Jeux dynamiques à information complète
|
|
- Marie-Paule Giroux
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre Jeux dynamiques à information complète Les jeux sous forme normale donnent une représentation adéquate de joueurs effectuant des choix de stratégies simultanées. ans ces jeux, aucun joueur n a d information sur les stratégies utilisées par les autres joueurs au moment de faire son choix. ans de nomreux cas concrets, les joueurs effectuent leurs choix en fonction d une situation oservée qui dépend en particulier des choix précédents des autres joueurs. ar exemple c est le cas pour une enchère croissante, dans une négociation, dans le jeu d échecs. I. éfinitions: éfinition I.: Un jeu dynamique est le modèle d une situation où les joueurs choisissent séquentiellement leurs actions. Un jeu dynamique sera dit à information complète si tous les joueurs connaissent la structure du jeu. Remarque: Contrairement aux jeux statiques qui sont des jeux à information imparfaite, un jeu dynamique peut être à information parfaite ou imparfaite. éfinition I.: Un jeu est à information parfaite si chaque joueur est parfaitement informé des actions passées des autres joueurs. éfinition I.: Un jeu est à information imparfaite quand un joueur ignore certain des choix qui ont été effectués avant le sien. II. orme extensive d un jeu: éfinition II.: La représentation sous forme extensive d un jeu spécifie : Les joueurs concernés par le jeu (la nature n appartenant pas à l ensemle des joueurs). L ordre des décisions (les moments où chaque joueur aura jouer) Les actions (décisions) possiles de chaque joueur au moment où il joue. L information dont dispose chaque joueur au moment où il joue. Les paiements des joueurs pour chacune des cominaisons possiles d actions. éfinition II.: Un jeu sous forme extensive est donné par un arre de jeu contenant un nœud initial, des nœuds de décisions, des nœuds terminaux et des ranches reliant chaque nœud à ceux qui lui succèdent. n. Un ensemle de n joueurs our chaque nœud de décision, le nom du joueur qui a le droit de choisir une stratégie à ce nœud. our chaque joueur i, la spécification de l ensemle des actions permises à chaque nœud où il est susceptile de prendre une décision. La spécification des gains de chaque joueur à chaque nœud terminal. Exemple II.: Soit le jeu définit comme suit : Le joueur joue en premier et choisit une action a de l ensemle des actions A = { L, R}. Le joueur S oserve le choix de et choisit une action a de l ensemle des actions A { U } =.,
2 Le jeu s arrête et les paiements sont donnés par u ( a, a ) et (, ) Ce jeu en forme extensive est donné par l arre suivant: u a a. ranches = actions J L R œud initial (sans prédécesseur) œud de décision (intermédiaire) U U u ( L, U ), u ( L U ), u ( L, ), u ( L, ) u ( R, U ), u ( R, U ) u ( R, ), u ( R, ) œuds terminaux (sans successeur) Exemple II.: (le prolème de l entrant potentiel) Considérons le prolème d entrée d une firme dans le marché d un monopole. Une firme ( I ) est en situation de monopole sur un marché. Une autre firme ( E ) doit choisir entre entrer ou ne pas entrer. I peut choisir de comattre en cassant les prix ou de coopérer S il entre, la firme installée avec lui, de manière à créer un monopole joint. 0,00 si E n entre pas, si E entre et I comat et Les paiements pour E et I sont ( 0,50 ) si E entre et I coopère. Ce jeu en forme extensive est donné par l arre suivant. Coop. ( 0,50 ) E I ( 0,00) Com. ( 0,0) 7
3 III. Représentation d un jeu statique par la forme extensive: ous avons introduit les jeux statiques comme étant des jeux où les joueurs choisissent leurs actions simultanément. L exemple du dilemme du prisonnier a été construit sur cette ase. Mais en fait, le même résultat aurait été otenu si les prisonniers avaient joué de façon séquentielle avec cependant la condition que le joueur jouant en seconde position n oserve pas le choix du joueur jouant en première position. On peut de ce fait représenter le jeu du dilemme du prisonnier (jeu simultané) par le jeu dynamique suivant: Le prisonnier choisit une action a de l ensemle des actions A = {, } ( =nier, =dénoncé) Le prisonnier n oserve pas l action a choisie par le prisonnier et choisit une a de l ensemle des actions A = {, }. Les paiements sont donnés par u ( a, a ) et (, ) action u a a. Ainsi, on a interprété un jeu statique à information complète comme étant un jeu dynamique à information complète et imparfaite. La forme extensive de ce jeu est donnée par l arre