CANCER DU LARYNX CONFRONTATION TOMODENSITOMETRIQUE ET
|
|
- Marie-Hélène Larocque
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CANCER DU LARYNX CONFRONTATION TOMODENSITOMETRIQUE ET ANATOMO-CLINIQUE H KETATA, I AMMAR, L SAHNOUN, B HAMMEMI, L BOUGACHA, A GHORBEL, K BEN MAHFOUTH, J MENIF SFAX - TUNISIE
2 INTRODUCTION Les cancers du larynx occupent une place importante dans l'ensemble des cancers des voies aéro-digestives. la prise en charge d un cancer du larynx nécessite un bilan d extension tumoral le plus précis possible. La laryngoscopie directe et la tomodensitométrie (TDM) constituent les explorations de référence dans le bilan d extension de ces tumeurs.
3 OBJECTIF Comparer la fiabilité du scanner par rapport a celle de l endoscopie dans l évaluation de l extension locale initiale du cancer du larynx en se référant aux données de l histologie
4 MATÉRIELS ET MÉTHODES Etude rétrospective : 85 cas de cancer du larynx opérés dans le service d ORL de l hôpital Habib Bourguiba en Tunisie (1994 et 2007). Tous les patients ont bénéficié d une endoscopie sous anesthésie générale et d un scanner un mois en moyenne avant la chirurgie.
5 Tous les scanner ont été réalisés par un appareil hélicoïdal monobarette, L injection de produit de contraste a été systématique: volume total de PDC : 2 ml/kg, débit : 2ml/S réalisée de façon biphasique: o phase d imprégnation 2 mn avant l examen, 1/3 de la dose o phase d opacification vasculaire, 2/3 de la dose Acquisition à 50 à 70 secondes
6 - Confrontation des résultats de la laryngoscopie directe et du scanner à ceux de l examen anatomopathologique de la pièce opératoire. - La comparaison a porté sur les différentes zones du larynx constituant des balises chirurgicales importantes : cordes vocales (CV) commissures antérieure (CA) et postérieure (CP) ventricules laryngés (VT) bandes ventriculaires (BV) sous glotte loge hyo-thyro-épiglottique (HTE) cartilages thyroïde, épiglottique et cricoïde.
7 RESULTATS 82 hommes et 3 femmes Age moyen : 63 ans (de 35 ans à 88 ans). 36 patients alcoolo-tabagiques et 37 tabagiques Tous les patients n avaient jamais été traités auparavant pour une pathologie laryngée. Topographie tumorale : glotto-susglottique : 28 cas glotto-sousglottique : 3 cas trans-glottique : 44 cas limitée à un seul étage dans 10 cas. Carcinomes épidermoides: 100% des cas.
8
9
10 Cette analyse a conclue à: o la TDM a une bonne sensibilité pour l exploration: Des cordes vocales (72%) De l espace pré-épiglottique (82%) De la glotte et la sous-glotte (74%) Des cartilages laryngés (51 à 71%) Des tissus extra-laryngées (46%) o L endoscopie a une meilleure sensibilité dans l exploration: Des bandes ventriculaires (75% contre 59% au scanner) Des ventricules laryngés (69% contre 53%)
11 Figure 1: Volumineux processus tumoral de la corde vocale droite étendu vers les commissures antérieure et postérieure ainsi que vers la loge HTE visible sur la reconstruction sagittale. Cette extension a été confirmer par l examen histologique.
12 Figure 2: Tumeur nécrosée infiltrant la partie postérieure de la corde vocale droite avec bombement sous glottique homolatéral, un envahissement de la commissure postérieure et des cartilages cricoïde et aryténoïde. L examen anatomopathologique confirme ces données et montre en plus l atteinte des bandes ventriculaires et du ventricule.
