De la clinique à la neuropsychologie et la neuroanatomie de l alcoolol H. Beaunieux
|
|
- Alexandre Joly
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 De la clinique à la neuropsychologie et la neuroanatomie de l alcoolol alcoolo-dépendance H. Beaunieux
2 L alcoolodépendance ATROPHIE GRISE p<0.001 (FDR) SUBSTANCE ATROPHIE SUBSTANCE BLA P<0.01 (FDR) Atteintes morphologiques et fonctionnelles frontale + limbique + diencéphalique + Troubles neuropsychologiques mémoire de travail mémoire épisodique fonctions exécutives
3 Parcours clinique d un d patient hospitalisé pour une cure en service d addictologied Sevrage Taux d échec important Atelier Information #60 % de rechute!! Atelier Prévention Rechute
4 Troubles neuropsychologiques des patients alcoolo-dépendants Continuité des troubles 2 formes cliniques : de mémoire épisodique Patients alcoolo-dépendants sans complications neurologiques (AL) Patients alcoolo-dépendants présentant un syndrome de Korsakoff (SK) Equivalence des troubles de mémoire de travail Pitel AL, Beaunieux H, Witkowski T et al. Alcohol Clin Exp Res 2008.
5 Troubles neuropsychologiques des patients alcoolo-dépendants Pitel AL, Beaunieux H, Witkowski T et al. Alcohol Clin Exp Res 2008.
6 Peu de lien entre déficits exécutifs et déficits épisodiques Atteinte per se de la mémoire épisodique dans l AC Pitel AL, Beaunieux H, Witkowski T et al. Alcohol Clin Exp Res 2007a.
7 Chanraud et al. (2009). PlosOne.
8 Sullivan, Mathalon, Ha, Zipursky & Pfefferbaum, Biol. Psych.; Rosenbloom, Sassoon, Pfefferbaum & Sullivan Brain Imaging and Behavior.
9 Thérapie cognitivo-comportementale comportementale Apprentissage de nouvelles connaissances Sémantiques Procédurales # habitudes = = OH Dépendance Abstinence
10 Impacts des troubles neuropsychologiques sur l apprentissage de nouvelles connaissances Sémantiques Procédurales # habitudes Pitel, Witkowski, Vabret, Guillery-Girard, Desgranges, Eustache, Beaunieux. (2007b). Alcohol. Clin. Exp. Res., 31,
11 Stratégies d apprentissaged
12 13 sujets contrôles 10 patients AC
13 Hyperactivation du circuit frontocérébelleux Avantage : permet de compenser le déficit d fonctionnel Inconvénient nient : cognitivement plus couteux
14 Efficacité de l apprentissage l sans erreur Patients alcooliques Apprentissage explicite altéré Apprentissage implicite préservé R=0.82 p<0.001 R=-0.13 p=0.63 ASE Pitel, Perruchet, Vabret, Desgranges, Eustache, Beaunieux. Psychol Med 2010.
15 Eviter les erreurs d apprentissage chez les patients alcoolo-dépendants Métamémoire Suis-je sure que c est la bonne réponse? «Ne répondez que si vous êtes sur de la réponse» Fonctions exécutives Lobes frontaux Prise de décision Est-ce que je prends le risque de commettre une erreur?
