IRM DÉDIÉE À L APPAREIL LOCOMOTEUR
|
|
- Estelle Larose
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 IRM DÉDIÉE À L APPAREIL LOCOMOTEUR Samira. Rostom 1, Najia. Hajjaj-Hassouni 1, en collaboration avec le Pr Pierre Bourgeois 2. 1: Université Med V Souissi. Faculté de Médecine et de Pharmacie, CHU Rabat. Département de Rhumatologie, Maroc 2: Université Pierre et Marie Curie, Pitié-Salpêtrière Paris. Département de Rhumatologie, France
2 IRM Haut champs IRM dédiée bas champs Même échelle mais
3 Problèmes posés par les grosses IRM Prix de l examen (pour la collectivité) Prix du supplément (pour le malade) Prix de l installation (cage de Faraday) Encombrement de la machine Très difficile pour les mains de polyarthrite (douleurs des épaules, et des coudes) Délais de rendez-vous : 90 jours au Maroc (33,2 jours en France).
4 Principe de l IRM dédiée Petites surfaces à explorer : segments de membres Epaisseur moindre Aimant beaucoup plus petit Optimisation séquences antennes zone explorée IRM bas champs< 0,5 tesla
5 Principe de l IRM dédiée Diminution importante des coûts de l appareil prix de l appareil prix d installation prix du fonctionnement
6 Coût Coût de l appareil Coût de l installation Utilisation Possible IRM CORPS ENTIER à à IRM DEDIEE à Salle banale de 9 m² Claustrophobe Obèse Rentabilité des IRM Dédiées: 6 IRM par semaine
7 Multiples indications IRM Avec l IRM dédiée, plusieurs «ouvertures» Inflammatoire Dégénérative Infectieuse Tumorale +/- Traumatologie, microtraumatologie Interventionnel.
8 Polyarthrite rhumatoïde
9 qu en attend-on? Modification stratégie thérapeutique: - suppression inflammation articulaire, - prévention lésion osseuse et incapacité aussi tôt que possible - traitements précoces et agressifs Faire un diagnostic précoce Éliminer un diagnostic différentiel Faire un pronostic Suivre des patients et évaluation des traitements
10 IRM dédiée et polyarthrite rhumatoïde IRM dédiée : diagnostic / Validité? IRM dédiée : pronostic IRM dédiée : réponse au traitement IRM dédiée : comprendre la maladie IRM dédiée : impact médico-économique
11 PR et diagnostic précoce Pourquoi IRM? Sensibilité et spécificité insuffisantes : examen clinique, lésions structurales radio (normal 6-12mois) Visualisation + précoce / clinique et radio : Les (téno)synovites Les oedèmes Les érosions
12
13 1- Diagnostic Score RAMRIS : semi quantitatif Poignet, MCP : lésions, activité Séquence : T1 gadolinium, fat sat ou STIR Score synovites : 0-3 Score érosions : 0-10 Score oedème: 0-3 Valide, reproductible, faisable, sensible RAMRIS: Rheumatoid Arthritis Magnetic Resonnace Imaging Scoring Lassere JR 2003
14 PR validité versus IRM corps entier Études Imageries Inclus Évaluation 2 obs aveugles conclusions Savnik Eur radiol 2001 IRM 0.2 T IRM 1.5 T Gado RI 7 sains. Vol synoviale, œdème (O/N). Préférence patient Comparables 64% patients préfèrent E IRM Taouli AJR 2004 IRM 0.2 T IRM 1.5 T Gado - 18 PR (8 ans) Érosion, pincement, synovite (SQ) Comparables 2x plus érosion/radio Ejbjerg ARD 2005 IRM 0.2T IRM 1T Gado + 37 PR (5 ans) 28 sains Synovites, érosions, œdème (O/N) Comparables : synovites, érosions Manque sensibilité œdème (0.40). Schirmer ARD 2006 IRM 0.2T IRM 1.5T 17 PR Synovites RAMRIS TS : 4 points Comparables Gado + Érosions : 6 points (larsen)
15 1- Diagnostic Études Imagerie Inclus Évaluation conclusions Ostergaard M J Rheumatol IRM 0.2 T Gado Arthrite récente. Érosions : siège le plus fréquent, potentiel évolutif Poignet : Capitatum, ulna, lunatum, triquetrum, scaphoide MCP: atteinte la plus fréquente 2nd-3rd MCP Rowbotham L AJR Am J Roentgenol IRM 0.2 T Versus echo (US) arthrite récenet Intérêt de l IRM versus écho pour le diagnostic et le suivi Diagnostic: *synovite: comparables * érosions: IRM> US Suivi : synovite: comparables * érosions: IRM plus sensible au changement