13 a b Figure 3: TDM. Coupe axiale (a) et coronale (b) : Processus tumoral de la corde vocale gauche avec aspect condensé de l aryténoïde homolatéral
14 Figure 4: TDM. Coupe axiale passant par le plan des cordes vocales. Processus tumoral de la corde vocale droite étendu à la commissure antérieure et a la corde vocale gauche avec aspect condensé de l aryténoïde droite.
15 a b Figure 5: TDM coupe axiale (a) et sagittale (b) : Extension dans la loge thyro-hyoépiglottique (HTE) visible par le remplacement de la densité graisseuse par une densité de type tumoral.
16 Figure 6: TDM coupe axiale : Extension du processus tumoral aux tissus mous prélaryngés à travers le cartilage thyroïde lysé
17 DISCUSSION Les cancers du larynx prédominent chez l'homme entre 45 et 70 ans. L incidence augmente chez l'adulte jeune et chez la femme, surtout en milieu urbain. Tabac: agent cancérigène essentiel. Le carcinome épidermoïde est le type histologique le plus fréquent. Signes cliniques: plus ou moins présents selon le point de départ et l'évolution de la tumeur (dysphonie, dysphagie, dyspnée..)
18 L endoscopie: Sous anesthésie générale Indispensable au bilan des cancers du larynx comme de toute autre localisation des voies aérodigestives supérieures. Ses objectifs: préciser l'extension locale de la tumeur faire la biopsie examiner l'ensemble de la muqueuse des VADS à la recherche d'une autre localisation synchrone Seule elle est insuffisante dans l évaluation de l extension locorégionale D où l intérêt du scanner
19 Dans notre étude, l examen endoscopique a permis dans 77% des cas de correctement évaluer l extension locale de l ensemble des tumeurs. Ce résultat est retrouvé dans les séries publiées, qui rapportent des chiffres de 51,3 % à 76,2 %. Par ailleurs, l endoscopie démontre sa grande fiabilité pour les petites tumeurs, classées T1 et T2. Sa valeur diminue quand le stade T augmente, conformément à la littérature
20 Dans notre série, la sensibilité de l endoscopie est de 69 % pour les ventricules de Morgani, région fondamentale à évaluer, car elle constitue une voie d extension d une tumeur glottique en supra et/ou sous-glottique par l espace para glottique L endoscopie reste donc l examen de choix dans l exploration du ventricule comme ça été rapporté dans la littérature.
21 De même on note une meilleure sensibilité que le scanner dans l exploration des bandes ventriculaires. Par contre, sa sensibilité est nulle dans l exploration de la loge HTE, des cartilages laryngés et des tissus mous pré-laryngés.
22 La TDM - Le scanner est actuellement l'examen le plus couramment pratiqué pour évaluer l'extension initiale de ces cancers. - L introduction des scanners multi barrettes a permis : L exploration de l ensemble du larynx dans moins de 20 secondes La réduction des artefacts de mouvement La réalisation des manœuvres dynamiques La réalisation de reconstructions bidimensionnelles. L optimisation de l injection de PDC qui permet une bonne imprégnation tumorale L exploration de l ensemble des aires ganglionnaires
23 contrairement a l endoscopie, la sensibilité du scanner augmente quand le stade T augmente. Dans notre série la sensibilité pour tumeurs classées T3T4 était de 72% ; les valeurs rapportées dans la littérature variaient de 45 à 95 %. Cette grande disparité dans les sensibilités est en grande partie due à l apparition des scanners de nouvelle génération spiralés, qui offrent une meilleure qualité d images
24 Un des apports majeur du scanner est l étude de l extension vers la loge HTE qui ne peut être appréciée cliniquement. De même, il permet de préciser le caractère partiel et limité de cette infiltration ou l envahissement total et massif de la loge, un élément déterminant dans la prise en charge thérapeutique. Dans notre étude la sensibilité du scanner dans l exploration de la loge HTE est de 82%, comparable à la littérature (66 à 95%).
