINERATION DE LA REGION ILE DE France Monographie 12 : LA PRODUCTION DE DECHETS DU BTP EN ILE DE FRANCE Monographie 13 : Analyse du gisement de DIB sur le département du Val d Oise Phase 1 : estimation théorique Monographie 13 bis : Analyse du gisement de DIB sur le département du Val d Oise Phase 2 : enquête producteurs Monographie 13 ter : Analyse du gisement de DIB sur le département du Val d Oise Phase 2 : enquête installations d éliminations Monographie 14 : Les Déchets Industriels banals en Seine et Marne Monographie 15 : ETUDE DE GISEMENT DE DIB EN SEINE ET MARNE Monographie 16 : DECHETS INDUSTRIELS BANALS : QUEL TONNAGE? Monographie 17 : ANALYSE DU GISEMENT DE DIB SUR LE DEPARTEMENT DE L ESSONNE Phase 1 - Révision du plan départemental Monographie 17 bis : ANALYSE DU GISEMENT DE DIB SUR LE DEPARTEMENT DE L ESSONNE Phase 2 _ Révision du plan départemental Monographie 18 : Plan Départemental d Elimination des Déchets Ménagers et Assimilés de Paris Monographie 19 : Etude des DIB du Département des Hauts de Seine Monographie 20 : ETUDE PREALABLE A LA MISE EN PLACE DE LA COLLECTE SELECTIVE DES DECHETS MENAGERS / OPTION : LES DECHETS DES PROFESSIONNELS Monographie 21 : Etude Globale des gisements de Déchets Industriels Banals produits en Essonne Monographie 22 : AZALYS Analyse des DIB dans le Nord-Est des Yvelines Monographie 23 : Evaluation de gisement de DIB dans les Yvelines Inventaire des expériences de gestion collective des DIB Monographie 24 : Note interne CCIP : les DIB dans les Hauts de Seine Monographie 25 : Identification des flux de déchets - COVED Monographie 26 : Etude d opportunité sur la gestion des Déchets Industriels Banals en Ile de France Monographie 27 : Etude préalable au Plan Départemental des Déchets Ménagers et Assimilés des Hauts de Seine Monographie 28 : PROJET DE REVISION DU PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS et ASSIMILES DU VAL DE MARNE Monographie 29 : PROJET DE PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES de SEINE ST DENIS Monographie 30 : PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES YVELINES - Notice de Présentation Monographie 31 : REVISION DU PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES SEINE ET MARNE - Projet de plan Monographie 32 : PLAN DE GESTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES HAUTS DE SEINE Monographie 33 : PROJET DE PLAN DEPARTEMENTAL DE GESTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES - VAL DE MARNE - Monographie 34 : PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES VAL D OISE Monographie 35 : LES FLUX DES DECHETS DU BTP EN ILE DE FRANCE Monographie 36 : Etude de faisabilité de collecte des papiers et cartons de bureaux Monographie 37 : Elaboration du programme pluriannuel d actions et de travaux pour le traitement global des déchets du SITRU Monographie 38 : Etude de faisabilité de création d activités d insertion liées à la collecte de papiers usagés de bureau - Yvelines

2 Monographie étude 01 BILAN DES COLLECTES SELECTIVES DES DECHETS MENAGERS EN SEINE ST DENIS 1- Données générales Cette étude a été réalisée par BERIM en 1994 pour le Conseil général de Seine St Denis. Les déchets étudiés sont les déchets ménagers. Les déchets ménagers englobent une partie des Déchets Industriels Banals. 2- Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Secteur d activité concerné : Tout type d activité (codes APE). Type d établissement : Etablissement de plus de 10 salariés Localisation des établissements : 40 communes du département. 2.2 méthodologie d investigation Il ne s agit pas réellement d une enquête, mais d une estimation des DIB produits par les établissements cités ci dessus. En parallèle ; les gros producteurs de DIB ont été visités : Centres commerciaux et grandes surfaces 3 ZI : GARONOR, PARIS NORD II, le parc des expositions de Villepinte Citroën Aéroport de Roissy 2.3 traitement de l information Ces données donnent lieu à des estimations de gisement global. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies T de DIB départemental T de DIB collecté avec les OM Informations quantitatives sur les centres d enfouissement, déchetteries, UIOM, centres de tri/transfert Informations qualitatives sur les déchets hospitaliers 2.5 fiabilité des résultats Ces résultats sont des estimations, et ne sont pas basées sur des enquêtes réelles. Les entreprises de moins de 10 salariés ne sont pas prises en compte. La fiabilité est donc faible. 3- Limites de l étude Très peu d information sur les DIB, et datant de Pas d enquête auprès des entreprises (sauf les gros producteurs) : les informations sont des estimations, et de plus les entreprises de moins de 10 salariés n ont pas été prises en compte.

3 Monographie étude 02 LE POIDS DES DECHETS ISSUS DES ACTIVITES ARTISANALES ET COMMERCIALES A PARIS 1- Données générales Cette étude a été réalisée par BIPE-Conseil en Les déchets étudiés sont les déchets banals produits par les artisans et les commerçants en Ile de France, comprenant moins de 10 salariés, ainsi que les déchets issus des activités de confection et tertiaire, et collectés par les Ville de Paris. Ne sont pas concernés par l enquête les déchets collectés par des filières propres de récupération (déchets spécifiques de la réparation automobile, médicaments périmés et déchets organiques issus des boucheries). 2- Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Secteurs d activités enquêtés : Commerce de détail avec spécialisation alimentaire Commerce de détail non alimentaire Réparation et commerce automobile Hôtels, cafés, restaurants Tertiaire Industrie textile et habillement Sont exclus : Commerces de gros Activités de marché Vente au détail par automate et à domicile Industrie (sauf textile) Bâtiment Transports et télécommunications Services marchands rendus aux particuliers Services administratifs Type d établissement : Etablissements de moins de 10 salariés uniquement Localisation des établissements : Arrondissements I, II, III, IV, VIII, XV. 2.2 Méthodologie d investigation Envoi d un questionnaire auprès de 2000 entreprises, après test auprès d un échantillon de 100 entreprises. Relances, et 30 entretiens en vis à vis.

4 2.5 traitement de l information Les données fournies par l enquête sont des indications de volume. Ces données ont été transformées en masse, à partir d un ratio moyen de densité fourni par la ville de Paris. Contrôle sur une semaine effectué par les services techniques de la ville de Paris. Comparaison des 6 groupes d activités : estimation du gisement. Puis extrapolation à la ville de Paris, à partir de l étude du CROCIS «Industrie, Commerce, Services» de 1995 (recensement de l ensemble des établissements inscrits au registre du commerce et des sociétés). 2.6 données quantitatives et qualitatives fournies Analyse de l organisation de la collecte : équipements, mode, fréquence, compactage, stockage % de tri Pour chaque grand secteur d activité, typologie de déchets, V produit par jour/établissement, particularités Extrapolation sur la ville de Paris : V moyen produit / jour/établissement, selon activité V et T global / jour, et % par rapport à la quantité de DMA collectés. Cartographie par arrondissement Répartition du gisement global par groupe d activités Répartition du gisement par nature, et par secteur d activités % d emballages 2.5 fiabilité des résultats Taux de retours spontanés : 6,6 %, soit 131 questionnaires Taux de retours avec relance : 10 %, soit 191 questionnaires Rappel pour complément d information : 55 Entretiens : 30 Soit un total de 253 questionnaires, dont 227 exploitables. La fiabilité des résultats a été évaluée comme suit : Nature des déchets : fiabilité forte Quantité produite par jour : fiabilité modérée Part de chaque déchet dans le mélange : Fiabilité faible Origine des déchets : fiabilité forte Equipement et fréquence de la collecte : fiabilité forte Un contrôle a été effectué par les services techniques de la ville de Paris, sur une semaine, pour évaluer la fiabilité des résultats des questionnaires. Fiabilité globalement satisfaisante. 3- Limites de l étude

5 Conversion volume en poids par un ratio unique. Ne prend pas en compte les entreprises de plus de 10 salariés.

6 Monographie étude 03 Les Déchets Industriels Banals des départements du Val d Oise et des Yvelines 1- Données générales Cette étude a été réalisée par SOFRES Conseil, en collaboration avec CCI Val d Oise et Yvelines, en 1995, pour l ORDIF. Les déchets concernés sont les DIB. Ne sont toutefois pas pris en compte : Les déchets des Industries Agro-Alimentaires Les déchets de restauration des entreprises Les emballages contenant des résidus toxiques 2- Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Secteurs d activités enquêtés : Secteurs industriels et tertiaires, sauf : IAA BTP Education Collecte et récupération des déchets Type d établissement Etablissements de plus de 10 salariés uniquement Etablissements ayant plus de 400 m 2 de surface de vente pour la distribution alimentaire Localisation des établissements Val d Oise Yvelines