16 Diagnostic très précoce Kosta PE. Arthritis Res Ther PR selon nouveaux critères ACR : * 26 PR très précoce: < 3 mois, * 18 PR précoce: < 12 mois, * 13 PR averée: > 12 mois - ds PR très précoce : Prévalence œdème osseux100%, érosions à 96%, synovite 92%
17 Diagnostic précoce Suter LG. Role of magnetic resonance imaging in the diagnosis and prognosis of rheumatoid arthritis. Arthritis Care Res (Hoboken) Revue systématique littérature 11 études, polyartrhite < 24 mois grande héterogenéité des études sensibilité : %, spécificité 0-100%
18 IRM versus écho ds polyarthrite indifférenciée Machado PM. J Rheumatol Suppl Revue systématique littérature IRM Sur 2595 études, 11 elligibles (2 avec polyarthrite indifférenciée et 9 avec population mixte) Oèdeme osseux : LR+ 4.5 Synovite + érosions LR+ 4,8 Absence synovite : LR 0,2 ECHOGRAPHIE Sur 2111 études, 2 elligibles (population mixte) Aucune donnée ne peut être extrapolée
19 1- Diagnostic- conclusion Intérêt polyarthrite précoce +++ IRMbc > clinique, radiographie IRMbc équivalente IRMhc Quid injection gadolinium? Permettrait de différencier synovites actives/ «éteintes» Absence de synovite: exclue le diagnostic de PR Œdème osseux et ou d érosions + synovite: forte probabilité PR
20 2- Pronostic- sévérité structurale PR = formes hétérogènes Peu sévère, peu ou pas érosive, peu d incapacité (30 à 40% cohortes) Formes agressives lésions articulaires en peu d années, prothèse Importance de pouvoir distinguer ces formes, d autant plus vrai depuis arrivée biothérapies : nécessité traité les bons patients, moindre toxicité, intérêt médico économique
21 2- Pronostic- sévérité structurale Plusieurs études IRM: à court (1an) et à long terme (6ans) Facteurs IRM initiaux prédictifs progression érosion : poignets, doigts vol membrane synoviale >> rehaussement Synovite adjacente os Score total initial (synovites, tenosynovites, œdèmes, et érosions) : VPP 93% Œdème +++ Érosions (prédictives incapacité)
22 2- Pronostic - sévérité structurale P Bøyesen. Ann Rheum Dis Cohorte 84 patients. Durée d évolution PR < 12 mois, suivi 12 mois. IRM dédiée de la main dominante
23 2- Pronostic- sévérité structurale Érosions Détection IRM en médiane 2 ans avant radio M0 1 an 2 ans 3 ans 4 ans 5 ans % érosion vues en radio/irm Risque relatif d érosion radio à 5 ans multiplié par 4.5 si IRM M0 +/ IRM M0- Ostergaard M arthritis rheum 2003
24 2- Pronostic sévérité structurale Érosions: facteur bon pronostic «non progresseur» Radio non prédictive avant au moins 1 an IRM de base initial sans érosion, prédictive absence érosion Rx 1 an (Savnik A Eur radiol 2002) 82% avec IRM de base «normale», n auront pas d érosions à 2 ans (McQueen ARD 1999)
25 2- Pronostic sévérité structurale Œdème osseux Études Imagerie Inclus Évaluation conclusions Hetland M. Ann Rheum Dis Gandjbakhch F Ann Rheum Dis Suter LG Arthritis Care Res 2011 Machado PM. J Rheumatol Suppl Mar IRM bc 0,2 T IRM bc 0,2 T IRM bc IRM bc 130 Polyarthrite récente RCT (CIMESTRA) 85 PR en remission (n=47) ou LDA (n=38) Revue systématique littérature Revue systématique littérature Facteur prédictif de progression Rx Suivi 2 ans Suivi 1 an Modification RAMRIS érosion M0 ET M12 Études prosepctives > 12 mois 17études 11 références de 2595 RAMRIS œdème : facteur indépendant progression à 2ans OR 1.25, 95% CI , p=0.001 Œdème osseux meilleur facteur prédictif de progression structural Œdème osseux et ou synovite+ érosions :facteur prédictif d érosions
26 2- Conclusion- Pronostic sévérité structurale IRM a un intérêt pronostique : Supérieur clinique Supérieur radio Valeur identique/ IRM hc œdème osseux : facteur prédictif de progression structurale
27 3- Réponse au traitement Questions IRM reproductible, sensible au changement? Qu apporte en plus l IRM? IRM prédictive de réponse au traitement?
