L. Sbihi, S. Sedrati, R. Dafiri Service de Radiologie, Hôpital d Enfants-Maternité, CHU Rabat - Maroc
|
|
- Cyril Léonard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L. Sbihi, S. Sedrati, R. Dafiri Service de Radiologie, Hôpital d Enfants-Maternité, CHU Rabat - Maroc JFR2010
2 Objectifs Rappeler la gamme diagnostique des tumeurs maxillomandibulaires non odontogéniques chez l'enfant et leurs particularités en imagerie.
3 Pré-requis La gamme des tumeurs maxillo-mandibulaires comprend : Les kystes d origine dentaire: K inflammatoires K dentigères K épidermoïdes d origine non dentaire: K épithéliaux malformatifs non odontogéniques: ex K naso-palatin K non épithéliaux: K osseux essentiel, K anévrismal Les tumeurs bénignes d origine dentaire Épithéliales: améloblastomes et autres mésenchymateuses: myxomes et fibromes odontogènes; cémentomes,... à double composante: Odontomes d origine non dentaire osseuses: ostéome ostéoïde et ostéoblastome; ostéome cartilagineuses: chondrome, ostéochondrome; chondroblastome; fibrome chondro-myxoïde. conjonctives: dysplasie fibreuse; tumeurs à cellules géantes et granulome central réparateur à cellules géantes et chérubinisme Les tumeurs malignes d origine dentaire: carcinome et sarcome odontogénique (adulte) D origine non dentaire: Ostéosarcomes, sarcomes d Ewing, chondrosarcomes, fibrosarcomes, rhabdomyosarcomes Hémopathies: LNH++ Cas particulier: lymphome de Burkitt Métastases (neuroblastome)
4 Matériels et méthodes Etude rétrospective Critères d inclusion Tumeurs maxillo-mandibulaires explorées par tomodensitométrie Tumeurs ostéolytiques touchant les maxillaires, la mandibule ou les deux. Lésions vérifiées histologiquement Critères d exclusion Les tumeurs d origine dentaire Les lésions condensantes
5 Matériels et méthodes Nous avons étudié La localisation unique ou multiple sur le squelette et sur la pièce osseuse (mandibule et/ou maxillaire) L'épicentre et le volume des lésions, La matrice tumorale, Les limites de la lésion L'état des corticales, L existence ou non d une réaction périostée et son type L extension aux parties molles les rapports de la lésion avec les structures de la face et de la base du crâne.
6 Résultats Diagnostic histologique Nb cas Age(ans) Sexe Tumeurs malignes 24 Lymphomes G/3F Sarcomes 11 RMS G/2F PNET F Léiomyosarcome 1 3 G Ostéosarcome 1 6 G Métastases de neuroblastome 1 2 F Tumeurs bénignes et pseudotumeurs 7 Granulomes à cellules géantes 2 4 /10 1F/1G Dysplasie fibreuse 1 9 G Lipome intraosseux 1 15 F Kyste osseux essentiel 1 8 F Chérubisme 1 5 G Fibromatose desmoïde 1 3 F
7 Résultats Les lymphomes Âge : 2 à 10 ans, moyenne 5 ans Sexe 9G/ 3F Histologie LNH 12 cas Hodgkin 0 cas Type Burkitt 7 cas non précisé 5 cas Localisation ORL seule 7 cas multiviscérale 5 cas Atteinte ORL Multiple sino-maxillaire +/- mandibulaire uni ou bilatérale 9 cas maxillaire isolée 2 cas mandibulaire isolée 1 cas
8 Résultats Les lymphomes Caractéristiques sémiologiques Atteinte multifocale 9 Localisation sino-maxillaire mandibulaire Processus lytique 12 Rupture de la corticale 12 Masse des parties molles hypodense faiblement rehaussée 12 Foyers de nécrose 4 Calcifications 2 Réaction périostée - en feu d herbe - unilamellaire discontinue Extension aux orbites 8 Nombre de cas
9 Garçon de 4 ans Biopsie: Lymphome de Burkitt Atteinte sino-maxillaire +/- mandibulaire bilatérale Atteinte lymphomateuse multifocale (9 cas) Atteinte du rhinopharynx ADP Extension aux FIT Extension aux cellules ethmoïdales et aux apex orbitaires Garçon de 3 ans, tuméfaction jugale bilatérale et exophtalmie droite d évolution rapide Biopsie : lymphome de Burkitt Garçon de 2 ans et 7 mois, tuméfaction de l hémiface droite évoluant depuis 2 mois. Biopsie: lymphome de Burkitt
10 Atteinte lymphomateuse unifocale (3 cas) Fille de 5 ans, processus maxillaire droit lytique avec réaction périostée en feu d herbe, masse des parties molles, extension sphéno-ethmoidoorbitaire. Biopsie: lymphome. Bilan d extension négatif Fille de 5 ans, processus maxillaire droit lytique expansif avec extension ethmoido-orbitaire. Biopsie: lymphome. Bilan d extension négatif Lymphome mandibulaire. Aspect pseudosarcomateux. Garçon de 2 ans, tuméfaction jugale gauche douloureuse. Processus ostéolytique mandibulaire gauche avec réaction périostée en feu d herbe et masse des parties molles.
