CHAPITRE 11 : L'IMMUNITÉ ADAPTATIVE
|
|
- Brian Grégoire
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE 11 : L'IMMUNITÉ ADAPTATIVE
2 Introduction L immunité innée, même si elle représente un système de défense efficace, parfois ne suffit pas à enrayer l infection. Dans ce cas, l organisme va initier une autre réponse immunitaire plus lente mais spécifique et très efficace : l immunité adaptative. Problèmes : Comment cette immunité se met-elle en place? Quelles cellules servent de support à cette immunité et par quels mécanismes parviennent-elles à éliminer les agresseurs de l organisme.?
3 1. De l immunité innée à l immunité adaptative. Cellule dendritique Agent infectieux Phagosome Digestion de l agent (Phagolysosome) Lysosome Récepteur PRR Fusion des lysosomes Phase d adhésion Phase d ingestion Phase de digestion Fragment de l agent infectieux Si l infection persiste Initiation de la réponse adaptative dans un ganglion lymphatique Molécule du CMH Migration vers les ganglions lymphatiques Cellule dendritique devient une CPA Digestion partielle de l agent infectieux par les cellules dendritiques Phase de rejet des déchets Les étapes de la phagocytose et le rôle des cellules dendritiques dans l initiation de la réponse adaptative Déchets de la digestion
4 Après avoir réalisé la phagocytose, les cellules dendritiques vont quitter le lieu de l infection et gagner les organes lymphoïdes (ex. les ganglions lymphatiques) dans lesquels elles vont présenter aux lymphocytes le complexe CMH-peptides. (on parle de cellules CPA : Cellules Présentatrice de l Antigène) Ce complexe peptide CMH va donc constituer un signal indispensable à l activation des cellules de l immunité adaptative.
5 2. Les anticorps : agents du maintien de l intégrité du milieu extracellulaire A. Structure de la molécule d anticorps et spécificité Correction TP 18 Après avoir suivi les étapes de la 1 ère partie de la fiche technique. 2 petites chaînes légères L et M 2 grandes chaînes lourdes H et I Les chaînes sont reliées entreelles par des ponts disulfures
6 Les chaînes légères L et M contiennent chacune 215 acides aminés. Les chaînes lourdes H et I contiennent chacune 457 acides aminés La comparaison des deux chaînes lourdes montre qu'il n'y a aucune différence entre elles, de même pour la comparaison des deux chaînes légères. Zone variable Zone constante La comparaison des chaînes lourdes entre elles pour 4 anticorps différents montre une variabilité importante des séquences jusqu'au 117 acides aminés, ensuite les séquences sont relativement conservées, il y a très peu de différences. La comparaison des chaînes légères entre elles pour 4 anticorps différents montre, comme pour les chaînes lourdes, une variabilité importante des séquences jusqu'au 112 acides aminés, elles sont ensuite identiques.
7 Chaînes légères Chaînes lourdes Nombre d acides aminés Chaînes lourdes «H» (Heavy) Chaînes légères «L» (light) Parties variables Pont disulfure Parties constante Parties constante On peut supposer que l'anticorps est spécifique d'un antigène grâce à la variabilité de ses parties variables. C'est donc certainement à ce niveau que s'effectue la reconnaissance avec un antigène
8 Le site de fixation de l'antigène est situé dans la même zone pour les 3 anticorps, aux extrémités des chaînes lourdes et légères.
9 *L and *H and Après coloration des parties variables des chaînes légères et des chaînes lourdes en orange, on observe bien que le site de fixation de l'antigène s'effectue aux extrémités de ces parties. Les parties variables d une chaîne lourde et d une chaîne légère forment donc un site de reconnaissance d un antigène spécifique. Chaque anticorps possède donc deux sites de reconnaissance identiques et spécifiques d un antigène. Les anticorps sont des molécules solubles libérées dans les liquides extracellulaires et capables de se lier, grâce à leurs sites anticorps, à des antigènes dont la forme est complémentaire de celle des sites. C'est la réaction antigène-anticorps.
