Diagnostic hydro écologique sur la Seine au droit du Port de la Conférence (75) Evaluation des potentialités piscicoles des berges de Seine

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1 Diagnostic hydro écologique sur la Seine au droit du Port de la Conférence (75) Evaluation des potentialités piscicoles des berges de Seine Novembre 2013

2 DOCUMENT : Titre du rapport : Expertise hydro-écologique sur la Seine au droit du port de la Numéro de dossier : MAITRE D OUVRAGE : Coordonnées : Interlocuteur : PRODUCTEURS : Coordonnées : Responsable de l étude : E13_051 PORTS de PARIS 2 quai de grenelle paris Cedex 15 Tél : Fax : M. François BORGET Division Equipement Ingénierie HYDROSPHERE 2, avenue de la mare, ZI des Béthunes Saint Ouen l Aumône Tél : Michel PAJARD (Chargé d études) mpajard@hydrosphere.fr / Tél : Cédric MORENO (Responsable Pôle Aménagement) Pascal MICHEL (Directeur) Chef de projet : Contrôle qualité : Participation : Cartographie Cédric MORENO / Michel PAJARD Terrain Cédric MORENO / Michel PAJARD

3 Sommaire SOMMAIRE Contexte et objectifs Site d étude Protocole Méthodologie Contraintes Conditions hydrologiques Résultats Diagnostic des berges Diagnostic floristique Diversité spécifique Recouvrement de la végétation aquatique Statut de protection des espèces Conclusion...15 TABLE DES ILLUSTRATIONS...16 Page 2/16

4 1. Contexte et objectifs Ports de Paris va mener des travaux de réhabilitation du port de la Conférence situé dans le 8ème arrondissement de Paris entre le pont de l Alma et celui des Invalides. Dans le cadre de la protection des milieux naturels, Port de Paris a souhaité avoir un avis d expert sur les potentialités piscicoles du secteur concerné, objet de ce présent rapport. 2. Site d étude Le site d étude se situe à Paris dans le 8ème arrondissement en rive droite de la Seine entre le pont des Invalides et celui de l Alma. Le port de la Conférence est utilisé par la Compagnie des Bateaux Mouches qui dispose d un embarcadère pour le public et d une douzaine de bateaux-mouches stationnant à quai sur le site d étude. Les bateaux circulent toute la journée de 10h00 à minuit entre avril et septembre. En basse saison, les navettes sont moins nombreuses et dépendent de l affluence et des conditions hydrologiques. Figure 1 : Localisation du port de la Le secteur d étude s étend sur 600 m de long entre les deux ponts sur une largeur de 5 m. Page 3/16

5 Photo 1 : Vue du site d étude depuis le pont des invalides Photo 2 : Vue du site d étude depuis le pont de l Alma 3. Protocole 3.1. Méthodologie Ce type d expertise se réalise normalement à l étiage en conditions hydrologiques stables. La méthodologie usuellement employée consiste à prospecter les berges à l aide d une embarcation légère. Il s agit de relevés la nature des berges, les hauteurs d eau, la granulométrie du fond et la présence d herbiers aquatiques potentiellement intéressants pour les espèces piscicoles phytophiles en réalisant des prélèvements ponctuels au râteau télescopique ou au grappin. Photo 3 : Identification des macrophytes à vue à l aide d un bathyscope Photo 4 : Prélèvement de macrophytes au râteau téléscopique La végétation hydrophytique, se développant dans la zone sous fluviale, est composée de plantes enracinées ou non à feuillage immergé ou flottant. Les herbiers sont généralement peuplés par des macros-invertébrés benthiques qui fournissent un apport de nourriture important pour les poissons. Ils servent également d abri hydraulique (courant plus faible et protection contre le batillage) et de protection contre les prédateurs. Enfin, ces herbiers constituent des supports de pontes pour de nombreuses espèces. Page 4/16

6 Figure 2 : Classification des hydrophytes Le statut des espèces végétales est déterminé à l aide du catalogue de la flore vasculaire d Ile-de- France (rareté, menaces et statuts) édité par le C.B.N.B.P (Conservatoire Botanique National du Bassin Parisien) version complète du 1 avril Indice Définition Nb. de mailles % de mailles RRR Extrêment rare 1 à 19 3,56 RR Très rare 20 à 57 10,69 R Rare 58 à ,14 AR Assez rare 119 à ,65 AC Assez commun 191 à ,53 C Commun 265 à ,35 CC Très commun 344 à ,83 CCC Extrêment commun 443 à ,93 PN = Protection Nationale PR = Protection Régionale Figure 3 : Indice de rareté établi par le Conservatoire Botanique National du Bassin Parisien (C.B.N.B.P) Page 5/16

