RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO MINISTÈRE DE LA SANTÉ

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1 RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO MINISTÈRE DE LA SANTÉ Politique nationale en matière de Surveillance Epidémiologique Intégrée en République Démocratique du Congo Mars 2002

2 2 AVANT PROPOS 1. En République Démocratique du Congo comme d autres pays d Afrique, les maladies transmissibles sont les causes les plus fréquentes de morbidité, mortalité et invalidité. Elles constituent une menace importante pour le bien-être des populations. 2. La mise en place d un système opérationnel de surveillance épidémiologique de la maladie s avère nécessaire pour la détection précoce des épidémies en vue d une riposte rapide, la planification rationnelle, la mobilisation, l allocation des ressources et l évaluation des programmes de prévention et de lutte contre la maladie. Le dysfonctionnement qu accuse actuellement notre système de surveillance ne permet pas d atteindre les objectifs cités plus haut. L élaboration d une politique nationale de surveillance s impose. PREAMBULE 3. La 46 ème session du Comité Régional de l OMS pour l Afrique a insisté sur le renforcement de la prévention et de la lutte contre les épidémies par l amélioration de la surveillance épidémiologique au niveau de chaque Zone de Santé. 4. Afin de détecter précocement les phénomènes morbides et intervenir efficacement et à temps contre les maladies transmissibles, la résolution AFR/RC48/R2 du 48 ème Comité Régional de l OMS-AFRO recommande aux Etats Membres la stratégie régionale de surveillance intégrée (IDS), qui vise

3 3 une coordination effective de toutes les activités de surveillance et l intégration d outils, d activités de formation, suivi et évaluation, et de ressources. 5. La surveillance épidémiologique est le processus continu et systématique de collecte, de compilation et d analyse des données, ainsi que leur diffusion à l ensemble de ceux qui ont besoin d être informés. Le bon fonctionnement du système de surveillance épidémiologique est lié étroitement à la rapidité du traitement des informations. Ces informations, une fois traitées, devront servir à la prise de mesures de prévention ou de contrôle de la maladie. La surveillance est donc une INFORMATION appelant une ACTION. 6. La stratégie de surveillance intégrée de la maladie (IDS) prévoit une utilisation rationnelle des ressources consacrées à la prévention et à la lutte contre les maladies. Elle renforce dans un premier temps, les systèmes de surveillance des maladies transmissibles, quitte à inclure graduellement les autres maladies et états de santé. Elle se fonde sur une approche coordonnée de collecte, d analyse, d interprétation des données et de diffusion de l information épidémiologique. Cette approche envisage l intégration des activités de surveillance à tous les niveaux et la coordination étroite de fonctions d appui à la surveillance au niveau de la zone de santé. Elle prévoit, au niveau central, la mise en place d une unité de surveillance chargée d assurer la gestion des données de surveillance, et de transmettre les informations recueillies

4 4 aux programmes de lutte contre les maladies transmissibles pour des analyses approfondies. 7. La surveillance intégrée établit un lien entre les différents niveaux de la pyramide sanitaire du pays : la Communauté, le Centre de Santé, le Bureau Central de la Zone de Santé, le District et Province sanitaire, et le Ministère de la Santé. ANALYSE DE LA SITUATION 8. L évaluation des systèmes de surveillance épidémiologique et de préparation et réponse aux épidémies en République Démocratique du Congo faite en avril 2000 par le Ministère de la Santé et ses partenaires a permis d identifier les problèmes prioritaires ci-après : a. retard dans la détection des épidémies dû à l insuffisance de la réalisation des activités de surveillance épidémiologique ; b. la riposte tardive due à l insuffisance de la préparation à la réponse aux épidémies à tous les niveaux de la pyramide sanitaire ; c. l insuffisance de moyens diagnostics due à la faible capacité des laboratoires à confirmer les cas. VISION 9. Le système de surveillance épidémiologique en RDC doit renseigner sur les tendances des maladies, leurs facteurs de risque, et permettre l action déjà au niveau local.