7 2.2 méthodologie d investigation 806 établissements enquêtés, dont 738 exploitables. Base de l extrapolation : 727 établissements, dont 353 dans le Val d Oise et 374 dans les Yvelines Un questionnaire ADEME a été adressé aux entreprises. 2.7 traitement de l information Les réponses aux questionnaires ont été saisies sur le logiciel ADEME. Les données fournies en volume par les entreprises sont converties en masse par un ratio moyen. Extrapolation pour chaque département et par déchet sur la base des enquêtes : 84 périmètres d extrapolation (1 périmètre = 1 regroupement «activité / tranche de salarié») Extrapolation sur la base du nombre de salarié Pas de redressement des résultats 2.8 données quantitatives et qualitatives fournies Les principaux résultats sont les suivants : T de DIB global T par sous-secteur d activité T selon matériau, cumulée et pour chaque département % du type de DIB produits par secteur d activité, et pour chaque département T de DIB / salarié, par filière de destination T et % de DIB par nature, et par filière de destination T et % selon mode de collecte, et selon nature % des emballages % de DIB dans les OM

8 2.5 fiabilité des résultats L erreur sur le tonnage est estimée entre 20 et 30 %. La prise ne compte de l aéroport de Roissy induit une production de déchets supérieurs à la normale pour le secteur des services. Les ratios obtenus sont cohérents, sauf pour le secteur du transport. 3- limites de l étude La conversion des donnés volume en masse par un ratio moyen peut induire des différences notables avec les tonnages réels. Les établissements de moins de 10 salariés ne sont pas pris en compte. Les ratios obtenus ne prennent pas en compte la tranche d effectif des établissements.

9 Monographie étude 04 MEMOIRE DE STAGE SUR LES DIB EN SEINE ST DENIS 1- Données générales Cette étude a été réalisée par en 1998 par une stagiaire de l Institut d Ecologie Appliquée, pour la Direction Départementale de l Equipement de Seine St Denis. Les déchets étudiés sont les DIB. 2- Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Secteurs d activités enquêtés : Installations classées ou en cours, de tri des déchets. Type d établissement : Etablissements de moins de 10 salariés uniquement Localisation des établissements : Seine St Denis 2.2 méthodologie d investigation Enquête auprès des centres de tri autorisés ou en cours d autorisation pour connaître les quantités triées, les flux entrants et sortants. Liste des installations basée sur : La liste des adhérents de FEDEREC Guide des entreprises de l ADEME Dossiers d installations classées 2.3 traitement de l information Recueil des données auprès des installations. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies T de DIB triés dans des installations par an en Seine St Denis Données qualitatives sur la gestion des DIB par les entreprises Réflexions sur la gestion des DNM. Réflexions sur le transport des déchets. 2.5 fiabilité des résultats Liste des installations pas forcément complète. Des flux de DIB on pu être compté deux fois. D où un résultat difficilement exploitable. 3- limites de l étude Certaines installations ont pu ne pas être recensées. Pas d enquête terrain pour compléter les résultats. Très peu d informations quantitatives.

10 Monographie étude 05 Pour une gestion dynamique des DIB dans l agglomération parisienne 1- Données générales Rapport de M. Jean-Maurice ESNAULT, pour la CCIP. Document réalisé avec l aide de la Mairie et du Syctom, dans le but de finaliser les plans départementaux de Paris petite couronne. Ce document date de Cette étude concerne les DIB produits à Paris et dans les départements de la petite couronne. 2- METHODOLOGIE DE L ETUDE 2.1 champ des enquêtes Pas d enquête. 2.2 méthodologie d investigation Recoupement de données issues des études suivantes : 4 plans départementaux Enquête Val d Oise / Yvelines Etude de la ville de Paris, de 1994 Etude sur les Hauts de Seine menée par la SEM traitement de l information / 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Données issues des 4 plans départementaux T de DIB par an Extrapolations des résultats de l enquête Val d Oise Yvelines T et % de DIB produits par an, par secteur d activité, pour les établissements de plus de 10 salariés, pour chaque département ( Paris et Petite Couronne) Données issues de l étude de la ville de Paris T de DIB moyen / emploi T total de DIB sur Paris et Petite couronne, par an T de DIB collectés par le service municipal à Paris T et % de DIB produits par an, par secteur d activité, sur l ensemble des 4 départements Paris et Petite Couronne, et estimation de la partie récupérable Volume et % des emballages en volume, par secteur d activité, en Ile de France Répartition par nature de DIB, en T et %, sur Paris, Paris + Petite Couronne, et sur Ile de France.

11 Données issues de l étude menée par la SEM 92, en 1993 T et % de DIB recyclés, dans les Hauts de Seine T et % de DIB incinérés hors DNM, dans les Hauts de Seine T et % de DIB mis en décharge, dans les Hauts de Seine T et % de DNM, dans les Hauts de Seine T total, dans les Hauts de Seine Données issues des déclarations faites par les installations de transfert, tri T total de déchets reçus (hors gravats), sur chaque département Part de DIB en T T traité ou recyclé T vers décharges, en IDF, hors IDF et destination non précisée Données issues des déclarations des usines de compostage T total de déchets reçus (hors gravats), sur chaque département Part de DIB en T T traité ou recyclé Rendement T vers décharges, en IDF, hors IDF et destination non précisée Données issues des déclarations des usines d incinération T total de déchets reçus (hors gravats), sur chaque département Part de DIB en T T traité ou recyclé T vers décharges, en IDF, hors IDF et destination non précisée Données issues des déclarations des centres de stockage de déchets ultimes T total de déchets reçus (hors gravats), sur chaque département Part de DIB en T T venant des unités de transfert, de compostage et d incinération T reçu directement Bilan matière issu des précédentes données T total OM + DIB, et part de DIB reçu par les centres de transfert et tri, puis décharge T total OM + DIB, et part de DIB reçu par les centres d incinération T total OM + DIB, et part de DIB reçu par les centres de tri-compostage T total OM + DIB, et part de DIB reçu par les décharges direct 2.5 fiabilité des résultats Les données issues de l étude ORDIF est de l ordre de 20 à 30 %. La marge d erreur pour les données issues des autres études n est pas connue, mais est au moins égale. A ces marges d erreur s ajoute l incertitude due à l extrapolation faite pour chaque département.

12 3- Limites de l étude Cette étude est intéressante car recoupe et compare des données bibliographiques (tableau récapitulatif disponible), et extrapole des résultats à partir de ces études, mais elle ne se base pas sur des enquêtes. Les limites sont donc liées directement aux études de référence, ainsi qu aux erreurs dues aux extrapolations.

13 Monographie étude 06 INVENTAIRE DES DECHETS INDUSTRIELS BANALS EN AGGLOMERATION PARISIENNE 1- Données générales Cette étude a été réalisée par l ESC de Paris, en partenariat avec l Université Technique de Berlin, pour la Mairie de Paris, en Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Enquête auprès de 2000 entreprises privées, et auprès de 400 établissements spécifiques Secteurs d activités concernés et type d établissement Echantillon général (pondération selon l importance du secteur en terme d emplois) : Agriculture Industrie Bâtiment, Génie Civil et Agricole Services Marchands Services Non Marchands (Détail dans annexe étude). Pas d information sur la taille des entreprises. Echantillon spécifique de gros producteurs : Etablissements industriels implantés en Ile de France avec plus de 350 salariés (environ 80) Hôpitaux de l Assistance Publique de la Ville de Paris, et Hôpitaux privés avec plus de 200 lits Ministères implantés à Paris et en proche banlieue et leurs établissements majeurs Hypermarchés (grande surfaces avec plus de 2500 m2 de surface de vente) : 150 dans l ensemble Universités à Paris et en Banlieue (20 établissements) 9 parcs d expositions en Ile de France Localisation des établissements Analyse détaillée auprès de très gros producteurs de déchets en région parisienne Enquête auprès : Du Marché d Intérêt National de Rungis Des aéroports de Paris D Euro Disney 2.2 Méthodologie d investigation Envoi de 2400 questionnaires, spécifiques à chaque secteur d activité (avec structure commune). Analyses spécifiques pour le MIN de Rungis, les aéroports et Euro Disney.

