Moyennes professionnelles 2015

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1 PHARMACIES Moyennes professionnelles e édition

2 Édito Patrick Bordas Associé KPMG Responsable National du réseau Professions de Santé Joël Vellozzi Associé KPMG Responsable National du réseau Professions de Santé Dernier arrêt avant l autoroute? La présente étude est la dernière avant la mise en œuvre de l honoraire de dispensation. Le nouveau modèle de rémunération des officines est en place depuis janvier dernier, il aura des conséquences sur les équilibres économiques, il faudra regarder les choses de près pour assurer une lecture cohérente des chiffres. En effet, dans un an, les chiffres présentés seront une salade russe composée de ventes selon le modèle classique et d une activité réalisée selon les nouvelles règles : honoraire de dispensation, baisse du taux de marge, plafonnement de la marge au-delà d un PFHT de par boîte. La transition engagée déplace les repères, même si elle présente l avantage de déconnecter une part de la rémunération officinale du prix des médicaments. Pour autant, les règles désormais "anciennes" ont produit leurs effets en, dans la continuité de l année précédente : chiffre d affaires en baisse de 1 %, marge (ou rémunération officinale) en valeur en hausse très faible de 0,6 %. Mais ces moyennes masquent une réalité toujours plus contrastée : près des 2/3 des officines voient leur chiffre d affaires diminuer, près de la moitié ont une rémunération (marge) en baisse. Les ventes de médicaments remboursables reculent de 2 %, sous les effets conjoints des baisses de prix, de la substitution. Quant aux résultats, ils baissent de 2,9 % pour la moitié des officines (52%) soumises à l impôt sur le revenu, de 0,2 % pour celles taxées à l impôt sur les sociétés. La hausse de la rémunération officinale constatée de 0,6 % est consommée par des frais généraux qui progressent encore selon un rythme plus soutenu. C est notamment le cas des frais de personnel, malgré l effet favorable du CICE (crédit d impôt compétitivité des entreprises). C est pourquoi cette année, nous calculons le ratio de rémunération officinale moyenne par ETP, (Equivalent Temps Plein) plus significative que le CA par ETP. S adapter, les pharmaciens d officine y sont habitués. Les changements majeurs qui s opèrent en ce début d année sont une étape décisive dans la mise en œuvre d un nouveau modèle économique. Nous vous donnons rendez-vous l an prochain pour une première lecture des effets de cette réforme. Bonne lecture

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4 Sommaire 04 Méthodologie 05 Population étudiée 5 I Répartition des officines selon le chiffre d affaires 5 I Répartition des officines selon la typologie 6 I Répartition des officines selon le régime d imposition 6 I Répartition des officines selon le nombre de titulaires 6 I Répartition des officines selon la forme juridique 7 Analyse de l activité 7 I Évolution du C.A. hors taxes en % 8 I Analyse statistique de l évolution du C.A. / 8 I Évolution du C.A. / selon les strates de C.A. et la typologie d officines 9 I Analyse et évolution du C.A. / par taux de T.V.A. 10 Analyse des marges 10 I Marge moyenne HT en valeur en K 10 I Évolution moyenne de la marge en valeur en % 11 I Taux moyen de marge brute commerciale en % 11 I Analyse statistique de l évolution de la marge / en % 12 I Analyse statistique du taux de marge / 12 I Taux de marge brute commerciale selon les strates de C.A. et la typologie d officines 13 I Analyse et évolution de la marge //2012 par taux de T.V.A. 14 Analyse des rentabilités 14 I Charges externes 14 I Charges externes selon les strates de C.A. et la typologie d officines 15 I Impôts et taxes 15 I Frais de personnel 16 I Frais de personnel selon le nombre de titulaires et les strates de C.A. 16 I Performance commerciale de gestion (PCG) 17 I Analyse statistique de l évolution de la PCG / en % 17 I Performance commerciale et de gestion selon le nombre de titulaires 18 Analyse des résultats 18 I Officines à l impôt sur le Revenu 18 I Officines à l impôt sur les Sociétés 20 Analyse de la structure financière 20 I Fonds de roulement 20 I Besoin en fonds de roulement 20 I Trésorerie 21 I Analyse statistique de la trésorerie 21 I Autonomie financière 21 I Coût de l endettement 22 I Ratios moyens des éléments du besoin en fonds de roulement 23 Lexique 26 KPMG en un regard 3

5 Méthodologie La méthodologie utilisée pour cette 23 e édition est identique à celle des années précédentes. Cette étude est réalisée à partir d un échantillon d officines clientes de notre cabinet. Il se compose de pharmacies ayant clos des exercices comptables de 12 mois sur les années et. Les pharmacies ayant eu des événements impactant l analyse comparative de leurs comptes annuels d un exercice sur l autre sont exclues de l étude (changement de régime fiscal ; transformation juridique : par exemple passage en structure SEL ; changement de date de clôture des comptes ; changement du nombre de titulaires ). Afin d accélérer la sortie de cette étude, les pharmacies retenues dans l analyse ont clôturé majoritairement leurs comptes annuels courant (30 septembre par exemple), mais figurent aussi dans l échantillon quelques exercices clos au 31 décembre. 4 Pharmacies

