Administrer la contraception orale
|
|
- Geoffroy Ruel
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ORDONNANCE COLLECTIVE OC Rédigé/révisé par : Direction des soins infirmiers (Ariane Couture), Département de pharmacie (Lise Grenier), Département des programmes communautaires (D re Finnualla Kearns). Date d entrée en vigueur : Date de révision : Administrer la contraception orale d urgence (COU) Lévonorgestrel Prochaine révision prévue : 2019 PROFESSIONNELS HABILITÉS * À EXÉCUTER L ORDONNANCE Les infirmières du CSSS de la Vieille-Capitale qui possèdent la formation pertinente, les connaissances et les compétences nécessaires à l application de l ordonnance collective et qui travaillent dans les secteurs suivants : Programmes ou directions 1 Services gériatriques spécialisés Hébergement Longue durée ASM FEJ SAD Services de santé généraux UMF Autres X X X X X * Le personnel d agence s assure de posséder les connaissances, la formation et les compétences nécessaires avant de prendre une décision reliée à cette ordonnance collective. ACTIVITÉS RÉSERVÉES Évaluer la condition physique et mentale d une personne symptomatique. Administrer la contraception orale d urgence. RÉFÉRENCE À UN PROTOCOLE ET À UN FORMULAIRE Oui Non PERSONNES VISÉES OU SITUATION CLINIQUE VISÉE PAR L ORDONNANCE Toutes les femmes ayant eu une relation sexuelle non protégée et désirant réduire le plus possible le risque de grossesse non planifiée. 1 SGS : Services gériatriques spécialisés (unité transitoire de récupération fonctionnelle (UTRF) et équipe de consultation spécialisée en gériatrie et en gérontopsychiatrie (ECSGG)) C.H. : Centre d hébergement ASM : Adulte santé mentale (équipe de suivi d intensité variable(siv), service régional en santé mentale (SRSM), services intégrés de dépistage et de prévention-services à bas seuil d accessibilité SIDEP-SABSA, santé publique) FEJ : Famille Enfance Jeunesse (0-4 ans, scolaire, clinique jeunesse, santé au travail) SAD : Soutien à domicile (secteur régulier, DI-DP-TED, centre de jour, services alternatifs à l hébergement) SSG : Service de santé généraux et de santé publique (services courants, clinique de santé des immigrants, cliniques externes spécialisées, prévention et contrôle des infections) UMF : Unité de médecine familiale
2 OC Administrer la contraception orale d urgence (COU) Page 2 de 6 INDICATIONS Et Relation sexuelle non protégée définie comme une relation sexuelle sans contraception ou une utilisation inadéquate d une méthode contraceptive. Survenue dans les 120 dernières heures. CONDITIONS D INITIATION Évaluation par l infirmière. Autorisation parentale ou du tuteur nécessaire pour les moins de 14 ans. INTENTION THÉRAPEUTIQUE Prévention de la grossesse. CONTRE-INDICATIONS Dans les situations suivantes, l infirmière ne peut administrer la COU. Elle réfère l usager à un médecin. Grossesse connue. Allergie à un ingrédient du produit. DIRECTIVES INFIRMIÈRES Effectuer la démarche de soins infirmiers selon le formulaire COU : Évaluer le risque de grossesse. Faire un test de grossesse si retard des menstruations, si menstruations récentes anormales ou si saignements intermenstruels. Ne pas administrer la COU si contre-indications présentes. Prendre la tension artérielle. Une tension artérielle élevée n est pas une contre-indication. Prendre le poids. Se référer à l encadré ci-dessous et à l arbre décisionnel. Administrer la COU le plus tôt possible dans les 5 jours (120 h) suivant une relation sexuelle non protégée. En tout temps, un stérilet d urgence au cuivre peut être installé jusqu à 5 jours après la relation sexuelle, ce qui constitue l option la plus efficace. Administrer 2 comprimés de lévonorgestrel 0,75 mg au moment de la visite. Après avoir administré la COU, référer au médecin ou à la clinique de planification des naissances pour installation de stérilet le cas échéant. Si la relation sexuelle a eu lieu il y a plus de 5 jours et moins de 7 jours, l infirmière peut contacter la clinique de planification des naissances afin que la possibilité d installer un stérilet d urgence au cuivre soit évaluée par un médecin. Autres directives : Si vomissement dans les 2 heures suivant la prise, obtenir une nouvelle dose au CLSC ou à la pharmacie et reprendre la dose aussitôt que possible. Informer que la COU ne prévient pas la grossesse si nouvelle relation sexuelle non protégée suivant son utilisation. On doit répéter la COU dans cette circonstance.
