NEWS LETTER N 2 - OCTOBRE 2010
|
|
- Brian Paradis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ` NEWS LETTER N 2 - OCTOBRE 2010 LES CONTEXTES TRANSNATIONAUX DE L APPLICATION DE LA METODOLOGIE D.P. : LA COMPARAISON DES CHANTIER S DU PROJET 1. LES CHANTIERS DU PROJET ADDLS Pour démontrer la réussite du projet ADDLS, nous nous proposons de présenter pour chacun des chantier, la situation de travail à analyser, de préciser rapidement la chronologie des tâches dans chaque situation étudiée pour comprendre de quoi il retourne, d analyser les points essentiels de chacun des trois chantiers du projet ADDLS qui ont eu lieu respectivement dans une entreprise de fabrication de chaussures du pays partenaire, et de les mettre en liens pour en montrer les similitudes et les singularités, les éléments majeurs et pertinents identifiés lors de l analyse des situations de travail et leur exploitation dans le développement des compétences des publics cibles du projet en évaluation et en formation. Le schéma ci-après positionne les situations de travail choisies au regard du processus de fabrication.
2 Chacun des chantiers s est déroulé suivant plusieurs étapes communes que nous précisons : - L enquête préliminaire afin de connaître et positionner l entreprise dans le contexte économique et éducationnel de son pays respectif, - L analyse d une situation de travail reconnue comme sensible avec une analyse systémique du contexte en lien avec l analyse processus en qualité (entrées, sorties, moyens humains et matériels exigences, contraintes, influences), la formalisation de la chronologie des tâches dans la situation et leur signification (le quoi, le pourquoi, le résultat), la logique d action pour chaque tâche et opération (tâche, activité mise en œuvre, acteurs concernés, indicateurs sur lesquels on s appuie pour agir et pour contrôler), des savoirs opérationnels associés (avec conditions pour la mise en œuvre et les résultats attendus) et à un second niveau des savoirs, savoir-faire et savoir-être pour une situation standard et une situation dite sensible. Les méthodes utilisées sont celles de l ergonomie française : observation avec ou sans grille et notes, enregistrement de l activité, exploitation des enregistrements, entretiens semi-directifs, d explicitation, d auto-confrontation simple et croisée, formalisation. - Le diagnostic de compétences avec la définition des niveaux de compétences (taxonomie sur 5 niveaux), les compétences attendues (compétences cibles) et les compétences acquises des juniors par une co-évaluation senior junior de type déclaratif, - L analyse des écarts de compétences pour déterminer les besoins en compétences, - L écriture du cahier des charges de la formation pour répondre aux besoins identifiés, - L élaboration de modules de formation adaptés, - La mise en œuvre des modules de formation, en s appuyant sur les méthodes de l analyse des situations de travail et en exploitant les outils produits (vidéos, tableaux, schémas ), - L évaluation de la formation avec de la satisfaction des apprenants, l évaluation des acquis de la formation et du transfert en situation de travail. Pour des questions de temps et d objectifs à atteindre, il a été nécessaire de bien circonscrire la situation de travail à analyser en faisant le choix d une situation sensible, dite aussi situation problème. Ce choix s est fait pour les trois chantiers en concertation avec l entreprise à partir de l enquête préliminaire et l identification du processus concerné. Autant les chantiers italien et roumain étudient une situation de nature proche, une situation de travail de la chaîne de production, courte en terme de temps, où la gestuelle est importante, situation individuelle avec des interactions homme/machine, autant le chantier espagnol étudie une situation beaucoup plus longue et large, en amont de la chaîne de production, une situation riche d interactions humaines, où la gestuelle n est pas prédominante même si elle est importante. Les trois chantiers exploitent des informations tactiles et visuelles mais pas uniquement. Dans les trois entreprises, lieux des chantiers, dont l effectif est inférieur à 70 salariés, il n y a peu ou pas de prescription écrite. La prescription est tacite, par conséquent l interprétation est laissée libre à l individu, les moyens et modalités de réalisation aussi. Ce qui signifie que chaque individu a sa propre représentation de la prescription et sa propre manière d agir. Alors qu une donnée de la situation change, l intelligence de l action se situe dans les liens que peut faire l individu entre les différentes données qui se présentent à lui, son expérience de situations passées, ses ressources construites au fil du temps. Ces liens l amènent à une redéfinition de la tâche, traduite de façon concomitante par une reconfiguration dynamique de ses ressources pour mettre en œuvre les différentes actions nécessaires à la réussite de la tâche et à l atteinte des objectifs. L activité de travail est donc singulière. 2
