Comité Central d Entreprise

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1 PVA N 25/12-13 Comité Central d Entreprise MARDI 10 ET MERCREDI 11 DECEMBRE 2013 Procès-Verbal Direction :, Bruno CAVACIUTI, Françoise CURNIER, Sibylle QUÉRÉ-BECKER Intervenants : Frédérique BOUVIER, Hélène LECOCQ, Bruno PEDOTTI, Nadège HENRY, Jean-Loup BONVIN, Sylvain LHOMME, Olivier BLONDIN, Jean-François GARIN, Rémy GOARDON, Renaud ARZEL, Julien GROSJEAN, Philippe EMERY, Chantal LANDREAU, Eric BLANC-CHAUDIER Marjorie RULAND, David DUPUY, Timothée HORNUS (Cabinet Syndex) Présents : Membres du CCE et Représentants Syndicaux (voir page suivante) 1

2 PVA N 25/12-13 Membres titulaires ou remplaçants Présent Présent Le Le ANDRE Philippe X X BARATAY Roberte - - BARBIER Alain X X BEYK Lila PONCE Denis (remplace BEYK Lila) X X BOGAERT Alain X X BOSC Bernard X X BOUSSEL Jean X X CASCINO-LEFEVRE Pierrette X - CHEVANDIER Yves - - DAVID Eric X X DEBRIL Sylvaine - - DE WINTER Gérard X X FONTAINE Véronique X X CHARI-HAESTESKO Katia (remplace GARCINI François) GARCINI François X X GAYOT Thierry - - GENSSE Philippe X - ZOUARI Brigitte (remplace GOIN Catherine) GOIN Catherine X - ISENBRANDT Sébastien X X STELART Janusz (remplace JOLLY Alain) JOLLY Alain X X OLIVATE Yolain (remplace LAUBE Nadia) X X HARDY Sylvaine (remplace LE BELLER Yann) X X GESCHWINDERMANN Alain remplace LEFEBVRE Geneviève) X X LEGRAND Philippe X X LIESENBORGHS Marc X X LOURME Martine X X MARTIN Jean-Claude - - SOUHARD Frédéric (remplace MONLEON Catherine) X X NOGRE Christophe X X ODORICO Corinne - - PATENOTTE Gérard X X POTIER Frédéric X X ROCHE Sabrina X X ROSA Laurence X X SCHUMACHER Giulia X X SUGIER André Pierre - - SURBLED Philippe X X CRUSBERG Eric (remplace Christophe TAUDIN) X X JACQUES Eric (remplace VIGNAUD Daniel) X X Représentants syndicaux auprès du Comité Central d Entreprise Représentants Syndicaux Présent le Présent le CFDT : VANOVERSCHELDE Eddy VANOVERSCHELDE Eddy CFE-CGC : MOTTIER Joël - CGT : TAARABIT Abdallah TAARABIT Abdallah Cgt-FO LUTECETTE-CBLANC Catherine LUTECETTE-BLANC Catherine UDPA/UNSA BOULLY Xavier - 2

3 ORDRE DU JOUR Comité Central d Entreprise... 1 Mardi 10 et mercredi 11 décembre Procès-Verbal... 1 Ordre du jour... 3 I. Examen des comptes AXA France 2012 (suite)... 4 I.1. Compte rendu de la Commission Economique du CCE du 4 décembre 2013 concernant le volet social 5 I.2. Présentation du rapport de l expert-comptable du CCE (volet social)... 5 II. Information en vue de la consultation sur le projet d achat d un service informatique de gestion administrative et de paie III. Point sur l évolution du Service aux Clients AXA Epargne et Protection activité issue des PFAC Activité transfert de portefeuille IV Contribution sur les salaires au titre de l effort de construction / Action Logement (ex-1 % logement) Compte rendu de la réunion de la Commission Logement du CCE du 14 novembre Information / Consultation sur le projet d affectation de la contribution sur les salaires au titre de l effort de construction V. Information / Consultation sur les projets d accord concernant : La filière «Expertise S» en Protection Sociale (Santé, Prévoyance, Retraite réglementée, Assurances Collectives) et abondements de rémunération Le dispositif en faveur du «conseiller indicateur en banque» au sein du réseau AEP (salariés commerciaux AEP «non habilités» au sens de la loi du 22/10/2010) VI. Compte rendu de la réunion de la Commission Produits du CCE du 27 novembre VII. Information / Consultation sur le projet de prise de participation dans la société ABT en vue de la mise en œuvre de la norme EDICourtage IX. Point sur la mise en œuvre du projet SEPA (espace unique de paiement en euro) dans AXA France VIII. Apprentissage et Alternance VIII.1 Compte rendu de la réunion de la Commission Emploi Formation du CCE du 7 novembre VIII.2 Information / Consultation sur les objectifs en matière d apprentissage et les conditions de formation en matière d alternance X. Questions diverses

