2 postulats et 2 principes. Postulat 1 Représentation des concepts : Selon ce modèle, les concepts sont représentés en mémoire sous la forme de nœuds

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "2 postulats et 2 principes. Postulat 1 Représentation des concepts : Selon ce modèle, les concepts sont représentés en mémoire sous la forme de nœuds"

Transcription

1 DETOUR : L ORGANISATION DE LA MEMOIRE SEMANTIQUE : LE MODELE DE COLLINS ET QUILLIAN (1969). Plusieurs modèles ont été proposés pour expliquer l organisation des connaissances en mémoire sémantique. Nous en verrons un seul : le modèle en réseaux sémantiques de Collins et Quillian. Ce modèle est basé sur la catégorisation. D après ces auteurs, la mémoire sémantique est organisée en réseaux hiérarchisés : les concepts sont stockés en mémoire sous la forme d un réseau de nœuds interreliés. Cf. RRP catégorisation. 2 postulats et 2 principes. Postulat 1 Représentation des concepts : Selon ce modèle, les concepts sont représentés en mémoire sous la forme de nœuds

2 sémantiques (éléments de base du réseau). Chaque nœud représente un concept. Les concepts sont reliés entre eux par des liens associatifs : le nœud représentant le concept «oiseau» est relié au nœud représentant le concept «canari». A chaque nœud représentant un concept sont associés des nœuds représentant les propriétés de ce concept. Ainsi, au nœud représentant le concept «oiseau» sont associés plusieurs nœuds, chacun identifiant une propriété de la catégorie oiseau, comme «a des ailes», «peut voler» Les concepts et leurs propriétés représentent donc un réseau sémantique de nœuds interreliés. Postulat 2- Récupération de l information : Le processus à la base de la récupération de l information en MLT est la diffusion de l activation. Si un concept n est pas activé en MDT, il est au repos. Le niveau d activation d un concept au repos est appelé niveau de base d activation. Dès que le sujet voit ou entend «canari», ce concept est activé en mémoire. Donc le niveau d activation de ce concept augmente et dépasse le niveau de base d activation. Cette activation va se diffuser d un concept à l autre, suivant les liens, dans le réseau. L activation de «canari» va donc toucher également «oiseau» puis «animal». Deux principes encadrent ce fonctionnement : Principe 1- Organisation hiérarchique : Les concepts sont hiérarchisés en mémoire selon le niveau de généralité des catégories. Ainsi une catégorie super-ordonnée (animal) est stockée à un niveau au-dessus de celui d une catégorie subordonnée (oiseau). Principe 2- Economie cognitive : Une information n est stockée qu à un seul niveau : il n y a pas de redondance dans le réseau. Ces informations sont toujours stockées au niveau de généralité le plus élevé. Les niveaux subordonnés héritent de fait des propriétés stockées aux

3 niveaux superordonnés. Si une information est vraie à la fois pour «oiseau» et «poisson», elle sera stockée au niveau «animal». Ce modèle a permis aux auteurs de proposer un certain nombre de prédictions qu ils ont ensuite testé de manière expérimentale. Par exemple, la récupération d une propriété d un concept devrait être plus rapide à partir de ce concept qu à partir d un autre concept stocké à un autre niveau dans la hiérarchie, même si cette propriété caractérise les deux concepts (autrement dit, même si cette propriété est stockée à un niveau superordonné). Pour tester cette prédiction, les auteurs ont utilisé une tâche de vérification de phrases : des phrases simples sont présentées aux sujets sur un écran et pour chaque phrase, les participants doivent dire si cette phrase est juste ou fausse. On mesure alors les temps de réponse (et les taux d erreurs). Par exemple, les participants devront juger : Un canari est un oiseau Un canari est vert Un canari est un animal Les prédictions sont donc les suivantes : Juger une phrase comportant 2 concepts proches dans l organisation hiérarchique devrait prendre moins de temps que juger une phrase comportant 2 concepts éloignés. Donc les participants devraient mettre plus de temps pour dire «vrai» à «un canari a des ailes» qu à «un canari est jaune». Autrement dit, l activation prendra plus de temps pour «un canari a des ailes» que pour «un canari est jaune». Le temps de jugement devra donc augmenter avec le niveau hiérarchique. Les résultats expérimentaux de Collins & Quillian confirment exactement les prédictions. Il faut systématiquement

4 plus de temps (75ms environ) pour dire «vrai» à «un canari a de la peau» vs. «un canari peut voler». Toutefois, d autres auteurs ont montré que ce n est pas aussi simple : d autres facteurs entrant en ligne de compte! Effets de fréquence et de ressemblance sémantique. Conrad (1972) s est demandé si c était effectivement l implication hiérarchique qui jouait ou bien la fréquence de co-occurrence entre 2 concepts. Autrement dit, est-ce que c est le fait que «canari» est une sorte d oiseau qui explique la proximité en mémoire ou bien le fait que généralement, lorsqu on parle de canari, on fait également référence au concept d oiseau? Conrad a donc réalisé l expérience suivante, en 2 phases : Phase 1 : il a demandé à ses participants de dresser une liste des propriétés pour chaque catégorie (oiseaux, meubles, ). Le nombre de participants ayant utilisé une propriété donnée pour chaque catégorie était considéré comme un indice de fréquence de cette propriété pour cette catégorie. Si beaucoup de sujets donnaient la propriété «peau» pour «animal», les deux concepts étaient considérés comme fréquemment cooccurrents. A l inverse, si peu de sujets disaient «peau» pour «oiseau», la fréquence de co-occurrence des deux concepts étaient considérée comme faible. Phase 2 : Expérience de vérification de phrases. Les participants étaient soumis à des phrases dont les associations catégorie / propriété variaient à la fois au niveau de leur fréquence de co-occurrence et de leur niveau hiérarchique. Les sujets étaient donc confrontés à 6 conditions expérimentales (3 niveaux hiérarchiques et 2 fréquences).