25 Le scanner est encore meilleure dans l étude de l extension vers l espace sous glottique (74% contre 47% pour l endoscopie) ce qui conditionne la prise en charge thérapeutique. En effet une importante extension sous glottique contre En effet une importante extension sous glottique contre indique une laryngectomie partielle, seule une laryngectomie totale mutilante peut être proposée à ces patients.
26 Il est important de rechercher une extension à la commissure antérieure se traduisant par un épaississement tissulaire en contacte du cartilage thyroïde. Son atteinte facilite l extension à la corde vocale controlatérale, au cartilage, au pied de l épiglotte et à la loge pré-épiglottique. En effet les erreurs au niveau de la commissure antérieure peuvent avoir de graves conséquences quand on sait l importance carcinologique de cette région.
27 La sensibilité du scanner dans l étude de l extension àlacadansnotresérie(65%)estprochedecelle décrite dans la littérature (68 à 83 %). Néanmoins, aucune différence significative n est apparue entre l examen clinique et le scanner. Par contre, la TDM présente des limites dans l exploration de la commissure postérieure, zone dont l extension doit être rechercher. Mais il reste plus sensible (41%) que la laryngoscopie (18%).
28 Le scanner permet encore de préciser l atteinte cartilagineuse qui peu se traduire par: une condensation, une petite érosion, ou une lyse franche. Une extension aux cartilages fait passer la tumeur au stade T4, sauf pour les petites érosions limitées du périchondre interne qui sont classés T3. Enfin; il permet aussi de préciser l'extension locale en profondeur aux espaces graisseux, aux tissus péri-laryngés qui sont mal appréhendés par la laryngoscopie.
29 POINTS CLES l endoscopie et la TDM sont deux examens complémentaires dans le bilan d extension initial du cancer du larynx Points forts de la TDM: Loge HTE l espace sous glottique Atteinte des cartilages laryngés Tissus extra-laryngés Points forts de l endoscopie Bandes ventriculaires ventricules de Morgani
30 REFERENCES 1. S. Ayache, E. Stramandinoli, B. Tramier, B. Deschepper, V. Strunski. Comparaison des résultats de la laryngoscopie et du scanner avant laryngectomie partielle. Ann Otolaryngol Chir Cervicofac, 2003; 120, 5, S. Duflo, M. Chrestian, B. Guelfucci, P. Champsaur, G. Moulin, M. Zanaret. Comparaison dans les cancers du larynx entre l imagerie par résonance magnétique et les coupes histologiques après laryngectomie. Ann Otolaryngol Chir Cervicofac, 2002; 119, 3, F Dubrulle, R Souillard, D Chevalier et P Puech. Imagerie en cancérologie du larynx et de l hypopharynx J Radiol 2008;89: Jonas A. Castelijns, Robert Hermans, Michiel W. M. van den Brekel, and Suresh K. Mukherji. Imaging of Laryngeal Cancer.Seminars in Ultrasound, CT, and MRI, Vol 19, No 6 (December), 1998: pp Minerva Becker, Karim Burkhardt, Pavel Dulguerov, A bdelkarim Allal.Imaging of the larynx and hypopharynx. European Journal of Radiology 66 (2008) F. DUBRULLE (1), Y. ROBERT (1), C. DELERUE (1), D. CHEVALIER (2), L. GAILLANDRE (1), N. ROCOURT (1), L. LEMAITRE (1) Intérêt du scanner spiralé dans la pathologie du larynx et de l'hypopharynx Feuillets de Radiologie Vol 37, N 2 - avril 1997 p. 118
31 QCM 1- Au cours de l exploration du cancer du larynx par une TDM: A. l injection de PDC est optionnelle B. l injection première de 2/3 de la dose correspond à la phase d imprégnation C. l injection première de 1/3 de la dose correspond à la phase d imprégnation D. l injection doit être monophasique
32 2- La laryngoscopie: A. Est non systématique au cours de l étude du larynx B. Permet l étude de l extension en profondeur du cancer du larynx C. Permet l étude de l ensemble de la muqueuse des voies aéro-digestive supérieure D. Est le meilleure examen dans l exploration des bandes ventriculaires et du ventricule E. Sa valeur augmente avec le stade T
33 3- Dans les tumeurs du larynx, le scanner est: A. l examen de choix dans l étude de l extension vers le ventricule de Morgani et la loge HTE B. indispensable pour étudier l envahissement des cartilages et des tissus extra laryngées C. aussi sensible que l endoscopie dans l étudie de l extension vers la commissure antérieure D. plus sensible quand le stade T augmente E. moins sensible que la laryngoscopie dans l étude de la commissure postérieure