4 La séance est ouverte à 9 heures 40. A la demande de la Secrétaire nous respecterons, en préambule, une minute de silence en l honneur de Nelson Mandela. Il est procédé à une minute de silence en l honneur de Nelson Mandela. Eddy VANOVERSCHELDE (CFDT) La CFDT rejette le retrait des activités d AXA en Roumanie alors que des activités d AXA France vont y être bientôt réalisées. La CFDT interroge également la Direction sur le «flexwork» opéré sur les Terrasses et l achat de la licence Lync. Xavier BOULLY (UDPA-UNSA) Nous apprenons la présentation au CHSCT des Terrasses du «flexwork». Pour l UDPA-UNSA, il s agirait de dépersonnaliser les postes de travail. Nous demandons une présentation en CCE. Nous souhaiterions également attirer l attention de la Direction sur Esprit de Service. 17 plans d action ont déjà été définis. Nous vous demandons un point d étape sur ce chantier. Lync constitue un outil de communication dont l utilisation ne présente aucun caractère obligatoire. Nous pouvons réaliser une petite présentation si vous le souhaitez. L espace dynamique de travail a été présenté en CE et CHSCT. Il s agit d un aménagement de bureau en fonction de l activité des collaborateurs. Il n a rien à voir avec le «flexwork» présenté en CEG. Sur la Roumanie, je prends acte et ne ferai pas de commentaire. Eddy VANOVERSCHELDE (CFDT) Nous contestons vos propos. Ce qui s installe n est pas conforme avec ce que l on appelle le «flexwork». Giulia SCHUMACHER (UDPA-UNSA) Nous partageons cette position. Nous pensons que cet exercice va s étendre à tous les services. Nous avons besoin d une présentation. Nous attendons également un échange en CCE sur le «flexwork». Je vous propose d en reparler mais rappelle qu il s agit d un dispositif optionnel. Frédéric SOUHARD (CFDT) Dès lors que la Direction implémente l outil Lync sur les postes de travail, il est clair que certains de nos collègues vont être placés en difficulté. Cet outil structure nos conditions de travail. Le CCE doit à tout le moins être informé, en toute transparence. Nous réaliserons une présentation de l outil Lync en CCE. I. Examen des comptes AXA France 2012 (suite) Nous entamons le point sur la présentation de l expert-comptable sur les comptes. 4

5 I.1. Compte rendu de la Commission Economique du CCE du 4 décembre 2013 concernant le volet social Bernard BOSC (Président de la Commission Economique du CCE) Nous nous sommes réunis le 4 décembre. Nous avons examiné et échangé sur le document qui vous a été envoyé. Nous avons examiné les enjeux de l accord GPEC avec le rappel de l état de l emploi au 31 décembre Nous avons effectué un zoom sur les délocalisations d emplois, les prestataires d AXA France, l organisation des activités en France, le plan de réduction des coûts, les coûts d intermédiation et AXA Epargne Protection ainsi que sur le marché de la prévoyance et les conséquences de l ANI sur l emploi. I.2. Présentation du rapport de l expert-comptable du CCE (volet social) Marjorie RULAND, Syndex Je tenais à rappeler le caractère confidentiel des informations que nous communiquons. Nous avons bénéficié d un accès encore plus ouvert aux informations et reçu des réponses à toutes les questions que nous avons posées. Je tenais également à remercier toutes les personnes que nous avons rencontrées pour notre analyse. David DUPUY, Syndex Un bilan d étape de l accord GPEC nous avait été demandé. Sur le périmètre AXA France, l emploi global tourne autour de contrats, essentiellement des CDI en activité, en diminution assez sensible par rapport à l exercice précédent, suivant une tendance amorcée depuis 2009 sur les personnels administratifs et commerciaux. Nous pouvons noter une diminution forte de l emploi non cadre. Toujours dans cette tendance, les effectifs passent de à contrats en classe 1 à 3 entre 2006 et A l inverse, les classes 5 à 7 connaissent une