L édition 2006 du baromètre EUROFACTOR montre que les entreprises européennes restent globalement assez mitigées pour l année à venir
|
|
- Adeline François
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Issy-les-Moulineaux, le 12 janvier 2006 COMMUNIQUE DE PRESSE L édition 2006 du baromètre EUROFACTOR montre que les entreprises européennes restent globalement assez mitigées pour l année à venir Plus de entreprises européennes donnent les grandes tendances 2006 Les entreprises européennes anticipent une meilleure rentabilité sauf en France où les entreprises affichent des perspectives en baisse sur tous les fronts. Les entreprises espagnoles sont les plus optimistes d Europe. Les entreprises européennes envisagent une progression de leurs investissements en Le prix de l énergie et la concurrence accrue des pays émergents sont au cœur des préoccupations des entreprises européennes notamment allemandes. L Allemagne et le Royaume-uni continuent d afficher les délais de paiement les plus courts d Europe. En Italie, le délai moyen de paiement atteint au contraire plus de trois mois. La France a été en 2005 le pays le moins touché par les impayés. A l inverse, la majorité des entreprises Allemandes a été concernée par ce phénomène. Dans tous le pays d Europe sauf au Royaume-Uni, 1 PME sur 4 en moyenne aura davantage besoin de financements. Les résultats du baromètre EUROFACTOR 2006, réalisé auprès d entreprises de 6 à 500 salariés de sept pays européens (Allemagne, Belgique, France, Espagne, Italie, Portugal et Royaume-Uni) annoncent des perspectives en demi-teinte. Cette étude, menée en partenariat avec l AFDCC (Association Française Des Crédit managers et Conseils), a été réalisée par l'institut CSA. 1
2 Activité, emploi, rentabilité : des perspectives d avenir très contrastées d un pays à l autre Les entreprises belges, espagnoles et britanniques sont majoritairement optimistes : plus de la moitié d entre elles prévoit une augmentation de leur chiffre d affaires au cours des 12 prochains mois. Cette croissance de l activité aura des effets favorables sur l emploi puisque c est aussi en Belgique (31 % des entreprises), en Espagne (29 %) et au Royaume-Uni (25 %) que les perspectives de recrutement sont les plus nombreuses. Elle devrait aussi se traduire par une meilleure rentabilité pour environ une entreprise sur deux. En Espagne, seulement 30 % des entreprises prévoyaient une meilleure rentabilité lors de la dernière enquête, cette année elles sont 55 % à l anticiper. En Allemagne, l heure est au contraire plutôt à la morosité, puisqu à peine plus d une entreprise sur quatre envisage une croissance de son chiffre d affaires en 2006 (contre 46 % l an passé) ; les perspectives de recrutement sont les plus faibles d Europe (seulement 8 % des entreprises prévoient une augmentation de leurs effectifs (moins 15 points par rapport à 2005). Au Portugal et en Italie, l opinion dominante envisage plutôt une stagnation de l activité. Ceci engendre de faibles potentiels de recrutement (11 % au Portugal, 17 % en Italie) et des perspectives d amélioration de la rentabilité limitées à environ une entreprise sur trois. Des entreprises françaises assez moroses En France, les entreprises affichent des perspectives en baisse sur tous les fronts : chiffre d affaires, investissements, recrutement, et rentabilité, notamment dans les secteurs du commerce, de l industrie et du transport. Sur le plan du recrutement, le pourcentage d entreprises prévoyant une augmentation de leur effectif salarial s inscrit non seulement en recul par rapport à l an passé, mais il est à un niveau faible (17 %). Ceci dit, on recense plus d entreprises prévoyant une hausse que d entreprises anticipant une baisse (6 %), ce qui suggère tout de même une amélioration à faible rythme de l emploi privé. Toujours en France, les prévisions d augmentation du chiffre d affaires des entreprises du secteur du transport, qui avaient connu une belle progression ces dernières années, diminuent en 2006 : 40 % des entreprises de ce secteur anticipent une augmentation de leur chiffre d affaires alors qu elles étaient 62 % l an passé. Le secteur du commerce aussi augure d un futur moins optimiste puisque seulement 35 % des entreprises prévoient une progression de leur chiffre d affaires contre 54 % en 2005, soit un écart de 21 points. Enfin, si les entreprises du secteur des BTP sont les seules à être plus optimistes qu en 2005 quant à l évolution de leur chiffre d affaires (34 % prévoient une augmentation contre 29 % l an dernier), ces prévisions restent encore basses puisque inférieures à la moyenne nationale (38 %). Des prévisions d investissement en hausse pour 2006 La conjoncture, telle qu elle est perçue par les dirigeants des entreprises européennes ne semble pas si défavorable à l investissement ; certes les intentions sont orientées à la baisse par