28 3- Réponse au traitement IRM hc Reproductible sensible au changement IRM bc: étude pilote (crues JV, JR 2004) Séquences T1 et STIR Reproductibilité modérée à bonne/ nombre érosion Intra observateur K: 0.66 Inter observateur K: 0.60 Sensible au changement Baan H. J Rheumatol 2011: bonne reproductibilité IRM avts pieds: OMERACT RAMRIS pied
29 3- Réponse au traitement IRM permettrait d apporter en plus Moyen objectif pour détecter plus rapidement progresseur Apparition ou érosion Moyen pour suivre érosion (intérêt pathogénique?) Monitorer les traitements de fond : mieux prendre en charge et évaluer nos patients
30 3- Réponse au traitement Données actuelles avec les anti TNF? Patients et méthodes : 16 patients, adalimubab 40 mg toutes les 2 semaines évaluation clinique DAS 28 M0 et M3 US : articulations MCP et IPP II-IV doigts; évaluation semi-quantitative de la synovite étude IRM (0,2 T) +gd, score RAMRIS synovites Résultats : diminution significative du DAS 28 sous adalimumab diminution du score de synovite en IRM (score OMERACT) et US Scheel, ACR 2004
31 À l inclusion À 3 mois
32 Suivi : amélioration érosions et traitements Baseline (coupes millimétriques) suivi 6 mois plus tard (coupe millimétriques
33 3- Réponse au traitement Données actuelles avec les autres anti TNF-antiIL1: Bonne corrélation entre la réponse clinique et les scores d IRM et US d évaluation de la synovite US et IRM permettent de suivre la synovite dans de petites articulations des patients atteints de PR Scheel, ACR 2004 Bøyesen P et al. Ann Rheum Dis Kamishima T et al. Skeletal Radiol Takeshi Suzuki Æ et al. Mod Rheumatol 2009
34 3- Réponse au traitement Données actuelles avec tocilizumab (anti-il-6) Efficacité clinique et biologique Amélioration grade synovite et l œdème osseux¹ IRMbc > clinique et radiographie standard Activité et évolutivité PR sous TCZ Outil valide et sensible aux changement ² : évaluation efficacité sous tocilizumab. ¹A. Kato et al. Experimental and Molecular Pathology 2008 ² Kamishima T et al. Skeletal Radiol. 2011
35 3- Réponse au traitement Données actuelles avec tocilizumab (anti-il-6) : notre expérience But: Évaluer la réponse au traitement par TCZ en utilisant les modifications à l IRM dédiée du score OMERACT RAMRIS chez des patients atteints de PR active, réfractaire aux traitements de fond classiques.
