Analgesie- ALR- Ambu Fast Track
|
|
- Marguerite Corriveau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 49ème STAFF Analgesie- ALR- Ambu Fast Track 28 Septembre 2016
2 Analgésie après chirurgie de l épaule Intérêt du BSS et des blocs dissociés
3 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Chirurgie de l épaule et de la clavicule (par3e latérale) Prothèse totale d épaule AcromioplasIe RéparaIon de coiffe Echographi e Fracture de l humérus Complica3on s Actualités
4 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités
5 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités
6
7 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités
8 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e PoncIon dans le plan Complica3on s Actualités
9 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e PoncIon en dehors du plan Scalène moyen respecté Complica3on s Plus difficile techniquement Actualités
10 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités Insuffisance respiratoire aiguë par paralysie diaphragmaique Toxicité systémique des AL (respect des doses maximales) InjecIon péridurale ou intrathécale Bloc du nerf récurrent Syndrome de Claude Bernard- Horner PoncIon vasculaire Pneumothorax Associées aux complicaions liées à la posiion per- opératoire demi- assise
11 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités Plus de paients Un seul centre aux Etats- Unis Période de 11 ans Chirurgie de l épaule En ambulatoire PosiIon demi- assise Bloc inter- scalénique SédaIon modérée, venilaion spontanée
12 Le bloc du nerf phrénique Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités 0,18 cm Polémique depuis les années % de paralysie diaphragmaique unilatérale 1,08 cm après BIS Avec diminuion de 27% de CVF et du DEP.. mais des volumes de 35 à 50 ml d AL uilisés Anesth Analg. 1991;72: Anesth Analg. 1992;74: DiminuIon des volumes UIlisaIon de soluions moins concentrées Al- Kaisy, BJA 1999;82: Echoguidage ModificaIon du site d injecion à C7 pour s éloigner du nerf phrénique Kessler, Reg Anesth Pain Med. 2008;33: Compression digitale
13 33%
14 30 paients RandomisaIon en 2 groupes 1 er groupe : technique habituelle, sous NS 2 ème groupe : injecion échoguidée au niveau de C7 10 ml de Ropivacaine à 0,75% RESULTATS Paralysie diaphragmaique : 13% (Gr2) vs 93% (Gr1) Un échec de bloc dans le groupe NS FoncIon venilatoire (évaluée par spirométrie) significaivement réduite dans le groupe1
15 Intro Anatomie Technique Neuros3mula3o n Echographi e Complica3on s Actualités Contexte : L approche dans le plan par voie postérieure fait traverser le muscle scalène moyen où se situent des branches du plexus brachial, dont le nerf scapulaire dorsal et le nerf long thoracique
16
17 NSS = 70% de l innervaion de l ariculaion de l épaule. Chan C, Peng PWH. Suprascapular nerve block: a narra3ve review. Reg Anesth Pain Med. Août 2011;36(4): Efficacité prouvée, équivalence analgésique avec le BIS controversée Ritchie ED, Tong D, Chung F, Norris AM, Miniaci A, Vairavanathan SD. Suprascapular nerve block for postopera3ve pain relief in arthroscopic shoulder surgery: a new modality? Anesth Analg. Juin 1997;84(6): Neal JM, McDonald SB, Larkin KL, Polissar NL. Suprascapular Nerve Block Prolongs Analgesia AQer Nonarthroscopic Shoulder Surgery but Does Not Improve Outcome. Anesthesia & Analgesia. Avr 2003; Singelyn FJ, Lhotel L, Fabre B. Pain Relief AQer Arthroscopic Shoulder Surgery: A Comparison of Intraar3cular Analgesia, Suprascapular Nerve Block, and Interscalene Brachial Plexus Block. Anesthesia & Analgesia. Août 2004;