6 Population étudiée Total échantillon : 517 officines Cet échantillon est en légère augmentation par rapport à celui de l année dernière à 509 officines. Répartition des officines selon le chiffre d affaires Tranche de C.A. HT Nombre % < 1100 K ,5 de 1100 à 2200 K ,4 > 2200 K 78 15,1 Total < K de à K > K 15,1 53,4 31,5 Toutes les catégories d officines sont représentées, la majorité étant logiquement dans la tranche intermédiaire de chiffre d affaires entre et K Répartition des officines selon la typologie 4,1 Zone Nombre % Rurale ,2 Urbaine ,7 Centre commercial 21 4,1 Total Rurale Urbaine Centre commercial 54,7 41,2 Cette répartition d officines étudiées selon la typologie urbaine, rurale et centre commercial est assez stable sur les dernières années. 5

7 Répartition des officines selon le régime d imposition 47,8 Régime Nombre % Impôt sur le revenu ,2 Impôt sur les sociétés ,8 Total Impôt sur le revenu Impôt sur les sociétés 52,2 La répartition est désormais quasi-équilibrée entre les structures IR et IS, conséquence de la forte prépondérance du choix de l IS sur ces dernières années. Il y a 5 ans, les structures à l IR représentaient encore près des 3/4 des officines. Répartition des officines selon le nombre de titulaires Titulaires Nombre % , ,4 72,3 23,4 3 et ,3 Total titulaire 2 titulaires 3 titulaires et + 4,3 Plus des 2/3 des pharmacies analysées ont un seul titulaire. Le nombre de titulaires moyen par officine étudiée dans notre échantillon est légèrement supérieur à 1,2. Ce chiffre est en cohérence avec les données nationales de l ordre national des pharmaciens (éléments démographiques ), avec un rapport de pharmaciens titulaires en section A sur un total de officines en métropole. Répartition des officines selon la forme juridique Forme Nombre % Individuelle ,7 29,7 15,7 SNC 81 15,7 SARL & EURL ,3 SEL ,2 Total Forme individuelle Forme SNC Forme SARL & EURL Forme SEL 35,2 21,3 Cette répartition selon la forme juridique est là aussi très proche des dernières données de l ordre national des pharmaciens. La SEL est devenue en quelques années la forme juridique d exploitation la plus répandue avec plus d 1/3 des officines. 6 Pharmacies

8 Analyse de l activité C.A. HT moyen en valeur en K 1 524,3 1540,2 Évolution moyenne du C.A. en % / -1,0 Évolution du C.A. hors taxes en % 6 % 5 % 5,7 4 % 3 % 3,9 3,4 2 % 2,5 1 % 0 % 1,4 1,0 1,4 0,8 0,2-1 % -2 % -1, Pour la seconde année consécutive, l évolution du chiffre d affaires d une année sur l autre est négative. Toutefois, et compte tenu de l évolution de la structure du chiffre d affaires de l officine, celui-ci n est plus un indicateur pertinent de mesure de l activité dans le secteur de la pharmacie d officine. Il ne le sera plus du tout à compter de 2015, du fait des nouveaux modes de rémunération intégrant les honoraires de dispensation. 7

9 Analyse statistique de l évolution du C.A. / en % D10 - décile inférieur - 8 Q25 - quartile inférieur - 5,1 M50 - médiane - 1,6 Q75 - quartile supérieur 1,7 D90 - décile supérieur 5,2 Près des 2/3 des officines enregistrent une évolution de chiffre négative. Pour un quart d entre elles, le recul est d au moins 5,1 %. 10 % voient même une régression de plus de 8 %. Part d officines avec évolution négative 62,5 Évolution du C.A. / selon les strates de C.A. et la typologie d officines en % C.A. < 1100 K - 2,3 C.A. de 1100 à 2200 K -1,4 C.A. > 2200 K 0,8 Zone rurale - 2,1 Zone urbaine - 1 Centre commercial 1,7 L effet taille est toujours très marqué : plus le chiffre d affaires de l officine est important, plus l évolution de celui-ci est favorable. De même les pharmacies de centre commercial progressent encore mais celles en zones urbaines et surtout rurales sont en retrait. 8 Pharmacies