suivant: (, ) ( 0,0) ( 0, 0) ( 8, 8) e ce fait, nous déduisons que dans un jeu dynamique il se peut qu un joueur qui doit prendre une décision ne connaisse pas les choix effectués par les joueurs qui ont joué avant lui. ans ce cas, il ne connaît pas parfaitement le nœud auquel il se situe. our représenter l état des connaissances des joueurs (ce qu ils savent et ce qu ils ne savent pas), on utilise la notion d ensemle d information. éfinition III.: À chaque étape d un jeu en forme extensive, on appelle ensemle h la collection de tous les nœuds que le joueur qui doit jouer à cette étape d information i i ne peut distinguer, compte tenu de l information dont il dispose. Chaque nœud contenu h contient alors exactement le même ensemle d actions localement disponiles. dans i.. our exprimer l idée que des nœuds de décision font partie d un même ensemle d information, on les entoure avec la même ellipse ou on les relie avec une ligne pointillée. Exemple III.: ile ou face avec oservation. Le joueur choisit pile ou face, puis le joueur choisit pile ou face après avoir oservé le choix du joueur. Ce dernier gagne si les choix sont égaux et perd si les choix sont différents. Le jeu est à somme nulle. 8
4 La forme extensive de ce jeu est donnée par l arre suivant. J J (, ) (-,) (-,) (, ) Cette figure montre que le joueur dispose de deux ensemles d information: Un singleton qui fait suite au choix de du joueur. Un singleton qui fait suite au choix de du joueur. Exemple III.: ile ou face sans oservation. On reprend l exemple de ile ou face avec maintenant la condition que le joueur ne connaît pas le choix du joueur quand il effectue son choix. La forme extensive de ce jeu est donnée par l arre suivant. J J (, ) (-,) (-,) (, ) Cette figure montre que le joueur dispose d un ensemle d information engloant ses deux nœuds de décision. Ceci signifie que le joueur ne différencie pas les deux nœuds. Il doit effectuer un choix indépendant de celui effectué par le joueur. Exemple III.: Le joueur joue en premier et choisit une action a de l ensemle des actions { L M R} A =,,. Le joueur oserve si a A { U } =., = L ou non et choisit une action a de l ensemle des actions 9
5 La forme extensive de ce jeu est donné par l arre suivant: L R J J J U U U Cette figure montre que le joueur dispose de deux ensemles d information: Un singleton qui fait suite au choix de L du joueur. Un ensemle d information (non singleton) engloant les deux autres nœuds de décision du joueur et qui fait suite au choix de M ou R par le joueur. Remarque: de là, nous pouvons utiliser la notion d ensemle d information pour: otenir la définition alternative permettant de distinguer entre un jeu à information parfaite et un jeu à information imparfaite. éfinir plus précisément un des concepts clés de la théorie des jeux : la stratégie. éfinition III.: Un jeu en forme extensive est. un jeu à information parfaite quand tous les ensemles d information du jeu sont des singletons i.e. réduit à un seul noeud,. un jeu à information imparfaite si au moins un ensemle d information du jeu n est pas un singleton i.e. contient plus d un nœud. éfinition III.: Une stratégie est un plan d action complet défini par le joueur avant le déut du jeu. our un joueur i, une stratégie s est ainsi une liste d actions particulières i (, i ( ), i i ) i s s K que ce joueur associe ex ante à chaque ensemle d information,, K susceptile d être atteint lorsqu il aura à effectuer ses choix. i i e manière générale, une stratégie d un joueur doit spécifier une action pour ce joueur chaque fois qu il est susceptile de jouer (s il joue, par exemple, à plusieurs tours du jeu, nous devons spécifier une action pour chacun des tours). Quelle que soit la complexité du jeu, les stratégies des joueurs doivent nous permettre de dérouler complètement le jeu quand on les comine. Exemple III.: Reprenons l exemple de ile ou ace avec oservation. Le joueur a un ensemle d information et il doit choisir entre deux stratégies, chacune se réduisant à une seule action ou. Le joueur, dispose de deux ensemles d information ={, } et ={, } et il doit prévoir un choix pour chacun de ses deux ensemles : jouer ou s il se trouve et 0
