RAPPORT D ANALYSE DU BUDGET CITOYEN 2012 DU MALI
|
|
- Vincent Lapierre
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RAPPORT D ANALYSE DU BUDGET CITOYEN 2012 DU MALI Sikasso, Juin 2012
2 Introduction L Etat malien a publié au premier trimestre 2012 le deuxième budget citoyen. Ce document, qui est une présentation synthétique de la loi de finances 2012, met l accent sur les indicateurs de croissance prévus pour Aussi, les objectifs fixés le gouvernement en termes de croissance économique sont-ils basés sur un taux de croissance réelle de 5,5% et un taux d inflation de 2,2%. Sur la base de ces indicateurs, il est attendu des ressources financières de l ordre de 1 341,5 milliards de FCFA, en augmentation de 5,2% par rapport à Quant aux dépenses, elles sont estimées à 1 483,5 FCFA, en progression de 4,2%. Le présent rapport est une analyse de la structure des principaux postes du budget Il apprécie également l évolution de la part du budget consacré aux secteurs sociaux, notamment la santé et l éducation. Rappelons que cette analyse s effectue dans un contexte marqué par l impact de la crise sociopolitique que traverse le pays et qui aura des effets certains sur le niveau de mobilisation des ressources (internes et externes) et par conséquent sur les dépenses. 2
3 1. ANALYSE DES RECETTES Les projections de recettes et de dépenses ont été faites sur la base d un certain nombre d hypothèses que s est fixé le gouvernement et parmi lesquelles, le taux de pression fiscale (qui devrait atteindre 15,9% en 2012) et du taux d inflation (qui ne devrait pas dépasser 2,2% en 2012). Sur la base de ces hypothèses, les recettes totales du budget devraient passer de 1 275,7 milliards FCFA à 1 341,8 milliards FCFA, soit une hausse de 5,2% par rapport à Analyse de la structure des recettes Les principales sources de recettes du budget national sont constituées de recettes propres (recettes fiscales, recettes non fiscales et recettes exceptionnelles) et de ressources extérieures (emprunts et dons). L analyse de la structure de ces recettes montre que les recettes fiscales constituent la principale source de financement du budget national. Elles représentent plus de 65% des recettes totales attendues en Graphique 1 : Structure des recettes du budget ,70% 0,70% 13,70% 0,90% 5,70% 65,30% Recettes fiscales Recettes non fiscales Recettes exceptionnelles Emprunts Dons Recettes des budgets annexes Les emprunts et les dons viennent en deuxième position et le poids de recettes représente 13,70% du budget (voir graphique 1). Quant aux prévisions de recettes non fiscales, elles représentent 7,7% du budget Analyse de l évolution des recettes L analyse des principaux postes de recettes du budget 2012 montre les évolutions suivantes : - une augmentation des recettes fiscales qui atteignent 875,9 milliards des FCFA en 2012, soit une augmentation de 14,1% par rapport à Les prévisions de recettes non fiscales, qui comprend notamment les recettes de services, sont en baisse de 31,8 % par rapport à Aucune explication n est fournie par l Etat quant à cette évolution négative. En effet, c est près de 36 milliards de FCFA que l Etat perd au titre de cette nature de recette. - On remarque également que les prévisions de dons à recevoir sont en baisse de 13,7% par rapport à 2011, soit près de 30 milliards FCFA de moins que Cette baisse relativement importante n a pas été explicitée par le budget citoyen. 3
