Asthme de l enfant. Pr Michael Fayon. Pneumologie Pédiatrique Hôpital Pellegrin-Enfants
|
|
- Anne-Marie Grégoire
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Asthme de l enfant Pr Michael Fayon Pneumologie Pédiatrique Hôpital Pellegrin-Enfants
2 Item 226 : Asthme de l enfant et de l adulte (n 115). Diagnostiquer un asthme de l enfant et de l adulte. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.
3 L asthme est une maladie inflammatoire chronique des voies aériennes. Elle entraîne chez un sujet prédisposé des épisodes récidivants de sifflements, gêne respiratoire et toux. Ces symptômes sont dus à une obstruction diffuse mais variable des voies aériennes, réversible spontanément ou après inhalation de bêta2- mimétiques. GINA 2014 Fréquence et intensité variables dans le temps
4
5 Asthme = Syndrome
6
7 GINA
8 Item 226 : Asthme de l enfant et de l adulte (n 115). Diagnostiquer un asthme de l enfant et de l adulte. Identifier les situations d urgence (P) et planifier leur prise en charge. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.
9 Asthme aigu : Diagnostic positif Contexte d asthme connu > 3 «bronchiolites» pendant les 36 premiers mois de vie Crise inaugurale Sibilants EXPIRATOIRES Symétriques ou asymétriques
10 Définition
11 BASE BRONCHOSPASME VENTOLINE
12
13 TABLEAU CRISE D'ASTHME AIGU GRAVE : PRINCIPALES COMPLICATIONS Causées par Crise d'asthme Traitement Pneumothorax + ++ Pneumomédiastin + ++ Atélectasie pulmonaire Arythmies + + Encéphalopathie anoxique + Hypokaliémie ++ Hyperglycémie + ++ Sécrétion inappropriée d'adh + + Décès + + Légende : +++ = complication très fréquente ; ++ = fréquence moyenne ; + = rare ; = inexistante ou presque.
14
15 Examens complémentaires? Non indispensables 1. RxP Dg différentiel Complication 2. Gaz du sg 3. NFS CRP Une PaCO2 normale est un signe de gravité 4. Bilan infectieux, selon la clinique
16
17 Diagnostics différentiels Infections virales/atypiques des VRI Corps étranger inhalé +++ Lymphome médiastinal +++ Dyskinésie des CV (Pathologie laryngée)
18 Item 226 : Asthme de l enfant et de l adulte (n 115). Diagnostiquer un asthme de l enfant et de l adulte. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge (P). Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.
19 Buts du traitement Maintenir une oxygénation satisfaisante de l organisme Obtenir une levée de l obstruction optimale et très rapide lutte contre le bronchospasme lutte contre l inflammation Traitement d un éventuel état de choc Traitement du facteur déclenchant
20 Traitement de la crise d'asthme aigu grave chez l'enfant Traitement de première intention (patient à l'urgence ou à l'étage) - Soins de base et oxygénothérapie - 2 -agonistes en aérosol/ nébulisation - Corticostéroïdes - + Bromure d'ipratropium 2 B D CDA Traitement de deuxième intention (patient admis aux soins intensifs avec monitorage continu) - 2 -agonistes en nébulization continue ou intraveineux - Sulfate de Magnésium - Héliox??? - Méthylxanthine??? Traitement de troisième intention (patient intubé et ventilé mécaniquement) - Kétamine, intubation et ventilation - Agents halogénés - ECMO
21 Oxygénothérapie Lunettes Masque facial Masque + réservoir
22
23
24 La nébulisation Pneumatique Ultrasonique
25 B2+ Salbutamol Solution pour nébulisation ou Ventoline 0,5% ( µg/kg / 0,01-0,03 ml/kg) 50 mg dans un flacon de 10 ml (5 mg/ml) Ventoline unidose +++ 1,25 / 2,5 / 5 mg dans une unidose de 2,5 ml 100 µg/kg/neb Bricanyl 1 à 2 gouttes / kg (8 gouttes à 1 dosette)
26 + -
27 Anticholinergiques de synthèse ATROVENT 1 ampoule nébulisé (0,25 mg) Asthme plus grave Toujours en association avec les B2 CDA A chaque aérosol de B2CDA
28 Corticoïdes : quelle voie? SYSTEMIQUE +++ P.O. = I.V. ou I.M. Efficacité clinique en 6-8 heures Gibbs M et al. State of the art : Therapeutic controversies in severe acute asthm Acad Emerg Med 2000; 7 :
