Interaction Sociale et apprentissage Le rôle et l importance des interactions sociales dans l apprentissage.

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1 Interaction Sociale et apprentissage Le rôle et l importance des interactions sociales dans l apprentissage. I. Comment apprend-on? 1.1. Apprendre, c est quoi? Apprendre c est acquérir et/ou modifier des comportements et des connaissances. Il existe plusieurs conceptions de l apprentissage. Le modèle transmissif : L apprentissage est ici un enregistrement en mémoire du savoir exposé par l enseignant. Tout se passe comme si ce savoir s imprimait directement dans le cerveau. Cela revient à dire que c est un modèle «j apprend / j applique». Cela signifie qu un enseignement réussi est un exposé sans aucunes erreurs de l enseignant, puis lors d un test l élève montre par des réponses justes qu il a parfaitement compris. Limites : Sous-estimation du rôle de l élève et de ses processus cognitifs. Le modèle béhavioriste : Ici, l apprentissage, est la capacité à donner une réponse adéquate à des stimuli donnés. C est un mécanisme dans lequel les comportements de l apprenant sont déterminés par les renforcements rencontrés : - Bonne réponse = récompense et activité reproduite - Mauvaise réponse = punition et activité abandonnée Apprendre revient donc à créer des relations stimulus / réponse, c est l apprentissage par conditionnement. Cette vision est une réduction de la réalité car elle ne permet pas de rendre compte des comportements complexes (acquisition de la lecture). L élève est vu comme un simple exécutant sans conscience de ce qu il fait. Les savoirs nouveaux se superposent aux autres sans se réorganisés. L élève progresse pas à pas, l enseignement est fondé sur le découpage en sousétapes. L apprentissage est renforcé par des constats de réussite. Recherche de Pavlov sur le conditionnement classique résultats d'un apprentissage dû à l'association entre des stimuli de l'environnement et les réactions automatiques de l'organisme. Recherche de Skinner sur le conditionnement opérant les comportements sont sélectionnés en fonction de leur conséquence sur l environnement.

2 Tout individu est confronté à un environnement complexe dans lequel il doit satisfaire ses besoins vitaux ; or, les conduites génétiquement programmées comme les apprentissages issus d un conditionnement manquent de souplesse. Certaines activités peuvent donc se trouver figées, sans possibilité d adaptation. Au fil du temps l enfant développe ainsi des outils cognitifs et métacognitifs qui lui permettent de s adapter à son environnement. La cognition : l ensemble des activités mentales qui nous permettent d acquérir des connaissances et de les utiliser pour nous adapter. L apprentissage nécessite l élaboration d une représentation structurée de la situation dans laquelle on se trouve. La métacognition : capacité d auto - gérer ses propres outils cognitifs et activités cognitives. C est la connaissance que le sujet a de ses propres connaissances, de son propre fonctionnement cognitif. II. Comment définir l interaction sociale? En psychologie du développement nous avons plusieurs théorie qui mettent en avant des éventuels facteurs qui serait responsables de la construction et de l évolution de l organisation psychologique de l enfant Un facteur explicatif unique : débat inné / acquis. Pour certains auteurs, le développement dépend uniquement de l environnement : il s agit d une conception empiriste (empirique, expérience acquise) ou environnementaliste du développement. L expérience acquise avec l âge constitue, pour ce courant, le seul facteur explicatif du développement : le bébé naît sans compétence, c est une sorte pâte à modeler. A l opposé, pour d autres auteurs, le développement dépend du déroulement d un programme interne à l organisme, sur lequel l environnement n a que des effets mineurs : il s agit d une conception innéiste (ou nativiste ou héréditariste) du développement. Le seul facteur explicatif du développement est, pour eux, le processus de maturation De multiples facteurs explicatifs Conceptions interactionnistes Dès la naissance, l influence des déterminants biologiques est indéniable : un organisme ne peut acquérir que les comportements que son équipement sensoriel et moteur autorise. Qu entend-on par maturation? : A la naissance, l être humain est loin d avoir atteint son stade de développement maximum. Le nouveau-né est incapable de produire certains comportements. Certaines acquisitions sont irréalisables simplement parce que le système physiologique n est pas prêt. Il faut d abord que s accomplisse une maturation. La maturation installe les conditions (organiques) nécessaires aux acquisitions cognitives mais Ce n est pas parce que cet équipement existe à la naissance que le développement est inné (génétiquement déterminé) et qu il est exempt d influences environnementales.