4 - En revanche, les prévisions d emprunts sont en hausse par rapport à 2011, passant de 157,9 milliards FCFA à 183, 8 milliards FCFA, soit une augmentation de 16,4%. Les emprunts étant assortis d une obligation de remboursement, une analyse approfondie de cette nature de ressources s impose afin de prendre en compte les capacités de remboursement. Pour ce faire, des informations sur le taux d intérêt des emprunts à contracter en 2012 ainsi que les échéances de paiement seraient d une grande utilité pour l analyse de cette ressource budgétaire. Tableau 1 : Evolution des recettes budgétaires de l Etat par nature entre 2011 et 2012 Nature recettes Taux de Montant Part Montant Part croissance Recettes fiscales 767,8 60,2% 875,9 65,3% 14,1% Recettes non fiscales 112,7 8,8% 76,8 5,7% -31,9% Recettes exceptionnelles 14 1,1% 11,6 0,9% -17,1% Emprunts 157,9 12,4% 183,8 13,7% 16,4% Dons 213,2 16,7% ,7% -13,7% Recettes des budgets annexes 10,1 0,8% 9,6 0,7% -5,0% Total 1275,7 100,0% 1341,7 100,0% 5,2% 2. ANALYSE DES DEPENSES 2.1. Analyse de la structure des dépenses Les principales postes de dépenses du budget 2012 sont constituées des dépenses courantes, des dépenses en capital et de la datte. L analyse de ces postes montre que les dépenses courantes occupent la première place avec 54,20%. Elles sont suivies des dépenses en capital (36,70%) et des dépenses liées à la dette (8,50%). Part des principaux postes de dépesnes du budget 0,60% 36,70% 8,50% Dépenses courantes Dette Dépenses en capital 54,20% 4
5 2.2. Analyse de l évolution des dépenses Les prévisions de dépenses totales du budget 2012 enregistrent une croissance de 4,2% par rapport à L analyse des principales rubriques montre que les prévisions de dépenses courantes sont passées de 723, 6 milliards FCFA à 803,8 milliards FCFA entre 2011 et 2012, soit une hausse de 11,1%. L analyse détaillée de cette rubrique montre que c est les dépenses de personnel et les dépenses de déplacement et mission qui ont enregistré le plus fort taux de croissance avec respectivement 13,7% et 13%. Les prévisions de dépenses liées au service de la dette sont passées de 104,2 milliards FCFA à 126,1 milliards FCFA entre 2011 et 2012, soit une hausse de 21%. Cette augmentation ne pourra être bien appréciée que si des informations étaient disponibles sur l utilisation qui en serait faite, notamment les secteurs concernés en lien avec les engagements pris par l Etat. Quant aux prévisions de dépenses en capital, elles sont en baisse de 7,1% entre 2011 et 2012 et s expliquent notamment par la baisse des prévisions relatives aux équipements et investissements (37,8%) et les appuis budgétaires (35,6%), (voir tableau 2). Tableau 2 : Evolution des dépenses budgétaires de l Etat par nature entre 2011 et Comptes économiques 2011 Part 2012 Part Accrois Dépenses courantes 723,6 50,8% 803,8 54,2% 11,1% Personnel 269,7 18,9% 306,7 20,7% 13,7% Matériel et fonctionnement 90,3 6,3% 97 6,5% 7,4% Déplacement et missions 37,7 2,6% 42,6 2,9% 13,0% Communication et énergie 30,1 2,1% 30,7 2,1% 2,0% Autres dépenses 112,3 7,9% 122,1 8,2% 8,7% Transferts et subventions 183,5 12,9% 204,7 13,8% 11,6% Dette 104,2 7,3% 126,1 8,5% 21,0% Dépenses en capital 585,8 41,1% ,7% -7,1% Equipement et investissement 89,6 6,3% 55,7 3,8% -37,8% BSI fin intérieur 126 8,9% 130,1 8,8% 3,3% BSI fin extérieur 325,2 22,8% 329,2 22,2% 1,2% Appui budgétaire 45 3,2% 29 2,0% -35,6% Budget annexes et comptes spéciaux 10,1 0,7% 9,6 0,6% -5,0% Total dépenses 1423,7 100,0% 1483,5 100,0% 4,2% 5
