Le magazine mensuel consacré aux warrants et certificats Citi. ÉCONOMIE Prêts bancaires aux PME : un indicateur clé
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- Edmond Léonard
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1 Numéro 78 Décembre 2013 Le magazine mensuel consacré aux warrants et certificats Citi ÉCONOMIE Prêts bancaires aux PME : un indicateur clé MARCHÉS Le champagne sans la bulle?
2 Produits présentant un risque de perte en capital. Prolongation Opération frais de courtage offerts* sur les Warrants et Turbos Citi Du 4 novembre 2013 au 31 janvier 2014 avec BINCK *voir conditions sur Produits présentant un risque de perte en capital. En raison de leur effet de levier à la hausse comme à la baisse, les warrants et Turbos peuvent connaître de grandes variations, voire perdre tout ou partie de leur valeur avant ou à leur échéance, notamment en cas de désactivation des Turbos. Les Turbos sur actions US, devises et matières premières ont des horaires/jours de désactivation spécifiques figurant sur le site Les Warrants et Turbos s adressent uniquement à des investisseurs avertis disposant de connaissances suffisantes des spécificités de ces produits. Les investisseurs sont invités à prendre connaissance des facteurs de risques énoncés dans le Prospectus de Base afin d établir si le produit correspond à leurs besoins et à leurs moyens. Les Warrants et Turbos émis par Citi font l objet d un Prospectus de Base visé par la BaFin (régulateur financier allemand) ayant fait l objet d un certificat d approbation par la BaFin à destination de l AMF, et de Conditions Définitives de l Offre disponibles sur le site et sur le site Citigroup Global Markets Limited. All rights reserved. Citi and Arc Design is a trademark and service mark of Citigroup Inc., used and registered throughout the world.
3 édito Bilan 2013 : la bourse ou l économie? Sur le volet boursier, l année 2013 s achève sur une note très positive : le CAC 40 a progressé de près de 14 % pour atteindre les points à fin du mois novembre, soit mieux que l indice européen, l EuroStoxx50, qui est en hausse de 12 % depuis le début de l année, et presque aussi bien que le S&P 500, qui enregistre une performance positive de 23 % depuis le 1 er janvier. sommaire Flash RISQUE DE GAP > 04 Économie PRÊTS BANCAIRES AUX PME : UN INDICATEUR CLÉ > 05 Marchés LE CHAMPAGNE SANS LA BULLE? > 06 Analyses L ORÉAL, SOCIÉTÉ GÉNÉRALE, SAINT-GOBAIN ET TECHNIP > 08 Citi a émis produits en 2013 (8 074 turbos et warrants) soit presque deux fois plus qu en 2012 Gabriel Sicouri CitiFirst GILLES DACQUIN Pour accompagner cette hausse des marchés, et la progression des volumes sur les Warrants et Certificats qui en découle, nous avons accru notre rythme de nouvelles émissions, avec produits en 2013 (8 074 turbos et warrants) soit presque deux fois plus qu en Plus précisément, Citi propose à présent des Turbos et des Warrants sur l indice CAC 40, sur 63 actions françaises du SBF120 et sur 44 actions étrangères (dont 32 actions américaines et 10 actions suisses), mais aussi sur 6 indices étrangers (américains, européens, japonais), sur l or, l argent et le pétrole ainsi que sur l EUR/USD. Ces bonnes performances boursières cachent toutefois des situations plus mitigées sur le plan macroéconomique en Europe et aux États-Unis. Si la Zone euro a retrouvé la croissance au deuxième trimestre 2013, après une longue période de récession, celle-ci a toutefois été plus faible au T3 à 0,1 % qu au T2 à 0,3 %. Cette évolution est liée notamment au ralentissement de la croissance de l Allemagne qui s est limitée à 0,3 %, après un solide deuxième trimestre à 0,7 %, ainsi qu à la contraction de l activité en France à -0,1 % après un deuxième trimestre encourageant à 0,5 %. Dans ce contexte de croissance fragile, la BCE a décidé d abaisser son principal taux directeur à 0,25 % contre 0,50 %, taux en vigueur depuis le mois de mai, afin de redynamiser l activité économique de la Zone euro et de prévenir les risques déflationnistes. Autre bénéfice de la baisse des taux dans la zone euro : l euro a baissé à moins de 1,35 début novembre contre un pic de 1,38 dollar le 24 octobre, réduisant mécaniquement le coût des importations et rendant les exportations