Module PG : Pédologie et potentialité des sols

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Module PG : Pédologie et potentialité des sols"

Transcription

1 Module PG : Pédologie et potentialité des sols Des approches complémentaires indispensables pour comprendre les enjeux qui pèsent sur les sols (cultivés) Hydro Pédologie aritxu Guiresse 4 cours + 1 TD Pédologie générale : Maritxu Guiresse 5 cours + 1 TD Microbiologie des sols Maialen Barret 2 cours Faune du sol Benjamin Pey 3 cours + 1 TD

2 PG 3 Pédologie Générale et potentialité des sols Maritxu GUIRESSE Introduction : savoir resituer les enjeux qui pèsent sur les sols A Les constituants minéraux Deux approches pour étudier les constituants minéraux des sols = Quantifier les teneurs en calcaire total et actif car rôle sur le ph des sols et le choix des espèces végétales 1 Taille des particules élémentaires Texture du sol 2 Nature minéralogique des particules élémentaires Utiliser les différents triangles des textures et se repérer dans les échelles texturales Les carbonates : Calcite CaCO 3 ou Dolomite Ca,Mg(CO 3 ) 2 Les silicates (= 92 % masse écorse terrestre) Source de minéraux primaires et de minéraux secondaires : rôle essentiel des phyllosilicates

3 A Les constituants minéraux 1 Taille des particules élémentaires Texture du sol 2 Nature minéralogique les phyllosilicates Confèrent aux sols des propriétés de réactivités fortes : adsorption, échanges d ions, hydratation Feuillets électriquement chargés négativement accueillant des cations utiles aux végétaux et micro organismes du sol C est la Capacité d Echange Cationiques des Argiles ou phyllosilicates

4 2 Les différents minéraux des sols 2-2 Les silicates Ils sont largement les plus abondants dans les sols et les sous-sols de la croûte terrestre (12 élmt pour 99,29 % de la masse tot) Elt majeurs > 0,1 % Elt traces < 0,1 % Quelles? Ti 0,44 H 0,14 P 0,11 Mn 0,10 Macro Elt > 0,01 % Micro ou Oligo Elt < 0,01 % Extrait de Wild, 1993

5 2 Nature minéralogique des particules élémentaires Les silicates (= 92 % masse écorse terrestre) Prédominance des silicates dans l écorse terrestre et donc dans les sols =

6 Structure en tétraèdre des silicates (d après White, 1997) Poly page 4 (Si0 4 ) 4- Les ions O 2- sont les éléments principaux des silicates, les ions Si 4+ sont toujours logés dans des lacunes tétraédriques, les autres éléments Mg, Fe, Na, K, Ca se placeront dans les lacunes restantes en fonction de leur rayon ionique. Rayon ioniques des principaux atomes constituants les minéraux (Pauling, 1949) Si Al Fe Mg Fe Na Ca K O 0,42 0,5 Ǻ 0,64 0,66 0,74 0,97 0,99 1,33 1,40

7 Classification structurale des silicates La classification des silicates est basée sur leur structure que l on décrit selon le mode d enchaînement par les sommets des tétraèdres. Les ions Mg, Fe, Na, K, Ca se placent dans les lacunes restantes selon leur taille. 1 er gpe : tétraèdres indépendants : les nésosilicates (gr nésos = île) (Si0 4 ) 4- (Fe, Mg) 2 : Péridots = Olivines Ca : grenat Zr : Zircon 2 er gpe : 2 tétraèdres liés par leur sommets les sorosilicates

8 3 er gpe : Tétraèdres liés par leurs sommets en boucles : les cyclosilicates (Si 6 O 18 ) 12- (Be 2+,Al 3+ ) Le Béryl (Emeraude, Aigue Marine), grpe de la Tourmaline des granites et pegmatites

9 Le Béryl (Emeraude, Aigue Marine), grpe de la Tourmaline des granites et pegmatites 4 er gpe : Chaînes ouvertes de tétraèdres : les Inosilicates Les Inosilicates en chaînes : Pyroxènes (Si 2 O 6 ) -4 Fe, Mg, Al : cations moyens Ca, Na : gros cations Minéraux très répandus dans les roches métamorphiques et plutoniques. Ex Augite dans les Gabbro

10 Minéraux très répandus dans les roches métamorphiques et plutoniques. Ex Augite dans les Gabbro. 4 er gpe : Chaînes ouvertes de tétraèdres : les Inosilicates Les Inosilicates en rubans : Amphiboles (Si 4 O 11 ) - 6 K, Na : gros cation Ca, Fe, Mg, Al, Ti, Si Minéraux très répandus dans les toutes les roches éruptives. Ex Amphibole sodique = Amiante.