16 La métamm tamémoiremoire Métamémoire : ensemble des connaissances qu une personne peut avoir concernant les règles de fonctionnement et les compétences de sa propre mémoire La prise de décisiond Comportements de prise de décision risquée abstinents sur plusieurs années (Fein et al.,2004) récemment abstinents (Goudriaan et al., 2005; Noël et al., 2007) Iowa Gambling Task (Bechara et al. 1994)
17 Compétences de métamm tamémoiremoire * Surestimation de leurs capacités en mémoire épisodique par ailleurs déficitaire Le Berre, Pinon, Vabret, Pitel, Allain, Desgranges, Eustache, Beaunieux. (2010). Alcohol. Clin. Exp. Res. 34,
18 Prise de décisiond * PDD+ 2 Chronic alcoholic patients Controls 0 session 1-20 session session session session Sessions de 20 cards
19 Implications cliniques (1) Patients alcoolo-dépendants Apprentissage de nouveaux comportements face à l alcool, de nouvelles habitudes de vie sans alcool Apprentissage de nouvelles connaissances sémantiques liés à l abstinence Acquisition de nouvelles connaissances ME - MDT - Prise en charge non adaptée -Attendre récupération spontanée en proposant de la remédiation cognitive -Répéter les informations à acquérir - Mettre en place des techniques d apprentissage qui compenseront les difficultés des patients
20 Implications cliniques (2) Métamémoire Surestimation de leurs facultés de mémoire = inconscience de leurs déficits mnésique Illusion d avoir suffisamment consolidé les informations des TCC = Augmentation du risque de rechuter Prise décision Déficit sur le versant émotionnel et cognitif Mauvaise appréciation des futures situations de la vie quotidienne Difficultés à appliquer les nouvelles stratégies comportementales proposées par les TCC = Augmentation du risque de rechuter
21 Continuité des atteintes neuropsychologiques dans l alcoolol alcoolodépendance (Ryback, 1971) Gayet-Wernicke Alcoolisme chronique Syndrome de Korsakoff Alcoolisation Troubles de la mémoire Troubles des fonctions exécutives Syndrome amnésique Troubles des fonctions exécutives Pitel AL, Beaunieux H, Witkowski T et al. Alcohol Clin Exp Res Sullivan et Pfefferbaum, Alcohol and Alcoholism, 2009.
22
23 Continuum de déficits neuropsychologiques (Ryback, 1971) Histoire alcoolique? Signes de EGW? Données inconsistantes Sous diagnostiqués chez les patients AD Non traités Mort (20%) EGW: critères cliniques de Caine et al. 1997: SK (85% des survivants) carences nutritionnelles atteintes oculomotrices: nystagmus dysfonctionnement cérébelleux: ataxie membres inf. dégradation cognitive: DRS<123 1 critère = risque de EGW 2 critères = signes de EGW
24 Sous groupes de patients AD Control Subjects (N=38) Uncomplicated alcoholics (N=56) Age ± ± Years of education ± ± 2.15*
25 Continuum de troubles *: significant difference compared with controls : significant difference compared with alcoholics who did not meet any criteria : significant difference compared with alcoholics who met 1 criterion
26 Caractéristiques neuropsychologiques du SK AA massive AR étendue (gradient temporel) perte des repères temporels confabulations (s atténuent souvent au fil de l évolution, rarement spontanées) fausses reconnaissances anosognosie trouble des fonctions exécutives changement de personnalité
27 ET LA DÉMENCE D ALCOOLIQUE?
28 Démence alcoolique La démence alcoolique (DA) ou Acohol Related Dementia (ARD) Prévalence allant jusqu à 24% des personnes âgées en institution fréquence de l association entre intoxication éthylique et démence démence 4,6 fois plus élevé chez les alcooliques Notion floue Deux acceptions différentes: un sens restreint => démence spécifique liée à la neurotoxicité de l alcool un sens large => association d une démence à une intoxication alcoolique chronique sans préjuger de la pathologie sous-jacente (neurotoxicité l alcool, pathologie carentielle, rôle favorisant de l alcool sur des affections sources de démence)
29 La classification d Oslin et al. (1998). A. Les critères de DA probables sont : 1. un diagnostic clinique de démence 60 jours au moins après la dernière prise d alcool ; 2. une intoxication éthylique significative, définie par une consommation moyenne d au moins 35 verres standards par semaine pour les hommes et de 28 pour les femmes pendant une période supérieure à 5 ans. Cette période d intoxication doit précéder de 3 ans le début des troubles. B. Le diagnostic de DA probable est confirmé par la présence d un des signes suivants : 1. perturbations hépatiques, pancréatiques, gastro-intestinales, cardiovasculaires ou rénales liées à l alcool ; 2. ataxie ou polynévrite sensitive (non attribuable à une autre cause) ; 3. après 60 jours d abstinence, le déficit cognitif se stabilise ou s améliore ; 4. après 60 jours d abstinence, les images d élargissement des sillons corticaux ou de dilatation ventriculaire diminuent ; 5. mise en évidence à l imagerie d une atrophie cérébelleuse, spécialement vermienne. C. La présence des symptômes suivants rendent le diagnostic de DA peu vraisemblable : 1. présence d un trouble du langage, en particulier aphasie ou anomie ; 2. présence de symptômes ou de signes neurologiques focaux (en dehors de l ataxie et de la polynévrite) ; 3. mise en évidence par l imagerie d infarctus corticaux ou sous-corticaux, d hématome sousdural ou d une autre pathologie cérébrale focale ; 4. score élevé à l échelle d Hachinski.