10 Analyse et évolution du C.A. / par taux de T.V.A. C.A. moyen en K en % C.A. moyen en K en % Évolution du C.A. / en % C.A. à 2,1 % 1 158, ,3 76,8-2 C.A. à 5,5 %, 7 % et 10 % 210,8 13,8 210,7 13,7 0 CA à 19,6 % et 20 % 154,3 10,1 146,6 9,5 5,3 Le chiffre d affaires à taux de TVA à 2.1 % correspond aux médicaments et préparations remboursables et représente environ 76 % du chiffre d affaires total. Les ventes en valeur de ces médicaments ont à nouveau régressé entre et. Les dernières données en notre possession de l assurance maladie confirment le recul des remboursements de médicaments délivrés en ville. Le chiffre d affaires est de plus en plus soumis à l effet "baisse de prix" des médicaments. Les pharmacies de notre échantillon régressent donc de 2 % sur ces médicaments remboursables. Nous regroupons pour notre analyse le chiffre d affaires à taux de TVA à 5,5 %, 7 % et 10 % (le taux à 10 % ayant remplacé depuis le 1er janvier le taux à 7 %). Cela correspond principalement aux ventes de médicaments non remboursables, compléments alimentaires, dispositifs médicaux et autres produits inscrits sur la liste des produits et prestations remboursables (LPPR). Nous notons une stabilité de l activité des pharmacies de notre échantillon sur ces marchés. D autres sources statistiques confirment cette analyse sur un marché du non-remboursable très perturbé par la baisse du pouvoir d achat des ménages et révèlent un marché du médicament d automédication en recul, compensé par la hausse du marché des dispositifs médicaux et compléments alimentaires. Le chiffre d affaires à taux de TVA à 19,6 % et 20 % (le taux de 20 % remplaçant celui à 19,6 % au 1 er janvier ) regroupe les ventes de parapharmacie mais aussi de certains dispositifs et produits non remboursables ainsi que les pansements. Sur cette activité qui représente environ 10 % du CA total, les pharmacies de notre échantillon ont, comme les dernières années, progressé de façon significative à plus de 5,3 %. Nous retrouvons une tendance marquée traduisant la volonté des officinaux de gagner des parts de marché sur ce secteur afin de retrouver des leviers de croissance, à côté d un marché du médicament en recul. 9

11 Analyse des marges (ou de la rémunération officinale) Marge moyenne HT en valeur en K Marge moyenne HT en valeur en K 483,2 480,1 Évolution moyenne de la marge en valeur en % Évolution moyenne de la marge en valeur en % / / / / / ,6 + 2,8 + 1,3 + 2,6 + 2,9 + 3% + 2% + 1% 0% 2010/ / /2011 /2012 / 10 Pharmacies

12 32% Taux moyen de marge brute commerciale en % 30% 28% Taux moyen de marge brute commerciale en % ,7 31,1 29,7 29,3 28,8 26% La marge est devenue un indicateur plus pertinent de mesure d activité et de performance que le chiffre d affaires. Elle s entend de la différence entre les ventes de produits dans la pharmacie et ses achats, et tient compte aussi des autres éléments de rémunération notamment la coopération commerciale et les rémunérations sur objectifs de santé publique (RSOSP) définies avec l assurance maladie. A partir du 1 er janvier 2015, il faudra bien sûr y intégrer les nouveaux honoraires de dispensation des médicaments remboursables. Cette marge en valeur calculée ainsi dans nos études, progresse cette année de façon très faible à 0,6 %. On assiste à un réel décrochage en la matière car ce pourcentage de progression est le plus faible jamais calculé dans nos analyses. Quant au taux de marge (marge ramenée au chiffre d affaires), il ressort désormais à 31,7 %. Il continue sa hausse très significative depuis plusieurs années. Mais ce n est pas en soi un indicateur d amélioration de performance car il s applique à un chiffre d affaires, nous l avons vu précédemment, en recul. Analyse statistique de l évolution de la marge / en % D10 - décile inférieur -6,7 Q25 - quartile inférieur -3,7 M50 - médiane 0,0 Q75 - quartile supérieur 4 D90 - décile supérieur 8,1 Part d officines avec évolution négative 48,7 Signe de ces difficultés, la part d officines avec une évolution négative de la marge en valeur approche désormais les 50 % alors que cette part n était que d 1/3 l année précédente. 11

13 Analyse statistique du taux de marge / Taux de marge en % Taux de marge en % D10 - décile inférieur 28,7 28,4 Q25 - quartile inférieur 30,0 29,7 M50 - médiane 31,8 31,1 Q75 - quartile supérieur 33,4 32,7 D90 - décile supérieur 34,7 34,1 En matière de taux de marge, les dispersions sont significatives mais seuls 10 % de notre échantillon ont un taux de marge inférieur à 28,7%. Taux de marge brute commerciale selon les strates de C.A. et la typologie d officines Taux de marge en % Taux de marge en % C.A. < K 31,7 31,1 C.A. de à K 31,8 31,2 C.A. > K 31,7 31,3 Zone rurale 32,3 31,6 Zone urbaine 31,3 30,8 Centre commercial 32,6 31,8 Les niveaux de chiffre d affaires n impactent pas vraiment le taux de marge. Les officines de centre commercial et de zone rurale ont un taux de marge supérieur à celui des officines de zone urbaine. 12 Pharmacies