6 2.3. Analyse des dépenses par axes et par secteur L analyse des prévisions de dépenses suivant les trois axes retenus montre que les dotations des axes «Accès équitable aux services sociaux de qualité» et «Consolidation de la gouvernance et des réformes structurelles» ont enregistré une hausse respective de 5,6% et de 3,1% entre 2011 et L axe a, en revanche, enregistré une baisse de 1,3% sur la même période. L analyse par axe permet de faire les remarques suivantes : Concernant l axe «Promouvoir une croissance durable et créatrice d'emploi», l analyse des dotations budgétaires par secteur montre des baisses significatives par rapport à 2011 au niveau des Mines, de l industrie et du commerce (15,6%), des transports et communication (18,9%) et des travaux publics (10,7%). Le secteur de l emploi et de l agriculture ont quant à eux, enregistré une hausse respective de 21,7% et 20,3%. Aucune information n est fournie par l Etat dans le budget citoyen. La part de cet axe dans les dépenses totales du budget 2012 est de 24,9%, en baisse de 1,4 point par rapport à L axe «Accès équitable aux services sociaux de qualité» a enregistré une baisse significative au niveau des secteurs de l urbanisme et logement (32,9%). Le secteur de l Assainissement et approvisionnement en eau potable a également enregistré une baisse (4,5%). Les dotations de la santé sont en légère baisse (0,8%. Le secteur de l éducation, par contre, enregistre une hausse significative de 9,6% sur la période La part de cet axe dans les dépenses totales du budget 2012 est de 36%, soit une hausse de 0,6 point par rapport à Les crédits affectés à la «Consolidation de la gouvernance et des réformes structurelles» ont enregistré une hausse généralisée de toutes les postes de dépenses (Voir Tableau 3) 6
7 Tableau 3 : Dépenses totales par axes et par secteurs Axes/ secteurs Promouvoir une croissance durable et créatrice d'emploi Montant Part Montant Part Accroiss 441,8 31,0% 436,2 29,4% -1,3% Agriculture ,0% 188,9 12,7% 20,3% Mine ind comm, etc. 99,6 7,0% 84,1 5,7% -15,6% Travaux publics 118,3 8,3% 105,6 7,1% -10,7% Transport et communication 58,7 4,1% 47,6 3,2% -18,9% Emploi 8,3 0,6% 10,1 0,7% 21,7% Accès équitable aux services sociaux de qualité 506,5 35,6% 534,7 36,0% 5,6% Education 271,3 19,1% 297,3 20,0% 9,6% Santé 120,4 8,5% 119,4 8,0% -0,8% Urbanisme et logement 7,6 0,5% 5,1 0,3% -32,9% Assainissement et approv eau pot 44,8 3,1% 42,8 2,9% -4,5% Autres secteurs sociaux 62,4 4,4% 70 4,7% 12,2% Consolidation de la gouvernance et des réformes structurelles ,9% 277,3 18,7% 3,1% Pouvoirs publics et admi générale 138,1 9,7% 141,8 9,6% 2,7% Diplomatie et aff étrangères 24,9 1,7% 27 1,8% 8,4% Défense nationale et sécu intérieure 106 7,4% 108,5 7,3% 2,4% Dette 94,2 6,6% 126,1 8,5% 33,9% Dotations non réparties 112,2 7,9% 109,2 7,4% -2,7% Total 1423,7 100,0% 1483,5 100,0% 4,2% Conclusion La conjecture économique internationale, notamment la crise de la dette dans certains pays européens conjuguée avec les effets de la crise socio-économiques sur l économie nationale risquent d impacter négativement et de façon significatives les indicateurs de croissance et par conséquent, réduire fortement les prévisions de recettes pour Aussi, des mesures devraient-elles être prises pour ajuster les prévisions de recettes et de dépenses avec l évolution de la situation sociopolitique, ce qui pourrait nécessiter un réaménagement des lignes budgétaires. 7
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détailLa saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement
ANNEXE 2 EXPLICITATION DES RUBRIQUES La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. 1. Récapitulation des crédits destinés aux opérateurs de l État
Plus en détailGUIDE FONCTIONNEL. Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils
GUIDE FONCTIONNEL Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils SOMMAIRE I - Objectifs 1 - Calculer des indicateurs financiers 2 - Animer la réflexion prospective II
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailLa LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?