10 2. Les anticorps : agents du maintien de l intégrité du milieu extracellulaire B. La formation de complexes immuns : une neutralisation de l'antigène Schématisation de complexes immun VIH = antigène Chaînes lourdes Ponts disulfure Chaînes légères GP 120 = déterminant antigénique Partie variable = site de reconnaissance : SPECIFICITE Partie constante : identique pour tous les Ac Antigène = bactérie Chaînes lourdes Ponts disulfure Chaînes légères déterminant antigénique Partie variable = site de reconnaissance : SPECIFICITE Partie constante : identique pour tous les Ac Lorsque l'anticorps se fixe sur l'antigène : Si l'antigène est une molécule soluble (ex : toxine microbienne), le résultat est la formation de complexes immuns. Ceux-ci sont insoluble et précipite (cf.réaction d Ouchterlony TP 19) Si les molécules antigéniques sont fixées sur la paroi d'une cellule : bactérie ou virus, les anticorps vont s y accrocher et bloquer la cellule. Les anticorps ont donc pour fonction essentielle de neutraliser les antigènes, c'est à dire de les rendre biologiquement inertes mais ils ne les détruisent pas
11 Photographies d un complexe immun et d un anticorps antigène anticorps
12 2. Les anticorps : agents du maintien de l intégrité du milieu extracellulaire C. La phagocytose : un mécanisme innée d'élimination des complexes immuns La précipitation de la SAB est permise par une fixation des anticorps sur la SAB qui forme alors des complexes immuns. Cette précipitation est possible uniquement lorsque les chaînes sont liées entre-elles (présence de ponts S-S) et grâce aux parties variables des chaînes légères et lourdes (Les deux chaînes légères et lourdes doivent être associés). La phagocytose est permise par la fixation de la partie constante des anticorps sur un récepteur membranaire des phagocytes (macrophages, granulocytes etc).
13
14 Correction TP 19 Les protéines en général et les immunoglobulines ou les substances antigéniques en particulier, possèdent la propriété de diffuser, (dans toutes les directions) dans la gélose. S il s avère qu un sérum contient des anticorps (immunoglobulines) spécifiques d une des substances antigéniques présentes, il y aura alors formation, à égale distance des deux puits concernés, d un précipité en forme d arc (arc de précipitation) correspondant au complexe immun dans le cas contraire, aucune réaction n aura lieu entre les deux solutions, la zone de contact reste invisible.
15 Répartition des produits dans la boite de pétri Produit anti-venin à tester Il contient des anticorps dirigés contre les différents antigènes contenus dans les venins de vipères Venins de vipères population A (sud de l'italie) Venins de vipères population B (Centre et Nord de l'italie) Venins de vipères population C (Région Alpine France et Italie) Venins de vipères population D (Centre et Midi Pyrénées de la France) Venins de vipères population E (France Région Pyrénéenne) La présence d'un arc de précipitation entre le produit à tester et les différents venins indiquera que les anticorps du produit anti-venin sont efficaces, dans le cas contraire, le produit est inefficace.
16 Exemple de résultat Produit anti-venin à tester Venins de vipères population A (sud de l'italie) Venins de vipères population B (Centre et Nord de l'italie) Venins de vipères population C (Région Alpine France et Italie) Venins de vipères population D (Centre et Midi Pyrénées de la France) Venins de vipères population E (France Région Pyrénéenne) Arc de précipitation Dans ce cas, le produit anti-venin est efficace contre les venins des population C, D et E donc contre les vipères française. Ce produit est donc commercialisable en France.
