SOMMAIRE QU EST-CE QU UN AVC? OBJECTIF : RECONNAÎTRE LES SIGNES POUR SAUVER DES VIES ET LIMITER LES SÉQUELLES
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- Aurélie Bonin
- il y a 6 ans
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1 2 ème édition
2 SOMMAIRE QU EST-CE QU UN AVC? OBJECTIF : RECONNAÎTRE LES SIGNES POUR SAUVER DES VIES ET LIMITER LES SÉQUELLES LES ACTIONS COORDONNÉES DANS LE CADRE DE LA CAMPAGNE AVC EN FRANCHE-COMTÉ LE GÉANT BLANC À LA RENCONTRE DES HABITANTS LES AVC EN FRANCHE-COMTÉ LES OBJECTIFS RÉGIONAUX DE LA PRISE EN CHARGE DES AVC LES ASSOCIATIONS FRANCE AVC DANS LA RÉGION 2
3 Les accidents vasculaires cérébraux (AVC), 1 ère cause de handicap physique chez l adulte, font nouvelles victimes chaque année en France et causent décès. Pour la Franche-Comté, ils concernent près de victimes par an. Ils peuvent avoir des conséquences graves et définitives telles qu un handicap moteur ou des difficultés à s exprimer. Ils peuvent également conduire au décès dans plus de 11 % des cas. Il existe des traitements d autant plus efficaces qu ils sont administrés très rapidement. C est pourquoi, chaque minute compte! En partant de la journée mondiale de l AVC du 29 octobre 2014, l Agence Régionale de Santé s engage avec ses partenaires et déploie auprès de la population franc-comtoise une action de communication à la rencontre des habitants. Un Géant Blanc de près de 3 mètres de hauteur, portant sur lui les points symbolisant les signes à reconnaître, va sillonner 6 villes de Franche-Comté. Installé le temps d une journée en cœur de ville, il sera accompagné par une équipe d animation qui délivrera les informations nécessaires. 3
4 QU EST-CE QU UN AVC? L AVC est un trouble vasculaire cérébral touchant les vaisseaux sanguins qui amènent le sang au cerveau. Il survient lorsque le flux sanguin rencontre un obstacle (caillot sanguin ou vaisseau sanguin rompu) qui bloque son passage vers les différentes parties du cerveau, ce qui prive ces dernières de leur apport vital en oxygène, causant leur dysfonctionnement puis leur mort en quelques minutes. Deux millions de cellules cérébrales meurent à chaque minute. Les effets dévastateurs d un accident vasculaire cérébral sont souvent permanents car les cellules cérébrales mortes ne sont pas remplacées. Il existe deux types d AVC : l les AVC ischémiques ou infarctus cérébraux (80 % des AVC) : artère bouchée par un caillot de sang, ce qui bloque la circulation sanguine, l les AVC hémorragiques (20 % des AVC) : rupture d une artère, déclenchant une hémorragie intracérébrale ou rupture d un anévrisme (malformation vasculaire congénitale), entraînant une hémorragie méningée. Il arrive que les signes ne durent que quelques dizaines de secondes ou quelques minutes : on parle alors d accident ischémique transitoire, lequel peut annoncer la survenue d un AVC constitué. L AVC est la première cause de handicap physique de l adulte en France. Les AVC sont souvent responsables de séquelles lourdes, l accident pouvant toucher des grandes fonctions neurologiques, telles que la motricité (hémiplégie), la sensibilité (anesthésie, douleurs), le langage (aphasie), la vision, ce qui entraîne de nombreuses difficultés de réinsertion. L AVC représente une très grande urgence médicale du fait de sa survenue brutale, de sa gravité et de la possibilité d améliorer l état du patient grâce à un traitement immédiat (la trombolyse). La prise en charge en urgence de l AVC par l équipe spécialisée en unité neurovasculaire (UNV) permet de réduire ses conséquences. Malgré cela, l AVC reste une maladie grave, les deux tiers des personnes atteintes conservant des séquelles et certaines devenant dépendantes dans leur vie quotidienne. Source : 4
