Résultats de l enquête «Nutrition en Médecine Générale : quelles réalités?»

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1 Résultats de l enquête «Nutrition en Médecine Générale : quelles réalités?» Préparé par le département Observatoire de Médecine Générale (OMG) Auteurs : Docteur Olivier KANDEL, Docteur Philippe BOISNAULT Client : L Observatoire du pain Version : 1 SFMG 141, avenue de Verdun Issy les Moulineaux Tél : Fax : Association loi Représentant la France à la WONCA Page 1 / 26

2 Sommaire Préambule Objectif de l enquête, rappel méthodologique, mode de diffusion du questionnaire, taux de retours P. 3 à 6 1. Les questions de nutrition sont de plus en plus fréquentes P. 8 à 9 2. Des médecins généralistes à l aise avec les questions nutritionnelles mais en attente de documents consolidés P. 10 à La quasi-totalité des médecins généralistes prodiguent leurs conseils nutritionnels sur papier P. 12 à Parmi les difficultés rencontrées : le manque de temps et d informations fiables P Une autre difficulté : la scientificité et la crédibilité des sources sur la nutrition P. 15 à Des patients influencés par le contexte médiatique P Les aliments qui posent problème aux patients P Le non respect des conseils nutritionnels : pression et découragement en sont la cause P Les outils de suivi de l enfant en surcharge pondérale P. 20 à Les obstacles au respect des régimes P. 22 à Commentaires libres P. 24 Conclusion P. 25 à 26 Page 2 / 26

3 Préambule Le contexte C est en tant qu expert en médecine générale que la Société Française de Médecine Générale a été contactée par l Observatoire du pain pour mener une enquête d opinion sur les médecins généralistes face à la nutrition. L objectif de l enquête Mieux comprendre les difficultés auxquelles sont confrontés les médecins généralistes en termes de nutrition, par une enquête d opinion. La finalité réside, à court terme, dans la publication d une brochure réalisée sur la base des résultats de l enquête, et à moyen terme, dans l apport d outils et de solutions utiles pour les médecins en matière de nutrition. La méthodologie d enquête 1- Dans un premier temps, une enquête d opinion a été réalisée auprès de médecins généralistes afin de recueillir : Leurs attentes en matière de nutrition Les questions les plus fréquentes aussi bien de leur part que de celle de leurs patients 2- Dans un deuxième temps, les grandes questions soulevées pour le rédactionnel de la brochure ont été retenues et les réponses apportées validées. Groupe de travail SFMG impliqué sur le dossier : - Dr Olivier KANDEL, généraliste (86), responsable de l OMG - Dr Philippe BOISNAULT, généraliste (95), vice président, membre du DIM - Dr Boris ZILBER, généraliste (74), responsable du département Internet - Dr Yann THOMAS DESESSARTS (95), généraliste, trésorier - Dr Brigitte Tiscornia, généraliste (95), sociétaire titulaire de la SFMG Page 3 / 26

4 La diffusion du questionnaire Le message de lancement de l enquête envoyé à 1425 médecins généralistes par le mercredi 15 mars au matin. Issy les Moulineaux, le 15 mars 2006 ENQUETE FLASH SUR LA NUTRITION Cher Confrère, Dans le cadre d une expertise que la SFMG mène actuellement sur le thème de la nutrition, nous souhaiterions recueillir les réponses du plus grand nombre d entre vous afin que les résultats soient le meilleur reflet de la réalité. Répondre à ce questionnaire en ligne ne vous prendra que quelques minutes et nous vous remercions, par avance, de votre participation. Pour accéder au questionnaire : CLIQUEZ ICI Les résultats de cette expertise vous seront communiqués dans un prochain numéro de la Lettre de la SFMG. Bien confraternellement, Olivier KANDEL Directeur de l OMG SFMG 141 avenue de Verdun Issy les Moulineaux reseau@sfmg.org Deux relances ont été effectuées par le 18 et le 22 mars. Page 4 / 26

