Évaluation et Audit. Perspectives de la Coopération et du Développement économiques du SECO
|
|
- César Richard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Staatssekretariat für Wirtschaft SECO Evaluation & Controlling Évaluation et Audit Perspectives de la Coopération et du Développement économiques du SECO Odile Keller SECO, Evaluation & Controlling SEVAL, Atelier 1, 5 septembre 2008
2 1. Quelques similarités et différences Les objectifs La complexité de la mesure de l efficacité La crédibilité Le public 2
3 Les objectifs de l évaluation et l audit Les objectifs: à la fois remise des comptes et apprentissage Evaluation: accent accru sur l apprentissage (lessons learning) Audit: accent accru sur la remise des comptes (accountability) Politique en matière d évaluation (coopération et développement économique): Reconnaissance des deux objectifs Différents types d évaluations selon l accent (revues internes, évaluations externes et évaluations indépendantes). 3
4 La complexité de la mesure de l efficacité Les questions sur l efficacité Audit: les résultats ont-ils été atteints (output)? Comment les processus peuvent-ils être optimisés pour atteindre les résultats? Évaluation: les résultats ont-ils été atteints (output, outcome et parfois impact)? Sont-ils appropriés? L approche sectorielle estelle pertinente? Quelle est la contribution du projet aux résultats (causalité/attribution)? Y a-t-il des résultats non attendus? La palette de méthodes à disposition pour la mesure de l efficacité Palette de méthodes plus restreinte pour l audit que pour l évaluation. 4
5 La complexité de la mesure de l efficacité (suite) Pour la Coopération et le Développement économiques, besoin d une approche exhaustive pour l examen de l efficacité: Apprentissage est clé -> besoins de savoir si objectifs adéquats, facteurs de succès ou d échec, approche appropriée etc. Deux autres critères essentiels liés à l efficacité: pertinence (notamment pour les pays partenaires) et durabilité des programmes. Variétés des méthodes utilisées: Nécessaire pour répondre à la question de la causalité/attribution. -> Evaluation comme outil essentiel de la mesure de l efficacité. 5
6 La crédibilité Le positionnement institutionnel Audit: Positionnement institutionnel indépendant Évaluation: Traditionnellement, en Suisse, évaluation pour la coopération au développement répond au management. Standards versus jugements d experts Audit: critères établis (audits financiers, réglementation applicable, etc.). Evaluation: Pas de critères reconnus pour juger de l efficacité de l aide, jugement d experts joue un rôle important. 6
7 La crédibilité (suite) Pour la Coopération et le Développement économiques, la question de la crédibilité de l évaluation se pose: Positionnement de la fonction de l évaluation. Valeur ajouté du jugement d expert, car amène des perspectives différentes et mieux adapté aux différents contextes. Mais risque d arbitraire ou de perception d un manque de crédibilité. 7
8 Le public Le public concerné Audit: Management d un office (service de révision interne), Parlement (Contrôle des finances), mais aussi responsable du programme. Evaluation: Tout d abord responsable du programme, management, agence d exécution, partenaires, bénéficiaires, mais aussi Parlement et public et institutions dans les pays partenaires. Pour la Coopération et le Développement économique, le résultat des évaluations intéresse un grand nombre de partenaires - > implications d un plus grand nombre de partenaires dans le processus avec parfois des demandes conflictuelles 8
9 2. Utilisation de l audit et de l évaluation pour la coopération et le développement économiques du SECO La situation actuelle Evaluations par la coopération et le développement économiques. Audits financiers au niveau des projets.. Audits par le service de révision interne du SECO. Audits et évaluations par le Contrôle Fédéral des Finances. Audits et évaluations par les Services du Parlement. Constat Pas de chevauchement entre évaluation et audit. Jusqu à présent, les audits concernent avant tout la régularité dans l utilisation des fonds et les processus. 9
10 L utilisation des audits et évaluations (suite) Les évaluations pour la coopération et le développement économiques Revues internes/évaluations externes (responsabilité sections opérationnelles) Principalement ciblés sur des programmes particuliers Evaluations à mi parcours pour examiner et éventuellement réajuster un programme en cours Evaluations finales pour juger de la poursuite d un programme sur la base des résultats atteints et de la durabilité de l intervention. Evaluations ex-post pour juger de la durabilité des résultats des interventions. Evaluations indépendantes (responsable à l évaluation) Evaluations sectorielles ou thématiques pour juger des résultats, de la soutenabilité et de l adéquation de l approche sectorielle ou thématique, etc. Volonté de développer les évaluations/études d impact. Les audits Pour l instant, régularité dans l utilisation des fonds. Mais mandat des services d audit inclut efficacité et efficience ouverte pour le futur Question 10