3 Il est nécessaire dans un premier temps de faire l analyse de la situation de travail standard pour bien comprendre de quoi il retourne, ensuite on peut étudier les particularités des situations dites sensibles. L analyse doit permettre d identifier les logiques d action des individus et les compétences professionnelles associées notamment en situation sensible, situation problème, situation dégradée ; les compétences clés se manifestant essentiellement en situation problème. Ces compétences combinent des ressources dont une partie non formalisée est implicite, produit de l organisation : elles se sont formées, construites dans l histoire des situations de travail et des interactions sociales notamment et c est pour cela qu elles sont implicites, difficiles à mettre en mots par les individus car inconscientes, difficilement identifiables et transmissibles. On peut constater, de fait, la mise en œuvre de l ensemble de la démarche proposée lors des séminaires pour les trois situations de travail choisies. Les différents chantiers Les processus La situation sensible identifiée Chaîne de production - Découpage des pièces de la chaussure de chaussures interactions opérateur/machine manuelle Chantier roumain Entreprise SELEZIONE SRL Fabrication de chaussures Acteurs 1 expert, 1 senior, 1 junior, 3 novices, le Responsable RH, le Chef d atelier - cas particulier : découpage de pièces dans du cuir velours (à poils) et cuir vernis - problème actuel : perte de matière première, pièces présentant des défauts, temps de production Chantier italien Entreprise PERON Fabrication de chaussures pour femme semi-luxe et luxe Acteurs 4 juniors, 1 senior Chantier espagnol Entreprise familiale GIOSEPPO Activités : Achat de prototype de chaussures en Asie, Design, développement du produit, production en Asie, distribution au secteur détaillant Acteurs Le Directeur qui est le senior, 2 juniors département Design et 2 juniors département Qualité, la Directrice RH Chaîne de production de chaussures Processus Design et processus Qualité puis focalisation sur le processus qualité (amont de la production) - Pré-montage de la tige sur la forme (opération de quelques minutes) dans le processus de fabrication interactions opérateur/machine électronique - cas particulier : pré-montage de la tige en cuir de chaussure décolletée - démarche pro-active de développement des compétences mobilité verticale interne - Analyse de l échantillon avant production (peut prendre jusqu à ½ h de travail) activité de service, interactions humaines - cas particulier : analyse de l échantillon «bottine synthétique fabriquée par une entreprise avec peu d expérience dans ce type d échantillon - problème actuel : la résolution de défauts des échantillons pour satisfaire aux critères de qualité et de sécurité du produit qui sera fabriqué 3
4 Le chantier de l Université de Transylvanie entreprise SELEZIONE à BRASOV Après l identification du processus de fabrication, le choix de la situation de travail à analyser a été le découpage des différentes pièces du dessus de la chaussure: le découpage dans du cuir à poils (velours) et du cuir verni. Cette situation de travail concentre un grand nombre d indicateurs de différentes natures que seul un expert peut capter et exploiter. Pour information, la personne qui découpe les pièces est payée au nombre de pièces découpées. En général, on découpe les pièces d une paire de chaussures dans un même morceau de cuir, l expert y découpe plusieurs paires simultanément. L analyse de la situation de travail - Informations sur les tâches : le découpage des pièces consiste à partir d une commande, à réceptionner la pièce de cuir, à choisir les couteaux (pièces de différentes formes en fer que l on pose sur le matériau), régler la course de la presse (profondeur de découpage, placer le cuir sur la table, faire un diagnostic visuel et tactile de l état du cuir, optimiser la pose des couteaux (symétrie des pièces pour une paire, homogénéité de couleur des pièces, évitement des défauts du cuir - économie des matériaux), actionner la presse, détacher les morceaux de cuir, les contrôler, les rassembler sous forme de rouleaux, les transférer au poste de contrôle et enregistrer par écrit le travail