36 3- Réponse au traitement Données actuelles avec tocilizumab (anti-il-6) : notre expérience Type d étude Essai clinique Phase IV en ouvert. Évaluation : baseline, 6 mois, 12 mois. Critères d inclusion PR répondant aux critères de l ACR PR active, réfractaire aux DMARDS. Caractéristiques cliniques, biologiques et RX (Sharp modifié)
37 3- Réponse au traitement Caractéristiques N = 22 Age (année) ¹ 42 13,7 Sexe féminin² 19 (86,4) Durée d évolution (année) ¹ 7,9 5,2 Indice de synovites (0-28) ¹ 9,0 4,2 DAS28¹ 5,8 0,94 HAQ¹ 1,06 0,74 VS (mm/h) ¹ 36,7 23,4 CRP (mg/l) ³ 16 (6,7-36,3) Dose corticoïdes (mg/j) ³ 7,5 (0-10) Nombre DMARDS avant TCZ ³ 1(1-4) RAMRIS érosion M0 (0-230) ¹ 43,3 29,8 RAMRIS œdème M0 (0-69) ³ 0 ( 0-7,2) RAMRIS synovite M0 (0-21) ¹ 12,9 5,0 1:moyenne et écart type, 2: Nombre et pourcentage, 3: médiane et quartiles.
38 Évolution paramètres cliniques et para-cliniques à M6 Nombre patients N= 22 données disponibles (N=19) ( 3 arrêts/ EII) EVA douleur ¹ 55 (50-60) 5 (0-10) *** EVA fatigue ¹ 55 (50-60) (0-12,5) *** Indice d artic douloureuses (0-28) 10 (9-17) 0 (0-4) *** Indice d artic gonflées (0-28) 8,5 (6-11) 0 (0-1) *** DAS28² 5,78±0,87 1,9±1,4 *** Nombre synovites à l IRM ² (main dominante) M0 HAQ¹ 1,06 (0,34-1,53) M6 5,8±1,2 3,6±2,3 0,12 (0-0,43) VS¹ 28,5 (18-46,7) 4(2-17) CRP¹ 16 (6,7-36,2) 2 (2-4,5) *** Dose corticoïdes ( mg/j) ¹ 7,5 (0-10) 5 (0-5) : p=0,05, p <0,01, *** p < 0,001
39 Évolution du RAMRIS entre M0 et M6 P= 0,34 P= 0,04 P<0,0001
40 3- Réponse au traitement Notre étude suggère que : TCZ: Efficacité clinique et biologique: rémission clinique IRM > clinique et radiographie standard Amélioration sévérité synovite (grade) et l œdème osseux Mais Persistance synovite active infra-clinique Vraie rémission # rémission clinique MRI acceptable disease activity state* / low disease activity * Østergaard.UPDATE ON THE ACTIVITIES IN THE OMERACT MAGNETIC RESONANCE IMAGING IN INFLAMMATORY ARTHRITIS TASK FORCE. 2010
41 4- Rôle pathogénique? Signification érosions? Pas d étude en IRM dédiée IRM hc : 50% érosion se traduisent RX (ostergaard AR 03) Mais Mauvaise interprétation radiologique? non visible radiologiquement Guérison? Corrélation incapacité? Bonne corrélation progression érosion IRM érosion Rx Confirmation «vraies» érosions: miniarthroscopie et biopsie sous US
42 4- Rôle pathogénique? Signification persistance synovite? IRM détecte synovite / patient en apparente rémission clinique Injection gadolinium permettrait de distinguer «vraie» synovite vs «apparente» synovite (huang rheumatology 2000)
43 5- Intérêt médico économique de IRM dédiée ds PR ++ Suter LG. Arch Intern Med Cost-effectiveness of adding magnetic resonance imaging to rheumatoid arthritis management. But: déterminer l impact médico-économique de l addition de l IRM dédiée dans la phase précoce de la PR en plus des marqueurs diagnostiques classiques ( suivi pdt 1an) Conclusion : addition/non addition IRM ds la phase précoce PR: pas d augmentation de l impact médicoéconomique sur un an.
