Élec ons Les bureaux de vote déménagent

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1 Dossier Budget 2015 Élec ons Les bureaux de vote déménagent Maison des Arts Conversa on with myself MARS AVRIL 2015 N > 9

2 É 2 > 3 DOSSIER BUDGET 2015 P4 VOTRE VILLE P7 SANTÉ P15 VIE SCOLAIRE P17 MAISON DES ARTS P20 SENIORS P22 MÉDIATHÈQUE P24 ASSOCIATIONS P25 ALBATROS P29 AGENDA P30 Votre Journal est édité par la ville de Lingolsheim - Responsable de la publica on : Yves Bur, maire de Lingolsheim - Concep on et réalisa on : Mairie de Lingolsheim - Crédits Photo : Mairie de Lingolsheim - Couverture : André Wipff - Zeppeline. Impression : Valblor - Illkirch - Dépôt légal : février ISSN

3 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Édito Madame, Monsieur, Dans ce e période de crise et de pertes de repères, le service public est en débat. Certains considèrent qu il est indispensable de le moderniser quand d autres es ment qu il faut au contraire le renforcer, quel qu en soit le prix à payer par le contribuable. A Lingolsheim, nous avons toujours misé sur un service «au public» évolu f et moderne, qui soit un facilitateur de la vie des habitants et des familles. Je sais gré à nos agents de s inscrire dans ce e dynamique posi ve, a en ve et efficace. Pour autant, ce e «disponibilité» de nos agents doit être respectée et ne peut être synonyme de «bonne à tout faire» où chacun pourrait exiger tout et n importe quoi. Notre service public municipal n a pas à subir les égoïsmes de certains, ni même leur impolitesse, le mal être de certains ne peut excuser ni leur agressivité, ni leurs incorrec ons, ni même leur préten on que tout leur serait dû! Nos services et nos agents sont serviables et respectueux des droits de tous les usagers. En retour, nous sommes aussi en droit d être respecté par tous les usagers. Ces remarques ne s adressent comme toujours qu à une minorité des personnes accueillies, mais qui a tendance dans un contexte social tendu et de non-respect des règles, à s élargir. Je veillerai toujours à promouvoir un service public a en f et capable de s adapter aux besoins et aux a entes de nos concitoyens, tout en restant garant du respect de nos agents. agents. Ma convic on reste que le service public municipal, celui de la véritable proximité doit con nuer à incarner un pilier structurant d un vivre ensemble apaisé. Promouvoir un service public capable de s adapter aux besoins de nos concitoyens, tout en restant garant du respect de nos Yves BUR Votre maire Vice-président de l Eurométropole

4 Dossier > 5 Place Europa : illustra on phase concours Gallois Curie

5 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 BUDGET 2015 : INVESTIR POUR DEMAIN Volontariste, sérieux et sans augmenta on des taux d impôts locaux, le budget 2015 a été voté le 15 décembre dernier. Maîtriser les dépenses pour contribuer en 2015 et dans les années suivantes au main en d une capacité d inves ssement soutenue et préparer l avenir, tel est l objec f du budget 2015 à Lingolsheim. «Les baisses dras ques des dota ons de l État auront des répercussions sur le fonc onnement et sur les inves ssements des communes», a déclaré le maire Yves Bur, lors du débat budgétaire 2015 du conseil municipal de décembre dernier. Pour autant, «ce budget me semble être le meilleur possible compte tenu de la situa on et du contexte d austérité qui va durer au mieux jusqu en 2017». Pour le maire, ce budget traduit également un service public moderne, réac f parce qu a en f et capable de créa vité pour être efficace. Pas d augmenta on des taux d impôts locaux 2015 marque la onzième année consécu ve de stabilité fiscale, concernant tant la taxe d habita on que la taxe sur le foncier bâ. Effort renforcé sur les dépenses de fonc onnement des services municipaux et externalisa on de certaines missions perme ent ce e stabilité fiscale d inves ssement en ,5% de plus en inves ssement : malgré Services généraux : 23 Éduca on : 41 Services techniques : 13 Associa ons, sports, loisirs, culture et communica on : 7 Social, santé et pe te enfance : 16 Dépenses par secteur (2015)

6 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 BUDGET 2015 V les difficultés, la ville con nue à inves- r, en se concentrant principalement sur les écoles. Après l achèvement des travaux du groupe scolaire Elias Cane, la ville engagera la construc on du nouveau groupe scolaire Simone Veil, au cœur du quar er des Tanneries, ainsi que d un gymnase a enant, le gymnase Cole e Besson. Un inves ssement de 13,5 millions sur trois ans. Le groupe scolaire ouvrira ses portes à la rentrée Autre inves ssement dans les écoles : l équipement de toutes les écoles élémentaires en tableaux numériques interac fs d ici les vacances de Pâques et la forma on des enseignants. De quoi préparer les enfants à l univers numérique qui les entoure. Enfin, dans le cadre de la poursuite des travaux de rénova on urbaine, la ville prévoit l aménagement de la place Europa, devant le groupe scolaire Elias Cane. Le quar er s est profondément transformé en 10 ans : arrivée du tram, restructura on et modernisa on de l Albatros puis du groupe scolaire Elias Cane, construc- on du Sporty. Ce e place marquera le point final de la recomposi on de l espace public engagée dans ce quar- er. Les travaux débuteront peu après l enlèvement des locaux modulaires du groupe scolaire Elias Cane prévu au mois d avril. La Région Alsace cofinance le projet. Le prix le plus juste pour les usagers des services publics Afin de maintenir la stabilité fiscale, le Conseil municipal a décidé dans le cadre du budget 2015, de revoir la poli que tarifaire du cime ère et de la Maison des Arts. Il s agit d ajuster le prix demandé aux usagers aux coûts des services. «A défaut pour les usagers de payer le juste prix, nous leur demanderons de payer un prix plus juste» a déclaré le maire. Enfin, afin de ne pas pénaliser les habitants de Lingolsheim, le Conseil municipal a opté pour une augmenta on plus importante des co sa ons des non lingolsheimois bénéficiant des services municipaux. 40% du budget est consacré à l inves ssement et aux travaux Les tarifs périscolaires sont quant à eux stables. L accueil du ma n, gratuit, le restera aussi longtemps que l État con nuera à compenser par ellement le coût des nouveaux rythmes scolaires. RÉNOVATION URBAINE L Agence Na onale de Rénova on Urbaine vient d accorder le financement de la construc on-démoli on de 161 logements supplémentaires. Il s agit du 4, 6, 8 rue Jean Monnet dont les relogements ont débuté. Leur démoli- on est prévue dans deux ans, soit au printemps C est une décision qui marque la confiance faite à la Ville et ses partenaires qui ont respecté le projet tel qu il était prévu. La qualité du projet et le sérieux avec lequel il a été mené perme ent donc de poursuivre l effort de rénova on urbaine entrepris jusqu ici. La rue Adenauer est achevée depuis décembre 2014 et des pe ts immeubles privés vont à présent être réalisés sur toute sa longueur. Puis, au printemps prochain, CUS Habitat va arrêter de relouer les 148 logements des 12 et 14 rue du Général de Gaulle. Cet immeuble, le dernier, sera démoli en 2020 lorsque l offre aura été recons tuée. La Ville a par ailleurs tenu un autre engagement vis-à-vis des locataires : ils ont pour la plupart pu être relogés à Lingolsheim. Une rénova on de qualité De nombreux logements seront livrés dans le nouvel écoquar er des Tanneries, déjà cité en référence par l Eurométropole de Strasbourg pour les choix énergé ques qui y ont été faits. En effet, une chaufferie collec ve y a été réalisée. Elle conjugue 60 % de combus ble renouvelable (bois, rafle de maïs : ce qui reste de l épi lorsqu on en enlève les grains), 25 % de géothermie peu profonde (pompe à chaleur) et 15 % de gaz. La rénova on urbaine de Lingolsheim est reconnue unanimement pour l importante et irréversible requalifica on qu elle aura permis dans ce secteur de la ville. 6 > 7

