CONVENTION DE GESTION SOCIALE ET URBAINE DE PROXIMITE

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1 CONVENTION DE GESTION SOCIALE ET URBAINE DE PROXIMITE Avenant Janvier 2013

2 PREAMBULE I.LES ENJEUX et LES PRINCIPAUX OBJECTIFS 1. Bilan des actions engagées en Les objectifs pour II. LE PLAN D ACTION TRANSVERSAL 1. Conforter la qualité de vie et la qualité de service Accompagner la rénovation urbaine et pérenniser ses acquis Favoriser la participation des habitants et le respect de la propreté Contribuer à la tranquillité publique, en lien avec le CLSPD Impulser des actions innovantes dans la logique du développement durable 24 III. LES PROJETS PAR QUARTIER 1. Quartiers prioritaires : Les quartiers les plus en difficulté et sans intervention urbaine programmée Les quartiers en cours de restructuration Les quartiers requalifiés Les quartiers «à veiller» 40 IV. LES MODALITES DE MISE EN ŒUVRE 1. Pilotage Animation et suivi Evaluation Durée et champ d application de la Convention Engagement des partenaires 44 La Gestion urbaine de proximité : un enjeu réaffirmé de la Politique de la Ville Depuis ses prémices dans les années 80, puis son institutionnalisation en 1999, la gestion urbaine de proximité est une préoccupation partagée par l ensemble des acteurs nationaux, qui n a cessé d être confortée au fil des différentes étapes de la politique de la Ville : en 2003, la signature d une convention sur les quartiers en rénovation urbaine est rendue obligatoire ; à partir de 2006, la GUP devient une composante essentielle du volet «habitat et cadre de vie» des CUCS ; puis en 2008, le Plan Espoir Banlieues prévoit le financement par l Acsé des démarches de «diagnostics en marchant». Dans une note de cadrage datant de mai 2012, les partenaires au niveau national réaffirment son importance, tout en actant l évolution de son cadre qui vient s adapter aux nouveaux enjeux des quartiers de la politique de la ville. Cinq objectifs majeurs de cette démarche partenariale sont désormais mis en avant : améliorer la qualité de vie des habitants, accompagner la rénovation urbaine et pérenniser ses acquis, promouvoir les innovations dans la logique de développement durable, contribuer à la tranquillité publique, mais aussi favoriser l insertion professionnelle. 15 ans après les premières conventions GUSP sur Vaulx-en-Velin, des enjeux largement renouvelés La première convention contractualisée entre les bailleurs et l Etat remonte à 1995 sur Vaulx-en-Velin, dans un contexte de lutte contre la vacance dans les logements. Après plus de 15 ans d expérimentation, la gestion sociale et urbaine de proximité a évolué sur Vaulx-en-Velin, en lien avec la mise en œuvre du programme de rénovation urbaine, mais aussi compte tenu de son développement avec un potentiel foncier important, en première couronne de l Est lyonnais. Deux préoccupations majeures sont aujourd hui partagées par les partenaires locaux : d une part, la pérennisation de l ensemble des investissements réalisés dans le cadre du renouvellement urbain, et d autre part, la nécessité de continuer à faire vivre les territoires hors projet. Les équipes de proximité bailleurs, comme les services gestionnaires de la Ville et du Grand Lyon, sont aujourd hui en tension entre ces deux enjeux. La volonté politique est d éviter impérativement le risque de la «ville à deux vitesses». Sur un territoire amené à passer de et habitants, il s agit de mailler anciens et nouveaux quartiers, mais aussi favoriser le lien entre nouveaux et anciens habitants. Annexe 46 le C3 au Centre Ville 3

3 UN AVENANT POUR MAINTENIR LA DYNAMIQUE PARTENARIALE ET PREPARER les FUTURES CONTRACTUALISATIONS La convention de Gestion Urbaine et Sociale de Proximité est rattachée au Contrat Urbain de Cohésion Sociale , qui a été prolongé pour la période 2010, puis reconduit par voie d avenant jusqu en décembre Le présent avenant résulte d une volonté des partenaires locaux de partager un bilan intermédiaire des actions engagées depuis 5 ans, maintenir une dynamique partenariale autour d objectifs réactualisés, à la fois sur les problématiques transversales et à l échelle de chaque quartier du territoire du Grand Projet de Ville. Cette démarche s inscrit dans la dynamique engagée localement depuis 2010 autour de l évaluation du CUCS. Il s agit de promouvoir une culture commune de la conduite de projet, à partir d un diagnostic partagé et d un socle commun d indicateurs de résultats des actions réalisées. Cette revue de projet collective est aussi en lien avec l avenant expérimental du CUCS signé en 2011 qui a pour double objectif d engager les politiques et les crédits de droit commun et d interroger les formes nouvelles que pourraient prendre les prochaines contractualisations après 2014 : qu est-ce qui légitime le maintien des financements exceptionnels en matière de gestion urbaine de proximité? Qu est-ce qui doit au contraire rentrer dans le droit commun? Schéma : le cadre contractuel de la GSUP I.LES ENJEUX et les PRINCIPAUX OBJECTIFS L élaboration de cet avenant a donné lieu à plusieurs travaux de synthèse et de temps d échanges partenariaux qui se sont déroulés sur 6 mois : déc janv 2012 : bilan Bilan des principales actions transversales / équipe GPV Bilan des actions et perspectives par quartier à l appui des états des lieux croisés / équipe GPV fév - mars 2012 : définition des principaux objectifs thématiques et territoriaux Séminaire partenarial : orientations des partenaires, présentation des éléments de bilan, et travail sur trois thématiques : le traitement des dysfonctionnements, les démarches territoriales et les projets de gestion de site, la propreté des parties communes et des espaces extérieurs Réunions de travail avec des bailleurs et les représentants des locataires sur les thématiques transversales et les démarches territoriales Entretiens avec les représentants des autres porteurs de projets (services Ville et Grand Lyon) Commission GSUP : validation des principaux axes d intervention et du classement des quartiers avril- mai 2012 : élaboration du plan d action Déclinaison du plan d action par objectif Concertation sur ces nouveaux axes de travail par quartier, dans le cadre des états des lieux croisés juin- juillet 2012 : rédaction et validation de la convention-cadre 1) Bilan des actions engagées depuis 2007 Convention ANRU Vaulx-en-Velin CUCS d agglomération CUCS/ TFPB Les objectifs définis en 2007 étaient les suivants : 1) Poursuivre l amélioration du cadre de vie et de la qualité de service au quotidien, 2) Mettre en place les conditions d une gestion pérenne en lien avec la rénovation urbaine, 3) Renforcer le partenariat autour de projets territoriaux, 4) Favoriser l implication des habitants et le lien social 5) Développer le suivi et l évaluation globale des actions Avenant N Avenant Convention locale d application Vaulx-en-Velin Avenant expérimental Conventions Un bilan a été dressé à partir de 5 critères : la mise en place d actions significatives, la cohérence des actions mises en œuvre avec les objectifs fixés, le résultat des actions, la mobilisation des partenaires, la pérennisation des financements et/ou des moyens humains dédiés. Convention-Cadre GSUP Avenant Séminaire GSUP 4 5

