Bilan de mise en œuvre du Budget participatif au Cameroun
|
|
- Marie-Louise Brisson
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bilan de mise en œuvre du Budget participatif au Cameroun Une Présentation de Jules Dumas Nguebou Coordonnateur Général des Programmes ASSOAL Secrétaire Exécutif National du Réseau National des Habitants du Cameroun RNHC 1
2 Plan de la présentation Introduction : Bref aperçu du contexte au Cameroun La société civile et sa contribution Le tournant d Africités 2003 et la signature de la lettre d intention Mise en œuvre des recommandations de la lettre d intention au Cameroun Cas pratique: Le fonctionnement du budget participatif à Batcham Les premières réalisations et les avancées du budget participatif Les difficultés des trois premières années et les solutions Quelques leçons 2
3 Présentation du Cameroun 3
4 Contexte politique et administratif Situation géographique: Afrique centrale, dans la région du Golf de Guinée. Superficie: Km de superficie Population: environ d habitants, Système de gouvernance: présidentialisme fort Organisation administrative: 10 provinces ou régions, 58 Départements, 432 environ communes. 4
5 Contexte politique et administratif Loi de 1974 définit les communes comme des collectivités publiques décentralisées Loi de juillet 2004 dites d orientation de la décentralisation transfert des responsabilités importantes aux communes Les décrets d application desdites lois sont encore attendus? 5
6 Contexte socio économique Taux de croissance du PIB est égale à :5,3% Le revenus moyen par habitant par an est de : 1180 dollar La pauvreté : un phénomène à la fois urbain et rural En moyenne, près de 75% des budgets publics communaux sont alloués au fonctionnement La corruption: un mal contre le développement, la démocratie et l Etat de droit 40% de la population vivent en dessous du seuil de pauvreté et n ont pas accès aux services sociaux de base 6
7 Une vue d un quartier en difficultés à Yaoundé 7
8 Une vue d un quartier en difficultés 8
9 Les combats de la société civile Pour plus de démocratie, l avènement de l Etat de droit et moins de pauvreté au Cameroun Pour être reconnue comme acteur et participer à la prise des décisions Pour une réelle décentralisation des pouvoirs et une responsabilisation des acteurs locaux Pour l amélioration de la gouvernance publique et la transparence dans l utilisation des ressources 9
10 Contributions d ASSOAL Éducation à la citoyenneté, à la participation et promotion de la parole des habitants des quartiers pauvres plaidoyers pour l offre des services sociaux de bases aux quartiers défavorisés: sécurité foncière, habitat et accès au logement, eau et assainissement, emplois des jeunes et des femmes, protection sociale et mutualisation du risque maladie) Création du RNHC: réseau national des habitants du Cameroun (près de 2000 associations de quartiers membres) Promotion des droits socio-économiques et culturels des habitants et du Budget Participatif 10
11 Africités 2003 à Yaoundé Atelier de concertation sur la gouvernance locale organisé en marge d Africités 2003 par ASSOAL en collaboration avec le PGU et quelques maires d Amérique latine et du Cameroun Un projet de lettre d intention pour le BP est produit à la suite de cet atelier Une session spéciale est organisée sur le BP avec le PGU et le PDM 11
12 Signature de la lettre d intension Le 04 décembre 2003 à Yaoundé, dans le cadre d Africités Les signataires: 5 communes du Cameroun (Batcham, Edzendouan, Sa a, Mfou et Yaoundé 6), l Agence de Coopération des Municipalités Brésiliennes, représentée par la Mairie de Caxias do Sul, la Municipalité de Montévidéo, la Coordination pour l Amérique Latine et la Caraïbe du Programme de Gestion Urbaine, UN Habitat, le Partenariat pour le Développement Municipal, ASSOAL et le Réseau National des Habitants du Cameroun (RNHC). Les témoins : Maire de la commune de Guediawaye au Sénégal, représentant de l Alliance Internationale des habitants - Afrique et du Directeur Exécutif UN-Habitat pour l Afrique. 12
13 Session spéciale sur le BP africités 2003 à Yaoundé 13
14 Session spéciale sur le BP africités 2003 à Yaoundé 14