29 Préciser la molécule!
30 Corticoïdes généraux AI MC Eq doses 1/2-vie biologique (H) Hydrocortisone mg 8-12 Cortisone mg 8-12 Prednisolone* mg Méthylprednisolone mg Triamcinolone mg Bétaméthasone mg Dexaméthasone mg Cortivazol mg > 60 *Prednisolone = métabolite pharmacologiquement actif après prise orale de prednisone
31 Corticoïdes généraux AI MC Eq doses 1/2-vie biologique (H) Hydrocortisone mg 8-12 Cortisone mg 8-12 Prednisolone* mg SOLUPRED 1 à 2 mg/kg/j x 3j Méthylprednisolone mg Triamcinolone mg Bétaméthasone mg CELESTENE 10 à 15 gouttes/kg/j x 3j Dexaméthasone NON mg Cortivazol mg > 60
32 Traitement de la crise d'asthme aigu grave chez l'enfant Traitement de première intention (patient à l'urgence ou à l'étage) - Soins de base et oxygénothérapie - 2 -agonistes en aérosol/ nébulisation - Corticostéroïdes - + Bromure d'ipratropium 2 B D CDA Traitement de deuxième intention (patient admis aux soins intensifs avec monitorage continu) - 2 -agonistes en nébulization continue ou intraveineux - Sulfate de Magnésium - Héliox??? - Méthylxanthine??? Traitement de troisième intention (patient intubé et ventilé mécaniquement) - Kétamine, intubation et ventilation - Agents halogénés - ECMO
33 Item 226 : Asthme de l enfant et de l adulte (n 115). Diagnostiquer un asthme de l enfant et de l adulte. Identifier les situations d urgence (P) et planifier leur prise en charge. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.
34 Après la crise : Asthme chronique
35 Stabilisation / Guérison Asthme Chronique BPCO précoce Asthme Aigu
36 Démarche diagnostic dans l asthme de l enfant Diagnostic différentiel Corps étranger Immaturité (petite voies aérienne, trouble de déglutition, déficit immunitaire transitoire) Malformation Séquelles sévères d infection virale Mucoviscidose Maladie ciliaire Comorbiditées ORL, RGO, Psy, Obésité Environnement Allergène Pollution domestique Traitement / Adhésion au traitement
37 Sifflements
38
39 Double arc vasculaire (Double aortic arch / vascular ring)
40 Tumeur endobronchique (BSG)
41
42 Dyskinésie des Cordes Vocales
43 Nourrisson Siffleur Rx thorax FACE insp/exp Signes d alarme Clinique ou radiologique Sans orientation diagnostique Formes sévères Formes inhabituelles : Stridor Dyspnée deux temps Polypnée Signes inter critiques Déformation thoracique Toux productive matinale Bronchorrhée Signes extra respiratoires associés Cassure pondérale Diarrhée chronique Cardiopathie Douleurs abdominales Terrains particuliers Trisomie 21-Atrésie œsophage Rx thorax anormale ou situs inversus Orientation diagnostique Investigations larges Investigations ciblées
44 Démarche diagnostique dans l asthme de l enfant Diagnostic différentiel Corps étranger Immaturité (petite voies aérienne, trouble de déglutition, déficit immunitaire transitoire) Malformation Séquelles sévères d infection virale Mucoviscidose Maladie ciliaire Comorbiditées ORL, RGO, Psy, Obésité Environnement Allergène Pollution domestique Traitement / Adhésion au traitement
45 Rappel sur l allergie de l enfant Définition Atopie : notion de terrain Sensibilisation : fabrication d IgE spécifiques d un allergène Allergie : manifestations cliniques
46
47 Rappel sur l allergie de l enfant Allergie = réaction d HS initiée par un mécanisme immunologique dépendante des anticorps médiée par les cellules Les IgE sont en cause chez la majorité des patients allergiques (allergie IgE-médiée) Différents mécanismes sont impliqués dans les allergies non IgE-médiée Ig G complexes immuns cellules