fait. - L analyse de la situation de travail par observations et entretiens a permis d élucider la logique d action de l opérateur expert et d identifier un ensemble de compétences techniques et comportementales dont une partie implicite. Au-delà de la partie visible de l activité, la finesse du recueil d informations a fait émerger de l implicite des actions et micro actions de prise d informations prégnantes dans la réussite des actions et donc dans la performance : le diagnostic visuel et tactile de l état du cuir indicateurs : pores, poils/ direction des poils, vaisseaux sanguins, épaisseur, rides, élasticité a l étirage, points noirs - avec le dos ou la tranche de la main, l importance de la pression de la main sur le levier de commande de la presse par l opérateur en fonction des vibrations qu il capte en le tenant, la prise en compte des dénivellations de la table, détériorations dues à la presse. C est ce type d actions ou microactions qui permet de différencier un senior d un junior dans la maîtrise de la situation de travail et par conséquent la performance. C est ici que se situent les compétences clés du poste de travail qui s expriment et se déploient en situations problèmes. Cette double prise d information et analyse combinées, visuelle et tactile est capitale dans la situation de découpage. 4
5 Le chantier du POLITECNICO entreprise PERON à VENISE Après l identification du processus de fabrication, la situation de travail choisie a été le montage de la tige sur forme (dessus de la chaussure) pour un modèle de chaussures simple comportant un décolleté (type escarpins). L opérateur doit savoir anticiper l'image finale du produit fini, les phases et les moyens nécessaires pour le réaliser et savoir vérifier la qualité du produit fini. Il utilise différentes machines. L analyse de la situation de travail - Le montage de la tige sur forme consiste en plusieurs tâches : réceptionner la commande, régler les machines, diagnostiquer l état de la tige, humidifier éventuellement la tige, préparer la tige, faire le pré montage de la tige sur forme avec semelle clouée, utiliser les pinces pour une bonne adhésion à la forme, faire le montage (coller), contrôler, gérer la fin de cycle de chaque paire. - L analyse approfondie a montré l importance de l activité visuelle et tactile très intense tout au long du processus. Chaque tâche a été minutieusement décomposée en opérations ou micro-actions pour élucider cette activité. Une des premières opérations importante est le diagnostic de l état de la tige par rapport à la forme ; en effet la taille de la tige, la souplesse du cuir sont 2 indicateurs très importants qui vont orienter la mise en forme. On peut aussi noter l utilisation de repères/indicateurs pour positionner et étirer la tige, la position des mains et des doigts sur la tige tout au long du travail, la vérification constante de symétrie du ras de cou. On peut aussi relevé un indicateur de type sonore, le claquement du cuir pour vérifier l adhérence de la tige sur forme. - Les interactions homme/machine sont nombreuses principalement avec la machine de mise en forme. Cela nécessite non seulement une bonne connaissance du fonctionnement des machines mais aussi savoir physiquement utiliser certaines fonctions mécaniques avec les mains et le genou. - L analyse très fine de chacune des tâches de la situation et de l activité mise en œuvre a fourni de nombreux indicateurs qui serviront dans l évaluation des compétences puis dans la formation. Ces indicateurs sont de deux types : indicateurs/repères d aide au travail qui entrent dans les compétences et indicateurs de performance des tâches. 5
6 Le chantier d INESCOP - entreprise GIOSEPPO - ALICANTE -Le point de départ est la transmission de compétences senior junior dans une entreprise familiale, devenue imminente avec le départ prochain du directeur à la retraite, seule personne à détenir l ensemble des compétences clés de l entreprise. Les problèmes évoqués dès le départ par la direction sont un manque de communication entre le département Design et le département Qualité, et une consolidation nécessaire du processus qualité avec le lancement de la production de chaussures. L identification et la co-formalisation des processus du département Design et du département Qualité de l entreprise GIOSEPPO a permis de mettre en exergue la situation sensible d analyse de l échantillon, situation quasiment à l interface des deux processus. Cette situation en position d interface laisse déjà poindre la notion de client fournisseur relative à l analyse de processus, porte d entrée choisie dans la démarche