5 Niveau du concept Fréquent Rare 1 Un requin peut bouger Un saumon a une bouche 2 Un oiseau peut bouger Un poisson a des yeux 3 Un animal peut bouger Un animal a de la peau Niveau hiérarchique et fréquence de cooccurence Tps de jugement (en ms) Série1 Série2 Niveaux hiérarchiques Série 1 = Rare Série 2 = Fréquent L effet réel n est donc pas celui d organisation hiérarchique mais bel et bien celui de fréquence de co-occurrence. Le temps pour dire «vrai» ne variait pas en fonction du niveau hiérarchique, mais était plus long pour les paires rares que pour les paires fréquentes. Les participants ont mis plus de temps pour répondre vrai à «un animal a de la peau» vs. «un animal peut bouger». Le modèle hiérarchique de Collins & Quillian ne prédit pas ce résultat car «a de la peau» et «peut bouger» sont stockés au même

6 niveau hiérarchique : les temps de réponse devraient donc être équivalents. Un autre résultat contredit ici les prédictions de C & Q : Les participants étaient plus rapides pour dire «vrai» à «un requin peut bouger» vs. «un animal a de la peau». Or c est l inverse qui était prédit : «peut bouger» est stocké à deux niveaux de distance de «requin» alors que «a de la peau» est stocké au même niveau qu «animal». C est donc bien la fréquence de co-occurrence qui produit ici les variations de temps de réponse («requin» et «peut bouger» sont plus souvent rencontrés ensemble que «animal» et «peau»). Glass & Holoyak (1975) ont également obtenu des résultats allant dans ce sens : les participants sont plus rapides (d environ 150 ms) pour dire «faux» à des phrases comme «un canari est un meuble» qu à des phrases comme «un canari est un mammifère». Or «meuble» se situe en dehors du champs sémantique des animaux! Donc si l activation se répandait entre les concepts (à partir de canari), «mammifère» devrait être atteint par l activation bien avant «meuble»! Effets de typicalité. Rappel sur les différents statuts des exemplaires d une catégorie. Travaux d Eleanor Rosch (1970 s). Propriétés nécessaires (doivent obligatoirement concerner l objet pour qu il puisse appartenir à la catégorie) vs. propriétés caractéristiques (présentes en général). Un exemplaire typique a davantage de propriétés caractéristiques. Exemple : Canari vs. autruche. Canari possède deux propriétés caractéristiques (présentes en général mais pas toujours) : «est petit» et «vole». Au contraire, Autruche n a pas ces propriétés caractéristiques

7 (mais d autres, qui le concernent exclusivement). De ce fait, Canari est plus typique de la catégorie oiseau que l autruche. Les items les plus typiques d une catégorie sont jugés plus rapidement que les items moins typiques. RETOUR ORGANISATION ET ENCODAGE Nous verrons maintenant comment l organisation du matériel peut contribuer à la mémorisation L organisation dans le rappel libre. Il y a 2 manières d étudier l effet de l organisation sur la rétention : En manipulant le degré d organisation du matériel présenté : on comparera alors les performances des participants à des tests de rétention pour diverses conditions d organisation du matériel à mémoriser ; En démontrant une organisation subjective du matériel présenté : on analysera alors les regroupements spontanés des items lors du rappel libre. C est à partir de l analyse de la structure des réponses du sujet qu une éventuelle stratégie subjective d organisation sera identifiée. Expérience de Bower et ses collaborateurs (Clark, Lesgold et Winzenz ; 1969). Ils utilisent ici un type d organisation particulièrement puissant : la hiérarchie (aujourd hui : une ontologie). Dans une organisation hiérarchique les items sont classés dans des catégories qui vont du général au particulier.

8 Ils demandèrent donc à leurs participants d apprendre tous les mots contenus dans 4 hiérarchies différentes (animaux, vêtements, moyens de transport et minéraux), comprenant chacune 28 mots, soit au total 112 mots. Exemple : Les participants étaient divisés en 2 groupes. Le groupe «organisé» étudiait des hiérarchies où les mots des niveaux supérieurs (superordonnés) étaient des catégories générales et devenaient de plus en plus spécifiques en descendant dans l arbre. Pour le groupe «aléatoire», les mots étaient insérés de façon aléatoire dans l arbre, sans aucune relation entre les positions. Les participants étudiaient chacune des 4 hiérarchies durant 1 minute et tentaient, à la fin, d effectuer le rappel des mots. Cette séquence étude-test représentait un essai et était répétée 4 fois.

