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1 Mars ,80 Le premier mercredi du mois N 65 Mensuel d information des cantons de Montbenoît, Mouthe, Levier, Pontarlier, Vercel et du Jura voisin Le dossier Téléphone portable : Accidents p. 11 Les urgences de Pontarlier face aux accidents de l hiver le secteur de Pontarlier est-il dangereux? L activité du service des urgences connaît une forte recrudescence en période touristique, d au moins 15 %. Fracture, entorses et gros bobos se comptent par centaines. L événement p. 4 à 5 Maison de l Environnement : les dessous d un projet Le projet est officiellement lancé. C est le dossier-phare du secteur Frasne-Drugeon. Une Maison de l Environnement sera édifiée dans les locaux de l ancien presbytère de La Rivière-Drugeon. Porté par le C.P.I.E. du Haut-Doubs et soutenu par Christian Bouday, le dossier est bientôt ficelé. À qui bénéficiera cette Maison de l Environnement, comment sera-t-elle financée, qui soutient le projet, qui émet des réserves. Le point sur une réalisation qui mobilise près d 1 million d euros. - Une association suisse met en cause les risques liés à l utilisation du portable. - La mairie de Pontarlier a réalisé des mesures en ville. - Quelle est la réglementation en matière d installation d antennes. Lire en p. 7 à 12 BMW Série3 metz-sa.fr Le plaisir de conduire Portes Ouvertes Mars Agilité Puissance Equilibre Précision Patrick METZ S.A -15 %* sur présentation de ce bon - Tél Trafic à déduire sur la révision de votre vélo avant le 20/03/05 (*Voir condition en magasin) Rédaction et publicité : Les Éditions de la Presse Pontissalienne - B.P bis, Grande rue MORTEAU CEDEX - Tél Fax : p. 20 Quel avenir pour la route du Haut-Doubs? La Départementale 437 traverse de part le Haut-Doubs. Faut-il en faire une route touristique ou encourager le trafic? Découvrez en avant-première la plus sportive des berlines, la nouvelle BMW Série Nouvelle BMW Série 3 BMW BESANÇON ZAC Valentin Tél ! Berline de haut niveau BMW BELFORT ZAC de la Justice Tél

2 2 Éditorial Précaution Dans le monde, la téléphonie mobile représente un marché de quelque milliards de dollars. En 1997, 11% des Européens étaient équipés de téléphones cellulaires, ils sont plus de 80% aujourd hui. En France cette fois-ci, plus de 40 millions de portables sont en circulation. La croissance de ce marché qu on croyait souffrant il y a deux ans, dépasse aujourd hui les 22% par an. L engouement pour le mobile n est pas près de retomber. On estime par exemple que 90% des portables achetés cette année constitueront des renouvellements d appareils. Même les collectivités publiques contribuent à ce lucratif marché en aidant les opérateurs privés à installer des antennes, là où le portable ne passe toujours pas. D ici 2007, la quasi-totalité des 594 communes du Doubs devrait être branchée à la mode portable. Si cette déferlante technologique fascine, elle inquiète aussi. On le verra dans ce dossier, la municipalité de Pontarlier a commandé une étude pour tenter d établir l ampleur du champ magnétique dégagé par les antennes-relais installées en ville. Parallèlement, des riverains pontissaliens s interrogent sur la nocivité des ondes tandis qu un citoyen suisse de Sainte-Croix se bat actuellement pour sensibiliser les accros du portable, rapports scientifiques à l appui, de la dangerosité d utiliser le mobile à outrance. Bien sûr, d autres études tendent à prouver que les fréquences n ont aucun effet néfaste sur la santé. Les opérateurs eux-mêmes l affirment. Sans crier au loup, il serait certainement bienvenu que les collectivités publiques, État en tête, prennent le soin de se pencher sur cette question qui demeure toujours sans réponse sérieuse : le portable est-il dangereux? Ce genre d initiatives aura au moins le mérite d éviter, dans quelques années ou décennies, de se trouver confrontés à un scandale comparable à celui de l amiante qui pourtant, avait été pressenti par certains scientifiques mais dont les thèses étaient étouffées au nom de la raison économique.! Jean-François Hauser est éditée par Les Éditions de la Presse Pontissalienne, S.A.R.L. de presse Directeur de la publication : Thomas COMTE Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Directeur commercial : Éric TOURNOUX Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Frédéric Cartaud, Thomas Comte, Gilliane Courtois, Jean-François Hauser. Imprimé à I.P.S. - ISSN : Dépôt légal : Mars 2005 Commission paritaire n 0202 I Crédits photos : La Presse Pontissalienne, club des collectionneurs du Mont d Or, mairie de La Rivière-Drugeon, ville de Pontarlier. La Presse Pontissalienne 5 bis, Grande rue - B.P MORTEAU CEDEX Tél. : Fax : L actualité bouge, les dossiers évoluent. La Presse Pontissalienne revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l actualité pontissalienne. Tous les mois, retrouvez la rubrique Retour sur info. Retour sur info L industrie a ses raisons pour délocaliser Une plate-forme de compostage pour les déchets verts Àl avenir, les entreprises aurontelles tendance à investir davantage à l étranger que sur le territoire français? La réponse est oui, si l on en croit une récente étude réalisée par l union des industries des métiers de la métallurgie de Franche- Comté (U.I.M.M.). Dans cette enquête réalisée auprès des adhérents des Chambres Syndicales de la Métallurgie, il apparaît que trois raisons majeures incitent les entrepreneurs à envisager investir dans d autres pays. Pour 44 % d entre eux, ce serait pour des questions de coût. Pour 36 % des interrogés, ils n auraient pas d autre choix que celui de suivre leurs donneurs d ordres au risque de les perdre dans le cas contraire. L étude précise que 40 % des entreprises interrogées indiquent avoir subi de fortes pressions de leurs clients pour s implanter à l étranger et, dans le même temps, 2/3 des entreprises Les habitants de la C.C.L. ayant pris le temps de lire l article sur les déchets verts paru dans le dernier numéro de 10 communes à la une ont dû apprécier les économies réalisées en 2004, faisant état d une baisse de 84,6 % du coût du traitement par rapport à l année précédente. Une économie qu il convient de relativiser car elle ne prend en compte qu une partie du processus limitée au broyage. L étape suivante et obligatoire du compostage n a rien coûté pour la bonne raison qu elle n a pas été faite. Cette précision n interfère heureusement pas dans la recherche d une solution conforme à la réglementation. D un commun accord, la C.C.L. et le S.M.E.T.O.M. (Syndicat Mixte d Étude et de Traitement des Les 4 pages que nous avons consacrées au village de Jougne dans notre précédente édition ont suscité des réactions de lecteurs. La question du développement de la commune et de la construction de nouveaux logements a notamment fait réagir un habitant de Jougne, Claude Grandliénard, qui estime que la commune est déjà dans l impasse pour contrôler le dépôt et l élimination des déchets produits par sa population actuelle de résidents permanents et secondaires. On comprend donc mal, poursuit cet habitant, que M. le premier adjoint puisse se réjouir d un accroissement de population, d autant plus que la municipalité éprouve déjà visiblement selon lui à gérer un territoire difficile Peut-on en conclure à une incohérence notoire entre la fiévreuse politique d accroissement de la population et la gestion des déchets de Jougne? se demande M. Grandliénard. Selon lui, en se réjouissant de plus nombreux lotissements sans préalablement mesurer les conséquences de cet accroissement, on jette visiblement le manche avant la cognée. Le riverain jougnard met en doute le bienfondé des travaux prévus par la municipalité. Le grand projet de schéma urbain présenté par la mairie et de revitalisation de Jougne, avec notamment la rénovation des places de la Mairie et du Mont d Or, ne trouve pas grâce à ses yeux. Claude Grandliénard se demande ce que la commune, donc ses contribuables, sont en droit d attendre d une telle dépense en estiment être très directement concurrencées par les pays à bas coûts. Enfin, la dernière raison avancée pour justifier une délocalisation est la recherche de nouveaux marchés pour 20 % d entre eux. En filigrane de ce questionnaire, les charges trop élevées qui pèsent sur les entreprises sont un facteur favorisant. Il est aussi observé que le phénomène de délocalisation s accélère avec le développement de moyens de communication. Il n y a pas de fatalité au déclin. Il faut avoir le courage de prendre des dispositions comme l Allemagne indiquent les représentants de l U.I.M.M. qui dressent un tableau morose sur la conjoncture. Dans le Haut-Doubs, des entreprises ont délocalisé leur production ou sur le point de le faire. La société Frambourg de La Cluse-et-Mijoux avait récemment évoqué cette possibilité.! Ordures Ménagères) qui reprend cette année la compétence déchets verts, ont validé l aménagement d une plate-forme de compostage de m 2 située à l arrière de la déchetterie. Tout se fera sur place. Après broyage, les déchets verts seront mis en andains avec un système d aération forcée qui les transformera en compost, lequel pourra être distribué à la demande aux habitants. Les services techniques de la C.C.L. s en serviront également. On a déjà la déclaration préfectorale qui nous autorise à entreprendre les travaux, explique Jean-Yves Meuterlos, secrétaire général du S.M.E.T.O.M. qui assure la maîtrise d ouvrage de l opération. Une partie de la plate-forme étanche existant déjà, il reste à creuser le bassin de rétention, à aménager la zone retour sur investissement ou s ils verront leurs impôts locaux augmenter. Son réquisitoire est sévère : Telle qu exposée, la politique communale détermine des investissements coûteux sur le bourg et une dénaturation des hameaux par des zones loties aux parcelles exiguës, dont l ensemble rappelle les zones d habitations ouvrières du début du siècle dernier. Il estime aussi que l on favorise un vrai bétonnage par densification excessive sur les lotissements et son impact sur l environnement et la qualité de vie. Cet habitant juge enfin qu il vaudrait mieux investir dans ce qui était encore il y a quelques années un petit paradis du ski familial : Entre-les-Fourgs, un hameau délaissé à ses yeux.! de stockage et à mettre en place le système d aération forcée. Le coût de l opération représente un investissement d environ de euros H.T. Comme pour les autres plates-formes déjà réalisées sur son territoire, le S.M.E.T.O.M. assurera le financement. Le fait d avoir la compétence déchets verts rend le S.M.E.T.O.M. éligible à 50% de subvention. Avec les services de la C.C.L., on est dans la phase de préparation des marchés pour la réalisation. Les travaux devraient débuter avant l été Quand la plateforme deviendra opérationnelle, les agents de la déchetterie s occuperont de l accueil. Tout ce qui est lié au traitement sera à la charge du S.M.E.T.O.M. mais les coûts seront mutualisés à l échelle des collectivités qui bénéficieront de ce service.! Jougne : maîtriser le développement de la commune

3 GRÉSARD MALBUISSON BOUCHERIE, CHARCUTERIE ET FUMÉS DE MONTAGNE Nous sélectionnons nos animaux sur pieds à la ferme afin de garantir une qualité de tradition. Provenance de notre viande Mr Poix Daude Hervé et ses Bio à Jougne - DÉPARTEMENT DU DOUBS : Boujeons, Bouverans, Chapelle d Huin, Évillers, Hauterive la Fresse, Labergement Sainte-Marie, Mouthe, Sombacour, La Rivière-Drugeon, Les Longevilles Mont d Or, Sainte-Colombe, Saint-Point, Jougne, Oye-et-Pallet, Les Fourgs Les salers de Tatou Faivre à Mouthe Les croisés de Mr Faivre Jean-Luc à Oye-et-Pallet - DÉPARTEMENT DU JURA : Bief-du-Fourg, Petit Villard Rayon vente au magasin 8 à Huit MALBUISSON - LAC SAINT POINT Tél. : Fax :

4 L ÉVÉNEMENT 4 L événement Pour ou contre une Maison de l Environnement? Le secteur du Drugeon mobilise actuellement toutes les attentions autour d un projet : la création d une Maison de l Environnement. Ce futur lieu de sensibilisation aux milieux naturels doit s installer dans l ancien presbytère de La Rivière-Drugeon, réhabilité pour l occasion. Initié par le C.P.I.E. du Haut-Doubs, soutenu par l élu local Christian Bouday qui cherche actuellement à boucler le volet financier, ce dossier ne fait pas l unanimité parmi les élus du secteur de Frasne- Drugeon. À qui bénéficiera cette Maison de l Environnement, comment sera-t-elle financée, qui soutient le projet, qui émet des réserves. Deux pages pour mieux comprendre. Qui est le C.P.I.E.? Le Centre Permanent d Initiation à l Environnement a été créé en 1979 à l initiative d universitaires francs-comtois. Association loi 1901, le centre était basé à Bonnevaux (ancien moulin) jusqu à la fin des années 90 où il a déménagé à Frasne, face à la gare. Nous cherchions un local plus en adéquation avec l image maison de l environnement. Nous souhaitons également nous ouvrir plus sur le public. La commune de La Rivière nous a proposé ce projet dans l ancien presbytère, résume Benoît Deboskre, responsable du C.P.I.E. du Haut-Doubs. Le C.P.I.E. du Haut-Doubs emploie 7 salariés permanents en C.D.I. ainsi que quelques C.D.D. selon les périodes. Il réalise un chiffre d affaires de euros par an. Notre budget est autofinancé à 95 % précise le responsable. Mais par autofinancement, il faut tout de même entendre argent public. Car ses ressources proviennent essentiellement des missions GARAGE DORNIER Panda 4X4 d études, de conseil ou d aménagement que lui confient les collectivités publiques : Conseil général, Conseil régional, services de l État, communauté de communes, etc., ainsi que de la formation que le centre dispense tout au long de l année (éco-interprète, B.E.A.T.E.P. Tourisme, Nature, Environnement ), et des interventions en formation à destination des enseignants, des étudiants en D.E.F.A., brevet d État accompagnateur en montagne, des acteurs du milieu rural ou des élus.! LA RIVIÈRE-DRUGEON L e Haut-Doubs deviendrait-il un porte-drapeau national en matière de protection de l environnement? Tout porte à le croire. Après la Maison de la Réserve dont les nouveaux bâtiments ont été édifiés en 2002 à Labergement- Début des travaux cette année euros pour la Maison de l Environnement Le projet de transformation du presbytère de La Rivière-Drugeon en Maison de l Environnement suit son cours. Les 10 communes autour de Frasne sont concernées. Ce nouvel espace pourrait ouvrir en Lancia Musa Alfa GT 53-55, rue de Salins garage.dornier@wanadoo.fr Sainte-Marie, voilà que les élus du Haut-Doubs préparent la réalisation, à quelques kilomètres de là, d une Maison de l Environnement. Elle doit être édifiée sur la commune de La Rivière-Drugeon, à l emplacement de l ancien presbytère, propriété de la commune. Cette future Maison de l Environnement doit devenir la vitrine de la vallée du Drugeon, cet espace naturel européen reconnu pour la typicité de son milieu préservé. La Maison de l Environnement est également créée pour abriter les locaux du C.P.I.E. du Haut-Doubs (Centre Permanent d Initiation à Subventionné à hauteur de 75 %. l Environnement), logé depuis quelques années à Frasne. Le coût du projet est estimé à euros. Si le calendrier prévu par les élus est respecté, cette Maison de l Environnement devrait être opérationnelle en septembre 2006, d après les prévisions les plus optimistes. Christian Bouday, porteur du projet en tant que maire de La Rivière, détaille le dossier : Trois étages doivent être réaménagés. Le 1 er étage accueillera les locaux du C.P.I.E., les combles seront aménagés pour recevoir des expositions permanentes sur la vallée du Drugeon ainsi que des expositions temporaires. Au rez-de-chaussée, les salles seront destinées à d autres structures en lien avec l environnement. À côté du presbytère, nous avons prévu de créer un pavillon annexe pour la formation. Le jardin de curé serait maintenu et aménagé pour les visiteurs. Le côté environnemental serait poussé jusque dans la conception de ce bâtiment, avec chauffage bois, quelques éléments solaires, récupération des eaux de pluie, etc. La surface globale du bâtiment est d environ 750 m 2 (250 m 2 par étage). Le coût total de euros serait subventionné à hauteur de 75 % selon le maire de La Rivière. Il resterait environ euros à la charge de la commune. Christian Bouday espère que tous les financeurs pressentis se seront positionnés avant la fin du premier semestre pour pouvoir commencer les travaux cette année. Le C.P.I.E. ne financera pas du tout le bâtiment, la structure associative ne paiera qu un loyer à la commune de La Rivière. Cette Maison de l Environnement de la Vallée du Drugeon est censée affirmer le territoire du Drugeon. Mais servira-t-elle vraiment, à l image de la Maison de la Réserve de Labergement-Sainte-Marie, à valoriser le Haut-Doubs sur le plan touristique? Ses partisans s en disent convaincus.! J.-F.H.