3 OC Administrer la contraception orale d urgence (COU) Page 3 de 6 Pour les demandes répétées de COU, s assurer d une intervention plus soutenue en contraception ou d une référence infirmière ou médicale. L utilisation répétée ne pose aucun risque connu pour la santé. Elle ne constitue pas un motif de refus ou de réticence quant à son accessibilité (SOGC, 2003). Faire test de grossesse si aménorrhée après 3 semaines ou si prochaines menstruations inhabituelles. Assurer l enseignement requis. Poids et efficacité de la COU Le 26 mars 2014, Santé Canada a émis un avis remettant en question l efficacité de la pilule contraceptive d urgence au lévonorgestrel (LNG) chez les femmes présentant un indice de masse corporel élevé. En effet, la COU pourrait être moins efficace chez les femmes pesant de 165 à 176 livres (75 à 80 kg) et inefficace chez les femmes pesant plus de 176 livres (80 kg). Bien que ces données soient nouvelles et que des preuves scientifiques supplémentaires seront nécessaires afin de les confirmer, cette annonce comprend tout de même des répercussions sur nos pratiques en premières lignes. Ainsi, considérant que : - L avis de Santé Canada était basé sur une méta-analyse de deux études, faites chez des femmes du Royaume-Uni, d Irlande et des États-Unis, qui montrait que l efficacité des pilules contraceptives d urgence au LNG diminuait à mesure que le poids ou l indice de masse corporelle (IMC) augmentait; - Une méta-analyse récente de trois études de l Organisation mondiale de la santé faites chez des femmes canadiennes, européennes, africaines et asiatiques, contredit la précédente méta-analyse et n observe aucune modification de l efficacité des pilules contraceptives d urgence au LNG en fonction du poids; - Les pilules contraceptives d urgence au LNG sont des médications sécuritaires ayant peu d'effets secondaires, aucun effet sur une grossesse éventuelle, aucun effet abortif; - Quel que soit le poids ou l'imc des femmes, le stérilet au cuivre d'urgence est l'option la plus efficace avec un taux d'échec de 0,1 % et une possibilité de contraception à long terme. La COU n étant pas la seule option en matière de contraception d urgence, un arbre décisionnel Interventions infirmières entourant la contraception orale d urgence (COU) en regard du poids a été créé afin d orienter les interventions des infirmières auprès de la clientèle concernée (voir ci-bas). L infirmière doit s y référer pour guider ses interventions. LIMITES / RÉFÉRENCE AU MÉDECIN, À L INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) OU À UN PARTENAIRE Relation sexuelle non protégée il y a plus de 5 jours et moins de 7 jours. Désir de l usagère de recourir au stérilet d urgence au cuivre. Toute situation clinique non prévue par cette ordonnance collective. Si agression sexuelle, référer immédiatement au Centre d aide et de lutte contre les agressions sexuelles (CALACS, aussi connu sous le nom de Viol-secours) 1 après avoir donné la COU. La Loi sur la Protection de la jeunesse (chapitre 4, article 38 à 39.1) oblige les professionnels à signaler sans délai à la DPJ tout cas d'abus sexuel chez les mineurs. 1 CALACS : Offre soutien psycho-social et accompagnement pour démarches médico-légales. Ligne ressource sans frais pour victimes d agression sexuelle : Offre de l écoute 24h/7jours.
4 OC Administrer la contraception orale d urgence (COU) Page 4 de 6 Arbre décisionnel Interventions infirmières entourant la contraception orale d urgence (COU) en regard du poids de l usagère Pertinence d administrer la COU selon l évaluation clinique de l infirmière Discuter avec l usagère des différentes options qui s offrent à elle afin qu elle prenne une décision éclairée. Pour ce faire, l informer de la possibilité d avoir recours au stérilet d urgence au cuivre, qui est reconnu plus efficace que la COU (taux d échec de 0,1 %). Peser l usagère < 75 kg (165 lb) 75 kg (165 lb) Aviser l usagère des données scientifiques contradictoires concernant l efficacité de la COU chez les femmes dont le poids est 75 kg ou ayant un IMC 25 Effet de l IMC sur l efficacité de la COU au LNG 1 1 Références : Glasier A, Cameron ST, Blithe D et al. Contraception EMA Statement 24 July 2014 Quel que soit le poids de l usagère, proposer deux alternatives : 1. Donner la COU ou 2. Donner la COU et orienter vers la clinique de planification des naissances pour insertion d un stérilet au cuivre d urgence.