5 Les retours Date J Nombre de retours (par jour) Nombre de retours (cumulé) % cumul 15/03/ % 16/03/ % 17/03/ % 18/03/ % 19/03/ % 20/03/ % 21/03/ % 22/03/ % 23/03/ % 24/03/ % 25/03/ % Le taux de retour s élève à 21 % (300 questionnaires reçus pour 1425 envoyés). Il s agit d un excellent résultat pour un questionnaire d opinion, un peu inférieur au taux de retour habituel des enquêtes de la SFMG (30%). Les hypothèses pour expliquer ce niveau de résultats : 1. Les médecins consultés étaient très sollicités pendant la période de l enquête (du 15 au 31 mars). 2. La nutrition n est peut-être pas un sujet pour lequel les médecins généralistes se sentent spontanément concernés. 3. Le questionnaire comportait beaucoup de questions ouvertes (commentaires et absence de possibilité de répondre «ne sais pas») et était donc plus long à compléter. Nombre de retours quotidiens er ième rappel rappel 2ème rappel Jour Page 5 / 26 Nombre de retours quotidiens

6 Les principaux enseignements - de l enquête 3/4 des médecins généralistes ayant répondu au questionnaire estiment être plus souvent interrogés sur des questions nutritionnelles depuis quelques années La majorité (85%) se sent à l aise pour donner des conseils nutritionnels Les conseils nutritionnels sont majoritairement dispensés par oral (90%), peuvent être accompagnés d un écrit ou d un document imprimé dans un tiers des cas (respectivement 38% et 34% des réponses) Les principales difficultés rencontrées par les médecins généralistes sur les questions de nutrition : - Le manque de temps - Le manque de travail d équipe - L inadaptation ou le manque de supports d information Les aliments spontanément évoqués en cabinet sont : - Le sucre, les produits gras, le fromage. Vient ensuite le pain Derrière la question de la nutrition et des régimes, c est surtout d autres problématiques qu évoquent spontanément les généralistes : - Les mauvaises habitudes alimentaires - Le manque de temps de la part des soignants - Les difficultés des patients à se motiver dans la durée - Le découragement des médecins Page 6 / 26

7 Les résultats Page 7 / 26

8 1. Les questions de nutrition sont de plus en plus fréquentes 3/4 des médecins généralistes ayant répondu au questionnaire estiment être plus souvent interrogés sur des questions nutritionnelles depuis quelques années Les sujets d actualité poussent les patients à évoquer le sujet, notamment sous l angle sanitaire, sécurité alimentaire «Ils veulent parler du poulet pollué à la dioxine, de la vache folle, des marées noires et de la grippe aviaire» «Le dernier patient m a parlé de la qualité des huiles essentielles!» «Les interrogations sont liées avec les sujets présents dans la presse : les oméga 3 actuellement par exemple» «Actuellement on me parle des alicaments et de la prévention cardio-vasculaire» «...les OGM, édulcorants...» Les questions de nutrition sont plus nombreuses chez certains «Avec une demande sur les tranches d'âge hautes et les femmes jeunes après la grossesse» «Surtout pour les enfants» Les médecins abordent de plus en plus spontanément le sujet qu auparavant, ils sont plus sensibilisés sur ces questions Les patients évoquent parfois le sujet mais pas aussi régulièrement qu on le pensait «Je n'ai pas constaté de gros changements de comportement de mes patients» «Difficile de dire si ce sont eux qui interrogent, ou si c'est moi qui propose» Les médecins sont souvent à l initiative de la conversation sur le sujet «C est encore moi qui aborde le plus souvent le sujet» «C est plutôt moi qui les interpelle» Certains médecins se sentent très impliqués dans l accompagnement nutritionnel de leurs patients «Je les accompagne sur ce chemin!» Page 8 / 26