11 3. La coordination des outils (audits et évaluations) La situation actuelle Services différents en charge des audits et des évaluations, avec objectifs, lignes de reporting et programmes de travail différents. Pas de coordination entre la planification des évaluations ou des audits Avantages et désavantages Avantages: programme de travail répond aux besoins des services d audits et d évaluation, ainsi qu à ceux des responsables de programmes. Désavantages: surcharge des responsables de programmes ou des partenaires de projets. 11
12 4. Complémentarité ou concurrence? Jusqu ici, l expérience de la Coopération et du Développement économique du SECO montre qu il n y a pas de chevauchement entre audit et évaluation. Mais question pour le futur, dans la mesure où la mesure de l efficacité et l efficience relèvent également du domaine de compétence des services d audit. Notion de complémentarité ou de concurrence -> audit et évaluation comme deux piliers séparés. Mais domaines de collaboration / d inspiration mutuelle peuvent être identifiés. 12
13 Collaboration La mesure de l efficience Très limitée tant au niveau des audits et des évaluations. Application de différentes méthodologies de calcul aux différents types de projets. Echange d expérience sur les résultats. Les audit et évaluations institutionels/processus Echange sur les méthodes et les expériences 13
14 Inspiration: renforcer la crédibilité des évaluations Positionnement institutionnel des services d évaluation Indépendance formelle et pas de facto Coopération et Développement économiques du SECO Reporting de la fonction de l évaluation à un Comité externe à l administration. La qualité des évaluations Revue sur la qualité des évaluations en 2007 Forces et faiblesses. Palette limitée des méthodes utilisées pour l évaluation. Besoin de renforcer la variété des méthodologies utilisées pour mieux mesurer outcomes et évt. impact du programme et causalité/attribution. 14
15 Conclusions Zone grise sur les questions d efficacité et d efficience Evaluations et audits doivent être utilisés par rapport à leurs points forts. Identifier des domaines de collaboration accrue 15
Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse
Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas
Plus en détailCALENDRIER DES STAGES 2014/2015
CALENDRIER DES STAGES NIVEAU MASTER 1 : BAC +4 Stage obligatoire et/ou recommandé par la formation Dauphine propose aussi 40 formations en apprentissage voir la liste sur https://dauphinentreprises.dauphine.fr
Plus en détailC H A P I T R E. Contrôles généraux des technologies de l information
C H A P I T R E Contrôles généraux des technologies de l information 9 Mise en contexte Un portrait des rapports aux responsables de la gouvernance et à la direction est dressé pour une troisième année
Plus en détailéq studio srl Gestion des informations pour un choix- consommation raisonnée - GUIDE EXPLICATIVE
Résumé PREFACE 2 INTRODUCTION 2 1. BUT ET CHAMP D APPLICATION 2 2. REFERENCES DOCUMENTAIRES ET NORMES 3 3. TERMES ET DEFINITIONS 3 4. POLITIQUE POUR UNE CONSOMMATION RAISONNEE (PCC) 3 5. RESPONSABILITE
Plus en détailComprendre les enjeux actuels. et les defis futurs. Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot. Philippe Froute Laurent Paul. Preface de Michel Bouvier
Les politiques budgetaires dans la crise Comprendre les enjeux actuels et les defis futurs Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot Philippe Froute Laurent Paul Preface de Michel Bouvier ^ ECONOMIQUES in W
Plus en détailPROGICIELS DE GESTION INTÉGRÉS SOLUTIONS DE REPORTING
PROGICIELS DE GESTION INTÉGRÉS SOLUTIONS DE REPORTING 8 rue de Prague 75012 Paris contact@predixia.com DES SOLUTIONS SIMPLES ET INNOVANTES POUR LA GESTION ET LE PILOTAGE DE VOTRE ACTIVITÉ CONCEVOIR TRÉSORERIE
Plus en détailBANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité"
BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité" Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de crédit
Plus en détailTROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE
TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE Nom de la société : Adresse : INFORMATIONS GÉNÉRALES N téléphone : Adresse de messagerie : Etablissement(s) secondaire(s) ou
Plus en détailCahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS
Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités
Plus en détailQuestionnaire de sondage: de la communication interne dans l organisation
Cours 7 Audit : Exemple de questionnaire Questionnaire de sondage: de la communication interne dans 1. Votre organisation s est-elle dotée officiellement d une stratégie, d un programme ou d une politique
Plus en détailOptimisation de la gestion des risques opérationnels. EIFR 10 février 2015
Optimisation de la gestion des risques opérationnels EIFR 10 février 2015 L ADN efront METIER TECHNOLOGIE Approche métier ERM/GRC CRM Gestion Alternative Approche Technologique Méthodologie Implémentation
Plus en détailTHÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»
ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES
Plus en détailAtelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?
Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle
Plus en détailClub Etablissements Financiers & Assurances
Club Etablissements Financiers & Assurances Enquête sur le thème «PME banque : vers une recomposition de l équilibre relationnel liée aux évolutions réglementaires Bâle III» Présentation des résultats,
Plus en détailEVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS
EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL
Plus en détailRAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE
RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes
Plus en détailLa Mutualité en chiffres Édition 2011
La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française
Plus en détailLe logiciel M4R (Monitoring for Results)
L innovation appliquée au service de la nouvelle gouvernance Le logiciel M4R (Monitoring for Results) de IDEA-Solutions Un réseau international opérant en trois langues une formation combinée à l action
Plus en détailGarantir le minimum vital
1 er pilier, AVS/AI Garantir le minimum vital Par le biais de l AVS/AI, la prévoyance étatique couvre les besoins vitaux de toute la population. 1. Situation initiale La prévoyance vieillesse, survivants
Plus en détail...... (dénomination statutaire)...( 1 ) a désigné au cours de l'assemblée générale de la société du...( 2 )
5112/PC/MS ANNEXE 1 À LA COMMUNICATION F.2 DÉSIGNATION D'UN COMMISSAIRE AUPRÈS D'UNE SOCIÉTÉ DE CAUTIONNEMENT MUTUEL La société de cautionnement mutuel...... (dénomination statutaire)......... (adresse
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détailPanorama général des normes et outils d audit. François VERGEZ AFAI
Panorama général des normes et outils d audit. François VERGEZ AFAI 3 Système d information, une tentative de définition (1/2) Un système d information peut être défini comme l ensemble des moyens matériels,
Plus en détailRévélatrice de talents. Développement personnel
Révélatrice de talents Développement personnel Révélatrice de talents Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets Le développement personnel Notre
Plus en détailARVIGE RAPPORT DE GESTION. Exercice 2006
ARVIGE RAPPORT DE GESTION Exercice 2006 Le présent rapport a été approuvé par le conseil d administration d ARVIGE qui s est tenu le 24 avril 2007, sur convocation de son Président, Monsieur Yves CHEVILLOTTE.
Plus en détailRAPPORT DE TRANSPARENCE
RAPPORT DE TRANSPARENCE 2013 21, rue de Sarre B.P 75857 57078 METZ CEDEX 03 En application des dispositions de l article 40 de la directive 2006/43/CE du Parlement Européen et du conseil du 17 mai 2006
Plus en détailLe pilotage et les outils du développement durable
Le pilotage et les outils du développement durable ANCI Création mars 2010 PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements Présentation du Groupe PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements 4 engagements prioritaires
Plus en détailCharte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV)
Charte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) 1. CADRE ET PRINCIPES GÉNÉRAUX Le Comité Audit et Risque (CAR) de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV)
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailLe Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux
Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme Définition et principes généraux Définition du CDMT Le CDMT est un instrument de programmation triennal glissant permettant de placer la gestion budgétaire dans une perspective
Plus en détailBIG DATA et DONNéES SEO
BIG DATA et DONNéES SEO Vincent Heuschling vhe@affini-tech.com @vhe74 2012 Affini-Tech - Diffusion restreinte 1 Agenda Affini-Tech SEO? Application Généralisation 2013 Affini-Tech - Diffusion restreinte
Plus en détailTABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE
PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL
Plus en détailTHEORIE ET CAS PRATIQUES
THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise
Plus en détailMarketing. Les différentes sous-familles et leurs missions. Marketing stratégique et études (02A) Marketing opérationnel (02B)
02 Marketing Cette famille rassemble des métiers dont la finalité est de contribuer à l attractivité de l offre de l entreprise, par la conception de stratégies, de produits ou d actions valorisant son
Plus en détailSurveillance consolidée des banques et des négociants en valeurs mobilières
Foire aux questions (FAQ) Surveillance consolidée des banques et des négociants en valeurs mobilières (Dernière modification : 31 mars 2015) La FINMA surveille plus de 100 groupes de banques et de négociants
Plus en détailLa Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis
Avis n 2010/05-10 relatif à l habilitation de l École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) à délivrer des titres d ingénieur diplômé admis par l état Objet : G : accréditation et admission par l'état
Plus en détailFICHE DE FONCTION - 04
FICHE DE FONCTION - 04 ANIMATEUR/EDUCATEUR de classe 1 INTITULE DE LA FONCTION : animateur/éducateur RELATIONS HIERARCHIQUES L animateur/éducateur de classe 1 exerce ses fonctions sous la responsabilité
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailExpert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailGuide d auto-évaluation. Directives à l intention des hautes écoles. Accréditation des hautes écoles universitaires
Guide d auto-évaluation Directives à l intention des hautes écoles Guide d auto-évaluation Directives à l intention des hautes écoles Table des matières Introduction... 2 1 Principaux buts de l auto-évaluation...
Plus en détailDocument technique Outil d évaluation des risques et orientation
Promotion de la bonne gouvernance et lutte contre la corruption Activité T3.3 : (SNAC Tunisie) Apporter des outils et des méthodologies ainsi que consolider les capacités pour soutenir la conception de
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailRéduisez les coûts de gestion de votre flotte automobile
GRAS SAVOYE I CONSEIL & COURTAGE EN ASSURANCES Réduisez les coûts de gestion de votre flotte automobile Une approche unique de votre métier, nourrie de la connaissance opérationnelle des risques et problématiques
Plus en détailLe contenu de cette publication a été préparé par le ministère des Transports.
Le contenu de cette publication a été préparé par le ministère des Transports. Cette publication a été produite par la Direction du soutien aux opérations Ministère des Transports 700, boul. René-Lévesque
Plus en détaillj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987
lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties
Plus en détailQUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE. 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan
QUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan INTRODUCTION Environnement et Santé Évaluation environnementale
Plus en détailCe texte est une version provisoire. Seule la version qui sera publiée dans la Feuille officielle
Ce texte est une version provisoire. Seule la version qui sera publiée dans la Feuille officielle (https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/droit-federal/feuille-federale.html) fait foi. Directives du Conseil
Plus en détailL Audit Interne vs. La Gestion des Risques. Roland De Meulder, IEMSR-2011
L Audit Interne vs. La Gestion des Risques Roland De Meulder, IEMSR-2011 L audit interne: la définition L audit interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance
Plus en détailDéfi n 3 : Développer l attractivité de la destination
Agence de Développement et de Réservation Touristiques de la Nièvre Dossier Presse Défi n 3 : Développer l attractivité de la destination En collaboration avec les Offices de Tourisme du bassin du Val
Plus en détailOutil 5 : Exemple de guide d évaluation des auditeurs internes
Audit Committee Institute Outil 5 : Exemple de guide d évaluation des auditeurs internes Le comité d audit joue un rôle de plus en plus important dans l orientation et l exécution des travaux de l audit
Plus en détailwww.pwc.com Alerte regulatory Le dispositif de gouvernance et de contrôle interne des établissements bancaires Novembre 2014
www.pwc.com Alerte regulatory Le dispositif de gouvernance et de contrôle interne des établissements bancaires Novembre 2014 En bref L arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne des entreprises
Plus en détailB2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors
DOSSIER DE PRESSE B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors Sommaire Page 2 : Le Prix B2V en quelques dates Page 3 : Un prix destiné à encourager l innovation sociale en matière d accompagnement du
Plus en détailNouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision
www.pwc.ch Nouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision Aperçu des modifications du Code des obligations suisse Décembre 2011 Un document PwC destiné aux responsables de la
Plus en détailLa qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France)
La qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France) Jean-Luc Menet (ENSIAME-UVHC) Responsable Pédagogique Master QHSE Éric Winter (ENSIAME-UVHC) Responsable
Plus en détailAppel à candidatures. Experts individuels en Monitoring / Suivi-évaluation