11 Atteinte lymphomateuse de degré variable (formes évoluées plus fréquentes) Lymphome de Burkitt. Forme débutante. Fille de 9 ans, hypoesthésie labiale gauche depuis 2 mois. Petit foyer ostéolytique mandibulaire gauche rétromolaire élargissant le canal dentaire inférieur, rompant la corticale avec réaction périostée. Discrète atteinte des parois postérieures des 2 sinus maxillaires. Lymphome de Burkitt. Forme évoluée Garçon de 5 ans, volumineuse masse maxillo-faciale bilatérale hétérogène (contenant des zones nécrotiques), étendue aux sinus et aux orbites.
12 Résultats Les rhabdomyosarcomes (n=8) Âge : 1 à 13 ans, moyenne 6 ans Sexe 6G/ 2F Type Embryonnaire non précisé 3 cas 5 cas Localisation Maxillaire/ fosse infra-temporale 7 cas Mandibulaire 1 cas
13 Résultats Les rhabdomyosarcomes Caractéristiques sémiologiques Atteinte multifocale 0 Localisation sino-maxillaire mandibulaire Processus lytique 8 Rupture de la corticale 8 Masse des parties molles rehaussée après injection 8 Foyers de nécrose 7 Calcifications 2 Réaction périostée 0 Extension aux orbites 4 Nombre de cas 7 1
14 Résultats Les rhabdomyosarcomes Masse tissulaire hétérogène du sinus maxillaire gauche, lytique, avec extension aux parties molles jugales et à l orbite Pas de réaction périostée Pas de calcifications processus lytique du sinus maxillaire gauche étendu à l orbite et aux cellules ethmoidales. Rehaussement hétérogène délimitant des zones de nécrose. Pas de calcifications RMS maxillaire en cours de traitement: reconstruction osseuse parostéale
15 Résultats Les rhabdomyosarcomes TDM: masse ostéolytique mandibulaire droite contenant de rares calcifications, prise de contraste modérée, nécrose. absence de réaction périostée. Extension jugale et aux espaces profonds de la face Écho: processus tissulaire très hétérogène mal limité Rx: lyse hémimandibulaire droite avec disparition des dents Masse de la fosse infra-temporale Hypodense, rehaussement hétérogène délimitant des zones de nécrose, pas de calcification Extension jugale et aux espaces profonds de la face Lyse mandibulaire et maxillaire minime.
16 Résultats Ostéosarcome (n=1) L Processus ostéolytique soufflant l hémimandibule droite avec rupture de la corticale. Pas de calcification. Pas de masse des PM. Pas de réaction périostée. Anapath: Ostéosarcome bien différencié Récidive 2 mois après hémimandibulectomie
17 Résultats Léiomyosarcome (n=1) Masse lobulée, hypodense homogène, modérément rehaussée après injection, sans calcifications. Lyse mandibulaire de dehors en dedans
18 Résultats Métastases de neuroblastome (n=1) Fille de 2 ans, lésions ostéolytiques multiples, notamment mandibulaires bilatérales, avec réaction périostée en feu d herbe et masse des parties molles. Primitif: neuroblastome médiastinal postérieur
19 Résultats Fibromatose desmoïde (n=1) Fille de 3 ans, masse de l espace masticateur droit, légèrement rehaussée par l injection de PC, relativement homogène, infiltrante avec lyse du ramus et de l angle mandibulaires + réaction périostée spiculée
20 Résultats Dysplasie fibreuse (n=1) Garçon de 9 ans, tuméfaction de la joue gauche. Aspect élargi et condensé en verre dépoli de l hémimandibule gauche.