18 Groupe BIS Groupe BIS + BSS p n = 17 n = 15 Age, en années 56 (± 13,8) 47 (± 11.7) Sexe n (%) féminin masculin 8 (47) 9 (53) 8 (53) 7 (47) Indice de masse corporelle 27.3 (± 4.97) 25.9 (± 4.68) Côté droit opéré n (%) 11 (64) 12 (80) Tabagisme ac3f n (%) 5 (29,4) 6 (40) SpO (± 1.68) 98.4 (± 1.05) Score ASA Score NYHA Groupe BIS n = 17 Groupe BIS + BSS n = 15 Type d interven3on - Bankart Acromioplas3e Coiffe des rotateurs Acromioplas3e + Coiffe Autre arthroscopie Durée de l interven3on (en min) 50 [40-67,5] 55 [41-70] p
19 Groupe BIS n = 17 Groupe BIS + BSS n = 15 p Réinjec3on de sufentanil en peropératoire Oui n (%) Non n (%) 6 (35.3) 11 (64.7) 0 (0) 15 (100) 0.01 END en salle de réveil 0.2 (± 0.97) 1 (± 2) 0.01 Recours tramadol en salle de réveil Oui Non Echelle numérique douleur à H4 à H8 à H12 à H24 moyenne sur 24h Groupe BIS n = (± 1.41) 1 (± 1.58) 2.24 (± 1.85) 2.94 (±2.48) 1.70 (± 1.02) Groupe BIS + BSS n = (± 2.25) 1.80 (± 1.57) 1.93 (± 1.71) 3.20 (± 2.27) 2.15 (± 1.31) p Nécessité de recours dérivés morphiniques Oui n (%) Non Délai de recours dérivés morphiniques (en min) Quan3té reçue en équivalent morphine (mg) 7 (41.1) [ ] 20 [ ] 3 (20) [ ] 20 [ ] Durée du bloc sensi3f (en min) 888 (± 255) 540 (± 382) Sa3sfac3on du pa3ent sur la prise en charge de la douleur des 24h (de 0 à 10) 7.47 (± 2.18) 7.13 (±1.55) 0.455
20 Groupe BIS n = 17 Groupe BIS + BSS n = 15 p Présence d un bloc moteur En salle de réveil - Aucun - Par3el - Total H4 - Aucun - Par3el - Total Durée du bloc moteur (en min) 915 [ ] 430 [0-1140] <0.001 Qualité première nuit de sommeil (de 0 à 10) 5.53 (± 2.57) 6.87 (± 1.72) 0.132
21 Equivalence analgésique? DiminuIon des complicaions postopératoires. RAAC+++ / Ambulatoire Douleur postopératoire prolongée (Coiffes++ +) : KT+++
22 CHIRURGIE AMBULATOIRE Compte Rendu de la SFAR By Ionna Boyadjiev FICHIER TROP IMPORTANT/ CONTACTER DIRECTEMMENT IONNA POUR AVOIR L INFO Ionna.boyadjiev@ap- hm.fr
23 PROCHAIN STAFF ANALGESIE- ALR- AMBU et FAST TRACK Jeudi 17 novembre 2016
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détail«La Revue de presse»
«La Revue de presse» Nerf Sciatique du rat Prochaine biblio INTERNE! Anesth Analg. 2010 Nov;111(5):1308-15. STAFF ALR Nord ALR Anticoagulants et Antiagrégants plaquettaires Guidelines Regional
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailDominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX
Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive
Plus en détailSTAFF ALR. 21 février 2013
STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h
Plus en détailLa douleur induite par les soins
Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne
Plus en détailRéduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique
Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique Christian Jayr jayr@crh1.org Centre René Huguenin Saint-Cloud Un cycle respiratoire A. Inspiration: contraction du diaphragme
Plus en détailSynthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.
Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailLa chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE
La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,
Plus en détailImputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude
Nantes, Congrès de la Société d Orthopédie de l Ouest 2015 Imputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude D Utruy A, Tarissi N, Potage D, Siedlecki C, Auquit-Auckbur
Plus en détailAnesthésie locorégionale et anticoagulants : nouvelle approche
Anesthésie locorégionale et anticoagulants : nouvelle approche N. ROSENCHER, L. BELLAMY Toutes les recommandations sur l association de l anesthésie médullaire avec les anticoagulants reposent actuellement
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailMesure non invasive du débit cardiaque
Mesure non invasive du débit cardiaque Pr. Jean-Luc Fellahi fellahi-jl@chu-caen.fr Pôle Réanimations Anesthésie SAMU/SMUR, CHU de Caen, France UFR de Médecine, EA 4650, UCBN, France Déclara'on de conflits
Plus en détailGUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération
GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailModalités d évaluation en Simulation
Modalités d évaluation en Simulation Définition de l évaluation n Evaluation en pédagogie = «analyse systémique de la qualité de l enseignement et de l apprentissage» (Mac Dougall 2010) Le cercle vertueux
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailL échographie à 360 en anesthésie
51 e Congrès national d anesthésie et de réanimation. Médecins. Conférences d actualisation. 2009 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés L échographie à 360 en anesthésie P.J. Zetlaoui Département d
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailAnesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES
2007 Volume 6, numéro 1 Anesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES MD TEL QUE PRÉSENTÉ DANS LE DÉPARTEMENT D ANESTHÉSIOLOGIE, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Douleurs aiguës et chroniques après
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailK I N é S I T H é R A P I E & D B C
KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels
Plus en détailNOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES. ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon
NOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon Fondaparinux AT Traitement anjcoagulant NACO disponibles P. Albaladejo, SFAR 2012 NACO chirurgie
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailNACO - An(plaque/aires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles
NACO - An(plaque/aires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Comment gérer la balance des risques? d un pa(ent sous NACO et/ou AAP, du chirurgien de l
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailChirurgie Mini-Invasive par Voie Antérieure La PTH sans section musculaire
Chirurgie Mini-Invasive par Voie Antérieure La PTH sans section musculaire Clinique Saint-George Nice Dr Didier D Hondt Chirurgien orthopédiste Vincent Christian Kinésithérapeute Jeudi 20 Mars 2014 Nice
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailPOINTS ESSENTIELS. Les mesures de prévention des lombalgies postopératoires ne sont pas validées dans la littérature.
52e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s anesthésistes diplômé(e)s d état 2010 Sfar. Tous droits réservés. Confort du patient en peropératoire : posture et installation
Plus en détailSystème de plaques radius
Chirurgie de la main Système de plaques radius Tout simplement judicieux! Notre compétence-clé : la chirurgie de la main. Dans ce domaine, nous ne nous contentons pas de vous proposer des solutions standard,
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailLE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS
LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,
Plus en détailCritères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures
Plus en détailF. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX
F. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX Excès s de croissance des cotes et des cartilages causant soit une dépression d (PECTUS EXCAVATUM) soit une protrusion (PECTUS CARINATUM)
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailAttestation de Formation Universitaire 2012-2013. «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire»
Attestation de Formation Universitaire 2012-2013 «Organisation et gestion d une unité de chirurgie ambulatoire» Formation Théorique (2 jours) par Visioconférences Bordeaux, Paris, Nice, Tours, Rennes,
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailNACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles
NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Savoir gérer la balance des risques? d un patient sous NACO et/ou AAP du chirurgien de
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détailMonitorage de la température. Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre
Monitorage de la température Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre Galilée, 1597 - Thermoscope. Santorio de padoue, 1612 - Thermomètre. Fahrenheit, 1717 Premier thermomètre
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailINFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE
SERVICE D ANESTHÉSIE HOPITAL SIMONE VEIL INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE Ce document, élaboré par la Société française d anesthésie et de réanimation (Sfar), est destiné à vous informer sur l anesthésie.