5 L événement 5 NÉGOCIATIONS L e projet Maison de l Environnement a été approuvé à la majorité des élus de la communauté de communes Frasne-Drugeon (C.F.D.) en décembre dernier. En revanche, les élus communautaires n ont pas souhaité prendre en charge la gestion globale de ce projet, laissant le soin à Christian Bouday de le faire pour le compte de sa commune. Pourtant, parmi les missions premières de la C.F.D., comme la plupart des communautés de communes, figure le développement économique. Selon un des élus de la C.F.D., le projet nous a été amené comme étant un vecteur de développement économique alors que le C.P.I.E., en tant qu association, ne paie ni impôt sur les sociétés, ni taxe professionnelle, ni impôt foncier. Le seul apport économique de ce projet, ce sont les emplois du C.P.I.E. qui seraient maintenus sur notre territoire. C est la raison pour laquelle nous n avons pas souhaité prendre la maîtrise d ouvrage de ce projet. On a pris cette décision pour ne pas créer de précédent. Sinon, dans le futur, n importe quelle association qui a un projet de local se revendiquera comme ayant une vocation économique. Le président de la C.F.D., Jean Patoz, avance d autres explications. La C.F.D. n a que 2 ans d existence, c était un peu tôt pour nous de prendre en charge un tel projet dit-il. Le deuxième argument qui nous a interpellés, c est le projet d installer dans les combles du presbytère des salles pour les expositions et l accueil du public. Christian Bouday maintenait sa position sur ce point. On a donc décidé de lui laisser la maîtrise d ouvrage. Malgré cette décision, la C.F.D. soutient ce projet structurant estimant que le La C.F.D. ne sera pas maître d ouvrage Les dessous d un projet structurant La communauté de communes du Plateau de Frasne et de la Vallée du Drugeon (C.F.D.) n a pas souhaité prendre la maîtrise d ouvrage du projet. Malgré tout, elle mobilise euros de subventions. Explications. Nous n avions pas d autres projets concrets à soutenir. C.P.I.E. fonctionne désormais très bien et a un vrai rôle à jouer dans cette Vallée du Drugeon. Il contribue largement à conforter la réputation de la Vallée du Drugeon. La C.F.D. a décidé de mobiliser pour cette future Maison de l Environnement, euros, sur les euros dont la C.F.D. bénéficie du Conseil général à travers les fonds F.I.D.E.L. (fonds d intervention pour le développement local) sur la période En somme, les 4/5 èmes de ces fonds seront attribués à ce projet. De toute façon, au sein de la C.F.D., il n y avait pas d autres projets susceptibles d être soutenus par les fonds F.I.D.E.L. Et si en 2007, les fonds ne sont pas consommés, ils sont perdus explique Jean Patoz pour justifier l importance de l aide. Certaines voix s étaient élevées, notamment à Frasne, contre la hauteur de cette aide, arguant du fait que Frasne avait dans les cartons d autres projets à aider, notamment la création d un bâtiment-relais à destination des jeunes entreprises. Nous n avions pas d autres projets concrets à soutenir. Et si un tel projet se décante sur Frasne, il restera euros de fonds F.I.D.E.L. justifie Jean Patoz. Le principe est aujourd hui acté : la Maison de l Environnement de La Rivière est soutenue par une majorité d élus de la C.F.D. qui ont certainement compris que s il y a des bénéfices à tirer de ce projet, ils seront à destination de tout le secteur de Frasne et du Drugeon et non pas seulement de la commune de La Rivière.! J.-F.H. RÉACTION Un projet très aléatoire Jean Humbey, adjoint au maire de Frasne, fait partie des élus de la C.F.D. qui se sont abstenus sur le projet Maison de l Environnement. Il s en explique. J ai l impression qu on utilise des crédits un peu par défaut, parce qu on n a rien d autre. Déplacer le C.P.I.E. à La Rivière n apportera pas grand-chose. D autre part, Les élus des 10 communes de la C.F.D. ont décidé de mobiliser euros des fonds F.I.D.E.L. au réaménagement du presbytère de La Rivière. Christian Bouday a réussi à convaincre. à quoi bon créer un nouveau musée tourné vers la nature? La Maison de la Réserve a déjà du mal à tourner, le musée du cheval à Levier ne tourne pas Troisième réserve : il n y a pas encore de projet concernant le deuxième étage du presbytère. On ne sait même pas ce qu on va mettre dedans! Ce que je ne comprends pas, c est que la C.F.D. ne veut pas prendre la maîtrise d ouvrage de ce projet et qu on n a pas osé s y opposer, c est un peu contradictoire. Enfin, sur le plan du fonctionnement, rien n est On en fait un peu trop pour les milieux humides. chiffré. Il faudra bien du personnel pour s occuper des expositions permanentes. Rien n est précisé. C est un projet très aléatoire selon moi. Et j ai l impression qu on en fait un peu trop pour les milieux humides, au détriment de l économie, qui devrait être notre rôle premier.! Recueilli par J.-F.H. MISSIONS visiteurs Maison de la Réserve Maison de l Environnement : même combat? Édifier deux établissements dont la vocation est la sensibilisation à l environnement, à moins de 30 km l un de l autre, est-il un choix judicieux? Pour les principaux intéressés, ces deux maisons seront complémentaires. L une est ouverte depuis juillet 2002 à Labergement-Sainte-Marie. Sa construction, muséographie comprise, aura coûté 1,8 million d euro. Cette réalisation semble pleinement se justifier tant son ancien emplacement (dans une usine désaffectée) donnait une piètre image du Haut-Doubs. En 2004, la Maison de la Réserve a accueilli près de visiteurs (contre dans l ancien bâtiment). Ceci dit, il lui faudrait enregistrer entrées annuelles pour atteindre un équilibre correct. L autre n est pas encore ouverte mais suscite déjà l enthousiasme de ses défenseurs. Grâce à ce futur bâtiment, nous aurons enfin un local en adéquation avec l image d une Maison de l Environnement et les thèmes qu on souhaite valoriser indique le responsable du C.P.I.E. Ce bâtiment nous permettra aussi d accueillir dignement le public. La cohabitation de la Maison de la Réserve de Labergement avec la future Maison de l Environnement de La Rivière est jugée comme complémentaire. La Maison de la Réserve est très spécifique à la réserve de Remoray et à son milieu et ils ont une politique d accueil importante. Nous, nous mettrons plus l accent sur la relation de l homme avec la Vallée du Drugeon. Il n y aura pas d ambiguïté entre nous observe Benoît Deboskre. Même son de cloche du côté de Remoray : Nous aurons une complémentarité de territoire, de thèmes et de secteurs d activités, commente Didier Pépin, responsable de la Maison de la Réserve. Nous sommes gestionnaires d une réserve naturelle tandis que le C.P.I.E. a un message plus tourné vers l environnement, les déchets, la pollution Ici à Remoray, c est plus la faune et la flore. Le C.P.I.E. fait beaucoup de formation, nous en faisons très peu. On a toujours su éviter de se marcher sur les plates-bandes. Cette Maison de l Environnement sera un outil de plus pour le tourisme dans le Haut-Doubs. Les deux établissements devraient réussir à s entendre sur une harmonieuse cohabitation. La Maison de la Réserve fait partie du conseil d administration du C.P.I.E. et vice-versa! BUDGET L e coût global de ce dossier est estimé à euros hors taxes. Il est inscrit en tant que projet structurant au contrat de Pays liant l État et les collectivités territoriales (Conseil général, Conseil régional) au Pays du 75 % de subventions Qui paiera la Maison de l Environnement? Haut-Doubs (territoire s étalant de Montbenoît à Mouthe, en passant par Frasne, Pontarlier, Métabief et Levier). Ainsi, selon les estimations actuelles, sur les euros, euros devraient être pris en charge par l État, euros par le Conseil régional de Franche-Comté, euros par les contrats F.I.D.E.L., le Conseil général prenant aussi à sa charge des subventions liées à l environnement (chaufferie bois ). Le taux de subventionnement avoisinerait ainsi les 75 %. Il resterait donc à la charge de la commune de La Rivière-Drugeon, un reliquat de euros. Voilà pour l investissement. Concernant les coûts de fonctionnement de cet établissement, ils seraient en partie pris en charge par les loyers payés par le C.P.I.E. (mais juste pour un des trois étages) du bâtiment. La C.F.D. réfléchit actuellement à une convention selon laquelle elle gérerait les expositions permanentes du 2 ème étage. Il reste encore à trouver qui prendrait en charge le loyer du rez-de-chaussée. Atteindre un petit équilibre. Nous espérons atteindre un petit équilibre concernant le fonctionnement commente Christian Bouday. Si j étais contribuable à La Rivière, je me poserais quelques questions sur le coût de fonctionnement de ce bâtiment de 800 m 2 ajoute un autre élu de la C.F.D., voisin de La Rivière.!