3 Aujourd hui les auteurs s accordent pour adopter une position dite interactionniste du développement en considérant que les déterminants biologiques et les influences de l environnement sont en interaction tout au long du développement de l enfant. Notion de Période critique : les comportements n ont plus aucune chance d apparaître en dehors des limites temporelles définies : c est une affaire de tout ou rien. Chez l homme, on parle de périodes privilégiés ou favorables : les bornes sont moins strictes et les apprentissages qui en dépendent ne sont pas entièrement irréalisables au-delà de leur terme, ils sont seulement moins aisés. Conclusion : Le développement sensoriel et moteur combinent un déterminisme génétique qui ne s exprime complètement que si les conditions du milieu le lui permettent. Il en serait de même du développement intellectuel Conceptions interactionniste constructivistes Le facteur du développement est l activité propre de l organisme : L organisme a une capacité d activité pour construire son propre développement. La connaissance du bébé provient pour l essentiel de l action qu il exerce sur son environnement et du constat qu il fait des transformations produites par cette action. Cette activité constitue une source autonome d informations. L intelligence se construit progressivement en une interaction permanente entre l enfant et l environnement Conceptions socio-constructivistes? L intelligence se construit progressivement en une interaction permanente entre l enfant et l environnement. C est le socio-constructivisme. Il reste à définir les propriétés essentielles de cet environnement : environnement physique (le monde physique des objets : PIAGET (attention, Piaget, du fait de sa position sur l environnement social n est pas un socioconstructiviste, mais un constructiviste.) ou environnement social (VYGOSTSKY). III. rôle de l interaction sociale sur l apprentissage 3.1. L environnement physique : Théorie constructiviste de Piaget : le conflit cognitif (ou intra-individuel). L intelligence se construit progressivement en une interaction permanente entre l enfant et le monde physique des objets La notion de stade de développement : Pour appréhender son environnement et s y adapter, l enfant dispose, aux différents «stades» de son existence, d outils cognitifs différents. Chaque stade de développement est donc être caractérisé par la nature des outils cognitifs que l enfant maîtrise alors. A chaque stade apparaissent des conduites adaptatives qualitativement différentes. Les acquisitions s effectuent suivant un ordre de succession constant et universel. Stade sensori-moteur : activités perceptives et motrices. Stade opérations concrètes : opérations mentales, raisonnement sur du matériel concret.

4 Stade opérations formelles : opérations mentales, raisonnement sur du matériel abstrait. Le développement s opère, chez tous les enfants, dans le même but : l adaptation qui est (au niveau cognitif) la reconstruction, la réorganisation interne des connaissances. Elle résulte de l interaction entre deux processus : l assimilation et l accommodation qui sont régulés par un troisième processus fondamental : l équilibration. L assimilation : action de l organisme sur les objets qui l entourent. Consiste, pour la structure cognitive actuelle, à incorporer des éléments nouveaux, à interpréter des situations nouvelles au moyen de structures intellectuelles existantes. Ainsi, l assimilation rend familier ce qui ne l est pas (il y a intégration du réel à soi). L accommodation Processus par lequel le sujet modifie sa structure actuelle pour s ajuster à une modification de l environnement, s opère lorsque les moyens cognitifs dont dispose l enfant s avèrent être insuffisants ou inadaptés à l appréhension de cette situation nouvelle lorsque la structure cognitive est contrainte de se modifier pour s adapter à une situation (il y a ajustement de soi au réel). L accommodation est source de progrès majorante puisqu elle permet au système cognitif de se dépasser. Pour se développer, l enfant doit donc être confronté à des situations qui perturbent l état actuel de son système cognitif. Apprendre c est aussi oublier, abandonner des comportements pour en adopter d autres que l on a élaboré. Pour Piaget, l enfant élabore des modèles sur le réel. Le mécanisme constructeur est le conflit interne (les progrès cognitifs s effectuent par un dépassement de conflits cognitifs entre les représentations que possède l enfant de la réalité et la réalité elle-même). Le milieu n intervient pas directement dans le développement : il constitue ce à quoi l enfant doit s adapter. Le développement peut être influencé par des variables sociales mais elles ne sont pas constitutives du développement. Les facteurs sociaux (langage, interaction entre enfants, éducation formelle) sont nécessaires au développement de l intelligence mais n en constituent pas la source. Le rôle d autrui (adulte, éducateur) est réduit, tout au plus, à l aménagement de situations propices à l exploration, à l activité sur les objets L environnement social : Théorie Socio-constructiviste de Vygotsky = la médiation sociale. Vygotsky décrit le rôle primordial de l environnement social sur l organisation psychologique de l enfant et ses transformations. L enfant découvre son environnement et apprend à agir sur lui au travers de la médiation sociale, de l interaction avec autrui. Les caractéristiques de l environnement social, culturel, son organisation (ses représentations, ses outils, ses pratiques ) est à prendre en compte. Trois principes fondamentaux définissent la conception de Vygotsky 1- le développement cognitif est un produit de l apprentissage Le développement est une conséquence de l apprentissage. Il ne peut y avoir de développement cognitif sans apprentissage, sans éducation (contrairement à la conception de Piaget, pour qui, l apprentissage est tributaire du niveau de développement).