11 Minéraux très répandus dans les toutes les roches éruptives. Ex Amphibole sodique = Amiante. 5 er gpe : Feuillets plans : les Phyllosilicates (phullon gr feuille) 6 er gpe : Tétraèdres liés par tous leurs sommets dans les trois dimensions : les Tectosilicates : Quartz et Feldspaths Feldspath potassique : Orthose [Si 3 AlO 8 ]K Plagioclase calcosodique : - Albite [Si 3 AlO 8 ]Na - Anorthite [Si 2 Al 2 O 8 ]Ca

12 Les silicates Ils sont largement les plus abondants dans les sols et les sous-sols de la croûte terrestre Ti 0,44 H 0,14 P 0,11 Mn 0,10 Poly page 4 Extrait de Wild, 1993

13 25 % 60 % Composition des principales roches éruptives (Duchaufour, 1995) selon leur structure grenue ou vitreuse (lave) et leur teneur en silice

14 Altération: ces minéraux se sont formés à haute température et en absence d'eau; en conséquence, ils seront très altérables au contact de l'humidité atmosphérique «Les minéraux sont d'autant plus altérables que leurs conditions de genèse diffèrent de celles qui règnent à la surface» (Goldich, 1938) Echelle d altérabilité des minéraux selon Goldich Ces minéraux constituent la composition des matériaux parentaux (ou roche mère) et vont s altérer au contact des conditions qui règnent à la surface du globe : les géologues parlent «d altération météorique», c est la «pédogénèse»

15 Minéraux initiaux sont dits «primaires» de nouveaux minéraux peuvent être néoformés : minéraux secondaires dont les phyllosilicates Structure des phyllosilicates (Si ) 2-

16 (Si ) 2- OH - OH -

17 O OH - (Si ) 2- OH -

18 O OH - OH - (Si ) 2- OH - (OH - ) 3 (Si ) 2- (OH - ) 4

19 O OH - OH - Al (Si ) 2- (OH - ) 4

20 Lacune tétraédrique et octaédrique

21 O OH - OH - Al (Si ) 2- (OH - ) 4

22 O OH - OH - Al (Si ) 2- (OH - ) 4 Seulement 2 cavités sur 3 sont occupées par des Al 3+ Argile dioctaédrique

23 O OH - OH - Al (Si ) 2- (OH - ) 4 (Al 3+ ) 2 (Si )(OH) 4 Al 2 = Kaolinite

24 La kaolinite est l argile la plus simple. Te Oc Phyllite à deux couches Si les feuillets étaient prolongés à l infini alors ils seraient électriquement neutres. Fractures des feuillets = charge < 0. C est l argile la plus riche en Al, la + pauvre en Si rapport SiO 2 /Al 2 O 3 = 2 Poly page 5 (Si )(OH) 4 Al 2 = (Si )(OH) 8 Al 4 = Kaolinite Argile 1/1 Argile dioctaédrique

25 Te Oc Phyllites à trois couches Gpe des Micas - Illites - Vermiculites Gpe des Smectites - Montmorillonites Te Argiles 2/1 ou T-O-T (Si ) Al 2 (OH) 2 Pyrophyllite Phyllites à quatre couches Gpe des Chlorites Poly page 5 Argiles 2/2 ou T-O-T-O

26 Rayon ioniques des principaux atomes constituants les minéraux (Pauling, 1949) Si Al Fe Mg Fe Na Ca K O 0,39 0,5 Ǻ 0,64 0,65 0,75 0,9 0,99 1,33 1,40 Poly page 4 Extrait de Wild, 1993

27 Substitution isomorphique Les couches tétraédriques = «couches de silice» (Al 3+ ) au lieu de (Si 4+ ) Déficit de charge du feuillet Les couches octaédriques = «couches de gibbsite» Al(OH) 3 2/3 des cavités sont occupées = argiles dioctaédriques Mg dans la couche octaédrique = «couche brucite» Mg(OH) 2 Toules les cavités sont occupées = argiles trioctaédriques Substitution par des cations de valence inf Déficit de charge du feuillet

28 La classification des argiles est basée sur ces substitutions isomorphiques A Modèle Te-Oc (1/1) Pas ou très peu de substitution : dioctaédrique - Epaisseur cste des feuillets (7Ǻ) Kaolinite (Si ) 2-7 Ᾰ (Al 2 (OH) 4 ) 2+ Structure de la Kaolinite (d après White, 1997) avec liaisons hydrogène entre les feuillets