rapport à 2004 en France et dans les pays d Europe du Sud, mais le pourcentage d entreprises prévoyant un investissement en hausse en 2006 dépasse très sensiblement le pourcentage d entreprises prévoyant un recul. En Allemagne, en Belgique et en Espagne, les intentions d investissement sont les plus élevées d Europe même si l on observe une certaine incertitude en Espagne ; dans ce pays, 31 % des entreprises interrogées ne savent pas dire si leurs dépenses d investissement augmenteront ou diminueront en En Allemagne, 59 % des entreprises pensent que leurs dépenses seront en hausse de plus de 5 % par rapport à celles réalisées au cours des 12 derniers mois. En France, au Portugal et en Italie, on note en revanche une forte incertitude sur l investissement (autour d un tiers de non réponses) même si les anticipations positives dominent sur les anticipations de stabilité, sauf en France où seulement une entreprise sur quatre envisage davantage de dépenses d investissement en 2006 qu en
3 Enfin, tous pays confondus, ces investissements devraient profiter en priorité aux machines et outils de production et aux équipements informatiques et bureautiques (surtout pour la Belgique, l Italie et le Royaume-uni). Toutefois, il s agit principalement de dépenses de modernisation et de renouvellement des équipements existants plutôt que d élargissement du parc. L année précédente, les dépenses d investissement étaient consacrées en priorité aux équipements informatiques, et ce dans tous les pays d Europe. Les préoccupations des entreprises européennes Matières premières et énergie La hausse du prix des matières premières est jugée pénalisante par la majorité des entreprises industrielles européennes, cette majorité regroupant les trois quarts des entreprises en France, en Allemagne, en Belgique et en Espagne, 66 % en Italie et au Portugal et une entreprise sur deux au Royaume-Uni. La hausse du prix de l énergie est elle aussi considérée pénalisante, surtout du point de vue des entreprises allemandes (près de neuf sur dix considèrent le prix actuel de l énergie comme gênant et autant envisagent encore des augmentations en 2006) alors qu en France et en Grande Bretagne, les opinions sont plus partagées même si le sentiment de pénalisation domine. Concurrence des pays émergents La concurrence des pays émergents est une préoccupation partagée par les patrons des entreprises partout en Europe et de manière un peu plus appuyée en Belgique et en Italie. Parmi ces pays concurrents, figurent essentiellement les nouveaux membres de l Union européenne et la Chine. Celle-ci est d ailleurs considérée comme la principale menace par les industriels français. La première adaptation qui s impose aux yeux des dirigeants d entreprises concerne l accroissement des gains de productivité. Viennent ensuite la nécessité de mieux se positionner à l international et la stratégie de choix des sous-traitants et partenaires. La menace sur l emploi national s exprime davantage en Belgique, au Portugal et surtout en Espagne (respectivement 28 %, 33 %, 48 % des entreprises anticipent à court ou moyen terme des réductions de masse salariale). Evolution de la réglementation du travail En dehors de la concurrence accrue des pays en voie de développement et de l évolution des prix des matières premières et de l énergie, les autres principales préoccupations des patrons d entreprises en Europe concernent l évolution de la réglementation du travail. Ceci est particulièrement notable en France et au Royaume-Uni. Les délais de paiement s allongent en Europe En Europe, une entreprise se fait payer en moyenne à 2 mois et demi. Ces délais de paiement tendent à s allonger partout à l exception de l Espagne. Cet allongement n est pas tant le résultat d une modification des échéances contractuelles que celui de l accroissement des retards de paiement. Un accroissement particulièrement important en Italie où le délai moyen de règlement atteint désormais plus de trois mois (101 jours) contre deux mois et demi l an passé. A l inverse, c est en Allemagne et au Royaume-uni que les délais sont les plus courts (52 et 51 jours respectivement). En France, en Belgique et en Espagne ils s établissent entre 62 et 67 jours et à 83 jours au Portugal. Le secteur public contribue largement à l allongement des délais de paiement, surtout en Italie mais aussi en Belgique et dans une moindre mesure en Allemagne et en Espagne. En France, les délais de paiement moyens pratiqués sont relativement stables depuis 2001 (67 jours en moyenne). C est dans le secteur du bâtiment que les délais moyens semblent les plus longs avec 68 jours contre 61 jours l an passé et 65 jours sur l ensemble des secteurs. A noter également, une entreprise sur cinq anticipe un allongement des délais de paiement contre une sur dix qui prévoit une réduction pour l année à venir. Ces anticipations d augmentation sont plus nombreuses dans le secteur du transport (23 % des entreprises) et, à l opposé, moins nombreuses dans celui de la construction (14 % des entreprises). 3