Plus en détailSOMMAIRE LE COU P.4 L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 LE TRONC P.12 LE GENOU P.16 LA CHEVILLE P.20 LE PIED P.22
SOMMAIRE LE COU P.4 - Collier cervical souple, semi rigide ou rigide L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 - La clavicule, l immobilisation d épaule - Coudière, soutien du bras - Immobilisation
Plus en détailCAPIO PROMEUT UN NOUVEAU MODE DE PRISE EN CHARGE CENTRÉ AUTOUR DU PATIENT
DOSSIER DE PRESSE Janvier 2015 RÉCUPÉRATION RAPIDE APRÈS CHIRURGIE, CAPIO PROMEUT UN NOUVEAU MODE DE PRISE EN CHARGE CENTRÉ AUTOUR DU PATIENT www.capio.fr 2 SOMMAIRE DU DOSSIER DE PRESSE 1/ Capio s engage
Plus en détailAspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence
Aspects juridiques de l anesthésie pédiatrique hors centre de référence 1 Gilles Orliaguet 1 Nadège Salvi 1 1 Hôpital Necker Enfants Malades. Assistance Publique Hôpitaux de Paris. Université Paris Descartes.
Plus en détailÉchelle comportementale de douleur (CPOT) (Gélinas et al., AJCC 2006 ;15(4) :420-427) Indicateur Score (0 à 8) Description
Échelle comportementale de douleur (CPOT) (Gélinas et al., AJCC 2006 ;15(4) :420-427) Indicateur Score (0 à 8) Description Expression faciale Détendue, neutre 0 Aucune tension musculaire observable au
Plus en détailCONTROVERSES en chirurgie de la hanche. C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar
CONTROVERSES en chirurgie de la hanche C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar Une invention française Gilles Bousquet CHU de Saint-Etienne - Jean Rieu, Professeur à l Ecole des Mines de Saint-Etienne
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailAudit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport
Nom de l'établissement (Logo éventuel) Audit Clinique Ciblé : thème :+ titre ACC Rapport Nom du Coordonnateur :... Date :... Sommaire [à mettre à jour en fin de rédaction (cliquer dans la table avec le
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailSyndrome compartimental d effort à l avant-bras chez le motocycliste
Syndrome compartimental d effort à l avant-bras chez le motocycliste P. Croutzet, E. Masmejean Les syndromes chroniques de loge furent identifiés dans les années 70, d abord à la jambe chez les coureurs
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLa buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique
La buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique M.E. Faymonville (1), D. Libbrecht (2) RÉSUMÉ : Nos connaissances sur les mécanismes physiopathologiques des douleurs
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailEvaluation en Simulation. Dr François LECOMTE Urgences-SMUR-UMJ Cochin-Hôtel Dieu Université Paris Descartes
Evaluation en Simulation Dr François LECOMTE Urgences-SMUR-UMJ Cochin-Hôtel Dieu Université Paris Descartes Plan Evaluation en simulation en France Formateurs Structures Programmes Apprenants Evaluation
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailZut, une brèche A propos du blood patch
Zut, une brèche A propos du blood patch IHA Beaucreux Charlotte - Dr Bocquet-Le Cinq Agnès Hôpital Antoine Béclère 18.06.2015 A propos d un cas Mme H., 17 ans, primipare Interruption médicale de grossesse
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailGlossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...
Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7
Plus en détailMISSION NATIONALE D EXPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS
MINISTERE DE LA SANTE, ET DE LA PROTECTION SOCIALE MISSION NATIONALE D EPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS Rapport intermédiaire «Organisation de la chirurgie ambulatoire dans les hôpitaux et cliniques» 50,
Plus en détailExamen d une épaule en relation avec le travail. Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc
Examen d une épaule en relation avec le travail Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc Définitions La déficience correspond à toute perte de substance
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailQUESTIONNAIRE. Questionnaire sur la santé musculo-squelettique des travailleurs CODE D ENTREPRISE OU DE DÉPARTEMENT CODE DU RÉPONDANT.
août 2001 CODE D ENTREPRISE OU DE DÉPARTEMENT CODE DU RÉPONDANT Questionnaire sur la santé musculo-squelettique des travailleurs QUESTIONNAIRE Issu du questionnaire NORDIQUE développé par Kuorinka, I.,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détail