21 Résultats Granulomes centraux à cellules géantes (n=2) Garçon de 10 ans, Processus lytique soufflant le maxillaire supérieur, cloisonné et rompant la corticale avec extension dans les parties molles naso-labiales Fille de 4 ans, lacune soufflante du maxillaire, rompant la corticale par endroits avec extension dans les parties molles labiales récidive 5 mois après l exérèse chirurgicale
22 Résultats Chérubisme (n=1) Garçon de 5 ans. Lacunes multiloculaires maxillaires et mandibulaires bilatérales bien limitées, contenant quelques septa irréguliers, élargissant l os, avec corticale amincie voire rompue par endroits. Déplacement des dents. Effet de masse sur les orbites
23 Autres tumeurs bénignes Lipome intraosseux maxillaire et souscutané jugal chez une fille de 15 ans adressée pour tuméfaction indolore de la joue droite. Processus de densité graisseuse élargissant l os, sans rupture de la corticale. Kyste osseux essentiel fille de 8 ans, tuméfaction mandibulaire antérieure indolore Formation lytique à contenu liquidien, bien limitée, sans rupture de la corticale
24 Discussion Les tumeurs maxillo-mandibulaires de l enfant sont largement dominées par les tumeurs bénignes, dans la plupart des séries de la littérature. Cependant, cette notion n est pas retrouvée dans notre série en raison d un biais de sélection (la plupart de nos patients étant adressés par le service d oncologie pédiatrique). Les tumeurs malignes sont dominées par les lymphomes, en particulier le lymphome de Burkitt (qui n est pas fréquent uniquement en Afrique équatoriale, mais également dans le Maghreb) et les rhabdomyosarcomes. Les carcinomes, fréquents chez l adulte, sont exceptionnels chez l enfant.
25 Discussion Les lymphomes maxillo-faciaux Le type Burkitt est le plus fréquent Association fréquente à l EBV L âge moyen est de 6 ans. La localisation sino-maxillaire est plus fréquente que l atteinte mandibulaire. Les lésions sont volontiers bilatérales et/ou multifocales. La lésion est souvent volumineuse au moment du diagnostic avec extension rapide aux espaces profonds de la face et aux orbites. La lyse est généralement perméative. Plus rarement il existe des zones d ostéosclérose pseudo-infectieuse. La réaction périostée et les calcifications intratumorales sont rares.
26 Discussion Les rhabdomyosarcomes les plus fréquentes des tumeurs du massif facial chez l enfant. Prédominance des localisations orbitaire et sinusienne Masse volumineuse mal limitée, rehaussée par le contraste, avec lyses osseuses Calcifications et réactions périostées rares
27 Discussion Les autres sarcomes et les métastases sont plus rares. L ostéosarcome: ans Localisation préférentielle: mandibule. Clinique: tuméfaction douloureuse Imagerie: masse ostéolytique souvent volumineuse, irrégulière et calcifiée. Réaction périostée rare dans la localisation faciale par rapport aux os longs. Les métastases de neuroblastome Petite enfance Imagerie: lésions ostéolytiques multiples, avec rupture de la corticale, masse des parties molles et fréquente réaction périostée.
28 Discussion Les tumeurs bénignes et les pseudotumeurs comprennent un large spectre de variétés histologiques. La mandibule représente un site de prédilection de la dysplasie fibreuse, du chérubisme et des granulomes à cellules géantes.