Appel à candidatures auprès d Experts individuels en Monitoring / Suivi-évaluation en vue d un Appui à l actualisation du système de monitoring et à la formation des équipes de Lux-Development A. Contexte
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailGuide pour l élaboration des rapports sur le projet (rapport descriptif et rapport financier)
Guide pour l élaboration des rapports sur le projet (rapport descriptif et rapport financier) Ce sont les projets qui doivent être les premiers bénéficiaires de l élaboration des rapports. Ils permettent
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détailTable des matières: Guidelines Fonds de Pensions
Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailCHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %)
La Municipalité de Montreux met au concours un poste de : Tâches principales : CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %) Conseiller et aider la Municipalité, les services, les supérieurs hiérarchiques et les
Plus en détailBanque européenne d investissement. Charte de l Audit interne
Charte de l Audit interne Juin 2013 Juin 2013 page 1 / 6 Juin 2013 page 2 / 6 1. Politique L Audit interne est une fonction essentielle dans la gestion de la Banque. Il aide la Banque en produisant des
Plus en détailCOMMUNIQUÉ. Lignes directrices sur la taille des fonds d assurance-dépôts
COMMUNIQUÉ 14-COM-001 11 juillet 2014 Lignes directrices sur la taille des fonds d assurance-dépôts L Association des superviseurs prudentiels des caisses (ASPC) a créé un groupe de travail composé de
Plus en détailQU EST- CE QU UNE CONSTITUTION
QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également
Plus en détailNormes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous?
Normes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous? Intervenantes : Florence Hauducœur Expert-comptable et commissaire aux comptes, Présidente de la commission Déontologie et Etudes
Plus en détailTABLE DES MATIERES SECTION 1 CONTROLE INTERNE ET AUDIT INTERNE, POLITIQUE DE PREVENTION ET COMPLIANCE
PPB-2007-5-CPB-1 TABLE DES MATIERES SECTION 1 CONTROLE INTERNE ET AUDIT INTERNE, POLITIQUE DE PREVENTION ET COMPLIANCE CHAPITRE I LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE CHAPITRE II LA POLITIQUE DE PREVENTION
Plus en détailGUIDE DE TRAITEMENT DES RECLAMATIONS CLIENT
REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier toutes les entreprises qui ont bien voulu nous faire part de leurs témoignages. Nous remercions le CERVIA pour nous avoir fourni des contacts indispensables à l établissement
Plus en détailasah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5
AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre
Plus en détailADEME : Colloque Produits Verts. Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat
ADEME : Colloque Produits Verts Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat Juin 2008 Une solution dédiée à vos achats responsables
Plus en détailLe statut des coopératives au Canada
Le statut des coopératives au Canada Allocution de Marion Wrobel Vice-président, Politique et opérations Association des banquiers canadiens Devant le Comité spécial sur les coopératives de la Chambre
Plus en détailTransposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique
Pollutec 2013 Atelier ATEE AUDIT ENERGETIQUE EN ENTREPRISE Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Laurent Cadiou DGEC/SCEE Bureau Économies
Plus en détailBaromètre des usages numériques professionnels 1 ère édition Septembre 2011
Baromètre des usages numériques professionnels 1 ère édition Septembre 2011 Sommaire Méthodologie Résultats 1. Equipement : ordinateurs, téléphonie, Internet 2. Usages Internet et téléphonie 3. Logiciels
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailLA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI
CONDITIONS D ACCREDITATION D ORGANISMES MULTISITES OU ORGANISES EN RESEAU OU METTANT EN COMMUN DES MOYENS GEN PROC 10 Révision 03 CONDITIONS D ACCREDITATION D ORGANISMES MULTISITES OU ORGANISES EN RESEAU
Plus en détailLa globalisation de la réglementation et de la surveillance financières
La globalisation de la réglementation et de la surveillance financières Et son impact sur la Suisse Prof. Anne Héritier Lachat, Présidente du Conseil d administration Table de matières 1. Le secteur financier
Plus en détailMASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009
MASTER PROFESSIONNEL INFORMATION ET COMMUNICATION DANS L ESPACE LOCAL ET REGIONAL ICELR.2008/2009 La spécialité Information et communication dans l espace local et régional ( ICELR) est dispensée à l ISCEA/