30 Démence alcoolique: tableau neuropsychologique (1) troubles comportementaux au premier plan altérations de la personnalité et du comportement familiarité excessive, émoussement affectif, anosognosie, hypertrophie du moi, labilité de l humeur, alternance de passivité et d épisodes d impulsivité, perte de la motivation, absence d empathie et de prise en compte de l environnement social. idées délirantes de jalousie fréquentes.
31 Démence alcoolique: tableau neuropsychologique (2) L évaluation cognitive parfois difficile du fait des altérations du comportement. Les déficits ++ et précoces de l attention et les fonctions exécutives Ralentissement vitesse de traitement Processus contrôlés Traitement volontaire des informations nouvelles Attention sélective et l attention divisée Raisonnement Prise de décision Activités de synthèse Troubles de la mémoire secondaires irréguliers, variables dans le temps prédominent sur les tâches qui impliquent les mécanismes de recherche en mémoire épisodique
32 Démence alcoolique: tableau neuropsychologique (3) Langage : de la fluence verbale Pas de troubles du langage de type aphasique. Dysarthrie possible Préservation des connaissances surapprises et les processus automatiques En l absence de sevrage, l aggravation des troubles par poussées successives correspondant à des périodes d aggravation de l intoxication. Tableau est nettement de la MA. Les différences les plus nettes concernent les troubles de mémoire. Dans la DA, ils sont de type frontal Dans la MA, ils sont de type hippocampique, comme dans le syndrome de Korsakoff.
33 Comparaison ARD, démence corticale et démence souscorticale. Schmidt et al., 2005 Comparaison de patients ARD, MA et Démence Vasculaire sous-corticale ARD : profil intermédiaire entre la démence corticale et sous-corticale
34 Maladie d Alzheimer Diagnostiques différentiels Antécédents d alcoolisme troubles de mémoire de type hippocampique au premier plan du tableau et/ou des éléments témoignant d un dysfonctionnement des régions postérieures du cortex MA associée à une intoxication éthylique. Démence fronto-temporale ou Démence vasculaire Parfois difficile de distinguer une ARD d une démence frontotemporale ou une démence vasculaire communauté des troubles du comportement et des déficits neuropsychologiques, d autant qu une intoxication éthylique peut être secondaire à des lésions frontales. Caractéristique fondamentale de la ARD : l évolution Avec le sevrage régression ou la stabilisation des déficits
35 En conclusion 1. Les patients AD présentent des troubles neuropsychologiques de sévérité variable 2. Ces troubles peuvent avoir un impact sur le bénéfice de la prise en charge 3. Peu de services d addictologie en France ont un(e) neuropsychologue Sevrage BEARNI Sensible Spécifique Court Pas de trouble cognitif Prise en charge standard Evaluation neuropsychologique approfondie Récupération cognitive Retard de la prise en charge Ajustement de la prise en charge Prédictif Simple Allongement de la prise en charge Techniques de réhabilitation
36 Pour une approche intégr grée e de l alcoolol alcoolo-dépendance Facteurs psychiatriques Facteurs génétiques Facteurs cliniques Facteurs familiaux EFFET DE L ALCOOL Facteurs sociaux
37 Francis Eustache Anne Lise Pitel Anne Pascale Le Berre Céline Cauvin Fausto Viader François Vabret
Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailVivre avec le syndrome de Korsakoff
Vivre avec le syndrome de Korsakoff Informations à l usage du patient et de son entourage Mai 2006 Editeurs Responsables : Francis PITZ et Benoît LECOMTE Rue saint-hubert, 84 5100 Dave 1 Ce fascicule a
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailLES TROUBLES DE LA CONSCIENCE DE SOI DANS LA SCHIZOPHRENIE
Thèse présentée pour obtenir le grade de Docteur de l'université Louis Pasteur Strasbourg I Discipline : Sciences Médicales Par M. Erick GOKALSING LES TROUBLES DE LA CONSCIENCE DE SOI DANS LA SCHIZOPHRENIE
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailDES : Médecine physique et de réadaptation DIU : Médecine de rééducation Module : MPR et Personnes âgées Garches: 1,2 et 3 avril 2009
DES : Médecine physique et de réadaptation DIU : Médecine de rééducation Module : MPR et Personnes âgées Garches: 1,2 et 3 avril 2009 Coordonnateur : Coordonnateurs : Philippe AZOUVI et Jean-Michel MAZAUX
