Les logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en Chiffres et statistiques. mai 2015

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1 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 Chiffres et statistiques mai 2015 es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 DREA Poitou-Charentes 1

2 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 a structure des parcs des logements des EPCI au 1 er janvier 2013 es parts de résidences principales dans les différents parcs des EPCI de la région Poitou-Charentes sont inégales, elles sont plus élevées dans les CA et leur CC voisines que dans les EPCI éloignés des agglomérations. es propriétaires occupants préfèrent s installer en périphérie des villes principales et parfois s éloignent des agglomérations. es résidences secondaires se situent majoritairement sur le littoral et les îles, mais aussi dans une moindre mesure, dans les EPCI du sud Deux-Sèvres, du sud Vienne et du nord Charente. a vacance est peu élevée sur le littoral et dans les grandes agglomérations, elle est forte dans les CC à dominante rurale. es résidences principales dans les parcs des EPCI de la région Des proportions de résidences principales plus élevées dans les CA et leur CC voisines a part des résidences principales dans le parc de logements des EPCI de la région Poitou- Charentes présente de fortes disparités territoriales. En effet, c est dans et autour des principales agglomérations que se logent majoritairement les picto-charentais. a carte des parts de résidences principales dans les parcs des EPCI met en évidence les agglomérations et les CC attenantes. Dans les parcs des EPCI plus éloignés des agglomérations, les proportions de résidences principales sont nettement plus modestes au profit des résidences secondaires et des logements vacants. es dynamismes démographiques et économiques y sont plus faibles. D ans les CC insulaires de l Île d Oléron et de l Île de Ré où la proportion de résidences secondaires est très élevée en raison de l attrait touristique, moins d un logement sur deux est une résidence principale. Avec respectivement 86 % et 88 %, la part de résidences principales dans les parcs de la CA de la Rochelle et de la CA du Niortais est forte. influence de ces deux agglomérations s étend simultanément sur les EPCI du nord de la Charente-Maritime et du sud des Deux-Sèvres. Ces parcs affichent des taux de résidences principales allant de 88 à 90 %, comme dans la CC Aunis Atlantique, la CC Aunis Sud et la CC de Celles sur Belle. Sur le littoral, la CA de Rochefort Océan est un peu en retrait avec 82 % de résidences principales dans son parc. a CA Royan Atlantique détient la plus faible part de résidences principales (55 %), et l une des plus fortes proportions de résidences secondaires en lien avec son attrait touristique. a proportion de résidences principales avoisine les 86 % dans la CA de Saintes et la CA Grand Cognac Ces deux agglomérations adjacentes rayonnent modérément sur le centre-est de la Charente-Maritime et le centre-ouest de la Charente ; les taux de résidences principales dans les EPCI voisins s échelonnent de 70 à 85 %. Près de l agglomération de Saintes, le taux de la CC des Vals de Saintonge et de la CC de la Haute Saintonge est de 78 %. Autour de Cognac, dans le parc de la CC de Grande Champagne et de la CC de Jarnac les résidences principales représentent 85 % des logements. a CA du Grand Angoulême, avec 88 % de résidences principales dans son parc, étend son influence sur ses EPCI voisins. a CC Braconne et Charente et la CC Charente Boême Charraud profitent de cette proximité et affichent une part de résidences principales de près de 92 %. a proportion de résidences principales dans les parcs de la CA Grand Poitiers et la CA du Pays Chatelleraudais est respectivement de 89 % et 86 %. influence combinée de ces deux agglomérations sur le centre de la Vienne est incontestable. a CC Val Vert du Clain et la CC du Neuvillois dépassent les 92 % de résidences principales dans leur parc. P our des raisons de coût et de disponibilité du foncier, et de choix de cadre de vie, les pictocharentais s éloignent des villes-centres. a construction est plus dynamique en périurbain. es taux de résidences principales dans les parcs des villes-centres sont inférieurs aux taux des agglomérations. Comparativement la proportion de résidences principales est de moins 4 points dans la ville d Angoulême, de moins 1 point dans les villes de la Rochelle et de Poitiers, et de moins 2 points DREA Poitou-Charentes 2