5 OBJECTIF : RECONNAÎTRE LES SIGNES POUR SAUVER DES VIES ET LIMITER LES SÉQUELLES Afin d éviter des séquelles graves, il est nécessaire de faire connaître les trois signes caractéristiques de l AVC et la conduite à tenir. En cas d apparition brutale de l un des signes suivants, il faut composer le 15 même si les signes disparaissent : l déformation ou engourdissement de la bouche : lorsque la personne sourit, le sourire est asymétrique, l faiblesse ou engourdissement d un côté du corps : lorsque l on demande à la personne de lever les deux bras devant elle, l un des bras ne peut être levé ou rester en hauteur, il retombe, l difficulté à parler : lorsque l on demande à la personne de répéter une phrase, elle a des difficultés à parler ou à comprendre. En attendant les secours, il faut : l allonger la personne avec un oreiller sous la tête jusqu à l arrivée des secours, l noter l heure où les signes sont apparus ou quand la personne a été vue pour la dernière fois sans signe, l regrouper si possible les ordonnances et les résultats des dernières prises de sang réalisées. UNE DÉFORMATION DE LA BOUCHE UNE FAIBLESSE D UN CÔTÉ DU CORPS, BRAS OU JAMBE Il est très important de ne pas faire boire ni manger la personne, de ne pas lui donner de médicament ni lui faire d injection. DES TROUBLES DE LA PAROLES APPELEZ IMMÉDIATEMENT LE SAMU 15 5
6 LES ACTIONS COORDONNÉES DANS LE CADRE DE LA CAMPAGNE AVC EN FRANCHE-COMTÉ JOURNÉE MONDIALE AVC le 29 octobre 2014 Des stands d information et de sensibilisation aux signes de l AVC sont organisés par les partenaires (Centres hospitaliers, Réseau Franc-Comtois des AVC, FRANCE AVC,...) à l occasion de la journée mondiale de l AVC. LIEUX CHRU de Besançon - Hall CHI de Haute-Saône - Site de Vesoul - Hall CH de Lons-le Saunier - Hall bâtiment A CH de Pontarlier HEURES 10h à 16h 10h à 17h 9h à 16h 9h à 17h le 4 novembre 2014 LIEUX HEURES CH de Dole - Hall 14h à 17h30 SOIRÉE SPÉCIALE CINÉMA le 4 décembre 2014, au Mégarama de Besançon À l occasion de la clôture de la campagne, une projection/débat autour du film «Le scaphandre et le papillon» sera organisée au cinéma Mégarama Valentin. 400 places seront distribuées via un jeu concours et sur les étapes du parcours du Géant Blanc. LE SCAPHANDRE ET LE PAPILLON de Julian Schnabel (2007) Suite à un accident vasculaire cérébral brutal, Jean- Dominique Bauby, journaliste et père de deux enfants, est paralysé de la tête aux pieds. Atteint de ce que la médecine appelle le «locked-in syndrome», il ne peut plus bouger, parler ni même respirer sans assistance. Dans ce corps inerte, seul un œil bouge. Cet œil, devient son lien avec le monde, avec les autres, avec la vie... 6
7 LE GÉANT BLANC À LA RENCONTRE DES HABITANTS Afin de sensibiliser les habitants à la reconnaissance immédiate des signes de l AVC et à la conduite à tenir, rien de plus efficace que le contact direct avec la population. Un géant blanc de près de 3 mètres de hauteur va sillonner 6 villes de Franche-Comté. Il s installera pour une journée en cœur de ville, portant sur lui les points symbolisant les signes à reconnaître. Aux cotés du géant se tiendra un stand avec des professionnels de santé et des animateurs pour informer sur les signes à reconnaître et donner toutes les explications nécessaires. 6 villes de Franche-Comté recevront le Géant Blanc du 30 octobre au 25 novembre CALENDRIER DE L OPÉRATION JOUR Jeudi 30 octobre Mardi 4 novembre Samedi 8 novembre Mardi 18 novembre Jeudi 20 novembre mardi 25 novembre LIEUX Saint-Claude (CH Louis Jaillon) Morteau (sur le marché) Besançon (galerie Géant Casino) Gray (CH de Gray) Lons-le-Saunier (sur le marché) Vesoul (Foire de la Sainte Catherine) PARCOURS DU GÉANT AVC 7
8 LES AVC EN FRANCHE-COMTÉ En 2013, la Franche-Comté a dénombré hospitalisations pour AVC, dont 82% d AVC ischémique et 18% d AVC hémorragique. Nombre d hospitalisations pour AVC en Franche-Comté, par hôpital, en 2013 CH de Champagnole CH de St-Claude CH de Gray CH de Pontarlier CH de Dole CH de Lons le Saunier CHI de Haute-Saône CH de Belfort- Montbéliard CHRU de Besançon Évolution du nombre d hospitalisations pour AVC dans les établissements Franc-Comtois En 2013, 14 % des personnes ayant subi un AVC en Franche-Comté ont été transférées vers une Unité de Soins de Suite et Réadaptation. 8
