L IDE REFERENT DOULEUR AU S.A.U CONCEPTION

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1 L IDE REFERENT DOULEUR AU S.A.U CONCEPTION

2 INTRODUCTION Création du groupe douleur en 2011 au SAU dans le cadre d une EPP (Evaluation des pratiques professionnelle) La composition du groupe : chef de service, séniors, internes des urgences, cadres des urgences et infirmiers des équipes de jour et de nuit. Ce groupe douleur répond à un besoin d évaluer, adapter et homogénéiser les pratiques professionnelles au SAU

3 DEFINITIONS : Le référent douleur est une personne ressource qui a pour mission de promouvoir les recommanda5ons de bonnes pra5ques en ma5ère de prise en charge de la douleur au sein de son unité. Il par5cipe ac5vement à l élabora5on des procédures, protocoles, audits, EPP Dans l ins5tu5on un référent douleur est membre du C.L.U.D. Un cadre de santé et un médecin sénior des urgences en sont membres et représentent les paramédicaux. Ils font le lien entre le C.L.U.D. et le groupe douleur du SAU. Les IDE «référents» douleur du SAU par5cipent au groupe de travail et de réflexion sur les pra5ques propres au SAU concep5on. Nous re5endrons plutôt les termes «personnes ressources/relais». Ils sont diplômés d état et par5cipent sur la base du volontariat.

4 MOTIVATIONS Améliorer la PEC de la douleur au SAU, permettant de diminuer l anxiété liée à la douleur, ainsi qu une meilleur prise en charge des accompagnants (Existence d une triade patient/anxiété/famille). Accélérer la PEC ce qui permet d optimiser le flux patient Une gestion rapide du symptomatique, donc de la douleur la plupart du temps, favorisera les orientations diagnostiques ainsi que les thérapeutiques curatives.

5 RÔLE DE L IDE DANS LE GROUPE DOULEUR Participer activement au projet et/ou réunion du groupe douleur afin de permettre l évolution des bonnes pratiques. Etre force de propositions au sein du groupe grâce à son expérience du terrain et de ses contraintes. Permettre un relais de l information entre le groupe douleur et les IDE du SAU. Relayer les problématiques des équipes sur la PEC de la douleur

6 RÔLE DE L IDE DANS LE GROUPE DOULEUR Evaluer la faisabilité en fonction des contraintes techniques, organisationnelles et individuelles du service. Participer à l élaboration de protocoles dans le cadre du groupe (3 supports de travail actuellement) Participer aux audits de l EPP douleur Informer les professionnels de santé de la mise en place de nouveaux protocoles douleurs, sur leurs applications.

7 Les outils à disposition de l IDE référent Rappel : La PEC de la douleur est légiférée par le code de santé publique. Il relève du rôle propre et du rôle prescrit. OUTILS EXISTANT AVANT LES PROCEDURES DU GROUPE DOULEUR : - EN - Installation du patient en rapport avec sa pathologie - Immobilisation - Glaçage

8 Les outils à disposition de l IDE référent OUTILS A NOTRE DISPOSITION DEPUIS LA CREATION DU GROUPE DOULEUR : - Algoplus - 3 protocoles (traumatologique, douleur abdominale, colique nephrétique)

9 Service des Urgences Hôpital de la Conception Accueil Traumatologie : Evalua5on de la douleur par EN ACCUEIL EN < 4 4 EN < 7/10 EN 7/10 Quelque soit l intensité, importance de l immobilisa5on, du froid Dolitabs* par IOA + Appel Médecin pour AINS * et/ou Tramadol * Dolitabs* par IOA + Appel Médecin ACCUEIL SOINS Ré- évalua5on de la douleur EN 4 /10 Appel Médecin Morphine en 5tra5on IVD : - 2 mg si poids < 60 kg, - 3 mg si poids 60 kg ± AINS IV* en 15 min ± MEOPA (traumatologie ++) ± Analgésie locale / locorégionale Ré- évalua5on toute les 5 minutes Posologie à adapter en fonc2on de l âge 5 minutes de délai entre chaque injec2on Sous contrôle médical Stop morphine, Appel médecin S5mula5on, Naloxone EN : échelle numérique AINS : An5- inflammatoire non stéroïdien MEOPA : mélange équimolaire d oxygène et de protoxyde d azote * Respect des contre - indica5ons respec5ves : pour Dolitabs = Allergie au paracétamol, prise > 4 g les dernières 24 h, insuffisance hépa5que sévère connue Protocole Douleur SU Concep5on V6 Avril 2012 Pr M Alazia, Pr P Michelet EN 3/10 Et/ou séda5on excessive Et/ou bradypnée < 10 / min Et/ou désatura5on

10 Retour d expérience Le dernier audit de l EPP douleur du SAU a montré une amélioration des pratiques avec une prise en charge de la douleur à l accueil du patient de 83% contre 35,7 % en mai 2012 Une meilleure évaluation et traçabilité participe à un meilleur traitement antalgique La prise en charge précoce de la douleur du patient facilite la pec médicale Grâce aux protocoles, la prise en charge précoce de cette douleur permet une meilleure gestion de la triade patient/anxiété/famille.

11 Les difficultés rencontrées : Pas assez de référents IDE : 3 de jour, 2 de nuit, donc difficultés pour informer certaines équipes. Faire évoluer les pratiques professionnelles au sein de grandes équipes du SAU L investissement personnel variable selon les professionnels, quel que soit le grade L information auprès des internes prenant des gardes aux SAU (nuit et WE)

12 Les difficultés rencontrées : Expérience sur la diffusion des protocoles mis en place : ü Le protocole a été présenté en réunion de service, diffusé avec le compte rendu de la réunion de service. ü Il est présenté aux IDE dans le livret d accueil du service, repris pendant l auto-évaluation. ü Il est aussi affiché dans les boxes, envoyé par mail à tous les professionnels de santé du SAU. ü Malgré cela les IDE font remonter une carence de communication verbale pour la promotion des protocoles.

13 CONCLUSION Le rôle des IDE douleur n est pas inscrit dans une fiche de poste, il est à comprendre. Il faut se l approprier, échanger, car chacun le décline selon sa personnalité, sa vision du soin et de sa fonction. Il est en permanente évolution et se définit au fur et à mesure de l expérience au sein du groupe douleur. Le fait qu il soit basé sur le volontariat permet un investissement important. Ce rôle au sein du groupe permet de communiquer leurs attentes et de relayer celles des équipes, de participer activement aux décisions du service. Il permet aussi de prendre du recul sur les pratiques en général et sa propre pratique, afin de les améliorer et les optimiser.

14 Nous vous remercions de votre attention Céline DOSISSARD, Ingrid METENIER et Jullien DJIANE, S.A.U. CONCEPTION MARS 2014

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