3 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 dans la ville de Niort. En contrepartie, les taux de vacance dans les parcs de ces villes-centres sont supérieurs aux taux des agglomérations. e taux de vacance est supérieur de 3 points dans les villes d Angoulême et de Niort, de 1 point dans la Rochelle et de 1,5 point dans Poitiers. es taux de résidences principales les plus modestes se situent dans les parcs des EPCI au caractère rural avec une faible densité de population. es résidences secondaires et les logements vacants y sont proportionnellement plus nombreux. Dans la Charente, les proportions de résidences principales dans ces EPCI vont de 66 % dans la CC du Confolentais à 75 % dans la CC Seuil Périgord. Dans la Vienne, les taux oscillent de 68 % dans la CC du Montmorillonnais à 79 % dans la CC de la Région de Couhé. En Charente- Maritime ces taux sont un peu plus élevés, ils varient de 77 % dans la CC des Vals de Saintonge à 80 % dans la CC du Canton de Gémozac et dans la CC de la Saintonge Viticole. Dans les Deux-Sèvres, la variation des proportions de résidences principales dans les parcs est plus étendue, de 74 % dans la CC du Cœur du Poitou à 88 % dans la CA du Bocage Bressuirais. Source : FIOCOM au 1 er janvier 2013, MEDDE d après DGFiP DREA Poitou-Charentes 3

4 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 es propriétaires occupants dans les parcs des EPCI de la région es propriétaires occupants s éloignent des villes-centres E n Poitou-Charentes, les propriétaires occupants préfèrent s installer en périphérie des villes principales et s éloignent parfois des agglomérations pour bénéficier d un foncier moins cher et plus disponible ainsi que d un cadre de vie différent. Dans ces territoires, les proportions de propriétaires occupant leur résidence principale sont très élevées. Certaines CC rurales affichent aussi de fortes proportions de propriétaires occupants dans leur parc de résidences principales. es plus faibles proportions de propriétaires occupants se trouve dans les parcs des principales communautés d agglomération. Avec 41 %, le taux le plus bas est dans la CA Grand Poitiers et le plus élevé se trouve dans la CA du Niortais avec 61 %. a CA Grand Angoulême et la CA de la Rochelle affichent respectivement des taux de 51 % et 54 % de propriétaires occupants. Dans les autres agglomérations, la proportion de propriétaires occupants est légèrement plus élevée, de 60 % dans la CA Rochefort Océan à 64 % dans la CA de Saintes et même 71 % dans la CA Royan Atlantique et dans la CA du Bocage Bressuirais. Environ 69 % des résidences principales des îles de la Charente-Maritime sont occupées par leur propriétaires. es locataires du secteur privé et du secteur public sont essentiellement logés en villes-centres et les propriétaires occupants délaissent ces villes-centres au profit des zones périurbaines. es proportions de propriétaires occupants sont nettement inférieures dans les villes-centres que dans les autres communes de leur agglomération. Hors villes-centres, la part des propriétaires occupants s élève à plus de 60 % dans les agglomérations d Angoulême et de Poitiers et près des trois quarts dans les agglomérations de la Rochelle et Niort. Cette observation ne s arrête pas aux limites des communautés d agglomération mais se poursuit dans les proches EPCI. Ainsi les proportions de propriétaires occupants dépassent les 70 % dans toutes les communautés de communes périphériques aux quatre principales communautés d agglomération ; seule la CC du Val Vert du Clain périphérique à l agglomération du Grand Poitiers affiche un taux inférieur à 70 %. D ans les CC à dominante rurale où la taille des parcs est plus modeste, la proportion de propriétaires occupants reste forte. En Charente, dans les EPCI situés en dehors de l influence des agglomérations la part de propriétaires occupants oscille de 70 à 79 %. En Charente-Maritime, cette part varie de 71 % à 74 %. Dans les Deux-Sèvres et la Vienne, la part de propriétaires occupants dans les EPCI à caractère rural s échelonne de 70 % à 78 %. DREA Poitou-Charentes 4

5 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 Source : FIOCOM au 1 er janvier 2013, MEDDE d après DGFiP DREA Poitou-Charentes 5

6 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 es résidences secondaires dans les parcs des EPCI de la région es résidences secondaires majoritairement sur le littoral mais aussi en sud Vienne et nord Charente E n Poitou-Charentes, les résidences secondaires se situent majoritairement en bordure du littoral atlantique et dans les îles de Ré et d Oléron. Mais dans une moindre mesure, la proportion de résidences secondaires est élevée dans un territoire comprenant le sud des Deux- Sèvres, le sud Vienne et le nord Charente. est de la Vienne, l est et le sud de la Charente disposent aussi d un taux de résidences secondaires important. D ans les îles d Oléron et de Ré, plus d un logement sur deux est une résidence secondaire ; dans la CA Royan Atlantique ce sont près de quatre logements sur dix. Dans les autres EPCI situés sur le littoral de la Charente-Maritime, les résidences secondaires sont moins présentes, de 11 % dans la CA Rochefort Océan à 14 % dans la CC du bassin de Marennes. Avec 8 % le parc de résidences secondaires de la CA de la Rochelle est modeste. est de la Charente, où la proportion de résidences secondaires varie de 10 % dans la CC Haute Charente à 16 % dans la CC Tude et Dronne, profite de l attrait touristique de la vallée de la Dronne. Dans les CC nord Charente, contigües aux CC du sud Vienne et aux CC du sud Deux-Sèvres, les proportions de résidences secondaires sont élevées et avoisinent les 15 %. Dans l est de la Vienne, 18 % des logements de la CC des Vals de Gartempe et Creuse sont des résidences secondaires. es autres EPCI de la Vienne ont des proportions de résidences secondaires qui s échelonnent de 2 % dans la CA Grand Poitiers à 10 % dans la CC du ussacois. Dans les autres zones du territoire globalement les résidences secondaires sont peu présentes. En Charente, elles varient de 3 % dans la CA Grand Angoulême à 7 % dans la CC du Rouillacais. Elles sont aussi peu nombreuses dans les Deux-Sèvres, de 4 % dans la CA du Niortais à 9 % dans la CC du Val de Boutonne. DREA Poitou-Charentes 6

7 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 Source : FIOCOM au 1 er janvier 2013, MEDDE d après DGFiP DREA Poitou-Charentes 7

8 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 es logements vacants dans les parcs des EPCI de la région Une vacance peu élevée sur le littoral et dans les agglomérations, forte dans les zones rurales E n Poitou-Charentes, la proportion de logements vacants est peu élevée sur le littoral et dans les grandes agglomérations où le marché immobilier est plus tendu. A contrario, dans les parcs des CC à dominante rurale, la vacance est forte. Dans les îles de Ré et d Oléron où le locatif est peu présent et le foncier cher, la vacance est minime, moins de 5 %. e constat est le même sur la bande littorale où la vacance reste modérée. es parcs de la CA de la Rochelle et de la CA Royan Atlantique ont une vacance à peine supérieure à 5 %. a vacance dans la CA Rochefort Océan est plus élevée, avec près de 8 %. a vacance moyenne de l ensemble des autres communes des agglomérations est plus faible que celle des villes-centres. Dans les CA de la Rochelle et Royan Atlantique, hors a Rochelle et Royan, la vacance moyenne fléchit de 2 points par rapport aux villes-centres. Hors Rochefort-sur-Mer, la vacance chute de près de 4 points dans la CA Rochefort Océan. E n dehors du littoral, la vacance est plus forte dans les agglomérations principales. a vacance avoisine 10 % dans la CA Grand Angoulême et 9 % dans la CA Grand Poitiers, elle franchit les 8 % dans la CA du Niortais. Dans les parcs des autres agglomérations au moindre dynamisme démographique, la vacance est plus forte avec 11 % dans la CA du Pays Chatelleraudais et 10 % dans la CA de Saintes. Dans ces agglomérations, hors ville-centre la vacance moyenne des communes chute. Dans les CA du Niortais hors Niort, la CA Grand Poitiers hors Poitiers et la CA du Pays Châtelleraudais hors Châtellerault, le taux de vacance se réduit de moitié entre la ville-centre et les autres communes. e taux de vacance fléchit de 6 points dans la CA d Angoulême hors Angoulême et de 4 points dans la CA de Saintes hors Saintes. a vacance est plus présente dans les parcs des EPCI à caractères ruraux où la densité de population est peu élevée et le marché immobilier détendu. C est le cas dans le centre et l est de la région. a vacance dans les parcs de ces EPCI peut atteindre 18 % comme dans la CC du Confolentais et la CC du Montmorillonnais. Mais la proportion de logements vacants dans les EPCI de cette zone tourne globalement autour de 14 %. A u sud charente, la vacance dans les parcs de la CC des 4B et de la CC Tude et Dronne atteint 14 %. Elle varie entre 5 et 6 % dans les parcs des CC proches de l agglomération d Angoulême, hormis la CC de la région de Chateauneuf et la CC Bandiat Tardoire où elle avoisine les 10 %. Dans la Vienne, à l est dans le parc de la CC des Vals de Gartempe et Creuse et au nord dans le parc de la CC du Pays oudunais, la vacance approche les 13 %. Dans les CC autour de l agglomération Grand Poitiers elle se situe autour des 5 %. Au nord est des Deux-Sèvres la vacance dans les parcs de la CC du Thouarsais et de la CC Aivaudais Val de Thouet approche les 11 %. Dans les CC en périphérie de l agglomération de Niort, elle oscille entre 6 et 8 %. A l est de la Charente-Maritime, dans les parcs de la CC de la Haute Saintonge et de la CC des Vals de Saintonge la vacance est de 14 %. Elle est de 6 % dans les parcs des CC proches de l agglomération de la Rochelle. DREA Poitou-Charentes 8