6 jouer ou s il se trouve dans (, ), (, ), (, ), (, ).. onc, il a à choisir entre stratégies différentes: IV. Equilire de ash parfait:. Représentation d un jeu dynamique par la forme normale: La forme normale d un jeu dynamique décrira ce dernier sous la forme d un jeu statique. Ceci est rendu possile par la notion de stratégie. Une stratégie est définie avant le déut du jeu mais sur la ase des informations à venir qui sont précisées par les règles du jeu. Le joueur peut donc associer le choix qu il désire à chaque ensemle d information envisageale d après les règles du jeu. ar conséquent, décrire un jeu dynamique sous sa forme normale n implique aucune perte d information et ne réduit en rien les possiilités stratégiques des joueurs. Exemple IV..: ile ou ace sans oservation (exemple III.). La forme normale de ce jeu est donnée par la matrice des paiements suivante. Joueur Joueur,, ( ) (,) (, ) ous retrouvons la présentation du jeu statique retenue dans le chapitre précédent. Exemple IV..: ile ou ace avec oservation (exemple III.). La forme normale de ce jeu est donnée par la matrice des paiements suivante. Joueur Joueur (, ) (, ) (, ) (, ) (, ) (, ) (,) (,) (,) (, ) (,) (, ) Exemple IV..: La ataille des sexes version statique. eux programmes sont envisageales pour la soirée de Monsieur et Madame : Ils peuvent assister à un match de oxe () ou ien admirer un allet (). La difficulté réside dans le fait que chacun doit se rendre à l un des deux spectacles en ignorant le choix de l autre. La forme extensive de ce jeu est donnée par l arre suivant. (, ) (, )
7 La forme normale de ce jeu est donnée par la matrice des paiements suivante. omme emme -,- (, ) (, ) Exemple IV..: La ataille des sexes version dynamique. ous reprenons l exemple IV. mais nous considérons une version dynamique. Monsieur sort en premier et laisse un message à son épouse lui indiquant le spectacle auquel il se rend. La forme extensive de ce jeu est donnée par l arre suivant. (, ) (, ) La forme normale de ce jeu est donnée par la matrice des paiements suivante. Joueur Joueur (, ) (, ) (, ) (, ) (, ) (, ) (, ) (, ) igure. Equilire de ash parfait dans un jeu dynamique à information complète et parfaite: éfinition IV..: Un équilire de ash d un jeu sous forme extensive est un équilire de ash de la forme normale associée. Exemple IV..: La ataille des sexes version dynamique. ans la forme normale du jeu dynamique (igure) nous pouvons, en utilisant la même procédure qu au chapitre, y rechercher les équilires de ash.,,,,,,. On otient, pour ce jeu, trois équilires de ash : ( ), ( ) et eux de ces équilires comportent une «menace» (ou annonce) non crédile que la femme n aurait pas intérêt à mettre en œuvre le cas échéant. Analysons les trois équilires.
8 L équilire =,(, ) est représenté par les trois segments en gras ci-dessous. (, ) (, ) ans le cadre de cet équilire, l homme va au allet. La femme, qui a oservé ( ), va également au allet. La succession des choix et est appelée sentier d équilire., compte tenu de sa stratégie, elle se serait rendu au allet. Si La femme avait oservait Le choix ( ) est qualifié de choix hors du sentier d équilire. est un équilire de ash mais soutenu par une menace non crédile hors du sentier d équilire. L équilire =,(, ) est représenté par les trois segments en gras ci-dessous. (, ) (, ) est un équilire de ash mais lui aussi il est soutenu par une menace non crédile hors du sentier d équilire. L équilire =,(, ) est représenté par les trois segments en gras ci-dessous. (, ) (, ) est un équilire de ash et il ne contient que des choix crédiles.
9 Les deux premiers équilires ne peuvent être retenus comme équilires du jeu dynamique, seul l équilire peut être conservé. On dira que est un équilire de ash parfait. Algorithme de Kuhn: rocédure de Récurrence vers l amont: (ackwards induction) ans un jeu dynamique à information complète et parfaite, l équilire de ash parfait peut être directement repéré par un raisonnement à reours qui consiste à partir de la fin de l arre du jeu pour remonter vers le sommet. où la définition d équilire parfait dans ce type de jeux. éfinition IV..: Un équilire de ash parfait est un ensemle de stratégies otenu par un raisonnement à reours qui rencontre, à chaque étape de la procédure, un seul joueur confronté à un simple prolème de maximisation. Exemple IV..: Résolution directe de la ataille des sexes version dynamique. Ici, la procédure à reours contient deux étapes. (, ) (, ) En récapitulant, l équilire de ash parfait est,(, ) ormellement: (, ) (, ).. Trouver la réponse optimale du joueur : max u ( s, s ) s S. éterminer l action optimale du joueur : max u s, MR ( s ) s S Ainsi, Le joueur anticipe la réaction optimale du joueur. Le joueur élimine les menaces non crédiles. Le joueur suppose que le joueur est rationnel. meilleure réponse de à s..