9 Nombre de mots rappelés Présentation ordonnée Présentation aléatoire 0 E1 E2 E3 E4 Essais Les participants du groupe «organisé» réalisent la performance maximale (total des mots rappelés) dès le 3 ème essai. On constate que les différences de performances entre les 2 groupes sont très nettes. Il est intéressant de noter, par ailleurs, que les participants du groupe «organisé» effectuaient leur rappel dans l ordre hiérarchique : les participants commençaient par «minéraux», puis «métaux», etc. Cette étude illustre bien comment l organisation hiérarchique est importante pour mémoriser efficacement un contenu. (cf. apprentissage des cours : apprendre le plan!). Bower et ses collaborateurs ont aussi montré qu il n est pas nécessaire d utiliser une catégorisation très formelle pour bénéficier des avantages d une organisation hiérarchique. Ils ont ainsi utilisé des hiérarchies où les relations entre les mots sont d ordre associatif, perceptif ou fonctionnel. Exemple :

10 La relation entre «fromage» et «jaune» est d ordre perceptive, alors que celle entre «pain» et «blé» est fonctionnelle. Les résultats de cette étude ont démontré encore une nette supériorité de rétention pour les participants qui ont étudié les mots avec une structure organisée plutôt qu aléatoire. Donc la présentation organisée des informations à retenir facilite l apprentissage mais cela ne signifie pas, pour autant, pour en conclure que le contenu mnésique est lui-même organisé. D une part, il est possible que l organisation proposée par l expérimentateur ne corresponde pas à celle qui est utilisée par le participant. Cf. Organisation aléatoire : pourrait produire des interférences avec les connaissances déjà stockées en mémoire du participant (mais on teste le nb de mots rappelés, pas rappelés à la bonne place)! D autre part, il se pourrait que l organisation ne facilite que l élaboration d une trace plus forte, sans provoquer un encodage relationnel du contenu L organisation subjective.

11 Des études ont donc été menées pour tester l organisation subjective (celle du participant) d un contenu mémorisé. On étudie l organisation subjective par des tâches de rappel libre : on présente à nos participants, les mêmes mots à apprendre mais dans un ordre différent. Et on regarde, si certains mots sont regroupés lors du rappel. On proposera donc, par exemple, une liste catégorisée de 9 mots formée de 3 mots choisis dans 3 catégories (3 noms d animaux, 3 noms de métiers et 3 noms d outils). Ces mots ne sont pas regroupés par catégorie, dans la liste étudiée par le participant. Exemple fictif : Liste étude 1 er rappel 2 ème rappel 3 ème rappel 4 ème rappel lion souris chat marteau pompier pince chat souris lion pince plombier policier lion chat Policier pompier lion policier souris Lion marteau - pompier pompier Chat scie - marteau policier Souris souris - - pince Marteau chat Scie policier plombier Dans cet exemple fictif (mais crédible!), les noms d animaux sont immédiatement regroupés lors des rappels. Ce regroupement est par contre partiel pour les deux autres catégories (pompier et policier sont regroupés mais plombier est en fin de liste).

12 De plus, le regroupement ne se fait pas toujours dans le même ordre : parfois chat suit souris et inversement. Ce n est pas ici l ordre qui est important mais la proximité sémantique. L observation de ce type de résultat laisse supposer une organisation subjective de l information stockée en mémoire. «Subjective» car elle dépend du sujet (de ces connaissances préalables, de leur organisation, de ces associations d idées, donc de son expérience propre des objets de la liste). Donc l organisation des items proposée par le sujet ne reflète pas nécessairement la structure pensée a priori par l expérimentateur. L organisation subjective peut être basée sur des critères sémantiques mais aussi de surface : regroupement sur la base des premières lettres des items, par exemple Toutefois, c est une des difficultés principales de l étude de l organisation subjective : nous n avons pas de référence externe! Seul le sujet peut nous dire pourquoi tel et tel mot ont été regroupés. Par contre, pour expliquer les relations de proximité observées dans les réponses de nos participants, nous pouvons nous baser sur les propriétés et la structure possibles de la mémoire sémantique.

Prêt de série et création de groupes d emprunteurs

Prêt de série et création de groupes d emprunteurs BCDI v 2.2x - Prêt de série Modif : 11/11 1 Prêt de série et création de groupes d emprunteurs 1. Le responsable de série Le prêt d une série se fait par l intermédiaire d un responsable de série. Il n

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

[o] : o, au et eau. Leçon 2. olive radio sofa. fromage rose orange métro. On a déjà lu les mots

[o] : o, au et eau. Leçon 2. olive radio sofa. fromage rose orange métro. On a déjà lu les mots L eau de mer est salée. On a déjà lu les mots olive radio sofa Dans ces mots, la lettre o fait le son [o], comme dans le mot «vélo». Aussi comme dans les mots fromage rose orange métro 35 1 Encercler les

Plus en détail

mentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.

mentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux. Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique

Plus en détail

Baccalauréat professionnel GESTION ADMINISTRATION

Baccalauréat professionnel GESTION ADMINISTRATION Baccalauréat professionnel GESTION ADMINISTRATION 1 Ouvrir un compte Google Appuyer sur le bouton connexion de la page d accueil de Google. Appuyer ensuite sur le bouton. Remplir le formulaire d inscription.