34 REPONSES QCM 1: C QCM 2: CD QCM 3: BCD
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailOTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer
OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer IFSI Croix Rouge Dr Coulet Olivier Service ORL et chirurgie cervico-faciale Hôpital Laveran Cavité buccale / oropharynx Rappel anatomique rhinopharynx oropharynx
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailDIVERTICULE PHARYNGO-OESOPHAGIEN (DPO) DE ZENKER À PROPOS DE QUATRE CAS J. MOALLA, L. BAHLOUL, B. HAMMAMI, I. CHARFEDDINE, A.
Cas Clinique RESUME Le DPO est une pathologie rare (1% de la pathologie oesophagienne [1,2]). Elle est définie comme une hernie de la muqueuse postérieure de l œsophage à travers les fibres du muscle constricteur
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailItem 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives. Objectifs pédagogiques
Item 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives supérieures. I. EPIDEMIOLOGIE II. TRAITEMENT III. DIAGNOSTIC ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE IV. SUIVI POST-THERAPEUTIQUE V. PREVENTION VI.
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie
Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailGarantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale
Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailLes Laryngites chroniques
Mémoire du DES d ORL Année universitaire 2011-2012 Les Laryngites chroniques Article destiné à la revue Encyclopédie médico-chirurgicale. Laetitia Plisson Directeur de mémoire : Interne en 6 ème semestre
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT. LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures
FICHES INFO THERAPIE MIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures Ce document a été élaboré par les membres du bureau de la SFjRO avec l'aide de
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailTumeurs rectales Bilan initial et Imagerie
Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailPOLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers
POLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers Pr Laccourreye 2 INTRODUCTION La réforme du 2 e cycle des études médicales a provoqué un «éclatement» de l enseignement de l otorhinolaryngologie.
Plus en détailCURRICULUM VITAE DIPLOMA. Name: BENCHAOU. First name: Mimoun. Date of birth: 1st May 1966. Nationality: Moroccan, French and Swiss
CURRICULUM VITAE Name: BENCHAOU First name: Mimoun Date of birth: 1st May 1966 Nationality: Moroccan, French and Swiss Languages: spoken and written French, English, German and Arabic Marital status: single
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailLa mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit
Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"
ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est
Plus en détailLe Centre Léon Bérard ouvre un nouveau pôle pour la prise en charge du futur
Communiqué de presse Le Centre Léon Bérard ouvre un nouveau pôle pour la prise en charge du futur Penser la prise en charge de demain pour les personnes malades atteintes de cancer, leur proposer une offre
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailFRAIS ILLÉGAUX ET ABUSIFS
FRAIS ILLÉGAUX ET ABUSIFS Petit guide à l intention des intervenant-e-s de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles Table des matières 1. Introduction de l enjeu 2. Quel est l objectif de la démarche?
Plus en détailCliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier
CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier P. PUECH, JF. LAHAYE, JC. FANTONI [2], L. LEMAITRE CHRU de Lille [1] Plateau commun d Imagerie médicale - Hôpital Claude Huriez
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailValeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5
Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5 Claire Le Jeunne Bertrand Xerri Cécile Rey-Coquais Jean-Michel Joubert Jean Delonca Martine Pigeon Michel Lièvre Patricia
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détail