6 6 Pontarlier CENTRE-VILLE Bientôt la fusion? Le commerce pontissalien à l unisson Le commerce de centre-ville réuni sous la même bannière. C est pour bientôt? NAISSANCES La fusion des deux associations commerciales de centre-ville est-elle encore possible alors que vient d être élu un nouveau président de l association Faubourg Saint-Pierre? Les intéressés se disent ouverts à cette éventualité. D aniel Laurence, alias Billy, a été porté à la tête de l association des commerçants de Saint-Pierre alors que cette présidence était vacante suite à la démission de Sébastien Cuinet pour raisons professionnelles. Il faut dire qu on ne se bousculait pas au portillon pour reprendre cette responsabilité, d autant que la grande majorité des commerçants de Saint-Pierre était favorable pour rejoindre les rangs de l autre association, Commerce Pontarlier Centre (C.P.C.). L association Saint-Pierre aurait dû être dissoute, il n y avait plus de président et d après un sondage qui avait été fait, 81% des commerçants de Saint-Pierre n étaient pas défavorables à l idée de rejoindre C.P.C. Mais certains voulaient vraiment conserver l identité de cette place Saint-Pierre et que l association vive. Faute d autres candidats, je me suis proposé de poursuivre explique Daniel Laurence. Si certains accusent les anciennes mentalités de ne pas vouloir évoluer, le nouveau président défend sa position. Qu on le veuille ou non, la place Saint-Pierre a une véritable identité. Tout le monde tient à maintenir des animations comme les greniers de Saint-Pierre ou le départ des conscrits le 1 er dimanche d avril. Les gens ne voulaient pas perdre tout cela. État-civil de février 28/01/05 Laura de Pierre RODRIGO, chauffeur poids-lourds et de Maud VIENNET, sans profession. 28/01/05 Ulysse de Frédéric MARCEAU, informaticien et de Nathalie OTTO, assistante dentaire. 29/01/05 Maxime de Christophe COUR- TOIS, employé d'imprimerie et Dorothée KATCHENCO, vendeuse. 29/01/05 Sara de Florent MINARY, agent des Services Hospitaliers et de Marjolaine RENOUD, fleuriste. 29/01/05 Timéo de Bertrand VUILLEMIN, enseignant et de Emmanuelle JEANNIN, enseignante. 29/01/05 Flavio de Sébastien MONGE- ROFFARELLO, pâtissier et de Adeline PIER- RE, fleuriste. 29/01/05 Fabio de Stéphane MYOTTE, commercial et de Corinne BERTONCINI, secrétaire. 29/01/05 Clément de René JACQUET, horloger et de Marie-Aimée ROGNON, secrétaire médicale. 30/01/05 Louna de Hervé GAUTHIER, marbrier et de Edwige DOURNEL, secrétaire. 30/01/05 Paul de Raphaël D'HOUTAUD, charpentier et de Sandra CORNILLE, aide médico-psychologique. 30/01/05 Wissal de Echcherki RACHIDI, ouvrier et de Amina BENHARMA, sans profession. 30/01/05 Siméon de Laurent VERNISEAU, éducateur et de Laurence RAMEL, éducatrice. 31/01/05 Florent de Walter BOLE-RICHARD, agriculteur et de Stéphanie RENAUDOT, sans profession. 31/01/05 Lucas de Fabrice VUEZ, agriculteur et de Alexandra PAGNIER, ouvrière. 31/01/05 Sura de Muhammet CETINKAYA, mécanicien et de Nadide KARACA, sans profession. 31/01/05 Sémsi de Mesut SEN, artisan et de Ayse COBAN, sans profession. 01/02/05 Lauréline de Sébastien BÉGRAND, paysagiste et de Céline VIGOUROUX, cadre ressources humaines. 01/02/05 Maë de Guy JEANTET, éducateur sportif et de Séverine MAUGERY, éducateur sportif. 01/02/05 Thaïs de Thomas JOLY, chauffeur livreur et de Vanessa BÉNÉTRUY, hôtesse de caisse. 01/02/05 Teva de Pascal TRIMAILLE, horloger et de Carine ZOUNGBO, aide-soignante. 01/02/05 Michel de Giuliano NATALE, maçon et de Sabrina SOLTANE, coiffeuse. 02/02/05 Nathan de Gérald RICHARD, vendeur et de Marielle COMTE, assistante d'exploitation. 01/02/05 Alexis de Céline RICHARD, serveuse. 02/02/05 Mathéo de Jérôme ALDROVAN- DI, électricien et de Amandine VALENTIN, sans profession. 02/02/05 Léna de Izet PORCIC, galvanoplaste et de Carine LOCATELLI, gouvernante. 02/02/05 Alexis de Frédéric ANTUNES SOARES, brancardier et de Virginie LON- CHAMPT, déclarante en douanes. 03/02/05 Sacha de Patrick LE, cuisinier et de Magalie DELANCE, conseillère cosmétique. 02/02/05 Julie de Mickaël SURMA, horloger et de Stéphanie PIDOUX, secrétaire. 03/02/05 Mathis de Eric LONCHAMPT, comptable et de Laetitia VALLET, ouvrière. 04/02/05 Tiago de Helder FIGUEIREDO BARBOSA, ouvrier et de Sylvia GONCALVES, caissière. 04/02/05 Nour de Mohammed BOUTIMAH, infirmier et de Séverine BARRE, infirmière. 04/02/05 Romane de Alain FUMEY, technicien pharmaceutique et de Isabelle TYRO- DE, professeur des écoles. 04/02/05 Thomas de Martial GUIGNARD, menuisier et de Elise MAGNENET, secrétaire. 04/02/05 Timothée de Francis VALLET, médecin et de Iris CULLMANN, kinésithérapeute. 04/02/05 Lina de Rémy VERMOT-DES- ROCHES, boulanger-pâtissier et de Nathalie BELOT, comptable. 04/02/05 Pierre de Hervé GIRARD, électricien et de Sophie DESCOURVIERES, sans profession. 04/02/05 Romain de Laurent SIRE, débardeur et de Nelly SCHELL, secrétaire comptable. 04/02/05 Solène de Eric TOUBIN, gérant de société et de Carole MÉRIQUE, infirmière. 05/02/05 Garris de Bernard GAUME, magasinier et de Rachel OURION, libraire. 05/02/05 Chloé de Loïc VINCENT, menuisier et de Marilyne MOREL, assistante du personnel. 05/02/05 Léo de Pascal JEANNEROT, scieur et de Laurence ROGNON, professeur de mathématiques. 05/02/05 Clémence de Jean-Marie CUR- TIL, conseiller agricole et de DUFFET Nathalie, comptable. 05/02/05 Noé de Emmanuel JEANNIN, ouvrier et de Maryline CONVERSET, sans profession. 06/02/05 Augustin de Christophe POUR- CELOT, menuisier et de Cécile POURCE- LOT, coiffeuse. 06/02/05 Éthan de Emmanuel ROGNON, constructeur horlogerie et de Marylène BINE- TRUY, enseignante. 07/02/05 Charles de Philippe VILLERMOT, décolleteur et de Valérie DUSSOUILLEZ, professeur de sport. 07/02/05 Chloé de Pascal DROZ-VINCENT, agriculteur et de Laurence COURVOISIER, fleuriste. 08/02/05 Evan de Nicolas GUYON, professeur des écoles et de Nathalie VALLIN, professeur des écoles. 08/02/05 Justin de Thierry PEIGNE, ouvrier scierie et de Mihaela CONSTANTIN, caissière. 08/02/05 Cassandre de Arnaud LEFRANT, éducateur territorial et de Alexandra PEC- CLET, enseignante. 08/02/05 Juline de David SAILLARD, magasinier et de Mélanie POINTURIER, préparatrice en pharmacie. 08/02/05 Roman de Nicolas HALLER, enseignant et de Céline FANKHAUSER, institutrice. 09/02/05 Antoine de Olivier ROUILLER, maçon et de Cathy MONNIN, sans profession. 09/02/05 Thibaut de Stéphane BENOIT, technicien de maintenance et de Valérie MES- NIER, chef de produit. 09/02/05 Jules de Thierry MOUGET, agent territorial et de Delphine CAILLE, hôtesse de caisse. 10/02/05 Mathis de Fabrice SAGET, scieur et de Marie-Claude DABERE, sans profession. 10/02/05 Romain de Stéphane CORDIER, angleur manuel et de Séverine GAGELIN, secrétaire. 10/02/05 Lucas de Alain HAUFF, conseiller technique et de Patricia LEDERMANN. 11/02/05 Inès de Christophe SERRUROT, ouvrier et de Célia LIZON-à-LUGRIN, préparatrice en pharmacie. 11/02/05 Emma de Adrien PARENT, employé et de Julie PETIT-MAIRE, employée. 12/02/05 Louise de Jérémie GUINCHARD, géologue et de Nathalie BENOIT, aide soignante. Cela dit, le nouveau président affiche une réelle ouverture : Nous avons déjà fait plusieurs réunions avec les gens de C.P.C., le dialogue est au beau fixe, nous avons une vraie volonté de travailler en commun poursuit Billy. Cette volonté est partagée par Sylvie Trouttet, la présidente de Nous avons les mêmes préoccupations qu eux. C.P.C. : Billy est certainement la bonne personne pour faire l intermédiaire entre nous et pourquoi pas mener à la fusion entre nos deux associations. Les prochaines animations, nous devrions les faire ensemble. Le client, ce n est pas la porte Saint-Pierre qui l arrête. Nous avons tous l envie d aller de l avant confirme-t-elle. De son côté, Daniel Laurence confirme sa volonté d aboutir vers un rapprochement. Les anciennes guéguerres n ont plus lieu d être, notre volonté est de positiver. En même temps, nous ferons en sorte, commerçants de Saint- Pierre, de garder notre âme et les manifestations auxquelles nous sommes attachés nuance-t-il. Notre problème, ce n est pas C.P.C. Nous avons les mêmes préoccupations qu eux, à savoir faire venir les gens au centre-ville et répondre à la demande des clients ajoute le président. 12/02/05 Lydian de Sylvain CACHOD, mécanicien et de Laetitia HAUCK, employée de commerce. 13/02/05 Leïlane de Yassine FENNOUR, photographe et de Chiraz BEN ZITOUNE, monitrice d'atelier. 13/02/05 Flavie de Yannick VUITTENEZ, magasinier et de Nathalie COURTET, serveuse. 14/02/05 Lucie de Jacques ANNALER, responsable d'achats et de Pierrette JEANNIN, assistante de communication. 15/02/05 Paola de François AYMONIER, professeur de français et de Mayra MARIN GOMEZ, psychologue. 15/02/05 Enzo et Stella de Alain NÜNLIST Alain, gérant et de Eliza LUIIJF. 15/02/05 Vincent de Christophe GUILLARD, enseignant et de Claire LAVIGNE, enseignante. 16/02/05 Tina de Marc BETTONI, sans profession et de Elodie SANCEY-RICHARD, étudiante. 15/02/05 Oriane de Pierre LEFÈVRE, chauffeur routier et de Catherine CALVARESI, sans profession. 16/02/05 Sarah de Jean CHAUVET, polisseur et de Sabah CHKHOUNTI, formatrice d'assistante maternelle. 17/02/05 Sarah de Christophe BOUDET, vendeur et de Lorena DUBOIS, secrétaire. 17/02/05 Gaëtan de Raphaël MATHIEU, soudeur et de Amandine JACQUEMOT, ouvrière. 18/02/05 Wisam de Wasfi TAHER, commerçant et de Abir TAHER, secrétaire. 18/02/05 Célestin de Guy MOUROT, bûcheron et de Laurence QUERRY, sans profession. 18/02/05 Zeliha de Yasin VAROL, sans profession et de Meral HEZER, sans profession. 20/02/05 Ylan de Olivier FREMINET, serveur et de Virginie COLNOT, serveuse. 23/02/05 Steven de Jacky CUENOT, maçon et de Laetitia VAREY, sans profession. 22/02/05 Marie de François VEUVE, dentiste et de Florence GUEURY, dentiste. 22/02/05 Louisie-Anne de Philippe LAN- QUETIN, menuisier ébéniste et de Angélique PHILIPPE, infirmière puéricultrice. 22/02/05 Martin de Jean-Marc LACHAT, ouvrier et de Laurence ANGUENOT, formatrice. 23/02/05 Alexis de Jean NICOLET, enseignant et de Lioudmila IAKINA, sans profession. 23/02/05 Hasan de Ali KOSE, stagiaire et de Emine KARA, sans profession. 24/02/05 Chloé de Joan CAMBRAY, vendeur et de Eve NICOLAS, hôtesse d'accueil. L association des commerçants de Saint- Pierre compte une trentaine d adhérents. C.P.C. quant à elle, totalise 85 adhérents. Un élément nouveau entre en ligne de compte : l opération F.I.S.A.C. (fonds de sauvegarde du commerce et de l artisanat) s est achevée. Pendant 6 ans, ce programme a permis de financer des animations, notamment le poste d une animatrice du commerce. Les commerçants sont désormais livrés à euxmêmes. Si on veut être un vrai interlocuteur de la ville, il vaut mieux se montrer unis. Et les bénévoles, pour aller coller des affiches, chercher des animations, faire des devis ne se bousculent pas. Mieux vaut ne pas multiplier ce travail par deux et partir unis estime ce commerçant. À terme, il paraît logique de se réunir en une seule association résume Sylvie Trouttet. Mais l expérience des années précédentes montre qu il ne sert à rien de brusquer les choses. Peu à peu, les mentalités évoluent. Il ne suffit plus de grand-chose pour enfin faire tomber cette barrière psychologique que constitue la porte Saint-Pierre. La fusion n a jamais paru aussi proche.! J.-F.H. 24/02/05 Théo de Frédéric THOMAS, électricien et de Aurélie CHARLIN, sans profession. 24/02/05 Mathéo de Jérôme QUERRY, mécanicien et de Valérie GAIFFE, horlogère. 25/02/05 Lalie de Vincent BARBAUD, gérant d'entreprise et de Séverine PROST, professeur des écoles. DÉCES 29/01/05 Yvonne GENRE-JAZELET, 80 ans, aide ménagère retraitée, domiciliée à la Cluse-et-Mijoux (Doubs), veuve de Roger TERRAZ. 29/01/05 Brigitte PIQUARD, 40 ans, assistante maternelle, domiciliée à Doubs (Doubs), épouse de Christophe ROGNON. 30/01/05 Monique CHARDENOT, 84 ans, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Jean PELLISSIER. 30/01/05 Henriette PERICO, 75 ans, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de René LEFEVRE. 30/01/05 Hubert CARLIER, 76 ans, retraité, domicilié à Vuillecin (Doubs), époux de Colette LESUR. 31/01/05 Elisabeth CORDIER, 55 ans, domiciliée à Pontarlier (Doubs), épouse de Michel MAIRE. 01/02/05 Marius PERREY, 77 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Gabrielle GENRE. 01/02/05 Paul SCANIGLIA, 82 ans, retraité, domicilié à Labergement-Sainte-Marie (Doubs), époux de Zita NEGRO. 01/02/05 Jean CUINET, 80 ans, retraité alphacoustique, domicilié à Pontarlier (Doubs), célibataire. 02/02/05 Aline JOBEY, 73 ans, retraitée du commerce, domiciliée à Frontenay (Jura), épouse de Daniel BOUCHOT. 30/01/05 Séverine DHOTE, 25 ans, ouvrière frontalière, domiciliée à Pontarlier (Doubs), célibataire. 02/02/05 Louis MONNIN, 89 ans, retraité, domicilié à Morteau (Doubs), époux de Simone JOUILLE. 03/02/05 Marthe JOBARD, 87 ans, retraitée, domiciliée à Guyans-Vennes (Doubs), veuve de Henri LIEGEON. 06/02/05 Gisèle THEVENY, 87 ans, retraitée, domiciliée à Levier (Doubs), épouse de Paul CHAPUSOT. 06/02/05 Louise RONDOT, 93 ans, retraitée, domiciliée à Le Belieu (Doubs), veuve de Paul GAUME. En bref " Associations La communauté de communes du Plateau de Frasne et du Val du Drugeon (C.F.D.) vient de publier un répertoire des associations qui recense, par thèmes (loisirs, culture, sport, social ), les associations présentes sur les 9 communes de la C.F.D. Disponible au " Cartes postales Pour les amateurs de cartes postales anciennes, rendezvous sur le site internet de René Boissier. Vous trouverez sur le site de cet habitant du secteur, d anciennes cartes postales de tous les villages de la vallée du Drugeon et plus largement, du Haut- Doubs. À voir sur " Musique L accordéoniste pontissalien Manu Maugain présente son premier disque de musique relaxante. Modes musicaux indiens, sons tibétains, tonalités positives Une nouvelle corde à l arc de Manu Maugain : la musicothérapie. Renseignements à l adresse suivante : Manu Maugain- Mondial Diffusion - B.P Pontarlier Cedex. 06/02/05 Henri DELAVENNE, 89 ans, retraité, domicilié à La Cluse et Mijoux (Doubs), époux de Solange DUXIN. 08/02/05 Doris WINTZER, 55 ans, assistante maternelle, domiciliée à Villers le Lac (Doubs), épouse de Bernard SCHLUETER 08/02/05 Michèle DAVIGNON, 59 ans, femme de ménage, domiciliée à Pontarlier (Doubs). 08/02/05 Jean MARGUIER, 64 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Claude LEMOINE. 08/02/05 Jean TARRIUS, 84 ans, médecin, domicilié à Mignovillard (Jura), époux de Madeleine ECOIFFIER. 09/02/05 Daniel BOUCHARD, 71 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs). 09/02/05 Georges GRASSI, 77 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), célibataire. 10/02/05 Suzanne ZUCHELLINI, 84 ans, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Gaston GALFIONE. 12/02/05 Candida COLOTTI, 55 ans, enseignante, domiciliée à Les Rousses (Jura), veuve de Bernard GRENIER. 14/02/05 Bernard BARTHÉLEMY, 62 ans, retraité de Police, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Janine MOREILLON. 15/02/05 Stéphan PISZO, 38 ans, sans profession. 16/02/05 Marie-Louise ODOBEL, 90 ans, sage-femme retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Henri PAULIN. 16/02/05 Simonne RAGAIN, 84 ans, retraitée, domiciliée à Morteau (Doubs), veuve de Georges RUFER. 18/02/05 Suzanne BÉLIARD, 75 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs). 18/02/05 Marcel VIEILLE, 76 ans, agriculteur retraité, domicilié à Dompierre-les-Tilleuls (Doubs), célibataire. 18/02/05 Raymond MOREL, 82 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), célibataire. 20/02/05 Robert CARETTI, 57 ans, mécanicien CIT, domicilié à Pontarlier (Doubs). 20/02/05 Marie DUMONT, 76 ans, gouvernante retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), célibataire. 21/02/05 Edithe VALLET, 95 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs). 22/02/05 Léon FOURNICHOT, 85 ans, retraité du Trésor, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Juliette PERNY. 22/02/05 - Gabriel TISSOT, 90 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), célibataire. 23/02/05 Denise BERGEZ, 92 ans, employée hôtellerie retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Angèle SOLDAVINI. 26/02/05 Zennon ODROBINA, 76 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Hannelore MULLER.