10 Exemple IV..: G J J V W X Y En récapitulant, l équilire de ash parfait est (,,,E,G ),(, ) V Y.. Equilire de ash parfait en sous-jeux: éfinition IV..: Un sous-jeu d un jeu sous forme extensive est un jeu issu du jeu original qui:. commence en un nœud n qui est un ensemle d information singleton.. inclut tous les nœuds successeurs de n et les nœuds terminaux (et aucun nœud prédécesseur).. ne coupe aucun ensemle d information. éfinition IV..: Quand un sous-jeu est différent du jeu original, on l appelle un sous-jeu propre ou strict. Motivation de.: ouvoir analyser le sous-jeu de façon autonome. Garantir que l histoire du jeu est connue de tous jusqu à n (tous les joueurs jouant après n savent que le jeu est passé par n ). Exemple IV..: Soit le jeu suivant décrit par sa forme extensive. A C E G (, ) (, ) (, ) (, ) ( 8,5 ) ( 7,6 ) ( 6,7 ) ( 5,8) L C C L L L L 5
11 Ce jeu admet 6 sous-jeux propres. Exemple IV..: Soit le jeu décrit par la forme extensive suivant. V W G M J X J Y C R J 5 5 J C C Ce jeu admet 5 sous-jeux dont sous-jeux propres et le jeu lui-même. éfinition IV..: Un profil de stratégies est un équilire de ash parfait en sous-jeux (ESJ) s il correspond à un équilire de ash dans chaque sous-jeu (Selten 965). étermination de l ESJ: Un équilire de ash parfait en sous-jeux est un ensemle de stratégie otenu par un raisonnement à reours qui rencontre, selon les étapes de la procédure, un seul joueur confronté à un prolème de maximisation ou plusieurs joueurs concernés par un sous-jeu. Exemple IV..: La ataille des sexes version dynamique. (, ) (, ) 6
12 Ce jeu admet sous-jeux propres. L équilire de ash du sous-jeu commençant en est. L équilire de ash du sous-jeu commençant en est.,,. ESJ est Exemple IV..: S G M J V SJ W X J SJ Y SJ C R J 5 5 J C C Les gains du joueur sont inscrits sur la première ligne de résultat et les gains du joueur sur la seconde. Ce jeu admet sous-jeux propres.,. L équilire de ash du sous-jeu S est (,G ) et le gain qui lui est associé est L équilire de ash du sous-jeu SJ est (, ) et le gain qui lui est associé est ( 0,0 ). Le sous-jeu SJ correspond, pour le joueur qui est le seul joueur concerné, à un simple prolème de maximisation. La solution est. On otient la forme extensive suivante. V W X J Y 0 0 7
13 Le sous-jeu SJ correspond, pour le joueur qui est le seul joueur concerné, à un simple prolème de maximisation. La solution est X. inalement, la dernière étape nous donne la forme réduite ci-après et qui admet comme solution w. V W 0 0 Il suffit à présent de récapituler les choix des joueurs pour caractériser l ESJ. On otient le s, s W,,,, G, X,. couple de stratégies ( ) = Remarque IV..: Si un jeu n admet pas de sous-jeux propres alors E ESJ. {ESJ} {E}. roposition IV..: Tout jeu fini à information parfaite possède au moins un ESJ en stratégies pures. 8
Jeux sous forme extensive (Jeux dynamiques)
(Jeux dynamiques) Plan du chapitre ( juillet 008) / éfinitions, exemples et équivalences Arbres de jeux, information et mémoire tratégies et réduction en forme normale Équilibre de Nash parfait en sous-jeux
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailSimulation centrée individus
Simulation centrée individus Théorie des jeux Bruno BEAUFILS Université de Lille Année 4/5 Ce document est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les
Plus en détailChapitre 5 : Flot maximal dans un graphe
Graphes et RO TELECOM Nancy A Chapitre 5 : Flot maximal dans un graphe J.-F. Scheid 1 Plan du chapitre I. Définitions 1 Graphe Graphe valué 3 Représentation d un graphe (matrice d incidence, matrice d
Plus en détailDeuxième partie es jeux non-coopératifs avec information complète 3. É quilibre de Nash (1951) 4. D ynamique et rétroduction 5.
Deuxième partie Les jeux non-coopératifs avec information complète 3. Équilibre de Nash (1951) 35 4. Dynamique et rétroduction 61 5. Jeux répétés 85 3. Équilibre de Nash (1951) John Nash a généralisé
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailSynthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral
Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (
Plus en détailJoueur B Pierre Feuille Ciseaux Pierre (0,0) (-1,1) (1,-1) Feuille (1,-1) (0,0) (-1,1) Ciseaux (-1,1) (1,-1) (0.0)
CORRECTION D EXAMEN CONTROLE CONTINU n 1 Question de cours Question 1 : Les équilibres de Cournot et de Stackelberg sont des équilibres de situation de duopole sur un marché non coopératif d un bien homogène.
Plus en détailIntroduction à la Théorie des Jeux p.1/77
Introduction à la Théorie des Jeux Sébastien Konieczny konieczny@cril.univ-artois.fr CRIL-CNRS Université d Artois - Lens Introduction à la Théorie des Jeux p.1/77 Théorie des Jeux Définition La théorie
Plus en détailTechniques d analyse de circuits
Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre
Plus en détailEconomie de l Incertain et des Incitations
Economie de l Incertain et des Incitations CHAPITRE 2 Eléments de théorie des jeux en information symétrique et asymétrique Equilibres Bayesiens - Université de Tours - M1 AGE - Arnold Chassagnon - Automne
Plus en détailThéorie des graphes et optimisation dans les graphes
Théorie es graphes et optimisation ans les graphes Christine Solnon Tale es matières 1 Motivations 2 Définitions Représentation es graphes 8.1 Représentation par matrice ajacence......................
