Radiologie interventionnelle Enjeux et responsabilités

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1 Radiologie interventionnelle Enjeux et responsabilités Témoignage d un chef d établissement Dr Bernard LECLERCQ Directeur général, Centre Oscar LAMBRET Séminaire ASN/Conseil Régional de l'ordre 1

2 Avertissement Il serait présomptueux pour un chef d établissement d affirmer qu il a trouvé la recette miracle du management idéal de la qualité et des risques. Il serait certainement encore plus risqué, pour lui, d affirmer disposer d une organisation modèle de la radioprotection dans son hôpital. Cette présentation est le témoignage d un directeur de Centre de lutte contre le cancer, c est-à-dire d un établissement particulièrement concerné par la radioprotection en général et la radioprotection en radiologie interventionnelle en particulier, qui n a pu constater, - avec l ASN -, d éléments tangibles d amélioration de la radioprotection dans son établissement qu au prix d une implication significative et coordonnée de son équipe de direction avec l ensemble de l encadrement médical, infirmier, médicotechnique et administratif pour soutenir le travail des PCR. 2

3 Pour mémoire Le chef d établissement est tenu de mettre à disposition des personnes autorisées à utiliser les installations de rayonnement ionisants les moyens nécessaires pour atteindre et maintenir un niveau optimal de radioprotection de la population, dans le respect des prescriptions règlementaires qui lui sont applicables. En outre, il met en œuvre un contrôle interne visant à assurer le respect des mesures en matière de radioprotection (article R du code de la santé publique). 3

4 En pratique, le chef d établissement doit : Prendre toutes les mesure d ordre technique et administratif, afin d assurer la prévention des accidents de travail et des maladies professionnelles pouvant être causées par les rayonnements ionisants sur le personnel Veiller à ce que les niveaux d exposition professionnelle aux rayonnements ionisants soient en deçà des limites définies par la réglementation Désigner une Personne Compétente en Radioprotection Déterminer une organisation de la physique médicale adaptée prenant en compte les pratiques médicales mises en œuvre, le nombre de patients et les contraintes découlant de techniques particulières. Il s appuie sur la (les) PCR de son établissement et sur le médecin du travail afin de traiter les aspects techniques de sa responsabilité 4

5 La radioprotection en radiologie interventionnelle constitue un sujet «de choix» pour parler des difficultés rencontrées dans la mise en place d une radioprotection «irréprochable» dans un établissement de santé en raison : De la méconnaissance de cette discipline en dehors d un public averti, Du grand nombre de professionnels directement ou indirectement concernés et dont la participation active est essentielle à la qualité du résultat produit en matière de sécurité, De l essor certain de la radiologie interventionnelle dans les années à venir et de la multiplication inéluctable des situations nouvelle rencontrées, De la sous-estimation du risque d irradiation pour le personnel en comparaison de celui rencontré en radiothérapie, en curiethérapie ou en médecine nucléaire du fait d une représentation mentale très souvent erronée de la dangerosité pour le personnel de pratiques mini ou pauci invasives pour le malade. Mais le chemin institutionnel à parcourir à partir du «prescrit théorique» pour obtenir«un réalisé simplement correct» s avère souvent long et difficile 5

6 Pourquoi? Ce qui va de soi n est pas forcément au rendez-vous à l hôpital La radioprotection n est qu un des nombreux chantiers de la sécurité sanitaire Le personnel «croule» sous d innombrables tâches supplémentaires, souvent simples, mais dont l accumulation est à l origine d une charge de travail réelle qui n est que rarement prise en compte et intégrée dans l organisation Ces tâches ne sont pas valorisées et ne sont pas financées Elles sont souvent vécues comme administratives et imposées alors qu elles devraient être considérées par tous comme faisant partie de l emploi et des responsabilités de chacun des personnels concernés. Enfin, ces tâches relèvent quasiment toute d un management transversal assuré par des cadres habituellement peu ou pas soutenus par leur hiérarchie et souvent en difficulté Alors, est-il possible d obtenir (et à quel prix en matière de radioprotection?).. 6