croissance. Les emplois EB et EI tendent à baisser. La transformation des métiers se révèle assez nette. Fin 2006, les non cadres PA représentaient 38 % de l effectif d AXA France. Ils n en représentent plus que 26 %. La féminisation, en revanche, reste bonne, dans un contexte de réduction globale de l emploi. Le taux de féminisation augmente, même si de nombreux progrès restent à faire. Le bilan social a distingué les catégories d emploi qui affichent une croissance en volume entre 2006 et 2012 et celles qui, sur la même période, ont diminué. Nous ne notons pas d inflexion de tendance en la matière. Les familles gestion des contrats, comptabilité, secrétariat, gestion des actifs connaissent une diminution importante alors que les systèmes d information affichent une croissance forte, en lien avec les enjeux d AXA France et la politique de ré-internalisation des compétences sur le web. A fin 2012, AXA France se révèle, pour le personnel administratif, très largement francilien. Nanterre représente 40 % de l emploi et même deux tiers des emplois sur l ensemble de la région. La province, elle, ne représente qu un tiers de l emploi au sein d AXA France. En province, les proportions n évoluent pas. 13 sites comptent plus de 100 personnes. Tous les sites sont touchés par des diminutions d effectif. Bordeaux constitue un site déjà significatif avec 400 personnels administratifs fin Le projet Cap Bordeaux le ferait passer au rang de premier site régional d AXA en France. A fin mai, emplois sont délocalisés au Maroc. Pour AXA France, ces emplois délocalisés sont en augmentation à 969 ETP à fin mai. Les emplois délocalisés au Maroc, en Inde et en Roumanie ainsi qu à l Ile Maurice représentent plus de personnes. Nicolas Moreau a déclaré lors du dernier Comité de groupe que l essentiel des délocalisations était passé. L objectif de emplois délocalisé est maintenu mais les économies ont été engrangées. Sur les activités délocalisées, la moitié représente des emplois règlement IARD Particulier/Professionnel. Depuis 2013, le projet de délocalisation des règlements IARD Entreprises produit ses effets avec 31 ETP délocalisés. Certaines activités restent en revanche stables ou décroissent à l offshore comme le Web AXA, le télémarketing ou la santé. Les volumes d emplois délocalisés stagnent depuis deux ans. Le besoin d emploi d AXA France est resté assez stable sur une période de cinq ans mais nous pouvons noter une transformation du type de population, changeant les proportions du 5

6 recours à l emploi. Les CDI France, qui représentaient plus de 90 % des besoins, n en représentent plus que 85 %. A fin 2012, avec l emploi en Inde, on atteint l objectif des 10 % de volume d emploi délocalisé pour AXA France. La moitié de l activité exercée au Maroc concerne les règlements IARD. Jusqu en 2010, le périmètre de délocalisation était limité au CSE. Il s est ensuite élargi, faisant chuter le taux de délocalisation. Pour autant, la croissance a repris puisque l emploi au Maroc représente 29 % de besoins en ETP à mai Une centaine d emplois sont délocalisés par an. Cette démarche s opère en lien avec les départs naturels, à l image d une restructuration «soft». Un départ en France entraîne la création d un emploi au Maroc. Pour les règlements IARD, la délocalisation offre également une certaine flexibilité horaire et permet de répondre aux besoins croissants des clients. Le Maroc répond ainsi à une exigence de coût et de service. Pour la santé, les volumes restent beaucoup plus faibles. Le besoin s élève à 150 ETP et le Maroc compte aujourd hui plus d emplois qu en France sur le sujet. Il assure plus de 55 % de l activité santé et la tendance va se poursuivre. Sur l épargne, la tendance est similaire même si les départs en France s opèrent moins rapidement. Sur 2013, les besoins ont augmenté, passant de 478 à 517 ETP sur AXA France. L emploi en France est stable. C est le Maroc qui a absorbé la croissance d activité. 