29 Discussion Le granulome à cellules géantes (GCG) Prolifération non-néoplasique, contenant des foyers hémorragiques. Etiopathogénie inconnue (traumatique?). Anciennement granulome «réparateur», terme impropre car lésion lytique. Touche l enfant et adulte jeune. F> G Peut être central (intra-osseux) ou périphérique (gingival) GCG Central: lacune endostéale, en avant des premières molaires; uni ou multiloculaire, se rehausse de façon modérée après contraste, avec parfois rupture de la corticale. Mandibule > maxillaire Évolution +/- lente, risque de récidive Dc différentiel: tumeur à cellules géantes (25-40 ans, plus agressive), K anévrysmal, améloblastome, tumeur brune d hyperparathyroidie Traitement: curetage ou exérèse + ttt médical (corticoides, biphosphonates)
30 Discussion La fibromatose desmoïde Sous-type de fibromatose < 8 ans (pic 0-2ans); G>F Dév. à partir des muscles, aponévrose ou périoste Espace masticateur 40% Évolution lente, malignité locale, récidive++ Clinique: tuméfaction peu douloureuse fixe en quelques mois TDM: iso ou discrètement hyperdense par rapport au muscle, infiltrante > limites nettes, Érosion osseuse voire lyse, réaction périostée Après injection: rehaussement variable but: rapports vasculaires IRM: signal intermédiaire en T1 (entre muscle et graisse) variable en T2 (zones riches en collagène hypot2; forte cellularité hypersignal) Dc différentiel: RMS Schwannome Hémangiome infantile Fibrome desmoplastique Dc final: biopsie Traitement: exérèse en bloc, +/-RTH
31 Discussion Le chérubisme Dysplasie touchant maxillaires et mandibules Les Chérubins vus par Raphaël. Génétique: Anomalie localisée sur chromosome 4p16.3 Début vers 2-3 ans, tuméfaction indolore des joues (comme des chérubins), involution avec puberté Lacunes multiloculaires soufflant l os La dysplasie fibreuse Mono ou polyostotique Elargissement osseux Dense ( verre dépoli), mixte ou plus rarement lytique Franchissement des sutures
32 Conclusion Les tumeurs maxillo-mandibulaires non odontogéniques restent rares chez l'enfant. Elles sont dominées par les tumeurs bénignes Les tumeurs malignes les plus fréquentes sont les lymphomes et les sarcomes. La TDM et l'irm constituent les examens de base pour explorer ce type de lésions. La connaissance de certaines caractéristiques sémiologiques permettent parfois d'évoquer le diagnostic, qui reste au final histologique.
33 Bibliographie Martin-Duverneuil N. Tumeurs du massif facial. EMC 2006; A-20 Lelo T et al. Le lymphome de Burkitt à localisatiion maxillofaciale Médecine d'afrique Noire : 1992, 39 (12) Kingston et al. Imaging of Desmoid Fibromatosis in Pediatric Patients AJR2002:178 Batselier Ph. Ostéosarcome de la mandibule. J Radiol 1997; 78: 461 Nackos JS. CT and MR Imaging of Giant Cell Granuloma of the Craniofacial Bones AJNR 2006; 27: 1651 Douglas-Akinwande AC. Facial Mass in a Child AJR 2008;191:S37 S39
34 QCM 1. Les deux tumeurs maxillo-mandibulaires malignes les plus fréquentes chez l enfant sont: A. les métastases B. les sarcomes C. les lymphomes D. les carcinomes 2. Le chérubisme est: A. Une dysplasie osseuse de la période pubertaire B. Atteint les maxillaires et la mandibule C. Se traduit par une condensation diffuse en verre dépoli D. Se traduit par des lacunes multiples 3. Les lymphomes de Burkitt A. Sont responsables d une ostéolyse de type perméatif B. Touchent avec prédilection la région sino-maxillaire C. Sont rehaussées fortement par l injection de produit de contraste D. Ont une extension rapide vers les orbites et les parties molles faciales
35 Réponses 1. B, C 2. B, D 3. A, B, D
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailINTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE;
PLAN INTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE; MATÉRIELS & MÉTHODES; RÉSULTATS; DISCUSSION: GÉNÉRALITÉS; RAPPEL ANATOMIQUE DE LA BASE DU CRÂNE; CLASSIFICATION DES TBC; CLINIQUE. LES MOYENS D IMAGERIE DES TBC;
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailIntroduction et préparation aux stages cliniques Traumatologie et orthopédie infantile À l usage du 2 et 3 cycle Faculté de Médecine ULG
Professeur Oreste Battisti, orthopédie infantile, ULG - 1 - Introduction et préparation aux stages cliniques Traumatologie et orthopédie infantile À l usage du 2 et 3 cycle Faculté de Médecine ULG Dr Oreste
Plus en détailLE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE
LE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE Sémiologie, étiologies et diagnostics différentiels J Giron, N Sans, ML Despeyroux, O Loustau, H Gandois, D Galy, JJ Railhac Service central d imagerie CHU Purpan - Toulouse
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailL imagerie dentaire 3 D.