4 Les allongements potentiels des délais de paiement sont imputés en premier lieu à des difficultés financières rencontrées par les clients et ensuite à des comportements opportunistes de gain de trésorerie. En 2006, les entreprises européennes auront besoin de financements Même si la majorité des dirigeants interrogés opte pour la stabilité, les besoins de financements des entreprises européennes sont plutôt orientés à la hausse : en moyenne une entreprise sur quatre déclare qu ils ont tendance à augmenter contre 10 % qui indiquent le contraire. Les solutions adoptées pour y faire face diffèrent selon les pays. L Allemagne (42 % des PME) et le Royaume-Uni (56 %) utilisent en priorité le découvert bancaire, avant d avoir recours aux délais fournisseurs. L Italie est le pays qui utilise le plus l escompte (57 %). En France, c est dans les secteurs de l industrie et des transports que la proportion d entreprises anticipant une augmentation de leurs besoins de financements est la plus élevée (respectivement 31 % et 27 %). En revanche, le secteur du BTP donne les prévisions les plus basses (19 %). Le levier des délais fournisseurs est couramment utilisé pour ces besoins de financement. C est ce que déclarent 42 % des entreprises françaises (49 % des entreprises du bâtiment et 44 % dans l industrie). L an passé, 35 % des entreprises françaises faisaient appel à ce moyen. Créances impayées : les ¾ des entreprises européennes sont exposés En Europe, 74 % des entreprises se trouvent directement exposés aux risques d impayés. Ceux-ci représentent en moyenne 0,7 % de leur chiffre d affaires. C est en Allemagne que les entreprises sont les plus touchées par ces risques puisque 96 % d entre elles ont subi des créances impayées en 2005 (contre 78 % en 2004). Celles-ci représentent en moyenne 1,1% du chiffre d affaires, contre moins de 1 % dans les autres pays. A l opposé, c est en France que le risque d impayé était le plus faible : six entreprises sur dix y ont été confrontées. Les entreprises les plus exposées ont été celles de 50 salariés et plus et celles du secteur du commerce (76 %). En Italie, la proportion des entreprises ayant des créances impayées a sensiblement baissé : 72 % contre 82 %. Les entreprises européennes facturent des intérêts de retard mais avec des disparités selon les pays : en Allemagne et en Belgique, cette pratique est fréquente (respectivement 54 % et 39 % des entreprises facturent des intérêts de retard au-delà de l échéance). Elle est nettement moins courante dans les pays du sud de l Europe (25 % des entreprises en Italie et en Espagne, 22 % au Portugal) et encore moins en France et en Royaume-uni (11 %). 4
5 Détails de l étude et graphiques disponibles en format électronique sur demande A propos d EUROFACTOR EUROFACTOR est numéro 1 de l affacturage en France, et le premier réseau intégré d'affacturage en Europe. Filiale du Crédit Agricole, EUROFACTOR accompagne le développement de toutes les entreprises en construisant avec elles la solution de gestion du poste clients la mieux adaptée à leur stratégie à leur secteur d'activité, à leur taille et à la typologie de leur clientèle, en France et à l'international, en développant notamment une offre pan-européenne, European Pass. Pour toute information : Stéphane Lecomte Alix Béliard / Hervé du Souich Eurofactor 3d Communication Tel : Tel : Stephane.LECOMTE@groupe-eurofactor.com abeliard@3dcommunication.fr hdusouich@3dcommunication.fr 5
Un climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détail*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailDélais de paiement : Le grand écart
Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques
Plus en détail5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*
Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence
Plus en détailOSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE
OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%
n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin
Plus en détailBaromètre Atradius des pratiques de paiement Etude internationale sur les comportements de paiement en B2B Principaux résultats - Belgique
RÉsultats Printemps 2012 Baromètre Atradius des pratiques Etude internationale sur les comportements en B2B Principaux résultats - Belgique Copyright Atradius N.V. 2012 Avertissement Ce rapport fournit
Plus en détailBaromètre sur le financement et
pour Baromètre sur le financement et - Vague 17 - Contacts : Flore- Aline Colmet Daâge / Guillaume Chevalier 2013 Note méthodologique Etude réalisée pour : KPMG et CGPME Echantillon : Echantillon de 402
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints
Plus en détailLE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE?
LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? Michel PHILIPPIN Directeur Général de Cofinoga Notre propos concerne la rentabilité économique
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse
Plus en détailLES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE
201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailClub AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013
Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement Novembre 2013 Introduction L AFIC, qui souhaite promouvoir activement le rôle des femmes dans les métiers du capital investissement,
Plus en détailBaromètre sur le financement et l accès au crédit des PME
Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise
Plus en détailObservatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges
Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailDélais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM
Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailInvestissement étranger à la Bourse de Casablanca
Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailBaromètre des Pratiques de Paiement Atradius Enquête Internationale sur les comportements de paiements B2B Principaux résultats - Belgique
Résultats automne 2011 Baromètre des Pratiques de Paiement Atradius Internationale sur les comportements de paiements B2B Principaux résultats - Belgique 2 Tous droits réservés par Atradius NV Octobre
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailTechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012. Novembre 2012
TechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012 Novembre 2012 Sommaire 3 7 9 12 14 19 25 27 31 Présentation du baromètre Profil des entreprises Contexte économique Ressources humaines Financement
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailLE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE >>>
>>> LE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE SERVICE COMMUN UNIVERSITAIRE D INSERTION ET D ORIENTATION Campus centre-ville Site Ste Marthe 74 rue Louis Pasteur 84029 AVIGNON CEDEX 1 Tél. + 33 (0)4
Plus en détailLa fiscalité française source d attractivité pour les non-résidents propriétaires d une résidence secondaire?
Page 1 sur 5 Communiqué de presse Le 28 août 2014 6ème ÉDITION DE L OBSERVATOIRE BNP PARIBAS INTERNATIONAL BUYERS «Investing & Living abroad» 2014 La fiscalité française source d attractivité pour les
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailA 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.
1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises
Plus en détailNORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE
NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale
Plus en détailBaromètre sur le financement et l accès au crédit des PME
Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 25 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Mai 2015 Sommaire 1 - La méthodologie 2 - Les résultats de l étude A B C - L impact du contexte économique
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailLe financement locatif
Équipement des entreprises Le financement locatif Crédit-bail Location financière 10 questions /10 réponses L investissement est un acte économique fondamental pour l entreprise et une des clefs de sa
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL
ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailCONDITIONS CONTRACTUELLES APPLICABLES A L OPERATION «LES BONNES AFFAIRES MICROSOFT OFFRE MULTIPRODUITS»
DEFINITIONS CONDITIONS CONTRACTUELLES APPLICABLES A L OPERATION «LES BONNES AFFAIRES MICROSOFT OFFRE MULTIPRODUITS» «Remboursement» (en anglais, Cash Back) désigne la somme versée par Microsoft Ireland
Plus en détailM_CONTRAN Contrats nouveaux
M_CONTRAN Contrats nouveaux Présentation Le document M_CONTRAN recense, de manière exhaustive, les nouveaux contrats de crédit libellés en euros, conclus avec les particuliers, les sociétés non financières,
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailBaromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2
Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailBien plus qu un financement
Bien plus qu un financement Vous souhaitez étendre votre activité, accroître vos ventes? Vous avez des projets d investissement? Ensemble, on peut accélérer votre développement Vous êtes constructeur ou
Plus en détaililottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec
ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU L I V R E B L A N C En collaboration avec RÉSUMÉ 2 Ce livre blanc repose sur une étude commandée par Karma Gaming et réalisée par Gaming Insights Group. Les données viennent
Plus en détailPRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE
PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE ETUDE RHÔNE Septembre 2015 CCI LYON - DIRECTION DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET TERRITORIAL Page 1 I CCI DDIT Page 2 I CCI DDIT ommaire Avant-propos page
Plus en détailANALY ANAL S Y E S PR
ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailLes bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003
La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détailComité national d évaluation du rsa Annexes
Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont
Plus en détailUFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS
UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues
Plus en détailLE MARCHE DES AGENCES DE COMMUNICATION ÉVÉNEMENTIELLE EN FRANCE
LE MARCHE DES AGENCES DE COMMUNICATION ÉVÉNEMENTIELLE EN FRANCE Etude ANAé-Bedouk 2012 8 février 2012 Gérard Denis, Nicolas Dudkowski SOMMAIRE Périmètre de l étude 2010 : analyse des bilans" 2011 : le
Plus en détailLes internautes et les comparateurs de prix
FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailLes Français ais et à la consommation
Les Français ais et le crédit à la consommation Introduction Crédit Agricole Consumer Finance, acteur majeur du crédit à la consommation en Europe, publie un sondage réalisé par Opinionway sur les Français
Plus en détailM-Tourisme et réseaux sociaux : les pratiques des clientèles européennes
M-Tourisme et réseaux sociaux : les pratiques des clientèles européennes SOMMAIRE LES CONSTATS... 3 LA METHODOLOGIE... 3 CE QU IL FAUT RETENIR... 4 Google? Oui, mais pas que...4 Connectés, même en vacances!...4
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailG&R Europe Distribution 5
G&R Europe Distribution 5 Instrument financier émis par Natixis, véhicule d émission de droit français, détenu et garanti par Natixis (Moody s : A2 ; Standard & Poor s : A au 6 mai 2014) dont l investisseur
Plus en détailL Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0
L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailBaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014
BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détailCOMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?
Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailSondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada
Sondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada Faits saillants de la recherche Ce rapport sommaire présente quelques-uns des résultats du sondage en ligne mené par Phoenix
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailPréoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises
Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon
Plus en détailLES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT
LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT Série LÉGISLATION COMPARÉE LE NUMÉRO UNIQUE D IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES n LC 181 Décembre 2007 - 3 - LE NUMÉRO UNIQUE D IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES
Plus en détailObservatoire de la performance des PME-ETI
Observatoire de la performance des PME-ETI 46 ème édition Avril 2015 OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris. Charles-Henri d Auvigny, Matthieu Cassan, Emmanuel Kahn & pour Méthodologie Méthodologie
Plus en détailLes atouts de la France pour surmonter la crise
Les atouts de la France pour surmonter la crise Institut CSA pour RTL Juin 01 Fiche technique Sondage exclusif CSA / RTL réalisé par Internet du 1 au mai 01. Echantillon national représentatif de 100 personnes
Plus en détailLes artisans et leur banque
Chambre de métiers et de l artisanat de Région Nord - Pas de Calais Les artisans et leur banque Analyse des relations entre les artisans et leur banquier Enquête réalisée en août et septembre 2013 Octobre
Plus en détailLes portables plus fiables que les ordinateurs de bureau ENQUÊTE : ORDINATEURS ET FOURNISSEURS D ACCES INTERNET
ENQUÊTE : ORDINATEURS ET FOURNISSEURS D ACCES INTERNET Les portables plus fiables que les ordinateurs de bureau C. Rossini et R. Vanparys Les ordinateurs portables semblent moins propices aux problèmes
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailCréer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011
Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 PRESENTATION Le groupe ALTIOS International Une société leader dans le conseil et le développement opérationnel
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailDossier de presse. Contacts Presse
Dossier de presse Contacts Presse Oodrive : Mathilde Boudsocq (+33 (0)1 46 22 07 00 m.boudsocq@oodrive.fr) LEWIS PR : Barbara Govaerts & Audrey Liberge (+33 (0) 1 55 31 75 60 oodrivefrance@lewispr.com)
Plus en détailLE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015
LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION
Plus en détailENQUÊTE SUR LES ENTREPRISES DE L INDUSTRIE DE LA LANGUE AU CANADA
ÉTUDE ÉCONOMIQUE ENQUÊTE SUR LES ENTREPRISES DE L INDUSTRIE DE LA LANGUE AU CANADA Traduction, interprétation et formation linguistique d après une enquête menée par Statistique Canada en 2005 Août 2006
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailpanorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012
panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives
Plus en détail