7 Votre ville EN 2015,LES BUREAUX DE VOTE DÉMÉNAGENT Votre Journal mars - avril 2015 n 129 A en on, dès les prochaines élec ons, vous ne voterez peut-être plus au même endroit. Les 11 bureaux de vote de la ville sont désormais regroupés dans cinq lieux : le complexe spor f l Ami é, l Espace Albatros, la Maison des Arts, le groupe scolaire de l Avenir, le Collège Maxime-Alexandre. Dans le cadre de la réorganisa on des bureaux de vote, de nouvelles cartes d électeur vous seront adressées entre le 1 er et le 15 mars. N oubliez pas de consulter votre nouvelle carte d électeur pour savoir où voter et le numéro de votre bureau. Si vous n avez pas reçu votre carte d électeur, la répar on des bureaux de vote par rues est consultable sur le site internet ou par téléphone au Pourquoi ce e réorganisa on? Les bureaux de vote doivent être accessibles à tous. C est pourquoi la ville a décidé de les regrouper dans des bâ ments modernes, accessibles aux personnes à mobilité réduite. Le regroupement perme ra également une meilleure ges on du matériel électoral, et une op misa on de la logis que. Les prochaines élec ons pour choisir vos conseillers départementaux auront lieu les 22 et 29 mars. Les bureaux de vote sont ouverts de 8 h à 18 h. Liste des bureaux de vote et adresses - l Ami é, rue de Geispolsheim (bureaux 1 & 2), - la Maison des arts, 8 rue du Château (bureaux 3 & 4), - le collège Maxime-Alexandre, rue du Travail (bureaux 5 & 6), - le groupe scolaire de l Avenir, rue de l Avenir (bureaux 7 & 8) - l Espace Albatros, rue du Général de Gaulle (bureaux 9, 10 & 11). COUP D OEIL SUR LES CHANTIERS Eclairage Les mats et luminaires des rues de Graffenstaden et des Juifs seront remplacés au courant du 1er semestre Square Europa Les travaux d aménagement de la place située devant le groupe scolaire Elias Cane u devraient débuter dès cet été. L école Cane : le chan er retardé Suite à la faillite de l entreprise chargée des travaux d électricité, l ouverture de l école élémentaire Cane, prévue en décembre dernier, a été retardée. Les services de la Ville se sont retrouvés face à une double difficulté : travailler avec les experts pour faire le point sur les travaux déjà réalisés et trouver une nouvelle entreprise pour achever le chan er. Après un mois de suspension, les travaux ont pu reprendre le 18 février. Si le nouveau planning du chan er est respecté, les élèves pourront intégrer leur nouvelle école avant les prochaines vacances de printemps. Les entreprises entameront alors la dernière phase du chan er : le démontage des locaux modulaires et l aménagement du square Europa. Groupe scolaire Simone Veil - Gymnase Cole e Besson - IMP / Quar er des Tanneries Le projet est finalisé, les appels d offres ont été publiés. Le chan er débutera au mois d avril 2015 pour une mise en service à la rentrée scolaire 2017.

8 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Infos LingoMobil : LE TRANSPORT À LA DEMANDE V Vous avez besoin de vous déplacer dans Lingolsheim pour vous rendre chez le coiffeur, faire une course, aller au marché ou chez le médecin? Le Centre Communal d Ac on Sociale et la Ville de Lingolsheim proposent aux seniors, prioritairement, un service de transport à la demande. A compter du mois de mars, le Centre Communal d Ac on Sociale et la ville proposeront un service de transport à la demande à des na on des personnes n ayant pas d autres moyens de locomo on ou ne pouvant pas ou plus conduire. LingoMobil ne concerne que les trajets dans Lingolsheim. Une voiture, achetée par la ville, sera exclusivement des née à ce service. Inscrip on, réserva on et règlement auprès du CCAS Une par cipa on de 2 par voyage sera demandée. Les u lisateurs du service auront également la possibilité de souscrire un abonnement de 10 trajets pour 18. Les billets et cartes sont en vente au CCAS et réglables en liquide ou par chèque. Tout trajet devra être réservé 48 h à l avance, hors week-end et jours fériés. Assuré par des bénévoles, le service fonc onnera - du lundi au jeudi de 8 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30 - le vendredi de 8 h 30 à 11 h 30. A en on, ce service ne s adresse pas aux personnes à mobilité réduite qui peuvent faire appel à Mobi.stras, un service accessible sur dossier médical. Répondre aux problèmes de déplacement des seniors LingoMobil est une réponse concrète aux difficultés rencontrées quo diennement par les seniors de la ville pour se déplacer au sein de la commune. Faible fréquence des passages de bus, ou absence de connexion d un quar er à l autre, ont amené la ville et le CCAS à réfléchir ensemble sur ce e probléma que. LingoMobil complète le disposi f de nave e du mardi ma n, mise en place suite à la fermeture de la Coop. Ce service heddomadaire qui relie la Résidence Landsberg au SuperU permet aux seniors de faire leurs courses. Il est assuré par des bénévoles. Le mini-bus est quant à lui prêté par SuperU. Plus de renseignements : Centre Communal d Ac on Sociale 7 rue du Château Lucie Siret : ou ccas@lingolsheim.fr Vous avez votre permis de conduire et souhaitez donner un peu de votre temps? La Ville et le Centre Communal d Action Sociale recherchent des bénévoles pour compléter l équipe de conducteurs du service LingoMobil. Le bénévole s engage à consacrer une demi-journée par semaine à ce nouveau service. Rens > 9

