PICC LINE une évaluation des pratiques. EOHH CHU de Dijon
|
|
- Clémence Normand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PICC LINE une évaluation des pratiques EOHH CHU de Dijon
2 Problématiques Justification de l audit/évaluation : Suite à un signalement interne par le responsable médical d un service, de plusieurs infections et/ou thromboses déclarées chez des patients ayant ce type de matériel, un audit est réalisé : Parallèlement demandes de conseil au SEHH concernant la prise en charge de ce DM (2011)
3 Objectifs Objectifs de l audit/évaluation Mise en place d une EPP pour la formulation d hypothèses pouvant expliquer les cas de PICC infectés et signalés Evaluer la connaissance du protocole (2012), la formation dispensée par BARD (2010) Réaliser une démarche de gestion des risques autour de ce DM
4 Champ d application Equipe auditeurs : EOH Professionnels audités : Toutes personnes manipulant les PICC Quelles pratiques : Manipulations: des rampes de perfusions des robinets en proximal Réfection de pansement
5 Méthodologie Référentiels : Fiche technique n 9 CCLIN Paris Nord gestion d un cathéter central à insertion périphérique PICC : mise à disposition des équipes ( présentation aux correspondants en hygiène) gestion d'un piccline.pdf Note technique de la SF2H juin 2011 Cathéters veineux centraux insérés par voie périphérique ou PICC LINES
6 Méthodologie CCLIN Ouest Entretien du PICC LINE juin 2011 Protocoles du CHU : Hygiène des mains Port de gants Antisepsie cutanée Précautions standard VVC/CIP
7 Méthodologie Évaluation par observation directe de juin à juillet 2012 Fiches utilisées : Evaluation des manipulations.doc Réfection de pansement.doc
8 Résultats
9 Généralités 23 personnes différentes auditées pour les 3 unités HC-SI-HJ IDE dont 5 étudiants 1/23 IDE déclare avoir eu une formation 7/23 IDE déclarent connaître le protocole du CHU
10 Manipulations des PICC Distales Proximales
11 Manipulations des PICC/services observations 34 observations en HC-SI 19 observations en HJ distale proxi 0 HC/SI HJ total
12 Manipulations des PICC/ Hygiène des mains (50 observations : 3 NO) hyg pas d'hyg 5 0 proxi distal
13 Manipulations des PICC/choix produits pour l hygiène des mains ( 47 observations) proxi distale total PHA BETA savon doux savon doux+pha non observé
14 Manipulations des PICC/ conformité de la technique d hygiène des mains 100% 80% 60% 40% non conforme conforme 20% 0% PHA BETA savon doux savon doux+pha
15 Manipulations des PICC/compresses stériles non oui compresses stériles ATS obturation avec bouchon stérile BETADINE Alcoolique utilisée majoritairement 91%, BETA dermique pour 9%
16 Réfection de pansement 20 observations
17 Réfection de pansement / motifs pst souillé j7 24h autre
18 Réfection de pansement / protections non oui 5 0 masq pat masq pers charlotte pers set PST
19 Réfection de pansement /HDM lors du retrait du PST et avant ATS cutanée Toujours réalisée Essentiellement avec PHA, tout type d hygiène des mains conforme 7/40 techniques non conformes (6 PHA, 1 BETADINE ) Des gants non stériles sont toujours mis pour le retrait du PST
20 Antisepsie cutanée gants stériles ATS. compresses sté non oui
21 Réfection de pansement / ATS cutanée et attente de séchage Un cycle BETADINE est toujours réalisé 14 beta alcool beta J tampon pas attente spontané beta alcoo beta J
22 Choix du pansement (pst) En général un pst stérile semi-perméable type TEGADERM est utilisé, 4 cas où utilisation HYPAFIX mais patient allergique au TEGADERM Le TEGADERM n est jamais utilisé seul (toujours compresse sur point de ponction) pas de visibilité La traçabilité du pst est réalisée
23 Discussion Points forts: Pré-requis pour une hygiène des mains efficace conformes à 100% l hygiène des mains est toujours réalisée avant la réfection du pansement Utilisation maximale des antiseptiques
24 Discussion Points forts: Toujours conforme : L obturation des cathéters avec du matériel stérile Le port du masque chirurgical par le soignant pour la réfection du pst l utilisation de set stérile Le port de gants pour le retrait du pansement et l antisepsie cutanée
25 Discussion Points sensibles à améliorer Formation du personnel Hygiène des mains Visibilité du point de ponction Respect du temps de séchage de l ATS et de la stérilité des compresses Port du masque pour le patient Désinfection de l adaptable du patient avant de mettre le set stérile (HJ)
26 Phase d amélioration suite au retour d audit des pratiques phase d amélioration : HJ : port du masque pour le patient essai pour laisser le point de ponction visible agencement du chariot de soins revu HC/SI: Port de masque pour le patient Prochaine évaluation prévue : quick audit?
