TEST DE LECTURE SUR MENOPAUSE REPONSES AUX QUESTIONS ET EXPLICATIONS DES REPONSES

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1 TEST DE LECTURE SUR MENOPAUSE REPONSES AUX QUESTIONS ET EXPLICATIONS DES REPONSES 1) Le diagnostic de ménopause est posé : a. lorsque la femme n a plus de règles depuis 3 mois b. lorsque la femme n a plus de règles depuis 12 mois c. dès les premières bouffées de chaleur d. après 6 mois de sueurs nocturnes e. à l âge de 50 ans «La ménopause définit l arrêt définitif des règles, soit une année complète sans menstruation». Le terme «ménopause» définit donc un moment précis dans la vie d une femme, indépendamment de son âge ou des symptômes ressentis. 2) Les conséquences éventuelles de la ménopause sont : a. des troubles de l humeur b. des bouffées de chaleur pouvant s accompagner de flushs et de sueurs nocturnes c. de l ostéoporose d. une sécheresse vaginale e. une perte de poids importante «L ensemble des symptômes et conséquences débutant à la préménopause, d intensité variable et inconstants, sont le fruit de la chute estrogénique. Les symptômes à court terme, appelés aussi troubles climatériques (bouffées de chaleur, sueurs, flush, troubles du sommeil, troubles de l humeur ) comme les conséquences à long terme (ostéoporose, troubles cardio-vasculaires, troubles cognitifs, sécheresse vaginale )». La tendance à la ménopause va plutôt vers une prise de poids, en rapport avec les modifications hormonales et la diminution de l activité physique.

2 3) Concernant le traitement hormonal substitutif (THS) : a. un estrogène seul est toujours suffisant b. il associe un estrogène à un progestatif chez les femmes non hystérectomisées c. la voie percutanée est moins efficace que la voie orale diabétique d. il a l avantage de ne présenter aucune interaction e. des schémas avec ou sans règles sont possibles «La molécule active de ce THS est l estradiol (17 β-estradiol (Estreva, Estrofem ), valérate de 17 β-estradiol (Progynova)), associée à un progestatif afin de prévenir un cancer de l utérus (chez les femmes non hystérectomisées) : progestérone micronisée (Utrogestan) ou progestatif de synthèse (chlormadinone (Lutéran), nomégestrol (Lutenyl), promégestone (Surgestone) ). Ces produits peuvent être pris par voie orale ou percutanée (patchs, gels) avec la même efficacité, selon différents schémas : 1) Traitements avec règles : a. Traitement cyclique séquentiel : estrogène du 1e au 24ejour, progestatif du 12 au 24e jour ; fenêtre thérapeutique de 2 à 7 jours b. Traitement continu séquentiel : estrogène administré en continu, progestatif du 12 au 24e jour (aménorrhée possible). NB : d autres schémas thérapeutiques sont possibles selon le prescripteur. 2) Traitement sans règles : Estrogène et progestatif administrés en continu». Le métabolisme des estrogènes peut être augmenté par les inducteurs enzymatiques du cytochrome P450, notamment le millepertuis (Hypericum perforatum).

3 4) Les contre-indications à un THS sont : a. une femme ayant ou ayant eu un cancer du sein b. une femme ayant ou ayant eu un cancer de l utérus la prise d antibiotiques c. une femme en périménopause d. une femme ayant fait une phlébite e. une femme hystérectomisée «Les principales contre-indications (du THS) sont les antécédents de cancer du sein, de l ovaire ou de l utérus ainsi que des antécédents de phlébite, embolie pulmonaire, accident vasculaire cérébral ou infarctus du myocarde». Le traitement hormonal substitutif ayant pour but de restaurer un taux d estrogènes suffisants, il sera administré uniquement chez la femme en ménopause confirmée et non en périménopause, qui correspond à une période d anarchie hormonale pendant laquelle persiste un taux d estrogènes circulants non négligeable. Une hystérectomie ne constitue pas une contre-indication au THS, la prescription repose alors sur un estrogène seul puisque le progestatif n est associé que pour prévenir un cancer de l endomètre, inutile pour ce type de patiente. 5) Les principales recommandations concernant le THS sont : a. le mettre en route après 60 ans b. utiliser la dose minimale efficace c. privilégier un estrogène par voie orale d. privilégier la progestérone micronisée e. ne pas prendre de THS, c est trop dangereux «Les recommandations principales (du THS) sont : - le traitement hormonal substitutif n est pas systématique et doit être instauré surtout en cas de troubles climatériques - il doit être prescrit à la dose minimale efficace, et pendant la durée la plus courte possible. Il doit être régulièrement réévalué. - il doit être instauré le plus tôt possible, idéalement avant 60 ans. Les risques thromboemboliques veineux et artériels sont plus faibles avant cet âge. - les molécules à privilégier sont les estrogènes transdermiques (gel, patch) et la progestérone micronisée». Les dernières études publiées dans ce domaine montrent «des données plus ciblées et plus rassurantes» et la place de ce THS est rediscutée, en lien avec les bénéfices qu il apporte.

4 6) Parmi ces plantes, quelles sont celles qui renferment des phyto-estrogènes? a. eucalyptus b. houblon c. lin d. harpagophytum e. sauge sclarée «Un bon nombre de plantes renferment ces molécules : lin, houblon, sauge, trèfle rouge, fenouil, anis vert, badiane, réglisse ou encore fenugrec». 7) Concernant les modalités de prise du THS : a. l estrogène transdermique ne doit jamais être appliqué sur les seins b. la progestérone doit être prise le matin à jeun c. la progestérone peut être administrée par voie vaginale avec la même efficacité si elle est mal supportée par voie orale d. il est possible d enfiler un vêtement immédiatement après l application d un gel transdermique à base d estrogènes e. il est nécessaire de masser le gel pendant une dizaine de minutes L estrogène transdermique «peut être appliqué matin ou soir, sur le ventre, les cuisses, les bras ou les épaules, sur une surface équivalente à 2 fois la taille d une main. Masser est inutile. Se laver les mains après application et attendre 2 minutes avant d enfiler un vêtement». Il ne doit jamais être appliqué sur les seins. La progestérone «doit être prise par voie orale à distance du repas, plutôt au coucher puisqu elle est source de somnolence ou de vertiges. Elle peut être administrée si nécessaire par voie vaginale, pour une même efficacité sans effet secondaire général».

5 8) La prise en charge au comptoir des bouffées de chaleur et sueurs nocturnes invalidantes chez une femme ayant eu un cancer du sein il y a 2 ans peut reposer sur : a. acthéane, 1 cp 2 à 4 fois / jour à distance des repas b. phyto-estrogènes de soja, 1 gélule matin et soir c. manhaé, 1 capsule / jour d. de la sauge officinale en infusion e. rien, je ne prends pas le risque de lui proposer un traitement «Le terme «phyto-estrogènes» regroupe plusieurs molécules issues du monde végétal présentant après métabolisation une similarité structurelle avec l estradiol, et capables de se lier aux récepteurs des estrogènes, avec une affinité variable, pour en mimer les effets. Ils sont contre-indiqués en cas d antécédents personnels ou familiaux de cancer hormono-dépendant (sein, ovaire, utérus). Les phytoestrogènes de soja et leurs risques sont bien connus. Or «sans soja» ne signifie pas «sans phytoestrogènes». Un bon nombre de plantes renferment ces molécules : lin, houblon, sauge, trèfle rouge, fenouil, anis vert, badiane, réglisse ou encore fenugrec». L homéopathie (Acthéane) ainsi que les endophospholipides (Manhaé) peuvent être quant à eux donnés sans risque chez ces patientes. 9) Quels sont les conseils associés que vous pouvez dispenser chez une femme ménopausée se plaignant de bouffées de chaleur et sueurs nocturnes? a. se rafraîchir avec un brumisateur et donc en avoir un sur soi b. porter des vêtements chauds pour ne pas avoir de variation de température c. pratiquer de l exercice physique régulièrement d. boire au moins 3 tasses de thé ou de café par jour e. privilégier le port de vêtements synthétiques «VOS CONSEILS : - se rafraîchir avec un brumisateur ou en prenant une douche - faire de l exercice physique régulièrement - lutter contre le stress (relaxation ) - ne pas trop se couvrir et privilégier les vêtements en coton - éviter le café, le thé, l alcool et les épices qui peuvent aggraver les réactions vasomotrices - opter pour la solution pratique : une couette chaude pour Monsieur, une couette légère pour Madame».

6 10) Que pouvez-vous dire à une femme se plaignant d une sexualité dégradée à la ménopause? a. c est normal mais pas fatal b. elle peut consulter son médecin pour mettre en route un traitement hormonal c. c est la fin de sa vie sexuelle, elle doit l accepter d. l usage d un lubrifiant pourrait l aider e. certainement son partenaire ne lui convient plus La carence estrogénique inhérente à la ménopause est source de désagréments et peut altérer la qualité des relations sexuelles au sein du couple. La prise d un traitement hormonal substitutif, après consultation médicale, «permet de maintenir ou retrouver une bonne souplesse et trophicité vaginale et vulvaire ainsi qu une hydratation continue suffisante de la cavité vaginale. Un lubrifiant peut être conseillé en complément lors des rapports sexuels», puisque la lubrification est «moins abondante et plus lente à se produire» à cette période. Ménopause ne rime pas avec retraite sexuelle et le dialogue avec son partenaire reste primordial. Retrouvez aussi ce document dans votre Espace Personnel, onglet «Mes documents».

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