9 Votre ville L EUROMÉTROPOLE EST NÉE! Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Depuis le 1 er janvier 2015, l Eurométropole de Strasbourg remplace la CUS. Yves Bur, en tant que vice-président de l Eurométropole nous explique ce que cela change pour l aggloméra on, pour les communes et pour les habitants. Qu est-ce qu une Eurométropole? Le passage de la CUS à l Eurométropole de Strasbourg renforce tout d abord le statut européen de notre aggloméra on. Alors que la CUS est devenue une communauté de services de plus en plus intégrée, l Eurométropole doit assumer un rôle de chef de file au service du développement pour toute notre région et même pour le Rhin supérieur. L Eurométropole a-t-elle des compétences en plus par rapport à la Communauté Urbaine? L Eurométropole voit ses compétences élargies par rapport à la CUS, en par culier dans la lu e contre la pollu on de l air, contre les nuisances sonores, la ges on des milieux aqua ques et la préven on des inonda ons ou encore les concessions de la distribu on publique d électricité et de gaz. De plus, l Eurométropole va entrer en discussion avec le futur Conseil départemental, comme la loi le prévoit, sur le transfert à la métropole d un certain nombre de compétences exercées par le département : les routes départementales, le social... transferts que nous aborderons avec beaucoup de prudence car il faut y associer des ressources dynamiques que le département devrait nous transférer en même temps. La première Eurométropole, l Eurométropole Lille - Kortrijk - Tournai, rassemblait des territoires français et belges. L Ortenau a-t-il voca on à entrer dans l Eurométropole? Non, l Ortenau n a pas voca on à intégrer l Eurométropole. La collabora on transfrontalière devra se renforcer pour trouver une cohérence au sein du développement économique, touris que et universitaire de ce territoire transfrontalier. Si nous parlons d Eurométropole, c est pour souligner le rôle spécifique de Strasbourg et sa région en tant que capitale européenne et territoire transfrontalier. Quelle sera la place des communes dans ce e Eurométropole? La place des communes se trouve renforcée à travers la nouvelle gouvernance menée par Roland Ries et Robert Hermann. Elle rassemble 27 des 28 communes pour conduire ensemble le développement de l Eurométropole et préparer l avenir, c est à dire une économie plus forte, plus d emploi, plus de logements, plus de solu ons de déplacement. Qu est ce que cela change pour les habitants? Avec les transferts de nouvelles compétences, surtout sociales, l Eurométropole et ses communes seront pe t à pe t les interlocuteurs uniques des habitants, dans une vraie proximité. Nous devons veiller à rendre ces services éloignés plus simples et plus efficaces, afin que les habitants de l Eurométropole y accèdent facilement. Il y a du pain sur la planche pour réussir ces transferts de compétences. Par cipez à une métropole de projets! Envie d exprimer vos idées, de vous impliquer dans la vie de l Eurométropole, d enrichir son ac on, de vous engager pour son rayonnement? Vous u lisez les services publics, bénéficiez des poli ques mises en oeuvre par la collec vité? Votre expérience, votre parcours, peuvent contribuer à construire les orienta ons du développement de la métropole transfrontalière. Comment ça marche? Le Conseil de développement est une instance par cipa ve prévue par la loi dans le but d ini er, au sein de l Eurométropole, un dialogue entre les élus, les ins tu ons européennes, nos voisins allemands et la société civile. Il contribue à élaborer les principales orienta ons de l aggloméra on notamment économiques et de développement durable et à éclairer toute ques on rela ve à l avenir de la métropole. Qui peut candidater? Tous les habitants majeurs de l Eurométropole à l exclusion des élus et des membres des instances de démocra e locale. Pour en savoir plus et déposer votre candidature en ligne : strasbourg.eu/jecandidate