14 Les résultats d enquête sont complétés par une analyse de plus de 2600 contrats DNM de la Ville de Paris. 2.3 Traitement de l information 300 réponses sur les 2400 questionnaires envoyés. Vérification des réponses incohérentes ou compléments d informations auprès des entreprises, par téléphone. Premier tri des réponses par secteur d activité (Nomenclature INSEE), et nature de l activité exercée dans les locaux. Entreprises industrielles pures dans les différents secteurs industriels Imprimerie / Edition / Presse Hôtellerie / Restauration / Café Commerce de Gros non alimentaire Commerce de détail non alimentaire Commerce de gros alimentaire Commerce de détail alimentaire Prestations de service Commerce / Réparation automobile Hôpitaux Enseignement Administration Publique Sièges sociaux Sièges sociaux en combinaison avec une activité de production Sièges sociaux avec une fonction Commercialisation / Distribution Bâtiment, Génie Civil et Agricole Les données fournies par les PME et PMI sont exprimés en volume, puis converti en masse avec la densité (densité calculée, en fonction du compactage ou non des déchets, et spécifique à chaque nature de déchets). 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies T de DIB reçues par le SYCTOM entre 1991 et 1993 (donnée SYCTOM) Résultats de l enquête : Pour chaque secteur d activité :

15 % par nature de DIB V et T de DIB hebdomadaires / établissement. Ratio T / salarié/an Degré de mélange % part valorisable % collectés de manière sélective, selon type de matériau Mode de collecte (%) Coût annuel, coût spécifique, par T et par salarié Données qualitatives sur les possibilités de collecte sélective T Total par an T selon région (Paris, Paris + Petite Couronne, Ile de France), et selon nature de DIB Particularités du secteur (Données moins complètes pour la production et la distribution d eau, d électricité et de gaz, l industrie du caoutchouc et transformation plastique, l industrie du bois et de l ameublement, l industrie du papier et du carton, l industrie du cuir et de la chaussure, le commerce et la réparation automobile, les télécommunications et postes). Résultat des analyses spécifiques des gros producteurs de déchets (Hôpitaux de Paris, Aéroports de Paris, MIN de Rungis, Euro Disney) : Mêmes éléments que pour les entreprises enquêtées par courrier Aspects qualitatifs et quantitatifs complémentaires, spécifiques au producteur étudié Résultats d analyses spécifiques à certains secteurs (bâtiment, lycées techniques, sièges sociaux,) Tableau récapitulatif général, indiquant notamment des ratios T de DIB / an / emploi, selon secteur géographique, et par secteur d activité. Bilans départementaux : T et % de DIB par nature T et % des DIB par secteur Etat actuel des collectes sélectives : % de DIB valorisables, par secteur d activité Degré de mélange des déchets, par secteur d activité

16 Taux de collecte sélective par nature de déchets et par secteur d activité Coût d enlèvement moyen / T par secteur d activité Coût d enlèvement moyen / salarié par an, par secteur d activité Coût d enlèvement moyen par an, par secteur d activité Précisions sur les emballages : % d emballages en volume dans les DIB, par secteur d activité Volume moyen d emballages par semaine, par secteur d activité 2.5 Fiabilité des résultats 13 % de retour du questionnaire. Résultats jugés fiables. 3- Limites de l étude Pas d informations relatives à la fiabilité des résultats. Données datent de 1993, Etude très complète.

17 Monographie étude 07 LE POIDS DES DECHETS ISSUS DES ACTIVITES ARTISANALES ET COMMERCIALES EN IDF 1- Données générales Cette étude a été réalisée par BIPE-Conseil pour la Direction Régionale de l Equipement, en Les déchets étudiés sont les déchets produits par les artisans et les commerçants en Ile de France, collectés par la collectivité. Sont exclus du champ de l étude les déchets qui suivent des filières spécifiques de récupération. 2- Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Secteurs d activités enquêtés : Les activités de commerce de détail alimentaire Les activités de commerce de détail non alimentaire La restauration et l hôtellerie Les activités de réparation automobile Les activités de bureaux Remarque : certaines activités ont été écartées volontairement : Activités de marché Activités de vente au détail par automate et à domicile Auberges de jeunesse Cantines et restaurants d entreprises Type d établissement Etablissements de moins de 10 salariés uniquement Localisation des établissements Versailles (78) Saint-Quentin en Yvelines (78) : Elancourt, Guyancourt, Magny-les-Hameaux, Montigny - le Bretonneux, Trappes, La Verrière Sartrouville (78)

18 Antony (92) Rueil-Malmaison (92) Aulnay-Sous-Bois (93) St Denis (93) Créteil (94) St-Maur-des-Fossés (94) Sarcelles (95) 2.2 Méthodologie d investigation Les enquêtes ont été menées par téléphones, auprès de 173 établissements. 15 entretiens ont été réalisés par ville cible. 2.3 Traitement de l information Extrapolation des données sur l ensemble des établissements des différentes cibles retenues à partir des fichiers de l INSEE (fichier SIRENE au 01/01/97). Les données fournies par l enquête téléphonique sont des indications de volume. Ces données ont été transformées en masse, à partir d un ratio moyen de densité fourni par la ville de Paris. Comparaison des 5 groupes d activités en fonction des équipements de collecte, du mode et de la fréquence de collecte, de la nature et des quantités de déchets générés. 2.4 Données quantitatives et qualitatives fournies Analyse de l organisation de la collecte : équipements, mode, fréquence, compactage, stockage % de tri Pour chaque grand secteur d activité, typologie de déchets, V produit par jour/établissement, particularités Pour chaque commune, extrapolation des résultats à l ensemble des établissements pour déterminer le gisement total de déchets produits et répartition du gisement en fonction de la nature des déchets. Répartition du gisement par groupe d activités % d emballages

19 Résultat global : T de DIB produits par an. 2.5 Fiabilité des résultats Le taux de réponse global a été jugé très satisfaisant, car faible taux de refus : 150 établissements sur 173 ont répondu à l enquête. Taux de réponse exploitable : 87% La fiabilité des réponses a été évaluée comme suit, de faible à forte : Nature des déchets : fiabilité forte Quantité générée : fiabilité modérée Part de chaque déchet dans le mélange : fiabilité faible Origine des déchets : fiabilité forte Equipements et fréquence de la collecte : fiabilité forte 3- Limites de l étude Pas de visite sur terrain. Conversion volume/poids par un ratio unique moyen. Mais enquête intéressante et synthétique.

20 Monographie étude 8 Commission d élaboration du PDEDMA de Paris : projet de synthèse sur travaux DIB 1- Données générales Cette étude a été réalisé par le groupe de travail «DIB» de la commission d élaboration du plan d élimination des DMA de Paris. Les déchets concernés sont les Déchets Industriels Banals. 2- Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Pas d enquête réalisée. 2.2 Méthodologie d investigation Données issues de différents documents : «La gestion des déchets à Paris / bilan actualisé Rapport ville de Paris de 1994 Données fournies par certaines villes «Pour une gestion dynamique des DIB dans l agglomération parisienne» Données fournies par des professionnels du déchet Travaux menés par la chambre des métiers de Paris 2.3 traitement de l information Recoupement de diverses sources de donnée, citées au paragraphe précédent. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies T de DNM/an % de DNM parmi les DMA T de DIB produits par an par grand secteur artisanal (automobile, bâtiment, métiers de bouche, services et production), et par grande catégorie de déchets (DIB, DIS, métaux, DIB en mélange, DIB contenant DIS, déchets organiques, déchets verts inertes) T et % en masse estimé de déchets de papiers bureaux % en masse de films plastiques / total collecté par la collectivité % en masse de déchets textiles / total collecté par la collectivité (y compris générés par les ménages). % en masse de verres (mais y compris verre produit par les ménages). Constats sur les équipements, leurs capacités Constats sur les modes de collecte actuels des DNM Constats sur les modes de transport Discussion sur ouverture d une déchetterie appliquée aux déchets d activités. Réflexions pour l amélioration de la collecte, collecte sélective de matériaux 2.5 Fiabilité des résultats Manque d informations sur la fiabilité de certaines données sources. 3- Limites de l étude

21 Manque de précisions sur les données sources. Données quantitatives assez limitées, mais nombreuses réflexions d ordre organisationnel, économique, technique.