4 1 ) un cadre de vie nettement amélioré et un niveau de qualité de service satisfaisant, mais la permanence de difficultés liées au vandalisme, aux problèmes de respect de la propreté et à l absence d une norme partagée L amélioration de la qualité de vie sur les quartiers, pilier de la GSUP depuis ses origines, apparaît le plus abouti, au regard des moyens déployés et des résultats atteints de plusieurs natures: - Grâce à l effet levier des crédits «qualité de service», la remise en état des parties communes a été poursuivie et a permis une revalorisation de certaines résidences qui souffrent d un problème d attractivité et de dégradations récurrentes liées aux occupations abusives. L ensemble des halls du parc social sont aujourd hui sécurisés et rénovés. Néanmoins, les montées d escaliers, rarement carrelées et dont la peinture au sol est souvent abîmée, restent problématiques à entretenir. - Les petits travaux sur les espaces extérieurs réalisés par la Ville et les bailleurs dans le cadre des PIEE ont permis par ailleurs de favoriser une bonne appropriation des espaces de convivialité et de sécuriser certains espaces, en réponse aux demandes des habitants. Ces réalisations tendent à devenir de plus en plus qualitatives avec un coût moyen par action plus important et une part de travaux de requalification en hausse par rapport aux travaux de sécurisation. Les délais de réalisation à partir de l identification en état des lieux croisés restent très longs (1an ½ voire plus de 2 ans). Se pose également le coût de fonctionnement de ces espaces, coût encore peu pris en compte dans les prévisionnels d entretien des parties communes. Programmes d Intervention sur les Espaces Extérieurs (PIEE) Près de 1.2M de petits travaux programmés sur les espaces extérieurs 157 opérations programmées : 52 Ville et 105 bailleurs Montant moyen par action de : 2600 Ville et 9400 Bailleurs 3 catégories de travaux réalisés : 36% requalification des espaces verts/ cheminements ; 35% sécurisation (renforcement de l éclairage, dispositifs anti-2 roues ou contre le stationnement sauvage..) ; 25% petits équipements (jeux et mobilier) - Cette amélioration du cadre de vie sur la plupart des quartiers s est accompagnée d un réel effort pour traiter les «points noirs» et de parvenir à un niveau de propreté global satisfaisant, avec la mise en place notamment d action de sur-entretien. Des problématiques liées aux comportements demeurent toutefois importantes : le dépôt d encombrants en pied d immeuble est généralisé sur tous les quartiers, les jets d ordures par les fenêtres demeurent prégnants à certains endroits, la mécanique sauvage sur les parkings est plus ponctuelle qu auparavant avec une pression plus forte des besoins de stationnements, mais n en demeure pas moins une source de pollution (huiles, vidanges) et génère des enlèvements de véhicules pris en charges dans le cadre du dispositif partenarial. Dispositif partenarial d enlèvement des véhicules «en voie d épavisation» Une moyenne de 630 véhicules placés en fourrière par an 95% véhicules identifiés Une stabilisation du nombre de véhicules récupérés par leur propriétaire depuis 2007 (34 %) ; les 66% restant pris en charge par la Ville (dont 2 roues) Moyenne délai de mise en fourrière = 30 jours, d où le coût important du dispositif - L évaluation du Centre de ressources pour le personnel de proximité HLM à l occasion de ses 10ans en 2009 a été très positive : isolement rompu, prises de recul possible, travail sur soi favorisé, mise en réseau entre gardiens et avec les partenaires réalisée, initiatives encouragées, formation et professionnalisation accrues, qualité de service améliorée, reconnaissance du métier en hausse. Conçu par des gardiens pour les gardiens, le guide «Question Propreté», publié en 2010 est une réussite (plus de 3000 exemplaires vendus). - Au terme de 4 ans de fonctionnement, le bilan du dispositif «partenariat pour la tranquillité» fait apparaître des points positifs, notamment une meilleure connaissance et compréhension de l action par les forces de l ordre, ce qui permet des interventions communes plus efficaces. Le dispositif est rentré dans le paysage, avec le côté positif qu il est bien connu des habitants, mais avec pour effet pervers l intégration des modalités d action des perturbateurs (forte diminution du nombre de rappels au règlement intérieur effectués par l entreprise de sécurité). Le faible nombre d appels des locataires est aussi révélateur de l importante crainte des représailles chez les habitants. La majeure partie des interventions est aujourd hui en lien avec des problèmes de stupéfiants. D autres phénomènes prégnants en matière de tranquillité publique, bruits extérieurs notamment l été, circulation intempestive de 2 roues, multiplication de vente sauvage autour de barbecues doivent être réexaminés à l aune d une tranquillité publique quelque peu normée. - La réorganisation de la Direction de la Prévention Sureté Sécurité en 2011 et la suspension du CLSPD pendant plus d un an ½ sur Vaulx-en-Velin n ont pas permis de construire et de développer une véritable articulation entre les démarches de la GUSP et les dispositifs de prévention-sécurité. Les «fiches incidents», qui avaient été un outil partenarial majeur entre les bailleurs, la Ville et la Police Nationale sont tombées en désuétude. 2) une prise en compte de la gestion dans le cadre de la rénovation urbaine pas encore à la hauteur de l enjeu de pérennisation des nouveaux aménagements L un des objectifs majeurs de la convention GSUP était de mettre en œuvre les conditions nécessaires à la mise en place d une gestion pérenne des aménagements réalisés dans le cadre de la rénovation urbaine. - Après l atlas des quartiers, le répertoire «qui fait quoi et où?», créé en 2007, a permis de clarifier le rôle de chacun sur cinq quartiers en multi-domanialités et a contribué à une meilleure coordination entre les gestionnaires des espaces extérieurs. Une enquête auprès des utilisateurs a montré que l outil, jugé pratique, est très apprécié. Son extension à de nouveaux quartiers est fortement attendue, ainsi que la réactualisation des contacts, compte tenu des changements d interlocuteurs. - Sous l égide de la Ville, la régularisation des domanialités est quasiment aboutie sur les quartiers restructurés (finalisée sur Thibaude, Grolières ; en cours sur Noirettes et Ecoin). En revanche, des transferts de gestion antérieurs n ont jamais fait l objet de régularisations (Esplanade Duclos, Grappinière, Centre commercial du Mas ), ce qui a pour conséquence un manque de clarté dans le statut de ces espaces et des difficultés d entretien des services gestionnaires du Grand Lyon (nettoiement, mais également, intervention plus lourde : assainissement, réfection de la voirie ) - La ville a également engagé une analyse prospective de la gestion des futurs espaces publics dans le cadre de la rénovation urbaine. Ce travail de mise à plat de l évolution des espaces publics et privés dans le cadre des projets de renouvellement urbain permet de mesurer l évolution précise en surface ou en mètre linéaire des terrains propriétés de la Ville et du Grand Lyon. Il intègre une évaluation des coûts de gestion induits pour la Ville. Une seconde étape de ce travail vise à estimer les charges de gestion induites par ces évolutions pour les services gestionnaires du Grand Lyon. - La reprise en gestion directe par les bailleurs des espaces résidentiels sur les quartiers de la ZUP, auparavant gérés par l Association Syndicale des Propriétaires, obéit à un principe de retour dans le «droit commun». En résultent une plus grande cohérence et une meilleure transparence dans la répartition des coûts de gestion, étant donné que la répartition se faisait auparavant au nombre de logements et non au regard des prestations par résidence. Dans ce contexte, un retour à un dispositif de mutualisation de l entretien n est pas souhaité par les bailleurs, comme par exemple sur Noirettes où la délimitation des résidences est moins aboutie que sur les quartiers rénovés postérieurement. La diminution des coûts de gestion qui était également recherchée dans le cadre de marchés globaux plus compétitifs reste à objectiver. 6 7

5 - De nombreuses actions de sensibilisation au respect du cadre de vie ont été mises en place depuis 2007, dans le prolongement des expérimentations antérieures portées par les bailleurs (affiches, actions «coup de poing», actions ludiques auprès du jeune public ), le centre de ressources (formation et sensibilisation au tri, visite du centre de tri, ateliers d échange propreté, les acteurs associatifs (ramassage participatif ), par la Ville et le Grand Lyon (Semaine de la Propreté). Ces différentes actions ont eu des résultats positifs mais fragiles. - Des expérimentations ont également été conduites autour de l enjeu d économies d énergie et de maîtrise des charges (campagne de communication autour de l exposition Maison économe, kits économies d énergies et accompagnement individuel des ménages sur le suivi des consommations) - Face au problème récurrent de déficit de places de stationnement à proximité immédiate de la résidence qui entraîne des dégradations des espaces publics, des problèmes de sécurité et génère beaucoup d insatisfaction des habitants, des actions innovantes seraient à construire pour favoriser l évolution des comportements et le développement de modes de déplacements alternatifs à la voiture (stationnement deux roues ). Etat des lieux croisé - Ecoin Sous la Combe 3) une approche territoriale enclenchée, mais un pilotage et un suivi des plans d action à renforcer L objectif majeur de la convention a été de mettre en place une approche territorialisée de la GSUP afin d avoir une connaissance plus fine et partagée de la situation de chaque quartier et ainsi mieux orienter les programmations annuelles. Si cette évolution est désormais bien intégrée dans les pratiques, il existe des marges de progression possibles! Action de nettoyage participative - Cité Tase - Les états des lieux croisés ont été déployés sur l ensemble des quartiers du périmètre du GPV. Ces diagnostics en marchant annuels pour dresser un constat partagé de l évolution du fonctionnement du quartier et de l impact des actions conduites sont aujourd hui bien suivis par les gestionnaires, les acteurs du quartier et les représentants associatifs. Une coordination du planning et une harmonisation de la méthode d animation et de comptes-rendus ont amélioré la lisibilité et le fonctionnement de ces rencontres. Toutefois, le suivi du traitement des dysfonctionnements constatés est à renforcer, la méthodologie à conforter, les acteurs à stimuler. - La définition de pistes de travail par quartier en 2007 a constitué une première étape dans l élaboration d une stratégie partagée entre les acteurs d un même quartier. Toutefois, le suivi de ces plans d action a été inégal, du fait notamment d un manque de continuité dans le pilotage (turn-over des chargés de développement territorial). - Globalement, l expérimentation de «projets de gestion de site» sur deux quartiers en inter-bailleurs est positive, avec une bonne dynamique partenariale, une mise en cohérence des actions, un vrai effet levier d investissements et un fléchage des financements GSUP sur Noirettes. Sur l Ecoin, la taille du site, le nombre de bailleurs et le turn-over important des interlocuteurs expliquent une mobilisation plus difficile, d autant que le plan d action a plus trait à des questions d organisation que de travaux d amélioration. Les points faibles de la démarche restent l évaluation des actions, en dépit des indicateurs définis en amont, ainsi que l implication des habitants dans la démarche. L intervention dans les parties communes, champ de compétence propre à chaque bailleur, constitue une des limites de la démarche en inter-bailleurs. D où l engagement par Villeurbanne Est Habitat et de l OPAC du Rhône de projets de résidence, qui s inscrivent en complémentarité. 8 9

6 4) une participation des habitants qui ne cesse de se fragiliser, malgré les actions développées pour favoriser leur implication dans la vie de quartier Enjeu majeur de la politique de la ville depuis ses origines, la volonté de renforcer la participation des habitants avait été réaffirmée dans le cadre de la Convention GSUP Des moyens non négligeables sont consacrés pour venir en soutien des associations, et les démarches sont nombreuses pour faire émerger des habitants relais sur les questions de cadre de vie. Malgré tout, la dynamique est très fragile et le constat est à la diminution du nombre d interlocuteurs qui portent une parole d intérêt général sur chaque quartier. Il semble nécessaire d apporter une aide méthodologique pour promouvoir cet apprentissage démocratique à l aune des préoccupations quotidiennes des habitants - De nouveaux locaux associatifs ont été créés sur les quartiers (Local 9 Neuf au Mas du Taureau, local d animation des Verchères) et d autres projets sont en cours de montage (Maison Carmagnole à la Tase et locaux sur le programme neuf d Alliade Habitat sur Genas). - La gestion et l animation des locaux associatifs (Espaces Carco et Frachon, LCR des Grolières, salle Curie) constituent également une vraie plus-value pour soutenir le fonctionnement de ces espaces intermédiaires en termes de vie sociale, en complément des locaux de proximité mis à disposition par les bailleurs. - L action de la CNL a été poursuivie à travers ses permanences, soutien aux comités de locataires, participation aux démarches GSUP. On constate toutefois une baisse du nombre de comités des locataires actifs Par ailleurs, la CSF, qui était moins implantée sur Vaulx-en-Velin, ne comporte aujourd hui qu un comité de locataires, voué à disparaître avec la démolition de la résidence Luère-Echarmeaux au Mas du Taureau. - Des formations en direction des nouveaux copropriétaires ont été mises en place pour favoriser le bon fonctionnement des instances de gestion sur les programmes neufs. - Pilotées par le Service Vie Quotidienne de la ville, les démarches et les instances de participation citoyenne ont été développées (visites hebdomadaires du Maire par quartier, Assemblées générales de quartier). Une articulation plus forte dans le traitement des demandes des habitants se met en place. Groupe de travail GSUP - Pré de l Herpe 5) Un suivi et une évaluation globale des actions qui reste à renforcer L amélioration du suivi et de l évaluation des actions constituait un nouvel objectif défini par les partenaires en 2007 lors de l élaboration de la convention. Sa mise en œuvre est à ce jour très partielle : - L impact des actions conduites n est pas encore évalué systématiquement à partir d indicateurs mesurables. Dans le cadre des projets de gestion de site qui visaient à promouvoir une culture de conduite de projet à partir de tableaux de bord et d outils d évaluation, les porteurs d actions se sont peu appropriés les indicateurs de résultats mis en place, à défaut d un pilotage fort de la démarche. - La volonté était par ailleurs d étendre les enquêtes de satisfaction à d autres quartiers que ceux ayant fait l objet d une requalification urbaine, et de les conduire dans une approche plus transversale. Plusieurs démarches ont été conduites, sans toutefois de stratégie bien définie : sondage sur Noirettes et Centre Ville en 2008 (étudiants Polytech Tours), enquête sur La Balme et Echarmeaux-Luère dans le cadre du CUCS en 2009, enquête post requalification sur l Ecoin en 2001 (Aviso Conseil), qui se double de l enquête 6 quartiers conduite par le Grand Lyon en Par ailleurs, peu d actions ont fait l objet «d enquêtes-miroir» auprès des habitants ciblés, ce qui était une des nouvelles préconisations dans le cadre de la Convention de Etat des lieux croisé - Cité Tase 10 11