36 % des emplois sont délocalisés en ce domaine. Sur le web AXA et le télémarketing, le volume d emploi stagne depuis quatre ans à des niveaux faibles, moins de 40 ETP pour le Web AXA et moins de 30 ETP pour le télémarketing. L accord GPEC AXA France s intègre dans un cadre RSG signé le 28 décembre 2012 et comporte un engagement de recruter entre 800 et salariés externes sur l ensemble du périmètre. Il a été complété par l accord sur le contrat de génération qui est venu préciser l accord initial en indiquant qu il y avait un volant de recrutements de 700 jeunes de moins de 26 ans. AXA France représente 60 % du périmètre RSG de salariés. La DRH n assure pas un pilotage central des effectifs au niveau France. Chaque entité analyse ses besoins d emploi. L accord GPEC AXA France présente une grande importance pour le Groupe puisqu il concerne trois salariés sur cinq en France. Il réaffirme sa volonté de développer l employabilité des salariés pour les accompagner jusqu au terme de leur vie professionnelle au sein des bassins d emploi et son engagement de ne fermer aucun site en province à horizon A l engagement de recrutement de 700 à 900 recrutements s ajoute le projet de recruter 120 jeunes de moins de 26 ans au titre du contrat de génération. En contrepartie de cette garantie individuelle d emploi, AXA France promet à chaque salarié de lui garantir un emploi dans son bassin d emploi à la condition de la mise en œuvre d une délocalisation massive d emplois vers des pays à bas coûts et le remplacement d un départ sur deux en France. Depuis deux ans, la politique du nearshoring s est accélérée et les emplois sur le périmètre d AXA France vont continuer de diminuer. L accord GPEC vient traduire les enjeux stratégiques «Ambition AXA» présentés en CCE les 13 et 14 septembre 2011 dont il conserve le cadrage stratégique avec des gains de productivité en France et des recrutements au Maroc. Pour la période , le nombre de départs est fondé sur des hypothèses. Sur les cinq dernières années, les évolutions des systèmes de retraite en France ont entraîné des décalages ou des accélérations. Ces hypothèses de départ reposent sur des statistiques présentant une valeur certaine au niveau consolidé d AXA France. Sur des services particuliers, tout dépend des histoires de vie des salariés. Les départs varient ainsi du simple au double (800 à 1 600). S agissant des métiers, l accord cite cinq familles professionnelles sur lesquelles les besoins en recrutement pourraient rester forts : la vente, la souscription, les règlements techniques, le pilotage et l informatique. Les métiers non cités, a contrario, ne seront pas fortement recruteurs. AXA France a pour objectif de recruter en priorité sur ces métiers. Au-delà, l accord prévoit de recruter des profils experts et de cibler des compétences insuffisamment présentes, renforçant la tendance l augmentation de la population des cadres. L essentiel des départs vont concerner le support gestion alors qu en produits-marketing, les départs devraient rester faibles. J attirerai votre attention sur la prestation santé individuelle : en trois ans, la moitié de l effectif peut potentiellement partir. 6

7 Marjorie RULAND, Syndex L ANI devrait avoir pour conséquence la transformation de près de 40 % des contrats individuels santé en contrats collectifs santé. Cette évolution affectera principalement les salariés marocains mais fait également naître le risque de voir ces contrats échapper à AXA par l effet d accords de branche signés avec d autres assureurs. La gestion des contrats collectifs est assurée par la Sogarep, l Ugips ou les courtiers. Les pertes de contrats importants toucheront donc principalement le nearshoring. La portabilité complexifiera également la gestion puisque les contrats des salariés quittant l entreprise devront être financés par les actifs et que nous devrons surveiller si ces personnes ont pu s assurer