7 3.2. Contraintes Dans le cadre de cette mission, une visite du site a été effectuée le 22/10/13 pour l établissement d un plan de prévention avec le Port de Paris. Cette première visite a permis d évaluer les contraintes pour l expertise : les prospections doivent être réalisées entre 7 h00 et 10 h00 du matin avant le départ des bateaux. lorsque les bateaux sont à quai, l espace entre les bateaux est très étroit et il est difficile de circuler même avec une petite embarcation légère. les conditions hydrologiques sont moins favorables à cette période de l année (niveaux d eau et turbidité importante) et la végétation aquatique est en fin de période de production biologique (repos végétatif). Photo 5 : Vue des aménagements de berge et des bateaux accostés Photo 6 : Vue du site d étude depuis le pont de l Alma 3.3. Conditions hydrologiques Le graphique suivant présente les débits moyens mensuels de la Seine à Paris au droit de la station d Austerlitz située en amont du site d étude. Figure 4 : Débit moyen mensuel de la Seine à Paris Austerlitz (données calculées sur 40 ans ) Source : Page 6/16

8 Le module de la Seine à Paris Austerlitz est de 308 m3/s. Le débit d étiage de la Seine est de 81 m3/s. Comme le montre la figure 5, le débit moyen de la Seine à la fin du mois d octobre était deux fois supérieur au module. Figure 5 : Débit journalier moyen de la Seine à Paris Austerlitz au mois d octobre 2013 Source : Figure 6 : Débit de la Seine à Paris Austerlitz entre le 12/11 et le 19/11/13 Source : Page 7/16

9 Les prospections ont été réalisées le 18 novembre 2013 entre 07h00 et 9h30. Le débit de la Seine était alors proche de 900 m3/s soit trois fois supérieur au module cf. (figure 6). Les niveaux d eau étaient supérieurs de plus d un mètre au niveau moyen des eaux et les vitesses de courant très élevées. En conséquence, pour des raisons de sécurité, les prospections n ont été réalisées que depuis la rive et ont consisté à effectuer des prélèvements ponctuels au grappin (appelés aussi points de contacts). Au total 35 points de contacts ont été réalisés sur le linéaire. La carte page suivante présente la localisation des relevés. Certains secteurs n ont pu être échantillonnés en raison de la proximité des bateaux et des installations par rapport à la berge. C est le cas notamment au niveau de l embarcadère. Des difficultés ont également été rencontrées en raison de la présence de nombreux câbles et objets divers présents sous l eau. Le grappin s est accroché de nombreuses fois. Sur le dernier point en aval du pont des invalides, le grappin lesté s est accroché à un câble sous l eau et n a pu être libéré. Il a donc été nécessaire de couper la corde. L observation et la détermination des taxons se sont effectuées in situ. Page 8/16

10 Localisation des points de contacts 1 2 5m 2.7 m Pont de l Alma 4m Pont des Invalides Hauteurs d eau observées le 18/11/13

11 4. Résultats 4.1. Diagnostic des berges Sur le site d étude, les berges sont aménagées par un rideau de palplanches pour permettre l accostage des bateaux. Le talus, le pied de talus et la rive sont donc complètement artificialisées. Le jour des prospections les hauteurs d eau au pied des palplanches étaient comprises entre 2.7m (à l aval) et 5 m (au niveau de l embarcadère) (Cf. carte 1). Compte-tenu des conditions hydrologiques, il n a pas été possible d évaluer le type de substrat présent au pied de palplanches. Cependant, d après notre expérience et la connaissance de la Seine dans Paris intra-muros, il est probable que le fond du lit soit principalement constitué de blocs. Par ailleurs, les manœuvres des bateaux engendrent des remous important qui limite le maintien d éléments fins au droit du site Diagnostic floristique Diversité spécifique La carte 2 présente la localisation des herbiers aquatiques sur la zone d étude. Au total 4 hydrophytes ont été recensées dans la Seine au niveau du site d étude. Ce groupement se caractérise par un ensemble d espèces immergées et flottantes. Espèce enracinée à feuilles immergées (EFI) : la Vallisnérie (Vallisneria spiralis) et le Myriophylle en épis (Myriophyllum spicatum) ; Espèce enracinée à feuilles immergées et flottantes (EFIF) : Le Potamot noueux (Potamogeton nodosus) et le Rubanier émergé (Sparganium emersum). Photo 7 : Le rubanier emergé (Sparganium emersum) (cliché : C.Moreno) Photo 8 : Le Potamot noueux (Potamogeton nodosus) (cliché : M.Pajard) Page 10/16