Plus en détail

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique

Plus en détail

ELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications

Plus en détail

Module de gestion des contacts et échanges avec les clients et fournisseurs (CRM)

Module de gestion des contacts et échanges avec les clients et fournisseurs (CRM) bmi-fact+ Module de gestion des contacts et échanges avec les clients et fournisseurs (CRM) Module commun aux applications bmi-fact, bmi-compta, POWERGES et Gest-Office. Qu est-ce qu un CRM (Customer Relationship

Plus en détail

Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre

Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Principes de base Durant le premier semestre, vous serez amenés à remettre un travail effectué en groupe. Le but de celui-ci est de s intéresser

Plus en détail

.. -... -... Mention : En débat

.. -... -... Mention : En débat Page 1 sur 6 Point du programme Domaine d'activité : LE MONDE CONSTRUIT PAR L'HOMME FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II Objectifs généraux Comment fabriquer une petite voiture capable de rouler

Plus en détail

Rapport de Post- Campagne 1

Rapport de Post- Campagne 1 Rapport de Post- Campagne 1 Résumé - La campagne Adwords que nous avons mené pour Galerie Photo-Originale a duré 21 jours (5.05-26.05) et nous a coûté $250,18. L objectif principal est en premier de stimuler

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Guide utilisateur. Parrot MKi9100. Français. Parrot MKi9100 Guide utilisateur 1

Guide utilisateur. Parrot MKi9100. Français. Parrot MKi9100 Guide utilisateur 1 Guide utilisateur Parrot MKi9100 Français Parrot MKi9100 Guide utilisateur 1 Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 4 Installer le Parrot MKi9100... 5 Autoradio avec connecteur ISO...5 Autoradio avec entrées

Plus en détail

Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets

Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets Chapitre 2 Premiers Pas en Programmation Objet : les Classes et les Objets Dans la première partie de ce cours, nous avons appris à manipuler des objets de type simple : entiers, doubles, caractères, booléens.

Plus en détail

Organiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002.

Organiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002. Cycle 3 3 ème année PRODUCTION D'ECRIT Compétence : Ecrire un compte rendu Faire le compte rendu d'une visite (par exemple pour l'intégrer au journal de l'école ) - Production individuelle Précédée d'un

Plus en détail

La médiatrice d un segment

La médiatrice d un segment EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que

Plus en détail

Manuel d utilisation DeveryLoc

Manuel d utilisation DeveryLoc Manuel d utilisation DeveryLoc Page 1/37 Version Numéro de la version Date de modification Modification apporté Version v.1 Le 1 juillet 2004 Version v.2 Le 1 Juin 2006 Page 2/37 SOMMAIRE 1. SE CONNECTER

Plus en détail

Il permet d introduire une première réflexion sur le monde de l entreprise, et en particulier de la PME.

Il permet d introduire une première réflexion sur le monde de l entreprise, et en particulier de la PME. Réfléchir sur les qualités d un chef d entreprise permet au jeune d entrer en douceur dans le monde du travail et de désacraliser le métier de patron. Objectifs : Permettre au jeune de : Prendre connaissance

Plus en détail

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP.

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent

Plus en détail

Les jeunes et l'argent Vague 2

Les jeunes et l'argent Vague 2 Les jeunes et l'argent Vague 2 Etude publiée pour Axa Banque Mars 2015 Sommaire 1 4 L argent, un univers d évocation ambivalent pour les jeunes 7 Des jeunes qui affichent un certain optimisme pour l avenir

Plus en détail

Architecture des Systèmes d Information Architecture des Systèmes d Information

Architecture des Systèmes d Information Architecture des Systèmes d Information Plan... Tableaux et tris I3 - Algorithmique et programmation 1 Rappels Nicol Delestre 2 Tableaux à n dimensions 3 Initiation aux tris Tableaux - v2.0.1 1 / 27 Tableaux - v2.0.1 2 / 27 Rappels : tableau

Plus en détail

INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES

INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES INTRODUCTION AUX TECHNOLOGIES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES Les contenus de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information

Plus en détail

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA 75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche

Plus en détail

Etape 1 : Identification avec un compte personnel sur la plateforme (cf. notice «Création et gestion de votre compte utilisateur»)

Etape 1 : Identification avec un compte personnel sur la plateforme (cf. notice «Création et gestion de votre compte utilisateur») NOTICE D INFORMATION POUR L UTILISATION DE LA PLATEFORME DES AIDES REGIONALES (PAR) POUR LE DISPOSITIF DE «SOUTIEN AUX ESPACES DE TRAVAIL COLLABORATIF» NB : La plateforme des aides régionales est optimisée

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire

Plus en détail

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer NIVEAU DISCIPLINE CAPACITÉ COMPÉTENCE MOTS CLÉS ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer 1. TITRE : TRIER