15 Le BP à Batcham et Edzendouan Réalisation de la monographie des deux communes Organisation de réunions d information avec les villes signataires et Diffusion de la lettre d intention, Validation de la lettre d intention par les conseils municipaux de Batcham et Edzendouan, Identification des volontaires locaux Analyse du profil de gouvernance des deux communes (Capitalisation des expériences en terme de participation, de transparence et de responsabilité) Organisation des ateliers de formation pour les animateurs et les responsables des cellules municipales du budget sur la gouvernance et le BP Organisation des ateliers de formation des conseillers municipaux sur les 12 rôles du mandataire communal, (leadresship local) Formation des animateurs volontaires en technique d animation, sur la gouvernance et le cycle budgétaire 15
16 Le BP à Batcham et Edzendouan Production des outils d animation (Règlement Intérieur du BP) Appui à la création et à l animation des espaces de participation dans les deux communes (forum de quartiers, de village, de groupement et forum thématiques) Élaboration d un plan de développement local Appui au montage et à la mise en œuvre des projets issus du BP dans les deux communes Appui au suivi des projets et du BIP communal par les coordination et les délégués du Budget participatif. Capitalisation et échange des expériences et des informations 16
17 Atelier d information des acteurs pendant le Congrès 2004 du RNHC 17
18 Le rôle du RNHC dans la mobilisation est déterminant 18
19 Atelier bilan du BP
20 Cas pratique: Batcham Batcham: Situation: dans la province de l Ouest Statut : commune Population : habitants Organisation: groupements (Batcham, Bangang et Bamougong) Nombre de quartiers: 150 quartiers. Principale activités: agriculture (80 %, élevage et petit commerce 20 %) Budget 2007: de francs CFA. en nette augmentation sur les derniers exercices (au moins 49 % pour les trois dernières années). Répartition : 65% au fonctionnement, 35 aux investissements 20
21 Batcham : Une municipalité en construction 21
22 Les principales difficultés de la commune Faible investissement dans les secteurs sociaux et de l équipement Difficultés socio-économiques : ressources naturelles sous exploitées en grande partie inexploitées Difficultés financières : faible capacité financière et faible taux de recouvrement des impôts et des taxes Difficultés techniques : faible capacité en terme de maîtrise d ouvrage et de gouvernance Faible mobilisation des citoyens et faible culture de l intérêt général 22
23 Une vue des écoles à Batcham 23
24 Dispositif de suivi et d évaluation du BP à Batcham Organisation des citoyens à l échelle d un quartier Membres des GIC ou des associations présents sur le quartier Membres des sous-comités ou comités de développement présents sur le quartier Membres des ONG, syndicats, églises présents sur le quartier FORUM DE QUARTIER Ou village - Ouvert à tous les habitants, selon le principe : Animé par les volontaires Une personne présente = une voix. Habitants du quartier n appartenant à aucun groupe organisé 24
25 Dispositif de suivi et d évaluation du BP à Batcham Organisation des citoyens à l échelle d un groupement Forums de quartiers du Groupement cf graphique 1 Sous-comités de développement FORUM DE GROUPEMENT (ou zone urbaine) en présence de : - deux délégués pour chaque forum de quartier - un représentant volontaire pour chaque sous-comité - le président du comité de développement Comité de développement Réunions ouvertes à tous Supervision de la mairie 25
26 Dispositif de suivi et d évaluation du BP à Batcham Organisation des citoyens à l échelle de la commune MAIRIE EXECUTIF MUNICIPAL - maire - adjoints - commissions municipales CONSEIL MUNICIPAL ASSEMBLEE DU BUDGET PARTICIPATIF ESPACE DE COGESTION - Représentants de la mairie - Délégués des Forums de groupement et de zone urbaine. SOCIETE CIVILE FORUM DE GROUPEMENT 1 FORUM DE GROUPEMENT 2 FORUM DE GROUPEMENT 3 Forum de quartier Forum de quartier Forum de quartier Forum de quartier Forum de quartier Forum de quartier PERSONNEL COMMUNAL FORUM DE ZONE URBAINE 26 Forum de quartier Forum de quartier X...