5 OC Administrer la contraception orale d urgence (COU) Page 5 de 6 RÉFÉRENCES Cleland K, Zhu H, Gosldstuck N, Cheng L, Trussell J. The efficacy of intrauterine devices for emergency contraception: a systematic review of 35 years of experience. Human Reproduction 2012;0(0):1-7. Directives cliniques de la SOGC. (2012). Contraception d urgence. Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. n o 280. European Medicines Agency. Levonorgestrel and ulipristal remain suitable emergency contraceptives for all women, regardless of bodyweight. 24 July EMA/440549/2014. Glasier A, Cameron ST, Blithe D, Scherrer B, Mathe H, Levy D, Gainer E, Ulmann A. Can we identify women at risk of pregnancy despite using emergency contraception? Data from randomized trials of ulipristal acetate and levonorgestrel. Contraception 2011(84): Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). (2012). Pilules contraceptives d urgence ou contraception orale d urgence [Document de travail]. Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). (2011). Modèle d ordonnance collective de contraception d urgence. Ordre des infirmières et infirmiers du Québec. (2012). Standards de pratique pour l infirmière en santé scolaire. Montréal, Québec. Santé Canada. Les contraceptifs oraux d urgence porteront des mises en garde indiquant leur efficacité réduite chez les femmes au-delà d un certain poids. 26 mars consulté le 26 mars Thériault N., Risi C., Lessard J. et Guilbert E. (2009). Avis du comité d expert en planning familial. Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).
6 OC Administrer la contraception orale d urgence (COU) Page 6 de 6 PROCESSUS D ÉLABORATION ET D ADOPTION Dr Pascale Cholette Médecin, chef du département des programmes communautaires Date Pierrette Carrier Chef du département de pharmacie Date Agnès Gaudreault Directrice des soins infirmiers Date Dr Serge Bordeleau Président du CMDP Date Dr Alain-Philippe Lemieux Directeur général adjoint des affaires universitaires et cliniques, et des services professionnels Date Adopté par le CMDP Date d entrée en vigueur Date de révision ,
7 Algorithme décisionnel pour l administration de la COU chez une mineure de moins de 14 ans Évaluation infirmière Pertinence d administrer la COU Recherche de l autorisation du parent ou du détenteur de l autorité parentale (DAP) La jeune accepte que l on contacte son parent ou le DAP La jeune refuse que l on contacte son parent ou le DAP Appel au parent ou au détenteur de l autorité parentale Informer la jeune du soutien que l on peut lui apporter (ex : téléphoner avec elle à son parent) Autorisation donnée Autorisation refusée Parent ou DAP non rejoint Accepte que l on contacte son parent Maintient son refus Administration de la COU Discussion avec le parent ou DAP et explications données pour un choix éclairé. Administration de la COU * et remise des coordonnées de l infirmière à la jeune afin que le parent puisse communiquer avec elle Voir la trajectoire : «Appel au parent» pour la suite de l intervention Rédaction de notes claires et détaillées au dossier décrivant les raisons du refus de la jeune Donner un rendezvous pour le suivi (ex : contraception) Parent refuse Pas de COU Donner un rendez-vous pour le suivi (ex. : counseling, test de grossesse et/ou contraception) Parent accepte COU donnée Donner un rendez-vous pour le suivi Sources : - OIIQ. (2012). Standards de pratiques pour l infirmière en santé scolaire. P Avis comité éthique clinique situation # CEC Garneau, L., Paquin, F., Rochefort, L. (2005). L éthique dans la pratique auprès des adolescentes. Le médecin du Québec, vol.40, no 1. - Perras, D. (1996). Consentement aux services dispensés à un mineur. Document de référence Fédération des CLSC du Québec, p Rousseau, C. (1994). Consentement aux soins médicaux pour le mineur. Congrès annuel du Barreau du Québec, p Bilodeau, L., Dubois-Blanchette, D., Parent, R., Pépin, R. (1990). Le secret de Léa, la confidentialité à tout prix?. Nursing Québec, vol. 10, no 2, p Charbonneau, L. (1990). La contraception avant 14 ans. Le médecin du Québec. Conception : Comité de concertation clinique 5 25 ans et N. Dubé / DSI / Révision : A. Couture, DSI/ Administration de la COU * * Chez les moins de 14 ans : l Ordre des infirmières et infirmiers du Québec ainsi que le Collège des médecins du Québec sont d avis que la «pilule du lendemain» est une intervention «d urgence», au sens de l article 13 du Code civil du Québec. Le consentement d un parent n est donc pas nécessaire s il ne peut être obtenu en temps utile, et si l intégrité de la jeune est menacée en l absence d ordonnance (OIIQ, 2012). Donner un rendez-vous pour le suivi de la situation ANNEXE 1