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailIsabelle GONZALEZ Orthophoniste - Mérignac
CURRICULUM VITAE RENSEIGNEMENTS PERSONNELS Isabelle GONZALEZ Orthophoniste - Mérignac http://www.leccom.fr FORMATION Universitaire : - CERTIFICAT DE CAPACITE D ORTHOPHONISTE en 1980, après soutenance d
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailiceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen
iceps 2015 Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Joel Swendsen, Ph.D. CNRS 5287 CNRS / Université de Bordeaux / EPHE Sorbonne Objectifs de la Présentation Tapez
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailAssociation France - DFT
Association France - DFT Dégénérescences Fronto-Temporales Pour nous contacter Nous écrire Association France - DFT 41, rue de Richelieu 75001 Paris Nous adresser un mail Le site internet www.dft-france.org
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailTest de reconnaissance des faux pas (version adulte)
Test de reconnaissance des faux pas (version adulte) Version originale V. Stone et S. Baron-Cohen http://www2.psy.uq.edu.au/~stone/faux_pas_recog_test.pdf Adapté et normalisé en français par X. Delbeuck
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailRéponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale
ARGUMENTAIRE Réponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale Identification des troubles mnésiques et stratégie d intervention chez les séniors
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détaild évaluation de la toux chez l enfant
Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailExploration clinique de la mémoire
DU de Neuropsychologie: Approche clinique et théorique 2006/2007 Exploration clinique de la mémoire V. Hahn-Barma Psychologue-Neuropsychologue Centre de Neuropsychologie & Hôpital de la Salpêtrière Objectifs
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailJuillet 2013. La SEP et la cognition
Juillet 2013 La SEP et la cognition Comité de rédaction Fédération Internationale contre la Sclérose en Plaques (MSIF) La mission de la MSIF est de diriger le mouvement international de la SEP afin d améliorer
Plus en détailQuestionnaire Lillois De Participation à la Communication : Normalisation, Validation et Elaboration d un. questionnaire de l entourage
Université Lille II Institut d orthophonie BEYAERT Virginie MARQUANT Sandra Mémoire présenté pour l obtention du Certificat de Capacité d Orthophonie Lille, 2010 Questionnaire Lillois De Participation
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailProgramme de rétention et d excellence (Re-Excel) en soins critiques
Programme de rétention et d excellence (Re-Excel) en soins critiques Présentation de Mylène Arsenault, inf., soins intensifs, CSI(c), CSI(c)Nadine Montreuil, inf., soins intensifs 28 Septembre 2012 Agenda
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailLES DROITS DE L ENFANT
LES DROITS DE L ENFANT Maître Viviane SCHMITZBERGER HOFFER Avocat, Ancien Bâtonnier du Barreau de METZ Colloque du 11 octobre 2013 Syndrome du bébé secoué au Ministère de la Santé Mise en garde Article
Plus en détailLes démences fronto-temporales
Les démences fronto-temporales Maladie de Pick Démence fronto-temporale sans lésions spécifiques Démence fronto-temporale avec syndrome Parkinsonien (DFTP17) La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailDépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie
360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLES ADULTES DE MOINS DE 60 ANS ATTEINTS DE MALADIES NEURO-ÉVOLUTIVES ORIENTÉS PAR LES MDPH* DU RHÔNE ET DE LA SAVOIE
LES ADULTES DE MOINS DE 60 ANS ATTEINTS DE MALADIES NEURO-ÉVOLUTIVES ORIENTÉS PAR LES MDPH* DU RHÔNE ET DE LA SAVOIE * MAISONS DÉPARTEMENTALES DES PERSONNES HANDICAPÉES SEPTEMBRE 2010 Observatoire Régional
Plus en détailPROGRAMME D INTERNAT en psychologie et neuropsychologie
Doctorat en psychologie PROGRAMME D INTERNAT en psychologie et neuropsychologie DONNER L ESPOIR, INSPIRER L EXCELLENCE TABLE DES MATIÈRES ACCUEIL ET RENSEIGNEMENTS 1 Introduction 2 Mission 2 Programmes
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détail