5 2- La spécificité de l activité humaine, est d être socialement médiatisée (structurée et transformée par des outils ou procédures socialement élaborés (tels que le langage et tous les systèmes de signes servant à représenter et marquer des relations (le chat mange la souris, Il est plus grand qu elle ) entre les objets ou propriétés des objets représentés (ils sont tous bleus, c est plus difficile que..)).l appropriation des signes et systèmes de signes marque le passage des activités psychiques élémentaires (sensori-motrices, Intelligence sans pensée) aux activités supérieures (pensée). 3- L enfant s approprie les signes et systèmes de signes nécessaires au développement des fonctions mentales supérieures par transformation de processus sociaux (interpersonnels) en processus cognitifs (intrapersonnels) : c est la loi fondamentale du développement. Vygotsky définit ainsi la loi fondamentale du développement : «chaque fonction psychique supérieure apparaît deux fois au cours du développement de l enfant : d abord comme activité collective, sociale et donc comme fonction interpsychique, puis la deuxième fois comme activité individuelle, comme propriété intérieure de la pensée de l enfant, comme fonction intrapsychique». Les outils cognitifs se construisent d abord dans des situations interactives d apprentissage avant de s intérioriser et de fonctionner au plan intra-individuel. Les mots ont d abord une signification pour l adulte. L enfant apprend ainsi à utiliser les signes langagiers pour agir sur autrui. Ensuite, ils les utilisera pour agir sur lui-même. Le langage a donc d abord une fonction sociale et n est intériorisé que dans un deuxième temps par l enfant. Cette intériorisation en fait un instrument au service de la pensée. La langage a alors une fonction intellectuelle (ex : le langage égocentrique). 3.3 Les interactions dissymétriques de guidage : La tutelle Définition de la tutelle : La notion de tutelle rend compte d interactions asymétriques durant lesquelles un sujet naïf (ou novice) est aidé par un sujet expert (un adulte ou un enfant plus compétent) dans l acquisition d un savoir ou d un savoir-faire. La notion de tutelle est donc liée à celle de zone proximale de développement. La «ZPD» selon Vygotsky désigne la distance (la différence) entre le niveau de maîtrise auquel le sujet se situe lorsqu il est seul devant une tâche, et le niveau qu il peut atteindre grâce à la tutelle de l expert. Etant donné l asymétrie des compétences, l aide apportée, par le tuteur, doit être ajustée aux possibilités du novice. La ZPD définit en quelque sorte une zone de bon apprentissage. En deçà de cette zone, le niveau proposé est trop faible pour l enfant, il n apprend rien. Au delà de cette zone, le niveau est trop élevé, il ne peut pas apprendre non plus. Les fonctions du processus de tutelle : L accompagnement du tuteur a pour but de restreindre les difficultés que présente la tâche et de maintenir l attention de l enfant pendant qu il tente de la résoudre. Jérôme BRUNER qualifie ce mécanisme d étayage (formes d intervention de l adulte ayant pour objectif de guider, soutenir, renforcer l activité de l enfant). Avec l âge de l enfant et la nature des problèmes à résoudre, la nature de l étayage évolue. Des progrès cognitifs pourrait être induits chez le novice grâce : - à l intériorisation d outils culturels transmis par l expert