8 ANNEXE 2 INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES POUR L INFIRMIÈRE MODE D ACTION Le lévonorgestrel agit en inhibant ou retardant l ovulation et en inhibant la fécondation (Guilbert, 2012). Il entrave la maturation folliculaire, le processus ovulatoire, la formation du mucus cervical, la migration des spermatozoïdes, le maintien du corps jaune, la réceptivité de l endomètre, la fécondation ou la croissance du zygote, son transport ou son adhérence. EFFETS INDÉSIRABLES Menstruations 7 à 21 jours après (le plus souvent avant ou à la même date prévue du cycle) Nausées (23,1 %) Fatigue (16,9 %) Étourdissements (11,2 %) Vomissements (5,6 %) Céphalée (peu courant) Douleurs aux seins (peu courant) Pertes vaginales légères ou saignements (peu courant) Crampes abdominales (peu courant) EFFICACITÉ Selon l INSPQ (2012), la COU est efficace à : 95 % si administré < 24 h de la relation sexuelle non protégée 85 % si administré de 25 à 48 h de la relation sexuelle non protégée 58 % si administré de 49 à 72 h après la relation sexuelle non protégée Taux légèrement inférieur à 58 % si administré de 73 à 120 h après la relation sexuelle non protégée.
9 ANNEXE 3 Administrer la contraception orale d urgence (COU) Lévonorgestrel Cette case doit contenir : N o dossier, nom et prénom, date de naissance (aaaa-mm-jj). Histoire de santé Date des dernières menstruations (DDM) 20 / / e jour du cycle Quantité habituelle Oui Si non Cycle habituel : jours Durée jours Dernière relation sexuelle non protégée Date 20 / / Heure : Intervalle Raison Aucune contraception Échec du condom Oubli de contraceptif Autres Autres relations sexuelles non protégées depuis les DDM Oui Non Contraception actuelle ATCD de contraception ATCD de COU (nombre, effets, quand, etc.) Situations particulières (I.V.G., abus sexuel ou autres) Si agression sexuelle, référer immédiatement à Viol-Secours après avoir donné la COU. Limite/référence à l IPSPL, au médecin ou à la clinique de planification des naissances Allergie à une composante du produit. Grossesse. Relations sexuelles > 120h car possibilité d installer un stérilet d urgence en cuivre. Situation clinique non prévue dans l ordonnance collective Aucune limite/référence à l IPSPL, au médecin ou à la clinique de planification des naissances. Autorisation parentale Autorisation parentale ou du tuteur nécessaire pour les moins de 14 ans (voir algorithme décisionnel à l annexe 1 de l ordonnance collective). Consentement parental ou du tuteur obtenu Oui Non S/O Date Heure Nom Lien Téléphone Examen physique et interventions Signes vitaux TA / Bras Gauche Droit Pouls /min Procéder à un test de grossesse si retard des menstruations, si menstruations récentes anormales ou si saignements intermenstruels. Résultat du test de grossesse Positif Négatif S/O (Ne pas administrer la COU si le test est positif.) Remettre 2 comprimés de lévonorgestrel 0,75 mg, en une seule dose. Donner les informations suivantes : Prise du médicament en une seule dose le plus tôt possible, idéalement sur place. Efficacité et effets indésirables (voir Informations complémentaires pour l infirmière, Annexe 2, Ordonnance collective COU). Informer l usagère que la COU pourrait être moins efficace chez les femmes de 165 à 176lbs et inefficace chez les femmes de plus de 176 lbs. Quel que soit le poids ou l IMC de l usagère, offrir la possibilité d avoir recours au stérilet d urgence au cuivre (taux d échec de 0,1%) Si vomissement dans les 2h suivant la prise, obtenir une nouvelle dose au CLSC ou à la pharmacie et reprendre la dose aussitôt. GF- 273 (13-10) Administrer la contraception orale d urgence (COU) Lévonorgestrel Page 1 sur 2
10 La COU ne prévient aucune autre grossesse à venir. Aucun effet tératogène documenté dans les cas où une grossesse survenait malgré la prise de comprimés. Disponibilité de la COU en pharmacie (couverture par le régime d assurance médicaments du Québec ou par un régime privé). Autre Assurer l enseignement suivant : Utilisation d une méthode contraceptive jusqu aux prochaines menstruations. Surveillance des prochaines règles et reprise d un rendez-vous dans 3 semaines ou procéder à un test de grossesse si aménorrhée ou si les menstruations sont anormales. Choix d une contraception future. Pour les demandes répétées de COU, assurer d une intervention plus soutenue en contraception. Explication des modalités pour la poursuite de la prise de la contraception habituelle. Counseling ITSS et référence ou dépistage si besoin Autre Remise de condoms. Note Signatures Signature de l infirmière Autorisation de l usager (milieu scolaire) Date Date Page 2 sur 2