10 Infos EN BREF V Elec ons A en on : les bureaux de vote déménagent (voir p. 7). Les élec ons départementales auront lieu les 22 et 29 mars. Les bureaux sont ouverts de 8 h à 18 h. Vous venez d avoir 16 ans : pensez à vous faire recenser Tous les jeunes Français, hommes et femmes, doivent se faire recenser à la mairie de leur domicile. Ce e obliga on légale est à effectuer dans les trois mois suivant le 16 ème anniversaire. Pour vous faire recenser, présentez-vous à la mairie avec les pièces suivantes : - Le livret de famille de vos parents - Un jus fica f de domicile (facture, fiche de paie), - Un jus fica f de na onalité française si nécessaire. La mairie établira une a esta on de recensement à conserver précieusement. Elle vous sera réclamée pour vos inscrip ons à des examens ou concours soumis au contrôle de l autorité publique (CAP, BEP, Bac, permis de conduire ). Détecteur de fumée Le 8 mars 2015 au plus tard, tous les logements devront être équipés d au moins un détecteur de fumée. Qui doit l installer? > Le propriétaire du logement fait l acquisi on du détecteur de fumée. > L occupant du logement veille à son bon fonc onnement. > Ne pas installer de détecteurs de fumée dans les par es communes des immeubles collec fs d habita on, dans la cuisine, la salle de bain et le garage. Pour une sécurité op male, plusieurs détecteurs peuvent équiper le logement (chambres, séjour...). Plus d infos sur TV : la fin de l analogique Numéricable me ra fin à la diffusion analogique le 21 avril L offre TV sera en èrement numérique. Les abonnés analogiques seront invités, par courrier et par téléphone, à migrer vers une offre numérique La télévision analogique hertzienne, dont la récep on était assurée via une antenne râteau, n est plus diffusée en France depuis le 30 novembre Rens ou sur h p://tout-numerique.numericable.fr BRÈVES DU CONSEIL MUNICIPAL DU 15 DÉCEMBRE 2014 Subven ons aux associa ons pour charges de locaux 2014 Le conseil municipal décide de verser les par cipa ons pour charge de locaux à hauteur de 40% à : - Tennis club 4 737,59 - C.C.S.S.L ,91 - Ste Croix 4 692,56 - Foyer Oberlin 4 338,05 Subven ons pour par cipa- on aux déplacements des clubs spor fs 2015 Le conseil municipal a ribue les par- cipa ons aux frais de déplacement aux associa ons suivantes : - Ami é sec on boxe Ami é sec on judo Ami é sect. tennis de table Ami é sec on r CCSSL sec on basket CCSSL sect.tennis de table 140 -CCSSL sec on badminton Club de nata on Football club Lingolsheim Handball club Lingolsheim I.B.A.L Tennis club 700 Garan e d emprunt en faveur de l ADAPEI Le conseil municipal, vu le projet d extension de la Maison d Accueil Spécialisé située à Lingolsheim, 6 place Galilée, décide d approuver la garan e de l emprunt de contracté par l associa on ADAPEI auprès de la Caisse des Dépôts. Subven on excep onnelle au collège Galilée Le conseil municipal décide de verser une subven on de 300 à la coopéra ve scolaire du Collège Galilée pour l organisa on d une sor e raque e avec 88 élèves de 5 ème et l interven on d un accompagnateur en montagne. Modifica on de la carte scolaire Le conseil municipal a adopté la nouvelle carte scolaire de Lingolsheim, afin de pallier aux risques de sureffec- f dans certaines écoles. 10 > 11

11 Votre ville Votre Journal mars - avril 2015 n 129 DE VOUS À VOUS LES PETITES ANNONCES LINGOLSHEIMOISES Besoin d une baby-si er, envie de troquer des objets, besoin de covoiturage, recherche de colloca on, envie de partager une sor e théâtre avec un passionné? La plate forme d échanges De vous à vous permet aux Lingolsheimois de se me re en contact. La démarche est simple : vous avez besoin d un service, envie de proposer votre aide, de rencontrer des Lingolsheimois partageant votre passion pour le cinéma, le théâtre ou la marche nordique, besoin de coloca- on ou de covoiturage, d une baby-sitter ou d une nounou, alors rendez vous sur ou sur h p://lingolsheim.etyssa.com La mise en réseau des Lingolsheimois Il vous suffit de vous inscrire, de créer votre portrait, et d indiquer vos souhaits, selon les théma ques proposées. Publiez votre annonce et vous voilà mis en rela on avec vos voisins. Ce site est le vôtre, c est vos contribu- ons qui le font vivre! STATIONNEMENT ZONE BLEUE: UN DISQUE EUROPÉEN Depuis le 1 er janvier 2012, les automobilistes doivent disposer d un disque de sta onnement européen. Le défaut de disque bleu ou sa nonconformité à l arrêté du 6 décembre 2007, est puni d une contraven on de première classe. Ce disque ne men onne que l heure d arrivée et permet d adapter les horaires de sta onnement en fonc on des nécessités locales de rota on des véhicules sur les places de sta onnement. Les disques de sta onnement sont en vente dans les magasins d accessoires automobile. Rues et parking en zone bleue à Lingolsheim - La rue du Maréchal-Foch entre la rue de la Gare et l avenue Schumann, - La rue du Château, - Les parking de la mairie et du Foyer Saint-Joseph - La rue du Général-de-Gaulle (sur une par e devant l Albatros) - Quelques places au début de la rue Konrad Adenauer - Le parking du cime ère

12 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Infos A Expression du groupe majoritaire «Ensemble con nuons pour Lingolsheim» Un budget ambi eux dans un contexte économique dégradé : c est cela que nous re endrons du débat sur l adop- on du budget 2015 en décembre dernier. Alors que l État n a de cesse de se désengager du financement des collec vités territoriales demandant aux autres de faire ce que l on n est pas capable de réaliser soi-même, notre ville sous l impulsion du groupe majoritaire a réussi à maintenir les inves ssements à un niveau élevé, à maitriser les charges de fonc onnement et à ne pas augmenter les impôts. Il s agit là d un exercice difficile dont l État devrait largement s inspirer. Les inves ssements qui s élèvent à près de 6 millions d Euro vont largement contribuer à soutenir l économie locale en donnant du travail au secteur du bâ ment qui aujourd hui est largement sinistré contrairement à ce qu a laissé sous-entendre l opposi on lors du débat budgétaire. Si un maire est clairement engagé dans le développement économique et l inser on c est bien Yves BUR. Le rôle de la Ville est bien de soutenir l ac vité, mais en aucun cas de créer une mul tude d emplois au sein de la Collec vité qui sont autant de leurres et autant de charges qui se transformeront immanquablement en impôts demain. De même, il n est pas du rôle d une collec vité de proposer des services à n importe quel prix, les ac vités culturelles, l accueil de la pe te enfance, l entre en des cime ères, les garderies scolaires et les ac vités périscolaires représentent une charge importante pour la collec vité et il ne serait être ques on d en demander le prix de l équilibre mais bien le prix juste pour chaque catégorie d u lisateurs : jeunes, adultes, résidents et non-résidents. C est à ce prix que la collec- vité n a pas augmenté ses impôts depuis 10 ans. Le groupe majoritaire ne peut donc que se féliciter de ce budget et s étonner une fois de plus du vote de l opposi on. Faut-il rappeler, que comme par le passé, ce e même opposi on votera certainement sans réserve l ensemble des projets qui seront soumis tout au long de l année et qui ne seront que la transcrip on logique des choix budgétaires Ne s agit-il pas là d une hypocrisie? D un vote idéologique? Comment peut-on laisser croire qu il est possible de réaliser des projets sans en assurer le financement? Expression du groupe d opposi on «Lingolsheim autrement» Pourquoi avons-nous voté contre le budget 2015? La contribu on à l effort général est normale, difficile mais normale. On peut même se dire que cela aurait pu être pire dans la mesure où, lors des débats parlementaires, l UMP avait réclamé un plan d effort budgétaire deux fois plus élevé que celui mis en œuvre par le gouvernement. En effet, la Dota- on Globale de Fonc onnement a ribuée par l État baisse d environ 10% et la Région baissant également ses subven ons, cela conduit à un Budget primi f 2015 en baisse de 5,7 % par rapport à celui de Le budget qui est présenté est équilibré et si nous apprécions à sa juste valeur les inves ssements en faveur des écoles, les deux raisons essen- elles qui ont mo vé notre vote sont d une part le manque d ambi on pour le développement de l économie locale et nous n y trouvons rien en ce sens : pas d aide à la créa on d entreprises et pépinières dans les nouveaux quar ers et d autre part la hausse des tarifs communaux. La hausse des tarifs des ac vités de la Maison des Arts de +5% pour les résidents de Lingolsheim à +50% pour les résidents hors Lingolsheim nous semble excessive et peu encline à favoriser l épanouissement des enfants et des adultes en ces temps où pourtant créer du lien social est plus que nécessaire. Enfin, les prix des concessions flambent avec des hausses de 50 %, exemple la concession d une tombe (30 ans) pour adultes passe de 526 à Même si Mr le Maire jus fie ces augmenta ons au mo f d un prix plus juste, le Service Public ne peut être facturé au coût réel! 12 > 13