ailleurs. Nous avons compris que la couverture individuelle des salariés en gestion serait opérée par l Ugips. Le salarié sera, pour la partie facultative, en relation avec l assureur ou le gestionnaire qui a amené le contrat. David DUPUY, Syndex Les métiers ont évolué en dehors de toute vision d organisation d AXA France conformément à l esprit de l accord, qui se veut indépendant des variations d organisation. Les métiers IARD Production devraient se révéler fortement recruteurs. La famille des règlements IARD est très touchée par les délocalisations avec 600 ETP transférés au Maroc. La comptabilité, l administration du personnel et la paie pourraient être aussi touchées par les évolutions d emploi et les enjeux de réorganisation. Dans le secteur logistique, près de 80 personnes pourraient quitter l Entreprise, ouvrant des opportunités de restructuration. Pour certains métiers, comme la comptabilité, les départs favorisent la volonté du Groupe AXA de délocaliser ces métiers vers l Inde. Cette famille est très touchée par les départs. L Indexation reste une filière pensée pour permettre des redéploiements de population. A l inverse, les métiers du pilotage devraient se développer, hormis sur la finance compte tenu des projets du Groupe. Ces populations sont faiblement touchées par les départs et connaissent des besoins d emploi importants. Globalement, sur les trois prochaines années, AXA France devrait connaître des départs en retraite importants. Ces évolutions permettent au Groupe de réfléchir à des réorganisations en utilisant pour principal levier le non remplacement en France et les transferts d emploi au Maroc et en Inde. Les familles de métier vont connaître des trajectoires très différentes, certaines devant faire face à des évolutions significatives. AXA a développé des dispositifs assez novateurs, à l image de Ressource+, qui ont fait leur preuve. En province, le dossier Cap Bordeaux est en cours. Nous ne disposons pas d informations précises sur le sujet mais pensons qu il influera forcément sur les organisations, les conditions de travail et les locaux dans les deux ans à venir. Vous souhaitiez connaître les entités prestataires. Les principaux sont AXA France Support et AXA France Services. Les prestataires se révèlent néanmoins nombreux sur le périmètre du Groupe. Un pôle gestion/courtage émerge aux bornes d AXA France. Il recouvre aujourd hui près de 900 emplois, en lien avec les emplois perdus chez AXA France. Parmi les entités prestataires Groupe figurent AXA Services Maroc, AXA Business Solutions en Inde et AXA Customer Services à l Ile Maurice sur le télémarketing. A ce jour, AXA France n y a pas recours. Au-dessus émergent des structures qui travaillent pour AXA France et d autres sociétés dans le monde comme le GIE AXA ou AXA Global Life & Savings. Depuis plusieurs années émergent des Business Units globales pour des activités auparavant spécifiques comme la gestion d actif ou l assistance. Ces entités globales vont prester pour l ensemble des entités nationales. Ce phénomène pourrait se développer et même s accélérer. Sur le périmètre d AXA France, certaines activités possèdent un statut quasiment international comme Creditor et pourraient, à terme, acquérir leur autonomie. Nous pourrions également ajouter Maxis, le projet en Roumanie, qui pourrait devenir un prestataire direct d AXA France. Marjorie RULAND, Syndex AXA France Supports compte cinq directions regroupées en trois thématiques : l exploitation des sites, la gestion des relations avec les clients et la gestion des documents et services aux commerciaux. L effectif est à à 40 % de prestataires. Le courrier et l indexation font partie des 7