11 ANNEXE 4
12 ANNEXE 5
P.S.E. 1 ère situation d évaluation
Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailLa mienne est. La mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en
Plus en détailDate De Création 14/05/2013. PIC Poitou Charente. Préparé par : Cécilia CHARTIER. Modification 14/05/2013
Protocole médical Préparé par : Cécilia CHARTIER Objet : recueillir les données (poids, tension, qualité de vie) des patients à leur domicile par le biais d un système Twitoo (recueil d information par
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailGUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS. pour les centres d hébergement. Décembre 2007 Direction des soins infirmiers
GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS pour les centres d hébergement Décembre 2007 Direction des soins infirmiers CE GUIDE A ÉTÉ PRODUIT PAR L ÉQUIPE DE LA DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS
Plus en détailINFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC
INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?
Plus en détailRAPPORT ANNUEL 2012-2013. Conseil des Infirmières et Infirmiers
RAPPORT ANNUEL 2012-2013 Conseil des Infirmières et Infirmiers PRÉSENTATION DES MEMBRES ÉLUS Fréderic Drolet, vice-président infirmier au soutien à domicile, CLSC Saint-Laurent Nicole Exina, secrétaire
Plus en détailNiveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017
et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailLa planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule
La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule Fistula Care à EngenderHealth 440 Ninth Avenue, 13th Floor New York, NY, USA 10001 Tel: 212-561-8000 E-mail: fistulacare@engenderhealth.org
Plus en détailINSPECTION PROFESSIONNELLE
INSPECTION PROFESSIONNELLE INSTRUMENT DE VÉRIFICATION DE LA NORME DE DOCUMENTATION LE PLAN THÉRAPEUTIQUE INFIRMIER PRODUCTION Service des publications Sylvie Couture Chef de service Karine Méthot Adjointe
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailLA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?
LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLaurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.
Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailLe processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante
Le processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante Marilou Dionne, inf. M.Sc. Conseillère clinicienne en soins infirmiers Manon Allard, inf. M.Sc. Coordonnatrice
Plus en détailLa mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est La mienne sans ordonnance dure 3 ans La mienne n est La mienne est pas contraignante hebdomadaire La mienne est
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLes offres de services spécialisés
Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON
Plus en détailCRIXIVAN 400mg. Indinavir, IDV. IP inhibiteurs de la protéase
CRIXIVAN 400mg Indinavir, IDV IP inhibiteurs de la protéase Info-médicaments anti-vih en LSQ Octobre 2011 Français : LSQ : Il faut prendre 2 comprimés de Crixivan à jeun d avoir mangé aux 8 heures (trois
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailL accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de
Plus en détailEtudes d utilisation médicamenteuse et accès aux bases de données de soins de santé : Enjeu sociétal et juridique
Etudes d utilisation médicamenteuse et accès aux bases de données de soins de santé : Enjeu sociétal et juridique Aurore Bergamasco, Caroline Tremblay, Alia Yousif, Yola Moride Pharmacoepidemiology & Risk
Plus en détail_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_
_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin
Plus en détailDirection de l'hébergement. Tous les services en CLSC
Direction de l'hébergement ADMISSIONS ET TAUX D'OCCUPATION Centre d'hébergement Quatre-Saisons 34 28 90,20% 99,47% Centre d'hébergement Quatre-Temps 168 190 99,40% 98,45% Centre d'hébergement Saint-Michel
Plus en détailDr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne
CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga
Plus en détailLe genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.
Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailVous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier.
Vous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier. Pour votre sécurité et la nôtre Savez vous qu il existe des règles de sécurité que vous devez respecter? Document produit à l intention des patients
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailDoit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir?
CG 08-02-29 / 011 (FEC) Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? Document de réflexion présenté au Conseil général de la Fédération des enseignantes
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ACTIVITÉ(S) RÉSERVÉE(S) Évaluer la condition physique et mentale d une personne symptomatique Administrer et ajuster des médicaments lorsqu ils font l objet d une ordonnance Contribuer au suivi de la grossesse,
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailL infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailCONTENU DU CAHIER DE GESTION
COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires
Plus en détaildocument révisé le 2008-03-05
document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration
Plus en détailBesoins des intervenants en santé publique concernant la prévention des TMS
Besoins des intervenants en santé publique concernant la prévention des TMS Résultats d un sondage auprès des représentants régionaux en ergonomie Louis Gilbert, DSP de Québec Susan Stock, DSP de Montréal-Centre
Plus en détailRELAIS BABY-SITTING Bureau Information Jeunesse Saint-lô CANDIDATURE BABY-SITTER
CANDIDATURE BABY-SITTER NOM DATE DE NAISSANCE Téléphone PRENOM SEXE M F Portable E-mail Statut Lycéen Etudiant Demandeur d emploi En formation Autre ; précisez : Véhicule Aucun Voiture Formation en rapport
Plus en détailFICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE
FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D ( à retourner dactylographiée 4 mois avant la date de recrutement souhaitée) PAYS : CHINE
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailCAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS
Communiqué CAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS Gatineau, le 14 septembre 2009. Campus santé Outaouais, le consortium créé en juin 2008 et dont
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION
ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.
Plus en détailÉnoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada
POLITIQUE DE L AMC Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada Les pénuries de plus en plus graves de médicaments d ordonnance des dernières années et les ruptures de stocks
Plus en détailLe champ d exercice et les activités réservées des infirmières
Le champ d exercice et les activités réservées des infirmières Mise à jour du guide d application publié en 2003 NOTE AU LECTEUR Le Service de refonte du ministère de la Justice effectue jusqu en janvier
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailLES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1
LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailConnaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse
Faculté de médecine Université de Montréal Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse Fanny Parent Résidente 1, médecine familiale HMR Projet d érudition 30 mai 2014 Introduction
Plus en détailService Municipal d Accueil Postscolaire
Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailau service de chacun!
Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailDEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME
DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME PAR: GINETTE DUROCHER 22 JUILLET 1986 INSTITUT NATIONAL OE StfTt PlBtlQlI DU QUÉBEC CENTRE
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailInfo Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013
BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation
Plus en détailFormation continue. Politique de publicité sur le portail de formation continue. Projet LMS. Le 24 novembre 2011
Formation continue Politique de publicité sur le portail de formation continue Projet LMS Le 24 novembre 2011 Préparée par la Direction principale, Stratégie, Services et Communication POLITIQUE DE PUBLICITÉ
Plus en détailLes formations initiale et continue ont pour objectif de permettre aux médiatrices/eurs de :
Programme National de médiation sanitaire FORMATION DES MEDIATRICES/EURS SANITAIRES Les formations initiale et continue ont pour objectif de permettre aux médiatrices/eurs de : 1. Etre capable de s'appuyer
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailLe contexte de la profession en santé dentaire publique...5
Table des matières Introduction...1 Module 1 Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Chapitre 1..Historique de la profession d hygiéniste dentaire en santé dentaire publique au Québec...7
Plus en détail7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier
Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques
Plus en détailRapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale
Le comité des usagers des gens à votre écoute Rapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale Étude exploratoire visant l identification de pistes de réflexion stratégique
Plus en détailInstitut Régional du Travail Social Poitou-Charentes
Maître/Maîtresse de Maison Modalités d inscription en situation d emploi ou demandeur d emploi Protocole d allègements ou de dispense Modalités de validation Recherche de stage pour les demandeurs d emploi
Plus en détail