44 Conclusion IRM bas champs est très prometteuse Nombreux avantages Diagnostic : inflammation Introduction score dans critères? Pronostic, évaluation activité Image 3D Voit articulations inexaminables en écho Réponse au traitement Reste à optimiser davantage sa place Dans les autres rhumatismes inflammatoires Déterminer l examen «type» en terme de temps et coût : articulation «type», gado
45 En pratique 1- Intérêt diagnostic : Pour les lésions inflammatoires et structurales, l IRM est plus sensible que la clinique et la radio Dans un contexte clinico-biologique évocateur IRM permet le plus souvent de conclure Indications Radio, US: normales Forte suspicion Ou pas d échographe entraîné
46 En pratique 2- Intérêt suivi- évaluation réponse sous traitement Distinguer activité / inactivité Évaluer efficacité / inefficacité Idéal pour les biothérapies +++? aide à la décision par rapport à l interruption ou non de tel traitement
47 AUTRES INDICATIONS DE l IRM DEDIEE
48 Autres Indications de l IRM dédiée ostéo-articulaire Inflammatoires +++: rhumatisme pso, enthèsite des SpA, AJI, rhumatismes microcristallins. Dégénératives ++ Infectieuses ++ Tumorales +/- Traumatologie : carpe, genou++, cheville ++ ¹ Lindegaard H, ARD 2001 ² Backhaus M, ARD 2002 ³ Ghazinoor S. J Magn Reson Imaging HAS. 2008
49 Validité IRM dédiée bas champs versus IRM haut champs Pathologies inflammatoires Sensibilité, spécificité et précision diagnostique identique entre IRM bas champs et haut champs A puissance de champ égale (0,2T) une amélioration des images et de la quantité d informations sont produites par les IRM dédiées les plus récentes Courbe d apprentissage ¹ Lindegaard H, ARD 2001 ² Backhaus M, ARD 2002 ³ Ghazinoor S. J Magn Reson Imaging HAS Ostergaard M. J Rheumatol Malattia CAnn Rheum Dis.2011
50 Cartilage et validité de l IRM Dédiée Problématique: hétérogénéité Population: ATCD trauma, âge Définition de la pathologie Système de scoring : 3 à 6 catégories région étudiée: subdivision ou globale
51 Cartilage et validité IRM dédiée Versus IRM haut champs Grade 2 Grade 3 Sensibilité 25-75% 80-97% Spécificité 81-97% 80-97% Exactitude 75-92% 80-92% Ahn, Radiology 1998, arch orthop traum surg 1995
52 Cartilage et validité de l IRM dédiée Versus IRM 1T: Pour les lésions limitées ( grade 1-3): l IRM dédiée montre des résultats hétérogènes Quantification de la chondropathie en IRM dédiée est sensible au changement y compris sur une courte période la présence d une anomalie de signal de l os sous chondral et/ou d un œdème sont évocateurs d arthrose active. Woertler K. J Magn Reson Imaging Drapé JL, Radiology 1998
53 Cartilage et validité IRM dédiée Versus arthroscopie 43 Arthrose FTI / critères ACR 1 arthroscopie et 2 lecteurs IRM ( 0.2 T), aveugles analyse 2 scores ( profondeur, taille, localisation) SFA grade : semi quantitatif ( 5 grades) SFA score : quantitatif, composite ( profondeur, taille, localisation). Pour les lésions limitées ( grade 1-3): l IRM dédiée montre des résultats moins bons, bons >3. sensible au changement. Drapé JL, Radiology 1998
54 Validité de l IRM dédiée en traumatologie Mains, pieds, poignets ++, chevilles ++, coudes, genoux+++. Littérature abondante mais hétérogène Genoux: Méta-analyse avec Cinq études contrôlées randomisées
55 Traumatologie et validité de l IRM dédiée genou versus IRMhc (gold standard) IRM 0.2 vs 1.5 T résultats excellents comparables SE Sp Exactitude MI 0.2T 88% 100% 92% 1.5T 89% 100% 93% ME 0.2T 83% 90% 88% 1.5T 86% 95% 92% LCA 0.2T 93% 97% 96% 1.5T 93% 100% 98% Cotten A. AJR 2000
56 Traumatologie et validité de l IRM dédiée genou Versus arthroscopie (gold standard) méta-analyse: Traumatisme aigu genoux: MI, ME, LCA,LCP IRM corps entier et dédiée arthrosopie référence 29 études inclues (120 évaluées) Bonne Sensibilité et spécificité de l IRM vs arthrospcopie Légère supériorité corps entier vs dédiée mais NS Oei EH, Radiology 2003