8 métiers stagnants au sens de la GPEC mais la courbe des départs reste lente. AXA pourrait donc souhaiter maintenir ce métier au sein d AXA France. Au contraire de ses concurrents, AXA conserve trois lieux d archivage au lieu de les délocaliser, notamment pour des motifs de capillarité entre les outils informatiques d envoi et de réception des archives, outils propres à AXA. Pour la numérisation, en revanche, vous vous êtes adossés à des spécialistes du métier. David DUPUY, Syndex AXA France Services affiche une croissance significative en termes de volume d emploi. Le site de Lille comptait déjà 41 CDI en activité à fin 2011 et a connu une croissance globale de 5 %. Sur la famille de métier systèmes d information, la croissance s élève à 19 % sur le périmètre. A l inverse, les autres familles ont connu des décroissances. La croissance de Lille a été privilégiée au «détriment» de l Ile-de-France, dans un contexte de tension mais dans une volonté de réinternalisation de ressources jusqu à 48 %. Ce mouvement fait naître un besoin de montée en compétence. Les taux d internalisation diffèrent suivant le niveau stratégique des projets. Nous pensons qu AXA France Services devraient afficher une croissance d effectif mais qu elle atteindra un point haut. Globalement, il ne faut pas s attendre à une croissance autre que raisonnable. En outre, la population est touchée par le digital et se trouve au cœur des enjeux. Timothée HORNUS, Syndex Nous avons souhaité resituer le plan de réduction de coûts dans le contexte d AXA France au sein du Groupe en reprenant la déclination d Ambition AXA. Nous avons détecté dans les objectifs n 4 et 5 les éléments qui sous-tendent les décisions prises dans le cadre du plan de réduction des coûts. Fin 2011 vous ont été présentés des objectifs chiffrés : une baisse des frais généraux de 2 % par an, une baisse de 4 points du taux de chargement des primes IARD et une baisse de 20 à 25 points de base des provisions mathématiques en Vie. Au 1 er semestre 2011, AXA France crée une 6 ème entité de pilotage, la Direction des missions transversales, qui compte notamment la mission compétitivité et maîtrise des coûts. Fin 2012, la Direction des missions transversales a éclaté à la faveur de la création de la direction Marketing, Services et Digital. La mission compétitivité rend compte au Comité exécutif. Elle avait pour mission de faire participer toutes les directions et services d AXA France à l ambition de réduction des coûts. Un comité de suivi et de pilotage mensuel suit l avancement du chantier. L objectif affiché consiste en une économie de 500 millions d euros de frais généraux à horizon fin L estimation des coûts était fondée sur des hypothèses de croissance d activité, d inflation, d indexation et d augmentation de la TVA et de croissance/réduction d effectif. Chaque direction et service d AXA France est devenu l objet d un chantier de réduction des coûts. La mission compétitivité apporte une méthode pour piloter les coûts, chiffre et consolide toutes les initiatives pour réaliser le suivi du plan. Chaque chantier suppose plusieurs étapes : un détail de l activité par une cartographie du périmètre pour en maîtriser les process et l organisation ; une vérification de l activité de tous les leviers de la performance ; la mise en place d une équipe de pilotage chargée de suivre les actions menées et de les mesurer au moyen d indicateurs, d animer les effets d évolution, d identifier les points de blocage ou de progrès et de mesurer la performance individuelle et collective ; le suivi de la mise en œuvre des plans d actions. Parmi les leviers identifiés, AXA Way 2.0, les réductions de personnel, l industrialisation et la standardisation des process représentent près de 60 % des économies du plan. L IT, les achats externes représentent respectivement 15 et 11 %. Le rythme d économie sur les frais généraux d AXA France se révèle supérieur à celui prévu dans le plan. 8