14 Analyse et évolution de la marge //2012 par taux de T.V.A. Marge en % 2012 Taux de marge N Taux de marge N-1 Taux de marge N-2 Total activité 31,7 31,1 29,7 Activité à 2,1 % 31,6 30,6 28,8 Activité à 5,5 %, 7 % et 10 % 33,1 33,3 34,3 Activité à 19,6 % et 20 % 31,1 31,8 32,1 Marge en valeur Marge Marge Variation en valeur Variation en % Total activité 483,2 480,1 3,1 0,6 Activité à 2,1 % 365,9 362,4 3,5 1,0 Activité à 5,5 % et 7 % 69,8 70,3-0,5-0,7 Activité à 19,6 % 48,0 46,7 1,3 2,8 La hausse du taux de marge moyen s explique comme ces dernières années par l appréciation du taux de marge sur l activité à 2,1 % de ventes de médicaments remboursables, qui s élève à 31,6 %. Nous rappelons que les statistiques habituelles de taux de marge sur l activité remboursable, hors remises et autres conditions commerciales, ressortent autour de 22 % par l application classique du barème de marge dégressive (MDL). Les références vont bien sûr changer à compter du 1er janvier 2015 du fait de la modification du barème de marge du pharmacien d officine accompagnant la mise en place de l honoraire de dispensation. Les points complémentaires de taux de marge sont atteints principalement grâce à toutes les dispositions favorisant les ventes de génériques (remises légales complémentaires, bénéfice de la marge de gros en cas d achats directs, contrats de coopération commerciale, et aussi, rémunération sur les objectifs de santé liés à la substitution) Les taux de marge sur les autres activités (médicaments non remboursables et parapharmacie principalement) continuent en revanche à baisser de façon assez notable (-1 point en 2 ans). Ceci atteste à nouveau de la forte concurrence sur ces marchés et des gros efforts réalisés par les officinaux pour maitriser l évolution des prix de vente sur ces activités non réglementées. Concernant l analyse de l évolution de la marge en valeur par typologie d activité, le constat est assez préoccupant. Certes la marge en valeur sur l activité parapharmacie progresse de 2,8 % mais elle porte sur une faible part de chiffre d affaires. La marge sur l activité du médicament remboursable n évolue que de 1 % et celle sur le médicament non-remboursable est même en retrait de 0,7 %, confirmant les difficultés sur ce secteur cette année. De manière générale, l évolution de ces marges en valeur ne donne pas de latitude aux pharmaciens pour investir en confiance dans le développement de leur activité. 13

15 Analyse des rentabilités Charges externes Charges externes/c.a. en % Locations immobilières/c.a. en % 5,0 4,9 1,3 1,3 Les charges externes ont été à nouveau bien contrôlées, la progression ayant été contenue aux alentours de + 1 %, attestant des efforts de maîtrise de gestion. Charges externes selon les strates de C.A. et la typologie d officines Charges ext./c.a. en % Charges ext./c.a. en % C.A. < K 6,3 6,3 C.A. de à K 4,9 4,8 C.A. > K 4,5 4,4 Zone rurale 4,9 4,9 Zone urbaine 5,4 5,4 Centre commercial 6,7 6,3 L analyse de ces charges externes en fonction des typologies d officine nous amène aux constats habituels : Ces charges sont plus lourdes pour les petites structures compte tenu de leur caractère souvent fixe. Les pharmacies en zone rurale ont le meilleur ratio en raison notamment du poids des loyers plus faible que dans les centres urbains ou, a fortiori, commerciaux. 14 Pharmacies

16 Impôts et taxes Ce poste (hors impôts sociétés) représente en moyenne moins de 1% du chiffre d affaires. Il a légèrement diminué cette année en valeur du fait principalement du début de prise en compte de la suppression progressive de la contribution sociale des sociétés. Frais de personnel Frais de personnel en valeur en K Évolution moyenne des frais de personnel en valeur en % / / /2011 Effectif équivalent temps plein (titulaire(s) compris) 5,4 165,8 163,8 + 1,3 + 2,3 + 1,7 C.A. TTC/Effectif équivalent temps plein en K 296,9 Marge/Effectif équivalent temps plein en K 90,1 Dans notre analyse, les frais de personnel s entendent des salaires bruts des équipes officinales (hors titulaires), des charges sociales patronales et, en venant en déduction, du crédit d impôt pour la compétitivité et pour l emploi (CICE) pour les entreprises à l impôt société. L évolution globale de ces frais a été très faiblement positive sur cet exercice à + 1,3%. Mais l analyse plus détaillée démontre que les salaires bruts ont progressé de l ordre de 2,5%, soit beaucoup plus que l évolution de la marge. On rappelle que la profession ne s était pas entendue sur une augmentation du point au 1 er janvier et que la dernière valorisation des salaires était intervenue au 1 er janvier (+ 1,6%), il est prévu en revanche une augmentation de + 1,4% au 1 er janvier 2015 Malgré ces éléments et en dépit des difficultés rencontrées sur l évolution de leur marge, les titulaires ont néanmoins continué à investir dans leur équipe, ce qui apparait cohérent notamment au regard du développement des nouvelles missions. C est grâce au CICE (montant moyen estimé à 5 K par officine) que les frais de personnel ont été contenus. Le ratio le plus pertinent pour analyser l activité au comptoir des équipes officinales n est plus désormais le ratio chiffre d affaires TTC sur effectif équivalent temps plein. En effet, les changements de taux de TVA mais surtout l arrivée des nouveaux modes de rémunération ont trop d impact sur son calcul. Nous calculons et suivons maintenant le ratio marge sur effectif équivalent temps plein, titulaire compris, qui s élève à 90 K cette année. 15