22 Monographie étude 9 LA GESTION DES DIB EN ILE-DE-FRANCE 1- données générales Etude réalisée par une étudiante de l Institut Supérieur d Ingénierie et de Gestion de l Environnement, pour le Conseil Régional d Ile de France, en Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Pas d enquête. 2.2 Méthodologie d investigation Synthèse d informations issues des études suivantes : Les DIB des départements du val d Oise et des Yvelines, ORDIF, 1995 Enquête nationale DIB, données 1995, ADEME, 1996 Rapport de synthèse des travaux du groupe de travail sur les DIB, Commission d élaboration du PDEDMA de Paris, 1999 Rapport de synthèse des travaux du groupe de travail sur les DIB et déchets du BTP, Commission d élaboration du PDEDMA de Seine St Denis, 1999 Etude sur le poids des déchets issus des activités artisanales et commerciales implantées à Paris, DRE, 1996 Pour une gestion dynamique des DIB dans l agglomération parisienne, CCIP 1995 Inventaire des installations de traitement, de transit ou de mise en décharge des déchets ménagers en France, ADEME AGHTM, 1995 et 1999 Les déchets ménagers d Ile de France ORDIF, 1998 (pour l évaluation des DNM) 2.3 traitement de l information Différenciations de deux types de DIB : DIB «purs», produits par les entreprises de plus de 10 salariés et non collectés par la collectivité.

23 DNM, qui sont des DIB produits par les entreprises de moins de 10 salariés, et de plus de 10 salariés, collectés par la collectivité. Analyse menée à partir d hypothèses hautes et basses. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Sur les DIB : T de DIB «purs» (hors IAA et BTP) T de DNM Répartition des DIB purs et DNM par type de matériau (% et T) Répartition des DIB purs et DNM selon mode de collecte (% et T) Répartition des DIB purs et DNM selon filière d élimination (% et T) Répartition des modes de collecte en fonction du traitement, et inversement. Comparaison avec les OM, en terme de traitement et de mode de collecte Sur les installations de traitement : Capacités des UIOM, CSDU, centres de tri Evolution pour 2005 Sur les filières de valorisation des matériaux : % de déchets valorisés, par type de matériaux Précisions selon l origine des déchets Réflexions et données quantitatives spécifiques par type de matériau T de papiers de bureaux T d «eaux grasses» T de déchets alimentaires Données quantitatives et qualitatives sur les pneumatiques usagés : T, répartition selon origine, filières de valorisation Données quantitatives et qualitatives sur les produits de l informatique et de la bureautique : T, répartition selon type de matériel, 2.5 Fiabilité des résultats Liée à la fiabilité des études de référence, principalement, étude Val d Oise- Yvelines de 1995, et étude nationale ADEME, 1996.

24 3- limites de l étude Les informations ne sont pas complétées par une enquête terrain. Ne prend en compte que quelques études. Les limites de ce rapport sont directement liées aux études de référence. Etude synthétique, qui permet de recouper plusieurs sources d informations.

25 Monographie étude 10 La prise en compte des DNM par les communes du Val-de-Marne 1- données générales Etude réalisée par la CCIP auprès des mairies, de mai à août Les déchets concernés sont : Les déchets issus des collectes sélectives Les DIB 2- Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes 47 mairies du département. 2.2 Méthodologie d investigation Enquête téléphonique auprès des mairies. Compléments parfois obtenus auprès de groupements de communes. Les résultats sont ceux de l année traitement de l information Traitement direct des données issues du questionnaire. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Nombre de communes ayant mis en place la collecte sélective du verre Nombre de communes ayant mis en place la collecte sélective des papiers-cartons Nombre de communes ayant mis en place la collecte sélective des encombrants Nombre de communes ayant mis en place la collecte sélective des DMS Nombre de communes ayant mis en place la collecte sélective des déchets verts Nombre de communes ayant mis en place la collecte sélective des emballages ménagers T et % des DMA selon destination, et géographie Situation de la gestion des DNM (cartographie) Données qualitatives sur la gestion des DNM

26 3- limites de l étude Pas de données quantitatives sur les DIB.

27 Monographie étude 11 LES CAPACITES EN INCINERATION DE LA REGION ILE DE FRANCE 1- données générales Cette étude a été réalisée par EDR pour l ORDIF en Elle concerne les déchets suivants : Fraction incinérable des OM Encombrants et déchets occasionnels Déchets de voirie et de marché Les DIB Les déchets du bâtiment 2- Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Pour le gisement de DIB Pas d enquête. Pour les tonnages incinérés et les capacités Enquête auprès des unités d incinération franciliennes. (Pas de détail sur la méthodologie liée à l enquête). 2.2 Méthodologie d investigation Pour le gisement de DIB, estimation à partir de l enquête ORDIF sur Val d Oise et Yvelines de 1995, et recoupement avec enquête ADEME de 1996 sur les DIB en France. Pour informations sur leurs destinations, informations à partir des résultats d enquête auprès des unités de valorisation thermique, et statistiques fournies par la DRIRE. Informations complémentaires issues de : Plans départementaux et contrats «Terre vive» Informations fournies par l ORDIF Etude sur le poids des déchets des activités artisanales et commerciales à Paris Enquête sur les déchets du BTP en Ile de France Etude ORDIF sur la récupération d énergie à partir des usines d incinération en Ile de France

28 Le rapport de l ORDIF concernant les déchets encombrants en Ile de France La publication des résultats 99 d Eco-Emballages 2.3 traitement de l information Recoupement de données issues des études citées plus haut, et estimations faites à partir d hypothèses réalistes. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Données quantitatives utilisables pour les DIB : T total, à moyen terme Capacité d incinération sur chaque département Gisement incinérable de déchets (toute catégorie) T de DIB incinérés T de DIB enfouis Mode de collecte pour entreprises de 6 de 9 salariés Mode de collecte pour entreprises de plus de 9 salariés Fraction en mélange Fraction incinérable (T et %) Données sur les UIOM en 2000 (capacité théorique, gisement entrant, dont DIB ) : Parc exploité par Novergie Vert-Le-Grand Parc exploité par TIRU Parce exploité par la CNIM Parc exploité par Generis Tableau de répartition par département, et détail par site. 2.5 Fiabilité des résultats T de DIB : taux de fiabilité de 25%.

29 3- limites de l étude Limites liées aux études sources. Pas de détail sur la méthodologie de l enquête auprès des unités de valorisation thermiques. Etude synthétique intéressante apportant des précisions par rapport aux DIB incinérés, et sur les UIOM.

30 Monographie étude 12 LA PRODUCTION DE DECHETS DU BTP EN ILE DE FRANCE 1- données générales Cette étude a été réalisée par TRIVALOR en 2001 pour la DRE Ile de France. Les déchets étudiés sont les déchets du BTP, qui comprennent une part de DIB. 2- Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Pas d enquête terrain réalisée pour cette étude. 2.2 Méthodologie d investigation Données issues de documents sources, en particulier étude faite par le CEBTP en traitement de l information / 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies % de DIB parmi les déchets produits par les entreprises du bâtiment % de DIB parmi les déchets produits par les entreprises des travaux publics Répartition départementale 2.5 Fiabilité des résultats Estimation à + ou 20 %. 3- limites de l étude Estimation théorique du gisement, car les déchets du BTP sont peu triés.