9 Marjorie RULAND, Syndex Chez les agents généraux, le commissionnement a progressé de 2 % en lien avec les commissions versées sur les contrats IARD et l intéressement qui se redresse. Sur , l intéressement a contribué négativement au commissionnement car les tempêtes Klaus et Xynthia avaient dégradé les équilibres techniques. Le retour à l équilibre a entraîné une contribution positive. Les deux tiers de la rémunération sont assis sur l auto et l IARD. Pour le réseau salarié, une forme d amortissement se produit qui permet de maintenir le niveau de commissionnement. Les taux de commissionnement des agents généraux restent idoines. S agissant du plan d économie sur les ventes et le marketing, 53 % des 71 millions d euros d économies sont le fruit des efforts du réseau AEP. Ces économies constituent autant de salariés qui ne seront pas recrutés, avec une augmentation de productivité par l optimisation des outils, une meilleure rétention des salariés et une meilleure gestion des portefeuilles. 9,6 millions d euros d économies ont d ores et déjà été réalisés. La santé individuelle et collective représente 4,7 % du résultat d AXA France. Pour la santé collective, les acceptations des Institutions de Prévoyance (IP) représentent 52 et 36 % de la santé collective en distribution. Eddy VANOVERSCHELDE (CFDT) Merci pour votre exposé et les travaux préliminaires, toujours très didactiques. La CFDT rappelle avoir obtenu le maintien de tous les sites jusqu en Nous confirmons notre revendication du maintien de la diversité des métiers sur tous les sites. Nous vous rappelons également notre demande d ouverture de négociations sur les conditions d emploi pour Cap Bordeaux. Daniel CRUSBERG (FO) Je tiens à remercier le cabinet Syndex pour son excellent travail qui dresse malheureusement une fois de plus un constat accablant sur la politique de l emploi dans le Groupe et surtout chez AXA France emplois ont été supprimés en France, 969 emplois ont été délocalisés avec l objectif de d ici Qui peut croire que ces délocalisations prendront fin en 2015 au vu des objectifs du Groupe et des déclarations d Henri de Castries. Ces évolutions seraient-elles possibles si certaines organisations n avaient pas lié leur sort à cette politique en signant des accords GPEC? Pouvons-nous accepter ce chantage à l emploi et ces délocalisations qui font de l emploi la seule variable d ajustement? Nous ne pouvons l accepter. Depuis 2002, le Groupe a réalisé plus de 38 milliards d euros de bénéfices mais les prévisions ne sont pas de nature à nous rassurer. L étude réalisée par Accenture sur la stratégie gagnante pour les assureurs d ici 2020 estimait que les compagnies d assurance françaises ont connu les dix glorieuses entre 2000 et 2010 mais que la croissance et la rentabilité futures n atteindront pas le même niveau dans la prochaine décennie. Cette étude propose quatre scénarios qui arrivent aux mêmes conclusions : la poursuite des délocalisations, des baisses de coûts et des économies massives de 20 % sur la partie gestion. Nous ne partageons pas cette perspective. Nous y opposons nos revendications : le maintien de l emploi sur tous les sites existants et le remplacement de tous les départs. Brigitte ZOUARI (CGT) Les embauches n augmentent pas. La tendance d augmentation de l encadrement n est-elle pas liée à la progression des classifications plutôt qu aux recrutements? Sur le contrat de génération, nous pouvons constater que le volume d emploi ne sera pas dédié à AXA France mais aux sociétés qui pourraient connaître une croissance d emploi en lien avec l ANI. Pouvez-vous le confirmer? Que deviennent tous les salariés qui se sont inscrits dans le TAR et ont eu la mauvaise surprise de voir leur temps de travail allongé de 6 à 8 mois par la caisse de retraite alors que le dispositif n est pas extensible? Comment continuer de recruter alors que les salariés présents ne partiront pas? Nous rejetons la ré-internalisation des fonctions informatiques : vous embauchez de nouveaux profils mais l informatique au sens pur a définitivement perdu des emplois, délocalisés en Inde. Sur la création des nouvelles entités et des business units, nous savons aujourd hui qu une petite entité reste une entité fragile qui, si elle ne rapporte pas 9