5 5 ENONCE DE LA POLITIQUE 10. La politique nationale de la République Démocratique du Congo en matière de la surveillance épidémiologique vise la réduction de la morbidité et de la mortalité des maladies transmissibles. Elle implique le renforcement des capacités pour les activités de surveillance et de laboratoire pour une détection précoce et une réponse rapide. OBJECTIF GÉNÉRAL 11. Réduire la morbidité et la mortalité dues aux maladies transmissibles. OBJECTIFS SPECIFIQUES 12. Détecter précocement les épidémies dues aux maladies transmissibles en moins de 14 jours. 13. Augmenter la capacité de riposte précoce (dans les 48 heures) aux épidémies. 14. Augmenter la capacité des laboratoires pour appuyer le système de surveillance épidémiologique. PRINCIPES DIRECTEURS 15. Le principe directeur de la surveillance est basé sur la collecte des données pour l action. Ces données sont une

6 6 propriété de la RDC, mais seront rendues disponibles à ceux qui ont besoin d être informés. 16. En RDC la surveillance doit répondre aux principes ciaprès : a. l utilité : les données récoltées doivent être nécessaires pour la prise de décisions ; b. la simplicité : elle se réfère à la facilité avec laquelle le système peut être appliqué ; c. la flexibilité : c est la capacité avec laquelle le système s adapte à l évolution des changements dans les besoins et activités d information ; d. l intégration : c est la coordination de toutes les activités de surveillance communes à tous les programmes de lutte contre la maladie ; e. la complétude des rapports : elle implique l envoi de rapports par tous les services concernés sur toutes les maladies devant faire l objet d une surveillance au niveau supérieur ; f. la promptitude : les données après être utilisées devront être réceptionnées au plus tard à la date limite fixée ; g. la sensibilité : l aptitude du système à détecter une maladie, une flambée, une épidémie ou d autres tendances de la maladie ; h. la spécificité : c est l aptitude du système à détecter seulement les cas recherchés et rien d autre ; i. la représentativité : c est l aptitude du système à avoir l information sur la distribution de la maladie/événement sur une période donnée en fonction des personnes et de lieu.

7 7 ORIENTATIONS STRATEGIQUES 17. L intégration : elle vise une combinaison des activités et des ressources dans un ensemble cohérent et de façon convergente en vue d améliorer l efficience en terme de coût et efficacité. Ceci implique l effectivité dans toutes les Zones de Santé et formations sanitaires d un paquet minimum d activités de surveillance. 18. La promotion de la participation communautaire : les communautés doivent être formées, encadrées et encouragées dans les activités de détection et riposte aux épidémies. 19. La coordination : La cellule technique de surveillance sera composée des services du Ministère de la Santé, les programmes spécialisés ainsi que tous les partenaires impliqués dans la lutte contre la maladie. Elle sera chargée de la gestion des informations épidémiologiques, de la planification, de la mise en oeuvre, du suivi, de l évaluation des activités de la surveillance, et de la mobilisation de ressources. 20. La mise en place des réseaux de communication efficaces dans les ZS, districts/provinces et niveau central pour une notification rapide des données. 21. Le renforcement des capacités des laboratoires du réseau national.

8 8 22. Le renforcement des capacités du personnel de santé en matière de surveillance. 23. La promotion de la recherche opérationnelle : dans l observation des aspects éthiques et les directives nationales en matière de surveillance, la recherche sera encouragée dans l identification des domaines de recherche et l émission des hypothèses. Les résultats seront exploités pour réviser et parfaire les programmes de lutte contre la maladie. 24. La préparation et la gestion des épidémies : «le comité de lutte» sera fonctionnel à tous les niveaux de la pyramide et les intrants seront pré positionnés pour une riposte rapide en cas de survenue d une épidémie. 25. Le partenariat : la collaboration et l appui de tous les partenaires acteurs dans la lutte contre la maladie à tous les niveaux de la pyramide sanitaire. Les partenaires participent aux activités de la task force et des cellules techniques de la surveillance et mobilisent et allouent les ressources aux fins de surveillance. 26. Le renforcement de capacité du personnel de santé. CADRE INSTITUTIONNEL La politique nationale en matière de surveillance sera exécutée à chaque niveau de la pyramide sanitaire :

9 9 27. La communauté : elle est chargée de : a. utiliser les définitions des cas simples pour identifier les phénomènes anormaux ; b. déclarer aux services les rumeurs sur la survenue des phénomènes anormaux ; c. appuyer les activités d investigation et de riposte ; d. mobiliser les ressources communautaires pour les activités de prise en charge des maladies. 28. Les établissements des soins (Centre de Santé, Centre de Santé de Référence, Hôpital Général de Référence et autres) sont chargés de : a. investiguer les rumeurs au niveau de la communauté ; b. utiliser les définitions des cas pour identifier les maladies ; c. enregistrer les données ; d. organiser les données sous forme de graphiques, tableaux et cartes ; e. analyser les données ; f. transmettre les données brutes et synthétisées au niveau hiérarchiquement supérieur ; g. détecter les phénomènes anormaux ; h. donner la 1 ère alerte en cas de changements des tendances ou de dépassement de seuil épidémique ; i. prendre en charge les cas, selon les fiches techniques ; j. participer aux enquêtes épidémiologiques ; k. participer aux activités de suivi et évaluation de la surveillance ; l. susciter la participation communautaire.