d analyse des situations de travail mais aussi la nécessité d échanges entre les 2 départements pour l analyse de l échantillon. Cette situation de travail représente une activité à haute valeur stratégique et commerciale pour l entreprise, elle comprend un grand nombre d actions, des compétences implicites et l implication du travailleur senior dans la prise de décision stratégique. Les objectifs de l activité mise en œuvre sont la recherche de qualité et de sécurité totale du produit. L analyse de la situation de travail - Informations sur les tâches : la situation de travail consiste en la prise d informations historiques, l analyse qualité et sécurité des différentes parties de la chaussure ainsi que le confort, la proposition de solutions en cas de problèmes rencontrés, la formalisation d une fiche technique et d un rapport pour le fournisseur. - Outre l identification des différentes étapes de l analyse de l échantillon et de la logique d action pour la mener à bien, l analyse de la situation de travail a mis en évidence des mécanismes de coopération informelle, à l état d ébauche et en devenir, intra et inter département car tout à fait nécessaire à l atteinte des objectifs de qualité. En effet les deux juniors du département qualité dont un junior déjà expérimenté, ont besoin d échanger avant toute prise de décision ; une situation de risque de non qualité nécessite de prendre et de combiner certains renseignements sur le fournisseur et ses antécédents, les cas similaires et les décisions prises par le passé, c'est-à-dire tout un historique de plusieurs catégories d informations distribuées sur plusieurs personnes dont le senior et pour certaines dans une base de données. De plus, le département qualité fait appel à 2 mannequins dont les pieds sont de taille et de morphologie différentes, pour l essayage des chaussures qui donnent leur avis sur différents points de confort. Enfin, en cas de malfaçons rencontrées qui pourraient remettre en cause le design de la chaussure, le département qualité est censé interpeller le département Design pour trouver des solutions techniques/créatives Nous sommes en présence d un travail collectif nécessaire, voire indispensable. C est aujourd hui une compétence collective plus en moins en construction, presque à l insu des individus, à développer et à consolider. Dans cette situation de travail, il a un certain nombre de malfaçons potentielles qui peuvent rendre la situation d analyse de l échantillon délicate mais aussi l expérience du fournisseur, les matériaux utilisés, le type d échantillon (botte, chaussure ). - Bien qu elle exploite des informations tactiles et visuelles, l analyse de la qualité des échantillons est essentiellement d ordre cognitif, caractérisée par l intégration et la combinaison d éléments de Design, techniques et économiques, la communication entre départements, la prise de décisions. C est une difficulté pour les juniors. En effet, dans la situation analysée, le senior ayant un vécu de multiples situations est à même de combiner des informations permettant de faire un diagnostic économique de la situation puis de prendre des décisions en conséquence. Le travailleur junior, tout de même expérimenté, et son co-équipier ne peuvent disposer de la totalité de ce vécu dont certains éléments sont stockés numériquement. La communication à tous les niveau est très importante. - Au cours de l analyse, pour chaque tâche, ont aussi été formalisés les risques encourus si l analyse de l échantillon n est pas faite correctement. Ceci amène les techniciens à prendre conscience des problèmes potentiels, de 6
7 mesurer les conséquences en termes de qualité et de sécurité et d anticiper. Cela donne un véritable sens à leurs responsabilités et à ce qu ils font dans ce travail. - Le bilan de l analyse de la situation a aussi permis à l équipe qui a mené le chantier de faire à la direction de l entreprise une préconisation d ordre organisationnel - la mise en place de réunions régulières entre les 2 départements et une préconisation de l ordre des moyens - une check-list pour le suivi de l analyse de l échantillon. La préconisation en termes d organisation, de management et de moyens est une autre plus value de l analyse des situations de travail, laquelle permet de comprendre et d expliquer les problématiques au regard des contextes de travail. La formation n est pas toujours la seule réponse à une problématique et bien souvent il faut faire évoluer l organisation de façon concomitante. Pour informations: Politecnico Calzaturiero S.c.a.r.l. Area Formazione info@politecnicocalzaturiero.it Tel Fax Web : 7