10 suffisamment, peut être vendue, devenir une entreprise à part et sortir du Groupe. L emploi est ainsi coupé, modifié, transformé. Henri de Castries ne cesse de répéter qu une entreprise non rentable constitue une entreprise vendable. Pourquoi vous engagez-vous dans cette construction alors que nous travaillons sur les mêmes métiers? Sébastien ISENBRANDT (CFDT) Délocalisation versus «nearshoring» versus emploi et chômage en France. Quelle est la position de la Direction sur le sujet? Dans les mois récents, les économies ont été principalement réalisées sur le nearshoring. Quelles sont vos ambitions en la matière? Aujourd hui, le CCE reste très peu informé sur les entités comme l Ugips ou la Sogarep qui embauchent fortement alors que les services des sites AXA affichent une décroissance. A cela s ajoutent l ANI et le transfert de l individuel vers le collectif. Quelle sera la variable d ajustement sur le sujet : le Maroc, l Ugips ou les salariés en France? Le web AXA ne fonctionne pas puisque les effectifs au Maroc se révèlent en chute libre. Quelle est votre stratégie sur ce sujet? Sur la construction, les résultats vont se dégrader. Comment gérez-vous la situation? S agissant des entités transversales, j ai l impression que s opère un changement de modèle chez AXA. Les BU avaient disparu au profit d entités opérationnelles. Elles reviennent aujourd hui avec une vocation transnationale. Nous souhaiterions de plus amples informations. Abdallah TAARABIT (CGT) La diminution des commissionnements pour le réseau AEP et notamment la diminution des UP pourrait s avérer encore plus importante si le réseau ne s était pas réorienté vers la prévoyance et la santé. Les conséquences ave l ANI ne pourraient-elles pas se révéler encore plus graves? Vous avez soutenu à juste titre que 55 % du travail en santé individuelle est effectué au Maroc. Avec la généralisation de la complémentaire maladie l an prochain, comment allez-vous gérer l incidence de l ANI sur la gestion de la santé au Maroc? Brigitte ZOUARI (CGT) L ANI va privilégier les contrats collectifs au détriment des contrats de santé individuelle. Si un problème survenait au Maroc, avez-vous prévu un «plan B» pour reprendre l activité? Joël MOTTIER (CFE-CGC) Nous revendiquons la GPEC qui constitue le meilleur moyen d appréhender l évolution des métiers. Pour autant, nous n approuvons pas toutes les actions de l Entreprise. Nous sommes satisfaits de la qualité du rapport et de son niveau de détail qui offre une vue panoramique plus intéressante. Philippe SURBLED (CFE-CGC) Nous constatons que l emploi au Maroc a augmenté et qu il prend une part importante dans la santé. La production restera-t-elle à terme en France? Nous demandons que le réseau AEP reste présent sur les contrats collectifs et c est l enjeu de l ANI. Sur la baisse du commissionnement, nous ne connaissions pas ces chiffres. Nous avons bien noté que le plan d économie avait atteint voire dépassé ses objectifs, ce qui nous rassure pour les années Philippe GENSSE (FO) Les effectifs de la famille gestion des actifs ont baissé de 18 % sur un exercice. Quelles en sont les raisons? Au regard du projet global de délocaliser emplois d ici 2015, il reste un peu plus de 500 emplois à délocaliser. Lesquels? La prévoyance sera-t-elle touchée? Entre 2006 et 2012, nous constatons une augmentation du recours aux CDD de 52 %. Des CDD recrutés en 2006 se trouvent-ils toujours en CDD aujourd hui? Vous faites référence à un volant de recrutement compris entre 700 et 900 personnes. Incluez-vous les mobilités internes? Vous faites référence à 126 recrutements au titre du contrat de génération. Nous ne comprenons pas ce chiffre. Pourriezvous expliquer comment s opérera la réduction du taux de chargement.? Quels sont les objectifs 10

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