7 2) Les objectifs pour Au vu de ces éléments de bilan, les objectifs définis en 2007 sont poursuivis, avec quelques ajustements et de nouvelles pistes de travail : 1) Conforter la qualité de vie et la qualité de service 2) Accompagner la rénovation urbaine et pérenniser ses acquis 3) Favoriser la participation des habitants et le respect de la propreté 4) Contribuer à la tranquillité publique, en lien avec le CLSPD 5) Promouvoir des actions innovantes dans la logique du développement durable Cf chapitre 2 : plan d action transversal A travers ces différents axes d intervention, les partenaires s engagent à favoriser l insertion professionnelle, et à appliquer les dispositions contenues dans la Charte Nationale d insertion ANRU. Cette démarche transversale au plan d action, pourra notamment s intégrer dans la mise en place d un dispositif d accompagnement à l emploi par intégration de clauses d insertion, une approche qualitative de l accompagnement et des expérimentations. Les partenaires s engagent également à développer des projets de gestion adaptés à la spécificité des territoires, à travers la mise en œuvre des axes prioritaires d intervention définis par quartier, et à faire aboutir l expérimentation des projets de gestion de site. Cf chapitre 3 : plan d action territorial Les modalités de pilotage sont maintenues en prenant en compte les quelques modifications apportées aux instances partenariales mises en place depuis L objectif de renforcer le suivi et l évaluation des actions est réaffirmé, avec la mise en place de nouveaux outils Cf chapitre 4 : les modalités de mise en œuvre II.LE PLAN D ACTION TRANSVERSAL La formalisation d objectifs et l identification d indicateurs de résultats pour chaque axe d intervention visent à cadrer et à faciliter l évaluation des actions conduites par chaque opérateur. Ceux-ci pourront être complétés et affinés dans l optique de parvenir à la mise en place d un véritable référentiel commun d évaluation. 1) Conforter la qualité de vie et la qualité de service Qualité de service dans les logements Objectifs : améliorer le niveau de prestation des logements remis en location sur les quartiers les moins attractifs ; améliorer la qualité du service rendu aux locataires ; développer l insertion sociale et professionnelle du public adultes et des jeunes. Cibler la remise en état des logements vacants et développer l insertion professionnelle Ce qui constituait une des actions socles de la GSUP à son lancement dans les années 90 n est aujourd hui plus une priorité, compte tenu de la faible vacance sur l ensemble du parc social. Le cofinancement peut se justifier sur les résidences où des grosses difficultés sont constatées. Suite à la disparition de l ARRADEP, il convient de mettre en place des clauses d insertion professionnelle dans le cadre de ces marchés. Maitrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : remise en état des peintures et papiers peints avant relocation dans le cadre de marchés avec clauses d insertion Financement : Bailleur, fin de crédits ANRU / Qualité de service maintien des contrats multiservices, en développant l information aux locataires et le contrôle des prestations Ces contrats apportent un véritable «plus» pour les locataires et permettent le maintien d un niveau d entretien des logements sur les résidences. Une meilleure information des locataires apparaît toutefois nécessaire pour faire mieux connaître le contenu des prestations et les modalités d intervention. Maîtrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : petites réparations relatives à des travaux relevant de la responsabilité du locataire Financement : Bailleur, TFPB Indicateurs de résultats : taux de vacance des logements, nombre de postes d insertion ou d heures d insertion créés, nombre et motifs de sorties du dispositif d insertion ; nombre et typologies de formation mis en place dans le cadre du dispositif d insertion, satisfaction Travaux dans les parties communes Objectifs : conforter l attractivité des résidences qui vivent le moins bien ; améliorer la tranquillité dans les allées où les problèmes de regroupements et de dégradations dans les parties communes sont importants; développer l insertion sociale et professionnelle du public adulte et des jeunes. Cibler la sécurisation des allées d immeuble Après l effet levier des crédits ANRU en termes d investissement, le cofinancement du remplacement des portes d entrées et de la mise en place nouveaux systèmes de contrôles d accès doit être ciblé sur les immeubles les plus sensibles. La problématique est aujourd hui avant tout d assurer un bon niveau de maintenance des ces équipements, notamment sur les allées d immeuble où le vandalisme est important. Maitrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : mise en place de contrôle d accès, remplacement des portes d allées, sécurisation des gaines techniques Financement : Bailleur, ANRU / soldes crédits Qualité de Service Le Centre Ville 12 13

8 Cibler la réfection des parties communes, en développant l insertion professionnelle et les chantiers jeunes De même que pour les travaux de sécurisation, le financement des travaux de réfection des parties communes doit bénéficier aux immeubles où sont repérés des problèmes de dégradations. Les chantiers jeunes doivent être favorisés en partenariat avec la Ville/ Service Jeunesse pour les travaux de remise en peinture. Maitrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : remise en peinture des halls, des montées d escaliers et des paliers, remise en état de passages traversants ou réalisation de fresques dans le cadre de marchés avec clauses d insertion professionnelle ou de chantiers jeunes quand c est possible. Financement : Bailleur, Grand Lyon ou TFPB Les fonds petits travaux suite à vandalisme Maitrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : réparations ponctuelles suite à des dégradations repérées par les équipes de proximité et/ou signalées par les locataires et les partenaires (vitrerie, serrurerie, interphonie, électricité, tags ) Financement : Bailleurs, TFPB Indicateurs de résultats : taux de vacance des logements, nombre de demandes de logements par résidence ; nombre de réclamations techniques dans les parties communes ; taux de satisfaction des locataires par résidence (enquêtes bailleurs) Poursuite des actions d amélioration des espaces résidentiels dans une approche territoriale Les financements de la Région contractualisés dans le cadre de l ANRU dédiés au PIEE tous quartiers sont aujourd hui totalement consommés. Reste un solde uniquement dédié au PIEE Mas du Taureau/ Pré de Herpe. La Région vient donc désormais en relais dans le cadre des crédits investissements de la programmation CUCS annuelle. D où un changement de modalités de financement (seuil de subvention de ) qui suppose des projets plus importants qu auparavant. Un travail a été conduit en inter-bailleurs pour préciser les priorités. L objectif est de cibler plus fortement les quartiers prioritaires ou en attente de projet. Maitrise d ouvrage : Ville/ Direction des Services Techniques Contenu : création ou amélioration d aires de jeux, pose de nouveaux bancs ou de mobilier urbain, renforcement de l éclairage, pose de mobilier anti-2 roues et anti-rodéos, création de cheminements piétons Financement : Région Indicateurs de résultats : satisfaction des habitants, utilisation des espaces; nombre de postes d insertion ou d heures d insertion créés, nombre et motifs de sorties du dispositif d insertion ; nombre et typologies de formation mis en place dans le cadre du dispositif d insertion Travaux sur les espaces extérieurs Objectifs : améliorer le cadre de vie et l attractivité des quartiers prioritaires, traiter certains dysfonctionnements sur les espaces extérieurs en réponse à la demande des habitants, gérer les espaces en transition en lien avec le renouvellement urbain Poursuite du Programme d intervention sur les espaces extérieurs mis en œuvre par la ville (PIEE) Après 8 ans de mise en œuvre, le PIEE Ville est reconnu comme un véritable outil de la GSUP, à partir du repérage des dysfonctionnements et des demandes d habitants en états des lieux croisés. Son montage financier a été renégocié en 2011 pour permettre une prolongation jusqu en La volonté est de recentrer les investissements sur les espaces publics, mais l objectif reste aussi de venir en complément des réalisations des bailleurs sur les espaces résidentiels, au cas par cas et selon les priorités définies par quartier. Maitrise d ouvrage : Ville/ Direction des Services Techniques Contenu : création ou amélioration d aires de jeux, pose de nouveaux bancs ou de mobilier urbain, renforcement de l éclairage, pose de mobilier anti-2 roues et anti-rodéos, création de cheminements piétons Financement : Ville, ANRU, Région, Grand Lyon Equipe de Nettoiement - Les Noirettes Dispositifs de sur-entretien et lutte contre le vandalisme Objectifs : améliorer la propreté et optimiser l offre de stationnement sur les parkings ouverts au public ; assurer un bon niveau de réactivité dans les réparations liées au vandalisme Poursuite du dispositif partenarial d enlèvement des véhicules en voie d épavisation Maitrise d ouvrage : Ville / Direction de la Prévention Sureté Sécurité Urbaine Contenu : enlèvement et mise en fourrière des véhicules épaves, incendiés, avec défaut d assurance ou en stationnement abusif. Financement : Ville, Grand Lyon, Bailleurs Poursuite du sur-entretien sur certains espaces résidentiels Maitrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : nettoiement renforcé sur les espaces résidentiels, ramassage des encombrants pour les bailleurs qui font le choix de ne pas les répercuter cette prestation sur les charges locatives Financement : TFPB Le personnel dédié à la lutte contre le vandalisme Face aux dégradations récurrentes dans les parties communes, certains bailleurs se sont dotés d une organisation leur permettant d intervenir rapidement pour des réparations courantes. Maîtrise d ouvrage : Bailleur Contenu : intervention d un ouvrier de maintenance ou d une régie pour effectuer des réparations suite à vandalisme (vitres, tags) Financement : TFPB Etat des lieux croisé - Cervelières Sauveteurs Indicateurs de résultats : nombre de véhicules enlevés par catégorie et taux de véhicules récupérés par leur propriétaire ; qualité d entretien des espaces extérieurs (compte-rendu d états des lieux croisés) 14 15