9 Détails des résultats de cette question Diriez-vous que vos patients vous interrogent davantage sur des questions nutritionnelles depuis quelques années? Pas du tout d'accord - Plutôt pas d'accord - Plutôt d'accord - Tout à fait d'accord Commentaire (facultatif) : Les patients vous interrogent plus souvent sur la nutrition % Pas Pas du du tout Plutôt pas d accord Plutôt Plutôt d accord d accord Tout a Tout fait d accord à fait d accord Modalité % % Pas du tout 2,5 Plutôt pas d accord 24,5 27 Plutôt d accord 59,5 Tout à fait d accord 13,5 74 Page 9 / 26

10 2. Des médecins généralistes à l aise avec les questions nutritionnelles mais en attente de documents consolidés La majorité des médecins interrogés (85%) se sent à l aise pour donner des conseils nutritionnels Si les médecins se disent globalement à l aise pour donner des conseils, ils n hésitent pas à se faire aider et vont se documenter «C est une bonne occasion pour se documenter» Par des outils informatiques ou le Web «J'utilise un logiciel de Nutrition» «J utilise le site de l Inpes» Auprès d autres professionnels de santé «Je demande souvent une aide pour rechercher une synergie des discours» «J'oriente volontiers néanmoins vers une diététicienne» Les médecins utilisent des aides extérieures variées Certains se sont adaptés à cette nouvelle demande par des solutions plus radicales «Nous avons une diététicienne au cabinet» «Nous avons recours à une infirmière du cabinet formée à l'éducation alimentaire» Certains évoquent le souhait d être davantage accompagné «L'intégration de modules au logiciel de prescription m aiderait bien» Le temps constitue un frein majeur pour les médecins généralistes Plusieurs d entre eux évoquent le manque de temps et de disponibilité pour évoquer ce sujet «Sujet très chronophage» «Je manque de temps...» «Difficulté pour dégager du temps» Page 10 / 26

11 Détails des résultats de cette question Vous sentez-vous à l'aise pour donner des conseils nutritionnels? Oui généralement - Oui souvent - Non rarement - Non jamais - Si vous avez coché l une des deux dernières cases : J oriente- Je m adapte avec mes connaissances - J évite le sujet Commentaire (facultatif) : Modalité % Modalité % Oui généralement 37,7 Oui souvent 47,0 Non rarement 14,8 J oriente 25 Non jamais 0,5 Je m adapte 68 J évite 7 Vous sentez vous à l'aise pour donner les conseils Oui généralement Oui souvent Non rarement Non jamais Vous sentez vous à l'aise pour donner des conseils 47.0% 15.3% 10.3% 1.0% Oui généralement Oui souvent Non et j oriente Non mais je m adapte 37.7% 4.0% Non et j évite Page 11 / 26

12 3. La quasi totalité des médecins généralistes prodiguent leurs conseils nutritionnels sur papier Les conseils nutritionnels sont majoritairement dispensés par oral (90%), peuvent être accompagnés d un écrit ou d un document imprimé dans un tiers des cas (respectivement 38% et 34% des réponses) 90% des médecins donnent des conseils nutritionnels oraux régulièrement ou toujours Plus de la moitié des médecins donnent des conseils écrits (soit à l aide d imprimés soit par écrit personnalisé) même si les conseils écrits sont moins systématiques Les conseils par le biais de documentation sont rares ou absents pour 2 médecins sur 3 Focus sur les conseils écrits Détails des résultats de cette question Lorsque vous donnez des conseils nutritionnels ou des régimes, en pratique, vous le faites? - 3.a Par oral - 3.b Par écrit Toujours - Régulièrement - Parfois - Jamais Toujours - Régulièrement Parfois Jamais - 3.c En donnant des documents imprimés Toujours - Régulièrement Parfois - Jamais Par ORAL % Toujours 53 Régulièrement 37 Parfois 9 Jamais 1 Par ECRIT % Toujours 9 Régulièrement 29 Parfois 49 Jamais 12 Par DOCUMENTS % Toujours 5 Régulièrement 29 Parfois 48 Jamais 17 Modalités des conseils toujours régulièrement parfois jamais oralpage écrit 12 / 26 document