Plus en détail

CONSOLE D ALARME AUTONOME POWERGUARD 2000

CONSOLE D ALARME AUTONOME POWERGUARD 2000 CONSOLE D ALARME AUTONOME POWERGUARD 2000 2. Détecteur de mouvement 1. Clavier code 3. Sirène intégrée 5. Indicateur d état 1. Précautions d emploi a. Le Powerguard 2000 est conçu pour un usage interne

Plus en détail

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions

Plus en détail

EP 2 071 505 A1 (19) (11) EP 2 071 505 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 17.06.2009 Bulletin 2009/25

EP 2 071 505 A1 (19) (11) EP 2 071 505 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 17.06.2009 Bulletin 2009/25 (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 071 0 A1 (43) Date de publication: 17.06.09 Bulletin 09/2 (1) Int Cl.: G06Q /00 (06.01) (21) Numéro de dépôt: 0817092.3 (22) Date de dépôt: 03.12.08 (84)

Plus en détail

Séquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II

Séquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - Petites Voitures CYCLE II Séquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II Point du programme Choisir un outil en fonction de son usage et mener à bien une construction simple.

Plus en détail

Référencement naturel & E-tourisme. Pau 02/10/2008

Référencement naturel & E-tourisme. Pau 02/10/2008 Référencement naturel & E-tourisme Pau 02/10/2008 Enjeux de la visibilité de votre site e-tourisme Principe de fonctionnement d un moteur de recherche Evaluer la qualité de référencement de son site internet

Plus en détail

APPROCHER LES QUANTITES ET LES NOMBRES en Moyenne Section

APPROCHER LES QUANTITES ET LES NOMBRES en Moyenne Section APPROCHER LES QUANTITES ET LES NOMBRES en Moyenne Section Module Dénombrer une quantité ( 8) Mémoriser la suite des nombres( 15) Décomposer les nombres( 3,4 et 5 ) Au travers de l exploitation d albums

Plus en détail

HA2000 RTC Transmetteur téléphonique

HA2000 RTC Transmetteur téléphonique HA2000 RTC Transmetteur téléphonique Manuel d installation & d utilisation SOMMAIRE I. GENERALITES...2 1) CONTENU DU KIT...2 2) IDENTIFICATION...2 3) ALIMENTATION...3 4) CONNEXION A LA LIGNE TELEPHONIQUE...4

Plus en détail

L évaluation de la performance de la communication media

L évaluation de la performance de la communication media L évaluation de la performance de la communication media Pascal ROOS Enseignant en BTS Management des Unités Commerciales Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) «Je sais qu un dollar de publicité

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

5-1/4" 5-1/4" 5/8" 2-1/2" 3/4" Ligne A. Figure 1. Ligne B. Ligne C. Entaille 1-1/2" Figure 2

5-1/4 5-1/4 5/8 2-1/2 3/4 Ligne A. Figure 1. Ligne B. Ligne C. Entaille 1-1/2 Figure 2 Ligne A Ray Catcher Sprint Deluxe Power Pak Guide de l étudiant Matériaux Vous aurez besoin des items ci-dessous pour créer votre voiture solaire. Donc, avant de débuter, prenez le temps de voir si tout

Plus en détail

AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER

AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER Où trouve-t-on de l amiante? Interdit en France depuis 1997, l'amiante est toujours présente dans les bâtiments construits avant cette date. Des dizaines de millions de mètres

Plus en détail

Circ.-CFB 03/1 Appel au public / Placements collectifs Page 1

Circ.-CFB 03/1 Appel au public / Placements collectifs Page 1 Circ.-CFB 03/1 Appel au public / Placements collectifs Page 1 Circulaire de la Commission fédérale des banques : Appel au public au sens de la législation sur les placements collectifs de capitaux (Appel

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Aucune frontière entre. Jean-Louis Aimar

Aucune frontière entre. Jean-Louis Aimar Jean-Louis Aimar Aucune frontière entre la Vie et la Mort 2 2 «Deux systèmes qui se retrouvent dans un état quantique ne forment plus qu un seul système.» 2 3 42 Le chat de Schrödinger L expérience du

Plus en détail

Niveau 1. Atelier d'initiation à l'ordinateur ... Fondation de la Bibliothèque Memphrémagog inc. Magog (Québec) J1X 2E7 Tél.

Niveau 1. Atelier d'initiation à l'ordinateur ... Fondation de la Bibliothèque Memphrémagog inc. Magog (Québec) J1X 2E7 Tél. . Fondation de la Bibliothèque Memphrémagog inc. Magog (Québec) J1X 2E7 Tél. : 843-1330 Atelier d'initiation à l'ordinateur Niveau 1.......... JB septembre 20085 1 Section I : Introduction à l ordinateur

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES.

CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES. DQ- Version 1 SSR Saint-Christophe CHARTE D UTILISATION DU SYSTÈME D INFORMATION ET EN PARTICULIER DES RESSOURCES INFORMATIQUES. I] INTRODUCTION L emploi des nouvelles technologies nécessite l application

Plus en détail

Rédiger pour le web. Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web

Rédiger pour le web. Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web Rédiger pour le web Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web Sommaire 1. Rédiger des contenus... 2 Lire à l écran : une lecture contraignante... 2 Ecrire des phrases

Plus en détail

Etape 1 : Identification avec un compte personnel sur la plateforme (cf. notice «Création et gestion de votre compte utilisateur»)

Etape 1 : Identification avec un compte personnel sur la plateforme (cf. notice «Création et gestion de votre compte utilisateur») NOTICE D INFORMATION POUR L UTILISATION DE LA PLATEFORME DES AIDES REGIONALES (PAR) POUR LE DISPOSITIF DE «SOUTIEN AUX STRUCTURES D AIDE A LA MATURATION DE PROJETS INNOVANTS EN VUE DE LA CREATION D ENTREPRISES»

Plus en détail

Ordonnance sur les fonds de placement

Ordonnance sur les fonds de placement Ordonnance sur les fonds de placement (OFP) Modification du 25 octobre 2000 Le Conseil fédéral suisse arrête: I L ordonnance du 19 octobre 1994 sur les fonds de placement 1 est modifiée comme suit: Art.

Plus en détail

Styler un document sous OpenOffice 4.0

Styler un document sous OpenOffice 4.0 Mars 2014 Styler un document sous OpenOffice 4.0 Un style est un ensemble de caractéristiques de mise en forme (police, taille, espacement, etc.) qui sert à structurer un document en l organisant de manière

Plus en détail

Tableau de bord. Tableau de bord. Statistiques des contenus de votre site (nb de pages, articles, commentaires...)

Tableau de bord. Tableau de bord. Statistiques des contenus de votre site (nb de pages, articles, commentaires...) Tutoriel WORDPRESS Tableau de bord 3 Tableau de bord Statistiques des contenus de votre site (nb de pages, articles, commentaires...) Press-Minute est un outils de publication rapide ou de préparation

Plus en détail

Auteure : Natalie Poulin-Lehoux

Auteure : Natalie Poulin-Lehoux Édition Centre FORA 432, avenue Westmount, unité H Sudbury (Ontario) P3A 5Z8 Information : 705-524-3672 Télécopieur : 705-524-8535 Commandes : cranger@centrefora.on.ca Site Web : www.centrefora.on.ca Auteure

Plus en détail

La culture financière des Français

La culture financière des Français C entr e de Recher c h e po u r l E t u d e et l Obser va t i o n des Co n d it io n s de V ie Département Conditions de vie et aspirations La culture financière des Français Etude réalisée à la demande

Plus en détail

Les petits pas. Pour favoriser mon écoute. Où le placer dans la classe? Procédurier. Adapter les directives. Référentiel Présentation des travaux

Les petits pas. Pour favoriser mon écoute. Où le placer dans la classe? Procédurier. Adapter les directives. Référentiel Présentation des travaux Tombe facilement dans la lune (distraction interne) Compenser les déficits d attention des élèves ayant un TDAH : des moyens simples à proposer aux enseignants Line Massé Département de psychoéducation,

Plus en détail

Règlementation municipale en matière d alarmes

Règlementation municipale en matière d alarmes Règlementation municipale en matière d alarmes ARTICLE 1 DÉFINITIONS Pour l interprétation du présent règlement, à moins que le contexte ne s y oppose, les mots et expressions suivants signifient et ce,

Plus en détail

Le logiciel : un outil de gestion des données, une aide pour le choix des techniques et un outil de communication pour le personnel de terrain

Le logiciel : un outil de gestion des données, une aide pour le choix des techniques et un outil de communication pour le personnel de terrain Le logiciel : un outil de gestion des données, une aide pour le choix des techniques et un outil de communication pour le personnel de terrain La WALLONIE comprend 262 communes Communes de 1 à 5.000 habitants

Plus en détail

Prochaines Dates séminaires 2015. Nom : Prénom :.. Date naissance :.. Adresse Complète :

Prochaines Dates séminaires 2015. Nom : Prénom :.. Date naissance :.. Adresse Complète : Bulletin d inscription Séminaire A renvoyer à Manuel SPERLING 33, rue des Tulipiers 93110 ROSNY ou à scanner à bougerlavie@gmail.com Séminaire 2015 choisi : Participation au séminaire : Module 3 et 4 =

Plus en détail

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre

Plus en détail

1- LES FONDAMENTAUX DU JEU PAR LES COTES.

1- LES FONDAMENTAUX DU JEU PAR LES COTES. JEU PAR LES COTES Utilisation de la largeur. Fondamentaux tactiques >> Fondamentaux Offensifs >> Jeu par les côtés L e jeu actuel voit des équipes s affronter avec une grande densité de joueurs dans l

Plus en détail

Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public

Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public Octobre 2013 1 / 24 SOMMAIRE 1) LE PROCESSUS DE SOUSCRIPTION 1.1) Quand souscrire les assurances construction? 1.2) Quels sont les

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010

Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

NB : J ai trouvé ce texte sur le net sans que son auteur soit indiqué. Je regrette donc de ne pouvoir lui rendre hommage pour ce travail.