9 Professionnalisation du personnel de proximité Objectifs : renforcer la professionnalisation du personnel de proximité HLM, venir en soutien et développer la mise en réseau des gardiens d immeuble ; favoriser l insertion socioprofessionnelle. Le renforcement du Centre de Ressources du personnel de proximité HLM Mis en place à Vaulx-en-Velin depuis 1998 à la suite de formations des gardiens d immeuble en interorganismes, le Centre de ressources s inscrit aujourd hui en complémentarité du dispositif régional de formation des personnels de proximité des bailleurs créé en 2005 (ECLOR Enrichir les Compétences dans le logement social en Rhône-Alpes). Un dispositif similaire est déployé depuis 2006 sur la commune de Vénissieux et a été doté en 2012 de moyens dédiés. Ainsi, le Centre de Ressources de Vaulx-en-Velin est renforcé à compter du 2e semestre 2012, avec le passage à temps plein du coordonnateur sur Vaulx-en- Velin. Un enjeu majeur est de renouveler les forces vives pour pallier les conséquences des départs en retraite et des mutations des gardiens mais aussi des «encadrants». Maitrise d ouvrage : ABC HLM Contenu : organisation d ateliers d échange de la pratique en lien avec le guide «question propreté» ; modules d intégration pour les nouveaux gardiens ; participation à des actions partenariales (sensibilisation à la propreté ) ; mise en place assemblée générale de gardiens ; stimulation à la participation aux états des lieux croisés par quartier ; soutien personnalisé à certains gardiens Financement : Bailleurs ; Grand Lyon ; ACSé Indicateurs de résultats : nombre de gardiens formés et mis en réseau ; nombre de participants aux ateliers d échange de la pratique mis en place ; indicateurs de résultats renseignés dans le cadre des bilans annuels ; nombre de postes crées en insertion socioprofessionnelle; résultats des états des lieux croisés et plans d actions proposés à leur suite.. 2) Accompagner la rénovation urbaine et pérenniser ses acquis Anticipation de la gestion et prise en compte des contraintes d usages dans les projets d aménagement Développement d un outil de suivi de l impact du programme de rénovation urbaine sur la gestion des espaces publics Maîtrise d ouvrage : Ville Contenu : cartographie des nouveaux espaces publics à moyen terme, estimation des surfaces supplémentaires à gérer pour la Ville et le Grand Lyon ; évaluation des coûts de gestion mise en place d un travail sur la gestion et sur l impact sur les charges locatives dans le cadre des projets d aménagements résidentiels Maîtrise d ouvrage : Bailleurs ou Grand Lyon Contenu : estimation des coûts de gestion pour tout nouvel aménagement résidentiel ; évaluation de l impact sur les charges locatives et communication en direction des locataires ; examen croisé des projets d aménagement en lien avec la Direction de la Propreté du Grand Lyon concernant le ramassage des ordures ménagères. Indicateurs de résultats : satisfaction des habitants par rapport aux nouveaux aménagements ; qualité d entretien des espaces extérieurs (compte-rendu d états des lieux croisés) Gestion des espaces en devenir Mise en place d un dispositif d entretien des espaces en devenir Contenu : mise en place d un entretien des espaces verts et d un ramassage des papiers et déchets sur les réserves foncières du Grand Lyon ouvertes au public sur le Mas du Taureau Pré de l herpe Maitrise d ouvrage : à définir : Grand Lyon ou Ville Financement : Grand Lyon ; Ville Poursuite de l action de proximité auprès des centres commerciaux en voie de restructuration Maîtrise d ouvrage : Ville / Service Economique Contenu : intervention auprès des commerçants des centres commerciaux du Mas du Taureau et de la Grappinière en lien avec le chargé de développement territorial : information sur le projet ; veille sur le fonctionnement des commerces et sur l évolution de l activité en lien avec le service Foncier et la maîtrise d ouvrage du Grand Lyon Financement : Ville Présentation des ateliers propreté du Centre de ressources ABC HLM à la Biennale de la proximité 2012 Communication et gestion en phase chantier Objectifs : assurer un bon niveau d information sur les travaux et limiter les gênes occasionnées par les chantiers de rénovation urbaine en quartier habité ; venir en appui des groupes et favoriser les initiatives d habitants ; améliorer la réactivité dans le traitement des dégradations liées au vandalisme. Le maintien d une communication de proximité sur les gênes occasionnées par les travaux Maîtrise d ouvrage : GPV ou bailleurs Contenu de l action : réalisation de supports de communication sur le contenu des travaux, sur le planning et sur les gênes occasionnées par les chantiers de réaménagement des espaces extérieurs (plaquettes, affiches, flyers, panneaux d information sur site ) Financement : Grand Lyon, Ville 16 17

10 La mise en place d un correspondant de chantier Le dispositif de correspondant de chantier expérimenté dans le cadre du chantier de rénovation urbaine du quartier de l Ecoin-sous-la-Combe a fait ses preuves. Un nouveau montage partenarial a donc été décidé pour accompagner le réaménagement des espaces extérieurs du quartier des Verchères ( ). Maîtrise d ouvrage : Dynacité Contenu de l action : création d un poste en insertion professionnelle dédié à la veille terrain en lien avec la maîtrise d ouvrage et les entreprises et à la communication de proximité en lien avec le GPV (contact avec les gardiens, diffusion affiches, flyers ) Financement : Grand Lyon, Ville, Bailleurs Indicateurs de résultats : satisfaction des habitants en matière d information sur les travaux et gênes occasionnées (enquête spécifique) ; nombre d habitants relais et d actions conviviales par résidence ; Clarification des domanialités et coordination de la gestion Objectifs : améliorer la coordination des différents intervenants en matière de gestion par quartier ; faciliter l implication des habitants dans la gestion de leur quartier ; assurer une gestion pérenne des espaces publics créés dans le cadre des projets de rénovation urbaine ; améliorer la prise en compte des contraintes de gestion dans les nouveaux aménagements résidentiels, notamment en lien avec le ramassage des ordures ménagères La réédition et l extension des répertoires cartographiques «Qui fait quoi et où?» Suite à la première édition réalisée en 2007 sur cinq quartiers, une 2e édition du répertoire «qui fait quoi et où» à paraître au 3e trimestre 2012 vise à réactualiser les données sur les 5 quartiers déjà couverts (Mas du Taureau, Noirettes, Grolières, Thibaude et Vernay-Verchères) et à étendre l outil à 4 nouveaux quartiers (Centre-ville, Ecoin, Cervelières-Sauveteurs, Grappinière). Maitrise d ouvrage : GPV / ABC HLM Contenu : cartographie des domanialités et des secteurs de gestion par quartier, contenu des prestations et coordonnées des intervenants en matière de propreté, d entretien des espaces verts, de maintenance des jeux et d éclairage, index général Financement : Ville ; ABC HLM ; Grand Lyon Indicateurs de résultats : nombre d usagers réguliers du répertoire «qui fait quoi» par catégorie d acteurs et taux de satisfaction (enquête spécifique) ; QFQ&O Gestion Sociale et Urbaine de Proximité Qui fait quoi et où... THIBAUDE Édition 2013 QFQ&O Gestion Sociale et Urbaine de Proximité Qui fait quoi et où... ECOIN SOUS LA COMBE Édition 2013 QFQ&O Gestion Sociale et Urbaine de Proximité Qui fait quoi et où... GRAPPINIÈRE Édition 2013 QFQ&O Gestion Sociale et Urbaine de Proximité Qui fait quoi et où... GROLIÈRES Édition 2013 QFQ&O Gestion Sociale et Urbaine de Proximité MAS DU TAUREAU Édition 2013 QFQ&O Qui fait quoi et où... Gestion Sociale et Urbaine de Proximité Qui fait quoi et où... VERNAY VERCHERES Le maintien des référents de quartier inter-bailleurs sur les démarches GSUP Les projets de gestion de site développés depuis 2009 sur les quartiers (Ecoin-sous-la Combe et Noirettes) requièrent une coordination inter-organismes. D où la désignation d un référent bailleur sur chacun des 2 quartiers, en binôme avec le chargé de développement territorial du GPV. Même si l estimation du coût du reste modique, le temps dédié par ces cadres intermédiaires au titre de l inter-bailleur est valorisé dans le cadre de la TFPB pour légitimer plus fortement leur rôle et leur implication à la fois au sein de leur organisme et auprès des partenaires. Maîtrise d ouvrage : ABC HLM/Bailleur (OPAC du Rhône, Villeurbanne Est habitat) Contenu : suivi et coordination du plan d action ; préparation des instances partenariales (équipes projet, groupe technique, comité de pilotage) Financement : bailleurs, TFPB Édition 2013 QFQ&O Gestion Sociale et Urbaine de Proximité Qui fait quoi et où... NOIRETTES Édition ) Favoriser la participation des habitants et le respect de la propreté Sensibilisation à la propreté Objectifs : réduire les jets par les fenêtres ; réduire les dépôts d encombrants ; limiter l éparpillement des déchets aux abords des marchés en les réduisant à la source ; résoudre les problèmes de propreté et de gestion des ordures ménagères liés aux commerces en RDC d immeuble sur certains quartiers (Vernay, Centre-ville, Genas ) Développement d animations autour de la semaine de la «Faites de la propreté» De nombreuses actions sont conduites sur les quartiers pour favoriser le respect de la propreté. Il y a un enjeu à les valoriser et à rechercher un effet amplificateur à l échelle de la commune, en lien avec le Grand Lyon. Maîtrise d ouvrage : Ville / Vie Quotidienne + DGST Contenu : organisation d une semaine de la propreté chaque année à l occasion de l opération «Faites de la Propreté» à l échelle du Grand Lyon permettant de développer et valoriser les initiatives sur l ensemble du territoire communal Financement : Grand Lyon, Ville et porteurs de projets (bailleurs, associations ) Mise en place d une campagne de sensibilisation contre les jets de déchets par les fenêtres Face au constat partagé du service hygiène (constat d hygiéne et de salubrité publique) et des bailleurs et aux nombreux signalements des habitants, le service Promotion Santé de la Ville a impulsé en 2012 une action de sensibilisation contre les jets d ordures par les fenêtres, en partenariat avec les bailleurs et le GPV. Outre la saleté des pieds d immeuble, les jets par les fenêtres génèrent en effet le confinement des logements qui est à l origine des problèmes d humidité. L objectif est d agir sur les causes, et de responsabiliser les habitants par un travail d information et d éducation : L environnement est l affaire de tous, l habitant est acteur de son cadre de vie. Maîtrise d ouvrage : Ville / Service Santé ABC HLM Contenu : réalisation d affiches et de flyers et diffusion en partenariat aves les bailleurs et le GPV Financement : Ville Poursuite de la sensibilisation des forains à la gestion des déchets L action «Marché propre» conduite en 2011 sur le Mas du Taureau avec le concours d un prestataire extérieur a permis d amorcer une sensibilisation des forains à la gestion de leurs déchets. Cette démarche est à poursuivre par le biais des placiers. Maîtrise d ouvrage : Ville / Service Economique Contenu : intervention des placiers auprès des forains pour le packtage et stockage de leurs emballages sur le temps du marché Financement : Ville Renforcement de l action de proximité auprès des commerçants Maîtrise d ouvrage : Ville / Service Economique Contenu : intervention auprès des commerçants du chargé de mission en charge des relations de proximité en lien avec le chargé de développement territorial pour résoudre les problèmes de propreté aux abords des commerces (regroupements) et de gestion des ordures ménagères (ramassage des encombrants, mise en place bacs OM spécifiques, paiement taxe OM) Financement : Ville Indicateurs de résultats : volume de déchets en pied d immeuble et nombre de plaintes de locataires liés aux problèmes de jets d ordures par les fenêtres ; volumes d encombrants ramassés ; niveau de propreté des marchés ; nombre de plaintes des locataires sur les résidences concernées 18 19