48 L allergie médiée par les IgE IgE Allergènes Récepteurs Libération immédiate Contenu des granules : Histamine, TNF-, Protéases, Héparine Eternuements Congestion nasale Nez qui gratte et coule Larmoiement En quelques minutes Médiateurs lipidiques : Prostaglandines Leucotriènes Sifflement Constriction des bronches En quelques heures Production de cytokines : Particulièrement IL-4, IL-13 Production de mucus Recrutement des éosinophiles Inflammation chronique des bronches
49 IgE sériques et risque d asthme Prévalence de l asthme (%) Age 6 à < 35 ans Age 35 à < 55 ans Age 55+ ans < 1,5 1,5 à < 0,5 0,5 à <0,5 0,5 à <1,5 1,5+ Catégories de Z scores sériques d IgE Burrows B et al. N Engl J Med 1989
50
51 Explorations allergologiques Tests cutanés - Arrêt des anti-h1/ Corticoïdes généraux - Sensibilisation cutanée - Diagnostic Test sanguins RAST multi-allergénique spécifique IgE totales sériques PAS INDISPENSABLES
52 Codéine histamine négatif chien Bouleau graminées chat Dp Df
53 Après 3 ans Avant 3 ans
54
55 Item 226 : Asthme de l enfant et de l adulte (n 115). Diagnostiquer un asthme de l enfant et de l adulte. Identifier les situations d urgence (P) et planifier leur prise en charge. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.
56 Démarche diagnostic dans l asthme de l enfant Diagnostic différentiel Corps étranger Immaturité (petite voies aérienne, trouble de déglutition, déficit immunitaire transitoire) Malformation Séquelles sévères d infection virale Mucoviscidose Maladie ciliaire Comorbiditées ORL, RGO, Psy, Obésité Environnement Allergène Pollution domestique Traitement / Adhésion au traitement
57 Objectifs Pronostic / Phénotype Education thérapeutique Traitement de fond Plan d action
58 Prévalence de l asthme chez les enfants d âge scolaire en France? % Sifflements enfants d âge préscolaire : 30 %
59 Pronostic? Relation wheezing et asthme + - Tabagisme anténatal maternel - + Asthme maternel, garçons + + Cumul des facteurs de risque ans
60 IPA : Index de prédiction de l asthme
61 Démarche diagnostic dans l asthme de l enfant Diagnostic différentiel Corps étranger Immaturité (petite voies aérienne, trouble de déglutition, déficit immunitaire transitoire) Malformation Séquelles sévères d infection virale Mucoviscidose Maladie ciliaire Comorbiditées ORL, RGO, Psy, Obésité Environnement Allergène Pollution domestique Traitement / Adhésion au traitement
62 Prévention Soulagement ANTI-INFLAMMATOIRES BRONCHO-DILATATEURS Non-stéroidiens Cromoglycate Na Nédocromil Na Antileucotriène Montelukast Stéroidiens Béclométhasone Budésonide Fluticasone B2 longue action Formotérol Salmétérol Agonistes 2 CDA Salbutamol Terbutaline Fénotérol Inhibiteurs de la phospho-diestérase Théophylline Anticholinergiques Bromure d ipratropium (toujours en association avec des AI +++)
63
64
65 Corticoïdes inhalés
66 Niveaux de contrôle GINA 2006 Contrôlé Tous les items sont validés Partiellement contrôlé au moins un item présent n importe quelle semaine Non contrôlé Symptômes diurnes Aucun ( 2/sem) > 2 /sem 3 items du contrôle Limitation des activités Aucune Oui partiel Symptômes nocturnes Aucun Oui présents n importe quelle semaine ß2 de secours Aucun ( 2/sem) > 2 /sem VEMS / DEP Normal < 80% (prédit ou meilleur) Exacerbations Aucune 1 /dans l année 1 crise n importe quelle semaine
67
68 Durée de traitement : 3 mois MINIMUM