17 Frais de personnel selon le nombre de titulaires et les strates de C.A. Frais de personnel/ C.A. C.A. < K en % C.A. de K à K en % C.A. > K en % 1 titulaire 10,5 11,6 12,4 2 titulaires 7,8 9,1 10,6 3 titulaires et + N/A 8,4 10,7 Le ratio frais de personnel / chiffre d affaires était aussi jusqu à présent un élément de mesure de l activité et de la productivité au comptoir, à analyser bien sûr avec précaution et en fonction à la fois du nombre de titulaires et de la strate de chiffre d affaires de l officine. A part pour les officines au niveau de CA supérieur, le poids des frais de personnel s est logiquement alourdi compte tenu du recul du chiffre d affaires. Performance commerciale et de gestion (PCG) Performance commerciale et de gestion en valeur en K Évolution moyenne de la PCG en valeur en % ,3 236,0 + 1,4 + 4,1 + 1,1 + 3,8 + 5,1 + 6% + 5% + 4% + 3% + 2% + 1% 0% La performance commerciale et de gestion est l indicateur financier le plus pertinent de mesure de la rentabilité et de son évolution. Compte tenu de la très faible progression de la marge, on ne pouvait s attendre à une forte évolution de la rentabilité des officines cette année, d autant plus que malgré la maitrise de leurs frais généraux, elles ont continué à assurer une progression des salaires de leurs équipes. La progression de la performance à + 1,4 % est très faible, l embellie que nous avions notée l année dernière en la matière ne s est pas avérée pérenne. 16 Pharmacies

18 Analyse statistique de l évolution de la PCG / en % D10 - décile inférieur - 17,1 Q25 - quartile inférieur - 8,9 M50 - médiane 0,0 Q75 - quartile supérieur 9,5 D90 - décile supérieur 20,9 Part d officines avec évolution négative 48,9 Près de la moitié des officines enregistrent désormais un recul en valeur de leur performance commerciale et de gestion (40 % l année dernière). Les écarts entre le niveau de performance des différentes officines analysées n ont jamais été aussi importants, signe que certaines pharmacies sont clairement en train de décrocher. Plus de 25 % de notre échantillon voient leur rentabilité reculer de 9 %. Performance commerciale et de gestion selon le nombre de titulaires PCG/C.A. en % PCG/C.A. en % 1 titulaire 14,8 14,5 2 titulaires 17,3 16,8 3 titulaires et + 18,1 17,5 Le calcul de ce ratio performance commerciale et de gestion / chiffre d affaires permet une comparaison précise entre officines. Mais, pour être pertinent, ce benchmark doit être réalisé en fonction du nombre de titulaires. 17

19 Analyse des résultats Les résultats des bilans en valeur, leur évolution, leur taux par rapport aux chiffres d affaires doivent être calculés en fonction du régime fiscal de l officine. Officines à l impôt sur le Revenu Résultat moyen en valeur en K 108,8 112,1-2,9 % Taux moyen de résultat/c.a. en % 7,4 7,5 Un résultat qui diminue de près de 3% pour les officines à l impôt sur le revenu. Officines à l Impôt sur les Sociétés Résultat moyen en valeur en K 80,3 80,4-0,2 % Taux moyen de résultat/c.a. en % 5,0 5,0 Évolution du poste salaire et charges sociales titulaires en K 95,3 91,1 Salaire et charges pour 1 titulaire 69,5 Pour les officines à l impôt sur les sociétés, le résultat est aussi en régression. Les titulaires de ces officines ont prélevé un montant moyen de 69.5 K pour couvrir leur rémunération annuelle ainsi que leurs charges sociales personnelles. 18 Pharmacies