7 Le dossier 7 LE DOSSIER TÉLÉPHONE PORTABLE : le secteur de Pontarlier est-il dangereux? DERNIÈRES POSSIBILITÉS D ACQUÉRIR UNE PARCELLE sarl ADEV 18, rue de la république SALINS-LES-BAINS Tél. lots de 6a à 20a env. Les HÔPITAUX NEUFS (25) Lotissement (Permis de lotir délivré) Le Clos de la Rochette Livraison prévue 3 ème trimestre 2005 libre choix du constructeur Site magnifique C est une question d actualité, au moment où la ville s interroge sur les véritables effets des ondes provenant des antennes de téléphonie mobile et où le Conseil général du Doubs, en partenariat avec les opérateurs privés, cherche à étendre la couverture du portable sur l ensemble du département. À Pontarlier, plusieurs habitants situés proches d un pylône de téléphonie mobile se sont alarmés sur les conséquences des champs électromagnétiques. Dans le même temps, une association de L Auberson en Suisse voisine, essaie de faire passer le message selon lequel ces antennes-relais sont loin d être inoffensives. Gros plan sur un phénomène de société, le portable, et ses éventuelles conséquences sur la santé humaine. Le débat est loin d être clos. TÉLÉPHONIE Les cas pontissalien Communication brouillée autour des antennes Sept antennes de téléphonie mobile sont réparties sur l ensemble de l agglomération de Pontarlier. Certaines ont fait l objet d enquête pour mesurer l impact du rayonnement sur le voisinage. le projet de l opérateur Orange qui a tout déclenché. Au début des années 2000, C est il a sollicité la municipalité de Pontarlier pour obtenir l autorisation de modifier son relais de téléphonie mobile situé à proximité du réservoir d eau Château Chastaing, à quelques pas des Pareuses. L objectif était d équiper ce pylône de la technologie U.M.T.S. qui permet d éviter le phénomène de saturation en multipliant par trois le nombre de communications simultanées. L intérêt de ce dispositif est d améliorer encore le service rendu aux usagers en leur garantissant une couverture réseau permanente sans risques d encombrements sur les ondes. Pour y parvenir, cela nécessite d augmenter la fréquence du relais, ce qui ne fut pas du goût de tout le monde. Des riverains se sont plaints auprès de la mairie, expliquant que cette antenne générait un mal-être chez certains d entre eux. En réaction, la municipalité a demandé à Orange de faire une étude d impact sur le voisinage. Des techniciens se sont déplacés dans la rue pour faire une analyse spectrale des champs magnétiques avec un appareil capable de faire le tri entre toutes les ondes : télévision, radio, téléphonie indiquent les services techniques de la ville. En septembre 2002, 33 points de contrôles ont été passés en revue, principalement dans le quartier des Pareuses, car il se situe directement dans l axe de l antenne de téléphonie mobile. Un contrôle a été fait à l immeuble Marguet, qui est juste en face du pylône. Au point le plus fort, les résultats étaient à 8% du seuil maximum des normes fixées à l échelle nationale. L impact de l antenne sur l environnement était donc pratiquement insignifiant. D ailleurs le rapport n a pas mis en évidence d anomalies particulières. Pour s en assurer, la Ville de Pontarlier ne s est pas satisfaite des données avancées par l opérateur. Elle a missionné un cabinet spécialisé dans ce genre de travaux qui en janvier 2003, a mené à son tour une campagne de mesures, dans des conditions pratiquement identiques. Les résultats énoncés en conclusion Un risque sanitaire à des niveaux bien inférieurs. des deux études sont similaires. En tout cas, ils ne révèlent pas d écarts significatifs. La plupart des mesures de champs magnétiques ne vont pas au-delà d un infime pourcentage des seuils à ne pas dépasser définis par la réglementation. La probabilité d un quelconque effet de ces ondes sur la santé serait donc écartée. Les informations fournies par ces études ne permettent pas d affirmer que les symptômes (troubles du sommeil par exemple) ressentis par quelques riverains sont liés au rayonnement du relais. Faut-il en douter? Oui, à en croire l avis d un expert qui a souhaité gardé l anonymat. Ce professionnel effectue régulièrement des mesures des champs magnétiques. Selon lui, il n y a pas d ambiguïté sur la question. Les valeurs fixées par la norme sont tellement élevées qu en effet, il serait surprenant de les dépasser lors des campagnes de mesures. Mais on estime qu il y a un risque sanitaire à des niveaux bien inférieurs que ceux définis dans la réglementation européenne. J ai déjà rencontré des personnes qui ont des maux de tête alors que le rayonnement était très faible. Chacun réagit différemment. Pour la technologie G.S.M. 900, la norme est de 41V/m (volt par mètre) pour le G.S.M elle est de 58V/m et 61 V/m pour l U.M.T.S. Aujourd hui, les 3/4 des pays européens ont baissé ce seuil qu ils considéraient trop élevé. Ils sont passés à une limite de 5 voire 2 V/m à ne pas dépasser estimant qu au-delà, il y a un risque sanitaire. La réglementation française n impose rien. Elle s est calquée sur les indications européennes. Il n y a pas d obligations pour les opérateurs mais juste des recommandations. Tant qu ils sont dans la norme, ils peuvent installer des antennes précise-t-il. Pour cet expert, le danger serait latent. Des études sont en cours en laboratoire mais pour l instant, aucun résultat ne transpire. Interpellés sur la question sanitaire, les organismes d État comme la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (D.D.A.S.S.) se retranchent derrière la norme pour porter un avis. Tous expliquent qu il suffit de s éloigner de quelques mètres du relais pour que le champ fréquence diminue de façon considérable. Suffisamment en tout cas pour ne présenter aucun danger. Par contre, la D.D.A.S.S. est beaucoup plus attentive à l utilisation même du téléphone portable. Le paradoxe est que les gens s énervent beaucoup sur les antennes alors que le danger vient du téléphone portable en lui-même et de son usage excessif. Actuellement, nous n avons pas relevé d effet sanitaire, mais un effet biologique qui se traduit chez l utilisateur par un échauffement au niveau de l oreille soulignent les services de la D.D.A.S.S. Les conséquences à long terme d une utilisation déraisonnables du portable font débat sur la scène scientifique. Ce n est pas un hasard si les centres commerciaux de Carrefour et B.H.V. envisagent de retirer de la vente des téléphones portables destinés aux enfants de 4 à 8 ans, qui venaient d être mis sur le marché. Principe de précaution oblige.! T.C.

8 8 Dossier ARCHITECTURE L avis des Bâtiments de France Et pourquoi pas les églises? Dans le Doubs, quelques églises ont une antenne dans leur clocher. Pour les Bâtiments de France, cette option est préférable à toutes les autres. Répartition géographique de toutes les antennes à Pontarlier L es Bâtiments de France sont consultés dans la plupart des dossiers d implantation d une antenne de téléphonie mobile. La position que ce service défend par rapport à ce genre de demande peut surprendre. Pour nous, le mieux est que les opérateurs posent leurs antennes dans le clocher des églises, ou sur les châteaux d eau indique Marc Wattel, architecte des Bâtiments de France. Placé à l intérieur, l équipement ne perturbe pas l harmonie architecturale d un quartier où de l édifice. Ce choix d emplacement limite OPÉRATEUR Ce choix limite la prolifération des pylônes. aussi la prolifération des pylônes pas très esthétiques. En théorie, l option du clocher de l église semble être idéale, mais en pratique, elle ne fait pas l unanimité. Il arrive que les élus s y opposent. Le doute est jeté sur la nocivité de ces antennes qui n a, à ma connaissance, jamais été prouvée. Les communes sont aussi réticentes à ouvrir leur clocher car elles ne souhaitent pas favoriser un opérateur de téléphonie mobile par rapport à l autre. La situation géographique des villages du Doubs, parfois encaissés, est un élément défavorable pour les opérateurs Chargé de communication qui cherchent à s implanter sur les hauteurs. Les églises ne sont pas toujours très propices car elles se situent en fond de vallée et les équipements ne fonctionnent pas. Le clocher n est pas forcément le point le plus haut. Les Bâtiments de France proposent des alternatives quand il n est pas envisageable d abriter une antenne. Tant que possible, on demande aux opérateurs de se regrouper sur un seul pylône signale Marc Wattel. Je préciserai quand même que de gros efforts ont été faits en milieu urbain, où on va jusqu à aménager de fausses cheminées dans lesquelles on placera le relais.! Source : anfr-cartoradio.fr Patrick Nicole-Williams : Il arrive que l on rencontre des oppositions Représentant de Bouygues Télécom, Patrick Nicole-Williams revient sur la stratégie de développement des opérateurs. Le danger viendrait plus de l utilisation du téléphone portable que de la présence des antennes. La Presse Pontissalienne : 23 nouveaux pylônes vont être installés cette année dans le département du Doubs. Quelle est la stratégie de développement des opérateurs à l heure actuelle? Patrick Nicole-Williams : Si l on fait abstraction des zones blanches, le problème des opérateurs n est plus de déployer leur réseau car le territoire national est aujourd hui couvert à 98 %. En fait, on continue à poser des émetteurs dans deux cas. Le premier est de couvrir les zones blanches. Le second est de faire face à l augmentation de la clientèle. Par exemple, lorsqu une antenne ne peut pas accepter plus de 60 communications simultanées dans un secteur où le potentiel est important, alors on ajoute un second relais afin de répondre à la demande. Ce dispositif permet d éviter les phénomènes de saturation du réseau. L.P.P. : Les services de l État demandent désormais aux opérateurs de se regrouper pour éviter une prolifération des pylônes. Trouvez-vous des terrains d entente? P.N.-W. : Je précise tout d abord qu il n y a aucune obligation. Mais c est vrai que les services de l État nous y invitent. Chaque fois que nous pouvons le faire, on le fait. Or, ce n est pas toujours possible et pas forcément souhaitable. L.P.P. : Pour quelle raison ce n est pas toujours envisageable? Les conséquences sanitaires sont nulles. P.N.-W. : Tous les opérateurs n ont pas les mêmes fréquences et les mêmes besoins en terme de positionnement géographique, car jusqu ici nous nous sommes développés de façon indépendante. Ensuite, le regroupement n est pas toujours souhaitable car il est synonyme d impact sur l environnement. Sur un même pylône, chaque opérateur doit disposer de 5 m pour installer ses équipements. Cela veut dire qu il faut ajouter 15 m à un mât de 20 m. Plutôt qu un pylône de 35 m, je crois qu il est préférable d installer trois allumettes, une par opérateur. L.P.P. : Comment êtes-vous perçu par les collectivités quand vous demandez l installation d un pylône? P.N.-W. : Aujourd hui, nous sommes sur un rythme de déploiement qui est de l ordre de 24 mois. Sur ce délai, il y a deux mois de travaux, tout le reste est de la négociation. Il arrive parfois que l on rencontre des oppositions sur le terrain, en général pas de la part de collectivités locales qui sont informées sur la question. L.P.P. : Vous affirmez donc que les antennes-relais n ont aucun impact sur la santé? P.N.-W. : Des polémiques ont été alimentées de façon déraisonnable, puisque la communauté scientifique internationale s accorde à dire qu il n y a aucun problème. On implante actuellement des relais en terrasse d immeuble. Nous définissons un périmètre de sécurité et ça ne pose aucune difficulté aux personnes qui travaillent à proximité. Quand vous habitez en ville, sachez que vous habitez presque systématiquement à côté d un relais puisqu il y en a un en moyenne tous les 400 ou 500 m. Les conséquences sanitaires sont nulles. Sur ce point là, la messe est dite. L.P.P. : Le danger est plus à chercher du côté du téléphone portable en lui-même et pas tant des antennes? P.N.-W. : En effet, il y a des questions concernant une utilisation déraisonnable du téléphone portable. On s interroge sur son usage excessif.! Glossaire Technologie U.M.T.S. : Universal Mobile Telecommunication Systems. Cette technologie permet aux opérateurs d augmenter par trois le nombre de conversations simultanées sur une même zone de couverture. Sur le principe de fonctionnement, la fréquence (2 000 Mhz) est plus importante que dans la technologie G.S.M. Technologie G.S.M. : Global System For mobile Communication. Ce réseau toujours en vigueur s appuie sur deux fréquences de 900 et Mhz. Il atteint ses limites face au nombre croissant d abonnés dans le monde.

9 FRASNE Dossier euros par an Bouygues s est installé dans le clocher L opérateur de téléphonie mobile a aménagé le clocher de l église de Frasne pour y installer une antenne-relais. L a commune de Frasne a 3 relais de téléphonie mobile sur son territoire dont un, qui est à l abri des regards. Pourtant, il se trouve en plein centre du village à 35 m de hauteur. En accord avec la municipalité, l opérateur Bouygues Télécom a installé son antenne dans le clocher de l église, il y a trois ans. Bouygues a pris à sa charge tous Le prêtre et les paroissiens ont retrouvé un clocher bien aménagé. les travaux nécessaires pour accueillir cet équipement. Les abatsons ont été modifiés, l électricité a été refaite ainsi que tous les escaliers qui montent dans le clocher. C est une bonne prestation indique le maire Lucien Bôle. Le chantier se serait déroulé sans aucune opposition, ni des habitants, ni des fidèles de l église. Le prêtre et les paroissiens ont retrouvé un clocher bien aménagé. Cette antenne ne gène personne. Et ce n est pas la municipalité qui s en plaindrait car dans l opération, elle a hérité d un clocher partiellement rénové - l entretien des édifices religieux est un poids financier pour les communes - et en plus elle perçoit une taxe sur l occupation du site par Bouygues Télécom. L entreprise paye une location de euros par an à la commune. Un loyer plus de deux fois supérieur à celui versé par les opérateurs concurrents, Orange et S.F.R., qui ont chacun leur pylône à Frasne. Ce n est pas tout. Actuellement, Bouygues finance la pose du paratonnerre qui va isoler le bâtiment de la foudre. Cette commune du Haut-Doubs fait bon ménage avec les opérateurs. D autres, comme Pontarlier, sont moins ouvertes aux propositions d implantation de relais dans des bâtiments publics. Les élus ont refusé dernièrement l installation d une antenne dans le clocher de l église Saint-Bénigne au centre-ville et sur le toit de l hôtel de ville. Le premier argument avancé par les services techniques pour justifier la position de la ville est esthétique. Il est question de protéger l édifice religieux classé en le préservant de ce genre d équipement. Le second est d ordre sanitaire. Nous ne souhaitons pas exposer le personnel qui est amené à travailler à Saint-Bénigne au rayonnement d une antenne. La ville applique le principe de précaution face à d éventuels effets de ce genre d installations sur la santé. Dans le doute, elle préfère ne pas prendre de risque.! La municipalité de Pontarlier a refusé qu un opérateur s installe dans le clocher de Saint-Bénigne. Une antenne proche des habitations ne présenterait pas de risque. RÉGLEMENTATION L a législation est prolixe sur la réglementation qui encadre l implantation des antennes de téléphonie mobile. Elle est complexe, et donne davantage de recommandations que d obligations sur le sujet. Par exemple, elle préconise d éviter de poser des antennes en zone urbaine, aux abords des écoles primaires, des crèches et des hôpitaux, indique la subdivision pontissalienne de la D.D.E. Il ne s agit que d un conseil. Ces publics seraient en effet plus sensibles au rayonnement d antennes situées à proximité. Pourtant, l Agence Nationale des Fréquences laisse apparaître certains paradoxes. Elle indique qu il n y aurait pas de raisons sanitaires à vouloir éloigner à tout prix les antennes des habitations. Au contraire. Il faut dénoncer l erreur de principe qui peut être commise de bonne foi au Éviter les endroits sensibles La législation démystifie les risques Le cadre réglementaire sur l implantation des antennes de téléphonie mobile invite les opérateurs à suivre un certain nombre de recommandations. nom de la santé publique, qui consisterait à rejeter à une distance de plusieurs centaines de mètres des habitations toutes les stations de base. Cet éloignement des stations de base aurait pour premier effet d augmenter leur puissance. Plus le relais est proche du bassin de population susceptible d utiliser un téléphone portable et plus l exposition aux champs radioélectriques générés par ces équipements est faible. La jurisprudence a tendance à abonder dans le sens d une démystification des risques. Par exemple, le 17 juin 2004, la cour d appel administrative de Lyon a annulé un arrêté du maire de Dijon qui avait interdit l implantation d antennesrelais dans un rayon de 100 m L opérateur est tenu de faire une déclaration de travaux. des zones sensibles. La cour d appel a considéré que l existence de risques biologiques n étant pas avérée, le maire n a pas pu se fonder sur le principe de précaution convenable pour une telle interdiction. En 2002 cette fois, le Conseil d État a suspendu les décisions des maires de Villeneuve-Loubet et Vallauris qui s étaient opposés à des déclarations de travaux de la société S.F.R. concernant l installation d antennes G.S.M. en invoquant les risques sur la santé des personnes. Dans les deux cas, la nocivité potentielle de ces antennes sur l organisme n a pas été retenue par la justice. Par contre, ce type d ouvrage est interdit aux abords des monuments historiques, et dans les espaces boisés classés. Il est en revanche possible de les placer dans les espaces naturels agricoles précise la D.D.E. de Pontarlier, qui est amenée à instruire certains dossiers. Si l opérateur envisage de poser un pylône de plus de 12 mètres, il est tenu de se soumettre à une déclaration de travaux. C est une procédure simplifiée du permis de construire à la suite de laquelle il obtiendra une autorisation favorable ou non à son projet. Contrairement à la Suisse, il n y a pas en France de recours à enquête publique pour l implantation d antennes. La demande est instruite, puis affichée dans la mairie de la commune qui accueille le projet pendant une durée de deux mois. Un laps de temps durant lequel les particuliers peuvent déposer un recours au tribunal administratif en signe d opposition.!

