SUIVI PISCICOLE DE LA QUALITE DES AFFLUENTS DU LAC DU BOURGET

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1 Contrat de bassin versant du lac du Bourget SUIVI PISCICOLE DE LA QUALITE DES AFFLUENTS DU LAC DU BOURGET Rapport d étude volume 2 : synthèse JUIN 2004

2 SOMMAIRE 1 Les peuplements Etat des peuplements Richesse spécifique Evolution de l aval vers l amont Les populations Fréquence des espèces Etat des populations

3 1 LES PEUPLEMENTS. 1.1 Etat des peuplements. L état des peuplements échantillonnés a été évalué selon la méthode présentée au chapitre du volume 1 «résultats». Nous avons retrouvé sur le bassin presque toutes les situations comprises entre les deux extrêmes : état «excellent» à «Hors-classe» (pas de poisson)». Les stations présentant un peuplement en excellent état sont au nombre de 7 soit 21% du total étudié (32 stations en 2003 et 3 stations 2002 réintégrées). Ce sont presque toutes des stations situées sur les têtes de bassins, toujours en-dehors des zones urbanisées même si l influence humaine reste perceptible (qualité de l eau montrant des altérations sensibles). Ces peuplements sont toujours monospécifiques (truite fario). Les peuplements en bon état sont moins nombreux : 5 stations (15% des stations étudiées). Les altérations observées sont de deux types : le peuplement observé, en concordance qualitative avec le référent théorique, présente de légères sous abondances pour les espèces caractéristiques ; le peuplement observé est composé d une seule espèce (truite) au lieu de deux (truite et chabot), l abondance de l espèce présente étant conforme au référent théorique. Dans le premier cas se situent la Leysse dans Chambéry (pont des Carmes, La Trousse) l Hyère à Pierre Bêche et la Meunaz. Le deuxième cas n est observé que sur le Nant Varon. C est toujours la qualité physique qui apparaît comme étant le facteur le plus limitant. La qualité de l eau et la qualité hydrobiologique se situent à des niveaux comparables à ce qui est observé pour les stations où le peuplement piscicole est en excellent état. La moitié des stations (17) présente un peuplement perturbé. A l exception de la station sur la Reysse, ce sont des stations de faible altitude, intégrées aux zones urbaines ou agricoles. La qualité physique est généralement le facteur le plus limitant, problème toujours aggravé par des débits d étiages très faibles. Les perturbations les plus fréquentes sont l absence des espèces les plus sensibles à la qualité globale de l habitat et la sous représentation des espèces caractéristiques des niveaux typologiques concernés. On note peu de peuplements montrant de nets glissements typologiques. Les peuplements altérés correspondent à des situations diverses : manque d eau chronique et forte pollution agricole (Savigny), recalibrage et pollution importante (Ruisseau des Marais et Belle Eau), pollutions chronique (Albenche, Deisse). Cinq stations (15 % des stations étudiées) présentaient de tels peuplements. Ces altérations se traduisent presque toujours par un glissement typologique important. Dans le cas de la Deisse à Orly, on observe en outre une abondance 3

4 faible de presque toutes les espèces alors que sur le Belle Eau, les espèces tolérantes tendent à proliférer au détriment des espèces caractéristiques. Nous n avons rencontré qu une seule situation correspondant au hors-classe : la station de Villette sur l Albenche. Le peuplement en place a été anéanti peu avant la pêche d inventaire par une pollution. Lors de la pêche, seules les truitelles de repeuplement lâchées après la pollution ont été recensées. Tableau récapitulatif des résultats de qualité. B2 B2+ B3 B3+ B4 B4+ B5 B5+ B6 Bassin de la Leysse Bassin du Sierroz Albanne ALN400 ALN300 ALN100 N Bruyant BRU200 DOR200 Doriaz FOR100 Forezan HYE700 HYE400 HYE100 Hyère LEY700 LEY600 LEY 400 LEY300 LEY200 LEY100 Leysse R des MAR100 Marais La Mère Reysse Ternèse Varon Abbaye Albenche Deisse Meunaz Monderesse Savigny Sierroz Belle Eau Tillet REY200 MON100 TER200 VAR100 ABB100 ALC300 ALC200 MEU100 SAV100 SIE500 SIE400 SIE100 MER200 MER100 DEI300 DEI400 TIL300 TIL200 BEL200 Peuplement piscicole Qualité physique DEI300 Qualité hydrobiologique Qualité de l eau 4

5 Présentation cartographique de l état des peuplements. 5

6 1.2 Richesse spécifique. Nombre d espèces Nombre de stations 0 1 3% % 2 3 9% 3 1 3% 4 2 6% % % 9 1 3% % % % % TOTAL 32 Comme on le voit sur ce tableau, les stations à peuplement monospécifique sont les plus nombreuses. Il s agit des stations de tête de bassin qui devraient théoriquement compter deux espèces (truite et chabot) mais pour lesquelles, en raison des caractéristiques de l habitat, on admet l absence du chabot. L autre grand ensemble de stations est celui des peuplements de 4 à 6 espèces (32%) qui correspond aux niveaux typologiques les plus représentés B3 à B4+ (32% des stations également). Les stations de 10 espèces et plus sont toujours en contact quasi complet avec le lac (Cf. chapitre suivant). La seule exception, la Deisse en amont d Albens, n en n est pas vraiment une : la station est effectivement isolée du lac du Bourget mais une partie des populations qui la peuple est alimentée par les étangs de Crosagny-Beaumont. 1.3 Evolution de l aval vers l amont Les stations les plus aval, en contact avec le lac du Bourget, présentent des richesses appréciables, le record étant observé sur la Leysse au Bourget du Lac avec 18 espèces recensées. Le nombre des espèces décroît assez rapidement vers l amont en raison de l évolution typologique mais également à cause des nombreux obstacles transversaux. 6