17 Exemple de résultat A B E D C
18 Cas 1 : réaction antigène anticorps (arc de précipitation) Cas 2 : pas de réaction antigène anticorps (pas d arc de précipitation) Légendes utilisées : Anticorps du produit anti-venin Antigènes de venins de serpent
19 2. Les anticorps : agents du maintien de l intégrité du milieu extracellulaire D. De la détection de l'antigène à la production d'anticorps Lorsqu un élément étranger (portant un antigène) pénètre dans l organisme, il va être détecté par des Lymphocytes B spécifiques portant un Anticorps membranaire capable de se lier à cet antigène. En effet, parmi les millions de clones différents de, préexistants avant tout contact avec l antigène, sont donc sélectionnés seulement les clones capables de reconnaître l'antigène. Cette reconnaissance active ces qui vont alors proliférer puis se différencier. Lymphocyte B Plasmocyte : une cellule sécrétrice d'anticorps Noyau Différenciation Mitochondrie Réticulum endoplasmique Vésicule de stockage des Ac
20 sélectionné Antigène 1 Sélection clonale 2 Prolifération clonale des activés 3 Différenciation mémoires Plasmocytes Sécrétion d'ac de même spécificité que le sélectionné RQ. Ce schéma est volontairement incomplet, il sera complété ultérieurement avec le rôle des LT4
21 3. Les lymphocytes T: agents du maintien de l intégrité des populations cellulaires. A. La détection des cellules infectées par les lymphocytes T8 Outre les, l'organisme contient des lymphocytes T, ou LT. Produits dans la moelle osseuse, ils achèvent leur maturation dans le thymus où ils acquièrent leurs marqueurs membranaires spécifiques, les récepteurs T. Les lymphocytes T8 possèdent également un marqueur spécifique : le marqueur CD8 qui les différencie d une autre population de lymphocytes T : les LT4. Les récepteurs T sont des protéines spécialisées dans la reconnaissance des antigènes lorsqu'ils sont présentés sur les cellules de l'organisme. Chaque clone de LT8 ne possède qu un seul type de récepteur T spécifique d un type d antigène, comme pour les. Fragment de l agent infectieux Cette réponse adaptative va être permise par une reconnaissance spécifique entre le récepteur T d'un clone de lymphocyte et l'antigène associé à un marqueur du CMH (marqueur du soi) Initiation de la réponse adaptative dans un ganglion lymphatique Molécule du CMH Migration vers les ganglions lymphatiques Cellule dendritique devient une CPA
22 Rappel : Destruction des complexes immuns et formation de l'association Antigène CMH. Le phagocyte devient une CPA
23 CPA : cellule dendritique ou cellule infectée Sélection clonale Antigène 1 Reconnaissance LT8 2 Prolifération clonale des LT8 sélectionnés LT8 LT8 LT8 LT8 LT8 mémoires 3 Différenciation LT8 LT8 LT8 Cytotoxiques Récepteur T Association entre un fragment antigénique (produit de la phagocytose) et un marqueur membranaire (CMH)
24 3. Les lymphocytes T: agents du maintien de l intégrité des populations cellulaires. B. L'élimination des cellules anormales Cellule infectée Lymphocyte T cytotoxique Lyse cellulaire : destruction de la cellule infectée et des virus présents dans cette cellule Pores fabriqués par la perforine Vésicule libérant de la perforine
25