13 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Assoc TRAVAIL ET ESPÉRANCE LE FOYER S AGRANDIT Le foyer d hébergement de l Associa on Travail et Espérance s est agrandi, pour un meilleur accueil des résidents. Inaugurés en décembre dernier, les 284 m² d extension ont été mis au service de la qualité de l accueil. L extension accueille les bureaux administra fs, une salle de réunion, trois garages, une lingerie adaptée, un local vélo, un local poubelle, une pièce pour les archives et un agrandissement de la cuisine. Enfin, de nouvelles places de parking ont été créées. Autant de place gagnée dans le foyer et qui a permis la restructura on de certains espaces. Le bureau d accueil des éducateurs et la chambre de veille sont désormais des espaces séparés. Le réaménagement se poursuit, à son rythme, laissant aux résidents le temps de s habituer aux changements, de s approprier les nouveaux espaces communs et dès cet été la terrasse qui surplombe l extension. L extension a été financée par un prêt de de la Caisse de dépôts et de consigna on. Le bâ ment, propriété de Domial, est construit sur un terrain de la ville, et prêté pour une durée de trente ans à ses u lisateurs, avec lesquels un bail emphytéo que a été signé. 32 résidents permanents Le foyer logement accueille 32 résidents. Il est réservé aux personnes adultes déficientes mentales, employées à temps plein dans les ESAT (Établissement et Services d Aide par le Travail) de l Eurométropole de Strasbourg. Un studio d hébergement temporaire permet également de répondre à une demande d hébergement ponctuelle, limitée à 90 jours par an et par personne. Plus qu un logement, les résidents sont accompagnés dans leur vie quo- dienne par une équipe de huit éducateurs chargés de l anima on et de l encadrement. «Entre projet d établissement et projet individuel, c est le vivre ensemble dont il est ques- on, tout autant que du bien-être de chacun» explique Yves Grandidier, le directeur général de Travail et Espérance. 30 ans d existence Le foyer Travail et Espérance de Lingolsheim est né il y a tout juste 30 ans. Il était alors le troisième établissement créé pour répondre aux besoins d hébergement des travailleurs handicapés mentaux. En implantant le foyer logement au coeur de la ville, ses fondateurs ont avant tout cherché à faciliter l intégra on des personnes accueillies. Car pour l associa on Travail et Espérance, créée par des parents d enfants présentant un handicap mental, c est avant tout le bien-être et le souci de l intégra on des personnes handicapées dans le ssu local qui primaient. L associa on avait ainsi pour objec f de répondre à ce e ques on fondamentale pour les parents «Que deviendront nos enfants après notre décès?» Aujourd hui, Travail et Espérance, fort de 150 membres, gère un ESAT, quatre foyers et un service d accompagnement sur le territoire de l Eurométropole de Strasbourg. Contact : Foyer d Hébergement Travail et Espérance 18 rue François Arago, Lingolsheim Tél :

14 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Santé CONFÉRENCE SANTÉ VERTIGES ET TROUBLES DE L ÉQUILIBRE Le Dr. Dominique Rohmer, pra cien hospitalier ORL au CHU de Hautepierre, responsable de l unité d explora on des ver ges et Mme Annick Wernert, kinésithérapeute spécialisée en rééduca on ves bulaire, endront une conférence sur les ver ges et troubles de l équilibre, mardi 24 mars à 19 h à la Maison des Arts. Vous allez présenter les ver ges et troubles de l équilibre, est-ce la même chose? Non, le ver ge est une illusion de mouvement, en général rotatoire, alors que par troubles de l équilibre, on entend toute instabilité à la marche, tangage, etc. Qui est touché par ces pathologies? Pourquoi surviennent-elles? Tout le monde peut en être vic me. Ver ges ou troubles de l équilibre peuvent être d origine périphérique (a eintes diverses de l oreille interne, du nerf ves bulaire) ou centrale (tronc cérébral, cervelet ). Nous aurons l occasion de détailler les différentes maladies à l origine de ces troubles durant la conférence. Comment soigner ces pathologies? Avant de soigner, il faut déterminer l origine de la pathologie, le siège de l a einte. Le diagnos c sera amené par l interrogatoire, l examen clinique suivi si nécessaire par la réalisa on d examens complémentaires. En fonc on de la pathologie le traitement relèvera d un traitement médical ou d une rééduca on. La rééduca on est effectuée par un kinésithérapeute spécialisé dans les troubles ves bulaires. Ce kinésithérapeute ne réalise pas de massage mais travaille sur les mécanismes intervenant dans l équilibre, il a suivi une forma on spécifique et dispose d un matériel adapté. Comment prévenir l appari on de ces troubles? Un bon équilibre est marqué par le bon fonc onnement de différents capteurs de l équilibre, notamment dans l oreille interne, d une bonne vue et des entrées propriocep ves. La propriocep on étant la sensa on de la posi on des membres du corps et des mouvements du corps dans l espace, par l intermédiaire de récepteurs sensoriels situés dans l oreille interne, les muscles et les tendons. Il est conseillé de faire des ac vités qui nécessitent d être sur les deux jambes : la marche, le yoga, la gym. Bien sûr, une bonne hygiène de vie est plus favorable pour éviter ces troubles. Les problèmes vasculaires (hypertension, diabète) peuvent être des éléments déclenchant de la pathologie. Une mauvaise hygiène de vie a une influence péjora ve sur ces troubles. Le sujet aura plus de mal à récupérer puisque d autres problèmes seront à traiter. > Conférence santé Mardi 24 mars à 19 h à la Maison des Arts, 8 rue du Château Rens Entrée libre Pour recevoir toutes les informa ons et être informé des prochaines conférences santé, inscrivez-vous! Service santé : ou par mail : streicherl@lingolsheim.fr