10 10 TÉMOIGNAGE J ocelyne s interroge. Les événements qui ont frappé sa famille ses derniers mois l amènent à avoir des suspicions sur le caractère soi disant inoffensif des antennes de téléphonie mobile. Rien ne lui permet d établir un lien de cause à effet, pourtant elle suppose aujourd hui que le rayonnement de ces relais pourrait être la source des maladies qui ont emporté sa tante en octobre dernier et sa cousine en février. Ma tante est décédée d une forme de la maladie de Parkinson et sa fille d un cancer généralisé. Pour Jocelyne, il est trop simple de mettre cette triste histoire sur le compte de la fatalité et de l âge, alors que ces deux personnes vivaient dans la même maison, quartier du Stand à Pontarlier, juste derrière la gare. Leur habitation est en ligne directe avec les antennes situées à la Chapelle de l Espérance. Franchement, je m interroge. Ce que je voudrais maintenant, c est qu on me présente des études, des statistiques, pour lever tous les doutes qui entourent ce sujet. Cette femme a cherché des réponses à ses questions. Dans sa quête, elle a pu lire des écrits scientifiques qui pointent du doigt les effets biologiques des stations-relais sur la personne. Beaucoup de symptômes ne sont pas palpables. Ce sont Quartier du Stand Une Pontissalienne en quête de vérité En quelques mois, Jocelyne a perdu deux membres de sa famille qui vivaient dans une même maison, à proximité des antennes de la Chapelle de l Espérance. des maux de tête, des troubles du sommeil. Des généralités dont il est difficile de démontrer que les antennes en sont la source. Malgré tout, ces indications ont le mérite de jeter le doute, et vont à l encontre du message officiel qui nous dit qu il n y a rien à craindre. Je ne peux pas rester insensible. Alors Jocelyne se livre à des sondages dans son entourage. Elle se déplace dans son métier et rencontre des personnes âgées à leur domicile dans différents quartiers de Pontarlier. Je vais chez des gens qui n ont aucun problème, or je constate qu ils ne sont pas directement dans l alignement d une antenne. Peut-être que tout le monde n est pas sensible de la même manière aux ondes. Je me pose beaucoup de questions. Aucune mesure n a été effectuée dans la maison de sa tante qui pourrait lui permettre aujourd hui d affirmer que le rayonnement enregistré dans le bâtiment serait supérieur aux normes admises pas la communauté européenne. Ce qui est peu probable si l on en croit les différents relevés qui ont été réalisés par la Ville sur le quartier des Pareuses. Par mon propos, je ne veux pas faire de catastrophisme. Il faut profiter des nouvelles technologies mais sous réserve d une information objective sur les effets induits.! T.C. SUISSE VOISINE Dossier Donner une information objective Une association s oppose à la téléphonie mobile Depuis deux ans, Philippe Hug, président de l A.R.A. poursuit son combat contre la prolifération d antennes de téléphonie mobile. Les raisons sont sanitaires avant d être environnementales. REPÈRES 1 - Pour les stations-relais, la première étude parue est française. Publiée en 2001 (docteur Roger Santini), elle porte sur 530 riverains d antennes. Elle met en évidence par rapport au groupe référent (personnes situées à une distance supérieure à 300 m ou non exposées), une augmentation significative de la fréquence de certaines plaintes jusqu à une distance pouvant atteindre : 100 m pour l irritabilité, la tendance dépressive, la perte de mémoire, les difficultés de concentration, les vertiges. 200 m pour les maux de tête, les perturbations de sommeil, le sentiment d inconfort, les problèmes cutanés, et 300 m pour la fatigue. Avis scientifique Les micro-ondes ne seraient pas inoffensives Extraits d un texte accepté en communication au 26 ème meeting international de la bioelectromagnetics society. Avril Cette étude montre également une plus grande sensibilité des femmes et des sujets âgés de plus de 60 ans et souligne une plus grande nocivité de la position face aux antennes. 2 - Afin de protéger les populations riveraines de stationsrelais et les utilisateurs de téléphones cellulaires, il convient dès à présent d appliquer le principe de précaution. Pour les stations-relais, on évitera de les implanter à moins de 300 m des lieux habités. Pour les utilisateurs de téléphones cellulaires, la communication téléphonique ne devra pas dépasser une durée de 2 à 3 minutes.! Philippe Hug : On fait passer le téléphone portable comme un outil indispensable. L e village de L Auberson en Suisse (à fait l expérience il y a quelques cause des champs électroma- Philippe Hug en a lui même ter que je puisse être malade à 3 km des Fourgs) années. En 1999, l homme est gnétiques se souvient Philippe Hug. pourrait bientôt bien portant lorsqu il quitte être équipé d une Morges pour s installer à Bullet. Tout allait bien jusqu à qu il a choisi délibérément d en C est face à cette incrédulité antenne de téléphonie mobile. Philippe Hug, président de l A.R.A. (association romande pour la non prolifération l implantation d antennes. Mon état de santé s est dégradé. Maux de tête, troubles du som- apporter la preuve en s intéressant de près au sujet. Il s est mis en quête d avis scientifiques d antennes de télémeil, troubles oculaires et de prenant le contre- phonie mobile), vient de perdre l équilibre, bourdonnement dans pied du discours Informer son procès devant le tribunal l oreille, douleurs dans les général qui consiste à faire admettre objectivement fédéral qui l opposait à un opérateur. membres, des symptômes qu il C est une défaite dans n avait jamais constatés jusque- que les antennes le combat de cet homme qui lutte contre la multiplication des quelques jours à l écart des mobile n ont rien là. En fait, c est en allant vivre de téléphonie ondes liées à cette technologie, champs magnétiques qu une d agressif. L A.R.A. la population des dangers. convaincu de leur effet néfaste sur la santé. À son domicile, il accumule les preuves scientifiques du monde entier qui apportent de l eau à son moulin. Mais il se heurte au mur d une économie de la téléphonie mobile en plein essor qui n est pas disposée à entendre son message de mise en garde. Le plus gros problème est de faire admettre qu il y a des problèmes de santé dit-il. partie des symptômes a disparu avant qu ils ne fassent à nouveau leur apparition à mon retour. C est à ce moment qu il commence à supposer que la présence des antennes est la source de ses maux. Un diagnostic difficile à faire admettre au corps médical peu informé de ces effets. Suite à mon bilan de santé, ni mon entourage ni les médecins ne pouvaient accep- est née il y a deux ans, à la suite d une rencontre avec le meneur d un mouvement de 450 personnes qui s opposaient à la pose de ce genre d équipement. L objectif de l association est d informer objectivement la population des dangers que représente cette technologie. On interpelle les autorités avec des pétitions, des lettres ouvertes. Est-ce qu on peut délibérément accepter toute nouvelle forme de pollution sous l égide de la publicité qui appelle à la mobilité de l individu? On fait passer le téléphone portable comme un outil indispensable. C est vrai que cet appareil a un côté pratique mais dans certains cas seulement. J ai le sentiment qu on a mis cette technologie sur le marché sans l avoir testé comme on le ferait avec un médicament. Selon lui, il n y a aucune ambiguïté sur l effet des ondes qui seraient nocives à des degrés bien inférieurs à ceux fixés par les normes réglementaires admises par la Communauté européenne. Sur la base d éléments tangibles visant à argumenter son propos, Philippe Hug continue à diffuser une information auprès du grand public lors de conférences, mais aussi des médecins. Il appelle à la vigilance.! T.C.

11 SPORTS D HIVER N ous avons une charge de travail supplémentaire, c est indéniable. Au moins 15 % d activité en plus. Il y a une vraie pathologie des sports d hiver note le docteur Sébastien Hosotte, responsable des urgences au centre hospitalier de Pontarlier. Le service des urgences enregistre tous les ans une moyenne de passages, soit plus de 65 visites par 24 heures! En période hivernale, les urgences accueillent jusqu à 90 patients par jour. Le phénomène est directement lié aux pratiques sportives. Le samedi, c est caractéristique, nous avons beaucoup moins de cas liés aux activités de ski et de tourisme. Le samedi, c est le jour des chassés-croisés, il n y a presque pas de touristes sur les pistes. Dans une journée, l activité est également cyclique : C est surtout après 16 heures car les accidents surviennent plus en fin de journée. Il y a aussi un pic le matin entre 8 heures et 10 heures. Ce sont les personnes qui ne viennent nous voir que le lendemain de leur accident quand ils s aperçoivent que ça nécessite certainement une intervention de notre part. Le service des urgences La nature des pathologies est tout aussi typique : le premier traumatisme est le poignet, suivi du genou et de la cheville en troisième position. Pour le poignet et le genou, c est assez récent et en forte augmentation. Cette pathologie est la première des pratiquants de snowboard. Plus grave, la fracture de la jambe, tibia et péroné. En période de vacances, les urgences pontissaliennes en traitent en moyenne une par jour. Il faut dire que le secteur d intervention de l hôpital de Pontarlier est assez large, il s étend du Plateau du Russey au Val de Mouthe, en passant par le Val de Morteau, le Saugeais, le bassin pontissalien, Les Fourgs et bien sûr le massif du Mont d Or. L habitat est assez dispersé. Mais en période touristique, la population augmente rapidement. Ceci dit, plus de la moitié des pathologies hivernales ne sont pas dues à la pratique du ski. Il s agit tout simplement des glissades de piétons. Les urgences remarquent cette année la faible proportion de fractures du col du fémur. Le docteur Hosotte explique le phénomène par le fort enneigement de Pontarlier et environs 11 Entorses, fractures et gros bobos Le service des urgences à l hôpital de Pontarlier connaît un pic de fréquentation d au moins 15 % durant les vacances d hiver. Glissades sur la chaussée ou chutes à ski sont les principales causes. Le premier traumatisme est le poignet. Plus de 65 personnes par jour en moyenne fréquentent les urgences à Pontarlier. cet hiver. Les personnes âgées ont eu tendance à rester chez elle, elles n ont pas osé sortir. En première ligne de cette activité hivernale, le docteur Patrick Quinnez de Métabief, confirme cette recrudescence saisonnière : La suractivité est de l ordre de 50%. Dans une journée, il nous arrive d avoir à traiter entre 30 et 40 traumatologies. Les pathologies graves sont plus rares en station. Il s agit des fractures du fémur. Le blessé nécessite alors des soins sur place car il saigne abondamment. Dans les cas les plus délicats, les urgences pontissaliennes font appel à l hélicoptère de la sécurité civile basé à La Vèze ou à celui de la gendarmerie stationné à Morez. Il est rarement demandé. Pour des traumatismes de colonne vertébrale ou quand les gens doivent être intubés sur place. Il n y a que quelques vols par saison. Entre 5 et 10 pour cet hiver, pas plus. Inutile de préciser que le service des urgences ne chôme pas cet hiver. Mais l été est aussi une période très chargée. Chutes en V.T.T., coups de soleils et piqûres de guêpes sont alors le lot quotidien du service des urgences. Les équipes médicales - une dizaine de médecins se répartissent la charge de travail - attendent avec impatience la fin des travaux engagés à l hôpital de Pontarlier. En 2007, le service des urgences doit être doté de 6 nouveaux lits. Ce ne sera pas du luxe.! J.-F.H. En bref " Agriculture Le Rucher des 2 lacs à Labergement-Sainte-Marie a reçu 3 médailles d or au salon de l Agriculture : miel d acacia, miel de montagne et miel de forêt ont reçu la récompense suprême. La famille Girard a obtenu une quatrième médaille, en argent, pour son miel de sapin. Quelques jours plus tôt, les apiculteurs de Labergement ont reçu la médaille d or pour son miel de sapin lors du Master européen de la dégustation à Bruxelles. " Récompense La fleuriste pontissalienne avait reçu des mains du ministre du Commerce,un Mercure d Or le 24 janvier dernier à Paris. Le président de la C.C.I. du Doubs l a à son tour félicitée lors d une cérémonie le 28 janvier à Besançon. " Soutien Le Conseil général du Doubs a apporté son soutien financier à 26 agriculteurs qui présentaient des bêtes au salon de l Agriculture. Montant total de l aide : euros. PUBLI-INFORMATION La Frontalière : une mutuelle adaptée aux frontaliers et à leur famille La Mutuelle La Frontalière met ses 40 ans d expérience au bénéfice des frontaliers et de leur famille. Faites confiance à une Mutuelle créée par des frontaliers, pour les frontaliers. D epuis 1963, la Mutuelle La Frontalière œuvre pour la protection santé et prévoyance de ses adhérents et de leur famille. L objectif premier des membres fondateurs étaient de pallier à l absence de protection sociale obligatoire. Il faut rappeler qu à cette époque ils devaient défendre leur droit à la liberté du travail et lutter contre les difficultés croissantes que certaines administrations créaient afin de les dissuader d aller travailler en Suisse rappelle Alain MARGUET, Président de la Frontalière. Quelques décennies plus tard et confortée par l obtention de l agrément en août 2003, la Mutuelle est toujours gérée par des frontaliers qui poursuivent leur mission première: améliorer les conditions sociales et la sécurité des salariés qui passent la frontière tous les jours. La Frontalière offre de nombreuses garanties comme la santé et de nombreux forfaits attractifs, la maternité, l accident, l assistance, les indemnités journalières, l invalidité, le décès, la garantie obsèques Par exemple, la Frontalière propose un capital décès par maladie de euros, un capital décès par accident de euros, etc. Toutes ces garanties sont indissociables, ce qui met à l abri des risques et permet de protéger le frontalier et sa famille des aléas de la vie. Au final, ceux-ci bénéficient d une protection globale équivalente à la Sécurité Sociale. C est ce qui fait la différence, poursuit Alain Marguet. La Frontalière propose un package obligatoire (santé et prévoyance) Autre exemple de notre philosophie : en aucun cas la Frontalière résiliera un adhérent si son état de santé se dégrade, l accompagnant jusqu à sa retraite grâce à un rente viagère. Nous ne laissons pas à la charge des collectivités les cas sociaux. L atout supplémentaire proposé par La Frontalière réside dans le partenariat que la Mutuelle a noué avec les hôpitaux suisses. Ces conventions pour les cas d urgence permettent notamment, d éviter aux frontaliers de payer la caution d entrée exigée. Nous prenons en charge tous ces frais indique Christelle Billod, chef de service à La Frontalière. Autre particularité de La Frontalière : l existence d un fonds d aide sociale. Ce fonds va venir compenser, en cas de difficulté financière passagère du frontalier, ce qui n est pas pris en charge par les régimes obligatoires. Enfin, l adhésion à la Mutuelle permet de bénéficier des services proposés par l Amicale des Frontaliers, structure associative Toute l équipe de la mutuelle La Frontalière est à votre service. qui a pour objectif de donner des renseignements téléphoniques ou écrits concernant les problèmes que le frontalier peut rencontrer en matière sociale, fiscale, d emploi et de bénéficier de l assistance juridique. Ces prestations sont assurées gratuitement par des membres bénévoles de l association. Depuis de nombreuses années, M. Yves MOLINA, Conseiller technique, veille à la bonne santé de la Mutuelle. L adhésion à la Frontalière vous offre vraiment la garantie maximale pour vos intérêts et ceux de votre famille.. L équipe de La Frontalière, de Delle en passant par Maîche, Morteau, Pontarlier, les Rousses, Gaillard, Ferney-Voltaire et bientôt Thonon est soucieuse de vos attentes, faites-lui confiance. La satisfaction est garantie.! MUTUELLE LA FRONTALIÈRE 21 rue Montrieux Tél. : Fax : rue Pasteur LES ROUSSES Tél. : Fax : , rue du Tartre Marin B.P MORTEAU CEDEX Tél. : Fax : Du lundi au jeudi de 8 h à 12 h et de 14 h à 19 h Le vendredi de 8 h à 12 h et de 14 h à 18 h