27 Phase d amélioration des pratiques Une démarche de gestion des risques permet de déterminer des facteurs favorisants : démarche de gestion des risques.doc Livret Livret PICC Line modif.pdf Parallèlement audit de la pose, formation Mise en place d une surveillance des infections associées aux PICC
28 Merci de votre attention
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailSOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE
SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détail«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie»
Symposium Pharma «Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Modérateur : Joseph Hajjar Quelle antisepsie pour quel acte? Dr Olivia KEITA-PERSE Centre Hospitalier Princesse Grace Monaco Antisepsie
Plus en détailDÉRIVATION VENTRICULAIRE EXTERNE (DVE)
Hôpital de Bicêtre Département d Anesthésie-Réanimation Service de Neurochirurgie DÉRIVATION VENTRICULAIRE EXTERNE (DVE) Mise à jour 2008 1 SOMMAIRE Points essentiels...3 Définitions et généralités...4
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détail24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?
24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,
Plus en détailPROTOCOLE SONDAGE VESICAL
DOMAINE : SOINS N version : 1 PROTOCOLE SONDAGE VESICAL Date application : 18/09/2009 8page(s) (R/V) Rédaction / date Validation / date Approbation / date Diffusion / date Actualisation / date A LECOQ/
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailChapitre IV : Gestion des soins
Chapitre IV : Fiche n IV.1 : Actes infirmiers et de nursing : Soins respiratoires - Aérosolthérapie Injections : IV/IM/SC Soins respiratoires - Oxygénothérapie Hygiène des mains professionnels et résidents
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailAIDE À LA PRESCRIPTION ET A L UTILISATION DES PANSEMENTS DISPONIBLES À LA PUI
INTRODUCTION: Les plaies ne cicatrisent pas grâce aux pansements, le traitement d une plaie se fait par le traitement de la cause : - Mise en décharge des escarres - Equilibre glycémique des diabétiques
Plus en détailRéférent et management
Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une
Plus en détailChambres à cathéter implantables
Chambres à cathéter implantables Pas de conflits d intérêt avec le sujet traité APHAL Formation PPH Jeudi 19 mars 2015 Sébastien GEORGET Pharmacie Centre Psychothérapique de Nancy Définition (1) Définition
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailDE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE
PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailPrévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME
Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE
Plus en détail2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX
Hygiène des soins infirmiers en ambulatoire - C.CLIN-Ouest 2002 2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX LES PRECAUTIONS STANDARD Objectif : Protéger systématiquement tous les patients et tous les
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailDe ces considérations résulte l importance de la gestion du risque infectieux dans les EHPAD du fait de la grande fragilité des résidents.
INTRODUCTION Il y aurait en France environ 650 000 résidents hébergés, répartis dans une dizaine de milliers d EHPAD. Environ 40% des résidents ont au moins 85 ans avec une majorité de femmes (70%) [résultats
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailAUDIT «HYGIENE DES MAINS» Partie II Qualité technique des gestes d hygiène des mains
AUDIT «HYGIENE DES MAINS» Partie II Qualité technique des gestes d hygiène des mains GUIDE METHODOLOGIQUE 2011 GROUPE DE TRAVAIL Dr Martine AUPÉE, CCLIN Ouest Nathalie JOUZEAU, CCLIN Est Elisabeth LAPRUGNE-GARCIA,
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Hygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical Recommandations Juin 2007 Avec le partenariat méthodologique et le concours financier de la
Plus en détailIdentification et analyse des ruptures de flux en pratique
Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détail«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10
CEMLOC Services 4 Avenue des Roses Zac des petits Carreaux 94380 - Bonneuil sur Marne Téléphone : 09 67 46 51 09 - Fax : 01 43 99 51 09 www.cemloc-services.fr «CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailNETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION
NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailGROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013
GROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013 Composition du groupe de travail BERJAMY Fatima Praticien
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détail1 Organiser et gérer. son poste de travail
1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans
Plus en détailLes Solutions Hydro-Alcooliques en 43 questions
LES ETAPES DE LA FRICTION HYDRO-ALCOOLIQUE ❶ Paume contre paume ❼ Poignets ❷ Paume / Dos main Etapes à renouveler jusque séchage complet ❻ Ongles Friction de 30 secondes Dose suffisante* ❸ Doigts entrelacés
Plus en détailPrécautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?