NB : J ai trouvé ce texte sur le net sans que son auteur soit indiqué. Je regrette donc de ne pouvoir lui rendre hommage pour ce travail. NB : J ai trouvé ce texte sur le net sans que son auteur soit indiqué. Je regrette donc de ne pouvoir lui rendre hommage pour ce travail. Questions : - Comment définir la mémoire? Quelles sont les fonctions

Plus en détail

RESULTATS ENQUETES VIADEO (JUIN 2010)

RESULTATS ENQUETES VIADEO (JUIN 2010) RESULTATS ENQUETES VIADEO (JUIN 2010) On a tous commandé au moins une fois sur un site marchand et on a tous été au moins une fois en relation avec un service clients 1 SOMMAIRE 1. Les médias utilisés

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

CONTROLE D ACCES A TRANSPONDEUR LECTEUR DE BADGE SANS CONTACT ST

CONTROLE D ACCES A TRANSPONDEUR LECTEUR DE BADGE SANS CONTACT ST CONTROLE D ACCES A TRANSPONDEUR LECTEUR DE BADGE SANS CONTACT ST 660 Référence : 9690 Ce système utilise la technique du transpondeur, c est à dire que les échanges de données entre le badge et le lecteur

Plus en détail

Les probabilités. Chapitre 18. Tester ses connaissances

Les probabilités. Chapitre 18. Tester ses connaissances Chapitre 18 Les probabilités OBJECTIFS DU CHAPITRE Calculer la probabilité d événements Tester ses connaissances 1. Expériences aléatoires Voici trois expériences : - Expérience (1) : on lance une pièce

Plus en détail

Viadeo, prêt à l emploi. livret de formation pour les particuliers

Viadeo, prêt à l emploi. livret de formation pour les particuliers Viadeo, prêt à l emploi livret de formation pour les particuliers sommaire Objectifs de la formation Cette formation, dispensée par Viadeo et Orange, poursuit un triple objectif : vous aider à comprendre

Plus en détail

SNT4U16 - Initiation à la programmation 2014-2015. TD - Dynamique de POP III - Fichiers sources

SNT4U16 - Initiation à la programmation 2014-2015. TD - Dynamique de POP III - Fichiers sources SNT4U16 - Initiation à la programmation Licence SVT 2 ème année 2014-2015 TD - Dynamique de POP III - Fichiers sources contacts : mathias.gauduchon@univ-amu.fr, melika.baklouti@univ-amu.fr, xavier.giraud@univ-amu.fr,

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CCTP

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CCTP Mairie de BRAILLANS 9 rue de la mairie 25640 BRAILLANS 03 81 57 93 30 Email : mairie.braillans@orange.fr MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

Plus en détail

Ariane Moffatt : Je veux tout

Ariane Moffatt : Je veux tout Ariane Moffatt : Je veux tout Paroles et musique : Ariane Moffatt Sony Music France Thèmes La relation amoureuse, les enfants gâtés. Objectifs Objectifs communicatifs : Exprimer un sentiment. Exprimer

Plus en détail

Version du 17 octobre 2011. Le bruit

Version du 17 octobre 2011. Le bruit Version du 17 octobre 2011 Le bruit Bruit et BTP Etat des lieux Surdité professionnelle : handicap irréversible SUMMER 2003 : 25% des salariés victimes du bruit Maladies professionnelles (tableau N 42)

Plus en détail

Situation d apprentissage Les traits vivants avec le logiciel LopArt DUO (#P002)

Situation d apprentissage Les traits vivants avec le logiciel LopArt DUO (#P002) (#P002) Situation Description... 2 Compétences visées... 2 Préparation (Environ 30 minutes)... 3 Réalisation (Environ 45 minutes)... 4 Intégration (Environ 15 minutes)... 5 Réinvestissement... 5 Fiche

Plus en détail

Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou

Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou (Publié par la revue EPS1) Deux classes... TPS/PS : Julie NIELSEN MS/GS : Karine BONIFACE (Mail : ec-taulignan@montelimar.ac-grenoble.fr)

Plus en détail

La carte d achat, c est quoi ça?

La carte d achat, c est quoi ça? La, c est quoi ça? C est un outil mis à disposition des structures publiques et privées qui modifie et simplifie l acte d approvisionnement : C est une carte bancaire nominative et sécurisée qui permet

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

Coordination de subordonnées relatives : identification et correction

Coordination de subordonnées relatives : identification et correction IDENTIFICATION SYNTAXE ET CORRECTION 1 Coordination Coordination de subordonnées relatives : identification et correction En cliquant sur le bouton «Rubrique grammaticale» dans notre site, vous pourrez,

Plus en détail

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table

Plus en détail

Règles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1

Règles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1 Règles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1 Préambule Les questions à choix multiple (QCM) sont une méthode à la fois fiable, objective, valide et rentable

Plus en détail

L'identité de l'entreprise

L'identité de l'entreprise L'identité de l'entreprise ACT Formation 181 à 203 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon Tél. 33 00/4 72 73 48 79 Fax 33 00/4 72 73 11 20 email : info@actformation.fr www.actformation.fr ACT Formation SA 1 route

Plus en détail

La température du filament mesurée et mémorisée par ce thermomètre Infra-Rouge(IR) est de 285 C. EST-CE POSSIBLE?