9 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 Source : FIOCOM au 1 er janvier 2013, MEDDE d après DGFiP DREA Poitou-Charentes 9

10 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 intercommunalité en Poitou-Charentes au 1 er janvier 2015 es Deux-Sèvres a Vienne a Charente-Maritime a Charente DREA Poitou-Charentes 10

11 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 Définitions Filocom e Fichier des logements par communes (Filocom) résulte de l appariement de quatre fichiers gérés par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) : le fichier de la taxe d habitation, le fichier foncier (des propriétés bâties), le fichier des propriétaires et le fichier de l impôt sur les revenus. Il est fourni tous les deux ans au service statistique du Ministère de l écologie, du développement durable, et de l énergie (Medde). e parc de logements est appréhendé selon le statut du propriétaire et le statut d occupation. e parc social regroupe les logements gérés par les bailleurs HM, les sociétés d économie mixte (SEM), l État, les collectivités locales et les établissements publics. a définition du parc social est donc large puisque sont regroupés à la fois les logements accessibles à une catégorie de population spécifique (revenus inférieurs à un seuil défini chaque année), et les autres logements détenus par les collectivités ou des établissements publics. e fichier contient à la fois des informations quantitatives et localisées décrivant les logements (durée d occupation, année de construction, nombre de pièces, surface du logement, etc.), mais aussi sur leurs occupants (variables de nature démographique, composition des ménages, nombre de personnes occupant le logement, revenus, durée d occupation du logement, etc.). es concepts et les modes de collecte diffèrent de ceux en usage pour les recensements conduits par l Insee, ce qui peut expliquer quelques différences de résultats avec la source recensement. Ainsi par exemple, la vacance dans le fichier Filocom est mesurée au 1er janvier du millésime. Y sont considérés comme vacants, les logements sans occupants à cette date. e taux de vacance est structurellement plus élevé que celui issu du recensement ou de l enquête nationale logement. EPCI : Etablissements Publics de Coopération Intercommunale au 1 er janvier 2015 CA : Communauté d agglomération CC : Communautés de communes DREA Poitou-Charentes 11

12 Chiffres et statistiques es logements dans les EPCI en Poitou-Charentes en 2013 Directeur de publication : Patrice GUYOT Rédacteur : Service connaissance des territoires et évaluation Division valorisation et analyse statistiques Contacts : Yves DUMONT Francis ARNAUT Courriel : dvas.scte.dreal-poitou-charentes@developpement-durable.gouv.fr Impression en interne DREA Poitou-Charentes 12

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