27 EXECUTIF MUNICIPAL CONSEIL MUNICIPAL PERSONNEL COMMUNAL Dispositif de suivi et d évaluation du BP à Batcham Organisation des débats pour la validation des rapports ASSEMBLEE DU BUDGET PARTICIPATIF FORUM DE GROUPEMENT 1 FORUM DE GROUPEMENT 2 FORUM DE GROUPEMENT 3 FORUM DE ZONE URBAINE Forums de quartier 1 Forums de quartier 1 Forums de quartier 1 Forums de quartier Légendes : 1. Identification des besoins et construction de projets dans les Forums de quartier. 2. Présentation de ces projets, débats, sélection et hiérarchisation des projets par les délégués de quartier réunis au sein des forums de groupement. 3. Retour des résultats du débat pour validation dans les quartiers. 4. Présentation des listes hiérarchisées de projet par les délégués de groupement au sein de l assemblée du budget participatif. 5. Sélection par les délégués et les représentants de la mairie de la liste définitive des projets, étude de faisabilité et planification. 6. Retour de la liste définitive dans les forums de groupement et de quartier pour information et validation. 7. Transmission des données à l exécutif pour élaboration du budget. 7. Validation du projet de budget par l assemblée du budget participatif. 9. Transmission du budget au conseil municipal pour vote Retour du budget pour exécution. 11. Transmission du budget pour installation des commissions participatives de recherche de financements et de suivi évaluation des projets.
28 Quelques délégués à l Assemblée du BP Batcham 28
29 Le cycle du BP à Batcham Démarrage du premier cycle du BP : juin 2004, avec la réunion communale de lancement Nombre d air de participation crées : 37 autour des 3 grands groupements par décision du maire. Août 2004 : réunion de lancement communautaire sous la responsabilité des animateurs municipaux ou volontaires. Participants: tous les habitants Moyen de mobilisation: affiches, annonces sur les ondes de la radio, associations Missions: présenter le dispositif (objectifs, fonctionnement, critères de présentation des projets). Les habitants présents sont invités à exprimer leurs besoins prioritaires et choisissent les délégués chargés d animer les réunions à la base puis de défendre les projets. 29
30 Le cycle du BP à Batcham et Edzendouan (suite) En septembre cycle d élaboration du budget communal. 1- premiers forums des groupements et de la zone urbaine : La mairie présente la matrice du budget de la commune et le fonctionnement du budget, les estimations en terme de recettes et de dépenses de fonctionnement et d investissement. Septembre: les ateliers thématiques sont également organisés par la mairie en fonction des besoins exprimés au cours des forums de groupement Pendant tout le mois d octobre, les habitants se réunissent dans les forums de quartier afin de définir, dans chaque quartier, un projet prioritaire. En novembre, second forum de groupement: les délégués des quartiers se réunissent afin de défendre les différents projets et d en établir une liste hiérarchisée. 30
31 Le cycle du BP à Batcham et Edzendouan (suite) Fin novembre, l assemblée communale se réunit pour mettre en commun les différents projets et définir la liste des projets retenus pour l année à venir. En décembre, ils étudient, avec la mairie, les moyens nécessaires à la mise en œuvre de ces projets Fin décembre - début janvier, le budget élaboré grâce au dispositif de participation arrêté par l Assemblée du Budget Participatif est soumis au vote du conseil municipal et validé par la Tutelle. Les coordinations du budget participatif se réunissent tout au long de l exercice selon les besoins pour en assurer le suivi. 31
32 Le relais de l information est pris par les tableaux dans les lieux de réunion 32
33 Les informations sont diffusées par voies radios et affiches 33
34 Les débats sont sanctionnés par un PV précisant les priorités du quartier, village et la liste des participants 34
35 Les débats au niveaux groupements et communes sont sanctionnés par un PV 35
36 Les réalisations du BP à Batcham 7500 habitants participent aux réunions de planification, de suivi et d évaluation soit 5% de la population contre 0,03% avant le BP entre Augmentation de plus de 100% des recettes municipales destinées des investissements et de la contribution financière des habitants au financement des projets communautaires Un plan de développement local réalisé et en cours d actualisation Un centre multimédia municipal fonctionnel Des infrastructures locales dans les secteurs prioritaires identifiés par les habitants réalisés:, équipements scolaires et hospitaliers, routiers, accès à l eau potable 36