Plus en détailProbabilités conditionnelles Exercices corrigés
Terminale S Probabilités conditionnelles Exercices corrigés Exercice : (solution Une compagnie d assurance automobile fait un bilan des frais d intervention, parmi ses dossiers d accidents de la circulation.
Plus en détailNotice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker
Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction
Plus en détailEteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :
MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE
Plus en détailChapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION
Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous
Plus en détailSystèmes à guirlandes pour câbles et tuyaux
Darwinstraat 10 N 6718 XR Ede Pays Bas Flexile en énergie! Tél. +31 (0)342 403900 Fax +31 (0)342 403912 email info@akapp.com UR www.akapp.com Systèmes à guirlandes pour câles et tuyaux Une installation
Plus en détailProbabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie...
1 Probabilité Table des matières 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables........................... 2 1.2 Définitions................................. 2 1.3 Loi équirépartie..............................
Plus en détailOutil d envoi de courrier électronique. STILOG I.S.T. et Claude Mayer Tous droits réservés
Outil d envoi de courrier électronique STILOG I.S.T. et Claude Mayer Tous droits réservés Visual Planning est développé et commercialisé par la société : Stilog I.S.T. 107-111, avenue Georges Clemenceau
Plus en détailCH.6 Propriétés des langages non contextuels
CH.6 Propriétés des langages non contetuels 6.1 Le lemme de pompage 6.2 Les propriétés de fermeture 6.3 Les problèmes de décidabilité 6.4 Les langages non contetuels déterministes utomates ch6 1 6.1 Le
Plus en détailchapitre 4 Nombres de Catalan
chapitre 4 Nombres de Catalan I Dénitions Dénition 1 La suite de Catalan (C n ) n est la suite dénie par C 0 = 1 et, pour tout n N, C n+1 = C k C n k. Exemple 2 On trouve rapidement C 0 = 1, C 1 = 1, C
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après "la LVP"), en particulier l'article 30 ;
1/8 Recommandation n 01/2013 du 21 janvier 2013 Objet : Recommandation d'initiative relative aux mesures de sécurité à respecter afin de prévenir les fuites de données (CO-AR-2013-001) La Commission de
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailNetCrunch 6. Superviser
AdRem NetCrunch 6 Serveur de supervision réseau Avec NetCrunch, vous serez toujours informé de ce qui se passe avec vos applications, serveurs et équipements réseaux critiques. Documenter Découvrez la
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailLe Dossier Médical Personnel et la sécurité
FICHE PRATIQUE JUIN 2011 Le Dossier Médical Personnel et la sécurité www.dmp.gouv.fr L essentiel Un des défis majeurs pour la réussite du Dossier Médical Personnel (DMP) est de créer la confiance des utilisateurs
Plus en détailLe plan d action marketing et commercial : De la réflexion marketing à l action commerciale
Le plan d action marketing et : De la réflexion marketing à l action e Un document qui oblige à réfléchir et à prendre du recul sur l activité, en mêlant l analyse marketing à l action e 1 L analyse marketing
Plus en détailPRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES
97 PRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES Jacques Vaugelade & Marie Piron (Demographie et Statistique) (UR 702) Centre ORSTOM de Ouagadougou
Plus en détailProjet Active Object
Projet Active Object TAO Livrable de conception et validation Romain GAIDIER Enseignant : M. Noël PLOUZEAU, ISTIC / IRISA Pierre-François LEFRANC Master 2 Informatique parcours MIAGE Méthodes Informatiques
Plus en détailDalla TCIAAA2 DOSSIER SMART
SOUKOUNA Mr. KIZABA Dalla TCIAAA2 DOSSIER SMART Année 2010/2011 SOMMAIRE Présentation du concept et de l entreprise I. Analyse interne et externe de SMART (SWOT) 1. Interne a) Forces b) Faiblesses II.
Plus en détailPartie 1 : Évaluer le marché
Partie 1 : Évaluer le marché 1.1 Établir un diagnostic de ces 2 segments. Conclure Remarques préliminaires : Forces : Faiblesses : utiliser la matrice SWOT la conclusion doit tendre vers un élargissement
Plus en détailPrudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage
Prudence, Epargne et Rique de Soin de Santé Chritophe Courbage ASSOCIATION DE GENÈVE Introduction Le compte d épargne anté (MSA), une nouvelle forme d intrument pour couvrir le dépene de anté en ca de
Plus en détailStatistique : Résumé de cours et méthodes
Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère
Plus en détailModèle conceptuel : diagramme entité-association
Modèle conceptuel : diagramme entité-association Raison d'être de ce cours «La conception et l'utilisation de bases de données relationnelles sur micro-ordinateurs n'est pas un domaine réservé aux informaticiens.»