13 Focus sur l usage des supports Par regroupement des conseils sur papier (écrit et/ou documents), on constate que c est la quasitotalité des médecins qui donnent des conseils sur papier. Documents Pas de documents Total Ecrit 21% 18% 39% Non écrit 14% 47% 61% Total 34% 65% 100% Comment sont donnés les conseils écrits 21% 47% Ecrits et documents Ecrits et pas de document 18% Documents et pas d'écrit Ni écrit ni document 14% Le mode d administration des conseils varie-t-il avec le fait que le médecin se sente à l aise ou non? Le groupe des médecins qui ne sont pas à l aise avec la nutrition (Q2) n a pas une attitude très différente du groupe des médecins à l aise : moins de conseils écrits et plus d absence de conseil. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% Ni oral ni papier Papier et pas oral Oral et pas papier Oral et papier 20% 10% 0% Tous Médecins pas à l'aise (Q2) médecins à l'aise (Q2) Page 13 / 26

14 4. Parmi les difficultés rencontrées : le manque de temps et d informations fiables Dans votre pratique, quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez sur les questions de nutrition? Parmi les items mentionnés ci-dessous, lesquels partagez vous? (plusieurs réponses possibles) a) Un manque de connaissance sur ce sujet : Oui - Non b) Un manque de documentation ou de supports d information pour les patients : Oui Non c) Un manque d'informations simples sur l'alimentation habituelle pour ma pratique : Oui Non d) Un manque de temps : Oui Non e) Un manque de travail d équipe (diététicienne...) : Oui Non f) Une inadaptation des supports d information disponibles par rapport aux problèmes réellement présentés par les patients. Oui- Non Les principales difficultés rencontrées par les médecins généralistes sur les questions de nutrition - Le manque de temps - Le manque de travail en équipe - L inadaptation ou le manque de supports d information Les principales difficultés Oui Non 1- Un manque de connaissance sur ce sujet 42% 58% 2- Un manque de documentation ou de supports d information pour les patients 66% 33% 3- Un manque d'informations simples sur l'alimentation habituelle 38% 62% 4- Un manque de temps 73% 27% 5- Un manque de travail d équipe (diététicienne...) 69% 31% 6- Une inadaptation des supports d information par rapport aux problèmes 67% 33% Principales difficultés rencontrées pour les questions de nutrition Pricipales difficultés rencontrés pour les questions de nutrition Une inadaptation des supports d information par rapport aux problèmes Un manque de travail d équipe (diététicienne...) Un manque de temps Un manque d'informations simples sur l'alimentation habituelle Un manque de documentation ou de supports d information pour les patients Oui Non Un manque de connaissance sur ce sujet 0% 20% 40% 60% 80% 100% Page 14 / 26

15 5. Une autre difficulté : la scientificité et la crédibilité des sources sur la nutrition Dans votre pratique, quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez sur les questions de nutrition? Pouvez-vous en donner 1 ou 2 autres? Difficulté n 1 : Difficulté n 2 : Des médecins ont le souci de la qualité de l information qui est à leur disposition Les principales difficultés rencontrées par les médecins sont liées au thème de la nutrition. Les médecins ont en effet des doutes sur la valeur des informations communiquées Des informations jugées non scientifiques «Le caractère absolument pas scientifique du sujet» «Y'a que des opinions et peu de connaissances» «Trop de discours politiquement corrects» Des sources d information divergentes ou peu crédibles «Multiples sources d'information parfois divergentes dans leurs contenus» «Sources très variées dont les bases scientifiques sont sujettes à caution, ou pas logiques» «Documentions de l'industrie alimentaire trop orientées sur ses produits» Un manque d adéquation entre les recommandations nutritionnelles, les informations disponibles et la problématique réelle du patient, du terrain Des documents peu adaptés «Les documents abordent le problème de manière trop théorique, ne sont pas assez parlants» «Beaucoup de documentation, mais orientée régimes plutôt que modification des habitudes alimentaires» «Besoin d'une documentation évolutive pour pouvoir faire plusieurs consultations avec une même personne» Page 15 / 26