37 Les réalisations du BP à Batcham Une collaboration renforcée entre la commune et de nouveaux partenaires au développement Disponibilité des espaces publics de dialogue et de concertation qui concoure à l augmentation de la conscience citoyenne Une centaine d habitants connaissant mieux leurs droits et les meilleures conditions d hygiène de l eau Une centaine d emplois crées pour les jeunes 37
38 Les habitants participent à la gestion 38
39 Projet adduction d eau en cours 39
40 Fabrication et pause des buses pour l entretien des voies secondaires dans les groupements 40
41 L hôtel de ville se réaménage 41
42 Un centre multimédia municipal 42
43 Des salles de classe en chantier 43
44 Atelier de formation 44
45 Des rues entretenues par les habitants 45
46 Centre multimédia municipal 46
47 Ouverture des airs de jeux 47
48 L eau coule à la pompe 48
49 Des tables bancs aux établissements scolaires 49
50 Les habitants participent à la gestion de la commune 50
51 Les avancées du BP au Cameroun Grande mobilisation des habitants, des autorités locales et des élus locaux pendant les rencontres du premier cycle et d élaboration du plan de développement local. Bonne compréhension de la démarche par les principaux acteurs impliqués (associations, ONG locale) qui savent désormais que le Budget Participatif n est pas un micro projet Le choix par les populations des priorités qui sont inscrites au budget de la commune L implication des organisations locales dans l exécution des actions retenues La production suivant la même démarche d un plan de développement local à moyen terme La mise en place d un comité de coordination du Budget participatif composé des représentants de la commune, des habitants et de l Etat, chargé de suivre la mise en œuvre du Budget Participatif annuel et du Plan de développement local, deux plaquettes ont été produites et mises à disposition par ASSOAL pour faciliter l animation du processus 51
52 Les avancées du BP au Cameroun La présence du Budget Participatif comme thème de campagne pendant les dernières élections locales (en 2007) L engagement du nouveau maire à poursuivre la mise en œuvre du Budget Participatif Forte demande des citoyens et des délégués à la maire en terme d informations sur la mise en œuvre du Budget Participatif L assemblée du Budget participatif a été réunie en octobre 2007 pour définir les priorités qui ont été inclus au Budget d investissement 2008 Le premier cycle du BP 2008 est en cours. 52
53 Les avancées du BP au Cameroun Près de 10 communes ont mis en place des processus participatifs inspirés du BP Près de 20 communes ont manifesté leur intérêt et demandé un accompagnement pour le BP 53
54 Difficultés de mise en œuvre La faible culture de la participation citoyenne et de la pratique démocratique La politisation et la tribalisation de la vie sociale La faible vision des élus locaux qui ont d abord considéré le budget participatif et la lettre d intention comme un instrument de recherche de financements extérieurs, L anticipation par rapport au contexte juridique : le Budget Participatif a démarré dans les deux communes avant l adoption des lois sur la décentralisation, ce qui a justifié certaines réticences de la part de certains représentants des services déconcentrés de l Etat, La faible culture du service public de la part des agents de l Etat De nombreuses demandes non satisfaites d accompagnement en provenance des communes non signataires et intéressées par l expérience. 54
55 Difficultés de mise en œuvre Le manque de ressources nécessaires à l animation du processus et à la mise en œuvre des priorités. La coordination du Budget participatif ne s est réunie qu une seule fois faute de budget de fonctionnement et travaille sans logistique Certains projets inscrits au budget participatif ont été réalisés par certains acteurs, mais pas capitalisés dans le cadre du budget communal Le second cycle du Budget Participatif n a pas été conduit selon la démarche 55