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21 Analyse de la structure financière Fonds de roulement Fonds de roulement en valeur en K Couverture financements stables/ Valeurs immobilisées en % 86,6 80,3 109,0 108,2 Besoin en fonds de roulement Besoin en fonds de roulement en valeur en K Couverture passif circulant/actif circulant en % 11,5-2,5 94,2 101,3 Trésorerie Trésorerie en valeur en K 75,1 82,8 Les structures financières des officines analysées restent stables et saines. Le fonds de roulement positif permet de couvrir un léger besoin en fonds de roulement cette année et de dégager des trésoreries moyennes positives. 20 Pharmacies

22 Analyse statistique de la trésorerie Trésorerie D10 - décile inférieur -10,4 Q25 - quartile inférieur 11,0 M50 - médiane 48,0 Q75 - quartile supérieur 115,0 D90 - décile supérieur 209,8 Part d officines avec trésorerie négative 12,8 A la date d établissement de leurs comptes, 13 % environ des officines étudiées font apparaître une trésorerie négative, proportion en très légère progression par rapport à l année précédente. Ceci ne signifie néanmoins pas que les autres n ont pas connu un découvert ponctuel en cours d exercice. Autonomie financière Fonds propres/endettement total (Dettes à LT + dettes différées + découvert) en % 134,7 Ce ratio signifie que pour les entreprises de notre échantillon, le montant de leurs ressources propres est supérieur à leur endettement. Pour information, le montant moyen de capital restant dû sur les emprunts des officines analysées ressort à 441 K Coût de l endettement Frais financiers * / Performance commerciale et de gestion en % 6,4 * Intérêt des emprunts + autres charges financières 21

23 Ratios moyens des éléments du besoin en fonds de roulement Crédit clients Crédit fournisseurs Rotation du stock % du stock par rapport au C.A. HT 7,7 8,0 38,8 41,8 45,3 44,5 8,9 8,9 Tous ces ratios sont toujours assez stables d une année sur l autre. Le poids du stock reste contenu malgré le développement des génériques et l évolution de certains modes d achat. 22 Pharmacies

24 Lexique Taux de marge brute commerciale (% du C.A.) Calcul = Ventes de la pharmacie H.T. - (stock début + achats - stock fin) Ventes de la pharmacie H.T. x 100 Ce ratio calcule la différence entre le prix de vente et le coût d achat d un produit. C est donc le solde qui reste à l officine pour couvrir ses frais et rémunérer le service rendu. Ce taux de marge retraite également les coopérations commerciales ainsi que les nouvelles rémunérations sur objectifs de santé. Charges externes (% du C.A.) Calcul = Autres achats et charges externes C.A. H.T. x 100 Ce ratio calcule le rapport entre les charges externes, qui par nature sont essentiellement des charges fixes (loyers, assurances, honoraires, frais postaux et télécommunications, services bancaires ) et le chiffre d affaires réalisé par l officine. Frais de personnel (% du C.A.) Calcul = Salaires + charges sociales patronales C.A. H.T. x 100 Ce ratio calcule le rapport entre les frais de personnel et le chiffre d affaires. On entend par frais de personnel, les salaires bruts et les charges sociales patronales des équipes salariées de l officine. Ils ne comprennent pas les salaires et charges sociales des gérants et titulaires. 23

25 Performance commerciale et de gestion (% du C.A.) Calcul = Marge commerciale - charges externes - impôts et taxes - frais de personnel C.A. H.T. x 100 Ce ratio mesure la performance économique globale. Il est la résultante de l activité commerciale (C.A. généré et marges dégagées), du poids des charges externes et frais de personnel (salaires, charges sociales patronales). Il est souhaitable bien évidemment que ce ratio soit le plus élevé possible. Le résultat obtenu à ce niveau n est pas influencé par les cotisations sociales du ou des titulaires, par la situation ou la politique financière (générant des produits et charges financières), par la politique d investissement (générant des amortissements, notamment ceux liés aux frais d établissement), par les éléments exceptionnels (traduits dans les produits et les charges exceptionnels) et, enfin, dans certains cas, par l impôt sur les sociétés. Tous ces postes viennent effectivement en déduction pour donner le résultat comptable. Fonds de roulement C est la différence entre les financements stables (capitaux propres et dettes à long terme), qui apparaissent au passif du bilan, et les biens stables (fonds de commerce, investissements et immobilisation financière), qui figurent à l actif. Le fonds de roulement doit être suffisant pour couvrir le besoin en fonds de roulement. 24 Pharmacies