57 Traumatologie et validité de l IRM dédiée genou Gabler c. SWISS SURG 1998 BOTTCHER P. Vet Surg Rand T. Eur J Radiol Comparateur Structure anatomique Se Sp Exactitude 1.5 T LCA - - IRMhc>IRMbc Arthroscopie ME MI IRMhc>IRMbc T Ménisque IRMhc>IRMbc
58 Validité de l IRM dédiée en traumatologie cheville Versus IRM haut champs pathologie ligamentaire Résultats comparables avec bonne sensibilité et spécificité. Ghazinoor S. J Magn Reson Imaging Carretta G.Radiol Med. 1996
59 Conclusion: IRM Dédiée et Traumatologie IRM dédiée vs IRM corps entier Qualité image acceptable pour démontrer les lésions les plus importantes cliniquement Objectif IMR dédiée Non de remplacer l IRM haut champs Mais de diminuer les incertitudes de l évaluation initiale avec idéalement : diminution coût, meilleur efficacité
60 Ténosynovite tuberculeuse du tendon du biceps
61 Osteoarthrite Tuberculeuse genou
62
63 Kyste genou
64 Fracture du scaphoïde
65 Fracture du plateau tibial passée inaperçue
66 Fracture : hypersignal œdème et hématome Alger congrès AFLAR
67 Fracture du tibia Alger congrès AFLAR
68 Nos espoirs Permettre à nos collègues radiologues de raccourcir les délais pour l IRM corps entier Traiter plus précocement les rhumatismes inflammatoires chroniques, traiter très tôt les infections articulaires. Diminuer par 3 le prix des examens IRM
69 Remerciements Pr pierre Bourgeois Dr Violaine Foltz Dr Frederique Gandjbakhch
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailmythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet
mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailQuand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire
Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire en orthopédie pédiatrique p? Mathie LORROT, Chantal JOB-DESLANDRE Hôpital Robert Debré, Faculté de Médecine Paris 7 Cours DESC chirurgie
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde :
Polyarthrite rhumatoïde : Diagnostic précoce et facteurs pronostiques : Quel intérêt? Plus l intervention thérapeutique est précoce moins grand est le handicap futur. Marqueurs de diagnostic précoce Facteurs
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailSpondylarthrite grave
Titre du document (En-tête) GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Spondylarthrite grave Décembre 2008 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2, avenue
Plus en détailFeedbacksystem Monitoring de la marche en appui partiel avec cannes anglaises
Feedbacksystem Monitoring de la marche en appui partiel avec cannes anglaises L APPUI PARTIEL MESURER AU LIEU D ÉVALUER Après chirurgie orthopédique ou d urgence, l indication médicale est souvent ordonnée
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailProjet de recherche. Patrick Gendron, B. Sc. Pht Clinique de médecine du sport CHUM et Université de Montréal patrick.gendron.1@icloud.
Projet de recherche Retour au jeu chez des athlètes ayant subi une lésion des ischio-jambiers : valeur prédictive des mesures de l intégrité musculaire obtenue par échographie et des mesures cliniques
Plus en détailLe Psoriasis Qui est touché?
LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailCohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement
TITRE DU CONSORTIUM : Cohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement RESPONSABLES : Alexis Descatha, UMS 011, Villejuif ; Yves Roquelaure, LEEST, Angers ; Bradley Evanoff,
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailAlemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III
COMMUNIQUE DE PRESSE Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III - Présentation de nouvelles données
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailPUBALGIES: ASPECT TYPIQUE ET ATYPIQUE EN IMAGERIE
PUBALGIES: ASPECT TYPIQUE ET ATYPIQUE EN IMAGERIE C Bourillon, S Touraine, D Petrover, L Laouisset, C Parlier- Cuau, V Chicheportiche, M Wybier, V Bousson, JD Laredo Paris - France Pathologie rare Introduction
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détail