10 Le Bureau Central de la Zone de Santé : a la charge de : a. organiser une cellule technique de surveillance de la ZS ; b. vulgariser les définitions de cas auprès de la communauté ; c. collecter les données ; d. organiser les données sous forme de graphiques, tableaux et cartes ; e. analyser les données ; f. transmettre les données synthétisées au niveau hiérarchiquement supérieur ; g. analyser les données et les mettre à jour sur les graphiques, tableaux ou cartes ; h. détecter les phénomènes anormaux ; i. investiguer et confirmer l épidémie ; j. organiser la riposte ; k. notifier les épidémies aux autorités ; l. élaborer le plan de la ZS de surveillance et de lutte contre les épidémies et endémies ; m. appuyer le laboratoire de HGR dans la confirmation des cas ; n. constituer l équipe d intervention ; o. former le personnel des CS, HGR, et autres établissements des soins ; p. suivre les tendances ; q. superviser, suivre et évaluer les activités ; r. fournir les rétro-informations aux établissements des soins.

11 Le Bureau de l Inspection de District / Province : sous la tutelle du Médecin Inspecteur du District / de la Province, la 3 ème cellule du District / 4 ème bureau de la province, ont comme tâche : a. élaborer le plan de district/province de surveillance et de lutte contre les épidémies et endémies et les épidemies ; b. élaborer un plan de contingence pour la lutte contre les épidémies et endémies et les épidemies ; c. organiser une cellule technique de surveillance du district/province ; d. centraliser/enregistrer les données des ZS et les organiser sous forme de graphiques, tableaux ou cartes ; e. analyser les données ; f. transmettre les données au niveau supérieur ; g. détecter les phénomènes anormaux ; h. appuyer et/ou organiser les investigations et confirmations des épidémies ; i. notifier les épidémies aux autorités ; j. impliquer le laboratoire du district/province dans la confirmation des cas ; k. constituer l équipe d intervention de district/province ; l. organiser la formation du personnel des BCZS et appuyer la formation des personnels des CS/HGR ; m. suivre les tendances ; n. superviser, suivre et évaluer les activités ; o. fournir les rétro-formations aux ZS ; p. organiser la formation de BCZS et appuyer la formation des personnels de CS/HGR q. coordonner les interventions des partenaires.

12 Le niveau central : sous la tutelle du Secrétariat Général, la 4 ème Direction chargée de l épidémiologie, grandes endémies et médecine préventive est chargée de : a. élaboration des politiques, des directives et normes en matière de surveillance épidémiologique ; b. standardisation et disponibilisation des modèles des outils de surveillance : Définitions de cas, fiche de malade, registre, guide, logiciels ; c. organisation d une cellule technique de surveillance nationale ; d. organisation de la task force de la surveillance épidémiologique ; e. centralisation des données des provinces par zone de santé ; f. analyse des données et leur mise à jour sur les graphiques, tableaux et cartes ; g. appui à la détection des phénomènes anormaux et à la riposte aux épidémies ; h. organisation de la riposte aux épidémies ; i. appui aux investigations et confirmations des épidémies ; j. élaboration du plan national de surveillance et de lutte contre les épidémies et endémies ; k. constitution du comité national de lutte contre les épidémies ; l. formation du personnel des provinces et appui à la formation des personnels des ZS ; m. suivi des tendances ; n. suivi et évaluation des activités à tous les niveaux de la pyramide sanitaire ; o. fournir les rétro-informations aux provinces ;

13 13 p. élaboration de la politique nationale de laboratoire avec la direction de tutelle ; q. collaboration avec le laboratoire national de référence pour le contrôle de qualité ; r. diffusion des informations épidémiologiques ; s. organisation des études et de la recherche opérationnelle. PARTENARIAT 32. Pour mener les actions de manière coordonnée et concertée, il est recommandé la mise en place d un comité consultatif de surveillance «task force de la surveillance épidémiologique» réunissant tous les partenaires oeuvrant dans la lutte contre la maladie. La task force appuie le Ministère de la Santé dans la mobilisation des ressources et dans la mise en œuvre de la surveillance, le suivi et évaluation des activités au pays. 33. «La cellule technique de surveillance épidémiologique» est chargée de gérer les rumeurs et les informations, d analyse des données en vue de la préparation d une intervention éventuelle. 34. Tous les partenaires et les programmes spécialisés font partie de la cellule.

14 14 MODALITES DE MISE EN ŒUVRE 35. La présente déclaration de politique sera vulgarisée et portée à la connaissance des décideurs, des partenaires, des acteurs de terrain et de l opinion publique. Fait à. le / /2002

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