26 Besoin en fonds de roulement Les délais de stockage ainsi que les délais d encaissement des créances clients génèrent un besoin de financement. Le besoin est diminué (voire annulé) par les délais accordés par les fournisseurs. La différence est appelée "besoin en fonds de roulement". Trésorerie C est la différence entre le fonds de roulement, la caisse et les placements à court terme (trésorerie positive) et les découverts bancaires et éventuelles dettes différées (trésorerie négative). Durée de rotation du stock (en jours) (Stock début + stock fin) nombre de jours Calcul = 2 Achats H.T. Ce ratio de rotation mesure le délai d immobilisation, en jours d achat qu il représente, et facilite les comparaisons dans le temps ou avec d autres officines. Mais l objectif est d équilibrer son stock de manière à répondre à la demande, sans pénaliser la trésorerie de l officine. Durée du crédit client (en jours) Calcul = Comptes clients nombre de jours Chiffre d affaires TTC Ce ratio mesure la durée que mettent en moyenne les clients pour régler leurs dettes. En officine, le dû tiers payant (caisses primaires, mutuelles) représente la majeure partie des encours clients. Durée du crédit fournisseur (en jours) Calcul = Comptes fournisseurs nombre de jours Achats TTC Ce ratio mesure la durée que l officine met en moyenne pour régler ses fournisseurs. 25

27 KPMG en un regard KPMG, leader de l audit, du conseil et de l expertise comptable. KPMG en France 238 implantations professionnels 906 millions d euros de chiffre d affaires KPMG International 155 pays professionnels 24,8 milliards de dollars US de chiffre d affaires consolidé KPMG compte plus de clients en France parmi lesquels : 200 sociétés cotées ou faisant appel public à l épargne Près de 30 % des PME de plus de 50 salariés associations et acteurs de l Economie Sociale et Solidaire TPE, artisans, commerçants et professions libérales références dans les collectivités publiques 26 Pharmacies

28 KPMG, un partenaire impliqué Aujourd hui, le réseau Professions de Santé de KPMG vous propose : Des collaborateurs dédiés à votre secteur répartis sur toute la France Plus de 7000 professionnels de la santé clients, dont pharmaciens Des relations fortes avec les élus de l Ordre, les syndicats professionnels, les facultés de pharmacie, et la presse professionnelle Des conférences tout au long de l année près de chez vous sur l actualité réglementaire et des conseils pour optimiser la performance de votre officine Des publications reconnues par la profession Des formations en gestion spécifiques à la pharmacie KPMG, un partenaire qui vous accompagne tout au long de vos projets Reprise d une officine Nos professionnels analysent, prévoient et vous assistent dans la concrétisation de votre opération : étude de faisabilité, élaboration des prévisions financières et d exploitation, identification et recherche des financements, choix du statut juridique et fiscal de votre officine, conseil sur le statut du titulaire, au regard de sa situation professionnelle et personnelle, accompagnement dans la relation avec les partenaires extérieurs : banques, administrations, etc. Développement Nous vous aidons à améliorer votre organisation administrative et comptable, nous analysons et produisons votre information, afin d optimiser la gestion de votre officine. Nous établissons et suivons périodiquement un tableau de bord d activité et de rentabilité. Nous positionnons vos performances en lien avec nos moyennes professionnelles annuelles et vous proposons des axes d amélioration. Cession - Transmission Nous évaluons, calculons les incidences fiscales de la cession, nous vous assistons dans votre négociation et nous analysons vos revenus futurs : retraite, rente, etc. En cas de transmission de l officine, notamment dans un cadre familial, nous analysons et optimisons les différents montages juridiques et fiscaux possibles. 27