56 Solutions et Perspectives Renforcer le lien entre les communes signataires et les autorités publiques au niveau central; Mobiliser les ressources pour soutenir le dispositif d accompagnement des communes qui en font la demande ; Renforcer le lien avec les villes ouest africaines, européennes et sud-américaines Créer une ligne dans les budgets des différentes institutions (Etat, CTD, OSC, partenaires au développement, etc.) pour financer les Budgets Participatifs et les projets qui en sortent 56
57 Solutions et Perspectives Valoriser le Budget Participatif comme étant un dispositif de suivi participatif des politiques publiques au niveau des CTD Soutenir la mise en place et le développement des observatoires des services publics locaux animés par des réseaux d organisations de citoyens Plaidoyer pour la prise en compte du Budget Participatif dans les politiques de décentralisation 57
58 Leçons apprises Le BP renforce la démocratie locale et la cohésion sociale Le BP peut contribuer à l atteinte des objectifs du millénaire dans les collectivités territoriales décentralisées en Afrique. L appropriation de la démarche par les habitants permet au Budget Participatif d aller au-delà des mandats électifs La collecte et la diffusion des informations sur le processus (calendrier), sur les règles du jeu (règlement intérieur) et un bon usage des relais associatifs facilitent la mobilisation et la participation des habitants 58
59 Leçons apprises La capitalisation et la restitution des impacts du Budget Participatif sur la vie des citoyens, l implication des citoyens dans le suivi participatif des réalisations et la formation citoyenne des acteurs impliqués contribuent à la pérennisation du processus et des acquis Le développement des Budget Participatif au sein des villes et communes africaines peut tirer partie de la coopération décentralisée si la demande vient des acteurs du Sud et si les acteurs du Nord qui acceptent de participer disposent d une stratégie à cet effet 59
60 Fin Je vous remercie 60
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailMISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA
MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détaildemain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS
ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailASSOAL En partenariat avec
ASSOAL En partenariat avec AC-BP-FL, le PNDP? et le FEICOM? JOURNEES NATIONALES DE LA TRANSPARENCE BUDGETAIRE Contexte PREMIERE EDITION YAOUNDE, OCTOBRE 2014 TERMES DE REFERENCE Au Cameroun, la loi constitutionnelle
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailObjectifs de développement et stratégies d appui pour la micro assurance de santé dans les PED.
Objectifs de développement et stratégies d appui pour la micro assurance de santé dans les PED. Alain Letourmy (CNRS, CERMES), Aude Pavy- Letourmy (CERDI), Pascal Brouillet (AfD) Cerdi, 1er décembre 2005
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailGUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE
FONDS D APPUI AUX INITIATIVES RAPPROCHEES (FAIR) GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE I. Contexte/justification II. Eligibilité des actions 1 III. IV. Eligibilité des demandeurs Durée d exécution
Plus en détailLa gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies
La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailCOMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012
COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailDébat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013
Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailLe rôle de la société civile
Le rôle de la société civile Bruxelles 15 décembre 2011 Les mutuelles de santé au Burkina Faso Inégalité d accès aux soins de santé au Burkina Faso La majorité de la population vit en dessous du seuil
Plus en détailAtelier du Comité 21 Parties Prenantes : les entreprises aux abonnés absents? Mercredi 11 avril 2013
Atelier du Comité 21 Parties Prenantes : les entreprises aux abonnés absents? Mercredi 11 avril 2013 Le langage des entreprises Performance Attractivité Développement Emploi Stakeholders Innovation «Compétitivité
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailGUIDE DE PLANIFICATION PARTICIPATIVE LOCALE HOTEL COMMUNAUTAIRE. Direction d Appui au Développement Local (D.A.D.L.)