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailINTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION
INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,
Plus en détailOrganisation d une simulation sur un prototype logiciel workflow et GED. ImmoBiens. 1 - Description du projet de l entreprise
Organisation d une simulation sur un prototype logiciel workflow et GED ImmoBiens 1 - Description du projet de l entreprise ImmoBiens est une société gestionnaire de biens immobiliers (location et entretien)
Plus en détailLa dimension humaine du changement
La dimension humaine du changement Un triptyque indissociable : Responsabilité Engagement Performance Créateur de performance La dimension humaine du changement et les défis de l entreprise Gérer une forte
Plus en détailAssociation ESSONNE CADRES
Association ESSONNE CADRES 10 avenue du Noyer Lambert - 91300 MASSY : 01 60 12 01 45 Email : competences91@essonnecadres.org Site web : www.essonnecadres.org Besoin d un Professionnel pour une situation
Plus en détailAvant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs :
2. Qu est-ce qu un projet commun? Avant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs : le projet a un début et une fin et se structure en
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailPrésentation des Actions Collectives FAFIEC 2015 avec Evolu Team
Collectives FAFIEC 2015 avec Evolu Team Bonjour, Vous trouverez dans ce document une présentation synthétique des différentes filières et formations répertoriées au titre des Actions Collectives Fafiec
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailCohésion et coaching d équipe
Cohésion et coaching d équipe Institut du Selfcoaching Tél. : 09 75 61 33 17 Mob. 06 10 18 63 93 info@selfcoaching.fr www.selfcoaching.fr 1 Notre Vision du Coaching LE COACHING est un accompagnement sur
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailManagement des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique
Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche
Plus en détailMinistère de l intérieur --------
Ministère de l intérieur -------- Examen professionnel d ingénieur principal des systèmes d information et de communication du ministère de l intérieur Session 2013 Meilleure copie Sujet n 1 - Réseaux
Plus en détailLA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE
Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans le cadre de la gestion d un projet informatique
Plus en détailLA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE
LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Lorraine Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailDévelopper une culture d efficience
point de vue services financiers Développer une culture d efficience dans les Back Offices Hughes ROY Partner au sein de l'équipe Services Financiers de Sopra Consulting, Hughes Roy est porteur de l offre
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailComment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie
Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailFormation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement
Formation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement BONNEL Conseils Associés Isabelle DOUAY : idouay@bonnel-conseils.com 9 A rue Châteaubriand 75008 PARIS tel. : 01
Plus en détailSession d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011. Atelier n 4. Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS
Session d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011 Atelier n 4 Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS L épreuve 7 permet d évaluer la capacité intégrative 10 du
Plus en détailOUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)
OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailPetit guide pour choisir une solution CRM
Petit guide pour choisir une solution CRM Trouvez la solution qui vous convient» Nos clients sont plus performants. www.update.com Avant-propos Le CRM est en passe de devenir le principal logiciel de l
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détailLes enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr
Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,
Plus en détailLutin Laboratoire des Usages en Technologies
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies d Information Numérique (à la Cité des Sciences) Offres à destination des entreprises (club d entreprises) Le principe de la plate-forme RNRT Le laboratoire
Plus en détail«GESTION PREVISIONNELLE DES COMPETENCES»