5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailLa campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections
La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections Annie Laberge, CSSS Drummond et INSPQ Lise-Andrée Galarneau, CSSSTR présidente du CINQ Congrès annuel de l OIIQ,
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailLes rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan
Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises
Plus en détailL alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailBRICOLAGE ET LIBRE-SERVICE DO-IT-YOURSELF AND SELF-SERVICE
183 184 1304015 EN 149 - EN 166 - EN 352-1 - EN 388 Kit de sécurité composé d un protecteur auriculaire, d une paire de gants type américain, des lunettes panoramiques et d un masque jetable FFP2 avec
Plus en détailLes Produits Hydro-Alcooliques et les professionnels de santé : faisons le point sur les risques!
Réseau des Hygiénistes du Centre Journée Régionale de Formation Mardi 14 octobre 2014 Les Produits Hydro-Alcooliques et les professionnels de santé : faisons le point sur les risques! Dr C. Lazor-Blanchet
Plus en détailNouveau jeune collaborateur
Insérez le logo de l'entreprise LIVRET D'ACCUEIL Nouveau jeune collaborateur Livret d accueil de : Prénom NOM ACCUEIL ACCOMPAGNEMENT Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre entreprise.
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailSommaire de la séquence 7
Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,
Plus en détailPLAN D ACTION QUADRIENNAL Première année 2004 2005
Objectif global : Appropriation et mise en œuvre de la stratégie d ARCHI 2010 au niveau national. Objectif du projet : Renforcement des activités de santé à base communautaire du CRM. Indicateurs Sources
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailRecommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire
Recommandations pour la chirurgie de la CATARACTE en ambulatoire AVANT L INTERVENTION : 1) Un rendez-vous en consultation d anesthésie au moins 8 jours avant l intervention vous a été donné. Venez ce jour-là
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailRencontres AcaDM des 25-26 juin 2014 Dijon. Impact du Risk Based Monitoring sur le Data Management. Nicolas Gane ARCAGY-GINECO 25/06/2014
Rencontres AcaDM des 25-26 juin 2014 Dijon Impact du Risk Based Monitoring Nicolas Gane ARCAGY-GINECO 25/06/2014 De quoi parle-t-on? Monitoring (GCP 5.18.1) : Protection des droits du patient Fiabilité
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailJORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18
Le 16 mars 2009 JORF n 0060 du 12 mars 2009 Texte n 18 ARRETE Arrêté du 10 février 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailDirection générale de la Santé. Infections liées aux soins réalisés en dehors des établissements de santé >> guide de prévention
Direction générale de la Santé Infections liées aux soins réalisés en dehors des établissements de santé >> guide de prévention Janvier 2006 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 7 1. LA RESPONSABILITÉ DES PROFESSIONNELS
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailCONVENTION REGISSANT LES RELATIONS ENTRE L ASSURANCE MALADIE ET L ENTREPRISE DE TAXIS JANVIER 2014
CONVENTION REGISSANT LES RELATIONS ENTRE L ASSURANCE MALADIE ET L ENTREPRISE DE TAXIS JANVIER 2014 Entre LA CAISSE PRIMAIRE D'ASSURANCE MALADIE DE LOIR-ET-CHER sise 6 rue Louis Armand 41022 BLOIS CEDEX
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailTableau de correspondance
TYPES ET CATEGORIES DE VEHICULES types de transport : - aide médicale urgente - sur prescription médicale ("non urgente") 3 catégories de véhicules A Ambulance de secours et de soins d urgence (ASSU) C
Plus en détailL ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE
LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire
Plus en détailÉPURATION EXTRA-RÉNALE (EER)
Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale ÉPURATION EXTRA-RÉNALE (EER) PROTOCOLE DU SERVICE 1 SOMMAIRE Principes de l épuration extra-rénale...3 Mise en place et
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailGESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3. Référentiels des pratiques
GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3 Référentiels des pratiques Juillet 2009 EHPAD 1 = Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes MAS 2 = Maison d accueil spécialisé
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailModèle pour l auto-évaluation de la promotion et des pratiques d hygiène des mains au niveau de l établissement de soins
Modèle pour l auto-évaluation de la promotion et des pratiques d hygiène des mains au niveau de l établissement de soins Introduction et instructions pour l utilisateur Le Modèle pour l auto-évaluation
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires
Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure
Plus en détailBRICOLAGE. Les précautions à prendre
BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention
Plus en détail«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»
«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste
Plus en détail