31 Monographie étude 13 Analyse du gisement de DIB sur le département du Val d Oise Phase 1 : estimation théorique 1- données générales Cette étude a été réalisée par TRIVALOR, en 2001, pour le conseil général du Val d Oise, la CCI Val d Oise Yvelines, dans le cadre de la révision du plan départemental des DMA du Val d Oise. Les déchets concernés sont les DIB. Ne sont pas pris en compte : Les déchets spéciaux des entreprises Les gravats et autres déchets inertes Les déchets spécifiques à certaines activités L étude se déroule en plusieurs phases : Phase 1 : Estimation théorique du gisement Phase 2 : Enquête auprès des producteurs de déchets Phase 3 : Enquête auprès des installations de traitement et d élimination des DIB Ce document synthétise la phase Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Pas d enquête terrain pour cette phase. Estimation théorique à partir de ratios : Secteurs d activité concernés Tous secteurs d activité, à l exception de : Bâtiment et Travaux Publics Agriculture Assainissement Automobile Santé Les déchets de soin Taille d établissement

32 Toute taille d établissement. Localisation des établissements Département du Val Oise. 2.2 Méthodologie d investigation La liste des établissements concernés a été établie à partir des listes d entreprises de la CCI et de la chambre des métiers (fichier SIRENE non communiqué). Comparaison économique du département avec d autres départements d Ile de France pour lesquels des études DIB avaient été conduites, pour identifier les ratios applicables. 2.3 traitement de l information Comparaison des tonnages obtenus selon les différents ratios suivants : Ratios de l étude TRIVALOR sur les Hauts de Seine (1999) pour toute taille d entreprise Ratios de l étude SOFRES/ORDIF de 1995 sur les DIB dans le Val d Oise et les Yvelines, pour les établissements de plus de 10 salariés Ratios étude nationale ADEME, édition 1996, pour les entreprises de plus de 10 salariés Ratios de l étude TRIVALOR sur l Essonne concernant les gisements de DIB (2000), pour toute taille d entreprise Choix de ratios différents selon trois critères : Importance des secteurs d activité en terme d emplois Importance des gisements estimés des secteurs d activité par rapport au gisement total estimé Ecart observé entre les ratios des différentes études pour chaque secteur d activité 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Informations quantitatives sur : Les déchetteries Les centres de tri de déchets ménagers Les unités de compostage Les unités d incinération Les centres de stockage de déchets ultimes T par secteur d activité, et taille d établissement

33 2.5 Fiabilité des résultats Fiabilité satisfaisante car choix des ratios selon activité et taille d établissement, et analyse critique des données sources. 3- limites de l étude A compléter par enquête terrain (phase 2).

34 Monographie étude 13 bis Analyse du gisement de DIB sur le département du Val d Oise Phase 2 : enquête producteurs 1- données générales Cette étude a été réalisée par TRIVALOR, en 2001, pour le conseil général du Val d Oise, la CCI Val d Oise Yvelines, dans le cadre de la révision du plan départemental des DMA du Val d Oise. Les déchets concernés sont les DIB. Ne sont pas pris en compte : Les déchets spéciaux des entreprises Les gravats et autres déchets inertes Les déchets spécifiques à certaines activités L étude se déroule en plusieurs phases : Phase 1 : Estimation théorique du gisement Phase 2 : Enquête auprès des producteurs de déchets Phase 3 : Enquête auprès des installations de traitement et d élimination des DIB Ce document synthétise la phase Méthodologie de l étude 2.2 champ des enquêtes Secteurs d activité concernés et taille d établissement : L enquête a pour but d obtenir des informations complémentaires pour certains secteurs d activité, pour lesquels les données manquent. Secteurs d activité : Les plus représentatifs en terme d emploi Les plus représentatifs en terme de tonnage estimé à partir des différentes études Pour lesquels les écarts entre les tonnages estimés à partir des différentes études sont les plus importants. Puis critères de sélection affinés. Entreprises de moins de 10 salariés : Agro-alimentaire Transports et communication Commerce de détail Services collectifs, sociaux et personnels Entreprises de 10 à 49 salariés : Bois Papiers / cartons / imprimerie Métallurgie Services aux entreprises Santé et action sociale Services collectifs, sociaux et personnels

35 Entreprises de plus de 50 salariés Commerce de gros Commerce de détail Services aux entreprises Administrations publiques Santé et action sociale Taille d établissement Toute taille d établissement. Localisation des établissements Département du Val Oise. 2.2 Méthodologie d investigation Envoi de questionnaires : questionnaire simplifié aux établissements de moins de 10 salariés. questionnaire complet aux établissements de plus de 10 salariés. 121 entretiens directs. 2.3 traitement de l information Saisie des données sur bases Access et Excel. Obtention de ratios. Transformation des données volume en masse, en utilisant les densités ADEME et autres ratios TRIVALOR. Selon classe effectif, comparaison des tonnages évalués lors de la phase 1 (calcul théorique), et des tonnages issus de l enquête pour l extrapolation au département. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Pour chaque classe d effectif : Ratio minimal, maximal, et moyen T / an / salarié, par grand secteur d activité (Agro-alimentaire / Commerce de détail / Santé et action sociale / Services collectifs, sociaux et personnels / transport et communication). Ratio T/an / salarié de DIB triés et en mélange T / an et % de DIB, selon nature T / an et % de DIB selon mode de collecte Informations qualitatives: La perception de la problématique déchet dans les entreprises La perception du service de la collecte La collecte sélective Remarques formulées selon classe d effectif 2.5 Fiabilité des résultats Taux de réponse satisfaisant : 14%. Fiabilité des résultats satisfaisante car choix de ratios, issus soit de l enquête terrain, soit d études existantes, après comparaison et analyse critique. 3- limites de l étude

36 L enquête ne cible que certains secteurs d activité selon les classes d effectifs, comme prévu, mais l ensemble phase 1, 2 et 3 forment une étude très complète et fiable.

37 Monographie étude 13 ter : Analyse du gisement de DIB sur le département du Val d Oise Phase 2 : enquête installations d éliminations 1- données générales Cette étude a été réalisée par TRIVALOR, en 2001, pour le conseil général du Val d Oise, la CCI Val d Oise Yvelines, dans le cadre de la révision du plan départemental des DMA du Val d Oise. Les déchets concernés sont les DIB. Ne sont pas pris en compte : Les déchets spéciaux des entreprises Les gravats et autres déchets inertes Les déchets spécifiques à certaines activités L étude se déroule en plusieurs phases : Phase 1 : Estimation théorique du gisement Phase 2 : Enquête auprès des producteurs de déchets Phase 3 : Enquête auprès des installations de traitement et d élimination des DIB Ce document synthétise la phase Méthodologie de l étude 2.1 champ des enquêtes Secteurs d activité concernés et taille d établissement : UIOM Déchetteries Centres de tri et de transfert

38 Installations de transfert Installations de broyage / compostage Centres de stockage de déchets ultimes Collecteurs Récupérateurs Centres de transit / traitement de DIS Taille d établissement Toute taille d établissement. Localisation des établissements Val d Oise Eure Oise Seine et Marne Yvelines Hauts de Seine Seine St Denis Val de Marne 2.2 Méthodologie d investigation Recensement des établissements à partir de données bibliographiques. Puis contact par fax et téléphone de 59 gestionnaires d installations dans le département du Val d Oise, et 51 gestionnaires d installations hors départements. 2.5 traitement de l information Compilation des données qualitatives et quantitatives obtenues. Pas d extrapolation. 2.6 données quantitatives et qualitatives fournies Conditions d acceptation des DIB pour les déchetteries T de déchets reçus par les installations Situations prévisionnelles Informations qualitatives diverses

39 2.5 Fiabilité des résultats Réponses fournies assez fiables, car enquête directe (téléphone ou fax) auprès des gestionnaires d installation, qui effectuent dans l ensemble un suivi des tonnages. 3- limites de l étude Difficulté parfois d obtenir des informations (réticence des gestionnaires d installations). Difficulté d établir une réelle traçabilité des déchets, et de faire la part entre OM/DIB et déchets du BTP / DIB. D où manque de comparaison avec phase 1 et 2 de l étude.

40 Monographie étude 14 Les Déchets Industriels banals en Seine et Marne 1- données générales Cette étude a été réalisée par la DIREN, pour le Conseil Général de Seine et Marne, en juillet Les déchets concernés par cette étude sont les DIB classiques, et les déchets organiques du secteur de la restauration. 2- Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Pas d enquête terrain. Sont exclus de la présente étude les secteurs d activités suivants : Agriculture, chasse, services annexes Sylviculture, exploitation forestière, services annexes Pêche, aquaculture Construction Assainissement, voirie et gestion des déchets L étude concerne plus de établissements, et de l ordre de emplois. 2.2 Méthodologie d investigation Etude réalisée à partir de l analyse : Du tissu économique du département D études similaires déjà réalisées en France : Etude nationale ADEME «DIB : quel tonnage?» (1996) Méthodologie d évaluation du gisement des DIB élaborée par les Conseillers en Environnement des CCI d Albi, de Rodez, Toulouse et de l Ariège (2000) Les DIB en région PACA (1995)

41 Etude DIB réalisée dans les Hauts de Seine (1999) Etudes réalisées dans le Val d Oise (1995 et 2001) De données fournies par la DRIRE 2.3 traitement de l information Inventaire des établissements tiré des fichiers SIRENE. Extrapolation à partir de ratios de production de DIB en T/an/établissement). 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies T de DIB global Répartition en % entre industrie / commerces / services Répartition en % par taille d établissement Répartition, en T, par secteur d activité détaillé et par tranche d effectif. Carte de production de DIB par commune Carte de production de DIB par canton T collecté par les services municipaux T de DIB enfouis dans les CSDU T de DIB incinérés T de DIB valorisés Répartition en % des DIB selon leur destination Perspectives d évolution du gisement de DIB, selon Industrie / Commerces / Autres Données qualitatives sur déchetteries, équipements de tri et transit 2.5 Fiabilité des résultats Fiabilité liée directement aux études de référence. Utilisation de différents ratios selon secteur d activité et tranche d effectif. Représentativité des ratios nationaux ADEME et des ratios d autres régions pour le département Seine et Marne? 3- limites de l étude Cette étude est claire, complète, mais ne se base pas sur des enquêtes terrains. Extrapolations à partir d autres études, dont certaines ne concernent pas l Ile de France (études nationales et études en PACA, et Midi-Pyrénées), d où quelques incertitudes sur la fiabilité des résultats.