Technifutur & le Fonds de Formation des Fabrications Métalliques et l Industrie Technologique de Liège-Luxembourg (IFP) vous souhaitent la Bienvenue au séminaire «GESTION PREVISIONNELLE DES COMPETENCES»
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailLa plaque composite nora Lunatec combi
Une association remarquable : La plaque composite nora Lunatec combi pour la fabrication efficace de semelles plantaires et de semelles orthopédiques Présentation du produit Lunatec combi 1 4 nora Lunatec
Plus en détail5-1/4" 5-1/4" 5/8" 2-1/2" 3/4" Ligne A. Figure 1. Ligne B. Ligne C. Entaille 1-1/2" Figure 2
Ligne A Ray Catcher Sprint Deluxe Power Pak Guide de l étudiant Matériaux Vous aurez besoin des items ci-dessous pour créer votre voiture solaire. Donc, avant de débuter, prenez le temps de voir si tout
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique WWW.ANACT.FR OUTILS DE SIMULATION : Logigramme d activité Utilisation du logigramme d activité dans
Plus en détailAccompagnement RH des projets de transformation des organisations
Accompagnement RH des projets de transformation des organisations La conduite d un projet de réorganisation : Un exercice complexe ET délicat! Confrontée à une dégradation continue de sa compétitivité,
Plus en détailUnitecnic 2200 Unitecnic 2200 CS
Unitecnic Unitecnic S Notice de pose Seules les vis rouges et bleues peuvent être dévissées. (changement de combinaison et de main) Tout autre démontage interne est interdit. (annulation de la garantie)
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailAnimer un débriefing
Animer un débriefing Introduction Dans une démarche de retour d expérience, le processus mis en place par l organisation est important. Le débriefing peut être parfois négligé alors qu il est un moment
Plus en détailCARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION
CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION
Plus en détailensemble conseil production de contenus création graphique services associés régie publicitaire
ensemble conseil production de contenus création graphique services associés régie publicitaire Vous nous faites confiance... le magazine de Plaine Commune ... à nous et à nos savoir-faire Notre expertise
Plus en détailDEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN
DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale
Plus en détailÉVALUATION ET PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS (EPRP) ET PLURIDISCIPLINARITÉ.
ÉVALUATION ET PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS (EPRP) ET PLURIDISCIPLINARITÉ. PAR DIDIER BONNIN Didier BONNIN Ergonome conseil, Représentant du SNCE (Syndicat National des Cabinets conseils en Ergonomie)
Plus en détailDIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.
DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE
Plus en détailComment réussir son Marketing Personnel
Comment réussir son Marketing Personnel Méthode et outils pour faire autrement! Conférence Jean Pierre AYER Jeudi 13 juin 2013 Recherche d emploi : Annonces Candidatures spontanées Réseaux Promotion de
Plus en détailObjet : Liste de fournitures rentrée 2013
Collège de Bonifacio Objet : rentrée 2013 Chemin de Bancarello 20169 BONIFACIO - 1 Rouleau de plastique non adhésif pour couvrir les livres, 1 rouleau de ruban adhésif, une pochette d étiquettes. - Feuilles
Plus en détailCanevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation
Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation FINALITÉS DE L ACTION (à établir avec le commanditaire) Quels sont les objectifs finals du commanditaire (ses finalités : économiques,
Plus en détailDépartement de l Hérault
Du diagnostic à l opérationnel, quelles priorités? Le cas des collèges de l Hérault Jean-Pierre Quentin, directeur d exploitation du pôle éducation Patrimoine Conseil général de l Hérault mai 2009 AUDIT
Plus en détailU N FORMAT PÉDAGOGIQUE ARTICULANT LES TR O I S CO M P O S A N T E S DE LA CO N D U I T E
Dossiers de l EPS de l Académie de Rennes N 1 - OCTOBRE 2009 U N FORMAT PÉDAGOGIQUE ARTICULANT LES TR O I S CO M P O S A N T E S DE LA CO N D U I T E M O T R I C E : PENSER, S INVESTIR ET RÉALISER Y O
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec
Plus en détailNos propositions de coaching
1 Nos propositions de coaching 1) Nous accompagnons nos clients sur des demandes opérationnelles très concrètes : Faire face à des difficultés personnelles et /ou professionnelles. Pour soi même, pour
Plus en détailVotre conférencier. Christian Martineau
Votre conférencier Christian Martineau Immédiatement après l obtention d un diplôme de deuxième cycle (MBA exécutif à l'université de Sherbrooke), M. Martineau entreprend une formation de 3 ans en synergologie.