9 En 2013, le taux d incidence est de 25 pour habitants en Franche-Comté En épidémiologie, le taux d incidence rapporte le nombre de nouveaux cas d une pathologie observés pendant une période donnée - population incidente - à la population dont sont issus les cas (pendant cette même période) - population cible -. Source INSEE Les risques de faire un AVC augmentent sensiblement avec l âge 35 % 30 % 25 % 20 % 15 % 10 % 5 % 0 % < 45 ans ans ans ans ans 85 ans et + Âge des patients franc-comtois au moment de l AVC La moyenne d âge des patients hospitalisés pour un AVC est de 72 ans en Franche-Comté sur l année Hommes 48,9 % Femmes 51,1 % Entre 40 et 74 ans, les hommes sont 1.5 fois plus touchés par un AVC que les femmes. Cela dit, le nombre de femmes hospitalisées pour un AVC est plus important que le nombre d hommes. Ceci s explique par l espérance de vie plus élevée des femmes et l augmentation du risque lié à l âge. Pour plus d informations : 9
10 LES OBJECTIFS RÉGIONAUX SUR LA PRISE EN CHARGE DES AVC La prise en charge initiale repose sur l admission en service spécialisé, l unité neurovasculaire (UNV), qui permet d assurer l expertise neurologique. En Franche- Comté, l organisation comporte actuellement une UNV de recours située au CHRU de Besançon et deux UNV implantées à Montbéliard et à Lons le Saunier, une troisième UNV est prévue à Vesoul. Une personne ayant une suspicion d AVC doit appeler ou faire appeler le 15 pour que l orientation dans un établissement de santé adapté soit la plus rapide possible. Des établissements et services de soins de suite et de réadaptation permettent de mettre en place une rééducation adaptée aux besoins et aux capacités des patients. 80 % des patients sont pris en charge dans 4 établissements de la région : l CHRU de Besançon l CH de Belfort-Montbéliard l CHI de Haute-Saône l CH de Lons-le-Saunier LE SCHÉMA CIBLE DE L ORGANISATION RÉGIONALE A la survenue de l AVC chez une personne, la prise en charge initiale est réalisée grâce au concours des médecins libéraux, du centre 15, des services d accueil des urgences, des unités neurovasculaires (UNV - sites avec neurologues) et des services de médecine (sites sans neurologue) présents dans la région. 1. Une bonne connaissance par la population des signes évocateurs de l AVC L amélioration de la connaissance par l ensemble de la population des signes évocateurs de l AVC est indispensable pour améliorer la prise en charge des patients. Par ailleurs, la prévention des facteurs de risque comme l hypertension artérielle, le tabac, l obésité et des régimes alimentaires riches concourt à diminuer le nombre d AVC. 2. Une entrée des patients dans les filières par le centre 15 Lorsqu il y a une suspicion d AVC chez une personne, l appel du 15 est primordial pour orienter le mieux possible et dans les meilleurs délais le patient vers la structure la plus adéquate. 3. La coordination de la filière hospitalière Il convient que les patients soient le plus possible orientés par l intermédiaire du centre 15, dans la filière hospitalière la plus proche (accès à moins de 30 minutes). À l hôpital, chaque minute compte pour établir le diagnostic par l examen de neuroimagerie (IRM ou scanner) et débuter les traitements. La coordination entre tous les professionnels des services d urgences, de radiologie et de neurologie est cruciale. 4. Une organisation territoriale au travers des filières locales L ambition régionale est de permettre à un nombre croissant de patients de pouvoir être pris en charge dans une filière spécialisée. 10