42

43 Monographie étude 15 ETUDE DE GISEMENT DE DIB EN SEINE ET MARNE 1- données générales Cette étude a été réalisée par COTEBA Management pour le Conseil Régional et l ADEME, en 2001, dans le cadre de la révision du plan départemental d élimination des déchets. Les déchets concernés sont les DIB uniquement. 2- Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Secteurs d activités enquêtés : Echantillonnage représentatif des entreprises présentes dans le département. Le secteur du BTP n est pas représenté. Type d établissement Toute taille d établissement (échantillon représentatif du tissu économique du département). Localisation des établissements Département de la Seine et Marne. 2.2 Méthodologie d investigation Questionnaire envoyé à plus de 8000 entreprises. 5 types de questionnaires : Petite entreprise (moins de 50 salariés) Grande entreprise (plus de 50 salariés) Administration Ecoles Mairies

44 2.3 traitement de l information Conversion des données volume en poids. Suppression des données extrêmes (ratios incohérents). Calcul de ratios de production Fiabilisation des résultats. Extrapolation des données à l ensemble du département. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies T de DIB / an Répartition du tonnage Entreprises / Administrations / Mairies / Etablissements scolaires T / an par secteur et par taille d entreprise T/an de DIB en mélange par secteur et taille d entreprise T/an de DIB valorisé par secteur et taille d entreprise T de DIB par type d établissement et par canton Ratio Kg / salarié (ou élève) / an, par type d établissement Ratio Kg / salarié (ou élève) / an, par secteur d activité T de DIB dans les OM Kg/an de DIB triés par matériau % en volume par matériau Part d emballage Répartition DIB selon mode de collecte T de DIB / canton % de DIB par filière de destination Flux interdépartementaux Flux des DIB en Seine et Marne Données qualitatives sur les pratiques des producteurs de DIB Scénari en 2005 et Fiabilité des résultats

45 Le taux de réponse à l enquête est de 14 %. Les premiers ratios obtenus étaient incohérents en comparaison avec des ratios ADEME et d autres études ; un second mailing auprès de 104 entreprises de plus de 50 salarié, puis une relance téléphonique ont fiabilisé les résultats (seconde comparaison avec ratios ADEME). Résultats fiables. 3- limites de l étude Etude complète, portant sur les DIB Seine et Marne uniquement.

46 Monographie étude 16 DECHETS INDUSTRIELS BANALS : QUEL TONNAGE? 1- données générales Etude ADEME, édition 1998, concernant les DIB. Sont exclus les déchets organiques, les déchets de démolition et les inertes. 2- Méthodologie de l étude 2.1 Champ des enquêtes Secteur d activité concerné Etablissements industriels (famille C et D code NAF), établissements du secteur de la construction (famille F), du commerce (famille G à l exception du secteur automobile et d une partie du commerce de détail). Type d établissement Etablissement de plus de 10 salariés Localisation des établissements France métropolitaine. 2.2 Méthodologie d investigation Envoi d un questionnaire auprès de 5431 entreprises. 2.3 traitement de l information Extrapolation des résultats d enquête par la méthode de stratification. Certains résultats proviennent d autres sources : extrapolation à partir de l enquête ADEME 96 pour les établissements de 10 salariés et plus estimation ADEME / FNB pour les déchets du bâtiment estimation AIC pour les déchets organiques des industries agricoles et agro-alimentaires Pour les entreprises de moins de 10 salariés et pour les autres secteurs d activité, il n y a pas eu de calcul de précision. 2.4 données quantitatives et qualitatives fournies Très nombreuses informations quantitatives sur les DIB au niveau national. 2.5 Fiabilité des résultats L imprécision calculée est de 13%, ce qui est faible. Toutefois, il ne tient pas compte erreurs résultant des estimations faites par les entreprises. Le taux de non réponse est de 25 %. 3- limites de l étude Cette étude ne tient pas compte des spécificités régionales. Les ratios nationaux sont donc à utiliser avec prudence pour une application régionale. Enfin, les établissements de moins de 10 salariés n ont pas été interrogés.

Partie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008»

Partie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008» - Centre de tri ou déchèterie : catégorie à utiliser seulement si la destination finale n'est pas connue. Il s'agit en pratique d'une étape intermédiaire de collecte des déchets. Cette catégorie comprend

Plus en détail

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne 6 804 projets de recrutement en 2012 1 Sommaire 1 L ESSENTIEL 2 LES METIERS PORTEURS 3 LES METIERS NON SAISONNIERS 4 LES METIERS DIFFICILES 5

Plus en détail

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête Besoins en main-d'œuvre (BMO) pour la région Ile-de-France. Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête 2012,

Plus en détail

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête Besoins en main-d'œuvre (BMO) pour la région Ile-de-France. 2015 Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS EN ÎLE-DE-FRANCE

LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS EN ÎLE-DE-FRANCE Monographie économique LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS Le plan filières des éco-activités en Île-de-France, piloté par le pôle de compétitivité Advancity, est mis en œuvre en partenariat avec la Chambre de commerce

Plus en détail

Boulangerie AURANT REST Coiffeur

Boulangerie AURANT REST Coiffeur Boula ngeri e ANT R TAU RES Coiffe ur Remerciements Étude réalisée par In Numeri : Laurence HAEUSLER, Anne-Gaelle MORO-GOUBELY, Guillaume BERTHOIN Coordination technique : Christian MATHERY et Pierre GALIO,

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion

Plus en détail

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

COMMISSION DE SUIVI DE SITE COMMISSION DE SUIVI DE SITE Centre de traitement multi filière SYCTOM IVRY Paris XIII Centre de tri et déchèterie exploités par SITA IDF SOMMAIRE Bassins versants Présentation du Centre de tri Bilan d

Plus en détail

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS 19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

SIEEOM Grisolles-Verdun

SIEEOM Grisolles-Verdun SIEEOM Grisolles-Verdun Actions visant la réduction des déchets Intervenante : Elodie Botti Présentation du SIEEOM Grisolles-Verdun Le syndicat regroupe 16 communes soit 20 968 habitants (population INSEE

Plus en détail

Déchets professionnels

Déchets professionnels 2015 info service+ Des questions? Des informations complémentaires? Des problèmes d équipements? Un changement de situation? Le professionnel est invité à contacter directement le Syndicat du Val de Loir

Plus en détail

Déchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels

Déchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels Déchèteries du SYELOM Mode d emploi pour les professionnels Sommaire Page Edito du Président 3 Qu est ce que le SYELOM? 4 Quels sont les professionnels 6 acceptés? Vous êtes professionnels? 7 Vous devez

Plus en détail

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Vaulx Meyzieu. 2 429 projets de recrutement en 2012

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Vaulx Meyzieu. 2 429 projets de recrutement en 2012 ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Vaulx Meyzieu 2 429 projets de recrutement en 2012 1 Sommaire 1 L ESSENTIEL 2 LES METIERS PORTEURS 3 LES METIERS NON SAISONNIERS 4 LES METIERS DIFFICILES 5

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

L INDUSTRIE en Seine-et-Marne

L INDUSTRIE en Seine-et-Marne FOCUS études JUILLET 213 information économique L INDUSTRIE en Seine-et-Marne L industrie (hors BTP) regroupe 3 99 établissements et 47 268 emplois salariés en Seine-et-Marne. Souvent présenté sous l angle

Plus en détail

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE SERVICE PUBLIC DE WALLONIE La gestion des déchets non dangereux, non inertes et non ménagers en Région wallonne : estimation du gisement, de sa composition et des modes de traitement. Avenant au Lot 3