Plus en détailLa haute disponibilité
Chapitre 3 La haute 3.1 Définition du cluster de serveurs...112 3.2 La mise en cluster des applications...114 3.3 Les composants du cluster de serveurs...115 3.4 Les obets du cluster de serveurs...119
Plus en détailADAPTATION DES OBLIGATIONS RELATIVES AU BIEN-ETRE DES INTERIMAIRES
1/5 ADAPTATION DES OBLIGATIONS RELATIVES AU BIEN-ETRE DES INTERIMAIRES L arrêté royal du 15 décembre 2010 fixant des mesures relatives au bien être au travail des intérimaires a paru au Moniteur belge
Plus en détailLa NP-complétude. Johanne Cohen. PRISM/CNRS, Versailles, France.
La NP-complétude Johanne Cohen PRISM/CNRS, Versailles, France. Références 1. Algorithm Design, Jon Kleinberg, Eva Tardos, Addison-Wesley, 2006. 2. Computers and Intractability : A Guide to the Theory of
Plus en détailRègles du Jeu et Code du Fair-Play
12 MISE EN PLACE DU CODE DU FAIR-PLAY Publicité pour le Code Tous les parents, les joueurs, les éducateurs et les arbitres doivent se familiariser avec les Règles du jeu et le Code du Fair-play avant le
Plus en détailFOIRE AUX QUESTIONS PAIEMENT PAR INTERNET. Nom de fichier : Monetico_Paiement_Foire_aux_Questions_v1.7 Numéro de version : 1.7 Date : 2014-05-29
FOIRE AUX QUESTIONS PAIEMENT PAR INTERNET Nom de fichier : Monetico_Paiement_Foire_aux_Questions_v1.7 Numéro de version : 1.7 Date : 2014-05-29 FOIRE AUX QUESTIONS Confidentiel Titre du document : Monetico
Plus en détailA L ERT. Pour démarrer rapidement avec
A L ERT Pour démarrer rapidement avec I N STAL L ATION Pour lancer l installation de la Solution Micromedia, insérer le CD-ROM d installation dans le lecteur. Si le programme d installation ne démarre
Plus en détailSystème d information pour la gestion d un réseau d Université
Système d information pour la gestion d un réseau d Université Ibticem BEN SAID, ibticem.ben-said@u-bourgogne.fr Sophie BOURGERET, sbourgeret@u-bourgogne.fr Jean-Yves COLLIER, jean-yves.collier@u-bourgogne.fr
Plus en détailProjet de décision unilatérale instituant (ou régularisant) un régime collectif complémentaire obligatoire couvrant le risque
Papier Sté Date : Projet de décision unilatérale instituant (ou régularisant) un régime collectif complémentaire obligatoire couvrant le risque La direction de l entreprise : Dont le siège social est situé
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailL oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailS8 - INFORMATIQUE COMMERCIALE
S8 - INFORMATIQUE COMMERCIALE Les savoirs de l Informatique Commerciale doivent être abordés en relation avec les autres savoirs (S4 à S7). Les objectifs généraux sont : o de sensibiliser les étudiants
Plus en détailEngagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires. Préparé par l Association des banquiers canadiens
Engagement de l ABC en matière de lisibilité des documents hypothécaires Préparé par l Association des banquiers canadiens Le 7 mars 2000 Notre engagement : des documents hypothécaires en langage courant
Plus en détailProgramme d'assistance Financiere de la FIFA (FAP) et prime de resultat financier 2011-2014: Reglement et directives administratives pour 2015
FIF4 For the Game. For the World. A I'attention des associations membres de la FIFA Circulaire n 1463 Zurich, le 19 decembre 2014 SG/clo-csu-nsa Programme d'assistance Financiere de la FIFA (FAP) et prime
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ET CONSOMMATION Arrêté du 31 décembre 2013 relatif aux factures des services de communications
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring Les méthodes d évaluation du risque de crédit pour les PME et les ménages Caractéristiques Comme les montants des crédits et des
Plus en détailGuide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé
Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation
Plus en détailModule 24 : Analyse de scénarios
Module 24 : Analyse de scénarios 24.0 Introduction Ce module enseigne un sous-ensemble de techniques de création de modèle qui, dans Excel 2007, constitue l «analyse de scénarios». Ces techniques sont
Plus en détailMétriques de performance pour les algorithmes et programmes parallèles
Métriques de performance pour les algorithmes et programmes parallèles 11 18 nov. 2002 Cette section est basée tout d abord sur la référence suivante (manuel suggéré mais non obligatoire) : R. Miller and
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailSUPERTOTO TERMES & CONDITIONS. Table des Matières
SUPERTOTO TERMES & CONDITIONS Table des Matières 1. Général 2. Coupons 3. Décisions 4. Paiements 5. Validation des Résultats 6. Contestations 7. Divers 8. Clause de non-responsabilité 1. Général 1.1 Définitions
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailLe Statut Auto-Entrepreneur
Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur en 10 points http://www.declaration-auto-entrepreneur.com L auto-entrepreneur est caractérisé par différents points clés. Lorsque l ont décide de
Plus en détailet les Trois Marches d'assurance
The Geneva Papers on Risk an Insurance, 20 (juillet 98), 36-40 Asymétrie 'Information et les Trois Marches 'Assurance par Jean-Jacques Laffont * La proposition stimulante e Monsieur Ic Professeur Borch
Plus en détailJulien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration
Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...