11 Appui aux comités de locataires et aux copropriétaires Objectifs : favoriser l émergence d habitants «référents» et la constitution des groupes de locataires ; renforcer l action et la représentativité des comités de locataires existants ; améliorer le fonctionnement des conseils syndicaux sur les anciennes copropriétés et à l ASP Cervelières Sauveteurs ; favoriser la mise en place d instances de gestion pérennes sur les nouvelles copropriétés Action de sensibilisation avec la direction de la Propreté du Grand Lyon et l école Martin Luther King Traitement des demandes des habitants Objectifs : améliorer la réactivité dans le traitement des demandes des habitants et des dysfonctionnements ; favoriser la coordination entre partenaires dans le traitement des demandes complexes mise en place d un logiciel de suivi du traitement des dysfonctionnements et des demandes d habitants Dans le cadre de sa mission de promotion de la citoyenneté et d interface entre les élus, les habitants et les services à l échelle de la Ville, le service Vie quotidienne se dote d un nouveau logiciel de suivi du traitement des demandes des habitants (courriers, appels téléphoniques, visites de quartiers, états des lieux croisés ). Ce nouvel outil vise avant tout à mieux traiter les demandes relevant de la compétence de la Ville, mais doit également permettre de mieux relayer les demandes et de s assurer des réponses apportées auprès des autres gestionnaires compétents (services communautaires, bailleurs, syndics de copropriétés ). Il n a toutefois pas vocation à se substituer aux centres de relations clientèle aujourd hui généralisés au sein des organismes HLM! Maîtrise d ouvrage : Ville / Vie quotidienne Contenu : enregistrement de toutes les demandes d habitants adressées à la Mairie et les dysfonctionnements relevés en visite de quartier du Maire et lors des états des lieux croisés ; suivi de leur traitement ; réunions trimestrielles Vie quotidienne/ bailleur/ GPV Indicateurs de résultats : taux de satisfaction sur le traitement de la réclamation (enquêtes bailleurs) ; taux de résolution de dysfonctionnements (compte-rendu des états des lieux croisés GPV) ; Poursuite de l action d appui aux comités de locataires et de défense des droits des locataires Opérateur : Section Locale CNL Contenu : permanences ; appui à la constitution de nouveaux comités de locataires ; participation aux démarches de GSUP (états des lieux croisés, commission GUSP ) Financement : Acsé, ville Poursuite des formations en direction des nouveaux copropriétaires Maîtrise d ouvrage : Ville Contenu : formations animées par la CLCV en direction des membres des conseils syndicaux et des nouveaux copropriétaires Financement : Région (convention ANRU) Mise en place d une mission de veille auprès des copropriétés fragiles Maîtrise d ouvrage : Grand Lyon Contenu : diagnostic dynamique du fonctionnement des 13 copropriétés Cervelières-Sauveteurs à la suite du plan de Sauvegarde ; accompagnement au cas-par-cas des copropriétés les plus fragiles. Financement : Grand Lyon, ACSé, Ville, Indicateurs de résultats : nombre de personnes reçues aux permanences CNL par an ; nombre de comités de locataires et nombre de membres au sein de chaque comité de locataires ; nombre de réunions bailleur-locataires par an; nombre de participants aux séances de formation et taux de satisfaction ; taux d impayés, prix de vente moyen, taux de participation aux assemblées générales, nombre membres au sein du conseil syndical par copropriété ; participation à l AG de l association ASP Cervelières Sauveteurs Locaux associatifs Objectifs : favoriser la vie associative sur les quartiers et développer le lien social ; venir en appui des initiatives habitants Poursuite de la gestion et l animation des locaux et des espaces associatifs Auparavant gérés par l ASP, 2 Locaux Collectifs Résidentiels (LCR) sur 4 de l ex ZUP ont été rétrocédés à la Ville en 2007 (Grolières, Malval). Celui de Pré de l Herpe a été démoli. Seul le LCR du Mas du Taureau reste propriété de l ASP Vaulx Grande île, dont la gestion est confiée à Rhône Saône Habitat. La mission d animation et de gestion confiée par la Ville à Médiactif est poursuivie sur les Espaces associatifs CARCO et Frachon, le LCR des Grolières, et la salle Curie. Maitrise d ouvrage : Ville / Direction du Développement Sociale et de la Vie associative (DDSVA) Contenu : Equipe de 4 intervenants chargée de l accueil, l animation et gestion des espaces associatifs Financement : Ville, ACSé Confortement des locaux associatifs en pied d immeuble Maitrise d ouvrage : bailleurs Contenu : Mise à disposition gratuite de locaux en pied d immeuble aux comités de locataires ou associations (facturation uniquement des charges) Financement : TFPB Indicateurs de résultats : nombre de locaux mis à disposition et nombre d utilisations par an. Outils de concertation et d écoute des habitants Objectifs : mesurer la satisfaction des habitants concernant le cadre de vie et la gestion de leur quartier, recueillir leurs attentes et leurs besoins Poursuite des états des lieux croisés par quartier Des diagnostics en machant sont organisés par l équipe GPV une fois par an sur chacun des quartiers. Ils réunissent les différents acteurs impliqués dans la gestion du quartier (bailleurs, services gestionnaires ville et Grand Lyon), les structures de proximité (centre social, accueil de loisirs ) et les représentants d habitants (comités des locataires, habitants relais ). Ils ont pour but de mesurer les évolutions constatées sur le quartier, relever les dysfonctionnements récurrents sur chaque quartier, évaluer les réalisations, et ajuster les actions engagées par les partenaires. Poursuite et adaptation des enquêtes de satisfaction auprès des habitants Les enquêtes de satisfaction ont été conduites depuis 2000 sur les quartiers requalifiés (Thibaude, Grolières, Ecoin), afin d évaluer l impact du changement dans l image et les usages qu ont les habitants de leur quartier et de mesurer l évolution de leur satisfaction. Il convient désormais d étendre cet outil d évaluation à d autres quartiers et de le redéfinir dans une approche plus transversale. Maitrise d ouvrage : Ville Contenu : mission externalisée de réalisation d enquêtes auprès des habitants par un bureau d étude spécialisé Financement : Ville, Grand Lyon, Acsé, Bailleurs Indicateurs de résultats : nombre d habitants participant aux états des lieux croisés par quartier ; nombres de ménages enquêtés 20 21