15 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Santé V PÉRISCOLAIRE MANGER? UN JEU D ENFANT! Depuis le mois d octobre, les animateurs du périscolaire mènent une ac on santé auprès des jeunes de 6 à 11 ans accueillis aux écoles des Prés et des Vosges. Trois cycles de six ateliers perme ent d aborder les bases d une alimenta on équilibrée, le tout en jouant. De l escargot des 5 sens, au jeu des 7 familles, c est de façon ludique que les enfants du périscolaire découvrent ou redécouvrent les fruits et légumes et les principes d une alimenta on équilibrée. D octobre à décembre, les aliments étaient appréhendés au travers des 5 sens : l ouïe, la vue, le toucher, l odorat et le goût. A l école des Près, ce e ac vité ludique avait pour support «l escargot des 5 sens», plateau de jeu confec onné par les animatrices. En fonc on de la case sur laquelle tombait l équipe, les joueurs avaient plusieurs possibilités : deviner quel aliment se cachait dans une boite à l aide de leur main, décrire le goût d un aliment, deviner l aliment qui se cachait derrière les odeurs, reconnaître l aliment en fonc on du son que celui-ci produisait ou encore faire deviner à son équipe les aliments qu ils voyaient en photo en les décrivant. En janvier et février, les enfants ont confec onné un jeu des 7 familles. Les familles correspondent aux groupes d aliments : les viandes/poissons/ œufs, les produits lai ers, les céréales et féculents, les légumes et fruits, les ma ères grasses, les boissons, les sucres. Ces cartes, réalisées par les enfants, seront ensuite rapportées à la maison. Savez-vous planter des choux? Les deux prochains mois porteront sur les planta ons. L anima on perme ra de découvrir comment poussent les légumes et de rappeler les éléments nécessaires à la culture de ceux-ci (eau, soleil etc.). Les animatrices travaillent en collabora on avec la diété cienne qui est présente une séance sur deux pour les épauler. Ce e ac on est mise en place dans le cadre de la poli que santé de la ville de Lingolsheim, visant à promouvoir une alimenta on équilibrée et la pra que d une ac vité physique régulière. ECOLE DE L AVENIR PETIT DÉJEUNER COMME UN ROI! Le 19 février dernier, la classe de CP de Mme Thalmann du groupe scolaire de l Avenir, a dégusté un délicieux pe tdéjeuner. Ce e ac on Santé, menée en partenariat avec les diété ciennes de La Route de la Santé et en collabora on avec l associa on EPMM (sport pour tous) vise à apprendre aux enfants comment composer un pe t-déjeuner équilibré. De nombreux parents étaient présents pour découvrir et accompagner leurs enfants dans cet atelier. La diété cienne de La Route de La Santé avait auparavant rencontré la classe concernée pour leur expliquer les différents groupes d aliments. Grâce à tous ces conseils ils vont pouvoir bien commencer leurs journées. 16 > 17

16 Vie scolaire Votre Journal mars - avril 2015 n 129 ECOLE DES PRÉS KINBALL Depuis début janvier, les élèves de CE2 de l école des Prés découvrent le Kin-ball, un sport collec f qui nous vient tout droit du Canada. Peu de règles, des déplacements restreints sur le terrain, le kin-ball n est pourtant pas de tout repos! Deux heures durant, les élèves se démènent pour ne pas laisser tomber ce e énorme balle par terre. Ce sport collec f nécessite naturellement un fort esprit d équipe. Coopéra on, respect des autres, plaisir et accessibilité sont les maîtres mots de ce e pra que spor ve, créée au Québec par un professeur d ac vité physique il y a de cela près de 30 ans. Quelques règles Le kin-ball se pra que à trois équipes de couleurs différentes, composées de quatre joueurs. Sans oublier un gros ballon de 1,22 mètre de diamètre! L équipe qui possède le ballon détermine le lanceur. Celui-ci, avant de frapper dedans annonce la couleur de l équipe adverse qui doit le récep- onner. Tous les membres à la récep- on doivent être en contact avec le kin-ball. Si ce dernier tombe au sol, le point est a ribué à l équipe qui l a envoyée. Sept séances auront permis à ce e classe de CE2 d appréhender le kin-ball. Pour la dernière séance, les parents d élèves étaient invités à assister au cours et découvrir ce e pra que spor- ve qui rassemble quelques 3,8 millions de pra quants dans le monde. LES TRAVAUX DANS LES ÉCOLES Des locaux modulaires pour le périscolaire Face à l augmenta on de la fréquenta on du périscolaire, la ville a décidé d installer des locaux modulaires provisoires, en complément de l existant dans les cours de l école maternelle des Primevères et de l école élémentaire des Prés. Les travaux de terrassement sont en cours. Les locaux modulaires seront posés pendant les vacances d hiver. A l école des Primevères, la structure de 45 m² perme ra d accueillir une trentaine d enfants dans de meilleures condi ons. A l école des Prés, ce sont 60 m² qui seront mis à disposi on des élèves et des animateurs. Ces locaux resteront en place jusqu à la rentrée 2017, date à laquelle le cycle bilingue intègrera le groupe scolaire Elias Cane. Les tableaux numériques interac fs dans deux nouvelles écoles Les classes des écoles élémentaires du Centre et des Vosges seront équipées à la rentrée des vacances d Hiver de tableaux numériques interac fs. Les enseignants ont été formés aux mois de janvier et février à l u lisa on de ce nouvel ou l. En mai, l école élémentaire de l Avenir sera la dernière école à être équipée. Ces tableaux numériques perme ent avant tout une souplesse dans la présenta on des éléments proposés aux élèves. Il facilite également l ac vité des élèves au tableau grâce à la manipula on simple de fonc onnalités intégrées jusqu alors externes au tableau classique : feutres mul colores, déplacement d objets, instruments géométriques.