69 Sevrage traitement bénin modéré dose sept été EFR sept sévère stabilisation
70
71 Plan d action de l enfant... En cas d infection des voies respiratoires supérieures, rhinopharyngite, angine, otite En cas de crise (sifflements dans la poitrine, éssoufflement, difficultés à respirer, toux +++ Doubler la dose du traitement de fond x 5 à 7 jours, puis revenir à la dose de départ Bronchodilatateur 2 bouffées 20 min. Pas d amélioration 2 bouffées + 2 bouffées 20 min. 20 min. 20 min. 20 min. Amélioration immédiate Continuer 2 bouffées 3 fois / jour x 5 jours environ Amélioration 2 bouffées de 4 à 6 fois / jour x 7 j, puis stop Doubler la dose de x 5 à 7 jours, puis revenir à la dose de départ Drs G Souillac, M Fayon Hôpital Pellegrin-Enfants, CHR de Bordeaux Pas d amélioration notable Donner tout de suite, puis matin et soir pendant jours Plus 2 bouffées de 4 à 6 fois / jour x 7 j, puis stop Aggravation Continuer jusqu à bouffées maximum de Donner tout de suite, puis appeler votre médecin ou le SAMU (Tel 15)
72 EFR +++ Facile à partir de 6 ans++++ Pose le diagnostic syndrome obstructif réversibilité sous bronchodilatateur Evalue la sévérité du syndrome obstructif Surveillance du patient mauvaise corrélation avec la perception des symptômes Examen spécialisé chez le nourrisson
73 EFR : Bronchospasme réversible VEMS post B D + 12 %
74 HRB
75
76 Inflammation
77 Pièges à éviter Ne pas évoquer un asthme au 3 ème épisode de sifflements Méconnaître l inflammation Ne pas maîtriser les mdts/posologies du traitement de l AAG Ne pas évoquer les Dg différentiels Prescrire un traitement de durée trop brève
78
79 Choix des méthodes d inhalation selon l âge 2 3 ans 5 6 ans 8 9 ans Pas de coopération Faible coopération Bonne coopération Débit inspi > 30 L/min Coordination Main-poumons Aérosols-doseur + Chambre d inhalation Aérosols-doseur + Chambre d inhalation + masque facial ou Inhalateur de poudre ou Aerosol doseur autodéclenché Aerosol doseur??? Nébulisation en l absence d amélioration + masque facial
80
81
82
83
84 Médicaments de l asthme Non-associés, en aérosols doseurs simples Classe DCI Gaz Nom Dispositif Dose Prix/doses Prop. de marque (ug) B2+CA Salbutamol HFA AIROMIR 3M Susp 100 5,11 (200) HFA VENTOLINE GSK Susp 100 5,11 (200) Terbutaline CFC BRICANYL AZ Susp 250 4,34 (200) B2+LA Salmétérol CFC SEREVENT GSK Susp 25 32,24 (120) CTCD Béclométhasone HFA BECLOJET Chiesi Sol ,98 (200) CFC BECOTIDE GSK Susp ,23 (80) Budésonide CFC PULMICORT AZ Susp 100/200 18,86 Fluticasone HFA FLIXOTIDE GSK Susp 50/125/250 12,12-44,52 (200) AntiCh Ipratropium CFC ATROVENT BI Susp 20 5,37 (200)
85 Médicaments de l asthme Non-associés, en dispositifs inhalateurs particuliers Classe DCI Gaz Nom Dispositif Dose Prix/doses Prop. de marque (ug) (firme) B2+CA Salbutamol HFA AIROMIR AH ,78 (200) - BUVENTHOL Easyhaler 95 11,78 (200) - VENTODISKS Diskhaler 200 7,71 (56) Pirbutérol CFC MAXAIR AH ,02 (200) Terbutaline - BRICANYL TH ,73 (200) B2+LA Formotérol - FORADIL Aérolizeur (30) Salmétérol - SEREVENT Diskhaler 50 33,81 (60) Diskus 50 33,81 (60) CTCD Béclométhasone HFA QVAR AH ,53 (200) CFC PROLAIR AH ,54 (200) - BEMEDREX Easyhaler ,29 (200) - MIFLASONE Aéroliseur 100/200/400 4,55-14,5 (60) Budésonide - PULMICORT TH 100/200/400 26,1-42,6 ( ) Fluticasone - FLIXOTIDE Diskus 100/250/500 12,12-44,52 (60)