12 LEGENDE Espèces végétales assez rares en Ile-de-France VAL Valisnérie en spirale (Vallisneria spiralis) MYR Myriophylle en épi (Myriophyllum spicatum) PNO Potamot noueux (Potamogeton nodosus) SPA Rubanier emergé (Sparganium emersum) Pont de l Alma VAL VAL MYR VAL VAL MYR VAL SPA MYR PNO Localisation des herbiers aquatiques VAL MYR Pont des Invalides Espèces végétales très rares en Ile-de-France

13 Le Rubanier (Sparganium emersum) est une plante à feuilles submergées et flottantes qui affectionne les eaux eutrophes plutôt riches en azote. Contrairement à la forme dressée que l on peut rencontrer en berge, la forme immergée du Sparganium est très souvent stérile. La Vallisnérie (Vallisneria spiralis) colonise les milieux peu profonds et faiblement courants qui s échauffent rapidement mais elle tolère les eaux turbide. Elle passe facilement inaperçue en raison de sa forte ressemblance avec Sparganium ermersum. Il s agit d une espèce subtropicale cosmopolite qui est signalée en France depuis On la trouve généralement au niveau des rejets de centrales de production thermique et de centrales nucléaires où elle peut former des populations très denses à caractère invasif. L aire de distribution de ce taxon est en expansion vers le nord. Depuis quelques années, cette plante se retrouve de plus en plus sur les grands cours d eau d Ile de France. Sa présence et son développement peuvent être un indicateur du réchauffement des eaux. Photo 9 : La vallisnérie spiralée (Vallisneria spiralis) (cliché : C.Moreno) Photo 10 : Le myriophylle en épi (Myriophyllum spicatum) (cliché : C.Moreno) Le Myriophylle à épi (Myriophyllum spicatum) est une plante entièrement submergée qui possède un enracinement superficiel. L éclairement est d une grande importance pour son développement et influence la production de biomasse de cette espèce. Certaines proliférations de M. spicatum ont été liées à des baisses de niveau de l eau entraînant une augmentation de l éclairement. M. spicatum est une espèce adaptée aux fortes intensités lumineuses, qui ne tolère pas son propre ombrage. Paradoxalement, cette espèce est capable de se développer dans des eaux turbides, où la quantité de lumière est limitée. En fait, sous l effet de l ombrage, le nombre de tiges diminue, et celles-ci s allongent. La biomasse de feuilles se concentre en surface, formant une canopée. M. spicatum possède une vaste amplitude de développement, allant de l oligotrophe au saprobe, voire de zones de pollution critique. Le Potamot noueux (Potamogeton nodosus) est une plante à feuille flottante et immergée. C'est une espèce commune dans les eaux stagnantes ou courantes d'une bonne partie de la France. Les feuilles supérieures sont flottantes et coriaces. Les autres sont minces et transparentes. Le limbe ne présente pas de pli à la base. Les fleurs forment un épi dense porté par un pédoncule épais et plus ou moins long. Vivace, elle passe l hiver sous la forme de bourgeons portés par des rhizomes. Cette espèce se développe préférentiellement dans les eaux calcaires plutôt riches en nutriments. Page 12/16