26 4. Les lymphocytes T4 : pivots des réactions immunitaires spécifiques A. Les LT4 : "chef d'orchestre" de la réponse immunitaire. Le 1 er document montre que les seuls ou les LT seuls ne permettent pas une agglutination (formation de complexe immun) des GRM (jouant le rôle d'antigène dans ces expériences). Il y a nécessité d'une collaboration des LT (LT4 particulièrement) et des pour parvenir à une réaction immunitaire se traduisant par une agglutination des GRM Ce document montre qu'il existe une substance : l'interleukine 2, produite par les LT4 et qui permet l'activation et la prolifération des LT et des Représentons ces informations sur les schémas précédents
27 LT8 sélectionné CPA : cellule dendritique ou cellule infectée Antigène Fabrication et libération d interleukine 2 par le LT4 sélectionné LT4 sélectionné Prolifération Prolifération et différenciation des LT8 en LTc LT4 auxiliaire LT4 mémoire Différenciation Interleukine 2 Récepteur à l'interleukine 2
28 CPA : cellule dendritique ou cellule infectée sélectionné 1 Antigène Interleukine 2 Récepteur à l'interleukine 2 Sélection clonale LT4 sélectionné 2 Prolifération clonale des activés Prolifération Différenciation en LT auxiliaire 3 Différenciation mémoires Plasmocytes Sécrétion d'ac de même spécificité que le sélectionné
29 Les LT4, pivots des réactions immunitaires LT8 sélectionné CPA AG sélectionné Récepteur à l interleukine Interleukine 2 1 LT8 AG Fabrication et libération d interleukine par le LT4 sélectionné 1 mémoires 1 2 LT8 Prolifération LT8 LT8 LT8 LT8 LT4 sélectionné Prolifération LT a LT A LT A Différenciation 3 LT Auxiliaire Prolifération 3 Différenciation 3 Différenciation LT8 LT8 LT4 m m m m m LT Cytotoxiques LT8 mémoires LT4 mémoires Phase de reconnaissance et de sélection clonale Fabrication et libération d interleukine par le LT4 sélectionné Phase de prolifération et différenciation des clones sélectionnés sensibles à l interleukine Anticorps Plasmocytes
30 4. Les lymphocytes T4 : pivots des réactions immunitaires spécifiques B. Les LT4 : cellules cibles du VIH Dans le cas du SIDA, les virus VIH pénètrent rapidement dans les LT4 (ou dans les macrophages) car ces cellules sont les seules à posséder un marqueur membranaire : la protéine CD4, qui est indispensable à l ancrage du virus sur la cellule hôte. La libération des nouveaux virus par bourgeonnement provoque la destruction de la cellule hôte : le LT4
31 Primoinfection Phase asymptomatique Phase symptomatique Un malade est considéré au stade SIDA lorsqu'il présente une concentration en lymphocytes T4 inférieure ou égale à 200 cellules/mm 3 dans le sang. Le malade entre dans la phase symptomatique. A ce stade, le système immunitaire est "débordé", les populations de LT8 et de plasmocytes s effondrent, le nombre de virus augmente fortement et les symptômes apparaissent. Lors de la contamination par le VIH (phase de Primo-infection), le nombre de virus présents (appelé charge virale) augmente fortement, puis diminue rapidement à cause de la réponse du système immunitaire. Deux semaines à quelques mois après la contamination, la présence dans le sang de différents anticorps anti-vih est décelée, le sujet est dit alors séropositif pour le VIH. Pendant la phase asymptomatique., les défenses immunitaires restent actives et tendent à limiter la prolifération du virus mais elles sont peu efficaces. Les anticorps anti-vih sont peu efficaces car le virus est inaccessible, «caché» dans les cellules-hôtes parasitées. Des lymphocytes spécialisés, les LTc, véritables «cellules tueuses», s attaquent aussi aux cellules infectées par le virus, c est à dire aux LT4 qui présentent à leur surface des peptides viraux. Il y a donc destruction de son propre système immunitaire. On constate donc une baisse de la population de LT4.