La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette
Plus en détailRAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014
RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB!
ANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB! 16 septembre 2014 Caroline GRAOUER & Christian ESCALLIER Cabinet Michel Klopfer 6 bis, rue de Larminat 75015 Paris Tél. : 01
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailIsabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr
Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare
Plus en détailPROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT
PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailCompte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change
Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices de change Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 2 COUR DES COMPTES Pertes et bénéfices de change LFI Exécution 1 Ecart Recettes 25 M 19,3 M -5,7
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET
ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation
Plus en détailEMPRUNTS OBLIGATAIRES EMIS PAR LES SOCIETES. Conséquences du financement par emprunt obligataire dans le tableau de financement de l'entreprise.
EMPRUNTS OBLIGATAIRES EMIS PAR LES SOCIETES Objectif(s) : o Pré-requis : Conséquences du financement par emprunt obligataire dans le tableau de financement de l'entreprise. o Outils de mathématiques financières
Plus en détailDans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer ce qui est comparable.
Réunion du 12 mai 2011 1 Premiers éléments de caractérisation financière du territoire Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailCLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS
CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailLes avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge
Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Par : Geert Langenus (Département Études, Banque nationale de Belgique, geert.langenus@nbb.be) 4 e réunion annuelle des responsables
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailCREATION & GESTION DE VOTRE COMPTE UTILISATEUR
NOTICE D UTILISATION DE LA PLATEFORME DES AIDES REGIONALES CREATION & GESTION DE VOTRE COMPTE UTILISATEUR SOMMAIRE 1- PREMIERE CONNEXION : ACCEDER A LA PAR... 2 2-CREER SON COMPTE UTILISATEUR SUR LA PAR...
Plus en détailcredit crunch ou non?
ANALYSE FEB Financement des investissements : credit crunch ou non? Octobre 2013 8,1% II recul des investissements en comparaison avec leur niveau le plus élevé avant la crise 13,9% II l augmentation de
Plus en détailRoyaume du Maroc المرجع :
المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements
Plus en détailGuide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées
Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit
Plus en détailGuide comptable. Les inscriptions comptables
Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailPREMIERE CONNEXION & CREATION DU COMPTE
NOTICE D UTILISATION DE LA PLATEFORME DES AIDES REGIONALES (PAR) PREMIERE CONNEXION & CREATION DU COMPTE SOMMAIRE 1- PREMIERE CONNEXION : ACCEDER A LA PAR...2 2-CREER SON COMPTE UTILISATEUR SUR LA PAR...2
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailBUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT
BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT Le service de l assainissement est un service public à caractère industriel et commercial, soumis à la comptabilité M4 différente de la comptabilité M14 applicable au
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailMission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014
Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Provisions - Dotation pour dépenses accidentelles destinée à faire face à des calamités et pour dépenses imprévisibles - Dotation pour mesures
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailSéminaire de l observation urbaine. Utiliser les simulations financières
CERTU-FNAU-INSEE Séminaire de l observation urbaine Utiliser les simulations financières Victor Chomentowski 20 octobre 2005 Hist. Villes Nouvelles - Conjuguer 1 Présentation Validité des prévisions-simulationsprospective
Plus en détailSSIG UN ÉCLAIRAGE COMPARATIF PA S C A L E V I E L L E F E R R A R A 1 4 / 0 2 / 2 0 1 3