République du Sénégal --------------------Un Peuple Un But Une Foi --------------------MINISTERE DE LA DECENTRALISATION ET DES COLLECTIVITES LOCALES HOTEL COMMUNAUTAIRE Direction d Appui au Développement
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailIDEAL Connaissances. Au service de la performance publique
IDEAL Connaissances Au service de la performance publique Présentation des premières conclusions de l enquête sur la gestion technique des aires d accueil Présentation du Réseau Gens du Voyage La gestion
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailLes nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont :
La Ville de la Possession est engagée depuis plus de 30 ans dans des actions de coopération décentralisée. Elle est la ville pionnière de La Réunion à développer des actions de coopération avec des villes
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailPOUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY
MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailRemarques introductives, décentralisation fiscale
Remarques introductives, décentralisation fiscale Forum Régional sur la Décentralisation Marseille, 23 juin 2007 Hélène Grandvoinnet Plan Variété des CL RESSOURCES Trois grands types de ressources Ressources
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailLOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015
LOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015 POINTS CLES DATES - 2000 Guy Hascoët - 1 er secrétaire d Etat à l ESS propose une loi - 2010 premier rapport par Francis Vercamer - 2011 Benoit Hamont
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailMémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques
Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques sur le projet de loi n o 15, Loi sur la gestion et le contrôle des effectifs des ministères, des
Plus en détailPrésentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015
Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en
Plus en détailSYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA
SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailPage 02 Page 05 Page 08 Page 11 Page 13 Page 15 Page 17 Page 20 Page 28 Page 32 Page 34 Page 36 Page 37
Livret pour l Assainissement en Milieu Rural ²²² Communes de Ngogom et de Gainte Kaye Plan du livret Page 02 Présentation du projet Page 05 La mise en œuvre du service public d assainissement Page 08 L
Plus en détailFORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO
ANNEE UNIVERSITAIRE 2005-2006 FORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO Informations générales, conditions d admission, frais de participation et dossier de candidature.
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailPrésente. Un «réseau social cartographique» (Ouest France)
210 rue St Maur - 75010 Paris Contact : 01 77 12 32 99 Responsable : Eric HAMELIN (voir aussi contacts en fin de document) Présente Un «réseau social cartographique» (Ouest France) Un outil qui permet
Plus en détailIMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT
IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailpour une métropole solidaire et attractive
pour une métropole solidaire et attractive A l origine de Paris Métropole 5 décembre 2001 : premier débat à la Maison de la RATP o 400 acteurs publics du cœur de l agglomération o réunis pour envisager
Plus en détailNouveaux enjeux du mandat. Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée
Nouveaux enjeux du mandat Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée - 121,8-117,1 Déficit budget Etat (en milliards d'euros) - 130,0-120,0-110,0-100,0-90,0-80,0-70,0-60,0-50,0-40,0-30,0-20,0-10,0
Plus en détailRéunion tenue en séance publique sous la présidence de M. DESHAYES Jean-Pierre, Maire.