La température du filament mesurée et mémorisée par ce thermomètre Infra-Rouge(IR) est de 285 C. EST-CE POSSIBLE? INVESTIGATION De nombreux appareils domestiques, convecteurs, chauffe-biberon, cafetière convertissent l énergie électrique en chaleur. Comment interviennent les grandeurs électriques, tension, intensité,

Plus en détail

Services bancaires par Internet aux entreprises. Guide pratique pour : Rapports de solde Version 8.05.22

Services bancaires par Internet aux entreprises. Guide pratique pour : Rapports de solde Version 8.05.22 Services bancaires par Internet aux entreprises Guide pratique pour : Rapports de solde Version 8.05.22 Table des matières Avez-vous besoin d aide?... 3 Exigences informatiques... 4 Navigateurs acceptés...

Plus en détail

INFORM@TIQUE PROGRAMME PROVISOIRE. Degré 9 (1CO)

INFORM@TIQUE PROGRAMME PROVISOIRE. Degré 9 (1CO) INFORM@TIQUE PROGRAMME PROVISOIRE Degré 9 (1CO) DECS SE, mai 2011 PREAMBULE L ordinateur et les moyens multimédias en général font partie du quotidien des élèves. Ils sont utilisés comme instruments de

Plus en détail

Fiche d exploitation andragogique La maison de Marjo

Fiche d exploitation andragogique La maison de Marjo Fiche d exploitation andragogique La maison de Marjo Résumé du livre Marjo a toujours rêvé d avoir une grande maison avec des animaux. Après avoir épousé Daniel, elle réalise son rêve et devient fermière.

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

et déterminant à elle seule la réussite ou non d une page.

et déterminant à elle seule la réussite ou non d une page. Facebook est un réseau social créé en 2004 qui compte désormais plus d 1,35 Milliard d utilisateurs actifs à travers le monde. En France, il y a plus de 21 Millions d utilisateurs réguliers, ce qui montre

Plus en détail

I/ Qu est-ce que l aphasie? French

I/ Qu est-ce que l aphasie? French I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,

Plus en détail

Conférence et partage avec NetMeeting

Conférence et partage avec NetMeeting Conférence et partage avec NetMeeting Outil de communication, disponible dans l environnement Windows, NetMeeting peut être utilisé en dehors d Internet sur un réseau local. Il offre alors des fonctions

Plus en détail

Cryptologie et physique quantique : Espoirs et menaces. Objectifs 2. distribué sous licence creative common détails sur www.matthieuamiguet.

Cryptologie et physique quantique : Espoirs et menaces. Objectifs 2. distribué sous licence creative common détails sur www.matthieuamiguet. : Espoirs et menaces Matthieu Amiguet 2005 2006 Objectifs 2 Obtenir une compréhension de base des principes régissant le calcul quantique et la cryptographie quantique Comprendre les implications sur la

Plus en détail

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti Hamid Mohamed Aden, Directeur du CRIPEN, Djibouti Xavier Roegiers, Professeur à l Université de Louvain, Directeur

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Fourniture d un outil de gestion du courrier électronique pour les sites internet de la Documentation Française

Fourniture d un outil de gestion du courrier électronique pour les sites internet de la Documentation Française Fourniture d un outil de gestion du courrier électronique pour les sites internet de la Documentation Française Cahier des Clauses Techniques Particulières 1 Préambule L objet du présent appel d offres

Plus en détail

opti-vm Serveur Vocal et Standard Automatique Siemens HiPath 11xx et Hipath 12xx Installation et Guide Utilisateur Version 1.0

opti-vm Serveur Vocal et Standard Automatique Siemens HiPath 11xx et Hipath 12xx Installation et Guide Utilisateur Version 1.0 opti-vm Serveur Vocal et Standard Automatique Siemens HiPath 11xx et Hipath 12xx Installation et Guide Utilisateur Version 1.0 SOMMAIRE SOMMAIRE 1- INTRODUCTION... 4 1.1 Standard Automatique...4 1.2 Messagerie

Plus en détail

Déployer une Stratégie Web Globale

Déployer une Stratégie Web Globale Lundi 23 Avril 2012 Déployer une Stratégie Web Globale au service de sa structure Plan de la présentation A) Internet en France aujourd'hui B) Internet : une constellation de moyens à disposition C) Pourquoi

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

Fiche pédagogique : ma famille et moi

Fiche pédagogique : ma famille et moi Fiche pédagogique : ma famille et moi Tâche finale de l activité : Jouer au «Cluedo» Niveau(x) Cycle 3 Contenu culturel : - jeux de sociétés Connaissances : Connaissances requises : - cf séquences primlangue

Plus en détail

(OPINIONS 2.0) Le rapport de restitution (papier et digital) reprend la totalité des réponses avec le classement des occurrences (histogrammes)

(OPINIONS 2.0) Le rapport de restitution (papier et digital) reprend la totalité des réponses avec le classement des occurrences (histogrammes) (OPINIONS 2.0) Vous souhaitez engager une consultation ouverte et maîtrisée avec vos clients, vos collaborateurs, vos citoyens? Vous souhaitez co-construire une vision, un projet, dans un processus accéléré

Plus en détail

SITE I NTERNET. Conception d un site Web

SITE I NTERNET. Conception d un site Web SITE I NTERNET Conception d un site Web Conception de votre site Web Préambule Ce document a pour but de donner une méthode de travail afin de réaliser dans les meilleures conditions un site internet.

Plus en détail