11 En 2013, 44 % des Francs-Comtois victimes d AVC ont été pris en charge dans une filière spécialisée (unité neurovasculaire UNV). Ce taux est encourageant, puisqu il progresse chaque année et qu il est supérieur à la moyenne nationale qui est proche de 35 %. Toutefois, il reste encore éloigné des 100 %, objectif du Plan AVC Cette organisation a nécessité d une part la structuration des filières locales et d autre part le renforcement d un travail en réseau régional coordonné avec notamment l appui de la télémédecine. Les filières locales sont articulées autour des UNV reconnues (Montbéliard et Lons-le- Saunier) ou à construire (Vesoul), autour de celle de recours située au CHRU de Besançon ainsi que dans les sites périphériques tel que Pontarlier, Dole, Gray, ou Saint-Claude. 5. La poursuite du développement de la télémédecine Les efforts de la région pour développer l offre de soins en télémédecine dédiée à la prise en charge des AVC sont à souligner. Que ce soit en matière de téléexpertise, téléconsultation ou d assistance, notamment pour l accès à la thrombolyse : l Les liaisons vidéo sont établies pour la plupart des établissements dans des salles d examen des services d urgence en lien avec une UNV, l Les scanners et IRM sont connectés, et le transfert des images entre les établissements de la région et le service de neurologie du CHRU est opérationnel, l La prise de décision de thrombolyse à distance est désormais faite en routine. Elle concerne environ un tiers des patients thrombolysés dans la région. Les prochaines étapes consistent à poursuivre le déploiement des outils de télémédecine, en particulier dans les structures de soins de suite et de réadaptation pour renforcer le suivi des patients AVC, et à poursuivre l expérimentation de la téléassistance à l échographie doppler transcrânien. 6. Un suivi des patients dans les premiers mois suivant l AVC L ARS a accompagné une nouvelle organisation de la prise en charge des AVC dans la région avec la mise en œuvre des filières locales qui comprennent les établissements sanitaires et médicosociaux ainsi que les professionnels de santé de ville d un secteur géographique. Elles sont spécifiquement animées par un professionnel positionné au sein de l UNV dont la mission est en outre d assurer un suivi des patients qui le nécessitent au cours des premiers mois suivant l AVC. L animateur a ainsi pour mission de suivre, à partir d indicateurs physiques et psychiques et, si besoin, de réorienter le patient dans le dispositif de soins. L objectif des filières locales est de faire que les acteurs de santé du secteur se connaissent, que les patients soient bien orientés (prise en charge initiale, rééducation, hospitalisation à domicile ) et que la coordination soit renforcée avec le médecin traitant. Par ailleurs, un axe de travail est également d améliorer la structuration de la filière d aval pour les patients ayant des séquelles et ayant besoin de rééducation fonctionnelle, orthophonique et/ou orthoptique adaptée : rééducation, hospitalisation à domicile, établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). 11
12 LES ASSOCIATIONS FRANCE AVC DANS LA RÉGION Les associations d aide aux patients et familles victimes d accident vasculaire cérébral, composées de malades et de proches de malades, ont pour objectifs d informer sur les AVC et d apporter aide et soutien. Mais leurs actions ne s arrêtent pas aux portes des associations et des groupes de paroles. En effet, les bénévoles se déplacent auprès des communes notamment, pour proposer des actions de prévention et d information sur les AVC et sur les prises en charge possibles. France AVC Sud 25 Doubs et Haute-Saône (Sauf aire urbaine de Montbéliard et Héricourt) CISS Franche-Comté 2, Place Saint-Jacques Besançon Tél franceavcsud25@live.fr Président : M. Bernard BELPOIS France AVC Aire urbaine de Montbéliard, Belfort, Héricourt 2, Allée des Camelines Bart Tél juliane.henry@orange.fr Présidente : Mme Juliane PROST-HENRY France AVC 39 Maison des associations 9, Avenue Aristide Briand Dole Tél franceavc39@wanadoo.fr Président : M. Didier PETITJEAN CONTACT PRESSE William TRAVERSIER-LOUDIYI tél william.traversier@ars.sante.fr
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