Plus en détailConférence XBRL France. Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014. Olivier BOYER et Aurélia MULLER
Conférence XBRL France Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014 Olivier BOYER et Aurélia MULLER 1 2 1- Présentation du Groupe CNP Assurances Un métier, la protection des personnes Assureur
Plus en détailInformation Technology Services - Learning & Certification
Information Technology Services - Learning & Certification «.Pluralis Consulting vous assure un accompagnement de qualité Pour la valorisation de votre Système d information.» Juillet 2014 www.pluralisconsulting.com
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailL égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes
L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes Les engagements de la Belgique La loi sur la coopération internationale de 1999 institue l égalité
Plus en détailsociété anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris
1 A U D I K A société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement
Plus en détailUniversité de Lausanne
Université de Lausanne Records management et archivage électronique : cadre normatif Page 2 Ce qui se conçoit bien s énonce clairement Nicolas Boileau Page 3 Table des matières Qu est- ce que le «records
Plus en détailJean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012
www.varm.fr Solvabilité 2 commentaires sur l ORSA Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 Sommaire Introduction... 2 Principes pour une gestion intégrée des risques... 3 La mise en place de l ORSA... 5 Introduction
Plus en détailGroupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT
Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes
Plus en détailCaroline 9 Case postale 288 1001 Lausanne Tél. 021 348 21 11 www.retraitespopulaires.ch
Caroline 9 Case postale 288 1001 Lausanne Tél. 021 348 21 11 www.retraitespopulaires.ch 2 Chapitre Notre entreprise Sous-chapitre (s) Georges Renaudet Responsable du service informatique g.renaudet@retraitespopulaires.ch
Plus en détailConvention du 4 janvier 1960 instituant l Association européenne de Libre-Echange (AELE)
Convention du 4 janvier 1960 instituant l Association européenne de Libre-Echange (AELE) Décision n o 2/2009 du Conseil au sujet de la modification de l art. 53 et de l annexe I de la Convention AELE relatifs
Plus en détailÉléments juridiques sur la carte d achat
Annexe 2 Éléments juridiques sur la carte d achat Définition et champ d application. La carte d achat est une [art. 1.] modalité d exécution des marchés publics. C est donc à la fois une modalité de commande
Plus en détailDemande d adhésion/instruction. Rente-épargne non enregistrée. (À être utilisé uniquement pour les entreprises)
Demande d adhésion/instruction Rente-épargne non enregistrée (À être utilisé uniquement pour les entreprises) 1. renseignements de base Demande d adhésion/instruction Rente-épargne non enregistrée (À être
Plus en détailOrdonnance du SEFRI sur la formation professionnelle initiale
Ordonnance du SEFRI sur la formation professionnelle initiale 1 avec certificat fédéral de capacité (CFC) du 6 décembre 2006 95004 Agente/Agent d exploitation CFC Fachfrau/Fachmann Betriebsunterhalt EFZ
Plus en détailAppel à candidatures. Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information
Appel à candidatures Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information Version 0.6 20 mars 2015 Statut Validé 1 Introduction 1.1 Présentation de l Agence universitaire
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailLE FINANCEMEIMT SCHULDSCHEIN. Analyse d'un financement alternatif. allemand en plein essor. Antoine R. Cuny de la Verryere.
LE FINANCEMEIMT SCHULDSCHEIN Analyse d'un financement alternatif allemand en plein essor Antoine R. Cuny de la Verryere I ü s= c 1 larcier Collection sous la direction de Bruno Colmant LE FINANCEMENT SCHULDSCHEIN
Plus en détailTable des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5
Critères des commissions interdisciplinaires du du Comité national mandat 2012-2016 Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 2 CID 50 Gestion de la recherche La CID
Plus en détailBUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final
BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii
Plus en détailIntroduction Jean-Philippe Thierry, Vice-président de l Autorité de contrôle prudentiel
Introduction Jean-Philippe Thierry, Vice-président de l Autorité de contrôle prudentiel 2 Sommaire 1. Le dispositif préventif LCB-FT : l insertion au sein du dispositif de contrôle interne (Henry de Ganay,
Plus en détailMobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires
Plus en détail