29 Notes Pharmacies

30 kpmg.fr Contacts KPMG 3, Cours du Triangle Immeuble Le Palatin Paris La Défense Cedex Tél. : +33 (0) Fax : +33 (0) Responsables Nationaux du réseau Professions de Santé Patrick Bordas Tél. : +33 (0) pbordas@kpmg.fr Joël Vellozzi Tél. : +33 (0) jvellozzi@kpmg.fr EST Alexandre Joly +33 (0) ajoly@kpmg.fr Laurence Stoerkel +33 (0) lstoerkel@kpmg.fr Jean-Philippe Vernel +33 (0) jpvernel@kpmg.fr Bitche - Châlons-en-Champagne Charleville-Mézières - Colmar - Epernay Epinal - Forbach - Gérardmer Haguenau Longwy - Luxeuil-les-Bains Metz Montbéliard - Mulhouse - Nancy Pont-à-Mousson - Reims - Remiremont St-Avold - St-Dié-des-Vosges - Sarrebourg Sarreguemines - Strasbourg - Thionville-Yutz Troyes - Vitry-le-François NORD Fabrice Cukiermann +33 (0) fcukiermann@kpmg.fr Amiens - Armentières - Arras - Béthune Boulogne-sur-Mer - Calais - Cambrai Douai - Dunkerque - Hazebrouck - Lens Lille - Maubeuge - Péronne - Roubaix St-Omer - St-Quentin - Valenciennes RHONE-ALPES/AUVERGNE BOURGOGNE FRANCHE-COMTÉ Pierre Plouznikoff +33 (0) pplouznikoff@kpmg.fr Isabelle Montjaux +33 (0) imontjaux@kpmg.fr Ambert - Annecy - Annonay - Aurillac Besançon - Bourbon-Lancy - Bourg-en- Bresse - Bourgoin-Jallieu - Chalon-sur-Saône Chambéry - Clermont-Ferrand - Cluses Digoin - Dijon - Gray - Grenoble - Gueugnon Le Creusot - Lons-le-Saunier - Louhans - Lyon Lyon Presqu ïle - Mâcon Montceau-les- Mines - Montélimar - Montluçon - Morez Morteau - Moulins Oyonnax - Pontarlier Roanne - St-Claude St-Etienne - St-Marcellin Thiers - Valence - Vichy - Voiron OUEST Victor Lechable +33 (0) vlechable@kpmg.fr Claire Morisset +33 (0) cmorisset@kpmg.fr Sylvie Pasquier +33 (0) spasquier@kpmg.fr Angers - Angoulême - Audierne - Bressuire Brest - Brive-la-Gaillarde Challans - Cholet Cognac Fontenay-le-Comte - Fougères Guéret La Roche-sur-Yon - La Rochelle Laval Le Mans - Limoges - Lorient - Nantes Niort - Poitiers - Quimperlé - Quimper Rennes - Rezé - Royan - St-Brieuc - Saintes St-Malo - St-Nazaire - Scaër - Vannes - Vitré PARIS & CENTRE Emmanuel Leroy +33 (0) eleroy@kpmg.fr Asnières-sur-Seine - Auxerre - Beauvais Blois - Bourges - Cergy-Pontoise - Chartres Châteauroux - Chinon - Compiègne - Creil Étampes - La Ferté-sous-Jouarre - Levallois- Perret - Mantes-la-Jolie - Meaux - Montargis Nevers - Orléans - Paris - St-Germain-en- Laye - Sartrouville - Sens - Tours Val d Europe - Versailles/St-Quentin-en- Yvelines NORMANDIE Ronan Rannou +33 (0) rrannou@kpmg.fr Nadège Giffault +33 (0) ngiffault@kpmg.fr Abbeville - Alençon - Argentan - Avranches Caen (Hérouville St-Clair) - Cherbourg Coutances - Deauville - Dieppe - Evreux Flers - Granville Le Havre - Lisieux Louviers - Pont-Audemer - Pont-L Évêque Rouen St-Lô - Vire SUD-EST Joël Vellozzi +33 (0) jvellozzi@kpmg fr Aix-en-Provence - Alès - Avignon Beausoleil - Béziers - Ganges - Manosque Marseille - Marseille-Ralli - Menton Montpellier - Nice - Nîmes - Pertuis Puget-sur-Argens - Sète - Toulon - Valbonne SUD-OUEST Antoine Chabalier +33 (0) achabalier@kpmg.fr Agen - Albi - Arcachon - Auch - Bayonne Bergerac - Bordeaux - Cahors Carcassonne - Castres - Dax - Graulhet Libourne - Limoux - Marmande Mont-de-Marsan - Montauban - Narbonne Pamiers - Pau - Périgueux - Perpignan Rodez - St-Gaudens St-Girons - St-Jean-de- Luz - Tarbes - Toulouse DÉPARTEMENTS FRANÇAIS D AMÉRIQUE Gilles Defert +33 (0) gdefert@kpmg fr Alain Roglin +33 (0) aroglin@kpmg fr Guadeloupe - Guyane - Martinique DIRECTION NATIONALE GESTION SOCIALE (Facilio ) Patrick Bordas +33 (0) pbordas@kpmg fr Pascale Lefevre +33 (0) plefevre@kpmg fr Les informations contenues dans ce document sont d ordre général et ne sont pas destinées à traiter les particularités d une personne ou d une entité. Bien que nous fassions tout notre possible pour fournir des informations exactes et appropriées, nous ne pouvons garantir que ces informations seront toujours exactes à une date ultérieure. Elles ne peuvent ni ne doivent servir de support à des décisions sans validation par les professionnels ad hoc. KPMG S.A. est une société anonyme d expertise comptable et de commissariat aux comptes à directoire et conseil de surveillance au capital social de euros RCS Nanterre. Siège social : Immeuble Le Palatin, 3 cours du Triangle, Paris La Défense Cedex. KPMG S.A. est membre du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Cooperative ( KPMG International ), une entité de droit suisse. KPMG International ne propose pas de services aux clients. Aucun cabinet membre n a le droit d engager KPMG International ou les autres cabinets membres vis-à-vis des tiers. KPMG International n a le droit d engager aucun cabinet membre KPMG S.A., société anonyme d expertise comptable et de commissariat aux comptes, membre français du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Cooperative, une entité de droit suisse. Tous droits réservés. Le nom KPMG, le logo et cutting through complexity sont des marques déposées ou des marques de KPMG International. Imprimé en France. Référence : Etude pharmacie - Code : Mars 2015 Conception-Réalisation : Direction Communication/VM COMMUNICATION Crédits photos : Shutterstock - Fotolia

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