17 Vie scolaire COLLÈGE GALILÉE CAFÉ PHILO À GALILÉE Votre Journal mars - avril 2015 n 129 V Depuis l année dernière, le collège Galilée propose, à tous ses élèves de 6 ème, 5 ème et 4 ème des ateliers de pra ques de discussion à visée philosophique. Le débat philo c est apprendre à dire ce qu on pense, à écouter l autre, à réfléchir logiquement, à se ques onner, réfléchir sur soi, à reformuler, à probléma ser, à formuler des hypothèses, à confronter des opinions différentes. C est aussi perme re aux élèves d apprendre à exprimer un point de vue, à écouter de façon posi ve le point de vue des autres et de se construire des «habiletés de pensée» (se ques onner, préciser sa pensée, faire évoluer ses idées, ), réfléchir plus spécifiquement à son comportement pour favoriser le «vivre ensemble». «Est-ce qu on a forcément besoin de voir ce qui s est passé pour me croire?» s interroge un élève. Une autre pose la ques on de la réussite «Le plaisir de gagner, c est surtout celui d avoir réalisé quelque chose aux yeux des autres». Tandis que d autres interrogent les règles : «Une règle, c est quelque chose qu il faut respecter» pour l un, «quelque chose à ne pas dépasser» ajoute un autre. Pour son voisin, «une règle c est quelque chose qui embête. C est un truc à enfreindre.» En tous les cas, conclut un élève : «On peut être moins bête, plus poli et persuader les autres avec la parole.» Après des séances d ini a on, animées par une enseignante du collège, Claude Escot, président de l Associa- on des Francas, et des éducateurs de l Albatros, les élèves pouvaient s inscrire et par ciper à ces débats philo. Un groupe de 18 élèves volontaires s est cons tué et a poursuivi ce e ac on toute l année scolaire pour finir au fes val «Graines de philo» le 18 juin dernier. Ce e manifesta on s est déroulée au Creps de Strasbourg avec la collabora on de 150 jeunes de 4 à 16 ans. Réfléchir sur le vivre ensemble Ce e année, compte tenu de la situa- on difficile que vivent les élèves suite aux trajets jusqu au lycée Couffignal et en partenariat avec la CTS qui transporte les élèves, ce e ac on a été renforcée et proposée à toutes les classes de 6 ème, de 5 ème et de 4 ème. Des étudiants en philosophie, formés à ces pra ques, sont venus animer ces débats. Les élèves ont réfléchi à leurs comportements pour favoriser le «vivre ensemble» en général, et dans les transports en commun en par culier. 18 > 19 ECOLES : RENTRÉE SCOLAIRE 2015 Inscrip on en mairie Les parents des enfants entrant en pe te sec on de maternelle ou en CP ont jusqu au 20 mars pour re rer en mairie le cer ficat d inscrip on scolaire sur présenta on du livret de famille et d un jus fica f de domicile. Sans ce document, il ne sera pas possible d inscrire votre enfant à l école. Les inscrip ons dans les écoles. Les inscrip ons dans les écoles se dérouleront du 23 mars au 3 avril Les horaires vous seront communiqués lors de votre inscrip on en mairie. Les parents concernés recevront un courrier. Dans le cas contraire, n hésitez pas à contacter le Pôle Enfance au Déroga ons scolaires Si vous souhaitez inscrire votre enfant dans une autre école que son école de secteur, vous devez remplir le formulaire de déroga on et le reme re en mairie avant le 20 avril 2015 Si le mo f de déroga on est la garde par une assistante maternelle, vous devez joindre un formulaire annexe. Tous les documents sont disponibles en mairie, téléchargeables sur le site de la ville

18 Vie scolaire Votre Journal mars - avril 2015 n 129 COLLÈGE GALILÉE LES COLLÉGIENS DE GALILÉE DE RETOUR Dès le 9 mars, les collégiens de Galilée reprendront les cours à Lingolsheim. 3600m² de locaux modulaires ont pris place dans la cour du collège Galilée pour les accueillir. Le Collège Galilée a vécu un début d année scolaire difficile avec la fermeture de ses locaux pour raisons de sécurité et l accueil des élèves au lycée Couffignal de Strasbourg. Six mois plus tard, les collégiens réintègrent le site, dans des locaux modulaires provisoires, le temps pour le Conseil Général de réaliser les travaux de consolida- on du bâ ment. 240 locaux modulaires 15 salles de classes, trois salles de sciences, une salle d informa que, deux salles de techno, un CDI, un foyer pour les enseignants, une infirmerie, des locaux administra f, deux hall d accueil et un restaurant scolaire, c est un véritable nouveau collège qui vient d être réalisé par le Conseil Général. Le déménagement aura lieu pendant les vacances scolaires et les élèves pourront emprunter le chemin de leur collège le 9 mars après-midi. Les emplois du temps ne seront pas modifiés. 240 locaux modulaires ont été nécessaires pour réaliser ce e construc on, pour un coût de 1,7 million. Le bâ ment provisoire répond aux normes d accessibilité handicapés. Les élèves y accéderont par le même portail. Ce e installa on est le fruit d un travail qui a associé Conseil Général, enseignants et parents d élèves. Trois mois auront été nécessaires entre la décision du retour sur le site de Lingolsheim et l ouverture des nouveaux locaux. La délivrance par le maire de Lingolsheim d un permis de construire dans un délai extrêmement court a fortement contribué à l accéléra on du projet. Une visite des locaux a été organisée par le Conseil Général pour l équipe pédagogique et les parents d élèves. Les travaux sur l ancien bâ ment démarreront très prochainement Du côté du bâ ment qui posait problème, les études sont en cours de finalisa on et les appels à projet seront lancés très prochainement. Une zone de chan er protégée a été aménagée et les engins de chan er accéderont au site par l ancien parking des enseignants. La durée des travaux est encore inconnue à ce jour. > Le Conseil Général a mis en place un numéro vert pour informer les parents. Il sera ac f jusqu au 20 mars. Numéro Vert : Le collège Galilée de retour Lingolsheim à par r du 9 mars 2015 Pour fêter cet événement, l établissement organise une crémaillère et vous invite à par ciper à un moment convivial : Mardi 17 mars de 18h à 19h30 Au programme : Pe t concert de la Chorale de l établissement, visite guidée des locaux Buve e