12 12 Une journée avec MÉTABIEF 7 chauffeurs La nuit, la station est aux mains des dameurs Chaque soir, c est la même chose. Quel que soit le temps, les chauffeurs dameurs de la station entrent en action pour entretenir le domaine skiable. Reportage. Métabief, mercredi 23 février, 18 heures. Le thermomètre de la station affiche - 2 C. Le temps est couvert, il tombe quelques flocons. Les derniers skieurs quittent le domaine quand Vincent Lhomme-Choulet et Janick Petite sortent de réunion avec la responsable des pistes. Ce soir, ils sont de service et Sylvie Martin vient de leur donner leur plan de travail. Ces deux gaillards font partie de l équipe des 7 chauffeursdameurs de la station placés sous la responsabilité de Laurent Maire. Des pros, qui toutes les nuits, façonnent l ensemble du domaine skiable avec leurs engins à chenilles pour qu il soit prêt le lendemain matin à l ouverture des remontées mécaniques. Dernier coup d œil sur le plan de damage, dernier briefing entre Vincent et Janick et c est parti! Le ballet des dameurs peut commencer sous le regard de Pierre Vuittenez, un ancien chauffeur aujourd hui mécanicien à qui la nouvelle génération n hésite pas à demander quelques conseils. Ce mercredi, le programme est chargé. Un chauffeur manque à l appel. Ils seront donc 3 au lieu de 4 à assurer le service jusqu à 2 heures du matin, avant d être relevés par la Dernier briefing entre les deux chauffeurs avant de partir sur le domaine. deuxième équipe. En plus, Vincent et Janick ont chacun hérité d une mission supplémentaire qui sort de l ordinaire. Le premier va aménager des modules (sauts) en bas de la station dans le cadre d une manifestation prévue le lendemain. Le second est chargé de convoyer du matériel de cinéma au sommet du Mont d Or pour le tournage d un film. Le planning est serré. Il n y a pas de temps à perdre. Vin- Il faut constamment chercher des points de repère. Ce soir, François Authier a la responsabilité du dameur équipé du treuil. Cette technique permet d attaquer des pentes raides. Une nuit de fœhn équivaut à 20 jours de soleil. cent Lhomme- Choulet s installe aux commandes de sa machine, tour d horizon de la cabine et première mise au point sémantique. On ne dit pas Ratrack, qui est une marque, pour désigner cet engin. C est comme dire Frigidaire pour parler d un réfrigérateur. Ceci est une dameuse, le chauffeur est le dameur souligne-t-il. Dans le Haut-Doubs, on aurait tendance à employer le terme dameur pour nommer ce véhicule assez simple à conduire. Le pilote accélère avec le pied droit. À la main gauche il active la commande pour avancer ou reculer, et de la main droite, deux joysticks lui permettent de manier avec précision la lame située devant la dameuse et la fraise accrochée à l arrière. Le dameur est équipé d une sorte de boîte noire qui enregistre tous les paramètres de fonctionnement. Cet outil facilite le travail des mécaniciens qui chaque jour entretiennent ces machines et préviennent les pannes. Les présentations sont faites, il est 18 h 30, l engin de 5 mètres de large se met en marche. Ces 10,5 tonnes attaquent la pente tranquillement direction Troupezy, une des pistes-phares de Métabief. Comme elle est très fréquentée, il y a beaucoup de boulot lance ce chauffeur de 26 ans qui entame ici sa deuxième saison. Un job pour lequel il se passionne. Le travail est technique. Chaque nuit est différente et impose aux dameurs de s adapter au terrain, aux conditions météo et à la situation du manteau neigeux. On l oublie parfois, mais le rôle de ces hommes de l ombre est essentiel dans le fonctionnement de la station. La neige est notre matière première, c est la clé de notre produit insiste Jean-Louis Rapy, directeur d Orex-Métabief-Mont d Or. C est en travaillant cette neige que l on peut assurer une à deux semaines de ski supplémentaires. C est une gestion très pointue. L intervention des dameurs ne se résume pas seulement à niveler les bosses pour rendre aux skieurs une piste plane. Notre travail est de ramener la neige vers le centre de la piste où il y en a moins car c est à cet endroit que passent les gens explique Vincent Lhomme-Choulet. Il faut aussi remonter cette neige sur les dômes, où l épaisseur de neige se réduit d un jour à l autre. Le principe est de retarder le plus longtemps possible la formation de trous qui laissent apparaître l herbe. Mais ces professionnels savent que leur action est tributaire de la météo. Si le fœhn et la pluie sont de la partie, ça fond très vite. Une nuit de ce vent équivaut à 20 jours de soleil. Cette saison, les conditions d enneigement sont exceptionnelles à Métabief, et le bon état des pistes est garanti. Malgré tout, les dameurs effectuent des purges régulières. C est-à-dire qu ils vont chercher de la neige à l extérieur des pistes afin de constituer des réserves qui seront utilisées en temps voulu pour parer aux caprices climatiques. Ces travaux sont obligatoires. Quotidiennement, les chauffeurs façonnent le manteau neigeux, de la constitution du fond en début de saison - une étape importante - au lissage régulier du domaine. Le métier n autorise aucune négligence. Le 23 février, Vincent Lhomme-Choulet mettra deux heures pour lisser la piste de Troupezy. La neige est souple, il ne rencontre pas de difficultés particulières. Mais il arrive qu il en soit autrement. Par tous les temps il faut sortir, à l exception des jours de pluie où le passage des engins accentuerait encore la dégradation de la piste. Les chauffeurs redoutent le brouillard. C est étourdissant. Vous ne savez pas où vous allez. Il faut constamment chercher des points de repère. Même en connaissant le secteur c est dangereux, en particulier sur Super-Longevilles, où il n y a pas d arbres pour se situer. Le risque, ce sont les falaises du Mont d Or. Dans ces conditions, les dameurs utilisent le farfouilleur, un phare qu ils orientent manuellement et qui leur permet de chercher dans la nuit des marques, comme Vincent Lhomme-Choulet et Janick Petite, chauffeurs, en compagnie de Pierre Vuittenez mécanicien. Le 29 mars, ils participeront au challenge des chauffeurs dameurs au Grand Bornand. une balise en bord de piste. La liaison radio permanente entre les engins fait partie du dispositif de sécurité. Il est 20 h 30 quand Vincent Lhomme-Choulet quitte Troupezy. Tout s est bien passé. Il regagne le bas de la station où un autre chantier l attend. Juste le temps d avaler un sandwich, et il repart. La fin du service est à 2 heures, après seulement il ira se reposer.! Récit T.C. Vincent Lhomme-Choulet, en bas de Troupezy enlève la glace à coup de pelle de la lame de sa dameuse qui l empêche de travailler correctement. Repères chiffrés de la station - Un domaine de 111 hectares - 25 pistes - 4 dameurs - 7 chauffeurs - Chaque dameur consomme entre 40 et 60 litres d essence par heure - Un dameur coûte euros - Durée de vie du dameur : heures - Coût de la machine : 34 euros de l heure

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14 14 Mouthe - Région des lacs DÉBAT Refus du maire Métabief protège ses commerçants La mairie de Métabief est formelle sur un principe : elle ne veut pas de commerçants non sédentaires sur son territoire. Un marchand ambulant de pizzas en a fait les frais. C ommerçant originaire de Jougne, Olivier Réthoré se déplace de village en village au volant de son camion. Son métier : pizzaïolo. Ce vendeur de pizzas non sédentaire sillonne le secteur du Mont d Or. Depuis mai dernier, chaque soir, il pose son camion-pizza sur une place de village différente, le mardi à Labergement-Sainte- Marie, le jeudi à Jougne, le vendredi aux Longevilles-Mont-d Or, le samedi aux Hôpitaux-Vieux et le dimanche à Saint- Antoine. Cette activité plutôt florissante lui permet de vivre toute l année, même si l hiver, pour cause d enneigement, la demande est plus faible. C est la raison pour laquelle j ai sollicité la mairie de Métabief afin qu elle accepte que je m installe sur la place pendant les vacances d hiver. Mais ce droit m a été refusé explique le responsable du camion Oliver Pizz. Ne pas faire concurrence aux commerces de la station. Alors qu avec les touristes, il y avait un vrai potentiel d activité pour moi. L argument de la mairie est le suivant : ne pas faire concurrence aux commerces de la station. Le maire de Métabief, Gérard Dèque, s en explique : Ce genre d activité n est pas la bienvenue car nous ne souhaitons pas qu elle fasse concurrence à des commerçants en place à Métabief et qui payent une taxe professionnelle sur la commune. En plus, les activités de petite restauration style pizzas ou crêpes n apportent rien de nouveau. Notre position est donc très claire sur cette question. De son côté, Olivier Réthoré ne désespère pas. Il espère trouver un privé qui accepte de le voir s installer sur son terrain. En attendant, il poursuit son activité dans les villages alentour. Les habitants de Métabief doivent donc faire quelques kilomètres s ils veulent déguster les pizzas d Olivier Réthoré.! J.-F.H. MÉTABIEF I ci, on a transposé tout ce qu on aime dans la vie : la famille, le pays, la convivialité, annonce Éric Cuenot. Le Haut- Doubs ne manque pas d adresses sympathiques. La Un nouveau restaurant On va à la Spatule Éric Cuenot et Éric Meuterlos se sont associés pour transformer l ancien bar du bois du Roi situé à Métabief en un restaurant baptisé la Spatule avec l idée d en faire un lieu éminemment sympathique où locaux et touristes prennent plaisir à se retrouver pour déguster des spécialités locales. Le nom même de ce restaurant résume déjà l ambiance. Spatule, c est du moins l ambition des deux associés, s inscrirait plutôt dans la lignée de la Remise, étape devenue incontournable pour qui souhaite apprécier les charmes d une cuisine traditionnelle dans une ambiance originale. Côté déco, la Spatule vaut déjà le déplacement. Ratelier d écurie au mur, planches d affinage de comté en guise de tapisserie, vieux outils récupérés à droite à gauche, lanternes, skis en bois, tout suggère le caractère montagnard, artisanal, touristique, forestier et agricole du Haut- Doubs. Un ensemble assez hétéroclite d objets agencé avec goût et harmonie. Le nom même de ce restaurant résume déjà l ambiance qui y règne. La Spatule désigne un hors-piste à Val d Isère que se plaisent à descendre depuis de nombreuses années les deux compères au cours de leurs séjours en sports d hiver. Sur la base de cette solide amitié, ils cherchaient à L établissement a ouvert ses portes cet hiver. reprendre une affaire ensemble. Un vœu exaucé depuis Noël avec l ouverture de ce restaurant qui propose à la clientèle des spécialités régionales : fondue, raclette, boîte chaude de mont d or, morbiflette On s efforce de travailler avec des fournisseurs locaux en mettant l accent sur les produits de saison. Dès ce printemps, on servira des grenouilles du pays par exemple. Pour les vins, on s approvisionne directement chez les producteurs. La fibre régionale se décline dans la carte des vins et des desserts avec les glaces aux bourgeons de sapin et autres spécificités jurassiennes. Ouverte les vendredis et samedis soir hors saison, la Spatule est accessible tous les jours en période de vacances avec restauration midi et soir et bar en journée. Quand la neige est au rendez-vous, on peut y accéder directement skis aux pieds depuis le téléski du Tertre. Autre spécificité, si un client se sent d humeur à pousser la chansonnette, il pourra s exécuter en utilisant le micro et la guitare sèche mis à disposition pour qui le désire.! F.C. HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SER- HAUTSERVICES Besoin d un coup de main? 50% de réduction fiscale pour tous travaux à domicile Haut Services assure la mise à disposition de personnel dans VICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT différents domaines d activités et la prise en charge des formalités administratives (déclarations, fiches de paie ) / POUR LES PARTICULIERS SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES " Aide HAUT à domicile SERVICES / " Jardinage, entretien d espaces verts / " P etits travaux intérieurs et extérieurs / " Manutention / " Déménagement / HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SER- POUR LES ASSOCIATIONS " Travaux administratifs, secrétariat / " Distribution de tracts / VICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES " Animation HAUT / " Services en salle, plonge, aide en cuisine / " Installation et nettoyage de salles / SERVICES HAUT SERVICES POUR LES ORGANISMES HAUT SERVICES LOGEURS ET HAUT COPROPRIÉTÉS SER- " Entretien de locaux / " Sorties de containers / " Entretien d espaces verts / " Manutention / VICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT " Remplacement pendant les congés du personnel / POUR LES ENTREPRISES " Entretien de locaux / SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES " Entretien d espaces HAUT SERVICES verts / " Inventaire / " Manutention / " Remplacement pendant les congés du personnel / HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SER- àetmorteau Contact : Sophie Griffon 12, Rue Jean-Mermoz Pontarlier Tél. : Fax : e.p.p.i@wanadoo.fr VICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT SERVICES HAUT