Le lundi 28 octobre 2013 à 20h00, réunion du Conseil Municipal suivant convocation du 18 octobre 2013 remise ou envoyée aux conseillers municipaux et affichée ce même jour en mairie. Ordre du jour : -
Plus en détailCours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE
Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE INTRODUCTION : Les collectivités territoriales Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme
Plus en détailDÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE
DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE NOUS, Chefs d État et de Gouvernement de l Union africaine, réunis à notre treizième session ordinaire à Syrte (Grande Jamahiriya arabe libyenne),
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailProgramme d aménagement intégré de quartiers informels de Port-au-Prince : Martissant et Baillergeau (AIQIP)
Programme d aménagement intégré de quartiers informels de Port-au-Prince : Martissant et Baillergeau (AIQIP) 1. Synthèse + plan Programme d aménagement intégré de quartiers informels de Port-au-Prince
Plus en détailCadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010
1 Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010 Objectif global : Le Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé contribue effectivement à la mise en place
Plus en détailPLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE
PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailAtelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun
Atelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun AKONO du 30 au 31 Juillet 2015 Termes de Références Introduction Au Cameroun,
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailPROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL
PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL 2 SFOAP Main Phase Regional Programme Documents - PAFO Table des matières I. Et si nous
Plus en détailCURRICULUM VITAE. Assez bien. Langues Lu Parlé Ecrit Français 1 1 1 Anglais 3 4 4
CURRICULUM VITAE 1. Nom de famille: FANAHEN 2. Prénom: Frédéric 3. Date et lieu de naissance: 27 avril 1968 à Cotonou - BENIN 4. Résidence : Cotonou 5. Formation : Etablissement : Date : de Diplôme(s)
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailL AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN. Le secteur privé
L AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT AU CAMEROUN Le secteur privé LE SECTEUR PRIVE : UN VECTEUR ESSENTIEL DU DÉVELOPPEMENT Promouvoir une croissance durable et partagée... La croissance économique est un
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailZOGO EMMANUEL ADMINISTRATEUR D'ENTREPRISE, EXPERT JUDICIAIRE / EXPERT TECHNIQUE. CONSULTANT / ENSEIGNANT.
ZOGO EMMANUEL INFORMATIONS PERSONNELLES PROFESSION BP: 13192 DOUALA CAMEROUN 00237 33 16 21 96 00237 99 70 77 55 / 76 76 05 80 zogoemma@hotmail.com ou zogoemma@yahoo.fr Sexe Masculin Age : 46 ans Nationalité:
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailPROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET»
PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET» Cette brochure présente les différentes possibilités de financement octroyées par l Agence belge de développement aux ressortissants maliens qui désirent
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailAppel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)
Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre
Plus en détail!!" # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5
"$ %&' ( )* ( +$ (,$- (./-- 0 1-2- $ 3- ( 4*4-5.&)* 5 Un cadre légal : Les écoles primaires, à la différence des collèges et des lycées, ne sont pas des établissements publics autonomes, et ne bénéficient
Plus en détailwww.rhonealpes.fr Rhône-Alpes
www.rhonealpes.fr Accueillir et accompagner des jeunes en contrat d engagement de service civique Rhône-Alpes Alors que la jeunesse doit rester l âge des projets et des rêves, aujourd hui, dans notre région,
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailBudget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015
Service de presse Ville de Rennes/Rennes Métropole Tél. 02 23 62 22 34 Vendredi 6 mars 2015 Conseil municipal Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Sommaire > Communiqué
Plus en détailForum sur le développement social de Roussillon. Assurer l équilibre. 4 juin 2009. Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay
Forum sur le développement social de Roussillon Assurer l équilibre 4 juin 2009 Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay Assurer l équilibre Le CLD de Roussillon compte parmi ses instances la commission
Plus en détailRoutes bien entretenues Financement assuré
Routes bien entretenues Financement assuré Mr. Leon Ramaromanana, Coordinator, Madagascar SOMMAIRE 1.ORIGINE / CREATION DU FER 2. CADRE INSTITUTIONNEL 3. CADRE OPERATIONNEL 4.TERMINOLOGIE 5. MECANISME
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailLEVET COMMUNE DE LEVET
LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détail