12 4) Contribuer à la tranquillité publique, en lien avec le CLSPD Dispositifs de veille en soirée Objectifs : assurer une veille en soirée sur les résidences ciblées comme sensibles ; réduire les problèmes liés aux occupations abusives dans les parties communes et les espaces publics et les trafics de stupéfiants qui contribuent à la dégradation rapide du cadre de vie et du «vivre ensemble» Partenariat pour la tranquillité Face aux problèmes liés aux regroupements dans les parties communes, sources dégradations, de salissures, et d un sentiment d insécurité, les bailleurs ont mis en place depuis 2000 un dispositif de veille en soirée sur plusieurs sites prioritaires du Grand Lyon. Porté par l ARRADEP jusqu à fin 2007, la mission est confiée depuis 2008 à une société de gardiennage (ZEUS sécurité) dans le cadre d un marché à bons de commande spécifique. Villeurbanne Est habitat dispose d un marché propre, mais le fonctionnement est similaire. Maîtrise d ouvrage «Partenariat pour la tranquillité»: OPAC du Rhône (groupement de commandes avec Alliade Habitat, Dynacité, Grand Lyon Habitat, HMF) Contenu de l action : intervention d équipes d agents de sécurité dans les parties communes du lundi au samedi de 17h à 23h sur signalement du bailleur ou sur appel de locataires. 2 niveaux d intervention possibles : veille résidentielle active et reprise en main) Financement : Bailleurs, TFPB Indicateurs de résultats : nombre d appels et nombre d interventions du dispositif «Partenariat pour la tranquillité» par résidence; nombre de plaintes liées à l environnement ; nombre d allées sensibles par quartier et état des parties communes (compte-rendu des états des lieux croisé) ; Le renforcement de l articulation avec le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD) et du Contrat local de Sécurité (CLS) Une articulation étroite est à construire entre les démarches conduites dans le cadre de la GSUP et les différentes instances partenariales du CLSPD qui réunissent les acteurs de la sécurité et de la tranquillité publique. Sur la base d une analyse par quartier, la commission bailleurs-sécurité doit notamment permettre de traiter les problèmes récurrents de dégradations, d occupations abusives et de territorialiser plus finement les interventions de la police en conséquence. Un des axes de travail pourrait être sur la problématique «santé mentale et logement». Médiation sociale Le maintien du personnel missionné sur la vie sociale (vers le passage dans le droit commun) Des postes ont été créés par les bailleurs pour venir en appui des équipes de proximité en matière de vie sociale : tranquillité des résidences, actions collectives favorisant la citoyenneté et l implication des locataires, accompagnement individuel des familles ou personnes en situation de précarité bénéficiant ou pas d un accompagnement social lié au logement, accompagnement des publics spécifiques (personnes âgées et handicapées) Ces postes sont amenés à rentrer dans le droit commun des bailleurs. Maîtrise d ouvrage : Bailleur Contenu : chargés de vie sociale, chargé de prévention et de tranquillité, agent de développement Financement : TFPB Le renforcement de l équipe de médiateurs Ville Une collaboration étroite doit être également mise en place avec la nouvelle équipe de médiateurs rattachés au service Jeunesse de la ville. Maîtrise d ouvrage : Ville / DPSSU Contenu : mise en place d une équipe de 6 médiateurs chargés d assurer une veille sur les espaces publics et d intervenir pour réguler les conflits d usages et les occupations abusives dans une approche de prévention Financement : Ville, ANRU, Acsé 5) Impulser des actions innovantes dans la logique du développement durable Tri des déchets Objectifs : remettre en place la collecte des bacs verts sur tous les quartiers suite à l abandon de certains secteurs/allées ; améliorer la qualité du tri des déchets, augmenter la part des déchets recyclés Poursuite des actions de sensibilisation au tri des déchets Force est de constater que le tri des déchets n est pas encore inscrit dans les pratiques, avec des volumes et une qualité de tri qui reste globalement médiocre sur les quartiers prioritaires, voire inexistant sur certains immeubles ou allées. Parallèlement à des actions des actions de sensibilisation, les bailleurs doivent poursuivre l amélioration des équipements pour le tri des déchets, avec le réaménagement des locaux d ordures ménagères distinguant bien l espace dédiés aux bacs verts, la mise en place d abris containers ou de subtainers et le renforcement de la signalétique sur le tri sélectif, voire la participation au programme Grand Lyon de mise en place de silos enterrés Maîtrise d ouvrage : Grand Lyon / Direction de la Propreté + coordination GPV Contenu : passage des messagers du tri en porte-à-porte, stands d information en pied d immeuble, visite du centre de tri, animations diverses en direction du jeune public en partenariat avec les acteurs locaux (écoles, centres sociaux, associations ) Financement : Grand Lyon Amorce d une réflexion sur l organisation de transport collectif à la déchetterie Les dépôts d encombrants en pied d immeuble constituent une problématique généralisée sur l ensemble du territoire. Sur les quartiers de l ex ZUP, force est de constater que le système de ramassage hebdomadaire confié par une entreprise prestataire par les bailleurs, est très performant, mais a tendance à conforter les habitudes des locataires, même si les bailleurs communiquent sur la déchetterie. Ailleurs, les ramassages ponctuels répondent mal à l accumulation des dépôts sauvages. La répercussion du coût de ces enlèvements sur les charges locatives par la plupart des bailleurs est polémique du point de vue des associations représentatives des locataires au regard du dernier décret sur les charges récupérables et de la jurisprudence. Il y a nécessité de mieux responsabiliser les locataires, tout en prenant en compte du fait que certaines personnes ne sont pas véhiculées. Maîtrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : appui à l organisation de transport d encombrants entre locataires Indicateurs de résultats : qualité du tri par allée (animateur de collecte) ; taux de refus des déchets au centre de tri et volume des déchets recyclés par circuit de collecte ; nombre de dépôts d encombrants Action de sensibilisation au tri - Balme Chalets 22 23

13 Sensibilisation aux économies d électricité et d eau Objectifs : faire évoluer les comportements pour réduire les charges liées aux consommations d électricité, d eau et de chauffage ; favoriser l insertion socioprofessionnelle. Développement d un accompagnement individuel des ménages Maîtrise d ouvrage : Bailleur Contenu : information des locataires ; accompagnement individuel de ménages volontaires sur la démarche (évaluation des consommations avant/après); fourniture d un kit (ampoules basse consommation, mousseur, chasse d eau double flux) Financement : bailleurs, Grand Lyon ou TFPB Ouverture d appartements pédagogiques Maîtrise d ouvrage : Bailleur Contenu : ouverture d un appartement présentant les équipements réduisant les consommations d eau et d électricité Financement : bailleurs, TFPB Indicateurs de résultats : nombre de ménages accompagnés et évolution des consommations d eau et d électricité par ménage ; nombre de personnes informées dans le cadre des permanences des appartements pédagogiques, satisfaction des locataires par rapport au contenu à l information et nombre de locataires volontaires pour mettre en œuvre les recommandations (questionnaire) ; nombre de postes crées en insertion professionnelle. Réhabilitation énergétique aux Noirettes Maîtrise des charges liées au chauffage Objectifs : limiter l augmentation des charges collectives liées au chauffage urbain dans un contexte d augmentation du coût des énergies Sensibilisation autour des températures de confort D une manière globale, il existe des écarts importants entre les attentes des locataires, habitués à des appartements surchauffés, et les températures de «confort» préconisées dans l optique d économie d énergie et de maîtrise des charges. Une réflexion est à engager en interbailleurs et en partenariat avec les associations de locataires sur les actions de communication et de pédagogie pour faire évoluer les comportements. Adaptation des contrats de chauffage Une meilleure régulation du chauffage au niveau du réseau secondaire P2 peut permettre des économies substantielles des consommations. Il y a un enjeu à impliquer plus fortement l exploitant pour assurer des réglages et effectuer des relevés de températures. Dans cette optique, un travail de négociation des contrats avec l exploitant et un contrôle des prestations est à conduire par les bailleurs. Modes de déplacements alternatifs à la voiture Objectifs : diminuer les problèmes de stationnement sur les quartiers ; résoudre les problèmes de sécurité et de dégradations des aménagements et du mobilier urbain lié au stationnement sauvage, favoriser le déplacement multimodal et les modes de déplacement alternatifs. Développement d une offre de stationnement 2 roues adaptée Maîtrise d ouvrage : Bailleurs Contenu : mise en place d un mobilier urbain sur les espaces résidentiels pour le stationnement des vélos, motos et scooters adaptés aux problèmes de sécurité et prenant en compte les contraintes d usages à proximité des pieds d immeuble (squats) Financement : bailleurs, Grand Lyon Nouvel éclairage public à l Ecoin sous La Combe Favoriser l utilisation de modes de transports alternatifs à la voiture En lien avec la plateforme mobilité du Grand Lyon, il s agit de sensibiliser et de permettre l accès à d autres moyens de transports que la voiture, qu il s agisse des transports en commun, des deux roues motorisés, ou encore des vélos outre les biens faits opérés sur l environnement et donc le cadre de vie, la proposition de modes de déplacements alternatifs peut contribuer à lever les freins à la mobilité rencontrés par les personnes en insertion professionnelles

14 III.PLAN d ACTION PAR QUARTIER Cartographie des quartiers répartis en 4 catégories : L une des principales avancées de la précédente convention GSUP a été de développer une approche territorialisée. Une typologie de quartiers avait été établie en fonction de leurs caractéristiques urbaines et de leur niveau de difficulté en matière de gestion : les quartiers les plus en difficulté sans intervention urbaine lourde à moyen/long terme, où il s agissait de renforcer les moyens de gestion (1) les quartiers en renouvellement urbain, où l enjeu principal est d accompagner le processus de transformation (2) les quartiers requalifiés où l objectif est de pérenniser les investissements sur (3) les autres quartiers du territoire GPV où il s agit d assurer une veille (4) Sur chaque quartier, une mobilisation des acteurs a été conduite à partir d axes de travail définis, et deux projets de gestion de site ont été engagés à partir de 2010, avec l appui d un cabinet d étude spécialisé dans la logique d une formation-action des acteurs. Le déploiement de nouveaux projets de site inter-bailleurs n est pas souhaité par les partenaires. L objectif d ici 2014 étant de finaliser les plans d action en cours. Les catégories de quartiers sont conservées. En revanche, certains quartiers ont basculé d une catégorie à l autre en fonction de l avancement du projet de rénovation urbaine : Quartiers prioritaires : Noirettes, Vernay-Verchères, La Balme-les Chalets, Grande Cité Tase et Bruyères Quartiers en rénovation Urbaine : Mas du Taureau, Pré de l Herpe, Grappinière, Cervelières-Sauveteurs Quartiers restructurés : Thibaude, Grolières, Ecoin-sous-La Combe, Centre Ville Autres Quartiers : Petit Pont, Genas Chénier, Marhaba, Les Brosses, Barges-Cachin Désenclavement, garages-parkings non traités dans la requalification Légende Quartier prioritaire Quartier en rénovation urbaine Quartier restructuré Quartier à veiller Désenclavement, garages-parkings non traités dans la requalification