15 PUBLI-REPORTAGE À la conquête des consommateurs suisses Fondée à Pontarlier par Frédéric Soler, Régie Médias est spécialisée dans la promotion des enseignes commerciales françaises en Suisse. Cette agence de publicité communique sur l ensemble des médias suisses. L équipe actuelle (de gauche à droite) : Frédéric et Karine Soler, Amandine Journot, Isabelle Girardet et David Marchevet. Vers un renforcement des moyens humains L équipe de Régie Médias compte aujourd hui 5 personnes. Pour répondre aux perspectives de développement de l agence, un commercial expérimenté et un second graphiste seront recrutés en Gérant : Frédéric Soler - Assistante de direction : Isabelle Girardet - Assistante commerciale : Amandine Journot - Responsable produit : Karine Soler - Graphiste : David Marchevet O n vient de signer une convention de collaboration avec la plus importante régie de publicité en Suisse. Il s agit d un contrat concernant tous les supports suisses en presse, explique Frédéric Soler. Les annonceurs français travaillant avec Régie Médias se voient offrir la possibilité de communiquer sur toute la Suisse, soit un marché potentiel de plus de 7,3 millions de consommateurs. Cette ouverture récompense un travail de longue haleine entrepris depuis la création de cette agence pontissalienne. Après une expérience en radio et en presse gratuite, Frédéric Soler décide de monter sa propre structure en avril On sert d intermédiaire entre les clients annonceurs français et les médias suisses. On a démarré avec 3 hebdos payants sur le canton de Vaud. Le rayon d action s est progressivement élargi aux autres cantons francophones comme ceux de Neuchâtel et du Jura. Difficilement quantifiable mais bien réel, l impact de la clientèle suisse sur l activité économique se vérifie à travers la multiplication des enseignes commerciales tout au long de la zone frontalière. L exemple de Pontarlier est révélateur avec une densité largement supérieure à la moyenne nationale, notamment dans le secteur de l alimentaire. Plusieurs raisons expliquent ce phénomène : pouvoir d achat élevé, proxi- Depuis 2002, Régie Médias intègre une agence conseil qui s occupe de la communication globale de différentes structures comme le casino de Salins-les-Bains. On définit un packaging d après les besoins du client. La prestation intègre aussi bien la promotion de l enseigne, le choix des meilleurs supports, la conception de stands, flyers, présentoirs, la réservation d espaces publicitaires, la réalisation de messages T.V.- météo (Spot Hyper U météo de Franche-Comté sur France 3 diffusé en mars 2005). On gère également tout ce qui relève du marketing direct. Sixième Sens s adresse uniquement aux En presse écrite, Régie Médias travaille avec l ensemble des journaux et magazines de la Suisse romande. Un échantillon qui s étend aujourd hui à l ensemble des médias suisses avec des grands titres comme Le Matin, La Tribune de Genève, 24 Heures Sixième Sens : agence conseil clients de Régie Médias. Nouveauté en cours de développement un guide touristique franco-suisse qui parlera des bonnes adresses sur Pontarlier, Mouthe, la région du lac, Métabief et côté Suisse, Yverdon, le haut du canton de Vaud et le Val de Travers. Sortie prévue début 2006 à exemplaires.! mité, prix plus attractifs, détaxe à l exportation, diversité de l offre et présence de produits de marque dont le consommateur suisse est très friand et qu il ne retrouve pas forcément chez lui. Les achats concernent également les jeux, l optique, les médicaments, les prothèses dentaires, l immobilier Chaque voyage sur France est l occasion d une sortie mercantile et récréative qui intègre la fréquentation des sites touristiques et des restaurants locaux. Dans ces circonstances, on perçoit mieux l intérêt des commerçants français à promouvoir leurs produits et services dans les médias suisses. Encore faut-il investir à bon escient, choisir la période, les supports appropriés, connaître la réglementation du marché publicitaire suisse, maîtriser la formulation des annonces. Communiquer en Suisse reste une affaire de spécialiste. À titre indicatif, des quotidiens aux feuilles d annonces, des magazines spécialisés aux périodiques professionnels, plus de publications sont produites en Suisse. Ce pays compte autant de presse que la France et l Italie réunies. Les Suisses sont très friands de presse locale. En moyenne, chaque foyer s abonne à un hebdo et un quotidien payant. Il est bon de savoir qu une boîte aux lettres sur deux est pastillée en Suisse ce qui signifie que beaucoup refusent les prospectus. Chez eux, la taxe des ordures ménagères est déterminée en fonction de ce qu ils produisent, d où ce comportement. D un côté à l autre de la frontière, on n utilise pas les mêmes mots pour formuler le même message. La promo 50% sur les chemises en France se transforme, par exemple, en action 50% de rabais sur les jaquettes chez nos voisins poursuit Frédéric Soler qui est également vice-président de l association des commerçants de la zone des Grands-Planchants et du club affaires de rugby. Régie Médias assure une prestation complète de la conception à la réalisation des annonces presse, affichage ou radio et surtout un conseil avisé en rapport avec des dates importantes tels que Pâques, jeûne fédéral Alimentaire, vêtements, bricolage, son fichier clientèle intègre la plupart des secteurs de consommation à Communiquer en Suisse reste une affaire de spécialiste. l exception de l automobile. L agence travaille aujourd hui avec 300 annonceurs répartis en zone frontalière et sur Besançon et Montbéliard. Avec la nouvelle extension, on pourra étendre cette zone jusqu à Mulhouse au Nord, au pays de Gex au Sud et au vignoble bourguignon à l Ouest. On va toucher une nouvelle clientèle : agences de communication, prestataires touristiques, professionnels de l immobilier. Pour toutes les raisons évoquées précédemment, on peut considérer que la Suisse devient un véritable acteur économique sur le territoire français.!

16 16 Mouthe - Région des lacs JOUGNE Sa première vente début mars Hervé Poix-Daude : bio par nature Cet exploitant de Jougne est officiellement en agriculture biologique depuis le 25 février. Éleveur de charolais, il a vendu sa première bête à un boucher local. Du charolais au royaume de la montbéliarde, le pari était osé. V endredi 25 février 2005 : après 3 ans de procédure et de contrôles, l organisme Écocert délivre à Hervé Poix- Daude sa certification officielle d agriculteur bio. La récompense de pratiques qu Hervé Poix-Daude met un point d honneur à appliquer depuis 1990, année où il reprend l exploitation familiale. Il y a 15 ans, il décide de changer totalement l orientation de la ferme. Son père René était à la tête, comme bon nombre d exploitants du Haut-Doubs, d une exploitation de vaches laitières. Quand j ai repris en 1990, je me suis aperçu que ça devenait difficile, là où on était placé, c est-à-dire au milieu du village, de continuer à faire circuler nos bêtes. J ai décidé de changer d orientation et de me lancer dans l élevage de charolais à viande explique l intéressé. Hervé Poix-Daude achète ses bêtes âgées de 12 à 18 mois chez un éleveur de Haute-Saône. Il les amène à maturité, jusqu à un âge de 3 ou 4 ans. L été, ses charolais paissent dans les communaux de Jougne, l hiver, ils sont rentrés à l écurie. Pas de traite, moins de soins, la formule permet à Hervé Poix-Daude d occuper un emploi en Suisse pour compléter ses revenus. Car il n a jamais misé sur une agriculture intensive. Son cheptel ne dépasse pas la vingtaine de bêtes. Mais quelles bêtes! Au bout de 4 ans, nous obtenons des bêtes entre 450 et 460 kg de poids de carcasse. Sur pied, elles atteignent allégrement la tonne. Il aura fallu trois années de reconversion sur les terres et pour l alimentation des bovins, avant d obtenir l agrément bio. Nous avons eu une visite Entre 450 et 460 kg de poids de carcasse. annuelle d Écocert qui nous délivre chaque année une licence prouvant que nous respectons une démarche bio. J ai monté un dossier solide, fait des stages. Aujourd hui, tout est bio, même le foin et bien sûr l engrais, essentiellement à base de guano. Hervé Poix-Daude n a pas décidé du jour au lendemain de se lancer dans le bio. Dès le départ, nous n avons pas utilisé d engrais à outrance. J estime que nous avons suffisamment à travailler avec les terrains qu on a. Il paraît aberrant de vouloir faire par exemple trois coupes de foin dans une saison, ici à m d altitude. J attends que l herbe pousse pour faire les foins, que la fibre soit suffisamment grosse. Depuis qu il a adopté ce mode de culture raisonnée, il a vu réapparaître Hervé Poix-Daude en compagnie du premier charolais officiellement bio de son exploitation. La bête est vendue début mars à un boucher de Malbuisson. une flore qui avait totalement disparu des champs. Quand on était jeune, on faisait de gros bouquets avec les fleurs des champs. Tout cela a disparu. Depuis quelques années, j ai vu revenir des fleurs qu on avait perdues. Évidemment, la démarche bio s accompagne de nouvelles contraintes. Les engrais coûtent plus cher, on ne peut plus traiter contre les mulots, on ne met pas de pesticide, etc. Mais il y a les compensations. La viande est vendue plus chère. Avant, je vendais à environ 22,50 F le kilo (3,43 euros). Aujourd hui, je me situe plus autour de 26 F (3,96 euros). Dans le canton de Mouthe, les agriculteurs bio se comptent sur les doigts de la main. Il s agit désormais pour Hervé Poix-Daude de trouver une filière de vente. Je peux passer par la société Arcadie qui a des clients bouchers bio sur Besançon. Il y a aussi la filière locale. Le premier charolais officiellement bio de l exploitation d Hervé Poix-Daude a été acheté par le boucher Grésard de Malbuisson. L exploitant de Jougne espère écouler une bonne dizaine de bêtes par an. Marginale, la filière viande bio dans le Haut-Doubs peut être tout à fait viable. Hervé Poix-Daude en fait la démonstration.! J.-F.H. S.A.R.L. PREVALET Rte de Dijon - -HOUTAUD Tél ENVIRONNEMENT L e classement en réserve naturelle ne suffit pas à constituer une protection dans la mesure où ce plan d eau sert de réceptacle à un bassin versant qui n est pas soumis aux mêmes contraintes. Plusieurs aspects ont été étudiés : biologie, sédiments, poissons, qualité de l eau. Un travail similaire avait déjà été réalisé en 1991, ce qui permet de mesurer l évolution sur une décennie, explique Gérard Vionnet, chargé de direction à la Maison de la Réserve. Les rendements de pêches expérimentales n ont pas progressé depuis Ils sont toujours 3 fois inférieurs au potentiel piscicole qu on pourrait espérer d un lac de ce type. Le rotengle domine le gardon et le corégone baisse. Le constat s applique également au grand frère de Saint-Point qui a, quant à lui, vu sa note divisée par trois par rapport à L analyse des sédiments par la méthode des Indices Biologiques Lacustres (I.B.L.) ne révèle aucune amélioration depuis Toutes les Moins de poissons Le lac de Remoray et ses affluents dans un triste état Les premières conclusions d une étude menée par le cabinet Téléos sur l état du lac de Remoray dressent un bilan inquiétant de la situation. Une prise de conscience collective s impose. espèces nobles qui craignent la pollution ont régressé. Ce phénomène explique la diminution du corégone puisqu il se nourrit à un moment donné de l année de ces petites bêtes. Pour les éléments physico-chimiques, le rapport Toutes les espèces nobles qui craignent la pollution ont régressé. intermédiaire note l absence d oxygène à partir de 16 mètres jusqu au fond du lac durant la période allant de la mi-octobre au basculement du printemps. Ce phénomène est lié à la pollution, à l eutrophisation. La lame d eau profonde n étant plus oxygénée, la vie ne peut se développer et les espèces comme la tanche et le corégone doivent remonter. En 1990, les trois cours d eau alimentant le lac étaient nettement dégradés à l exception du ruisseau de Lhaut. Une exception qui est dorénavant rentrée dans le rang en étant dans le même état que les 2 autres. Les 3 émissaires contiennent de l azote, du phosphore ainsi qu un un excès de matière organique. Dans le ruisseau de Remoray, on trouve des traces d étain, d hydrocarbures et même de cuivre et de chrome. Plusieurs sources de contamination sont possibles : ancienne décharge de Remoray, place à bois, établissements agricoles. La scierie a été mise aux normes ce qui n empêche pas de retrouver des produits de traitement comme la cyperméthrine à certaines périodes de l année. Les résultats de cette étude serviront à mieux cerner les causes de ces pollutions. Ils seront communiqués à la population, aux élus, à l Agence de l eau. Chacun doit se sentir concerné par la situation. Il ne s agit pas de mettre à l index tel ou tel individu ou structure. On est en face d un problème multifactoriel qui suppose de se donner les moyens de changer des comportements et des pratiques termine Gérard Vionnet.! F.C.

17 CONSTRUIRE EST UNE PHILOSOPHIE François Roizot, maître d œuvre François Roizot : «Pour une construction, le maître d œuvre est aussi important que le chef d orchestre dans la musique.» François Roizot refuse de concevoir la construction d immeubles sur le seul plan financier. Il a à cœur de marier les exigences fonctionnelles les plus contemporaines aux références régionales, que ce soit pour une maison particulière ou pour un bâtiment public. Cet homme au long parcours porte un regard particulier sur le bâti. Avec EPIMELIA, réalisez votre projet EPIMELIA Haut-Doubs écoute, accompagne et conçoit votre projet : - construction individuelle, - habitat collectif, - bâtiment public (crèche, piscine, école, etc...), - bâtiment à vocation industrielle (bureau, stockage, commerce, etc...). EPIMELIA Haut-Doubs vous conseille sur les solutions techniques et architecturales, concilie vos attentes, votre budget et le programme de vos travaux. EPIMELIA Haut-Doubs - sélectionne les intervenants - planifie et coordonne les travaux - surveille la réalisation des travaux et les réceptionne - assure le suivi et la vérification financière du projet. Confiez à EPIMELIA une ou plusieurs missions bien définies - le suivi de votre chantier, - l étude financière de votre projet, - l organisation et le pilotage de votre chantier, - la pré-étude de votre projet. Vous pouvez également Procéder à l expertise avant d acheter EPIMELIA Haut-Doubs vous aide à prendre votre décision par une auscultation du bâtiment fondée sur le rationnel et la connaissance. La communication des points forts et points faibles du bâtiment expertisé vous permettra d avoir une analyse objective. Régler les litiges à l amiable lors d une construction EPIMELIA Haut-Doubs intervient en cours d opération de construction lorsque des problèmes sont rencontrés avec le constructeur. Il met son savoir technique et juridique pour éviter une procédure judiciaire toujours longue et coûteuse et protéger vos intérêts. CERTIFICATION QUALICERT EPIMELIA Haut-Doubs a une certification de service de la société SGS ICS (organisme indépendant et leader mondial dans les domaines du contrôle de l'inspection et de l'expertise). Cette démarche traduit la volonté d'inscrire dans un vrai cadre de confiance les relations entre les clients et tous les intervenants du bâtiment. Elle porte sur 26 engagements clés qui reposent sur 4 points majeurs : - Le respect des délais, - La disponibilité et l'écoute vis à vis des clients, - La formalisation par écrit de toute l'organisation mise en place pour mener à bien le projet (contrat, compte rendu, procès verbaux etc...), - La compétence des entreprises sélectionnées pour participer à la réalisation des travaux. 2 rue du Clos de Vons BIANS-LES-USIERS Tél. : Fax : epimelia-hautdoubs@wanadoo.fr : LE RÊVE À PORTÉE DE MAIN MAISONS CLÉS EN MAINS CONSTRUCTIONS TRADITIONNELLES ÉTUDE ET DEVIS GRATUITS TERRAINS DISPONIBLES 22 ANNÉES D EXPÉRIENCES GARANTIES TOTALES 20, av. Charles-de-Gaulle BP MORTEAU , rue de Besançon SITE : DEMANDE DE DOCUMENTATION GRATUITE Nom : Prénom : Adresse : Ville : Tél.: Livres : Le Moniteur. Magasin franchisé indépendant. Photo non contractuelle. Le Val de Morteau en photos Retrouvez dans ce livre plus de 100 photos originales de votre région Le Val de Morteau de A à Z du 11 au 21 mars Photos Didier Jacquot Préface de Patrick Poivre d Arvor ESPACE VALENTIN CENTRE BESANÇON