86 Médicaments de l asthme Associés à doses fixes, en aérosols-doseurs simples ou en dispositifs inhalateurs particuliers Classe DCI Gaz Nom Dispositif Dose Prix/doses Prop. de marque (ug) (firme) B2+LA Formotérol/Bud - SYMBICORT AZ TH 6/200 57,78 (120) + CTCD Salmétérol/Flut HFA SERETIDE GSK Susp 25/ (120) - Diskus 50/ (60) B2+CA Fénotérol/Ipra CFC BRONCHODUAL BI Susp 50/20 9,5 (200) +Anti-Ch - Inhalateur 100/40 6,62 (30) Salbutamol/ipra CFC COMBIVENT BI Susp 100/20 9,1 (200)
87 Asthme = Syndrome Neutrophilique? Eosinophilique? 1 / âge Réversible? Non-réversible? Transitoire?
88 Remodelage BPCO précoce
89
90 % % 16 % Nb d épisodes de bronchiolite
TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailDOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailGUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca
GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailInformation professionnelle du Compendium Suisse des Médicaments. Aridol TRIMEDAL
Aridol TRIMEDAL OEMéd Composition Principe actif: Mannitol. Excipients Gélules de 5, 10, 20 et 40 mg: Colorant: dioxyde de titane E 171. Gélules de 10, 20 et 40 mg: Colorant: oxyde de fer E 172. Forme
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailAsthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Février 2008 Asthme de l enfant de moins de 36 mois : diagnostic, prise en charge et traitement en dehors des épisodes aigus RECOMMANDATIONS Mars 2009 Avec le partenariat
Plus en détailSYSTEMES D INHALATION
SYSTEMES D INHALATION Dr LOMBRY Catherine 1 Appareillages pour l administration pulmonaire Inhalateurs pressurisés à valve doseuse; aérosols-doseurs (MDI; Metered Dose Inhaler) Inhalateurs à poudre sèche
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailMise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick
Bulletin n 902 le 6 mars 2015 Mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick Cette mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick entre en
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailJournées Parisiennes de Pédiatrie 2011
JOURNÉES PARISIENNES DE PÉDIATRIE Comité d organisation : Y. AUJARD, P. BOUGNÈRES, B. CHABROL, G. CHÉRON, G. DESCHENES, D. DEVICTOR, A. FISCHER, J. GAUDELUS, D. GENDREL, E. GRIMPREL, P. LABRUNE, F. LECLERC,
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailRECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008
RECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008 Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive
Plus en détailRECOMMANDATION FINALE DU CCEM
RECOMMANDATION FINALE DU CCEM BROMURE D UMÉCLIDINIUM ET TRIFÉNATATE DE VILANTÉROL (Anoro Ellipta GlaxoSmithKline inc.) Indication : la maladie pulmonaire obstructive chronique Recommandation : Le Comité
Plus en détailTraitement pharmacologique de la BPCO
Revue des Maladies Respiratoires (2010) 27, S19-S35 Traitement pharmacologique de la BPCO Les interventions pharmacologiques abordées dans ce chapitre sont : aides au sevrage tabagique ; bronchodilatateurs
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailhttp://www.inami.fgov.be/drug/fr/drugs/groups/asthma_bpco_copd/faq.htm
Page 1 sur 6 Vous êtes ici : Accueil > Médicaments et autres > Médicaments > Asthme et BPCO : prescription des médicaments selon les recommandations > FAQ - Asthme et BPCO Questions fréquemment posées
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailDYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE BROCHURE D INFORMATION DESTINEE AUX PATIENTS ET LEUR FAMILLE QU EST-CE QUE LA DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE?