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailHistorique du coaching en entreprise
Historique du coaching en entreprise Aux Etats-Unis dans les années 80, le coaching des sportifs a beaucoup de succès. L entreprise, soucieuse d une plus grande performance va adapter le coaching afin
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailAssurance et Protection sociale Les enjeux du Digital Commerce
Assurance et Protection sociale Les enjeux du Digital Commerce Sortir des murs, démultiplier les contacts 2013 T A L E N T E D T O G E T H E R Unissons nos Talents 1 Introduction Entre discours incantatoires
Plus en détailFormation des formateurs en entreprise
en entreprise Le (CQFA) du Cégep de Chicoutimi et le Service de formation continue de l'université du Québec à Chicoutimi (UQAC) unissent leurs efforts et leur expertise respective pour offrir aux organisations
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailL évaluation des risques au travail
L évaluation des risques au travail Un outil au service de vos politiques de prévention pour la santé et les RPS Connection creates value Le contexte Au cours des dernières années, la prise en compte des
Plus en détailComment déployer un Réseau Social d Entreprise?
Comment déployer un Réseau Social d Entreprise? LA VISION DE KNOWLEDGECONSULT La mise en œuvre des Réseaux Sociaux d Entreprise (RSE) a été à ses débuts portée par les concepts et les usages des réseaux
Plus en détailWHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B
É t u d e WHY CONSULTING Performance Commerciale en B2B La performance commerciale d une entreprise est un sujet complexe qui emprunte des chemins différents selon les organisations et les marchés, car
Plus en détailSTRATEGIC SOLUTIONS 4 SELF SUCCESS SI VOUS POUVIEZ UTILISER PLEINEMENT LE POTENTIEL DE VOTRE ENTREPRISE, JUSQU OÙ IRIEZ-VOUS?
STRATEGIC SOLUTIONS 4 SELF SUCCESS SI VOUS POUVIEZ UTILISER PLEINEMENT LE POTENTIEL DE VOTRE ENTREPRISE, JUSQU OÙ IRIEZ-VOUS? Vous savez OÙ, Nous savons COMMENT! Demandez à vos employés, cadres, managers
Plus en détailLe CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique
Le CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique Sébastien Pasquet, Responsable de missions Le CRM (Customer Relationship Management) s est développé depuis 10 ans essentiellement par l intégration
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailAnnexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF
Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif
Plus en détailLA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT
LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT 1 - AVANTAGES DE LA GMAO ACCEDER POUR ENSEIGNER 2 - GENERALITES POUR L EXPLOITATION EN BAC PRO ET BTS 3 LA GMAO ET LE NOUVEAU REFERENTIEL BTS 2014 MAINTENANCE
Plus en détailcoaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur
coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des
Plus en détailIAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.
sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr
Plus en détailIntroduction. Enjeux de l intégration
Introduction «L intégration est cruciale pour L Oréal. C est elle qui permet d assurer la relève et de faire face aux défis de la mondialisation en accueillant la diversité des talents dont nous avons
Plus en détailSommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ...
d e n t a i r e e t m é d i c a l d e n t a i r e e t m é d i c a l Sommaire 4 5 6 7 8 9... PRESENTATION... AGENCEMENT... CLOISONS - PORTES 10 11... ECLAIRAGE - DÉCORATION 12 13... REVÊTEMENT 14 15...
Plus en détailPréambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2
Charte professionnelle visant à organiser et assurer l hygiène et la sécurité des salariés en situation de coactivité pendant les opérations de montage et de démontage des manifestations commerciales Préambule....