29 La liaison entre deux feuillets adjacents est assurée par des liaisons hydrogènes. Ces liaisons s'établissent entre les hydroxyles de la couche octaédrique et les oxygènes de la couche tétraédrique. Elles entraînent un rapprochement des feuillets adjacents, empêchant toute pénétration de molécules d'eau, de molécules organiques ou d'ions minéraux. Il n'existe donc aucune possibilité de gonflement ou de rétraction des feuillets. La faible capacité d'échange des kaolinites est due uniquement aux sites de surface à chaque zone de fracture du feuillet se terminant par O 2 - El Hachim 2013 ( Poly page 5 Poppe et al., 2001 (

30 A Modèle Te-Oc (1/1) Pas ou très peu de substitution : dioctaédrique - Epaisseur cste des feuillets (7Ǻ) Kaolinite - Epaisseur variable (intercalation H 2 O : 10Ǻ) Halloysite B Modèle Te-Oc-Te (2/1) - Dioctaédrique (Al domine ds les octaèdres) Muscovite Epaisseur cste feuillets (10Ǻ) Illite (fort pouvoir fix K) [(Si 4-x Al x 0 10 ) (Al 2-y Mg y )OH 2 ] x+y [K + ] x+y - Trioctaédrique (Mg domine ds les octaèdres) Biotite Poly page 5 Epaisseur variable feuillets (15Ǻ) Vermiculite [(Si 4-x Al x 0 10 ) (Mg 3-y Al y )OH 2 ] -(x-y) [Mg,Al,Fe 2+ ] (x-y)/2

31 A Modèle Te-Oc (1/1) Pas ou très peu de substitution : dioctaédrique - Epaisseur cste des feuillets (7Ǻ) Kaolinite - Epaisseur variable (intercalation H 2 O : 10Ǻ) Halloysite B Modèle Te-Oc-Te (2/1) - Dioctaédrique Illite (fort pouvoir fix K) [(Si 4-x Al x 0 10 ) Al 2 (OH) 2 ] -(x+y) [K + ] (x+y) - Trio. Vermiculite [(Si 4-x Al x 0 10 ) (Mg 3-y Al y )OH 2 ] -(x-y) [Mg] (x-y)/2 Substitutions octaédriques : (gpe des Smectites feuillets >20 Ǻ) Du grec «Smectos» «je nettoie» - Dioctaédrique [(Si 4-x Al x 0 10 ) (Al 2-y Fe,Mg y )OH 2 ] -(x+y) [M + ] (x+y) Montmorillonite C Modèle Te-Oc-Te -Oc (2/2) Gpe des Chlorites 14Ǻ Poly page 5

32 1/1 2/1 2/2 Illite kaolinite illite vermiculite smectite Poly page 5

33 Le degré d altération va dépendre de la combinaison de plusieurs facteurs qui vont déterminer la nature des minéraux secondaires formés - le climat (température, humidité, alternance saisonnière) qui contrôle le degré d hydrolyse; - le relief qui détermine le degré de drainage ou de confinement; - la nature de la roche-mère qui conditionne la séquence des minéraux formés. hydrolyse Allitisation = hydrolyse totale 1/1 monosiallitisation 2/1 bisiallitisation Poly page 5 smectite

34 Ces cations échangeables sont le garde manger des végétaux en terme de nutrition en Ca ++, Mg ++, K +, NH 4+, Fe ++, Zn ++, Cu ++, Mn ++ À l origine du Complexe argilohumique ou organominéral > agrégats C est le nombre de sites qui compte ou CEC Berthelin, 2011 in Sol et Environnement Poly page 6

35 Capacité d échange cationique = nombre de charges négatives à la surface des argiles compensées par des cations pouvant être échangés avec des cations très abondants dans la solution du sol Exprimé en «Equivalent» avant la mise en place du SUI Un équivalent = la masse d un élément portant une charge équivalente à celle d un H + 1 Eq de X = masse atomique de X en g/ valence de X Exemple : 1Eq K = 39/1g alors qu un Eq de Ca = 40g/2 On l exprime en nombre de charges ou plutôt en multiple de 6, charges, cad en «mole de charges» par analogie à la «mole gramme» = 6, atomes (nombre d'avogadro)

36 Capacité d échange cationique = nombre de charges négatives à la surface des argiles compensées par des cations pouvant être échangés avec des cations très abondants dans la solution du sol On l exprime en nombre de charges ou plutôt en multiple de 6, charges, cad en «mole de charges» par analogie à la «mole» = 6, atomes (nombre d'avogadro) 1 mole charge = 1 mol c = 1 mol (+) Poly page 6