16 Les médecins sont conscients de l importance du contexte dans le champ de la nutrition Des difficultés liées aux patients (profils différents, méconnaissance du sujet, manque d implication, découragement) «Adaptation de la nutrition en fonction des problèmes médicaux connus» «Différentiel entre les attentes (surtout esthétiques) et la réponse (bénéfices en termes de santé)» «Motiver les patients à se prendre en charge en acceptant les efforts à faire» «Une difficulté à faire remplir correctement le semainier» «Réticence des patients, enfermés dans des schémas standards société de consommation» «Les patients préfèrent dans l instant les menus types tout prêts plutôt que la compréhension de leur problème» «Le découragement des patients» «La multiplication des interventions antérieures (diététicien, nutritionniste, médecin)» «Inertie des croyances et traditions dans le domaine de la nutrition» «Connaissances du patient trop faibles (remise à niveau chronophage)» Mais aussi, l aspect social (sociétal de la nutrition est déterminant) «Notre difficulté à aller contre des idées reçues» «Modifications de comportements à faire partager par toute la famille» «Inculture culinaire qui s'aggrave» «Manque d aide par le biais des logiciels médicaux» Page 16 / 26

17 6. Des patients influencés par le contexte médiatique Dans le domaine de la nutrition, quels sont les 3 sujets les plus fréquemment évoqués par vos patients? Sujet n 1 : Sujet n 2 : Sujet n 3 : Derrière la question de la nutrition et des régimes, c est surtout d autres problématiques qu évoquent spontanément les médecins généralistes 1- L écrasante majorité des réponses tournent autour du poids, de l obésité, du désir de perdre du poids (70%). Avec deux points en exergue «Comment faire je ne mange rien et pourtant je ne perds pas de poids» «Je sais ce qu il faut faire et... je n y arrive pas» 2- Le deuxième sujet extrêmement fréquent tourne autour du cholestérol, des dyslipidémies, des graisses 3- Viennent ensuite les sujets qu on qualifierait à la mode : l eau, la viande, les Omega Puis le diabète et le sucre, mais aussi la boulimie 5- Enfin des difficultés liées au mode de vie, à la culture «Comment faire je mange au restaurant tous les jours?» «Avec mon travail c est impossible» «Je cuisine pour tout le monde» «Je soigne beaucoup d étrangers» - «le niveau économique compte aussi»... Page 17 / 26

18 7. Les aliments qui posent problème aux patients Dans le cadre des conseils nutritionnels, quels sont les 3 aliments qui posent le plus de problèmes à vos patients? Aliment n 1 : Aliment n 2 : Aliment n 3 : Le contexte médiatique influence les questions posées aux médecins 1- Un tiercé gagnant avec - Le sucre, les sucreries - Les graisses, les produits gras - Le fromage 2- Viennent ensuite les boissons alcoolisées et les féculents dont le pain (16%) Sont cités en vracs : le sel, le chocolat, la charcuterie, le poisson, les fruits, les légumes, les laitages, les boissons sucrées, les Mac Do. Mais aussi la cuisson, la mal bouffe... À noter, les biscuits et les goûters ne sont pas évoqués. Page 18 / 26