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL

Plus en détail

Fil conducteur du protocole de réalisation

Fil conducteur du protocole de réalisation OUTIL D OBSERVATION REGIONAL DES INDUSTRIES ALIMENTAIRES (O O R I A) Fil conducteur du protocole de réalisation Les travaux du Groupe Domaine du Plan Régional de Développement des Formations consacré aux

Plus en détail

Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans :

Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans : Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans : Quels intérêts? Stéphanie BOULAY Direction des Rivières Ile-de-France Service Investissements Industries Ile-de-France SIARH - 3 décembre

Plus en détail

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS,

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, les choix gagnants INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES PRÉVENIR ET VALORISER LES DÉCHETS UNE STRATÉGIE TRIPLEMENT RENTABLE

Plus en détail

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

Plus en détail

Etude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013

Etude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES

ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES Mise à jour 2014 ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES L ACCOS a recensé 30 463 établissements employant 343 976 salariés en Seine-et-Marne fin 2013, soit sur un an, une légère hausse de + 0.12 % du nombre

Plus en détail

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée Les Français et le chauffage Résultats de l étude menée par IPSOS pour Via sèva Méthodologie et échantillon METHODOLOGIE : Cette étude a été réalisée en adhoc online, auprès d un échantillon issu de l

Plus en détail

Les Besoins en Main-d'Oeuvre 2014 dans l arrondissement de Lille : Zoom sur l industrie

Les Besoins en Main-d'Oeuvre 2014 dans l arrondissement de Lille : Zoom sur l industrie Les Besoins en Main-d'Oeuvre 2014 dans l arrondissement de Lille : Zoom sur l industrie L'enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO) de Pôle emploi mesure les intentions de des employeurs pour l année à venir,

Plus en détail

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise

Plus en détail

Tableau de bord économique de la Seine-Saint-Denis Avril 2011

Tableau de bord économique de la Seine-Saint-Denis Avril 2011 Tableau de bord économique de la Seine-Saint-Denis Avril 2011 Préfecture de la Seine-Saint-Denis * Chambre de Commerce et d Industrie de Paris Seine-Saint-Denis * Conseil Général de Seine-Saint-Denis *

Plus en détail

Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014

Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle

Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Vous pouvez répondre à ce questionnaire en vous connectant sur Internet avec le code ci-contre : http://enquetes.u-bordeaux.fr/orpea/lp2012/questionnaire.htm

Plus en détail

Valorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation)

Valorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation) GUIDE JURIDIQUE : LES PRINCIPALES RÉGLEMENTATIONS RELATIVES AUX DÉCHETS Dernière révision du document : février 2013 Ce guide propose une approche simplifiée des textes de lois relatifs aux déchets en

Plus en détail

démographie des masseurs-kinésithérapeutes

démographie des masseurs-kinésithérapeutes démographie des masseurs-kinésithérapeutes Île de France - Réunion 95 78 974 93 92 75 94 91 77 75 77 78 91 92 - Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine conseil national de l ordre des masseurs-kinésithérapeutes

Plus en détail

AVANT-PROJET DE PLAN. Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013

AVANT-PROJET DE PLAN. Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013 AVANT-PROJET DE PLAN Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013 Avis Favorable de la commission consultative pour mise en consultation - 25 octobre

Plus en détail

ARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité

ARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité CCPG - 135 Rue de Genève BP 441 01174 GEX Cedex Tel : 04 50 42 26 41 / Fax : 04 50 42 65 01 - dechets@ccpg.fr CONTRAT DE COLLECTE DES DÉCHETS ASSIMILÉS «DIB-DAC» ARTICLES L.2224-14 ET L.2333-78 DU CGCT

Plus en détail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part

Plus en détail

D1402 - Relation commerciale grands comptes et entreprises

D1402 - Relation commerciale grands comptes et entreprises Appellations (IT (nouvelles technologies, TIC) - Gestion commerciale / Vente) Commercial / Commerciale en services auprès des entreprises Commercial vendeur / Commerciale vendeuse d'espaces publicitaires

Plus en détail

Programme Local de Prévention des Déchets

Programme Local de Prévention des Déchets Programme Local de Prévention des Déchets, Direction collecte et traitement des déchets Esplanade Charles de Gaulle 33076 BORDEAUX Cedex 02.97.02.29.00 Sommaire Pages INTRODUCTION : CONTEXTE ET OBJECTIFS

Plus en détail

VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION

VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION 1 VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION Partenaires Centre technologique Construction et Aménagement Durable Centre technologique Industrie Energie Process

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

D1401 - Assistanat commercial

D1401 - Assistanat commercial Appellations Assistant / Assistante achat Assistant / Assistante administration des ventes Assistant / Assistante des ventes Assistant / Assistante export Assistant / Assistante import Collaborateur commercial

Plus en détail

CYCLABAT. Création de filières industrielles de recyclage pour la construction et réalisation d un démonstrateur 6 juin 2013

CYCLABAT. Création de filières industrielles de recyclage pour la construction et réalisation d un démonstrateur 6 juin 2013 Proposition initiée par BERTIN et NOBATEK associés à OUATECO et EGERIS Construction CYCLABAT Création de filières industrielles de recyclage pour la construction et réalisation d un démonstrateur 6 juin

Plus en détail

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B

REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B Les déchetteries intercommunales de la CCVD s inscrivent dans le rôle des collectivités

Plus en détail

MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE

MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros

Plus en détail

CENSI BOUVARD. Residhome Apparthotel Paris Nanterre. Nanterre (92)

CENSI BOUVARD. Residhome Apparthotel Paris Nanterre. Nanterre (92) CENSI BOUVARD 2014 (92) o Prootant du dynamisme de La Défense et de l'attractivité d'une vraie vie de quartier, la résidence Résidhome Paris se situe sur une place bordée de commerces et de restaurants.

Plus en détail

La récupération de l'énergie issue du traitement des déchets

La récupération de l'énergie issue du traitement des déchets Conseil général des Mines Juillet 2000 Ministère de l Economie, des finances et de l industrie La récupération de l'énergie issue du traitement des déchets Rapport de Henri Prévot Ingénieur général des

Plus en détail

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Mémoire du Regroupement national des conseils régionaux de l environnement du Québec 23 février 2010 Présentation

Plus en détail

LA TENUE DES ARCHIVES

LA TENUE DES ARCHIVES ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU BAS-RHIN Mise à jour : Avril 2013 GUIDE PRATIQUE POUR LA TENUE DES ARCHIVES RAPPEL DES NOTIONS ET PRINCIPES Tous les documents produits par un service constituent, quelle que

Plus en détail

MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES

MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES Les spécialités : MASTER PROFESSIONNEL 00 Management des activités tertiaires () Management public : métiers de l administration territoriale ()

Plus en détail

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende

Plus en détail

Les principaux résultats en 2009

Les principaux résultats en 2009 2 SOMMAIRE Les principaux résultats I - Les établissements qui projettent de recruter II - Les projets de recrutement III - Les métiers faisant l'objet de projets de recrutement Annexe 1 - Les projets

Plus en détail

18A GFE. Tendances régionales. Nettoyage Assainissement. de l emploi, du marché du travail. et de la formation en Midi-Pyrénées.