Plus en détailM&S Automation. Analyse Statistiques Qualité. Ingénierie de l information. acquisition et stockage des données. analyse des données
M&S Automation Ingénierie de l information Analyse Statistiques Qualité acquisition et stockage des données analyse des données maîtrise statistique des procédés gestion de la qualité et traçabilité Une
Plus en détailYANN ROUDAUT - Professeur de l Ecole Française de Poker - roudaut@ecolefrancaisedepoker.fr - 06 28 76 48 93
MODULE LA GESTION DU CAPITAL " La Bankroll" YANN ROUDAUT - Professeur de l Ecole Française de Poker - roudaut@ecolefrancaisedepoker.fr - 06 28 76 48 93 PLAN DU COURS q Présentation du rapport Tactique
Plus en détailKeyyo Guide de mise en service CTI / API / TAPI Keyyo
Keyyo Guide de mise en service CTI / API / TAPI Keyyo Keyyo Opération & Support http://www.keyyo.fr/fr/support/expert.php Version 1.0.7 Sommaire 1 Portée du document... 3 2 Introduction à la configuration...
Plus en détailVotre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise.
Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise. Guide de la prévoyance professionnelle (2 e pilier): Assurance accidents obligatoire selon la LAA Complément à l assurance accidents
Plus en détail«Laissez-moi jouer en sécurité»
12 MISE EN PLACE DU CODE DU FAIR-PLAY Publicité pour le Code Tous les parents, les joueurs, les éducateurs et les arbitres doivent se familiariser avec les Règles du jeu et le Code du Fair-play avant le
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailDescription du procédé de remplacement des appareils. Description du procédé de remplacement des appareils. 1) Choix de l appareil de remplacement B
Migration de Emax à Emax 2 en conservant la certification ) ayant c) des ayant caractéristiques des caractéristiques d installation d installation dans la même dans la disposition physique tion Fiche physique
Plus en détailTechnologie SDS (Software-Defined Storage) de DataCore
Technologie SDS (Software-Defined Storage) de DataCore SANsymphony -V est notre solution phare de virtualisation du stockage, dans sa 10e génération. Déployée sur plus de 10000 sites clients, elle optimise
Plus en détailIntroduction... 3 1/ En quoi consiste une veille commerciale?... 4 2/ Quel est son rôle?... 5 3/ Quels sont les bénéfices au niveau de l organisation
Introduction... 3 1/ En quoi consiste une veille commerciale?... 4 2/ Quel est son rôle?... 5 3/ Quels sont les bénéfices au niveau de l organisation commerciale?... 6 A. Le temps... 6 B. La productivité...
Plus en détailLe marketing stratégique
Chapitre2 Le marketing stratégique I. La démarche stratégique La démarche marketing comporte trois phases : analyse, planification et mise en œuvre. II. Le diagnostic stratégique Le diagnostic stratégique
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailUne offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant
Les clés de la Réussite Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant E-learning 14 heures Tarif : 490 Le manque d approche Marketing pénalise les petites structures.
Plus en détailIntelligence Artificielle Planification
Intelligence Artificielle Planification Bruno Bouzy http://web.mi.parisdescartes.fr/~bouzy bruno.bouzy@parisdescartes.fr Licence 3 Informatique UFR Mathématiques et Informatique Université Paris Descartes
Plus en détailConfiguration des routes statiques, routes flottantes et leur distribution.
Configuration des routes statiques, routes flottantes et leur distribution. Par : EL HAJIZ Adil 1. Introduction Le routage statique précéda le routage dynamique. Il faut savoir qu aujourd hui, un administrateur
Plus en détailLES DÉTERMINANTS DE MATRICES
LES DÉTERMINANTS DE MATRICES Sommaire Utilité... 1 1 Rappel Définition et composantes d'une matrice... 1 2 Le déterminant d'une matrice... 2 3 Calcul du déterminant pour une matrice... 2 4 Exercice...