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20 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Maison des Arts ECOLES DE MUSIQUE LES ÉLÈVES INVESTISSENT LA SCÈNE Concerts de musique classique ou de rock, les élèves de la Maison des Arts sont montés sur scène pour présenter leurs travaux! Plusieurs fois dans l année, les élèves donnent des concerts en public. Une manière d affirmer leur progression dans la maîtrise de leur instrument. De la musique classique ou contemporaine... Le lundi 16 février, la classe de flûte et de clarine e ainsi que l atelier de musique de chambre étaient à l honneur! Ce e soirée de concert a mis l accent sur une diversité de répertoires : musique classique et contemporaine, musiques de films ou encore musiques tradi onnelles. Un public de parents très a en f a pu découvrir pendant près d une heure et demi le travail des élèves, qui se sont produits tantôt en duo, tantôt en quatuor, mais aussi en grand ensemble pour plusieurs pièces de musique de chambre. Prochain rendez-vous le mardi 21 avril....au rock et au blues! Deuxième concert de l année ce mercredi 18 février pour les dix groupes rock de la Maison des Arts avec en prime de nouveaux morceaux. Dix groupes qui présentent chacun une ou plusieurs composi ons collec ves. Entre blues, rock, ou funk, chaque groupe construit progressivement son iden té musicale. Jouer dans l auditorium de La Maison des Arts permet aux élèves de prendre de l assurance, de l autonomie, et d acquérir les réflexes propres à la scène. Un travail prome eur pour ce second concert de l année, qui abou ra pour certains d entre eux, à la produc on et à l enregistrement de leurs morceaux. Prochain concert annoncé d ores et déjà le mercredi 22 avril. A suivre! LA MAISON DES ARTS DANS LES ÉCOLES Des professeurs de la Maison des Arts travaillent régulièrement avec des classes de Lingolsheim autour d un projet ar s que. Depuis le début de l année scolaire, une classe de CE2 de l école des Vosges se rend tous les mardis à la Maison des Arts pour un atelier de danse animé par Doris Buche-Reisinger. Il s agit avant tout d une approche de la danse de manière ludique. Le thème choisi est celui des Fables de La Fontaine avec le lièvre et la tortue ou encore la grenouille et le bœuf. Une mise en mouvement et en espace, la créa on d une chorégraphie, l appréhension des bases de la danse avec l appren ssage des no ons d équilibre, d appui, de souplesse, de rythme et de coordina on, voici le vaste programme de l année. Tour à tour tortue ou lièvre, les élèves s approprient la scène de l auditorium de La Maison des Arts. Cet atelier qui se poursuit jusqu à la fin de l année scolaire donnera lieu à une représenta on de fin d année. D autres interven ons ont lieu à l école du Centre avec Olivier Bouchard, professeur d Arts plas ques et au groupe scolaire de l Avenir avec la compagnie Mistral Est autour d ateliers Hip-Hop. Enrichir l univers des enfants Les interven ons ar s ques en milieu scolaire, animées par les professeurs de la Maison des Arts, perme ent d enrichir l univers pédagogique des écoles. Les intervenants travaillent en rela on très étroite avec les professeurs qui ont manifesté le souhait de conduire un projet ar s que et culturel au sein de leur classe et de leur école. Les objec fs du projet sont définis ensemble autour d un thème précis.

21 Votre Journal mars - avril 2015 n 129 Seniors S RÉSIDENCE DU PARC UN HÉBERGEMENT TEMPORAIRE POUR LES MALADES D ALZHEIMER Un lieu d hébergement temporaire pour les personnes a eintes de la maladie d Alzheimer ou pathologies apparentées ouvrira ses portes début mars à la Résidence du Parc. Les premières demandes sont déjà là. Une vingtaine de dossier pour l année à venir. Il faut dire que ce lieu est le premier dans le Bas-Rhin à proposer un hébergement temporaire d une semaine à trois mois dans l année, pour des hommes et des femmes a eints de la maladie d Alzheimer. Le lieu d hébergement temporaire pourra accueillir dès le 3 mars douze personnes a eintes de la maladie d Alzheimer. Un Pôle d Ac vités et de Soins Adaptés (PASA) de 12 places sera également ouvert en journée. Il s adressera aux résidents permanents de la Résidence du Parc. Accompagner le malade et l aidant Un ensemble d ateliers des nés à s muler la mémoire et maintenir l autonomie des résidents seront proposés, de l art-thérapie à la musicothérapie en passant par la gym douce, ou des ateliers individuels autour de la mémoire. Psychomotricien, animateur, infirmiers, assistant de soins en gérontologie, aides-soignants et agents de service viendront compléter l équipe de la Résidence du Parc pour le bienêtre des résidents. «Ce lieu d accueil temporaire s inscrit pleinement dans une volonté de main- en à domicile. L idée est de perme re aux aidants d avoir des moments de répit, de les soulager» explique Séverine Fongond, la directrice de l établissement. «Cet équipement et le PASA complètent le disposi f proposé par l établissement avec l accueil de jour Alzheimer» précise-t-elle. «Nous pourrons ainsi développer les liens entre les structures, et travailler conjointement avec les assistantes sociales de secteur, Réso 3, les Hôpitaux de jour et les médecins traitant pour une meilleure prise en compte non seulement des pa ents mais aussi et surtout des aidants qui ont besoin d être soutenus et accompagnés. Vivre avec une personne souffrant de pathologie comme Alzheimer est très dur, et la santé des aidants est souvent soumise à rude épreuve» ajoute la directrice adjointe de la Résidence,Geneviève Dreyer. Renseignements pra ques Le prix à la journée est de 66,11, auquel s ajoute le tarif de dépendance de 13,26. Sous condi on de ressource, le Conseil Général peut apporter une aide financière pouvant aller jusqu à 30 jours par an. Les dossiers sont à re rer à la Résidence du Parc, rue Alfred Kastler ou à remplir en ligne sur le site : h p:// Renseignements auprès de : Mme Benkada, infirmière coordinatrice au Le lieu d hébergement temporaire a été financé par - le Conseil Général : , - l Agence Régionale d Alsace : , - le Régime Social des Indépendants pour un emprunt souscrit par l EHPAD de Lingolsheim. 22 > 23