15 1) Les quartiers prioritaires (Les plus en difficulté et sans intervention urbaine programmée) Noirettes 6 hectares 816 logements HLM 3 propriétaires bailleurs (OPAC du Rhône, Villeurbanne Est Habitat, Grand Lyon Habitat) Centre commercial, marché, La Poste, Équipements publics : groupe scolaire, collèges, Centre Petite Enfance, bibliothèque, centre de loisirs, centre social (Grappinière) Projet de gestion de site engagé depuis 2009 (diagnostic réalisé en 2009 et mise en œuvre du plan d action en 2010) : cette démarche conduite en inter-bailleurs trouve sa prolongation dans un travail ciblé par résidence (projet de gestion de site et travail sur l image du quartier avec les locataires de Villeurbanne Est Habitat ; diagnostic social OPAC du Rhône) étude urbaine sur la restructuration à long terme du quartier intégrée dans l étude Grande île sur la restructuration du Mas du Taureau lancée en Un zoom à l échelle du quartier des Noirettes est prévu en Réguler et sécuriser les circulations automobiles et piétonnes à court terme : poursuite de l amélioration de la signalétique horizontale et verticale ; régularisations foncières ; enclenchement d une réflexion sur la restructuration à long terme du quartier (étude urbaine) optimiser l offre de stationnement : création d une offre de stationnement 2 roues ; diagnostic stationnement (comptage véhicules + enquête habitants) ; étude urbaine sur devenir parkings silos Revaloriser le quartier par une gestion de qualité et adaptée des espaces extérieurs et travailler sur l image du quartier : réédition du répertoire cartographique «Qui fait quoi et où?», groupe de travail sur harmonisation des contrats d entretien des espaces verts ; poursuite des chantiers jeunes d entretien approfondi ; poursuite du travail sur l image positive, sensible, culturelle du quartier à partir du projet de fresques des Noirettes, et de la sous-station Cofely (transformateur ERDF et liens à créer avec le Pôle d Astronomie et de Culture Spatiale et l école Y Gagarine) Améliorer la propreté des parties communes et la gestion des ordures ménagères, du tri sélectif et des encombrants : poursuite des ateliers d échange de la pratique entre gardiens ; comparaison des pratiques de stockage et de stockage des encombrants ; poursuite des actions de sensibilisation à la propreté et au tri (faites de la propreté, action avec l école Youri Gagarine) Prévenir et réguler collectivement les troubles de jouissance : diagnostic social partagé Opac du Rhône ; suivi des indicateurs en lien avec le CLSPD La Balme/Les Chalets 3,4 hectares 26 pavillons logements collectif social 2 propriétaires bailleurs (Alliade et OPAC du Rhône) Pôle commercial et de loisirs du Carré de Soie Commerces de proximité (pôle Garibaldi) Pas d équipements publics - Démarrage des travaux du Boulevard urbain Est au 1er semestre Réhabilitation de la résidence de la Balme en 2009, qui a apporté une nette valorisation de la résidence (parties communes et espaces extérieurs) mais pas permis de prendre en compte les besoins de travaux dans les logements - Suite au transfert de gestion des Chalets de la SA Gabriel Rosset à l OPAC du Rhône en 2009, manque de lisibilité sur la stratégie patrimoniale de cette résidence (démolition ou réhabilitation), avec de gros problèmes de vétusté dans les logements. - Existence d un problème spécifique de gestion des espaces ouverts communs aux Chalets et aux bâtiments gérés par ALLIADE. - Maintenir un appui à la mobilisation des habitants : relancer la dynamique du comité de locataires de la Balme et venir en appui à l émergence du comité de locataires des Chalets ; mobilisation des jeunes du quartier autour des questions de cadre de vie ; étude des usagers potentiels et les modalités de mise à disposition du local allée 15 ; étude de la réouverture du LCR à moyen terme, sous réserve de la présence d associations solides sur le quartier - traiter les problèmes de vétusté des logements des Chalets : réalisation de travaux a minima (hygiène et de mise aux normes sécurité) en attente de décision sur la stratégie patrimoiniale de l OPAC du Rhône - Poursuivre l amélioration des espaces extérieurs : travaux complémentaires à la requalification de la Balme (terrain de foot, bancs, projet jardins ) ; Engagement d une réflexion sur l espace central entre les 2 résidences - Améliorer et sécuriser les circulations piétonnes vers l extérieur du quartier : aménagement chemin piétons sur merlon ; mise en place d un pédibus en lien avec l école Néruda - Maintien d une veille renforcée : poursuite du dispositif présence tranquillité ; renforcement de la présence de l équipe de proximité de l Opac du Rhône ; maintien de l intervention de l agent de développement d Alliade Habitat ; accompagnement à la prise de poste du nouveau gardien Alliade dans le cadre des missions du Centre de ressources

16 2) Quartiers en rénovation urbaine Vernay-Verchères 8.7 hectares 693 logements sociaux 3 propriétaires bailleurs (Dynacité, OPAC du Rhône, Villeurbanne Est Habitat) Quelques commerces de proximité, marché Équipements publics : groupe scolaire, centre de loisirs, collège, local d animation de proximité, bibliothèque TASE / Les Bruyères Tase-Eurorex-Domaine de la côte (TEC) : 4,1 hectares 350 logements sociaux, 1 LCR sur la résidence Eurorex 1 propriétaire bailleur (Sollar) Les Bruyères : 1 hectare 24 logements sociaux (villas) 1 propriétaire bailleur (SA Gabriel Rosset gestion OPAC du Rhône) commerces de proximité (Salengro) école, centre social, Point Info, PIMMS (Salengro) temple protestant - Création de la ZAC Carré de Soie prévue en Projet de réaménagement de la place Cavellini avec l implantation d un pôle médical et d une petite surface alimentaire - Aménagement du BUE (Boulevard Urbain Est) Prolongement de la rue Brunel jusqu au Boulevard Urbain Est (2013/2014) - Réflexion engagée par la SOLLAR sur la restructuration de leur patrimoine - En attente d un transfert de patrimoine des Bruyères de la SA Gabriel Rosset à l OPAC du Rhône TEC : - Accompagner la mise en place de la gestion des jardins familiaux, en venant à l appui de la structuration de l association de jardiniers - Développer des actions de sensibilisation au tri et à la propreté - Poursuivre la réflexion sur la mise à disposition du local LCR au comité de locataire ainsi qu à l association de jardiniers - Engager une réflexion sur l amélioration du stationnement sur la rue Romain Rolland (Grand Lyon) et le Domaine de la Côte (SOLLAR) - Prendre en compte les contraintes d usages et de gestion dans le cadre du projet d aménagement de la place Cavellini - Finaliser les rétrocessions foncières Ville-Sollar - Un retard dans l engagement du projet de réaménagement des espaces extérieurs au 2 ème semestre 2012 pour une durée de 2 ans. - Projet de restructuration des tènements le long de l avenue Allende, après démolition des parkings (2014) - De gros problèmes de tranquillité publique et une faible attractivité des logements avec une problématique de loyers assez élevés. - Manque de continuité dans les actions conduites en matière de vie sociale et fragilité de la dynamique associative - Traiter les problèmes de tranquillité : poursuite du dispositif partenariat pour la tranquillité ; diagnostic partagé entre acteurs et mise en place de points réguliers sur évolution et interventions dans le cadre du CLSPD - Assurer une bonne gestion de chantier dans le cadre des travaux de restructuration des espaces extérieurs: mise en place d un correspondant de chantier (dispositif partenarial porté par Dynacité à compter de juin 2012) ; communication habitants et mise en réseau des gardiens d immeuble ; traitement des problèmes de stationnement - Favoriser la mise en place d une gestion adaptée aux futurs aménagements : Travail sur les prescriptions paysagères, l estimation des coûts de gestion des nouveaux aménagements, l impact sur les charges locatives - Améliorer la gestion des ordures ménagères et le tri des déchets : actions de sensibilisation au tri ; adaptation des équipements (bacs operculés ), mise en place de silos enterrés - Poursuivre la dynamique partenariale et de la mobilisation des habitants autour de la vie de quartier et de l amélioration du cadre de vie : mobilisation des locataires vers la mise en place de délégués d allées ; renforcement de l utilisation du local d animation des Verchères ; poursuite de la réfection des passages traversants dans le cadre de chantiers jeunes, en travaillant en concertation avec les habitants sur les choix graphiques Bruyères : - Améliorer les espaces extérieurs : réaménagement de devantures des villas, réfection de la voirie et du stationnement ; aménagement de l espace central - Assurer une veille sur l état des logements - Assurer une information sur le chantier du BUE et les incidences éventuelles des travaux 30 31

17 Mas du Taureau 15 hectares (hors centre commercial) 1346 logements sociaux (dont 405 en cours de relogement) 3 propriétaires bailleurs (Villeurbanne Est Habitat ; Grand Lyon Habitat ; Alliade Habitat) Centre commercial, marché, La Poste Équipements publics : groupes scolaires, Centre Petite Enfance, bibliothèque, piscine centre de loisirs, centre social, Espace Frachon (espace associatif) - Résidentialisation des résidences Malval /Pilat (Villeurbanne Est Habitat) achevée début Démarrage du réaménagement des espaces extérieurs de la résidence du Grand Bois (Grand Lyon Habitat) au 2 éme trimestre Démolition des bâtiments chemin du Mont Pilat (Alliade) en Relogement des chemins Luère et Echarmeaux en cours en vue d une démolition en Démarrage de l enquête relogement sur les résidences Mont Cindre et Mont Gerbier (Villeurbanne Est Habitat) au 2 éme semestre Création de la ZAC Mas du taureau (restructuration du centre commercial) - Gérer l attente du projet sur le centre commercial du Mas du Taureau : maintien de l entretien renforcé de la place Guy Moquet (Direction de la Propreté) ; surentretien des abords du Centre commercial (Ville) ; poursuite de l action «Marché propre» ; suivi de l impact des relogements sur l activité des commerces du centre commercial - Gérer les espaces en devenir (réserves foncières Grand Lyon): mise en place un dispositif d entretien (Grand Lyon) ; développement d animations et de temps conviviaux sur ces espaces (fête de quartier ) - Accompagner le chantier de résidentialisation au Grand Bois : communication auprès des habitants (affiches, panneaux, personnel de proximité ) - Accompagner les relogements (fin de l opération Luère-Echarmeaux et démarrage opération Mont Cindre-Mont Gerbier) : sensibilisation des habitants relogés sur le quartier aux règles de vie collective sur leur nouvelle résidence (suivi post relogement par les chargés de relogement, actions conviviales pour favoriser l accueil des familles ) ; assurer une veille technique renforcée sur les parties communes au fur et à mesure que les bâtiments qui se vident - Mettre en place une action de la sensibilisation à la propreté et au tri des déchets, notamment sur Grand Bois - maintenir des activités en pied d immeuble et venir en appui de leur fonctionnement (déménagement Agence Grand Lyon Habitat, résidence Malval pour handicapés ) Pré de l Herpe 248 logements sociaux 1 propriétaire bailleur (Alliade Habitat) Pôle commercial du centre-ville Équipements publics : Espace Frachon, piscine Gelet, Centre social Grand Vire - Résidentialisation à l arrière de la résidence Pierre Dupont programmée en Réalisation des aménagements provisoires sur les espaces en transition fin Construction de l îlot Casino dans le cadre de la ZAC Hôtel de Ville fin 2013 Au vu des nombreuses difficultés rencontrées sur la résidence Pierre Dupont (vandalisme, précarisation des publics, difficultés d entretien, difficulté à la relocation), il convient de construire un dispositif partenarial plurithématique : - Renforcer l entretien des parties communes et le personnel de proximité - Accompagner la requalification des espaces extérieurs de la résidence Pierre Dupont : travaux d amélioration du parking (rampe d accès, réaménagement des places handicapées) ; création de stationnement 2 roues ; pose de corbeilles supplémentaires ; travaux d amélioration des espaces extérieurs à l arrière ou à l avant du bâtiment (aménagements provisoires) en lien avec la ZAC Hôtel de Ville (étude réalisation 2014) ; - Venir en appui de la mobilisation des habitants et poursuivre les actions favorisant le lien social - gérer les espaces en devenir : Mise en place d une convention Ville-Grand Lyon pour l entretien des espaces extérieurs libérés par les démolitions antérieures 32 33