7 LEY100 B6 / 18 sp. Richesse spécifique de la Leysse 20 Nombre d'espèces LEY150 B6 / 12 sp. LEY200 B4+ / 10 sp. LEY300 B3+ / 4 sp. LEY400 B3 / 5 sp. LEY600 B2+ / 1 sp. LEY100 B2 / 1 sp Distance au lac (km) L exemple de la Leysse est assez intéressant : de la première à la deuxième station en partant du lac, la richesse chute de 33% ce qui s explique uniquement par la réduction de l influence du lac (pas d obstacle, niveau typologique équivalent). Entre LEY150 et LEY200, la baisse de la diversité est minime, liée à l évolution typologique et certainement aussi à la présence du seuil au droit de l usine Vetrotex ; Entre LEY200 et LEY300, la diversité chute de 60% ce qui s explique essentiellement par l évolution typologique (le peuplement est conforme) mais également par la présence de nombreux seuils infranchissables (limite amont pour le barbeau et le chevesne, espèces dont la présence marginale serait possible sur la station LEY300) ; L évolution positive entre LEY300 et LEY400, confirme cette appréciation : la population de blageon de la station LEY400 est pérenne mais trouve son origine dans les introductions volontaires à partir de pêches de sauvetages effectuées plus en aval. 2 LES POPULATIONS. 2.1 Fréquence des espèces. Au total, vingt-trois espèces de poissons et deux espèces d écrevisses ont été recensées. Parmi ces espèces, plus de la moitié (13) ont été qualifiées de rares ou accidentelles car apparaissant dans moins de 5 stations. Il s agit surtout d espèces des eaux calmes que l on rencontre à proximité de lac du Bourget ou sur la Deisse, juste en aval des étangs de Crosagny- Beaumont. Mais on trouve également dans cette catégorie des cyprinidés d eaux vives (vandoise 7

8 et barbeau) ou des espèces de la zone à truite (lamproie de planer) qui n occupent pas la totalité de leur aire potentielle sur le bassin du lac. Cinq espèces ont été qualifiées de peu fréquentes. On y retrouve le chevesne et le goujon que l on pouvait croire mieux répartis sur le bassin. Les trois espèces les plus fréquentes dans les affluents du lac du Bourget sont, respectivement, la truite fario (94% des stations), la loche franche (55% des stations) et le chabot (42% des stations). Suivent d assez prés le vairon et le blageon qui ont été observés dans 39% des stations. La fréquence de ces espèces correspond bien à la nature des cours d eau du bassin Chambérien. On notera tout de même : Une relative rareté du chabot qui pourrait être presque aussi fréquent que la truite ; La fréquence très moyenne du chevesne, espèce que l on s attendait à voir proliférer en faveur du contexte très banalisé des cours d eau ; La fréquence du couple tanche / perche soleil qui traduit la dégradation des habitats des parties aval des cours d eau. Le tableau ci-dessous résume ces informations. Espèce Nombre de station % Brème 1 3% Carpe 1 3% Poisson chat 1 3% accidentelles Rotengle 1 3% Truite arc en ciel 1 3% Barbeau 2 6% Blennie 2 6% Vandoise 2 6% Lotte 3 10% Perche 3 10% rares Lamproie de Planer 4 13% Perche soleil 4 13% Tanche 4 13% Brochet 5 16% Gardon 5 16% Goujon 6 19% peu fréquentes Epinoche 7 23% Chevesne 8 26% Blageon 12 39% Vairon 12 39% fréquentes Chabot 13 42% Loche franche 17 55% très fréquentes Truite fario 29 94% 8

9 2.2 Etat des populations. Les quatre espèces les plus caractéristiques du bassin versant, chabot, truite, loche et vairon, sont dans des situations mitigées à préoccupantes à l échelle du bassin, ce que montre le tableau suivant. Nombre de station ou l abondance est : Nombre de optimale faible très faible station total Chabot Truite Loche Vairon Ainsi, l abondance de ces quatre espèces est inférieure au potentiel théorique pour les deux tiers des stations. Le blageon est dans une situation plus favorable et semble profiter du recul des espèces précédentes, au moins sur les parties amont de la zone de piémont. Mais sa régression sur les parties aval montre qu il existe des problèmes. Globalement, de nombreuses espèces montrent des effectifs faibles. Pour certaines, cela se conjugue avec une aire de répartition réduite par rapport au potentiel ce qui accroît encore leur vulnérabilité. C est le cas de la blennie, du goujon, de la lamproie de Planer, de la lotte et de la vandoise. 9

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