18A GFE. Tendances régionales. Nettoyage Assainissement. de l emploi, du marché du travail. et de la formation en Midi-Pyrénées. Tendances régionales de l emploi, du marché du travail et de la formation en Midi-Pyrénées GFE 18A Dans les domaines Nettoyage Assainissement Contrat de plan Etat-Région 2000-2006 Novembre 2006 Dossier

Plus en détail

Maximilien. Portail des marchés publics franciliens. Mode d emploi

Maximilien. Portail des marchés publics franciliens. Mode d emploi les infos DAEJ - n 46 du 2 avril 2013 Maximilien Portail des marchés publics franciliens Mode d emploi Ce portail, présenté comme un nouveau service public régional, ambitionne de regrouper l ensemble

Plus en détail

Appel à projets Economie Circulaire en Bretagne Année 2015

Appel à projets Economie Circulaire en Bretagne Année 2015 Appel à projets Economie Circulaire en Bretagne Année 2015 La Direction Régionale de l ADEME lance en 2015 un nouvel appel à projets concernant l économie circulaire portant sur différents volets thématiques

Plus en détail

Licences Pro OBSER VATOIRE. Lettres / Langues et Sciences Humaines. à l'université de Limoges

Licences Pro OBSER VATOIRE. Lettres / Langues et Sciences Humaines. à l'université de Limoges Université de Limoges Licences Pro Lettres / Langues et Sciences Humaines L'insertion professionnelle des diplômés DEs licences professionnelles à l'université de Limoges Résultats par (promotion 2007-2008)

Plus en détail

TAXE SUR LES BUREAUX,

TAXE SUR LES BUREAUX, N o 6705 B N 11213 * 11 (Locaux à usage de bureaux, locaux commerciaux et de stockage, situés en région Île-de-France, art. 231 ter du CGI modifié par l art. 38 de la loi de finances pour 1999) TAXE SUR

Plus en détail

TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00

TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 L entreprise Professionnel dans la collecte, le traitement et la valorisation de déchets industriels depuis plus de 80 ans

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Les Médiévales de Provins Edition 2012

Les Médiévales de Provins Edition 2012 Étude sur les retombées économiques d un évènement culturel Les Médiévales de Provins Edition 2012 Provins xx/xx/2013 1 1 - Introduction : objectifs de l étude Une méthodologie nationale pour le calcul

Plus en détail

Chapitre 8. Estimation de la valeur d un bien immobilier

Chapitre 8. Estimation de la valeur d un bien immobilier Chapitre 8 Estimation de la valeur d un bien immobilier L estimation de la valeur d un bien immobilier est utile notamment : 1. aux acheteurs et vendeurs potentiels ; 2. aux institutions de crédit, puisque

Plus en détail

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu

Plus en détail

Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle

Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle De nombreux archivistes se sont déjà interrogés sur la manière d organiser un stage en archives pour des

Plus en détail

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009 Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du

Plus en détail

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr info service + Organisation de la collecte Demandez l autocollant «Stop pub»! Si vous ne souhaitez pas recevoir de publicités dans votre boîte à lettres, une seule solution : l autocollant «Stop pub»!

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

Les chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle

Les chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle INSTITUT DE RECHERCHE EN PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE HENRI-DESBOIS Octobre 2005 Les chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle Dans un contexte de mondialisation, face à une compétitivité

Plus en détail

Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes. Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé

Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes. Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé 70.000 salariés 2 ième Région de France pour le taux des emplois E.S. sur l ensemble des emplois. 14,3%

Plus en détail

EQUIPEMENT COMMERCIAL

EQUIPEMENT COMMERCIAL e > Offre globale Chiffres clés Vocation > Composition commerciale Les grandes enseignes Les magasins > Cartographies EQUIPEMENT COMMERCIAL OFFRE GLOBALE Chiffres-clés Nombre et surface GLA Départements

Plus en détail

5-DECHETS INDUSTRIELS BANALS (DIB)

5-DECHETS INDUSTRIELS BANALS (DIB) 5-DECHETS INDUSTRIELS BANALS (DIB) Les DIB regroupent l'ensemble des pouvant être générés par les activités courantes d'un établissement d'enseignement supérieur, à l'exclusion des présentant un risque

Plus en détail

journées techniques Pour le développement de bonnes pratiques environnementales dans l artisanat

journées techniques Pour le développement de bonnes pratiques environnementales dans l artisanat journées 201 techniques Pour le développement de bonnes pratiques environnementales dans l artisanat 160 stagiaires formés par le CNIDEP depuis 2010 Amélioration des pratiques environnementales dans les

Plus en détail

Bac BEP CAP. Certification. Tertiaire. Sanitaire et social alidation. Parti. Parcours. Réussite VAE. Titre professionnel. Diplôme. Durée parco BEP CAP

Bac BEP CAP. Certification. Tertiaire. Sanitaire et social alidation. Parti. Parcours. Réussite VAE. Titre professionnel. Diplôme. Durée parco BEP CAP ac Parcours Sanitaire et social alidation des personnes ayant passé un jury au cours de l année 2009 en Bretagne MARS 2012 Certification Bac Réussite Sanitaire et social Validation Parcours Certification

Plus en détail

Production des déchets de chantiers En Ile-de-France et études connexes

Production des déchets de chantiers En Ile-de-France et études connexes Production des déchets de chantiers En Ile-de-France et études connexes PROJET 2013 Juillet 2013 Ile-de-France Rhône Table des matières provisoire Pages I Pratiques des entreprises du bâtiment 4 II Evaluation

Plus en détail

Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique :

Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique : Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique : des motivations à la réalisation des travaux Le contexte Suite au Grenelle de l Environnement, l Etat

Plus en détail

Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007. Est Francilien. Unédic - Assédic

Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007. Est Francilien. Unédic - Assédic Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007 Unédic - Assédic 2 SOMMAIRE Les principaux résultats I - Les établissements qui projettent de recruter II - Les projets de recrutement III - Les métiers faisant l'objet

Plus en détail

SOMMAIRE. Préambule p 3

SOMMAIRE. Préambule p 3 1 SOMMAIRE Préambule p 3 A/ Les collectes en Porte à Porte. A/ Chapitre 1. La collecte des déchets recyclables secs. p 6 (articles 1 à 6) II Les engagements de La Communauté d Agglomération de Montpellier.

Plus en détail

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

Un projet Bois Energie Citoyen?

Un projet Bois Energie Citoyen? Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique

Plus en détail

La création d entreprise en milieu rural

La création d entreprise en milieu rural La création d entreprise en milieu rural Une définition du milieu rural Définir le monde rural à partir de la taille des communes nous paraît insuffisant. En effet, il est important de prendre en compte

Plus en détail

H1203 - Conception et dessin produits mécaniques

H1203 - Conception et dessin produits mécaniques Appellations (Métiers courants) Dessinateur / Dessinatrice en construction mécanique Dessinateur / Dessinatrice en construction métallique Dessinateur / Dessinatrice en installations industrielles Définition

Plus en détail

Une dépendance relativement forte à l égard des principaux employeurs. Thème n 7 Les vingt principaux établissements. Observer Anticiper Adapter

Une dépendance relativement forte à l égard des principaux employeurs. Thème n 7 Les vingt principaux établissements. Observer Anticiper Adapter Observer, Anticiper, Adapter Observer Anticiper Adapter Informer Accompagner Orienter Créer Développer Innover Thème n 7 Les vingt principaux établissements Une dépendance relativement forte à l égard

Plus en détail

Le Plan Local d Urbanisme

Le Plan Local d Urbanisme P.L.U. DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE Communauté d Agglomération du SICOVAL COMMUNE D AUZEVILLE-TOLOSANE Le Plan Local d Urbanisme 5.1.8. Notice déchets P.L.U. Approuvé par D.C.M. le 18 décembre 2007

Plus en détail

Elaboration d une base de données des décharges non autorisées

Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Rapport intermédiaire BRGM/RP-53747-FR mars 2005 Elaboration d une base de données des décharges non autorisées Rapport intermédiaire BRGM/RP-53747-FR

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

Réflexe Prévention Déchets

Réflexe Prévention Déchets Réflexe Prévention Déchets Secteur des Travaux Publics 2 ème ½ journée Plan de la présentation 1. La prévention, de quoi parle-t-on? Concept, bénéfices attendu, illustrations 2. Produits innovants et retours

Plus en détail

Taux d admission. Débouchés supposés. Aix-Mars. III. M2 mixte Droit et gouvernance des énergies

Taux d admission. Débouchés supposés. Aix-Mars. III. M2 mixte Droit et gouvernance des énergies Universités Intitulés Taux d admission Débouchés supposés Aix-Mars. III M2 mixte Droit et gouvernance des énergies M2 mixte Droit international et européen de l environnement Agent des services juridiques

Plus en détail

Que faire de nos déchets?

Que faire de nos déchets? Collège Que faire de nos déchets? Problématique L utilisation dans la vie quotidienne d une très grande variété d objets fabriqués dans des matériaux divers entraîne une production importante de déchets

Plus en détail

Guide pratique de l. éco agent. des gestes. simples. et quotidiens. pour agir

Guide pratique de l. éco agent. des gestes. simples. et quotidiens. pour agir éco agent Guide pratique de l des gestes simples et quotidiens pour agir 1 Edito Sommaire L électricité...3 Les équipements bureautiques...4 Le confort thermique...5 Le papier...6 Les déchets...7 Les déplacements...8

Plus en détail

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi

Plus en détail

Notes méthodologiques

Notes méthodologiques Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation

Plus en détail