Plus en détailSTRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI
STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI NOTRE EXPERTISE Dans un environnement complexe et exigeant, Beijaflore accompagne les DSI dans le pilotage et la transformation de la fonction SI afin
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailL évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement
L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel
Plus en détailLES USAGES DES TECHNOLOGIES NUMERIQUES : DES EXPERIENCES INTERACTIVES EN CONTEXTE MUSEAL
LES USAGES DES TECHNOLOGIES NUMERIQUES : DES EXPERIENCES INTERACTIVES EN CONTEXTE MUSEAL Plaine Commune, déjeuner de la technologie - 13 décembre 2011 Geneviève Vidal, LabSic Université Paris 13 Nathalie
Plus en détailMARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,
MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis
Plus en détailStress et Management Droits et devoirs du manager. Inter- Entreprises
Management motivationnel Stress et Management Droits et devoirs du manager CATALOGUE Formations Inter- Entreprises Cabinet de Conseil et de Formation en Motivation et Développement de la Performance CRECI
Plus en détailRéalisation et conception des stands pilotés par Advancity au salon Pollutec Lyon 2 au 5 décembre 2014. Cahier des charges techniques.
Réalisation et conception des stands pilotés par Advancity au salon Pollutec Lyon 2 au 5 décembre 2014 Cahier des charges techniques Consultation CONTACTS Jean-Noël GUERRE Responsable salon Pollutec 01
Plus en détailDigital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014
Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte
Plus en détailDifférent et Compétent en Bretagne
Journée régionale du CREAI Formation des personnels des ESAT 4 Mars 2008 Mur de Bretagne Différent et Compétent en Bretagne La Reconnaissance des Compétences et la Construction de Parcours Intervenant
Plus en détailProtégez-vous des risques à l origine des troubles musculo squelettiques (TMS) Information prévention. Vous êtes plombier chauffagiste
Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes plombier chauffagiste Vous ressentez une gène, une douleur, une raideur ou une perte de force de vos bras ; vous avez mal au dos C est
Plus en détailCOMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD
Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de
Plus en détailCARTOGRAPHIE DE L EMPLOI SUR LINKEDIN EN FRANCE
ANALYSE LINKEDIN / ODOXA CARTOGRAPHIE DE L EMPLOI SUR LINKEDIN EN FRANCE Principaux enseignements L analyse proposée par Odoxa avec LinkedIn sur l emploi à partir de données chiffrées portant sur l ensemble
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailLA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE
1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème
Plus en détailLa gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions?
La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? Mireille HUGUET Chargée de Mission RH Seniors Présentation Mireille HUGUET Consultante RH et Bilan de compétences Chargée de Mission
Plus en détailLa démarche lean dans le secteur public : conditions de mise en oeuvre et résultats potentiels
La démarche lean dans le secteur public : conditions de mise en oeuvre et résultats potentiels Mercredi de L INET Mercredi 28 mars 2012 CONFIDENTIEL ET PROPRIETAIRE Toute utilisation de ce matériel sans
Plus en détailGénie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5
Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la
Plus en détailComment rénover efficacement son parc immobilier?
Comment rénover efficacement son parc immobilier? Quel est l état énergétique de mon parc immobilier? Quels indicateurs actuels et futurs à prendre en compte? Quels objectifs de performance viser et à
Plus en détailGuide pour aider à l évaluation des actions de formation
Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l
Plus en détailAnimer une association
FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi
Plus en détailPour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie
Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013
Plus en détailLa plateforme IRM. La maitrise des risques. L accès à la plateforme
Plateforme IRM La plateforme IRM Une vue 360 sur l activité Le management proactif La maitrise des risques La valorisation de l impact social Les caractéristiques techniques Le processus intégral de traitement
Plus en détailETUDES MARKETING ET OPINION CROSS-
Novembre 2013 PROJET M1 COLLECTIF ETUDES MARKETING ET OPINION CROSS- CULTURELLES EXEMPLE D UNE ETUDE CROSS-CULTURELLE SUR LE THE RESUME DU MEMOIRE TROPHEE SYNTEC 2013 Catégorie : Master 1 collectif Participantes
Plus en détailTROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)
Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,
Plus en détailProjet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE
Projet : Ecole Compétences Entreprise SECTEUR 7 ECONOMIE ORIENTATION D' ETUDES : TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Outils pédagogiques construits selon l approche FORMATION EN COURS DE par les compétences
Plus en détail