QU EST-CE QUE LA DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE? COMMENT SE TRANSMET-ELLE? COMMENT SE MANIFESTE-T-ELLE? DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE BROCHURE D INFORMATION DESTINEE AUX PATIENTS ET LEUR FAMILLE COMMENT
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailTom Smiley, B.Sc. Phm., Pharm. D.
FC OBJECTIFS D APPRENTISSAGE Une leçon Gratuite de formation continue Au terme de ce module de formation continue, les pharmaciens pourront : décrire les causes et les facteurs de risque associés à la
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailAtrovent HFA 20 mcg/bouffée solution pour inhalation en flacon pressurisé (bromure d'ipratropium)
NOTICE ATROVENT HFA 20 MCG/BOUFFEE SOLUTION POUR INHALATION EN FLACON PRESSURISE (BPI n 0250-03 du 27.07.2005) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser ce médicament.
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailPROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE
PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE SANTE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES CHRONIQUES - LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO) 2012-2016 Projet Régional de Santé du Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailLe traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques
La bronchopneumopathie chronique obstructive Le traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques Richard Gauthier 3 Les patients atteints d une bronchopneumopathie chronique
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailLes solutions en Kiné Respiratoire par Portex. Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE
Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex TM Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE Améliorer la qualité de vie La nécessité d une réhabilitation efficace des patients à la suite de complications
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailTEPZZ 8758_8A_T EP 2 875 818 A1 (19) (11) EP 2 875 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: A61K 33/00 (2006.01) A61P 25/06 (2006.
(19) TEPZZ 878_8A_T (11) EP 2 87 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.0.1 Bulletin 1/22 (1) Int Cl.: A61K 33/00 (06.01) A61P 2/06 (06.01) (21) Numéro de dépôt: 14680.3 (22)
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détail3 ème rencontre autour de la DCP
3 ème rencontre autour de la DCP Cette troisième rencontre a pu se dérouler à Reims grâce à Christine Pietrement et Gilles Denis, qui ont souhaité l organiser dans leur ville et que nous remercions pour
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailLe système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins.
www.inami.be www.coopami.org Le système d information (bases de données) l évaluation de la qualité des soins. Nouakchott 3 février 2011 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Se doter d un système d
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailProgramme commun d'évaluation des médicaments Sommaire
Programme commun d'évaluation des médicaments Sommaire Juillet 2015 Médicament élosulfase alfa (Vimizim) (2 mg/kg) Indication Enzymothérapie substitutive à long terme dans le traitement de la mucopolysaccharidose
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115
Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailL ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES
L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES Etudes d évaluation économique ou avec des données de recours aux soins Recommandation de santé publique Document de travail Service
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailService des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca
A. Bahlaoui & N. Zaghba Service des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca Pr. Abdelkrim BAHLAOUI Service des Maladies Respiratoires, Hôpital Ibn Rochd CHU, CASABLANCA (bahlaoui@hotmail.com)
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailMarseille 21 > 23. Novembre
Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détail8/28/2013. L inhalothérapie aux soins critiques. Objectifs. Rôles de l inhalothérapeute. Objectifs
Objectifs Connaître le rôle de l inhalothérapeute dans les unités de soins critiques Connaître les dispositifs d oxygénation et d humidification Connaître les modes et principes de la ventilation (invasive,
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailDélivrer le médicament le moins cher :
Délivrer le médicament le moins cher : - Prescrire en DCI - Antibiotiques et antimycosiques Brochure pour les médecins, dentistes et pharmaciens Sommaire 1 Sommaire Introduction... 2 I. Prescription en
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détail