7 Des études de postes informatives.. Lieux Radio GPR Mammotome Scanner Scan RTH Dose efficace annuelle (µsv) * Dose efficace par 0 µsv 0,084 µsv 4 µsv 99,2 µsv jour Radiologue 1 0 2, ,18 Radiologue Radiologue 3 0 0, ,84 Radiologue Radiologue 5 0 0, ,5 Radiologue 6 0 0, ,1 Radiologue 7 0 2, ,18 Radiologue Radiologue Radiologue , ,9 Radiologue , ,5 Radiologue , ,5 Radiologue Radiologue , ,5 Radiologue , ,5 Radiologue * Les radiologues travaillent 5 jours par semaine, 42 semaines par an, soit au maximum 210 jours par an 7

8 Une maîtrise de l exposition des personnels, notamment des personnels médicaux Dose équivalente extrémités sur 12 mois en msv Radiologue Radiologue Radiologue Radiologue

9 Leur participation à leur propre sécurité 9

10 Sans trop rechigner...et si possible avec bonne humeur?????? 10

11 Témoignage 11

12 Le Centre Oscar Lambret en quelques chiffres Plateau technique 6 accélérateurs 1 CyberKnife, 3 Tomothérapie, 2 Accélérateurs linéaires 18 générateurs X Dont 1 TEP gamma caméra couplée 3 projecteurs de sources 1 haut débit 2 débit pulsé Démographie 850 salariés COL 63 internes 500 stagiaires par an ( moyenne 115 /J) 44 sociétés intervenant en zone contrôlée 308 dosimétries passives dont 67 au bloc 951 dosimétrie opérationnelle 25 salariés en catégorie A 283 salariés en catégorie B Formation RP externes 105 internes 82 salariés du COL > malades accueillis chaque année Visiteurs 12

13 Ontogénèse de l organisation actuelle Historique : Physicien PCR 2008 : Physicien PCR + radio-pharmacien PCR 2009 : Coordonnateur Radioprotection + Physicien PCR + radio-pharmacien PCR 2011 : Formation PCR de 2 MER 2012 : Coordonnatrice Radioprotection + radiopharmacien PCR + 2 MER PCR 13

14 Organisation de la radioprotection depuis 2012 Directeur Général Comité Radioprotection Médecin du travail CHSCT DMQR Coordonnatrice de la radioprotection PCR 1 Radiothérapie Curiethérapie RAQ Rx-ther Radio pharmacien PCR 2 MER PCR 3 MER PCR 4 Med Nucléaire Bloc imagerie Rx ther /curie 14

15 Composition du comité de radioprotection Direction DG, DGA,DRH, Directrice des soins, Responsable département hôtelier et service techniques Directrice qualité gestion des risques Médecin du travail 4 PCR Chefs et cadres médicotechniques de département DARA- bloc, radiothérapie, Médecine nucléaire, Imagerie Chef du service de physique médicale Responsable biomédical 15

16 Réunions régulières Hebdomadaires de travail des 4 PCR, sous la responsabilité de la coordonnatrice de formation (coordonnatrice), secondairement abandonnées, pour être remplacées par du «sur mesure» Bimensuelles De suivi des dossier, de management et d appui : DG, Coordinatrice, PCR 2 et 3 Semestrielles Comité de radioprotection 16

17 Bénéfices observés de l organisation mise en place Clarification de l organisation, soutien et valorisation des PCR, amélioration de leurs conditions de travail, Réactivité sur les dossiers, Priorisation facilitée, Accélération de la prise et de la mise en œuvre de certaines décisions (commandes, devis etc ), Bonne connaissance par le DG des dossiers, Découverte..par le DG de problèmes récurrents qui ne lui avaient jamais été signalés, Meilleure communication entre les nombreux intervenants, Triangle Radioprotection/médecine du travail / DRH plus efficient, Sensibilisation des services techniques, de la sécurité et de l ensemble des services à la problématique des intervenants occasionnels, Amélioration globale et très sensible de la qualité de la protection des travailleurs 17

18 Dans notre expérience : Conclusions L accomplissement des obligations règlementaires du chef d établissement en matière radioprotection suppose la mise en œuvre d une véritable stratégie de «conquête culturelle» de nombreux secteurs d un hôpital. L implication du DG, visible par les services du DG et concrète pour les PCR est une condition nécessaire (mais pas suffisante!) au bon fonctionnement de la radioprotection. L appui, la valorisation et le soutien du DG dans le temps donne du sens et du poids à l action des PCR. Il est tout à fait illusoire de penser que leur action puisse reposer de façon performante et durable sur leurs seules qualités et compétences, - si grandes fussent-elles -, d une ou plusieurs PCR «lâchées dans l établissement». 18

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