32 Origine des virus HIV Les virus SIVs sont présents depuis très longtemps naturellement chez les primates d Afrique et ne sont associés à aucune maladie apparente. Chaque espèce de primate possède son propre virus SIV. x x x SIVcpz HIV-1/O SIVcpz SIVagmTAN x HIV-1/N SIVagmVER x HIV-1/M SIVmnd SIVagmGRI HIV-2/A SIVsm SIVlhoest SIVsun SIVcol HIV-2/B SIVsyk Chlorocebus aethiops Cercocebus atys Pan troglodytes Cercopithecus albogularis Cercopithecus lhoesti 0.1 Colobus guereza
33 ADULTES ET ENFANTS VIVANT AVEC LE HIV ESTIMATIONS À FIN 2004 Amérique du Nord 1,0 million [ ,6 million] Caraïbes [ ] Amérique latine 1,7 million [1,3 2,2 millions] Europe occidentale Europe orientale et centrale [ ] [ ,1 millions] Afrique du Nord & Moyen-Orient [ ,5 million] Afrique subsaharienne 25,4 millions [23,4 28,4 millions] & Asie centrale 1,4 million Asie de l Est 1,1 million [ ,8 million] Asie du Sud & du Sud- Est 7,1 millions [4,4 10,6 millions] Océanie [ ] Total: 39,4 millions
34 5. La maturation du système immunitaire Exposés à préparer E13 : Les mécanismes génétiques à l'origine de l'énorme diversité des anticorps et l'acquisition de l'immunocompétence. E14 : les maladies auto-immunes
35 Ces mécanismes de réarrangements génétiques (épissage alternatif) entre différents gènes : V D J permet la production d'une énorme diversité de récepteurs T et d'anticorps permettant de reconnaitre des milliards d'antigènes
36 Parmi les millions de clones de LT ou produits dans la moelle osseuse, certaines combinaisons aboutissent à la formation d anticorps ou de récepteurs T (TCR) dirigées contre les propres molécules de l organisme («molécules du soi») et susceptible de déclencher une réponse immunitaire. Ces clones de LT ou sont dits autoréactifs, ils sont potentiellement dangereux. Une fois produits, les LT4 et LT8 «naïfs» migrent dans le thymus (petite glande située à la base du cou) où des cellules spécialisées leur présentent un large échantillon de protéines de l individu. Les LT dont les TCR (récepteurs) reconnaissent ces protéines sont généralement éliminés (des mécanismes similaires existent pour les ). L ensemble des lymphocytes immunocompétents constitue le répertoire immunitaire.
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailOptimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels
Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Mokhtar GHARBI Professeur encadrant : Vincent RODIN CERV : Centre Européen de Réalité Virtuelle EA 3883 EBV Ecosystémique et Biologie Virtuelles
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailRisque infectieux et protection de l organisme
Risque infectieux et protection de l organisme 1 La menace microbienne Comment définir les microbes? Activité 1 Les micro-organismes qui nous entourent Q1. Observer la préparation du bacille de Koch ou
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailStress, système immunitaire et maladies infectieuses
Stress, système immunitaire et maladies infectieuses 1 TABLE DES MATIERES 1 LE STRESS... 4 HISTORIQUE... 4 DEFINITION... 4 DIFFERENTIATIONS... 5 Stress aigu, stress chronique... 5 Stress chronique et maladie...
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailSTRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE
STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE d'après le cours de Jean-Louis VIRELIZIER, Unité d'immunologie Virale, Institut Pasteur, Paris. INTRODUCTION L'étude des moyens de défense de l'organisme
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailSystème immunitaire artificiel
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieure Université des Sciences et de la Technologie D Oran Mohammed Boudiaf (USTO) Faculté des Sciences Département d Informatique
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailApproches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain
Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailNotre organisme détecte et essaye de détruire les micro-organismes qui tentent de l'envahir
Notre organisme détecte et essaye de détruire les micro-organismes qui tentent de l'envahir Si vous avez étudié le chapitre précédent, vous connaissez l incroyable vérité: nous respirons des microbes,
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détail82 collaborateurs 52 millions
Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailGRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE
GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible:
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailTHÈSE. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Leïla Périé. le 14/10/2009
THÈSE pour obtenir le grade de Docteur de l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Spécialité : Immunologie présentée et soutenue publiquement par Leïla Périé
Plus en détailLA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE
ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT
Plus en détailDiplôme d Études Approfondies en Biochimie/Biologie Moléculaire. Spécialité : Biologie Moléculaire
UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU Unité de Formation et de Recherche en Sciences de la Vie et de la Terre (UFR/SVT) BURKINA FASO UNITE - PROGRES - JUSTICE 3678 THESETH Département de Biochimie-Microbiologie Mémoire
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détail