6 - aux multiples guidages qui lui permettent la réussite - à l imitation active des démonstrations dont il peut bénéficier. Et chez l expert grâce : - au recul pris pour expliquer la tâche - à la formulation en langage de l activité habituelle - à la prise en compte et à l adaptation d un autre point de vue : celui du novice Théorie sociale génétique (Doise, Mugny, 1981): Le conflit socio cognitif Le conflit générateur de progrès n est pas intra-individuel mais interpersonnel = socio-cognitif. Conflit socio-cognitif : un mode particulier d interaction social obligeant des enfants à exprimer, argumenter et surtout coordonnent leurs points de vue (différents) pour résoudre ensemble une tâche. La nature fondamentalement sociale de l activité (commune) oblige les enfants à coordonner leurs points de vue afin de parvenir à un accord. La différence des points de vue est génératrice d un conflit socio-cognitif. Elle provoque un double déséquilibre : un déséquilibre inter-individuel : les enfants s opposent puisque leurs réponses divergent et un déséquilibre intra-individuel ; les enfants sont amenés à douter de leur propre réponse en prenant conscience qu une autre réponse existe. Le processus négociatif déclenché par la différence des points de vue est le moteur du progrès cognitif. La nécessité de dépasser le déséquilibre cognitif inter-individuel (résolution du conflit sociocognitif) provoque le dépassement du déséquilibre cognitif intra-individuel (résolution du conflit individuel). L enfant pour résoudre le conflit socio-cognitif est contraint d «intérioriser les nouvelles coordinations interindividuelles». Le progrès résulte de cette intériorisation. La régulation sociale (du conflit) ne doit pas s établir sur un mode relationnel (allégeance, soumission ). Il faut au contraire que les enfants acceptent de confronter leurs réponses et de coordonner leurs points de vue. L interaction est bénéfique car les interventions des 2 partenaires remplissent 2 fonctions : La déstabilisation (des représentations et modes individuels de résolution) incite l enfant à remettre en cause sa représentation du problème et à modifier ses procédures de résolution. Le contrôle facilite le travail cognitif du partenaire (la recherche d une solution) en l aidant à contrôler lui-même (à évaluer pas à pas) le déroulement de sa procédure et la représentation qu il en a. IV. Notion de style d apprentissage Fait référence aux caractéristiques d apprentissage individuelles de l étudiant Le modèle de Kolb (1976) Kolb définit 4 styles d apprentissage : Type 1. DIVERGENT Question caractéristique de l apprenant: Pourquoi? Il répond bien à des explications ou du matériel de cours relié à des expériences et des intérêts personnels. Intuitif, pragmatif (génère des solutions) : Il interprète des situations concrètes, de différents points de vue. Raisonne à partir de situations concrètes et d une information présentée de façon systématique et cohérente. Méthode d apprentissage privilégiée : le cours magistral se

7 concentrant sur des points très précis d un système ou concept, suivie d une activité d exploration d un autre système ou concept. Type 2. ASSIMILATEUR Question caractéristique de l apprenant: Quoi? Il répond bien à une information présentée de façon organisée, logique, et réagit bien si on lui laisse du temps pour réfléchir. Intuitif réflexif (planifie et formule des théories) : Il s approprie une gamme étendue d informations et les intègre selon un processus concis et logique. Il respecte la connaissance et la parole de l expert (le professeur). Méthode privilégiée d apprentissage : Le cours magistral suivi d une démonstration ou une exploration guidée par le prof suivi de travaux pratiques qu ils suivront à la lettre pour ensuite recevoir les réponses correctes. Type 3. CONVERGENT Question caractéristique de l apprenant: Comment? Il répond bien à des occasions de travailler activement sur des tâches bien définies et apprend par essais-erreurs dans un environnement où l échec est accepté. Méthodique réflexif (planifie et décide) : Il recherche des applications pratiques aux concepts et aux théories. Méthode d apprentissage privilégiée : une interaction prof/apprenant en résolutions de problèmes, applications de concepts... Type 4. EXECUTANT Question caractéristique de l apprenant: Qu est-ce qui se passe si? Il répond bien à des occasions d appliquer un concept apprit à des situations nouvelles pour résoudre des problèmes. Méthodique et pragmatif (exécute et réalise) : Il met en oeuvre des expériences pratiques et s implique personnellement dans de nouvelles expériences comportant un défi. La méthode privilégiée d apprentissage : découverte indépendante Quel est mon profil d'apprentissage? - Test en ligne : Quel est mon style d enseignement? -Teaching Perspectives Inventory (TPI) Quel est le rôle de l interaction sociale dans l apprentissage? Favoriser l action et l échange Découvrir l existence de plusieurs points de vue autre que le sien = donc d autre mode de pensée. Favoriser le langage, le discours argumentatif la prise de parole et d initiative. Faire apparaître le sens et l intérêt d une tâche Apprendre l autonomie Quelles sont les théories utiles dans le champs de l éducation spécialisée? Les notions développées par Piaget Le concept de Zone Proximale de Développement (Vygotsky) Le processus de tutelle (Bruner)

8 Le Conflit Socio Cognitif (Doise et Mugny) Idée de différents styles d apprentissage = différentes façons d enseigner.

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