SSIG UN ÉCLAIRAGE COMPARATIF PA S C A L E V I E L L E F E R R A R A 1 4 / 0 2 / 2 0 1 3 LA SÉCURITÉ DES CITOYENS EUROPÉENS, UN DÉFI À LA CRISE La transformation des besoins exige une renégociation fondamentale
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailBUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015
BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailMODULE 6 - TRÉSORERIE ET GESTION BANCAIRE
MANUEL DE GESTION FINANCIÈRE POUR LES BÉNÉFICIAIRES DE FONDS EUROPÉENS DESTINÉS AUX ACTIONS EXTÉRIEURES - Histoire vraie Notre ONG, la «Croix verte», était basée au Royaume-Uni et gérait plusieurs projets
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailRAPPORT ANNUEL Exercice 2006
RAPPORT ANNUEL Exercice 2006 1 MESSAGE DE LA PRESIDENTE Chers Membres, Honorables délégués régionaux, Ce jour marque la tenue de la 13 ème Assemblée Générale de notre Mutuelle d Epargne et de Crédit depuis
Plus en détailI. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers :
Fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains établissements publics ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés à risque les plus sensibles I. Description
Plus en détailMOBILISATION DES RESSOURCES ET COORDINATION
REPUBLIQUE DU SENEGAL --------------- Un Peuple, Un But, Une Foi --------------- MINISTERE DE L ECONOMIE DES FINANCES ET DU PLAN MOBILISATION DES RESSOURCES ET COORDINATION Besoins de financement global
Plus en détailPatrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao
Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations
Plus en détailOPERATIONS NON BUDGETAIRES
OPERATIONS NON BUDGETAIRES 1 Dotation ou apport 2 Affectation services non dotés de la personnalité morale 3 Affectation services dotés de la personnalité morale 4 Désaffectation ou retour d un bien affecté
Plus en détailTRAITEMENT DU SURENDETTEMENT. Évolutions résultant de la loi portant réforme du crédit à la consommation
Direction générale des activités fiduciaires et de place Direction de la surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière Service infobanque et surendettement TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailLe Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux
Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme Définition et principes généraux Définition du CDMT Le CDMT est un instrument de programmation triennal glissant permettant de placer la gestion budgétaire dans une perspective
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailCahier spécial des charges pour un marché de services : conclusion d'emprunts pour le financement du service d'investissements de l'exercice 2006
Centre Public d'action Sociale de Jette Rue de l'eglise 47-49 1090 Bruxelles Cahier spécial des charges pour un marché de services : conclusion d'emprunts pour le financement du service d'investissements
Plus en détailPréavis No 22-2006 au Conseil communal
VILLE DE PULLY Municipalité Direction Administration générale, finances et affaires culturelles Préavis No 22-2006 au Conseil communal Fixation du plafond d endettement et du plafond pour les cautionnements
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailRevue financière. 2 e trimestre 2015. Le 5 août 2015
Revue financière 2 e trimestre 2015 Le 5 août 2015 AVERTISSEMENT Déclarations prospectives Certaines déclarations contenues dans cette présentation, incluant celles ayant trait aux résultats et au rendement
Plus en détailCOMMUNE DE SALINS-LES-BAINS
COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr
Plus en détailCONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens
Plus en détailpour le trimestre qui a pris fin le 30 juin 2014
pour le trimestre qui a pris fin le 30 juin 2014 De la recherche à l action Le CRDI finance des travaux de recherche appliquée dans les pays en développement afin d y accroître la prospérité et la sécurité
Plus en détailSIVOM DE LA VALLEE DU CADY PRESENTATION DU BUDGET PRIMITIF 2015
SIVOM DE LA VALLEE DU CADY PRESENTATION DU BUDGET PRIMITIF 2015 PREAMBULE 1) POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 2015, LE BUDGET M49 DES SERVICES EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT EST VOTÉ EN HORS TAXES. PAR CONSÉQUENT,