18 18 Valdahon - Vercel PROJET Désigner un cabinet d études La piscine de Valdahon cherche un second souffle La municipalité de Valdahon envisage de rénover la piscine communale, pour en faire un lieu plus ludique. Un projet devrait permettre d enrayer la baisse de fréquentation constatée dans le bassin. Nous envisagerons peut-être d étendre le bâtiment. L a piscine de Valdahon n est plus aux normes et inadaptée aux attentes actuelles du public. Le bassin sportif de 25 mètres de long par 10 mètres de large n est pas suffisamment ludique comparé aux équipements nouvelle génération. Si elle veut tenir sa place face aux centres nautiques des Fins et de Maîche, la piscine de Valdahon doit être mise au goût du jour. Le conseil municipal en est convaincu. Le 8 février, il a décidé de lancer une consultation afin de désigner un cabinet en mesure de réaliser une étude sur la mise aux normes de la piscine indique le maire Léon Bessot. Le système de filtration de l eau est défaillant, le carrelage comme les sanitaires ont besoin d un sérieux rafraîchissement. À la suite de cela nous envisagerons peut-être d étendre le bâtiment pour construire un nouveau bassin. C est une perspective d évolution. Pour l instant, la municipalité ne s avance pas sur les coûts d un tel investissement. Par contre, elle sait qu actuellement cet équipement enregistre un déficit annuel de euros. Chaque citoyen donne environ 20 euros par ses impôts pour le fonctionnement de cette piscine poursuit Léon Bessot. Valdahon n a rien d une exception, car la plupart des bassins sont de toute façon déficitaires. Mais ce qui est plus grave, c est la baisse de la fréquentation. Cette piscine des années 70 souffre actuellement de la concurrence des deux nouvelles structures des Fins et de Maîche. Jusque-là, les baigneurs du Haut-Doubs n hésitaient pas à venir à Valdahon pour nager. Désormais, ils disposent d un équipement plus proche et plus ludique. La zone de chalandise se réduit. L impact est direct sur le nombre des La fréquentation de la piscine de Valdahon est en baisse. Offrez ou offrez-vous entrées. En 2 années d exercice, entre 2003 et 2004, ce bassin en a perdu plus de En 2004, nous avons enregistré une baisse de fréquentation comparée à 2003, mais c était une année de canicule. Au dernier bilan, nous sommes à entrées. Il y a les scolaires, (26 770) les militaires (3 820) les activités aquagym (7 227), le club de natation et de triathlon (3 126), et le public ( enfants et adultes confondus) indique le service de gestion de la piscine. La baisse de fréquentation est surtout relevée chez les scolaires, puisque certaines écoles vont désormais dans les piscines du Haut-Doubs. Les autres activités restent stables et le nombre de militaires est en hausse. Par ailleurs, la nouvelle réglementation qui impose un encadrement renforcé pour accueillir les enfants des écoles serait aussi responsable d une baisse des effectifs. Face à ce constat, la municipalité veut réagir alors qu elle est à mi-mandant. Léon Bessot et ses collaborateurs prennent l initiative de mettre un projet sur les rails. Mais les travaux de construction d un second bassin se concrétiseront probablement lors du prochain mandat.! T.C. 2 numéros gratuits 1 an - 12 numéros 18 au les 12 numéros lieu de 21,60 Soit Le journal d information qui aborde tous les mois les sujets d actualité du Haut- Doubs : événements, problèmes de société, actu, sport, vie associative et culturelle, dossier Abonnement facile et rapide : En application de l article 27 de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires la traitant. Elles peuvent donner lieu à l exercice du droit d accès et de rectification auprès de La Presse Pontissalienne. Vous pouvez vous opposer à ce que vos nom et adresse soient cédés ultérieurement. Tarifs étrangers et DOM TOM : nous consulter. HISTOIRE É tienne Huot-Marchand était jeune conseiller municipal au milieu des 70. Il était chargé des finances dans l équipe de Denise Viennet, le maire de l époque. Une femme d initiative qui assurait un mandat de conseiller général du canton quand elle a pris en main les affaires de Valdahon. Par son charisme, elle est parvenue à s imposer sur la scène de la politique locale plutôt fermée à la gent féminine. Elle avait des idées modernes d évolution se souvient Étienne Huot-Marchand. C est à cette dame que Valdahon doit sa piscine. Avec opiniâtreté, elle est parvenue à convaincre les membres de son conseil les plus hermétiques qui qualifiaient pourtant ce projet d utopique, de l opportunité d un tel investissement. La piscine était le dada de Mademoiselle Viennet. Je me souviens que nous avons été reçus en préfecture, où on nous a expliqué que cet équipement serait accompagné de retombées, pas forcément quantifiables, mais intéressantes pour la commune. Le pari est risqué, les élus s engagent. Le montant de l opération est de 1,2 voire 1,5 million de francs à l époque, hors travaux d adduction d eau se souvient Étienne Huot-Marchand. Mais Valdahon va bénéficier de l opération nationale piscines qui lui ouvre le droit à des subventions de Jeunesse et Sports pour financer son projet. Sollicitée, l Armée s est elle aussi associée à cette initiative. Ces deux partenaires couvraient plus de 60% du coût Un projet d avant-garde La piscine était un investissement précurseur Au milieu des années 70, Valdahon est une des rares communes du département à investir dans une piscine. Un projet décisif à l époque pour un village de habitants. de la construction de l équipement. En plus, l Armée s est proposée de fournir deux maîtres-nageurs pendant les 15 ans de la durée d amortissement du prêt. Banco! La piscine sort de terre. Valdahon est une des premières communes du département à posséder une telle structure, alors que cette agglomération ne compte pas plus de habitants. Dès son ouverture, le bassin de 25 m qui se découvre en été fait des heureux. On a enregistré entre et entrées par an. Les enfants d une soixantaine de villages alentour viennent ici pour apprendre à nager. Avec ce nouvel équipement, Valdahon prend un temps d avance. Trente ans après, Étienne Huot-Marchand confirme que cet investissement était judicieux. Il fait partie des projets structurants. Deux éléments ont donné un vrai dynamisme à la commune. Le premier est la piscine qui a beaucoup influencé notre image. Le second est l arrivée de France Ébauches. Ça a été des éléments décisifs qui ont contribué à renforcer notre attractivité. Aujourd hui, France Ébauches a disparu et la piscine concurrencée depuis peu par les équipements de Maîche et Les Fins a besoin d un sérieux toilettage pour retrouver son attractivité d antan. Étienne Huot-Marchand qui a vu naître ce projet dans les années 70 va suivre désormais sa rénovation toujours en tant qu adjoint chargé des finances, mais cette fois-ci, de l équipe Léon Bessot.! BULLETIN D ABONNEMENT " Je m abonne à La Presse Pontissalienne : 1 an (12 numéros) = 18 au lieu de 21,60, soit 2 numéros gratuits Bulletin à remplir et à retourner accompagné de votre règlement à l adresse suivante : La Presse Pontissalienne B.P bis, Grande Rue MORTEAU CEDEX A MES COORDONNÉES (à remplir dans tous les cas) Nom Prénom N /Rue Code Ville Adresse de réception de La Presse Pontissalienne (si différente de la vôtre) Nom Prénom N /Rue Code Ville

19 Co-production ET Pour C.E. et groupes Music Plus DISCO Vacances présentent : Michel Fugain EN CONCERT EXCEPTIONNEL JEUDI 23 JUIN HEURES Espace Pourny RENSEIGNEMENTS : TÉL FRASNE : Maison Presse Turberg La Rivière Fleurie RIVIÈRE DRUGEON : Vival : Virgo Music Starter LEVIER : ATAC 160 x x x 200 au PRIX du 140 x 190 cm*du 03 au 26 mars 2005 du 03 au 26 mars 2005 *Sur produits exclusifs Maison de la Literie signalés en magasins BESANÇON :! ZAC de Chateaufarine (face à Gifi) ! Espace Valentin Ouest-Nord (à côté de Rover)

20 20 Économie MAÎCHE- Des créneaux de dépassement R.D. 437 : itinéraire touristique ou à vocation économique? La R.D. 437 qui relie Montbéliard au Haut-Jura traverse le Haut-Doubs pontissalienr. La Départementale 437 reliant le Pays de Montbéliard au Jura, traversant tout le Haut-Doubs, été classée route touristique des montagnes du Jura. Des aménagements doivent y être réalisés, notamment des créneaux de dépassement. Certains élus veulent aller plus loin. I l y a les intentions : faire de cette route un itinéraire touristique destiné à valoriser les montagnes du Jura. Et il y a les faits du quotidien : plus d 1 h 30 voire 2 heures pour parcourir les 100 km séparant Montbéliard de Pontarlier. La R.D. 437 suit la frontière franco-suisse sur environ 200 km, entre le Pays de Montbéliard et l Ain à hauteur d Oyonnax. Route à fort trafic, elle est empruntée chaque jour par des milliers d automobilistes et des centaines de camions. Dans la présentation du programme du Conseil général du Doubs, la nouvelle majorité a inscrit cet axe parmi les 309 actions recensées dans l ambitieux programme intitulé Doubs 2010 par l équipe de Claude Jeannerot. Le Conseil général s engage à réaliser et valider en 2005 et 2006 un avantprojet sommaire d itinéraire complémentaire (A.P.S.I.) dans le but de dégager des priorités en matière de travaux pour les 6 prochaines années. Frontaliers, votre vie ne ressemble à aucune autre. Notre assurance maladie non plus. Renseignez-vous vite dans nos agences! Labergement Ste Marie Gérald VIEY 10, avenue de la Gare Labergement Ste Marie Tél : Morteau Sauge ASSURANCES 20, avenue du Général de Gaulle Morteau Tél : Pontarlier Jean-Louis VERNEREY 80, rue de Besançon Pontarlier Tél : Villers le Lac Florent MOREL 1, rue Saint Jean Villers le lac Tél : PARTENAIRE DU GROUPEMENT TRANSFRONTALIER EUROPÉEN AVEC VOTRE CONTRAT SANTÉ PASS STRASBOURGEOISE, vous avez en mains l assurance maladie la plus adaptée aux besoins spécifiques des frontaliers. Vous bénéficiez également d un réseau d agents proches de vous, réputés depuis de longues années pour leur expertise frontalière. Assurances Mutuelles de France. 7, avenue Marcel Proust, Chartres Cedex 9. Entreprise régie par le Code des Assurances. Ouverture ^ Mardi au samedi de 7h à 19h non stop Dimanche matin de 7h à 12h30 8, rue de la Gare Tél verdantmarc@wanadoo.fr D ores et déjà, les élus départementaux se sont engagés à réaliser la sécurisation de la côte de Saint-Hippolyte entre 2005 et 2009, avec notamment l installation de voies de détresse à destination des poids lourds et de créer des créneaux de dépassement dans le secteur de Montbenoît entre 2007 et D après le conseiller général du canton de Montbenoît Alain Marguet, ce créneau de dépassement sera réalisé entre Montbenoît et Maisons-du-Bois à hauteur de la bifurcation pour Montflovin. En pratique, il s agirait de maintenir le créneau de dépassement de Ville-du-Pont mais dans un seul sens (supprimer ainsi les dangereuses trois voies ) et d instaurer un créneau de dépassement nouveau dans l autre sens après Montbenoît. Le financement de ces travaux d amélioration de la circulation n est pas encore décidé. Le Conseil général annonce juste que ces chantiers intégreront un partenariat financier avec le Conseil régional qui sera défini par une convention-cadre de partenariat entre les deux collectivités. Fin 2003, sous l impulsion justement du Conseil régional, une convention a été signée avec le Conseil général du Doubs au terme de laquelle plusieurs objectifs ont été ciblés dans l objectif de valoriser cette route des montagnes du Jura. Il s agirait notamment de réaliser des aménagements routiers en faveur de la sécurité des usagers, des aménagements paysagers et des actions de mise en valeur des sites naturels et patrimoniaux. Tout cela pour en faire un élément attractif de l imaginaire autour du massif du Jura dixit le Conseil régional. L idée, louable dans son principe, serait de dissuader les poids lourds notamment à emprunter cette route Montbéliard-Pontarlier. Ils seraient aiguillés vers Baume-les-Dames, puis Étalans avant de reprendre la route des Microtechniques en direction de Pontarlier. C est contre cette idée de faire de cette R.D. 437 une sorte de musée que se bat Alain Marguet, seul élu du Conseil général à ne pas avoir signé le projet de convention entre le Département et la Région. Sa position est tranchée : Je demande plus d audace pour cette R.D En 1976, la D.A.T.A.R. faisait de cette dorsale Nord-Sud une priorité, elle était d ailleurs classée route nationale. Je considère que cette route est à vocation économique avant Faire des créneaux de dépassement à la sortie de toutes les villes. Nos spécialités de bonbons au chocolat : d être touristique explique l élu du canton de Montbenoît. Il suffit par exemple de voir tous les transports internationaux en direction de l Alsace ou du bassin lémanique. J estime qu il faudrait faire des créneaux de dépassement à la sortie de toutes les villes traversées par cette R.D Deux premiers créneaux seront faits après Noirefontaine et après Montbenoît, il faut aller encore plus loin estime-t-il, prenant l exemple de la Nationale 5 dans le Haut-Jura, entre le col de Savine et Morez. Sur cette Nationale 5, en à peine 5 km, on trouve une 4 voies, des créneaux de dépassement Chocolat au Vin Jaune, Marc du Jura, Violette et bien d autres encore... Samedi 19 Mars Samedi 19 Mars Le chef réalisera des bonbons chocolat ainsi que des moulages de Pâques tout au long de la journée en magasin Le chef vous conseille de passer commande pour mieux vous servir D après Alain Marguet, il faut privilégier la fluidité de la circulation sur cet axe. dans les courbes, des giratoires, des voies de détresse. Et la configuration montagneuse est comparable au Haut-Doubs. Il faut faire preuve d imagination, aller plus loin sur la Départementale 437 assène-t-il. Il poursuit : Plutôt que de faire des aménagements d ordre touristique sur cette route, faisons des passages pour piétons souterrains dans les traversées d agglomération. Je ne suis pas contre les routes touristiques, mais pour cela, il y a la D. 39 (vallée du Dessoubre) ou la D. 74 (Morteau-Pontarlier via Les Gras). La 437 est une route économique répète-t-il, pensant aussi aux frontaliers qui l empruntent chaque jour. Ce débat sera tranché par les deux collectivités concernées - Conseil général et Conseil régional qui, de toute manière, souhaiteront renforcer l identité de cet route des montagnes du Jura par une signalisation appropriée.! J.-F.H. R.D. 437 : le trafic en chiffres Localisation Tout véhicule Poids lourds Mouthe - Gellin Labergement - Oye Oye - Les Rosiers Pontarlier - Doubs Doubs - Montbenoît Relevés effectués par la Direction départementale de l équipement en 2002 et Moyenne journalière.

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