19 8. Le non respect des conseils nutritionnels : pressions et découragement en sont la cause Selon vous, pourquoi vos patients ne respectent pas vos recommandations nutritionnelles? Frein n 1 : Frein n 2 : Frein n 3 : Le format de la consultation en médecine générale est inadapté Le trio qui revient le plus souvent - Les mauvaises habitudes de vie - Le manque de temps du médecin - Le manque de motivation du patient Le patient, au cœur de la problématique nutrition Le manque de motivation du patient est très souvent mis en avant «C est trop dur» - «le manque de motivation» - «le déni» - «pas envie de changer» - «le manque de volonté»... Le contexte de vie de chacun des patients influence le non respect des conseils nutritionnels Le lien avec le psychique «La prise en charge psychologique» - «le lien avec le psychique» - «le stress» -«la dépendance» mais aussi «le plaisir» - «les rencontres»... Un groupe de frein tourne autour de l entourage, de l organisation sociale «Famille non coopérante» - «Incompétence en cuisine» - «habitude sociale» - «Impossibilité de changer les habitudes» - «précarité» - «problèmes financiers» Les pressions extérieures contribuent au découragement de certains Les pressions subies par le patient Un intervenant externe «La publicité est trop forte» - «la pression commerciale» - «la presse» Le décalage entre le souhaitable, l idéal... et le possible dans la réalité «La complexité des régimes» - «régimes inadaptés à la vie courante» - «savoir ce qu il faut faire ne veut pas dire le faire» Page 19 / 26

20 9. Les outils de suivi de l enfant en surcharge pondérale La courbe de surpoids (93% des réponses) et l éducation sur les apports nutritionnels (64% des réponses) constituent les deux outils principalement utilisés par les médecins généralistes 1- Les médecins ont fait peu de commentaires : environ 50% 2- Le sujet le plus évoqué est le sport, l activité physique 3- La nécessaire implication des parents 4- Le recours spécialisé (médecins, diététiciens...) est également envisageable 5-1/3 des médecins ne font ni enquête alimentaire ni relevé de menu Page 20 / 26

21 Détails des résultats de cette question Chez l'enfant présentant une surcharge pondérale, lorsque vous mettez en place un protocole de suivi vous utilisez - 7.a La courbe de poids Toujours Régulièrement Parfois - Jamais - 7.b Des consultations programmées Toujours - Régulièrement Parfois - Jamais - 7.c Des enquêtes alimentaires Toujours - Régulièrement Parfois Jamais - 7.d Des relevés de menus Toujours - Régulièrement - Parfois Jamais - 7.e Une éducation sur les apports nutritionnels des aliments Toujours Régulièrement Parfois Jamais - 7.f Autre(s) outil(s) (facultatif) : Toujours Régulièrement Parfois Jamais Courbe de poids 71% 22% 4% 3% 100% Consult. programmées 13% 47% 31% 9% 100% Enquêtes alimentaires 27% 36% 29% 7% 100% Relevés de menus 14% 23% 40% 23% 100% Education sur les apports 19% 45% 30% 6% 100% Outils utilisés pour la prise en charge de l'obésité de l'enfant Education sur les apports Relevés de menus Enquetes alimentaires Consultations programmées Toujours Régulièrement Parfois Jamais Courbe de poids 0% 20% 40% 60% 80% 100% Page 21 / 26

22 10. Les obstacles au respect des régimes Pour le diabète et l'obésité, l'observance des régimes pose des difficultés. Selon vous, quelles sont les principales raisons? - 8.a Le manque de conviction des patients Toujours Régulièrement Parfois Jamais - 8.b Le manque de résultat immédiat constaté par les patients Toujours - Régulièrement Parfois - Jamais - 8.c Les difficultés à réaliser en pratique les régimes (pesées des aliments...) Toujours Régulièrement - Parfois - Jamais - 8.d Mauvaise appréciation et méconnaissance par le patient, des apports et besoins nutritionnels pour une alimentation équilibrée Toujours Régulièrement- Parfois - Jamais - 8.e Le manque de persévérance du médecin Toujours - Régulièrement - Parfois Jamais - 8.f Une prise en charge du patient trop centrée sur l'alimentation Toujours Régulièrement - Parfois - Jamais- 8.g Autre(s) raison(s) (facultatif) Le découragement gagne parfois le médecin généraliste «Frustration» - «Injustice» «Le patient veut des médicaments, pas changer sa vie... et prend une double dose pour aller au resto!» «Nécessité d'une adhésion de l'entourage» «Nécessite d'un accompagnement psychologique» «Déni de la pathologie» - «Manque de conviction du médecin» - «Echecs mal vécus de part et d'autres conduisent à taire le sujet» «Autre problème de santé souvent associé à une humeur dépressive... solitude...» Page 22 / 26