37 1 mole charge = 1 mol c = 1 mol (+) «1 Ca ++ pèse 40 g» = 1 mole (d atomes) de Ca ++ pèse 40 g 1 mole Ca ++ pèse 40 g et porte deux moles de charge 40 g Ca ++ = 2 mol c = 2 Eq 20 g Ca ++ = 1 mol c = 1 Eq 20 mg Ca ++ = 1 mmol c = 1 meq 1 équivalent = 1 mole charge = 1 mol c = 1 mol (+) Poly page 6

38 1 meq/100g = 1 mmole c /100g = 1 cmol c /kg 1 meq/100g = 1 cmol c /kg Type argile CEC cmolc/kg Kaolinite 3-20 Illites Smectites Vermiculite (Selon White, 2003) Nombre de cations adsorbés (mmole c /100g ou meq/100g ou cmolc/kg) : c est toujours la même valeur Poly page 6 L unité du SI aujourd hui est la cmol c /kg

39 PG 3 Pédologie Générale et potentialité des sols Introduction : savoir resituer les enjeux qui pèsent sur les sols A Les constituants minéraux Selon la taille ou leur nature minéralogique les carbonates et les silicates Les oxydes et hydroxydes métalliques = résultats de la pédogénèse Les constituants organiques cf cours de M. Dumat et Maialen Barret Les organismes vivants cours de Maialen Barret et Benjamin Pey

40 B Formations des sols traits pédologiques Objectifs du cours : - Connaître les grands facteurs de pédogenèse et les processus - Savoir identifier quelques horizons diagnostics 1 Les facteurs de pédogenèse 1.1Le temps 1.2 Facteurs bioclimatiques 1.3 Facteur de station 1.4 Facteur humain 2 Les processus qui conduisent à former des horizons 2.1 Altération physique 2.2 Dissolution et lixiviation = décarbonatation 2.3 Transformation des minéraux = production de minéraux argileux 2.4 Accumulation de MO 2.5 Les autres processus de transfert : lessivage et chéluviation 3 Identification synthétique des grands types d horizons 3.1 Définition principales caractéristiques 3.2 Les critères aidant à les identifier : teste de la texture, structure, couleur 4 Conclusion : l exemple régional Poly page 6

41 1 Les facteurs de la pédogenèse 1.1 le temps Le paradigme de Dokoutchaev formalisé par Hans Jenny ( ) Soil factor equation ou soil landscape paradigm Sol = f (climat, roche, vivant, relief, temps) Poly page 6

42 Le temps : premier facteur de pédogenèse STADE 1 : RM mise à nue CO 2 + H 2 O H 2 CO 3 Dissolution dans les flaques Progressivement, ces flaques recouvrent toute la surface Les micas (noirs), les feldspaths et le quartz vont capter les rayonnements mais n ont pas les mêmes propriétés mécaniques Le vent dépose des poussières, des débris de végétaux, des spores ou des larves d insectes : il y a colonisation sur la roche en voie d altération Poly page 6

43 STADE 2 : amorce de la pédogenèse Colonisation de la surface totale par les bactéries, lichens, insectes Installation des végétaux supérieurs Actions physique très puissante des racines Actions chimiques des racines et des débris végétaux Plus grand stockage de l eau Poly page 6

44 Photo I. Baillie Photo E. Micheli Poly page 6 Rendzine = Rendosol = Leptosol

45 STADE 3 : Installation de la pédogenèse Phase vivante Phase résiduelle Roche mère Phase aqueuse Poly page 6

46 STADE 4 : Sol évolué Peu à peu, les 4 phases vont fortement transformer le matériel de départ qui est de moins en moins identifiable A B C Transfert de matière Recombinaison des produits de solubilisation Altération de la matière minérale Poly page 6 Forte différentiation en horizons

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang)

[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [2] La quantité de mouvement et le moment angulaire [3] Calcul de l énergie de liaison des nucléons dans le noyau d un élément [4] Les

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Introduction. Henri Poincaré

Introduction. Henri Poincaré Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Presque tout sur le Quartz

Presque tout sur le Quartz Presque tout sur le Quartz Jacques Deferne Gerbe de quartz imitant des chrysanthèmes, Bombay, Inde (Muséum de Genève) Jacques Deferne, 3 mai 2014 2 La vision que l'oeil enregistre est toujours pauvre et

Plus en détail

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

Molécules et Liaison chimique

Molécules et Liaison chimique Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R

Plus en détail

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction

Plus en détail

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

C'est quoi un sol? par Jean Paul Legros. Directeur de Recherche INRA (h), président de l A.F.E.S (2009 2010)