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailNouvelles propositions pour la résolution exacte du sac à dos multi-objectif unidimensionnel en variables binaires
Nouvelles propositions pour la résolution exacte du sac à dos multi-objectif unidimensionnel en variables binaires Julien Jorge julien.jorge@univ-nantes.fr Laboratoire d Informatique de Nantes Atlantique,
Plus en détailAutomatique (AU3): Précision. Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr
Automatique (AU3): Précision des systèmes bouclés Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr Plan de la présentation Introduction 2 Écart statique Définition Expression Entrée
Plus en détailLundi 10 décembre 2012 - Casino de Paris
Trophées Arseg 2011 3 Trophées Arseg des métiers de l environnement de travail Lundi 10 décembre 2012 - Casino de Paris Après le succès 2011 Vous étiez près de mille personnes à assister l année dernière
Plus en détailTURBOS WARRANTS CERTIFICATS. Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital.
TURBOS WARRANTS CERTIFICATS Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital. 2 LES TURBOS 1. Introduction Que sont les Turbos? Les Turbos sont des produits
Plus en détailNOTA : article L.3221-11-1 pour les départements et article L.4231-8-1 pour les régions.
L ordonnance n 2005-645 du 6 juin 2005 relative aux procédures de passation des marchés publics des collectivités territoriales] introduit trois nouveaux articles au code général des collectivités territoriales
Plus en détailDérivation : Résumé de cours et méthodes
Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers
Plus en détailDiapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)
COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet
Plus en détaillocation et services : vente directe via des agences en propre ; produits de collectivités : vente directe, revendeurs, télévente et vente en ligne.
Chapitre 6 LA FONCTION COMMERCIALE 6.1 Organisation commerciale et distribution Une adaptation constante des modes de distribution et de l organisation commerciale aux produits, aux services et aux clients
Plus en détailPROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES
Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.
Plus en détailModélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005
Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition
Plus en détailModifications au 1 er janvier 2015
1.2015 Généralités Modifications au 1 er janvier 2015 Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Le présent mémento vous renseigne sur les modifications entrant en vigueur le 1 er janvier 2015 dans le domaine
Plus en détailSécurité sur le web : protégez vos données dans le cloud
Livre blanc Sécurité sur le web : protégez vos données dans le cloud Présentation Les équipes de sécurité ne peuvent pas être partout, et pourtant le contexte actuel exige des entreprises qu elles protègent
Plus en détailREGLEMENT RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS A LA VILLE DE ROUEN
REGLEMENT RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS A LA VILLE DE ROUEN 1/8 SOMMAIRE PREAMBULE... 3... 3 I.LES DISPOSITIONS RELATIVES AU COMPTE EPARGNE TEMPS APPLICABLES À LA VILLE DE ROUEN... 4 ARTICLE 1.LES BÉNÉFICIAIRES...
Plus en détailCes formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente
FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon
Plus en détailHydrodynamique des lits fluidisés en régime de bullage
Hyroynamique es lits fluiisés en régime e ullage M. HEMATI Régime e ullage. La plupart es lits fluiisés inustriels fonctionnent en régime e ullage. Ce régime est oservé ès que la vitesse u gaz épasse la
Plus en détailLA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE
LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau
Plus en détailPlan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand
Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,
Plus en détailL apport des logiciels d optimisation des stocks multi-échelons
omment passer à la vitesse supérieure dans le calcul des stocks de sécurité et aller plus loin que les ERP et APS traditionnels? est ce que nous explique Tanguy aillet de J&M Management onsulting en nous
Plus en détailTaille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique.
Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique Alexandre SOKI cole Supérieure du ois Atlanpôle P 10605 Rue hristian Pauc 44306
Plus en détailChap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1
Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailPROFIS Installation. Module 4: Module 3D Design
PROFIS Installation Module 4: Module 3D Design Ce module de formation est basé sur un cas réel construit en gamme MI. Ce cas permet de présenter toutes les fonctions du module 3D design. 1 Comment utiliser
Plus en détailThéorie des Jeux Et ses Applications
Théorie des Jeux Et ses Applications De la Guerre Froide au Poker Clément Sire Laboratoire de Physique Théorique CNRS & Université Paul Sabatier www.lpt.ups-tlse.fr Quelques Définitions de la Théorie des
Plus en détailCahier des charges Remontée des ventes
DIFFUSEURS INFOS SERVICES Cahier des charges Remontée des ventes VERSION DU 09/06/00 - Préambule - Règles techniques 3 - Règles de gestion 4 - Indice de fiabilité des remontées des ventes 5 - Remontée
Plus en détail