23 Détails des résultats de cette question Toujours Régulièrement Parfois Jamais Total Manque de conviction du patient 12% 59% 29% 1% 100% Manque de résultat immédiat 18% 54% 27% 1% 100% Difficultés à réaliser en pratique 26% 54% 19% 1% 100% Méconnaissance des besoins 31% 52% 17% 1% 100% Manque de persévérance du médecin 5% 43% 49% 3% 100% Prise en charge centrée sur l aliment 12% 37% 43% 9% 100% Difficultés d observance des régimes dans l obésité et le diabète Difficulttés d'observance des régimes dans l'obésité et le diabète Prise en charge trop centré sur l'alimetation Manque de persévérance du médecin Méconnaissance des besoins par le patient Difficultés à réaliser en pratique les régimes Toujours Régulièrement Parfois Jamais Manque de résultat immédiat Manque de conviction du patient 0% 20% 40% 60% 80% 100% Page 23 / 26

24 11. Commentaires libres Avez-vous un commentaire libre à faire sur la nutrition? (facultatif) : Les médecins ont besoin de réponses pratiques «Un régime alimentaire pour être efficace, doit être adapté et facile à suivre» «Obtenir des supports modernes informatiques proposant des conseils concis et clairs» «Je laisse la priorité au bon sens» La consultation est un outil insuffisant pour évoquer la nutrition Pour répondre aux problèmes de nutrition, il faut changer les comportements des patients (impossible dans le cadre de la consultation pratiquée au quotidien par les médecins généralistes) «Y a du boulot à faire, et cela demande du temps et une rémunération» «Domaine passionnant, prise en charge multiple, apprendre à vivre différemment» «Thème peu motivant pour les médecins qui ont d autres préoccupations» «Echecs des régimes, s orienter vers l hygiène alimentaire à vie plus appropriée» «Docteur, qu'allez vous me donner pour que je maigrisse? La phrase qui tue» «L éducation sur l'hygiène de vie notamment la nutrition fait partie de la prise en charge globale» «Elle devrait dépasser le cadre curatif, souvent inefficace» «Nous sommes les pots de terre contre les pots de fer de l'économie et des affaires» Le médecin constate également la résurgence de peurs alimentaires Le problème de la sécurité alimentaire toujours très présent sur les questions de nutrition «Les patients posent de plus en plus de questions sur la qualité des aliments par peur de la pollution» «On reste dans l'incertitude sur la composition des aliments, selon les pays et les régions» Page 24 / 26

25 Conclusion Page 25 / 26

26 La majorité des généralistes sont à l aise pour parler de nutrition Mais rencontrent certaines difficultés - Le manque de temps - L inadaptation des outils proposés - Un manque de travail en équipe Des conseils complexes inadaptés à la mise en pratique - L information nutritionnelle est jugée peu fiable et trop divergente - Des recommandations nutritionnelles trop compliquées - Des recommandations inadaptées à la vie quotidienne des patients Les aliments qui sont évoqués en cabinet parce qu ils posent problème - Le tiercé gagnant : le sucre, les graisses, le fromage - Viennent ensuite : le pain, les boissons alcoolisées, les féculents Au-delà des régimes - Les mauvaises habitudes alimentaires - Le manque de temps de la part des soignants - Les difficultés des patients à se motiver dans la durée - Le découragement des soignants Page 26 / 26

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