plus compétitives. En France, la situation économique s est améliorée au troisième trimestre, en ligne avec les indicateurs conjoncturels, et ce malgré la dégradation de la note de la France à AA par S&P. Vous avez une question? N hésitez pas à contacter notre accueil Warrants & Certificats au (numéro Azur) ou au (Numéro fixe) pour joindre nos spécialistes. Du côté des États-Unis, la croissance du PIB au troisième trimestre est ressortie à 2,8 % en rythme annualisé contre 2,5 % au deuxième trimestre. Cette croissance cache toutefois des disparités : malgré un ralentissement de la consommation des ménages et de l investissement, les entreprises reconstituent leurs stocks. La reprise américaine est soutenue par les bonnes performances des marchés boursiers, par l immobilier et par l emploi. Les États-Unis ont ainsi créé près de 2 millions d emplois sur les 10 premiers mois de l année. Les perspectives du quatrième trimestre sont encourageantes, comme en attestent les publications d indicateurs conjoncturels. Pour les pays émergents, les perspectives de croissance se sont améliorées sur la dernière période après un ralentissement au premier semestre En Chine, la croissance du PIB a progressé au troisième trimestre (7,8 % après 7,5 % au deuxième trimestre) et la reprise pourrait se prolonger sur les prochains mois. Des signes de redressement sont également visibles au Brésil et en Russie, alors que la situation conjoncturelle reste difficile en Inde. CitiFirst I décembre 2013 I 03
4 flash Risque de Gap Il s agit du risque que constitue un écart de cotation important sur un sous-jacent, impliquant pour les Turbos un risque de désactivation dès l ouverture des marché, sans possibilité pour le porteur de revendre sa position avant désactivation, et avec, pour l émetteur un risque de perte sur sa position de couverture. Le «gap» à l ouverture, c est-à-dire l écart de cotation entre le niveau du sous-jacent à l ouverture des marchés et sa clôture en j-1, représente un risque pour un porteur de Turbo de voir son produit désactivé sans pouvoir réagir, dans le cas où la barrière du Turbo est franchie dès l ouverture de la bourse. Ce risque a deux facettes : pour le porteur du Turbo qui ne peut pas revendre sa position avant la désactivation, il constitue un risque de perte en capital mais, du fait de l existence de la barrière désactivante, le risque de perte est limité au montant investi. Pour l émetteur du Turbo, qui doit déboucler sa position de couverture lors de la désactivation du produit, le gap représente une perte équivalente à l écart entre la barrière et le niveau d ouverture du sous-jacent. Dès lors, le prix du Turbo inclut une «prime de gap» destinée à couvrir le risque de gap porté par l émetteur du Turbo, et qui découle d un calcul statistique relatif au gap moyen calculé sur le sous-jacent. Cette prime de gap est relativement stable dans le temps, mais représente cependant quelques centimes d euros par Turbo et peut varier en fonction des conditions de marché. Analyse historique du risque de gap FIRST LE SAVIEZ-VOUS? INFORMATIONS PRODUITS Le jour de l échéance, les Turbos sur actions ou indices européens, contrairement à un jour de cotation classique, ne cotent que jusqu à 17h30. Les Turbos les sous-jacents américains cotent jusqu à 22h sur Direct Emetteurs, (20h sur Accès Emetteurs et 18h30 sur NYSE Euronext) et respectivement jusqu à 16h sur l Or, 20h sur le Brent (18h30 sur NYSE Euronext) et 12h sur l Euro/Dollar. Ce mois-ci plus de produits arrivent à maturité, exactement, soit 820 Turbos et 508 Warrants. Ils sont déjà remplacés par des maturités de mois de mars Nous rappelons que les Turbos cotent jusqu à l échéance alors que les Warrants ne cotent que jusqu à la veille. Pour des informations détaillées sur les horaires de négociation rendez-vous sur notre site : 04 CitiFirst I décembre 2013 I
5 économie Prêts bancaires aux PME : un indicateur clé Les petites et moyennes entreprises (PME) représentent la majorité de l emploi et de la valeur ajoutée au travers de la Zone euro. De ce fait, une attention particulière devrait être accordée à leurs difficultés à accéder aux financements, et des moyens adéquats devraient être mis en œuvre afin de leur permettre de contribuer à la reprise économique. Nous estimons qu il est difficile d envisager une solide base pour la reprise économique au sein de la Zone euro sans que les PME aient davantage confiance en leur capacité de financement, d investissement et d embauche. Comme ces entreprises ont souvent des forts besoins en liquidités disponibles ; l accès au financement externe est crucial pour la réalisation de leurs projets d investissements. La dépendance démesurée de ces entreprises au système bancaire suggère que le progrès vers une union bancaire contribuant au retour des financements transfrontaliers, mais également à l accès à l emprunt domestique sera essentiel dans l amélioration de leur performance et permettra d envisager des perspectives économiques dans les prochaines années. Il nous semble que les critères d octroi d emprunts de la part des banques ont été assouplis du fait des efforts consentis pour améliorer les niveaux des capitaux propres et la confirmation de la reprise graduelle de l activité économique. À l exception des Pays- Bas, tous les critères d octroi d emprunts standards sont en dessous de leurs moyennes à long terme, suggérant que du côté de l offre, les banques sont plus disposées à prêter aux PME. Néanmoins, en prenant le point de vue des PME, la situation semble être moins positive. Ainsi, la dernière enquête à propos de l accès des PME aux financements d avril à septembre 2013 a montré que celui-ci demeure problématique pour les PME de la Zone euro (16%, inchangé), mais est facilité pour les grandes entreprises (10%, contre 11% précédemment). Pire encore, le taux de rejet des demandes de prêt par les PME passe à 12% (contre 11% précédemment). Quelles mesures pour relancer l octroi de prêts aux PME? Dans leur enquête sur le secteur des PME, l Institut de la finance internationale (IIF) et Bain & Co listent les mesures principales : améliorer la santé financière et la transparence des PME, augmenter le nombre d institutions financières capables d identifier et financer les PME prometteuses et enfin, et surtout, accroître la capacité bancaire à octroyer des crédits. L augmentation du capital des banques est clairement un aspect clé du processus, et l influence de la Banque centrale européenne (BCE) sera déterminante. Le rétablissement des capacités de crédit à travers l amélioration des structures de marché a été un souci majeur de la BCE depuis un moment. La BCE soutient également le développement de sources de financement alternatives, comme le private equity, des obligations émises par les PME ainsi que les places de cotation alternatives. «De par leur taille, les PME sont plus à même de souffrir de difficultés à obtenir des financements que des institutions plus grandes.» De par leur taille, les PME sont plus à même de souffrir de difficultés à obtenir des financements que des institutions plus grandes. Les banques, dans ces temps incertains et sous la contrainte de devoir améliorer leurs ratios de fonds propres, semblent souvent prudentes dans leurs décisions d octroi de prêts aux PME. Ceci du fait de leur opacité relative, d un historique d emprunt limité, et des coûts élevés de surveillance. Le système bancaire étant encore de santé fragile, il est probable que les difficultés d accès aux financements des PME subsistent, ce qui pourrait freiner la reprise économique. Une mise en œuvre plus rapide des sources alternatives de financement pourrait relancer l investissement si la reprise graduelle des commandes de biens se confirme. L augmentation graduelle de la confiance des entreprises et certaines indications d un assouplissement des critères d octroi de prêts semblent indiquer que les PME sauront participer à la reprise économique dans un rôle moindre que précédant la crise financière. Guillaume Menuet Senior Euro-zone Economist CitiFirst I décembre 2013 I 05
6 marchés Le champagne sans la bulle? LE CAC 40 EST BLOQUÉ SOUS SA RÉSISTANCE DES POINTS DEPUIS LE 18 OCTOBRE. IL DEVIENT DIFFICILE DE CROIRE À UNE POURSUITE DU MOUVEMENT HAUSSIER SANS AUTRE PRÉTEXTE QU UN SOUTIEN DES BANQUES CENTRALES. Le mois dernier, nous nous interrogions sur la possibilité d une pause alors que le CAC 40 tutoyait la résistance des points. En effet, il est acquis que la hausse de l année 2013, laquelle a permis notamment au marché américain d inscrire de nombreux records historiques, repose pratiquement exclusivement sur le soutien des banques centrales, en particulier de la Fed. L analyse en profondeur des données micro ou macro économiques est relayée au second plan, de sorte que se pose la question de l efficience actuelle des marchés. Faut-il considérer qu une hausse fondée sur le seul soutien des banques centrales est un danger potentiel avec à la clé la formation d une bulle? Non, répondent certains, persuadés qu ils sont qu il ne faut pas confondre fuite et marche en avant. Il faut faire confiance aux banques centrales pour soutenir l économie et encourager la reprise. Folie, argumentent d autres car il n y a plus pollicitation, soit la rencontre d une offre et d une demande, mais présence d un acheteur prédominant contre lequel on ne peut pas lutter, à savoir la Fed. Les thèses en présence ont du sens et justifient à elles seules le statu quo du CAC 40, incapable depuis plus d un mois de s inscrire dans une tendance. Le champagne L actualité tourbillonne et les boucles des médias focalisent celle-ci comme une boule de feu qui éclipserait tout autre paysage. Un sujet chasse l autre à des vitesses que seule la lumière peut frôler. Se souvient-on que les marchés se préoccupaient d une éventuelle intervention militaire en Syrie? Garde-t-on en mémoire l affligeant spectacle donné par un Parlement américain paralysé par des questions budgétaires pourtant cruciales? Le peuple syrien est abandonné à son triste sort, à croire qu il ne souffre plus. Une rallonge budgétaire a permis in extremis à certaines administrations américaines de rouvrir leurs portes et les vendeurs ont perdu les rares prétextes qu ils détenaient encore pour contrer une armée d acheteurs, si ce n est cajolés, tout au moins soutenus par les banques centrales. Paradoxe ultime : il fallait nourrir la hausse avec de piètres nouvelles. En effet, il est acquis depuis le mois de mai que la Banque centrale américaine ne pourra éternellement pratiquer une politique ultra accommodante. Celle-ci consiste, rappelons-le, à acquérir chaque mois pour 85 milliards de dollars de titres immobiliers et autres obligations du trésor. Avec ces emplettes mensuelles exceptionnelles et d une ampleur à ce jour inégalée, la Fed exerce une très forte pression sur les taux dans le but de relancer la croissance. Le crédit peu cher devrait s en trouver facilité pour permettre aux consommateurs de consommer et aux entreprises d investir. Le risque d une telle politique réside dans l apparition ou la fomentation de poches inflationnistes. Elle ne peut donc être maintenue sur le long terme. Parfaitement conscients 06 CitiFirst I décembre 2013 I
7 CAC 40 PH PB Dernier Gap Résistance 4300 Support 4230 Support 4125 Support 4050 Support / September October November December x10000 LOURDE RÉSISTANCE Le CAC 40 évolue dans un très faible rectangle de transactions dont les bornes inférieures et supérieures se situent respectivement sur et points. Il faudrait un franc débordement de ce dernier seuil pour que la tendance haussière reprenne ses droits : rien d évident... des données de la problématique, les opérateurs anticipent un calendrier de réduction des achats d actifs par la Fed. Une bonne nouvelle macro-économique pourrait accélérer la mise en place de ce calendrier. Ainsi, de manière assez perverse, une donnée simplement médiocre alimente la hausse puisqu elle interdit de facto à la Fed de réduire sa politique ultra accommodante. Grande partisane de cette dernière, Janet Yellen, qui succédera au mois de janvier à Ben Bernanke à la tête de la Fed, prend grand soin de rassurer les opérateurs. Ces derniers sont désormais convaincus qu aucun geste de resserrement n interviendra avant le mois de mars Les records historiques, du moins aux États-Unis, peuvent donc s enchaîner les uns après les autres, la Fed est là et sera là... Emparons-nous du sabre et, d un geste élégant et sûr, décapitons le noble flacon d où jaillira le breuvage des fêtes. L année 2013 sera décidément un bon cru. Et la bulle? À vouloir s inscrire dans une vision résolument optimiste pour le mois à venir, il conviendrait de se rappeler que décembre est, sur un plan statistique, favorable aux marchés actions. Il faut effectivement tenir compte des pratiques d habillage de bilan. Les gérants de grands fonds se débarrassent des actions qui n ont pas tenu leurs promesses et font monter celles qui ont déjà performé. Le moyen est habile mais classique pour donner au client final une bonne image de la gestion de l année. Cette seule explication suffitelle pour justifier un maintien du biais haussier, ou à tout le moins un statu quo de la tendance, de sorte que notamment le S&P 500 puisse afficher une performance supérieure à 25 %? Une bonne règle ne vaut que par ses exceptions et il serait bien imprudent de croire que le mois à venir ne pourrait pas faire l objet de secousses. À rester sur un plan statistique, certains analystes font observer avec raison que le PER moyen du S&P 500 se situe aux environs de 13 fois les bénéfices. Or, il flirte actuellement avec 15 fois les bénéfices. Les perspectives de croissance des principales entreprises américaines justifient-elles une anticipation aussi optimiste? La reprise économique mondiale manque encore de dynamisme et la situation, tant en Europe que dans certains pays émergents, conserve un potentiel d inquiétudes. S il peut paraître légitime de se préoccuper du soutien des banques centrales, encore faut-il que ces dernières parviennent bien à maintenir la pression sur les taux longs. Or, les récents propos rassurants de divers membres de la Fed ne parviennent plus à influencer les marchés obligataires. Ces derniers peuvent ainsi retrouver une certaine vigueur ce qui très naturellement, politique de vases communicants oblige, impliquerait des prises de bénéfices sur les marchés d actions. La prime de risque ne se comprend que si les marchés obligataires n accordent que de trop médiocres rendements. Il sera donc nécessaire au cours du mois de décembre de surveiller une éventuelle tension sur les taux américains, ce qui aurait pour conséquence une appréciation du dollar. Les opérateurs peuvent encore occulter les questions budgétaires américaines. Cependant, il convient de conserver à l esprit que celles-ci vont retrouver prochainement leur acuité puisque des solutions devront «Janet Yellen, qui succédera au mois de janvier à Ben Bernanke à la tête de la Fed, prend grand soin de rassurer les opérateurs.» être trouvées pour le budget fédéral d ici la mi-janvier. Il est à craindre que les parlementaires républicains, quelque peu humiliés précédemment par la détermination sans faille du président Obama, ne cherchent à prendre une revanche. Ce qui promet de nouveaux et bien désagréables suspenses. Le CAC 40 dessine une configuration dite de consolidation latérale. Il se forme donc un ressort qui, comprimé de la sorte, devrait naturellement déboucher sur un mouvement violent. Les arguments en faveur de la naissance d une bulle aux États-Unis ne sont pas dénués de fondement et justifient une certaine prudence. Le CAC 40 a certes pris du retard sur ses homologues américains mais également allemands. Il n en demeure pas moins que les investisseurs deviennent sélectifs et favorisent les entreprises qui évoluent dans un climat économique favorable. La nouveauté résiderait dans le fait que les marchés nationaux ne subiraient plus exclusivement l influence américaine. Les taux restent donc à surveiller très Bertrand Richard attentivement, pays par pays Journaliste et analyste financier indépendant CitiFirst I décembre 2013 I 07
8 analyses graphiques L ORÉAL Support clé à 121 euros Fin de consolidation. L ANALYSE >>> Plusieurs éléments graphiques militent pour le développement d un rebond sur le titre L Oréal. D un point de vue global, l orientation du secteur des biens de consommations incite à l optimisme. Ainsi, le secteur est soutenu à la fois par une oblique ascendante tracée depuis l année 2011, et par sa moyenne mobile à 50 semaines. De plus, il cote proche de ses plus hauts historiques sans être suracheté. Sur la valeur elle-même, le support des 121 euros, testé 5 fois depuis avril 2013, ainsi qu une ligne de tendance positive se posent en soutien des cours. Enfin, l indicateur de vitesse RSI bénéficie d une droite de tendance ascendante. En conclusion, tant que 121 reste un niveau de support, L Oréal vise une hausse vers 128,5 euros, voire 137 euros (sommets de l année 2013) en extension. Seule la cassure des 120 euros permettrait d invalider ce scénario optimiste. Une baisse additionnelle vers 114, voire 107,5 euros, serait alors envisagée. L ORÉAL Soutenu par une oblique ascendante /03/13 26/05/13 RSI 26/07/13 26/09/ , ,5 26/11/13 SOCIÉTÉ GÉNÉRALE Le biais reste haussier Le titre reste inscrit au sein d une tendance positive. L ANALYSE >>> La tendance haussière de moyen terme sur le titre Société Générale a été relancée par le dépassement de la résistance à 36 euros via l ouverture en trou de cotation haussier du 10 septembre dernier. Après une phase d accélération suite à ce mouvement, le titre effectue une phase de consolidation, offrant une bonne opportunité d achat. De son côté, l indicateur de tension RSI se maintient au-dessus de sa ligne de signal sans être en territoire de sur-achat. Enfin, le titre reste soutenu par sa moyenne mobile à 50 jours, positivement orientée. En conclusion, tant que 39,505 euros reste support, Société Générale vise une hausse vers 45 euros (à court terme) puis 48 euros (à moyen terme) en extension. Seul l enfoncement de 39,505 euros permettrait d invalider ce scénario optimiste. Une baisse additionnelle vers 36 euros, voire 32,24 euros, serait alors envisagée. SOCIÉTÉ GÉNÉRALE La moyenne mobile à 50 jours reste en soutien des cours RSI , ,24 25/01/13 25/03/13 25/05/13 25/07/13 25/09/13 26/11/13 08 CitiFirst I décembre 2013 I
9 Réalisées le 27 novembre 2013 par. Grâce à l analyse graphique, il est possible de faire ressortir des données fondamentales, mais également des tendances de marché. Ce mois-ci, retrouvez dans First les analyses L Oréal, Société Générale, Saint-Gobain et Technip. SAINT-GOBAIN Poursuite de la progression La configuration technique reste haussière à moyen terme. L ANALYSE >>> Graphiquement, le titre Saint-Gobain est bien orienté au regard de plusieurs éléments techniques. Ainsi, la valeur continue d évoluer au sein d un canal ascendant en place depuis la fin août Récemment la valeur a testé la borne basse dudit canal et rebondi sur celle-ci, dans des volumes supérieurs à la moyenne, relançant ainsi la dynamique haussière. Par ailleurs, les cours continuent d évoluer au-dessus des moyennes mobiles à 20 et 50 jours. L orientation positive de cette dernière montre que le potentiel de progression du titre n est pas épuisé. Enfin, le RSI évolue au-dessus de sa ligne de signal sans être en territoire de sur-achat. En conclusion, Saint-Gobain vise 41,5 voire 43 euros en extension. Seule la cassure de 37,5 euros viendrait invalider ce scénario positif. Une baisse vers les 36,125, voire 33,315 euros, serait alors à envisager. SAINT-GOBAIN Le titre évolue au sein d un canal ascendant /11/12 28/01/13 28/03/13 RSI 28/05/13 28/07/13 28/09/13 37,5 36,125 33,315 28/11/ ,5 TECHNIP Sous pression Confirmation d une figure de renversement. L ANALYSE >>> Plusieurs éléments graphiques militent pour une correction plus marquée sur le titre. En effet, les prix ont tout d abord remis en cause une ligne de tendance haussière née en novembre Cette cassure a précipité le prochain événement technique. Ainsi, la valeur a, par la suite, enfoncé le support et précédent creux moyen terme d avril dernier à 74,7 marquant de nouveaux plus bas annuels. Ce dernier élément n est pas anodin puisqu il signifie qu une figure de renversement haussière dite en «double sommet» est désormais validée. Notons également que l indicateur de vitesse RSI est capé par une oblique descendante et que le récent pic de volumes fait état du retour de la pression vendeuse. En conclusion, tant que 80 euros reste résistance, la chute de Technip devrait s étendre vers 60,7 puis 57 euros (à moyen terme) en extension. Seul le dépassement de 80 euros permettrait d invalider ce scénario pessimiste. Une hausse additionnelle vers 85 euros, voire 92,36 euros, (sommets historiques) serait alors envisagée. TECHNIP Validation d un double sommet /01/11 03/12/11 RSI 03/11/12 92, , /10/13 CitiFirst I décembre 2013 I 09
10 agenda décembre 2013 FIRST STATISTIQUES ÉCONOMIQUES :50 FR Indice des directeurs d'achat 16:00 US ISM manufacturier 16:00 US ISM prix payés :00 US Ventes totales de véhicules :00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 14:15 US Variation de l'emploi ADP 14:30 US Balance commerciale 16:00 US ISM non-manufacturier 16:00 US Ventes de logements neufs :30 US Inscriptions au chômage 14:30 US Demandeurs d'emploi 14:30 US Consommation des ménages 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg 16:00 US Commandes des entreprises :45 FR Balance commerciale 14:30 US Main d'œuvre manufacturière 14:30 US Taux de chômage 14:30 US Revenus horaires moyens 14:30 US Revenus des ménages 14:30 US Dépenses des ménages 21:00 US Crédit à la consommation :45 FR Balance des comptes courants 13:00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 20:00 US Rapport Budget mensuel :30 US Inscriptions au chômage :30 US Balance des comptes courants 16:00 US Indice NAHB du marché immobilier :00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 14:30 US Mises en chantier 14:30 US Permis de construire 20:00 US Décision FOMC sur les taux d'intérêt :30 US Inscriptions au chômage 14:30 US Demandeurs d'emploi 16:00 US Reventes de logements 16:00 US Vente d'immobilier ancien :45 FR Perspectives de production des chefs d'entreprises 08:45 FR Indice des perspectives de production 14:30 US Consommation des ménages :30 US Revenus des ménages :30 US Commandes de biens durables 15:00 US Indice des prix immobiliers 16:00 US Ventes de logements neufs 16:00 US Indice Manufacturier de la FED de Richmond :00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires :30 US Inscriptions au chômage 14:30 US Demandeurs d'emploi 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg 18:00 FR Demandeurs d'emploi :00 US Ventes de logement en cours (Liste non exhaustive et donnée à titre indicatif uniquement) 14:30 US Demandeurs d'emploi 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg 16:00 US Stocks des entreprises :00 FR Indice des directeurs d'achat 14:30 US Indice "Empire State" 14:30 US Productivité non-agricole 14:30 US Coûts de main d'œuvre horaires 15:15 US Capacité d'utilisation FIRST LES RÉSULTATS FINANCIERS Club Mediterannée Résultat annuel Adobe Résultat 4 e trimestre Christian Dior Résultat 1 er semestre 2014 (Liste non exhaustive et donnée à titre indicatif uniquement) 10 CitiFirst I décembre 2013 I
11 Chaque mois, surveillez la publication des statistiques économiques qui influencent les marchés, et les résultats financiers des principales entreprises françaises. FIRST CONTACT FIRST AVERTISSEMENT Accueil Warrants & Certificats Audiotel Warrants & Certificats (Numéro Azur) (Numéro fixe) (Numéro Vert) Numéro Vert Belgique Internet warrants.france@citi.com Reuters <ISIN>.PA <Mnémonique>.PA Bloomberg Adresse Imprimeur certifié imprim vert. Impression avec encres végétales sur papier issu de sources responsables Pour plus d infos : Warrants : <Mnémonique> FP Equity Go Turbos : <Mnémonique> FP Corp Go CitiFirst Warrants & Certificates Citi 1-5, rue Paul Cézanne Paris First 78 Le mensuel FIRST est édité par Citigroup Global Markets Deutschland AG, Reuterweg 16, Francfort-sur-le-Main, Allemagne. Rédaction : Alban Soubigou, Gabriel Sicouri, Robin Said. Dépôt légal à la parution. Conception-réalisation : ANaKA. Crédits photos : shutterstock / Mayer George. Citigroup rappelle que les Warrants et Certificats sont des produits complexes qui ne bénéficient d aucune garantie en capital. En raison de leur nature optionnelle, les Warrants et Certificats peuvent connaître de grandes variations, voire perdre tout ou partie de leur valeur avant ou à leur échéance. Le recours aux conseils de l intermédiaire financier habituel ou de tout autre conseiller professionnel de l investisseur avant tout investissement ainsi que la vérification de l adéquation des Warrants et des Certificats avec la stratégie, le profil des risques choisis et l importance du portefeuille d actifs financiers détenus par l investisseur peuvent s avérer nécessaires pour des personnes non averties des spécificités des Warrants et des Certificats. Les données contenues dans ce document ne sont fournies qu à titre indicatif et ne constituent pas de la part de Citi une incitation à vendre ou à acheter. Citi ne pourrait en aucun cas être tenu responsable pour toute erreur typographique pouvant figurer dans ce document. Tous les Warrants et Certificats Citi sont émis par Citigroup Global Markets Deutschland AG et font l objet d un Prospectus de Base visé par la BaFin (régulateur financier allemand), ayant fait l objet d un certificat d approbation par la BaFin à destination de l AMF, et si nécessaire, d une (de) Note(s) Complémentaire(s) également visée(s) par la BaFin ainsi que des Conditions Définitives de l Offre. Le Prospectus de Base des Turbos est disponible sur simple demande auprès de Citi ainsi que sur et sur le site Internet Les Conditions Définitives de l Offre sont disponibles sur le site et sur le site Internet Seuls les documents d'émission visés par la BaFin font foi. L attention du public est attirée sur la partie «facteurs de risques» du Prospectus. Les instruments financiers, objets du présent document, ne bénéficient pas de garantie de capital et sont sujets à un effet de levier. Les commentaires de Guillaume Menuet ne constituent ni la production ni la diffusion de recommandations d investissement, mais représentent une vue personnelle au sens de l article R du Code Monétaire et Financier. Il ne s agit pas d'une analyse financière, mais ils peuvent contenir des extraits de l analyse financière publiée par Citigroup. À propos de l article de Bertrand Richard, les investisseurs s engagent à ne pas copier, ni diffuser, ni transmettre, ni reproduire partiellement ou en totalité les informations rédigées par Bertrand Richard. Les commentaires sont formulés par ce dernier et n ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d achat d instruments financiers émis ou négociés par Citigroup. Citigroup n accepte aucune responsabilité quant au contenu des informations développées par Bertrand Richard. Les commentaires et projections concernant les marchés, publiés par Bertrand Richard, ne représentent pas les estimations, prévisions ou vues de Citigroup et ne peuvent engager la responsabilité de Citigroup. À propos des analyses rédigées par CHART S, les investisseurs s engagent à ne pas copier, ni diffuser, ni transmettre, ni reproduire partiellement ou en totalité les informations rédigées par CHART S. Les commentaires sont formulés par CHART S et n ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d achat d instruments financiers émis ou négociés par Citigroup. Citigroup n accepte aucune responsabilité quant au contenu des informations développées par CHART S. Les commentaires et projections concernant les marchés, publiés par CHART S, ne représentent pas les estimations, prévisions ou vues de Citigroup et ne peuvent engager la responsabilité de Citigroup. CitiFirst I décembre 2013 I 11
12 Audiotel : Accueil Warrants : N Fixe LE LEVIER DU JOUR Tous les matins, avant l ouverture, l analyse technique intraday du CAC 40 par Bertrand Richard. NOUVELLES ÉMISSIONS Afin de rester toujours informé de l actualité des produits Citi, recevez les alertes Nouvelles Émissions par . Numéro 78 Décembre 2013 À NE PAS MANQUER DEMAIN Chaque jour, la rédaction de Investir.fr se mobilise pour vous apporter la liste des valeurs à suivre et des chiffres à attendre lors de la prochaine session de Bourse. Le magazine mensuel consacré aux warrants et certificats Citi ÉCONOMIE Prêts bancaires aux PME : un indicateur clé MARCHÉS Le champagne sans la bulle? FIRST Le magazine mensuel gratuit de Citi. Chaque mois, l actualité des Warrants, des Turbos et des marchés. TENDANCE FUTURE En milieu de matinée, l analyse technique sur le Future CAC en base horaire. BROCHURE TURBOS ET WARRANTS Indispensables avant tout investissement sur les produits à effet de levier, nos brochures exposent en quelques pages le fonctionnement et les risques inhérents à ces produits dérivés. Je souhaite recevoir gratuitement par courrier : Le Guide Warrants Le Guide Turbos Le magazine mensuel FIRST Je souhaite recevoir gratuitement par Le Levier du Jour : analyse graphique quotidienne du CAC 40 Tendance Future : analyse technique du Future CAC en matinée À ne pas manquer demain : l agenda économique et financier Coupon à retourner : CitiFirst Warrants & Certificates, Citi, 1-5, rue Paul Cézanne, Paris Prénom Nom Adresse Code Postal Ville (Pour les abonnements par )
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