14 Recouvrement de la végétation aquatique La présence des herbiers est marginale et restreinte à la partie aval du secteur d étude sur une zone de 60 m de long et 3 m de large (cf. Carte 2). Avec une surface d environ 180 m², les herbiers couvre moins de 10 % de la zone d étude. Malgré les conditions défavorables de l expertise (période d inventaire, hydrologie, turbidité, présence des bateaux, ), ces résultats semblent tout à fait cohérents avec la morphologie des berges et les conditions situationnelles puisque les herbiers se situent sur la zone la moins profonde du secteur d étude, relativement éclairée et surtout assez protégée du batillage et des remous par la péniche à quai. Contrairement aux autres bateaux, cette péniche semble restée à quai la plupart du temps et l espace entre le bateau et la berge laisse un éclairement suffisant pour permettre le développement de la végétation aquatique. Sur le reste du site d étude, les conditions stationnelles ne sont pas favorables au développement des herbiers : fortes hauteurs d eau, ombrage de l embarcadère et des péniches et remous important lors des manœuvres des bateaux. La Vallisnérie semble l espèce la plus abondante mais il est difficile d estimer son recouvrement réel. La seconde espèce majoritaire est le Myriophylle. Les deux autres espèces sont plus marginales. Photo 11 : Herbier mixte de Potamot, rubanier et myriophylle observé en aval du secteur d étude (22/10/13) Photo 12 : Touffes de rubanier et Vallisnérie prélevée au grappin (18/11/13) Photo 13 : Prélèvement au grappin entre les péniches et la berge Photo 14 : Vue du site d étude depuis le pont des invalides Page 13/16

15 Statut de protection des espèces Le statut de protection et de rareté des espèces au niveau national, régional et départemental est présenté dans le tableau ci-dessous. Parmi les 4 espèces de macrophytes, aucune espèce n est protégée. Myriophyllum spicatum est classée comme assez rare en Ile de France. Sparganium emersum est classée comme assez rare. Vallisneria spiralis et Potamogeton nodosus sont classées comme très rare. Ces données doivent être prises avec précaution car la végétation aquatique est largement sous prospectée, notamment en grand cours d eau car elle est peu visible et nécessite des moyens matériels (embarcation râteau télescopique de 4 m et/ou grappin). D après notre expérience, ces 4 espèces sont largement répandues dans les grands cours d eau du bassin parisien, y compris le Potamot noueux que l on rencontre très souvent en Seine. Tableau 1: Statut de protection des espèces floristiques aquatiques Page 14/16

16 5. Conclusion Sur le site d étude, les berges sont aménagées par un rideau de palplanches. La forte artificialisation du milieu et la présence des installations de la Compagnie des Bateaux Mouches (embarcadère, péniches) sont peu favorables au développement des herbiers aquatiques : hauteurs d eau importantes, ombrage, remous générés par les manœuvres des bateaux. D une manière générale, le milieu est donc peu accueillant pour le frai des espèces piscicoles et la croissance des alevins en raison des hauteurs d eau importantes et des remous que provoquent les péniches. Page 15/16

17 Table des Illustrations Liste des tableaux Tableau 1: Statut de protection des espèces floristiques aquatiques Liste des photos Photo 1 : Vue du site d étude depuis le pont des invalides... 4 Photo 2 : Vue du site d étude depuis le pont de l Alma... 4 Photo 3 : Identification des macrophytes à vue à l aide d un bathyscope... 4 Photo 4 : Prélèvement de macrophytes au râteau téléscopique... 4 Photo 5 : Vue des aménagements de berge et des bateaux accostés... 6 Photo 6 : Vue du site d étude depuis le pont de l Alma... 6 Photo 7 : Le rubanier emergé (Sparganium emersum) Photo 8 : Le Potamot noueux (Potamogeton nodosus) Photo 9 : La vallisnérie spiralée (Vallisneria spiralis) Photo 10 : Le myriophylle en épi (Myriophyllum spicatum) Photo 11 : Herbier mixte de Potamot, rubanier et myriophylle observé en aval du secteur d étude (22/10/13) Photo 12 : Touffes de rubanier et Vallisnérie prélevée au grappin (18/11/13) Photo 13 : Prélèvement au grappin entre les péniches et la berge Photo 14 : Vue du site d étude depuis le pont des invalides Liste des figures Figure 1 : Localisation du port de la...3 Figure 2 : Classification des hydrophytes... 5 Figure 3 : Indice de rareté établi par le Conservatoire Botanique National du Bassin Parisien (C.B.N.B.P)... 5 Figure 4 : Débit moyen mensuel de la Seine à Paris Austerlitz (données calculées sur 40 ans )... 6 Figure 5 : Débit journalier moyen de la Seine à Paris Austerlitz au mois d octobre Figure 6 : Débit de la Seine à Paris Austerlitz entre le 12/11 et le 19/11/ Liste des cartes Carte 1 : Localisation des points de contacts sur la zone d étude... 9 Carte 2 : Localisation des herbiers aquatiques sur la zone d étude Page 16/16

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

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