C'est quoi un sol? par Jean Paul Legros. Directeur de Recherche INRA (h), président de l A.F.E.S (2009 2010) C'est quoi un sol? par Jean Paul Legros Directeur de Recherche INRA (h), président de l A.F.E.S (2009 2010) Ce texte, mis en ligne en avril 201 2, s adresse prioritairement à des personnes sans connaissances

Plus en détail

Un peu de cristallographie. Au cœur des minéraux. Jacques Deferne et Nora Engel

Un peu de cristallographie. Au cœur des minéraux. Jacques Deferne et Nora Engel Un peu de cristallographie Au cœur des minéraux Jacques Deferne et Nora Engel 1 Au cœur des minéraux Chefs d'oeuvres de la nature, par leurs formes géométriques, les cristaux reflètent l'arrangement périodique

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION

REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

LIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand

LIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand 22 09 2010 VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand Mathieu BOOGHS Guillaume COUEPEL Caroline COUFFIGNAL Aurore DESGROUX Morgane GRASSELLY Estelle PAULHIAC LIVRET D AMENAGEMENT Vulgarisation d une

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

Lacq CO 2 Pilot. An integrated CO2 oxycombustion capture, transportation and storage project INTRODUCTION METHODOLOGY OF GEOLOGICAL STORAGE ASSESMENT

Lacq CO 2 Pilot. An integrated CO2 oxycombustion capture, transportation and storage project INTRODUCTION METHODOLOGY OF GEOLOGICAL STORAGE ASSESMENT Lacq CO 2 Pilot An integrated CO2 oxycombustion capture, transportation and storage project Frontiers in geosciences IPGP CCS seminar Case studies sessions March 19th, 2008 Nicolas AIMARD Marc LESCANNE

Plus en détail

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments .Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation Etude de faisabilité

Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation Etude de faisabilité المعهد الجزاي ري للبترول INSTITUT ALGERIEN DU PETROLE JOURNEES D ETUDES TIGHT & SHALE RESERVOIRS 17-18 Septembre 2013 Sheraton, Alger Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation

Plus en détail

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence. Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas

Plus en détail

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt

Plus en détail

Commission juridique et technique

Commission juridique et technique Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003

Plus en détail

Environnements pollués

Environnements pollués Nom du service émetteur Environnements pollués Nom du service émetteur Recherche et caractérisation de microorganismes dans des compartiments géologiques profonds Vanessa Barsotti Thèse soutenue 03.11.2011

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin

Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin FICHE AGRI - MIEUX août 2011 Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin Pourquoi est-il important de connaître les sols? ARAA Objectifs de ce document Ce document présente une synthèse

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2 C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Piegeage et stockage du CO 2

Piegeage et stockage du CO 2 Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Brochure d information pour le patient

Brochure d information pour le patient Brochure d information pour le patient Des dents «tout céramique» qui vous donneront un sourire éclatant! Le matériau «zircone» : n La zircone est une céramique hautes performances utilisée, entre autres,

Plus en détail

UTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES

UTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES Fiche sujet-candidat Les géologues s interrogent sur la chronologie de mise en place de deux granites du Massif Central. On cherche à savoir si une méthode de radiochronologie permettrait de déterminer

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Le gaz de schistes : son exploitation

Le gaz de schistes : son exploitation Le gaz de schistes : son exploitation Résumé de l exploitation du gaz de schiste Après la lecture de cet article, ce schéma synthétique vous apparaîtra très simple et clair. Déjà, il sera plus grand. Le

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES. Épreuve de Physique-Chimie. (toutes filières) Mardi 18 mai 2004 de 08h00 à 12h00

DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES. Épreuve de Physique-Chimie. (toutes filières) Mardi 18 mai 2004 de 08h00 à 12h00 CONCOURS COMMUN 004 DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Mardi 18 mai 004 de 08h00 à 1h00 Barème indicatif : Physique environ /3 - Chimie environ

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture? Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité

Plus en détail

Sonde tensiométrique WATERMARK. Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor

Sonde tensiométrique WATERMARK. Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor Sonde tensiométrique WATERMARK Construire en préservant les sols Surveiller le chantier à distance Monitor mesure automatiquement la tension de l'eau du sol Transmission GPRS par module additionnel Le

Plus en détail

PRESCRIPTIONS D ENTRETIEN

PRESCRIPTIONS D ENTRETIEN PRESCRIPTIONS D ENTRETIEN Pour le choix des produits d entretien ou de nettoyage il est très important de savoir si la pierre naturelle contient de la calcite (marbre, pierre calcaire) ou si la pierre

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

SECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise

SECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail