L'alimentation du bétail : solutions nouvelles

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L'alimentation du bétail : solutions nouvelles"

Transcription

1 L'alimtation bétail solutions nvels Cotte A. L' évage Méditerrannée Paris CIHEAM Options Méditerranénes; n pages Artic avaib on line / Artic disponib ligne l adresse http//om.ciheam.org/artic.php?idpdf=ci To cite this artic / Pr citer c artic Cotte A. L' alimtation bétail solutions nvels. L'évage Méditerrannée. Paris CIHEAM, p (Options Méditerranénes; n. 7) http// http//om.ciheam.org/

2 A. COTTE l ÉCo Nationa lu Station s pntes e a1imtation bétail solutionsnvels anima s végéta l semb s pays vian s ine tint svt qu pce poputions. statistiques publiées F.A.O. s années , ns déisons que s disponibilités it tête d habitant sont uxfoisplusévéesqu fois plus qu six celss vian, s sont habitant étant 227 g Espagne, Ygosvie seumt 34 Tunisie au 23 développemt proction anima s impose comme un objectif prioritaire s pays méditerranés vue s poputions man s animaux qui niveau vie. Cte slève difficis au celui l alimtation anima. Son irrégurité, son insuffisance, périodiqu quantité chroniqu qualité constitut un obstac permant l amélioration bétail l intsif?- cationl évage. Les conséquces cte situation sont - abattage coce s jes animaux veaux agneaux, ce qui limite abattage d animaux altes mauvais état, d où un vian qualité diminuée tion - famine dont composition sont affectées; - ction Les causes déficit l alimtation anima sont bi connues. est climat ses s physiquedés sols, l éte s sont s s y ajte s unités d exploitations scausessocias humaines manque disponibilités niveau s issant côté s questions économiques socias, ns sur pn technique seumt, quels sont moys susceptibs d améliorer l alimtation bétail, ss s aspects quantité, qualité Ns appel aux possibilités nvels s s connaissances scitsques physiologie végéta, écologie, chimie, génétique, c. s séc- spesticis,c. Ces moys peuvt ainsi énoncés - s conditions d exploitation; - développemt s - - s conditions colte s - utilisation s its s - l alimtation anima; - extsion s vue l alimtation bétail. ns tons caractère tres général c exposé eu situations s pays qui 35

3 ~ végétation ET ET Les ts pâty-age occupt est existant dé vuesans auc utilité prairies pâturages naturels sont particulièremt éts montagne où l évage constitue esstiels s habitants. En se spécialisant naissage,l évage montapeut plus intsif, je, ction vian bovine. s pines bétail d exo OG s d accès diffici sont voie d abandon. cheptel, il d y nsité minima popution qui esstiel évtuelmt mise spottialités milieu s contrô pâturage. Le bétail doit fonction liaisonavecsétus écologiques peuvt ce point d utilité. doit conite façon tt limitant mobi notammt, s sec bonne Le s l emploi s tives vahissantes bonne conite évité fauche fumure est un esstiel 11 s fonction sol aci s quantité suffisante temps s pntes tielmt) apt S Chaque fois que possib, on eaux (développemt pite zones steppiques). Cepdant,cesmesuresnepeuvtêtre efficaces se justifier que lorsque flore rferme fond suffisant bonnes espèces; comme c est svt cas S il n eu est pas ainsi (cas s zonesteppiques notammt), est nécessaire s intro- 36 luzerne. ire avant tte autre intervtion. cte fin, différtes techniques peuvt être visagées - mise défs avec pacage zones où cation ayant été faite évimmt l existce cels-ci. Cteméthoest seu quiprra êtr visagée s zonesteppiques. - - sans végétal, spéciaux type c >>, - s moys mécaniques au au dapon, c.). - tota soit - cte est possib que pas - soit chimique au Sursemis resemis doivt re exécutés avec s semces, certifiées préférce, bonnes espèces graminées neuses frragères bi adaptées aux conditionsécologiques. choix métho restauration rénovation pâturage pdra plusieurs facteurs état topo sol, moys disponibs Une étu économiquest indispsab, avec s sultats escomptés coût obttion; mais l aspect social peut minant. isolées pdant tte d impntation Ensuite - ce est capital - smises exploitation Sil n était pas ainsi, l état qui LA CÉRÉALES C est probabmt ce domaine que s progrès s plus rapis peuvt être accomplis. l semb s pays ne jt qu un faib l alimtation ces alimts conun moy efficace lutte plus, s foin, sige sont d tant que digestibilité. l bvage nécessite utilisation plus A

4 gran conctrés, base autant que tation proctrice. s obtu extsion culturel orge aux déps cel blé, s difficis où blé, bi continue Vu situation mondial cte s difficultésque seumt s besoins blé pas assez vian it. blé cp Partt, l augmtation proc niveau rmt-hectare. Ce exige avant tt amélioration s techniquesculturas. s stations s pntes sont avance mises au point sont incapabs manisuite s qui sont appliquées. svt, s mésont moins conséquce d pluviosité insuffisante que mauvaises conditions semis, lutte Un minimum d équipemt puissance anima phosphatés potassiques bi s cas un bon maniemt ts ces moys. verse répondant bi fumure azotée permtrait progresser davantage. y a beaucp ce ss chez A d exemp, ns adaptabilité. Ces d un type nveau ont augmtation specta ayant s sol, bonne époque, nsité optima peuplutte efficace s ctivité ne doivt pas seuls objectifs n est pas moins El suppose aux accints climatiques aux façon méthodique pdant avant En l absce d irrigation, s céréas d hiver sont s plus sûres s plus proctives zoneméditerranene. s maïs sorgho-grain, sa qualité grain s céréas est autre objectif quinspire aujrd hui beaucp d espoirs. ont celss types plus cultivés actuelmt Une nu dont 15 % qui % Chez maïs, ont but aux ux défauts - d augmtant sa dosant 15 % stinés aux nants qui - biologique s l utilisation s gènes opaque12, aux Etats-Unis S. O. F. Nelson. Ces gènes acis aminés esstiels lysine, phane vue exigces s L objectif lysine 0,2-0,3 % %, optima tt maintant haute s actuels. On gène opaque 2 a s gènes ayant s cé- C est ainsi que chez l orge l amélio lysine a été 3197 qui 1 g lysine 100 g sêche. Une tritica, née blé seig se sa obtues seig dost jusqu % téines 4 g lysine 100 g nécessité s impose s séction tte nvel va- (1) En s ces blés mi-nains était estimées O00 ha O00 ha 800 O00 ha avait été Le sainfoin. soit expansion, s cultures effectuées vue nrriture bétail ne représtt core qu un prctageminimeterritoire agrico

5 els n apqu faib l alimtation plus spéciamt blé tint pce exclusive, s pays. Svt, els occupt année ux bina cte rotation traditionnel peut constituer. prere étape développemt s cultures frragères. pluvioannuel moyne sol pce légumineuse annuel semée l automne, associéeavec s Tégions plus sèches, peut adoptant.. Les légumineuses annuels disponibs espèces botaniques. tantes, ns - Vicia ; Vicia sativa L., vesce comm; villosa vesce velue; varia vesce ervilia L., faba L. qui s fèves - avec cicera L., gesse chiche articufus L.,, gesse tingitanus L.; pois - arvse L., pois sativum L.,poiscultivé; - Trifoliunz axandrirzum T. resupìnatunz L., T. incarnatum L., incarnat; T. subterranecmz L., - lupin avec plu- ; - Trigonel foum groecum L., fu - Hedysarum coronarium L., sul OU sainfoin d Espagne,bisannuel; - ces légumineuses s vesces, gesses, peuvt avantageusemt cultivées ménge avec avoine, seig, blé. multiflorum m., italicum A. association avec un annuel est susceptib, s cpes échelonnées fin l automne saison sèche. choix l espèce l association doit être exercé fonction divers facteurs - végétationpossib; moynes minimas gelées); pitations; sol; - mos d utilisation mt fanage, sige; bétail 38 chint. Au sein s variétés ont été séctionnées avantageuses homogénéité, stabilité, climatiques zone frrages annuels d hiver sont ceux qui offrt s plus grans chances réussite quiont proction plus régulière. Ce sont s seuls possibs l où saison s pluies ne que 5 6 qu el est plus longue, s d été cycvégétatif cultivés. Le nesol (Helianthus annum L.), s sudan (g. Sorghum) sont indiqués. frragessarclés (Ba vulgaris L.), (Helianthus tuberosus L.), ch (Brassica obracea L., peuvt situations. ont cemmt chez ils miques séctifs, sèche mécanisation l emploi semces mono génétiques, s annuels ne pas voie développemt s Un progrèsplusgrandpeutêtreaccompli grâce aux cultures frragères plus longue rée base principamt légumineuses sariva L.), sainfoin (Onobrychis sativa L.), sul (Hedysarium coronarium L.), niculé (Lotus corniculutus L.) d associations ces légumineuses avec s Festuca, Bromus, Dactylis, Oryzopsis, c. ttes ces espèces, luzerne mérite atttionparticulière sa capacité sa qualité son l inocution l emploid am phosphatés, istpossib d beaucp acis condition qu ils Ttefois, réussite ces prairies temporaires exige bonnes conditions d impntation lit semces, choix s espèces qualité s semces, exécution semis, exploitation rationnel. Le doit suffisant non excessif, ajusté au pottiel Le doit conit fonction sbesoins alianimaux physiologie dkveloppemt pèces. ont été acquises ce doaux s stations d es- Ont &é.-

6 application 11 n est pas contestab que ces technicité assez évées un vail sol, semis qui manqut svt. Ces pdant qui peut consommée au l étab ss foin d sige. s espèces sta végétation. luzerne ne autre prairie temporaire préstt s avantages considérabs tant ce quiconcernel alimtationsanimaux que fertilité sol. base légumineuses d associations constitut moy plus efficace quantité qualité. aux annuels, els donnt l automne d compositionplusstab. Non lutte bonifit sol azote s légumineuses. doit s un s bonnes zones Ces cultures frragères annuels pluriannuels effectuées l assomt s terres arabs permtt réaliser l intégration culture l évage, agt l évage. AMÉLIORATION DES CONDITIONS DERÉCOLTE ETDE CONSERVATION DESFOURRAGES Les bétail au l étab pdant plus moins l automne jusqu saison sèche condition que bétail soit ajusté saison sèche aussi il est indispsab disposer réserves frragères dont l importancedoit $trerapportavec rée périoimproctivesculturesfrragères,prairies pâturages. ces réserves, vastes contrées où règne l imprévoyance,bloqutepossibilité progrèsl évage;c estscauses surpâturage s terrains parcrs. Plus svt, core, vaur alimtaire s frrages conservés est médiocr raison s conditions défectueuses récolte conservation; s atteignt 50 %. ont été cemmt accomplis qui tnt technologie fanage naturel doit conserver un rô esstiel zone méditerranéne vilégiée son soilmt. Sa sation peut facilitée s condis manuttion sa pénibilité. s vtition grange, peu exigeante investissemts, peut solution avantageuse fanage s au qui sont svt l emploi s siccateurs lsconditions séchages qualité. pr certainsfrragesannuels, peut - sige humi un acis, glucis,c. un pas maïs - - hayge haute ss vi bâches pstiques. Le manuttion s s con mécanisation ttes champ l augesanimaux. déshydratation au au totalité sa est un coûteux qui, ce fait, n est utilisab que s tels que donnant s qualité, susceptibs évés. choix d un systèmerécolte conservation s frrages dépd divers facteurs - conditions économiques dimsions l unité d évage, possibilités d inves- l animal, c.; - milieu conditions climatiques, - situation socia ponib, qualification cel-ci, possibis c. ; - stination bétail Vtition grange. 39

7 svt gaspillés suite manque d évage aux lieu l incapacité s colls s fanes pois s AN l alimtation anima peut développée s légumineuses alim espèces oléagineuses, dont s sont téinesqualité. Les légumineuses sont mt cultivées pays où sont l alimtation humaine. Ce sont pottialités cte pnte oléagineuse. Le soja (Glycine hispida qui donne un haute apte sa a s exigces eau assezévées. s situations, il ne peut qu économiqueest dominant cte espèce Le carthame (Cavthamw tinctorius L.) est mieux adapté que aux conditions séction a aux Etats-Unis, s étonnants chez cte espèce dont hui plus % quelquesannées. qualité l hui el-même pu a qualité s bétail celui lutte mche (Acanthiophilus heliatzthi) Le colza (Brassica napus bons L. oifera peut National d un champi- gnon s bonne c oléagineux, va s -val alimtation anima. o e 80 d automne, pois chiche, semé au évée, sont (20-25 X), cel s (< ces sol azote sont bons mt, l amélioration ces espèces végétas n a pas fait s progrès comparabs ceux s céréas, capacité chez augmtation est atte mise au point - bonnevoieactuelmt - tion. mutagèse, il taines espèces, substances toxiques (cas sativus, gesse bnche) est zone méditerranéne, moy plus efficace pr intsifier proctiond alimts bétail. El rd possib ttes s proctions - d été, - moins longue, - oléagineuses. développe un mais, l eau disponib est utilisée esstielmt s haut Le trnesol est l espèce spaysmédivu peut cultivé semis d automne début mise au point F1 dont a débuté Etats-Unis, doit gation font pemt l évage. pce au dévelopn- anima, sont cte fìn. Grâce l irrigation, proction intsive peut être recherchée assomts - très s

8 L CIHEAM - Options Mediterranenes db - séquce tel que suivis maïs, - s sul association d légumineuse fétuque évée,dacty, ditatum c. azotée. l eau exige que ts s sol, lutte s mauvaises soit l optimum. A Station s suivante - l e année dif d indice l échel adoptée F.A.O. - 2e année vesce - 3e année blé annuel = zone méditerranéne, l intsification l évage, qu exigt s besoins l alimtation humaine, est liée au développemt s proctions céréalières frragères. s animaux peut l améconjointe s techniques cultu s l extsion s cul- dépit maïs donnt idée s qualité a, el aussi, favo cte fin ne sont que ceux qui, puis 18e sièc, ont fait spaysl Ouest aux physiologie végéta, l écologie, s séction végéta, l alimtation anima s solutions l augm- tation s biologique ces s pn- tes oléagineuses, exploitation s s conditions vation. mise tt obstacs - 6e années fétuque notammt) sèche (blé annuel cte 10 O00 U.F. (20-25 t /ha/an) est obtu avec succession s ux annuels vesce-avoine semée l auau puis, maïs qui occupe sol mai-juin Les utilisés moins évée vue s bovins. Selon type un où sont utilisés façon exclusive dominante jusqu alimtation base On liant veaux ceux vian que s poputions inté- l évage s passe s non seumt l animal,maisaussi pnte, l espèce qu els ait sci indispsabs. s s mtation anima, condition l évage, sollicite développemt mt s stations expé s techniques avant tt, s tion sionnel s On peut aussi concevoir s exploitations oritées vers proction vte fruits légumes, l existce d un secteur << frrager l exploitation dont sol bénéfi e aux légumi-

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

La conception d'une architecture et d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen

La conception d'une architecture et d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen La conception d'une architecture d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen Milieu vie, mo vie Paris : CIHEAM Options Méditerranéennes; n. 13 1972 pages 94-102 Artic avaib on line / Artic disponib

Plus en détail

Systèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables

Systèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables Caractérisation morphobiologique écologique d'une espèce pastorale de Tunisie présaharienne (Periploca angustifolia Labill.). Implications pour l'amélioration pastorale Ferchichi A. Systèmes sylvopastoraux.

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Les obstacles à l'industrialisation du Tiers-Monde

Les obstacles à l'industrialisation du Tiers-Monde Les obstac l'instrialisation Tiers-Mon Ikonocoff M. Le développemt Paris CIHEAM Options Méditerranénes; n. 11 1972 pages 52-59 Artic avaib on line / Artic disponib ligne l adresse --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE. Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

Le BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA)

Le BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA) BTS Le BTS Sciences et Technologies s Aliments (STA) Qu est ce que l agroalimentaire? Définition: L'agroalimentaire désigne l'ensemble s activités transformation s produits l'agriculture stinés à l'alimentation

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Dans la pratique agricole tunisienne, les fourrages pluriannuels sont peu utilisés

Dans la pratique agricole tunisienne, les fourrages pluriannuels sont peu utilisés Fourrages (1995) 142,181-190 Etude de trois associations luzerne - graminée pérenne en zone semi-aride de Tunisie A. Zoghlamil, A. Nefzaoui-, H. Seklani! Dans la pratique agricole tunisienne, les fourrages

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

LE PARC DE FIGUEROLLES

LE PARC DE FIGUEROLLES LE PARC DE FIGUEROLLES SUR LES RIVES DE L ETANG L DE BERRE A MARTIGUES LE PATRIMOINE RURAL DU SITE Vue aériennea du site de Figuerolles en limite Nord de la Commune de Martigues Le caractère re rural de

Plus en détail

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

L allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées

L allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées L allergie aux pollens de graminées Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées QU EST-CE QUE L ALLERGIE? L allergie est due à une réactivité anormale du système

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Plus en détail

FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES!

FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES! FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES! INTRODUCTION Dans un contexte économique tendu pour la filière caprine, la valorisation des fourrages dans la ration est un levier important pour gérer le coût alimentaire

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

2. Détermination de la teneur en eau

2. Détermination de la teneur en eau 2. Introduction à la détermination de la teneur en eau... 2-2 Tolérances applicables à la teneur en eau... 2-3 Estimer la teneur en eau d échantillons légers de blé, d avoine et d orge... 2-5 Blé CWRS,

Plus en détail

Dépassements d honoraires, déremboursements, franchises CREATION DE L OBSERVATOIRE CITOYEN DES RESTES A CHARGE EN SANTE DOSSIER DE PRESSE

Dépassements d honoraires, déremboursements, franchises CREATION DE L OBSERVATOIRE CITOYEN DES RESTES A CHARGE EN SANTE DOSSIER DE PRESSE Dépassemts d honoraires, déremboursemts, franchises CREATION DE L OBSERVATOIRE CITOYEN DES RESTES A CHARGE EN SANTE DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : CISS Collectif Interassociatif Sur la Santé Marc

Plus en détail

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture. Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail

Plus en détail

Programme des cultures fourragères

Programme des cultures fourragères Programme des cultures fourragères FOURNI PAR LA SCIC Société d assurance-récolte de la Saskatchewan Dates limites MARS 31 Date limite pour faire une demande de contrat d assurance auprès de la SCIC, ou

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

Conditions Générales. 24 h/24 et 7 jours/7 NOV AUT CGE 01 0606 (09.07) 1 rue Geneviève de Gaulle Anthonioz CS 70826 35208 Rennes Cedex 2

Conditions Générales. 24 h/24 et 7 jours/7 NOV AUT CGE 01 0606 (09.07) 1 rue Geneviève de Gaulle Anthonioz CS 70826 35208 Rennes Cedex 2 Conception graphi NOV AUT CGE 01 0606 (09.07) Conditions Généra Pr ttes trver vos stions une réponse Contactez ses coordonnées votre assureur figurt conseil sur vos Conditions Particulières 24 h/24 7 jrs/7

Plus en détail

UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES

UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES ORIGINAL: anglais DATE: 18 septembre 2014 UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES Genève F LOGICIELS ÉCHANGEABLES Document adopté par le Conseil à sa quarante-huitième session

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

Association nationale de la meunerie française

Association nationale de la meunerie française Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

Notice d information option Sécurité (3, 6 ou 9 ) pour les offres avec abonnement

Notice d information option Sécurité (3, 6 ou 9 ) pour les offres avec abonnement Notice d information option (3, 6 9 ) pr les offres avec abonnemt Extraits s conditions générales du contrat d assurance à adhésions facultatives n 2.200.800 sscrit par Orange,- ORIAS n 08 038 931-, par

Plus en détail

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f) LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour

Plus en détail

DOSSIER DE CERTIFICATION

DOSSIER DE CERTIFICATION CERTIFICATION DES EXPLOITATIONS SPECIALISEES MAÏS POUR L APPLICATION DE LA MESURE D EQUIVALENCE A LA DIVERSITE DES CULTURES AU TITRE DU VERDISSEMENT DE LA PAC DOSSIER DE CERTIFICATION OCACIA ASSOCIATION

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Réunion d'information PAC 2015. Février 2015

Réunion d'information PAC 2015. Février 2015 Réunion d'information 1 Programme de la réunion Introduction L'appui à la télédéclaration Les paiements découplés Le verdissement L admissibilité des surfaces GAEC et accès aux aides économiques de la

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à

Plus en détail

LE PRESTIGE DU NOM LA FORCE DE L ENSEIGNE!

LE PRESTIGE DU NOM LA FORCE DE L ENSEIGNE! LE PRESTIGE DU NOM LA FORCE DE L ENSEIGNE! Un supplémt au journal Meuse jeudi 2 octobre 2014 LE MEILLEUR SERVICE, LE MEILLEUR CHOIX LE LE MEILLEUR MEILLEUR SERVICE, SERVICE, LE LE MEILLEUR MEILLEUR CHOIX

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES :

REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES : REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES : «Processus de maîtrise des risques d'émission des poussières issues de semences traitées avec des produits phytopharmaceutiques : Opérations industrielles»

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES. > ÉDITION septembre 2013 RÉCOLTE 2013. Qualité des blés durs français

CARACTÉRISTIQUES. > ÉDITION septembre 2013 RÉCOLTE 2013. Qualité des blés durs français CARACTÉRISTIQUES > ÉDITION septembre 213 RÉCOLTE 213 Qualité des blés durs français ÉDITORIAL BLÉ DUR 213 : UNE PRODUCTION À 1,7 MILLION DE TONNES ET UNE QUALITÉ VARIABLE SELON LES SITUATIONS La production

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

PEFC Gestion durable des forêts. PEFC Belgium asbl Thomas Davreux 26 novembre 2014

PEFC Gestion durable des forêts. PEFC Belgium asbl Thomas Davreux 26 novembre 2014 PEFC Gestion durable des forêts PEFC Belgium asbl Thomas Davreux 26 novembre 2014 1 Agenda Origines de la certification forestière L organisation PEFC Le standard PEFC Certifications PEFC PEFC en Belgique

Plus en détail

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012 PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02

Plus en détail

Mémoire de fin d études

Mémoire de fin d études Institut Supérieur d Agriculture 48 Boulevard Vauban 5946 Lille Cedex ARVALIS - Institut du végétal 3, rue Joseph et Marie Hackin 75116 PARIS Mémoire de fin d études La rotation des cultures dans les systèmes

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,

Plus en détail

1 Le chauffage des serres agricoles

1 Le chauffage des serres agricoles 1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment

Plus en détail

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012 MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES

Plus en détail

Ak k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s

Ak k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Les Monographies du CIHEAM Edition 2008 L agriculture, l agro-alimentaire, la pêche et le développement rural Ak k a Ai t El Mekki E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Cette

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

FICHE CONSEIL : JE SOUHAITE OUVRIR UN MEUBLE DE TOURISME

FICHE CONSEIL : JE SOUHAITE OUVRIR UN MEUBLE DE TOURISME JE SUIS PORTEUR D'UN PROJET TOURISTIQUE FICHE CONSEIL : JE SOUHAITE OUVRIR UN MEUBLE DE TOURISME SOMMAIRE : 1/ Qu'est ce qu'un hébergemt de type "meublé de tourisme"? 2/ Classer son hébergemt «meublé de

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22 Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio!

Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio! Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio! Catalogue des outils du réseau FNAB pour favoriser les échanges directs entre éleveurs et polyculteurs édition décembre 2014 Sommaire 3 Edito 4 5

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL. durable.

BULLETIN OFFICIEL. durable. N 6240 l8 joumada l 14135 (2ï)-3 20i4} 2496 Dahir n 1-14-09 du 4 joumada l 1435 (6 mars 2014) portant promulgation loi cadre n 99-12 portant charte nationale l environnement du développement renforcer

Plus en détail

Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner

Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner par Corinne Steinbach ERSA s. à r. l. Distribution géographique: Les populations de Gentianella germanica se limitent aux pelouses calcaires du centre-est

Plus en détail

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités

Plus en détail

Au revoir, l été! Auteur inconnu

Au revoir, l été! Auteur inconnu Compréhension de lecture Andrée Otte Au revoir, l été! Auteur inconnu Voilà trois semaines que nous sommes rentrés à l école. Au calendrier, nous lisons : 20 septembre. Demain commence l automne. Au revoir

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Spécimen de formulaire : Plan de préparation aux situations d urgence de La ferme

Spécimen de formulaire : Plan de préparation aux situations d urgence de La ferme Extrait tiré du Plan de SécuriFerme Canada Spécimen de formulaire : Plan de préparation aux situations d urgence de La ferme Les personnes suivantes sont formées et actualisées dans le travail d intervention

Plus en détail

Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter

Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter N.B.: Ne pas tenir compte des avertissements concernant des traces de noix, etc, à moins d être allergique précisément à

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles

Plus en détail