L imagerie dentaire 3 D. Tomographie, tomodensitométrie, Scanner (Ct Scan), tomographie volumétrique à faisceau conique ou CBCT (Cone Beam Computerized Tomography) tous ce termes font appel à la reconstitution
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE
Programme de formation dentaire continue 2011-2012 LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Dre Stéphane R. Schwartz ou Dr Duy-Dat Vu 1 LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Introduction Tous les cours en dentisterie pédiatrique
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailONCOLOGIE PÉDIATRIQUE
ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailL HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE
L HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE Par Monique Gemme, H.D., diplômée du Cégep Édouard- Montpetit en 1988, pratiquant depuis 1989 au centre de Prosthodontie Maxillo-Faciale de L hôpital Notre-Dame du
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailPatient de 40 ans, pas d antécédent notable. Abcès dentaire soigné par ATB + AINS.
Patient de 40 ans, pas d antécédent notable Abcès dentaire soigné par ATB + AINS. Syndrome infectieux sévère clinique (fièvre à 40 C frissons, AEG) et biologique Extraction de la dent 38 et ponction-aspiration
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailRéférentiel métier / Compétences du chirurgien en chirurgie maxillo-faciale et stomatologie
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2009, 8 (4) : 15-21 15 Référentiel métier / Compétences du chirurgien en chirurgie maxillo-faciale et stomatologie Pr Patrick Goudot, président du collège
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailProgramme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse
Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailNOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO
NOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO ARRETE MINISTERIEL N 84-688 DU 30 NOVEMBRE 1984 MODIFIE PAR : L Arrêté Ministériel n 98-633 du 21 décembre 1998 L Arrêté Ministériel
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailPROTHESES PIEZOGRAPHIQUES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE UNIVERSITE D ANNABA Faculté de médecine. Département de chirurgie dentaire. module de prothèse. préparé par : DR HAMLAOUI M. m.hamlaoui@facmed-annaba.com
Plus en détailPAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire
PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES Apport du cône beam en cabinet dentaire CAS CLINIQUES - IMAGERIE 3D Introduction Bonjour, Nous vous invitons à découvrir dans cette brochure quelques exemples concrets de l apport
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailPathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie
Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera
Plus en détailINTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013
INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,31 = = 37
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailINTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014
INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 3 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,60 = = 37
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailPREVALENCE DES INCLUSIONS ET RETENTIONS DENTAIRES DANS UNE POPULATION NOIRE SENEGALAISE. THESE DE 2 EME CYCLE. PRESENTEE ET SOUTENUE PAR MARYAM SARR
PREVALENCE DES INCLUSIONS ET RETENTIONS DENTAIRES DANS UNE POPULATION NOIRE SENEGALAISE. THESE DE 2 EME CYCLE. PRESENTEE ET SOUTENUE PAR MARYAM SARR INTRODUCTION...3 PREMIERE PARTIE : RAPPELS SUR LES INCLUSIONS
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailRéférentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013
Référentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013 Sommaire Contexte 5 Objectifs... 5 Champ d application... 5 Utilisateurs cibles... 5 Information du patient... 5 Avertissement...
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détailLa complémentaire santé pour tous : chef d entreprise, ce que vous devez savoir!
La complémentaire santé pour tous : chef d entreprise, ce que vous devez savoir! AGAMY 25/06/15 Par Philippe BARRAUD, Inspecteur Collectives AXA ENTREPRISES & Dominique THIERY, Agent AXA Patrimoine & Prévoyance
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailIntroduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité:
Comparaison entre scanner et morphotep dans l él évaluation du stade TNM d une d lésion l pulmonaire suspecte S Ciprian-Corby (1), L Meyer-Bisch (1), MA Muller (2), P Olivier (2), A Bertrand (2), D Régent
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailItem 35 : Développement buccodentaire et anomalies
Item 35 : Développement buccodentaire et anomalies Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Dépister les anomalies du développement maxillo-facial... 1 2 Embryologie faciale et anomalies...
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détail