18 Cervelières-Sauveteurs 1445 logements privés -13 copropriétés 210 logements sociaux, dont 100 logements étudiants - 3 propriétaires bailleurs (Dynacité, Villeurbanne Est Habitat, Grand Lyon Habitat) Centre commercial du Mas (Supermarché Discount, Commerces de proximité, marché, La Poste + centre-ville Équipements publics : bibliothèque, groupe scolaire, collège, CLSH, halte garderie, Tour d escalade - Espaces extérieurs requalifiés entre 1996 et Plan de Sauvegarde achevé fin Etude urbaine programmée en 2013 dans le cadre de l étude Grande Ile Grappinière 13,1 hectares 477 logements sociaux - 1 propriétaire bailleur (Grand Lyon Habitat) 210 logements privés - 3 copropriétés Environ 1863 habitants Commerces de proximité, radiologie Équipements publics : groupe scolaire, centre social, équipement petite enfance, salles municipales - Assurer une veille sur le fonctionnement des copropriétés et venir en appui des copropriétaires : mission externalisée à Bureau d études spécialisé ; mise en place de formations pour les nouveaux copropriétaires - Clarifier et adapter les modalités de gestion à l évolution du quartier : création d un répertoire «qui fait quoi et où?» ; réactualisation de la Convention des Gestion Ville-ASP ; mise en place d une nouvelle gestion des espaces extérieurs de Belledonne 1 et 2 suite à la résidentialisation - Améliorer le tri des déchets : mise en place d actions de sensibilisation - Accompagner la réflexion sur devenir des garages : réalisation de l étude urbaine ; étude des structures juridiques de gestion ; recherche des possibilités de financement - Suite à la création de la ZAC créée en 2006, démarrage des travaux de restructuration du quartier sous maîtrise d ouvrage Communauté urbaine (en régie directe) en 2011 avec la réalisation de deux voies nouvelles, l aménagement d un espace public majeur destiné à relier l est et l ouest du quartier, la démolition et la reconstruction du centre commercial, ainsi que la construction de 200 nouveaux logements. - Démarrage de la restructuration du groupe scolaire H. Vallon sous maîtrise d ouvrage Ville en A la suite de la résidentialisation des bâtiments K, L, M, requalification de l îlot C FG par Grand Lyon Habitat prévue en Accompagner la gestion de chantier de la ZAC et l attente du projet : permanence du chargé de développement, communication de proximité, traitement des des problèmes de propreté sur le centre commercial - Mettre en place une gestion pérenne : réalisation d un répertoire cartographique «Qui fait quoi et où» ; régularisation des domanialités des espaces communautaires cédés en gestion depuis 2004 (Rues Réné Trousselle et Marius Pied, et parking Bollier) ; travail sur la gestion future des espaces publics dans le cadre de la ZAC - Conforter la résidentialisation des bâtiments KLM : réaménagement des pergolas, réfection des revêtements des aires de jeux, peinture des sous-bassements d immeuble - Favoriser la participation des habitants sur le parc social en lien avec la résidentialisation et le projet de réhabilitation: sensibilisation aux économies d énergies, accompagnement sur changements d adresse éventuels ; - Assurer une veille sur le fonctionnement des copropriétés : diagnostic, et mise en place des actions de formation en direction des copropriétaires 34 35

19 3) Les quartiers requalifiés Thibaude 5.4 hectares 354 logements HLM 3 propriétaires bailleurs (Grand Lyon Habitat, Villeurbanne Est Habitat, OPAC du Rhône) Quelques commerces de proximité, marché Équipements publics : groupe scolaire, centre de loisirs, collège, Espace Carco (espace associatif et pépinière d entreprises), Halte-garderie, bibliothèque, centre médical de jour, - Requalification du quartier achevée en Certains mobiliers inadaptés (bancs, éclairage) ont déjà été remplacés, et les aires de jeux ont été déjà pour partie réaménagées. - Poursuivre la remise en état des espaces résidentiels : renforcement de l entretien des espaces verts ; remplacement des jeux sur la résidence Grand Lyon Habitat ; étudier des actions d embellissement en concertation avec les habitants (Récup art ) - Relancer l appropriation de la parcelle de jardin pédagogique: programme d utilisation et d animations co-piloté par l animateur Jardins de la Ville et la chargée de développement en lien avec les acteurs du quartier (écoles, CLSH, Cannelle Solidarité, la Crèche La Grange aux Lutins, habitants) - Apporter des améliorations sur les espaces publics : réaménagement du terrain de sport et création d un passage à pied sec ; remplacement des potelets défectueux et réfection du trottoir Grand Lyon - Travailler sur la problématique de stationnement Grolières 4, 7 hectares 411 logements (hors 28 logements livrés en 2008) 5 propriétaires bailleurs : Villeurbanne Est Habitat, SFHE, Grand Lyon Habitat ; SEMCODA, HMF Supermarché Discount, Commerces de proximité, marché, La Poste Équipements publics : bibliothèque, groupe scolaire, collège, CLSH, halte garderie, Tour d escalade Restructuration du quartier achevée en 2009 au terme de plusieurs tranches réalisées entre 1997 et 2005 et de la construction d un 2 ème programme neuf en 2009 (28 logements). L enjeu est aujourd hui de garantir une gestion pérenne des nouveaux aménagements. Il s agit par ailleurs de renforcer le lien social à l échelle du quartier par une meilleure appropriation des espaces publics et des jardins résidentiels. - maintenir un bon niveau d entretien et de maintenance du mobilier sur les espaces extérieurs et finaliser le confortement de la résidentialisation SFHE - Accompagner la dynamique collective autour de la vie sociale sur le quartier et renforcer l utilisation du LCR - Assurer le suivi des travaux de réhabilitation sur la résidence HMF, en concertation avec les locataires - Traiter les problèmes ponctuels de tranquillité (Villeurbanne Est Habitat, SFHE, SEMCODA) - Améliorer le tri sur certaines résidences 36 37

20 Centre-Ville Environ 11 hectares 204 logements sociaux et 71 logements étudiants - 3 propriétaires bailleurs (OPAC du Rhône, OPAC de Villeurbanne, Grand Lyon Habitat) 151 logements privés - 4 copropriétés Supermarché Casino, Commerces, La Poste, Antenne EDF Équipements publics : Mairie, Maison du Département, Maison de la Justice et du Droit, Commissariat, Mission Locale, Antenne Sécurité Sociale, Centre social, Bureau d information Jeunesse, Centre culturel, Planétarium, lycées professionnel et général, ENTPE et école d architecture Ecoin sous la Combe 10 hectares 962 logements sociaux 4 propriétaires bailleurs (Alliade, OPAC de Villeurbanne, OPAC du Rhône, OPAC du Grand Lyon) Quelques commerces de proximité, marché Équipements publics : Espace Carco (espace associatif, halte garderie, pépinière d entreprises) - Restructuration du quartier achevée en Projet de gestion de site inter-bailleurs engagé en 2009, avec une mise en œuvre du plan d action en 2010 pour 3 ans - ZAC Centre Ville achevée en ZAC Hôtel de Ville : engagement des travaux en 2013 (îlot Casino) Sur ce quartier doté d une véritable centralité et vecteur d une nouvelle image de marque de la ville, il existe un véritable enjeu de gestion afin de pérenniser la qualité des habitations et les nouveaux aménagements. Il s agit de créer de nouveaux modes de gestion adaptés à un habitat intermédiaire et mixte logement social/accession à propriété. La fréquentation et l image très importante de ce nouveau centre-ville en fait aussi un quartier spécifique de nature à justifier un accompagnement, un entretien soutenu (notamment entretien autour du parc du centre, trottoirs, poubelles, sanisettes de la rue Rabelais ). De plus, l arrivée de nombreux habitants nécessite de prendre en compte leurs besoins : demande d interlocuteurs de proximité ; sensibilisation/pédagogie auprès des nouveaux copropriétaires (interlocuteurs, procédures ) - Favoriser la mise en place d une bonne gestion des espaces extérieurs et des copropriétés : Clarification des espaces et des modalités de gestion des espaces publics et des îlots résidentiels (répertoire Qui fait quoi et où?) ; poursuite formation nouveaux copropriétaires - renforcer la propreté des espaces publics et résoudre les problèmes de gestion des ordures des commerces - Anticiper la gestion dans le cadre de la ZAC Hôtel de Ville : Convention de gestion Ville-Grand Lyon pour gestion des noues et espaces verts ; mise en place structures juridiques adaptées pour la gestion des espaces communs dans les îlots résidentiels (garages sous-sols ) - Obtenir une gestion de qualité et adaptée des espaces extérieurs et des parties communes : répertoire «Qui fait quoi?» ; harmonisation, coordination et contrôle de la qualité de l entretien des espaces verts ; poursuite des ateliers échange de savoirs-faires ; - Apporter des ajustements aux aménagements et valoriser les expériences acquises dans la gestion de chantier : parking provisoire Camus ; communication inter bailleurs sur offre box garages ; confortement des clôtures, notamment OPAC du Rhône et Ville ; dispositifs sécurisation Voirie Grand Lyon ; offre stationnement 2 roues ; document de synthèse de la conduite de chantier - Améliorer la gestion des ordures ménagères, du tri sélectif et des encombrants : gestion des déchets sur les jardins ; étude comparative de la gestion des encombrants ; poursuite des actions de sensibilisation au tri - Améliorer et favoriser la vie de quartier : listing des acteurs ressources ; poursuite des animations sur les espaces extérieurs (fête de quartier ) ; groupe d habitants référents ; animations jardins ouvertes à tous ; accompagnement et suivi des comités de locataires 38 39

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