Plus en détailCompte rendu. Mercredi 8 juillet 2009 Séance de 9 heures. Commission des Finances, de l économie générale et du contrôle budgétaire
Compte rendu Commission des Finances, de l économie générale et du contrôle budgétaire Mercredi 8 juillet 2009 Séance de 9 heures Compte rendu n 108 Examen de la proposition de résolution sur l avant-projet
Plus en détailCOMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007
COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles
Plus en détailDébat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013
Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes
Plus en détailCompte administratif 2013 - Affectation des résultats au budget 2014 Pôle Finances Budget Comptabilité Préambule L B B F I BF F Le cheminement logique est le suivant : 1. Détermination du résultat de fonctionnement
Plus en détailSERVICE DE DEFENSE INCENDIE ET DE SECOURS
SERVICE DE DEFENSE INCENDIE ET DE SECOURS «SDIS SORGE» COMPTES 2013 COMMUNES DE BUSSIGNY-PRES-LAUSANNE CRISSIER VILLARS-STE-CROIX Comptes 2013 Charges Revenus Budget 2013 Comptes 2012 Service de défense
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailComprendre les enjeux actuels. et les defis futurs. Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot. Philippe Froute Laurent Paul. Preface de Michel Bouvier
Les politiques budgetaires dans la crise Comprendre les enjeux actuels et les defis futurs Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot Philippe Froute Laurent Paul Preface de Michel Bouvier ^ ECONOMIQUES in W
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailL essentiel sur. Le crédit à la consommation
L essentiel sur Le crédit à la consommation Prêt personnel Prêt affecté Crédit renouvelable Qu est ce que c est? Le crédit à la consommation sert à financer l achat de biens de consommation (votre voiture,
Plus en détail#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research
#Club Pierre Marché des bureaux en Ile-de-France 9 Juillet 2015 DTZ Research Un 2 ème trimestre meilleur que le 1 er.. Demande placée de bureaux en Ile-de-France, en milliers de m² 3 000 2 500 2 000 1
Plus en détailANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012
ANALYSE FINANCIèRE RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 RESSOURCES CONSULTANTS FINANCES SOCIÉTÉ D ETUDE, RECHERCHE ET PROSPECTIVE EN FINANCES LOCALES S.A. au
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailCependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.
Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,
Plus en détailMAIRIE DE SAINT-GERMAIN DU PUY Communiqué. Maxime CAMUZAT, Maire de Saint Germain du Puy, communique:
MAIRIE DE SAINT-GERMAIN DU PUY Communiqué // Philippe Maupetit, Secrétariat du Maire et des Adjoints info@saintgermaindupuy.fr Maxime CAMUZAT, Maire de Saint Germain du Puy, communique: «Les finances des
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailCote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise
19 AVRIL 2012 SON EXCELLENCE MONSIEUR CHARLES KOFFI DIBY, MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Cote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise Séminaire «Marchés de la Prochaine Génération», JP Morgan
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailCompte consolidé de la Confédération
Compte consolidé de la Confédération Expériences avec la première élaboration Association pour les finances et la comptabilité publiques Colloque du 3 septembre 2010 Markus Stöckli, chef du service comptabilité,
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurance sociale des administrations de sécurité sociale
Plus en détailLe plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire
Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailRAPPORT FINAL DE LA COMMISSION D EVALUATION DES CHARGES POUR L ANNEE 2012. Sommaire
RAPPORT FINAL DE LA COMMISSION D EVALUATION DES CHARGES POUR L ANNEE 2012 Sommaire Rappel des transferts de charges effectués en 2012 (p.2) Rappel du rôle de la commission d évaluation des charges et méthode
Plus en détailCOOPERATION DECENTRALISEE ET RESEAU FRANÇAIS DU TRESOR PUBLIC
Service de Coopération et d Action Culturelle AMBASSADE DE FRANCE AU SENEGAL -------- Pôle de la Coopération Non Gouvernementale COOPERATION DECENTRALISEE ET RESEAU FRANÇAIS DU TRESOR PUBLIC A L ATTENTION
Plus en détail